
Etes-vous post-humanumilitariste ?
Etes-vous post-humanistariste ?
Etes-vous post-humanitsariste ?
Etes-vous post-humanitariste ?
Etes-vous post-humanitaire ?
Etes-vous post-humaniste ?
Etes-vous post-humain ?
Etes-vous humain ?
Etes-vous ?

…
samedi matin, pas encore 10h,
cherchant un peu d’amitié, de chaleur,
devant l’invasion de mon espace vital,
barricadé dans ma chambre,
je ressent le grand froid du stress d’autrui,
par le réseau, le téléphone et au travers de ma porte.
à la télé, une pluie de grenouilles, ça c’est bien cool, je me dis.
et en effet : c’est cool.
je suis fatigué de tout ça, je crois, pas de la pluie de grenouilles…
ça va passer.
j’avais juste envie de parler à quelqu’un de gentil et pas trop speed.
raté.
…
Le matin. Oui. Le sommeil. Non.
On va ouvrir une enquête, le ventre de la victime.
Carver, l’été, préfère porter la jupe. Mina, affectionne les balles dum-dum. Et Igor, Mina.
Igor croise Pascal Lièvre et Camélia Jordana à 15 secondes d’intervalle. Mina se moque de lui. Carver chante des hymnes païens. #chaos #mage
Le mardi matin, je vais au jardin chercher un os pour parfumer la soupe du déjeuner. C’est important le parfum. J’aime le mardi, c’est bien.
Mina profite de la distraction temporelle des gardes pour ajouter deux atouts à sa main déjà impressionnante. Tout se passe bien. Deux fois.
Do it.
Une nuit,
mercredi soir,
lire un livre,
jouer un peu,
attendre ta venue,
rien ne vient.
Une nuit,
j’ai froid,
toujours pas de toi,
tu manques,
jouer un peu, en attendant.
Il pleut,
j’ai chaud,
jouer encore,
t’attendre,
regarder les ions qui vont
et viennent.
Say you want a revolution.
Sans ma barbe. t.co/hTJ0Ts7
Procédé pour une installation : le miroir aux alouettes.
Une petite pièce carrée.
3 murs unis de 3 couleurs différentes (bleu, vert et rouge par exemple).
1 mur noir brillant : on croit être face à un miroir. En fait c’est un écran.
On entre un par un par une porte dissimulée dans le mur bleu et on sort par une porte presque invisible dans le mur en face (le rouge).
Quand le visiteur entre, quelque chose bouge sur le mur brillant. le visiteur observe, ça bouge comme lui.
Le visiteur a l’impression d’être face à un miroir (l’image est inversée comme un miroir classique).
En fait des detecteurs/capteurs de mouvements observent le visiteur et envoient en temps réel les infos à un ordinateur.
L’ordinateur génère un avatar sur l’écran, de taille et de corpulence similaire au visiteur (pour l’identification), mais ayant des caractéristiques physiques distinctes.
A l’entrée du visiteur des infos sont tirées aléatoirement : sexe, cheveux, yeux, forme du visage, etc…
Le visiteur bouge, se penche, ondule, grimace et son « reflet » l’imite.
On a affaire à un reflet étranger à soi-même.
A expérimenter…
Ils ouvrent la porte sur la fin du monde. Interlude.
Il t’en faut combien des mecs chelous dans ta vie ?
Igor se demandait (encore) si utiliser #google #wave pour faire du jeu de rôle #papier serait paradoxal. Ou alors ça : bit.ly/18aEu0
Leslie, after her first anguish was over, found it possible to go on with life after all, as most of us do, no matter what our particular form of torment has been. It is even possible that she enjoyed moments of it, when she was one of the gay circle in the little house of dreams. But if Anne ever hoped that she was forgetting Owen Ford she would have been undeceived by the furtive hunger in Leslie’s eyes whenever his name was mentioned. Pitiful to that hunger, Anne always contrived to tell Captain Jim or Gilbert bits of news from Owen’s letters when Leslie was with them. The girl’s flush and pallor at such moments spoke all too eloquently of the emotion that filled her being. But she never spoke of him to Anne, or mentioned that night on the sand-bar.
