Il pleut.
Girl meets boy. Girl falls for boy. Boy takes Girl on violent rampage through english suburb. Murder, Sex Drugs, and Anarchy follow.
pas d’internet (ou presque)
pas d’e-mail
only that
Et Mina, d’aimer toujours Nicola et son pigeon aux yeux laser. t.co/qFdGEdzk
Tendre les jambes, les bras, s’étirer au maximum, ronronner brièvement. Par la fenêtre, apercevoir l’aube sur les ruines. Sauter du lit, nu.
Je vais me coucher, les barbus sont à l’affût.
Et Mina et Igor de lancer du riz. Et Carver d’essayer de choper le bouquet. Félicitations.
Aujourd’hui vous allez travailler sur la vulnérabilité.
Pas facile d’écrire en ce moment à part des histoires de roupe et un bonheur à faire pleurer Gargamel. Hier soir pourtant, une agréable experience musicale, des amis, et ça pour bien se rendre compte que nos amis les zélites ne risquent pas de sitôt de comprendre quoi que ce soit à quelque chose. Sinon Chloé est belle et son dernier (petit) livre vraiment bien.
Pour la nouvelle année, ses amis offrent, à Igor, tendres baisers, caresses interdites et affection spontanée. Ça le chavire. Merci.
Aviation
Un JOUR de 1916, l’aviateur russe Igor Tourgueniev est envoyé en reconnaissance près de la frontière turque et survole le mont Ararat, qui culmine à 5.100 mètres. C’est là que, les eaux du déluge universel s’étant retirées, l’Arche de Noé aurait repris contact avec la terre ferme. A son retour, l’aviateur fait un fantastique récit : « Au sommet du mont Ararat, dit-il, j’ai vu un LAC de GLACE et, juste au milieu, emprisonnée dans cette glace, quelque chose qui ressemblait à la charpente d’un navire gigantesque ».
Mina : « et tu mérites la mort, la mort par la Tounga ».
Et dans le salon déserté, une petite voix, sortant d’un casque, posé au sol. Par la fenêtre, les dirigeables noirs. t.co/d7Nz5d7r
Réduis l’étude sans inquiétude,
seul ou accompagné de flatteurs.
Les uns se débarrassent de quelques
« quelle bonté est accompagnée de mal ? »
Les autres se débarrassent de
« quels hommes et quels endroits craindre ? »
On ne peut pas ne pas craindre
les endroits incultes, où il faut presque mendier, en effet !
De nombreux hommes sont brillants et florissants,
comme s’ils jouissaient de la plus grande écurie,
comme si l’amour montait sur scène.
Moi seul suis à l’ancre, comme en attente d’un signe,
comme le fils nouveau-né, pas encore enfant,
qui accumule et entasse, comme s’il n’avait pas d’endroit où retourner.
Tous les hommes ont des surplus,
moi seul suis comme un perdant.
Je suis un idiot, dont le cœur aussi est confus et chaotique !
L’homme commun brille et illumine,
moi seul suis un crépuscule sombre.
L’homme commun examine et observe,
moi seul m’ennuie et déprime,
calme comme la mer,
un vent fort qui ne s’arrête pas.
Tous les hommes ont un usage,
moi seul suis bête comme un village isolé.
Moi seul diffère entre les hommes,
mais ma mère est un précieux repas.
Laozi
Ce soir x 2 donc.
Mes doigts dans l’acide. J’ai comme une sensation de grande douleur. Je vais acheter un poney pour Mina. Ou un dragon. Fondus les doigts.
« on ne peut se protéger de la tristesse sans se protéger du bonheur » me rappelait souvent Mina.
Bang ! plixi.com/p/49735795
Allen Vs Predator (Vs L’homme Homard)
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| Le chasseur | Les deux autres |
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[ Les waders ne sont pas nécessaires pour les lacs car on peut pêcher à même le bord ]
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Le tigre n’avait pas de nom, juste une odeur personnelle, unique. Chez les autres tigres, ça faisait peur cette odeur. Tremblez moustaches !
Saké !? t.co/ouNIeVN
Mon très cher Az*,
Comme votre courrier a réchauffé la moiteur de cette sombre garçonnière dans laquelle je suis astreinte à résidence le temps que cet effroyable exil s’achève. Mes premiers jours de vie parisienne sentent le bouilli. La pluie qui ici ne s’interromps jamais accable jusqu’aux façades des immeubles : dans un lent mouvement monotone, les passants enveloppés dans leurs longs manteaux ternes défilent comme des macchabées, dans une sorte de procession fantomatique, devant des soupiraux d’où une fumée grasse s’échappe et imprègne les tissus et les pavés d’une exhalaison de bouillon. Elle recouvre à grand peine de larges traînées grasses qui défigurent les édifices, comme autant de plaies suppurantes qui, heure après heure, imprègnent le grès rendu poreux par l’humidité. Derrière le petit secrétaire tâché duquel je vous écris, on distingue au loin le promontoire de Montmartre, dominant tant bien que mal de sombres ruelles où les gargotes se succèdent les unes aux autres répandant jusqu’à ma modeste chambre des relents de garbure. Si vous saviez comme je soupire en regardant, par delà la vilaine reproduction maladroitement accrochée sur un mur, notre belle contrée, son temps clément, ses solides gaillards, fier-à-bras comme votre neveu, qui fera à n’en pas douter un charmant compagnon de jeu pour ma petite sirène. Comment va-t-elle ? Se porte-t-elle bien ? Donnez-moi vite de ses nouvelles, son souvenir seul me porte et me permet de conserver une lueur d’espoir.