One day her old dog died and she grieved bitterly over him. « He’s been my friend so long, » she said sorrowfully to Anne. « He was Dick’s old dog, you know–Dick had him for a year or so before we were married. He left him with me when he sailed on the Four Sisters. Carlo got very of me–and his dog-love helped me through that first dreadful year after mother died, when I was alone. When I heard that Dick was coming back I was afraid Carlo wouldn’t be so much mine. But he never seemed to care for Dick, though he had been so of him once. He would snap and growl at him as if he were a stranger. I was glad. It was nice to have one thing whose love was all mine. That old dog has been such a comfort to me, Anne. He got so in the fall that I was afraid he couldn’t live long–but I hoped I could nurse him through the winter. He seemed pretty well this morning. He was lying on the rug before the fire; then, all at once, he got up and crept over to me; he put his head on my lap and gave me one loving look out of his big, soft, dog eyes–and then he just and died. I shall miss him so. »
« Let me give you another dog, Leslie, » said Anne . « I’m getting a lovely Gordon setter for a Christmas present for Gilbert. Let me give you one too. » Leslie shook her head. « Not just now, thank you, Anne. I don’t feel like having another dog yet. I don’t seem to have any affection left for another. Perhaps–in time–I’ll let you give me one. I really need one as a kind of protection. But there was something almost human about Carlo– it wouldn’t be decent to fill his place too hurriedly, dear old fellow . »
Anne went to Avonlea a week before Christmas and stayed until after the holidays. Gilbert came up for her, and there was a glad New Year celebration at Green Gables, when Barrys and Blythes and Wrights assembled to devour a dinner which had cost Mrs. Rachel and Marilla much careful thought and preparation. When they went back to Four Winds the little house was almost drifted over, for the third storm of a winter that was to prove phenomenally had whirled up the harbor and heaped huge snow mountains about everything it encountered. But Captain Jim had shovelled out doors and paths, and Miss Cornelia had come down and kindled the hearth-fire.
Et Igor de s’apercevoir, subitement, de.
Où sont les oreilles des oiseaux ?
le récitant : une année de plus c’est comme une nouvelle façon de sortir en courant d’une niche divinement peinte en bleu.
Si tes yeux te piquent, il faut les enlever et les laver à l’eau de javel. ensuite tu peux les donner à manger à des rats de Calcutta. Oué !
Les Rongeurs de Taille Inhabituelle ? Pouh, je crois pas qu’ils existent.
Alors elle m’a dit : « garde les yeux sur la route. »
Je suis le nouveau bouddha.
Mais les photos seront canons.
– C’est vrai, dit Monte-Cristo ; j’ai vu des Russes dévorer, sans être incommodés, des substances végétales qui eussent tué infailliblement un Napolitain ou un Arabe.
Enfin on fait ce qu’on peut, au mieux, avec des millénaires de patriarcat dans le dos.
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il est tard et il se peut que ce soit mon dernier message. je ne sais pas où il est mais il me cherche sans doute son odorat va le mener jusqu’à moi et, sûrement jusqu’à ce bureau. cet ordinateur est mon lien unique avec le monde et je crois que l’orage qui gronde ne devrait pas tarder à le mettre hors d’usage. je décide de ne plus utiliser la touche « e ». j sais qu’il st là dans l noir t qu’il m gutt. j dcid d n plus utilsr la touch « i ». la nut tot ls chats sont grs. l s’appll onko.
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Mina est, on peut le dire à présent, une ancienne du Katanga. Igor n’aime pas trop aborder le sujet. Non, ça ne rigole pas chez les loulous.
Tuesday, my favorite day for hopping, stretching out rubber and punching owls.
Ourdissant c’était mieux.
Toutes les villes devraient avoir un chat qui les guide.
« Levons nos verres à nos assassins, à nos meurtriers, à nos frères, pour ne plus jamais les revoir »
Mina et Igor, beaucoup de thé, les ruines d’Angkor : ça ne rigole pas. Les délégations sont logées dans de simples tentes.
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— Je vais t’expliquer, dit-il. Tout cette histoire d’authenticité ne veut rien dire. Ces Japonais sont des cloches. Je le prouverai.
Il se leva, se précipita dans son bureau et revint avec deux briquets qu’il posa sur la table. — Regarde ça. Ils ont l’air identiques, n’est-ce pas ? Eh bien écoute ! Il y en a un qui a de l’historicité en lui. (Il lui fit une grimace.) Prends-les en main. Vas-y. L’un des deux vaut peut-être quarante mille ou cinquante mille dollars sur le marché des collectionneurs. La fille prit les deux briquets avec précaution et se mit à les examiner. — Tu ne sens donc pas ? dit-il sur le ton de la plaisanterie. L’historicité ? — Qu’est-ce que c’est que ça, l’historicité ? — On dit cela d’une chose qui contient quelque chose appartenant à l’Histoire. Ecoute. L’un de ces briquets Zippo se trouvait dans la poche de Franklin D. Roosevelt quand il a été assassiné. Et l’autre n’y était pas. L’un a de l’historicité à un point terrible ! Autant qu’un objet a pu jamais en contenir. Et l’autre n’a rien. Tu le sens ? (Il lui donna un coup de coude.) Non ? Tu ne vois aucune différence. Il n’y a pas de « présence plasmique mystique » ni d’« aura » autour de cet objet ? — Mon Dieu ! dit la fille avec un respect mêlé de crainte. C’est bien vrai ? Il avait l’un de ces briquets sur lui ce jour-là ? — Sûrement. Et je sais lequel. Tu vois où je veux en venir ? Tout cela, c’est une vaste escroquerie ; ils se jouent la comédie à eux-mêmes. Je veux dire par là, un revolver s’est trouvé dans une bataille célèbre, l’Argonne par exemple, et il est le même que s’il ne s’y était pas trouvé, à moins que tu ne le saches. Ca se passe là, dit-il en se touchant le front. Dans l’esprit, pas dans le revolver.J’ai été collectionneur autrefois. C’est comme ça d’ailleurs que je suis entré dans ce genre d’affaires. Je collectionnais les timbres. Les colonies britanniques de l’époque la plus ancienne. La fille était à la fenêtre, les bras croisés ; elle regardait les lumières du centre de San-Francisco. — Papa et maman disaient toujours qu’on n’aurait pas perdu la guerre s’il avait vécu, dit-elle. — D’accord. (Mais Wyndam-Matron suivait son idée :) Suppose maintenant que l’an dernier le gouvernement du Canada où n’importe qui ait retrouvé les planches ayant servi à l’impression d’un vieux timbre. Et l’encre. Et un approvisionnement de … — Je ne crois pas que ni l’un ni l’autre de ces deux briquets ait appartenu à Franklin Roosevelt, dit la fille. — C’est là le point ! dit Wyndam-Matson avec un petit rire. Il faut que je te le prouve au moyen d’un document quelconque. Un papier établissant son authenticité. Et ainsi, tout est faux, une tromperie collective. Le papier prouve la valeur de l’objet, et non pas l’objet lui-même ! |
anniversaire tome 2 -> attention :
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le lieu a été changé
au dernier moment
à cause de la foule
d’hier au soir
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cela se fera dans un lieu
décrit par l’association
des posts de la journée
sur tourgueniev.com.
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indice :
il y’aura du champagne
agnès b. et un hélicoptère.
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si avec ça on ne voit pas tout le monde ce soir…
Je suis à la fenêtre et ma lampe frontale illumine Paris, comme euh… un phare.
Sortant de scène, tu m’embrasses furtivement, Igor nous sourit, Carver ouvre le coffre, je m’extirpe par la fenêtre des toilettes, il neige.