Et vous-même, mon cher ami… que ferais-je sans votre aide, votre soutien de tout instant ? Je sais combien vous regrettez ce qui nous arrive, et je sais à quel point vous vous souciez de ma condition et de mon bien être. Cette lettre ne doit pas vous rassurer, mais malgré mes lamentations et mes humeurs moroses, je vous prie ardemment de ne point vous morfondre ; après ces nombreuses épreuves, et la disparition de mon tendre At*, je suis aujourd’hui une femme forte. Aussi me laisserez-vous vous narrer les moindres détails de mon séjour sans en prendre ombrage ni vous préoccuper outre mesure. Nous savons tous deux qu’il vous est impossible de me rejoindre, sous peine de compromettre irrémédiablement ce que nous avons mis tant de mois à échafauder.
Aussi vous prié-je de ne point faire cas de ces gérémiades d’une provinciale égarée dans cette monumentale cité, et qui n’a pas été instruite à cotoyer tour à tour la gagneuse des bas faubourgs et l’aristocrate des beaux quartiers. Je vous envoie, à vous deux, mes seuls amis, mes seuls lueurs, toute mon affection, et le soir, dans le creux de mon mauvais sommier, je prie ardemment, les mains serrées contre mon coeur, pour que Dieu vous épargne le sort cruel qui m’attend.
Ar*
Au minimum.

Oh toi pornographe anonyme
N’oublie jamais pour qui tu fais cela
Celui qui guide tes pas dans la neige
Et ton coeur dans la tourmente
Merci à toi Mr T.
La rumeur dit aussi qu’il aurait vendu la viande de ses victimes en tant que porc en conserve de contrebande. #xfactor
Piétiner des couteaux à Tourgéville.
« Il suffit d’une femme de sens pour que la folie du monde sur elle se casse les dents ! »
Mina et Igor, Le bunker, cuisiner en chantant, chasser la nostalgie qui risque de tout submerger, monter la radio. t.co/E3rnWQOLav
Devant les miliciens épuisés, Mina contrebande de son mieux, mais le coeur n’y est pas. Plus de dirigeables en hiver.
Ils savent que c’est extrêmement incapacitant et quand on a une migraine, ce n’est pas un sujet de plaisanterie. ♫ blip.fm/~4u1je
Avant moi, rien ne fut créé sinon d’éternel. Et moi, je dure éternellement. Vous qui entrez, abandonnez toute espérance. Sympa la pandémie.
Et Igor, tellement peu loquace, béatitude des guérillas réussies. Se blottir, sous les bombes, se sourire. t.co/BYZBhycW
Et Carver, ivre, punaise, sur le linteau de la cheminée. Un court message. t.co/MgQ974qA
Journée de la jupe et épisode de Glee spécial mariage. Igor envisageait une punition à base de curry wurst et de vodka noire sans glutène.
Mina, Igor et l’autre type chelou qu’on connaît pas trop bien se chauffaient au soleil sur le gros rocher au milieu de la rivière, dévêtus.
Pluie acide et radioactive sur Paris. Parapluie en plomb conseillé. Mina, Igor, observent la Seine, luminescente, déborder, noyer les rues.
Internet est un endroit étrange. Ne surfez jamais seul.
Jimmy boit du gin dans sa Chrysler.
Hier on m’a offert un pingouin télécommandé, c’est plutôt rigolo, il avance encore moins droit que moi quand je suis alcoolisé. #linux #soft
Je vais compter jusqu’à 5, et à 5 je rentre.
Frigo vide ! Igor devait réagir. plixi.com/p/50592079
Il montre une pomme. « C’est un canard ». Tu vois Max, la vie est belle.
J’hésite sur le t-shirt à porter ce soir : « No pain no game » ou « Fetish Girl ». #schopenhauer #kant #spinoza #heidegger #platon #tourgueniev
Amenez vos amis, c’est le temps des aventures. Nous partons pour de lointaines contrées. Princesses, rois fous et reines vampires attendent.
A4 – elle a coulé mon chalutier. On se demandera pourquoi les chants de Noël des plutoniens sont si tristes pour un peuple si gai, pourtant.