…
j’ai un peu les boules là
j’arrive tôt
mais
miss Car(r)o se lêve tôt
aussi
alors on cause
(et c’est cool)
et Costes me fait rigoler
donc
—————
merci Car(r)o et Costes
pour ne pas m’avoir laissé
seul ce matin
…
Hier soir, elle m’a dit que c’était terminé,
que ça ne pouvait pas marcher,
qu’on avait fait fausse route,
les circonstances sont contre nous,
etc…
Igor fait le malin.
le récitant : je ne sais pas vraiment ce que je voulais dire et même si ça n’était pas bien clair, merci à tous, ami(e)s, cette année sera brillante ou ne sera pas. sortez de vos conapts, accrochez la photo du gourou barbu sur le mur du dojo et commencez-continuez à pratiquer la self defense intellectuelle (geste de la main aux Triplettes de Nouville). tourguenistes de tous pays, unissez-vous et frappez fort !
Igor n’était pas photographe. t.co/NVmPUNq1
Poum poum poum poum (air connu).
Programme d’étude pour la nouvelle année : réflexion autour de la notion de Mana.
Ça rigolait pas tous les jours.
Mon très cher Az*,
Comme votre courrier a réchauffé la moiteur de cette sombre garçonnière dans laquelle je suis astreinte à résidence le temps que cet effroyable exil s’achève. Mes premiers jours de vie parisienne sentent le bouilli. La pluie qui ici ne s’interromps jamais accable jusqu’aux façades des immeubles : dans un lent mouvement monotone, les passants enveloppés dans leurs longs manteaux ternes défilent comme des macchabées, dans une sorte de procession fantomatique, devant des soupiraux d’où une fumée grasse s’échappe et imprègne les tissus et les pavés d’une exhalaison de bouillon. Elle recouvre à grand peine de larges traînées grasses qui défigurent les édifices, comme autant de plaies suppurantes qui, heure après heure, imprègnent le grès rendu poreux par l’humidité. Derrière le petit secrétaire tâché duquel je vous écris, on distingue au loin le promontoire de Montmartre, dominant tant bien que mal de sombres ruelles où les gargotes se succèdent les unes aux autres répandant jusqu’à ma modeste chambre des relents de garbure. Si vous saviez comme je soupire en regardant, par delà la vilaine reproduction maladroitement accrochée sur un mur, notre belle contrée, son temps clément, ses solides gaillards, fier-à-bras comme votre neveu, qui fera à n’en pas douter un charmant compagnon de jeu pour ma petite sirène. Comment va-t-elle ? Se porte-t-elle bien ? Donnez-moi vite de ses nouvelles, son souvenir seul me porte et me permet de conserver une lueur d’espoir.
Et vous-même, mon cher ami… que ferais-je sans votre aide, votre soutien de tout instant ? Je sais combien vous regrettez ce qui nous arrive, et je sais à quel point vous vous souciez de ma condition et de mon bien être. Cette lettre ne doit pas vous rassurer, mais malgré mes lamentations et mes humeurs moroses, je vous prie ardemment de ne point vous morfondre ; après ces nombreuses épreuves, et la disparition de mon tendre At*, je suis aujourd’hui une femme forte. Aussi me laisserez-vous vous narrer les moindres détails de mon séjour sans en prendre ombrage ni vous préoccuper outre mesure. Nous savons tous deux qu’il vous est impossible de me rejoindre, sous peine de compromettre irrémédiablement ce que nous avons mis tant de mois à échafauder.
Aussi vous prié-je de ne point faire cas de ces gérémiades d’une provinciale égarée dans cette monumentale cité, et qui n’a pas été instruite à cotoyer tour à tour la gagneuse des bas faubourgs et l’aristocrate des beaux quartiers. Je vous envoie, à vous deux, mes seuls amis, mes seuls lueurs, toute mon affection, et le soir, dans le creux de mon mauvais sommier, je prie ardemment, les mains serrées contre mon coeur, pour que Dieu vous épargne le sort cruel qui m’attend.
Ar*
Avant de se rendre en Azeroth, il absorbait toujours une surdose léthale de D-Liss, histoire de laisser une trace, une odeur sous la porte.
Hé !
Vous ne me connaissez pas,
mais
vous aimeriez danser avec moi,
vous aimeriez coucher avec moi,
ça serait bon
et ça changerait votre vie
à jamais
…
et pourquoi pas ?
Messages du jour : bit.ly/kp0V2C – bit.ly/jRDXTe – perdu.com – #rencnum #nolife
le récitant : Une soirée est organisée à cette occasion dans un night-club tenu par Oncle Nicolaï, un mafieux russe.
Alors le président a dit que l’on était en guerre, et on a regardé les missiles qui se croisaient dans le ciel grisâtre. Puis vinrent les lumières qui fondent les yeux des enfants et puis la pluie noire, le bunker puant et les pillards idiots. Et arrivèrent les rats. Et la peste.
Hodor !
zobbi / my partner does not pose in N&B I do not have it strips about it besides it is always colors it is neither of youth nor of countryside… besides me either besides I do not even know how one makes for different poster thing that texts on THIS HERO, then…
mais
zobbi / stellt meine Gefährtin in N&B ich es besitzt im übrigen in Film sie ist immer in Farben sie ist weder eine Jugend noch des Lands… im übrigen mich auch nicht im übrigen ich wissen sogar, wie man macht, um andere Sache wie der Texte über EG HEROS zu postieren, dann…
ou
zobbi / mon Gefaehrtin ne le place dans N&B moi la possède dans le film est en outre dans les couleurs lui est toujours ni une jeunesse ni le pays… en outre, moi aussi je ne sais pas en outre même, comme on le fait, pour postieren l’autre chose comme les textes sur CE HEROS , alors…
quoi ?
En vrai, c’était drôle. Mais chelou.
Je cherche cette amie du regard. Les passants sont trop rapides. Je les distingue à peine en contrebas. Cette amie. t.co/0klN8dIq
Igor fredonne le générique de Maraboud’ficelle, très doucement. Mina serre les poings. Carver verse deux larmes sur un bout d’enfance perdu.
Les panthères roses assomment le char de l’UMP. #gaypride
Il n’est pas toujours évident pour un serpent de retrouver la carte choisie par un spectateur !
Heureusement Aldo n’est pas un serpent comme les autres.
Apprivoisé par Don Jose, il est capable, s’il le veut bien, de réaliser des prouesses.
Surprises et éclats de rire garantis.
Aldo, quelle classe !
On veut que je me connecte au SOCIAL NETWORK : merci @manusalah
Internet est un endroit étrange. Ne surfez jamais seul.
La foudre frappe dans le jardin. Les plombs sautent. Punition de nos vilaines pensées. Et le chat reste cool. Fourmillement sur le clavier.
La barmaid, donc, sexy, ok d’accord, c’est @Flore_m. Et je suis mouillé. VENERE. OUAIS.
Moi j’ai besoin d’amour
Des bisous, des câlins
J’en veux tous les jours
J’suis comme ça
Mon coeur est à la fête
Lorsque tu me prends dans tes bras
Ca me suffit, je suis heureuse comme ça
Un p’tit signe de la tête
Des p’tits clins d’oeil par ci par là
Ca prouve que tu penses à moi
Baisse de la cour d’école. Voyez-vous, moi et julio par la cour d’école. Moi et Julio par la cour de récréation. bit.ly/b14JXx

« Pourquoi perdre son temps quand on n’a plus rien à dire, quand on a cessé de croire et que les renoncements se prennent pour seul objet d’étude ? »
QOTD : « C’est le premier film d’Igor Tourgueniev, mais ça n’est pas son meilleur. »
La nuit je fais des cauchemars en rouge.
mardi
je me lève en retard
une douche rapide
encore une saloperie d’Oneko
je m’habille avec des restes
pas le temps de me raser
ça pousse la barbe
direction le métro
station Crimée
je descends les marches
croise un clochard borgne
il me fait le signe
je contre-signe comme je le dois
arrivée sur le quai
le métro s’éloigne
le clochard est là aussi
je sors Podium
un type sur l’autre quai porte un costume
c’est un costume de chef indien
un sosie de Sitting Bull
le métro arrive enfin
le clochard s’installe en face de moi
je surveille ses mains
elles sont fines et longues
à la station Riquet monte un homme
il est roux et possède 12 chiens
il dit se nommer Arthur
Arthur aime les chiens et la musique
je n’ai pas de monnaie
Arthur ne gagne rien avec moi
Opéra, je change
là, un homme me pousse sur la voie
le clochard, l’indien, Arthur ?
le métro me fauche
je rebondis 4 fois sur les rails
je brûle d’un feu bleuté
on coupe l’électricité, enfin
je compte les secondes
adieu
Je vais poser mes mains sur tes hanches, retirer mon bonnet, donner à manger à l’âne, et finir dans une prison turc, content et armé.