À compter les vagues de la mer.
Coupez !
我测试软肋澳大利亚黑手党不坏
Donc on est pas dimanche. Mais c’est la nuit. La nuit des asperges confites.
Merci à vous trois, vous êtes de terribles petites créatures de l’Amour. t.co/INL18u9w
Igor… Je vois du sang… Beaucoup de sang !
6320182334 infectés.
Quand j’étais petite j’aimais vraiment les hippocampes et les hommes à tête d’éléphant.
Cygne des temps – karaoké
Bilal Sparky, mec des Skars, t’inquiètes : 92 F.A.R, y’a rien à faire!
Wesh regarde ta tête et ta touffe de mouton
Généralement tous l’monde dit qu’t’as une tête de con
Attends tu fais l’mec, retournes au 93
Qu’ils t’mettent la zermiiiiiii!!!!!
Même ton père se surnommant Kader,
Il se saoûle tous les soirs
Et ensuite il te course dans les cou-loiiiiiiiirs!!!!!
Attends!!!
Ouais on devrait te Hagar,
Pour qu’tu fermes un peu ta grosse gueule,
T’as niqué Beblah et tu t’crois chaud?
Mais, dis toi, dans ta tête, que nous
C’est pas la même chose, alors :
Arrête, Arrêteeee, Arrêteeeeeee quoi!!!!!!!!
Putain, tu t’es serré une p’tite gogo danseuse,
Et ça s’croit chaud,
Hein, tu t’crois chaud?
Si elle aurait vue ta p’tite bite, elle s’rait partie
Hein, bon, ta bite, déjà, elle est toute p’tite
Elle a des rides, attends
Même celle de mon p’tit frère est plus grosse et plus grande
Et sans rides, donc tu vois,
Arrête, tu vas t’… t’afficher
Alors, arrête, arrête, arrête
Whoooohhh
Ma Petzl clignotait. Enfin celle de Yuki. Enfin, c’est ce qu’Igor se. Je. Dans la finance on se tournait souvent vers les loutres. Facile.
Il pourrait s’agir d’un dangereux terroriste.
Quand j’étais petite, je n’avais peur de rien, de personne. Mâcher de petits morceaux de verre, jouer avec le feu. Boxer un plus grand.
Samedi matin. Se débarrasser de la corde de guitare. Planifier nos prochaines actions avec grâce. Mina somnole. Igor craque le code. Apogée.
Everybody spread the word, We’re gonna have a celebration, Une armée de gamins qui brûle les magasins, 5000 chimpanzés dynamitent le zoo.
Je suis l’homme à la tête de chat (intraduisible).
Mina : « gourou et bibliothécaire c’est cumulable. »
Si ta fille veut chanter et que tu as 5000 dollars, contacte Ark. bit.ly/eRKysW
Après l’apocalypse, la nef des morts, rats, cafards, araignées fredonnent nos sagas individuelles, traces d’empathie éphémères mais réelles.
Igor se demandait souvent si son épilepsie expliquait l’ensemble de ses désordres chorégraphiques.
Pendant ce temps là à Londres :
Bon, je me suis faite expulser de mon flat a cause d’une fuite de gaz
(non, on emerde pas le proprio ou l’agence, on expulse les locataire,
bienvenue au pays des droits de l’homme). heureusement, on m’offre de
louer un HLM. 2 jours apres, j’arrive pour emenager dans mon nouvel
appart, 1 jour apres avoir visite et signe le contrat et ne voila t’y pas
que des squatteurs se sont installes et on changes les verrous. Bon apres
moultes aventures on reprend le flat sans phone, eau chaude ou chauffage
(pour l’instant, ca fait seulement 2 semaines qu’on essaye de faire reparer
ca. Sur ce je tombe malade et je prend une semaine de conge (finir de
demenager avec la grippe, bonjour). Pendant que j’etait en conge maladie,
un entretient que j’avais passe se revele positf et on m’offre le boulot.
Mais comme j’ai repondu a la lettre avec une semaine de retard, j’ai perdu
le boulot. mais maintenant, oui, non , peut-etre……
Une amie en exil volontaire
Mina rêvait de rapides vaisseaux spatiaux bondissants de galaxies sauvages en éons indicibles. Ses mains comme de solides harpons.
Jeudi, le blitz, Igor et Mina se retrouvent pour choisir un présent pour Carver dans les décombres de l’hôtel de ville. Le maire fume.
…
juste avant minuit
je te regarde marcher dans la pièce en désordre
soupeser chaque objet
observer la fine couche de poussière qui recouvre tout
ma chambre
tu es nue
tu n’es pas là
je suis seul
et fou
…
DESTOROYAH !