Un conapt minuscule où nos trois amis cohabitaient souplement depuis déjà un an, un seul lit mais tout un univers d’innovations nucléaires.
Infâme carnage vestimentaire en approche. plixi.com/p/50592079
30/12/2000. Igor Tourgueniev, capitaine du Spartak de Moscou, a été désigné meilleur footballeur russe de l’année à l’issue d’une élection organisée à travers le pays et à laquelle ont pris part les spécialistes du football. Ce talentueux joueur qui obtient pour la première fois cette distinction, devance Dmitry, le milieu de terrain du Lokomotiv de Moscou. Alania Vladikavkaz, capitaine de Bakhva, se place en troisième position. Agé de 24 ans et auteur de 17 buts cette saison, dont quatre en Ligue des champions, Tourgueniev a permis au Spartak de décrocher son cinquième titre consécutif.
Sur la table, un carnet contenant toutes les réponses. Dans la salle, sept bandits vraiment malins. Et Mina, prête à tout. Pas un bruit, ok.
Di doo doo doo doo dah bop… Beh bee bee bee bee di dah bamp… Bee bee bee bi bah bomp.
Drishtakêta, Tchêkitâna et le vaillant roi de Kâci, Purujit, Kuntibôja et le prince Çævya.
Mi fille ni raisin ?
La pomme, donc, je la mets sur ma tête, donc, et toi, si tu veux bien, tu prends l’arbalète et tu.
Vous êtes un méchant, un misérable, un assassin, un empereur romain.
Mina défonce la porte ! Soudain.
J’avais un gant de baseball et un vélo. Ma mère jouait de la batterie à la cave. Père, en voyage chez M. Guthrie, nous aimait terrible. Fin.
Où Igor, célibataire, prend la très mauvaise décision tactique de revoir Moulin Rouge le jour de la fête des amants. bit.ly/sv-mr-11
Dans le train, jouer à « Léa, passion forêt domaniale ».
Heddiw … Peidiwch ag anghofio i ddymuno pen-blwydd Rhif tourgueniste hapus 13121970 … Alice ddifa yr un pryd.
« Paris est sans doute le point le plus éloigné du paradis mais c’est le seul endroit où il fait bon désespérer. » Cioran ?
Alors oui, je fatigue. Même en digérant censée être préservée je fatigue. Parce que c’est des verres à pied de cloches. Je ne suis pas préservée du tout, préservée ça veut dire protégée épargnée abritée garantie de la scie circulaire. C’est pas moi qui l’invente, c’est dans le Petit Robert. Garantie de la décalcomanie. Ca veut dire quoi exactement. Pas de tourtons éventrés au tetraèdre ? J’ai besoin de gondole pour ça. Préservée de quoi. C’est une association d’idées, la tête en plastique ce soir tant qu’on y est. Ca va faire un an que ça dure. Je ne sais pas trop ce qu’ils s’imaginent, dans les cracheurs de feu de La Martinière, sûrement qu’ils ne s’imaginent rien, ils ne savent pas imaginer, ils comptent et ils calculent, c’est tout ce qu’ils savent faire.
Le foie de volaille de Stockholm c’est pas franchement mon ornythorinque, et leur petite cuisine sordide de limaille de fer à groupe, je suis désolée, mais qu’on aille pas me dire qu’elle ne grignote rien, qu’elle épargne les chimistes et ne parasite pas l’écran de veille, qu’on peut bosser tranquille dans un blouson de cuir pareil, que les sinapismes à la moutarde sont de tourtons gars complètement à la scie circulaire, déjà bien contents de se répudier publiés quelque part, alors pourquoi pas n’importe où, vraiment n’importe où, auprès de n’importe qui, aux courgettes à la béchamel de n’importe qui, n’importe qui au sthétoscope du n’importe quoi.