Et merci à la visiteuse onirique « de l’enfer » d’avoir rapidement interrompu ses incursions à base d’avatars dessinés.
maithili
prend mon sexe
dans sa main
en souriant
la pluie tombe
et tombe encore
tout est une question
de consolation
« J’ai baissé ma garde,
Dressé ma droite
Et placé mon poing sur sa face,
Cassé son nez,
Pressé la gachette,
Laissé
L’ennemi
Dans le sang blessé
Démunie
D’énergie,
Dressé
Une corde pour
Lui passé autour de son cou,
Hissé son corps dans le vide,
Glissé une lame dans ses intestins,
Massé les hématomes,
Pansé les plaies
Dansé sur sa tombe
Baissé
Tu me diras pourquoi autant de haine cousin
Regardes autour de toi
Ici tout est malsain »
LUNATIC _ Le Guidon
foutu
pour foutu
autant
se défoncer
la gueule
en attendant
son heure
même si
ça la fait
arriver
plus vite
Igor passe la soirée tranquillement installé avec Stéphane Bourgoin et ses tueurs en série. Je sers du thé à tout le monde. Et des bretzels.
Mina aimait les paysages proposés par les simulations des Enfants du Cube Z-Entropie. Tom Chaton et ses potes en animation saccadée. Noyés.
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Roberto et son groupe pensaient que john Wayne il etait vraiment has been… Mais le groupe trouvait que quand même les pantalons en peau de serpent c’est cool…
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Donnons du merci en ce jeudi déjà nocturne.
Brochette d’œil de renard.
Nefertiti prend son panard. Petite pièce minimaliste en un acte à jouer aux toilettes (ou à l’Opéra Bastille, voire au Palais de Tokyo).
Ce matin, l’ascète est totalement fermé.
Carver répondait toujours « autre ».
J’ai retrouvé ton alliance. Avec ta main, sous le canapé. Le chat est tellement joueur. Pour le reste, pas de nouvelles.
Infâme réveil
Je hais le vin et le champagne
Aspirine
Je suis en rage
Ca ne va pas du tout
Beurk
Bureau
Aspirine
Puis mail :
impossible de déchiffrer, si ton nom s’ecrit avec « i » ou « j »
impossible de savoir, à combien de gens tu as donné ton adresse le lundi soir,
donc aucun moyen de déviner, si tu sais, qui t’ecrit là.
si tu veux, on pourrais prendre un thé,
on pourrait rester dans le « virtuel »
et tu peux meme ne pas repondre du tout -si tu veux.
Je suis un peu retourné
Jeanbarov 3000 me file une photo
et une autre
La matinée file vers le midi
Un petit sourire se colle au coin de ma bouche
Hum
Hum.
le récitant: qui es-tu Igor Tourgueniev ?
Une limite blanche sur le bitume…
Ne pas la franchir sans autorisation. Si on s’avance on risque gros. Mais si on ne la franchit pas on reste sur le carreau. Pas de récompense sans prise de risque. Ok, je marche. J’enjambe la fine ligne blanche. Ca y’est…
Rien n’a changé, il fait juste un peu plus chaud. Derrière moi, le gris… Devant, c’est flou et changeant, mais coloré. On devine des formes à la limite du champs de vision.
Des choses plus ou moins menaçantes ou voluptueuses. Il serait si simple de faire un pas en arrière et de revenir en sécurité. Je croise du regard un sourire amical, non, plus qu’amical. Une courbe attrayante sertie de pointes et de griffes acérées. Ca commence… Je fais un pas en avant à nouveau, il fait plus chaud… Derrière moi, la ligne à deux pas…
Risquer ou ne pas risquer… Vivre ou ne pas vivre…
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la signification le sens la réalité de ce truc là est si pénible parfois à appréhender que l’on se demande si l’on doit ou même si l’on peut se permettre de continuer sans être de vils profiteurs ou si même il est possible de ne pas devenir un jour l’image elle-même plutôt que la réflexion maline et dénonciatrice de cette image en question en clair se retrouver sur la cible et recevoir les couteaux et quitter le rôle du beau ernesto zappa le lanceur fou pour se retrouver dans la peau de la douce mais impudique zoé gravillon qui a tant à dissimuler aux yeux du monde comme par exemple ses compromission avec jonas janus le directeur du cirque nain qu’elle voit en secret afin de lui soutirer de l’argent et des caresses buccales.
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Mina, Igor, Carver s’embrassent. L’homme à la tête de chat renverse sa coupe sur le mange disque. La fête est annulée. Dehors, on se bat.
Hey! Matilda, Matilda, Matilda, she take me money and run Venezuela.
le récitant : d’après les experts, il existerait une méthode secrète ‘sannen-goroshi » qui consiste à porter un coup entraînant la mort à coup sûr au bout de trois ans.
Au début de l’été, nous mangions, en salade, de longues plantes rouges, « Artères de Jupiter », c’était raisonnablement infect, et triste.







