« Klout believes you are influential about Apple. »
Gewalt.
L’honorable Juge Ti et le bondissant Détective Dee se jaugeaient du regard. Sous la tonnelle humide, l’Abbé Vitré était propre et soumis.
Les sensations courantes sont accompagnées par d’autres sensations provenant du monde des esprits.
Every time we mindfuck we mindwin ?
Mina, lisant, s’éclate.
Destination finale : « Elle meurt dans un accident de voiture après avoir échappé au crash de l’Airbus A330. » tinyurl.com/hadopilote
J’habite mon immeuble, logiquement. Je suis célibataire, bon. Je dois donc m’unir physiquement avec d’anciennes créatures venues de la mer ?
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Albert aimait les femmes… Peut être trop… La première fois qu’il franchit la porte Celle ci sans doute attirée par le magnétisme animal d’Albert se |
C’est le bal des schizos !
le récitant : une bonne carte pourrait nous aider à nous repérer dans cette jungle.
Ce sont des gens qui s’aiment.
NOURRIR LES HOMMES
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INSIDE
THE BEAST |
Nous vivions dans une cave : une sorte de bunker minimaliste, avec une boule disco. Dehors il pleuvait sans cesse, une pluie noire, gluante.
Blanc. plixi.com/p/65085117
En vieillissant, le cœur grossit ? Si on se marie, le compteur se bloque pour toujours ? Ceci > Cela.
Poisson_Banane
Ici Clipperton.
Les poissons parlent aux bananes :
Les rires joyeux des guitares hivernales…
quatre fois… je répète…
Les rires joyeux des guitares hivernales…

« Pourquoi perdre son temps quand on n’a plus rien à dire, quand on a cessé de croire et que les renoncements se prennent pour seul objet d’étude ? »
L’homme à la tête de chat, au piano, aimait nous interpréter d’antiques chansons pop d’avant la guerre. Carver l’accompagnait au triangle.
…
on était deux
puis trois
puis ils étaient deux
et moi un
…
perdus mes chaussettes avec des chats, une culotte blanche à triangle et un boxer short
la vie c’est qu’une série de pertes.
Kisses.
…
je voudrais avoir des nouvelles
comprendre
je ne sais pas quoi
aller me coucher
vite
oublier
…
Mina et Igor roulent vers Toulouse. Dans le ciel, les dirigeables veillent. t.co/nYeYPnP3
La comtesse : Allez porter ma lettre. – Lisette à part : Hum ! il y a ici quelque chose. — (Marivaux, Le legs, scène 6)
Nous sommes les dandys de l’an 2000, grands chevelus glacés, pâles et frileux, voûtés peut-être, lèvres exsangues et serrées… (air connu)
En plein cœur de l’ivresse, au milieu du chaos.
Aveux
Pendant l’explosion, Carver embrasse furtivement Mina. Igor, hypnotisé par les flammes, le chaos, ne remarque pas. Ils se blottissent, gais.
Je viens de planter, le tracteur, un pommier, brule doucement. Espérons que le feu ne se propage pas en Russie. Je mange une pomme. #hop
Ce jeudi est le plus mortifère des événements du XXIème siècle. On pourrait compter les idées obscures, anciennes et lourdes suantes nues.
De Ricco la fripouille à Zeppo le clown blanc, combien y-a-t’il de clowns qui sont devenus déments ?
Je me sens comme James Bond sans son permis de tuer.
Les siciliens satanistes du mouvement rebelle occidental n’aimaient pas trop le jambon des fascistes roux. t.co/ONsjNKHo
L’homme à la tête de chat, en conférence, avec la femme à la tête de panthère nébuleuse. Si. Ça existe. Conférence de paix. Fin du monde.
La nuit, et même pas une amie pour jouer à la console.
La nuit tombait doucement sur l’île, une chanson emplissait l’air du soir, deux voix de femme, un piano…
L’immense hôtel semblait désert, abandonné. Quelques lézards, seuls occupant de la piscine vidée et des tables renversées. Toujours cette chanson dans l’air, entêtante et triste. Sur la terrasse qui dominait le Patio, Igor regardait la mer, à côtés de lui, Oneko, son chat, dormait paresseusement. En contrebas, près du bar, Orad jouait du piano et chantait, accompagnée par Gwendoline, qui se tenait derrière elle, les mains passées autour de son cou. Derrière elles le professeur Fox, allongé sur un transat, semblait dormir. Igor huma l’air, tentant d’y retrouver le fort parfum de vanille qu’il n’aurait pas du pouvoir trouver ici, mais qui semblait imprégner toutes les chambres de l’hôtel fantôme. Oneko se redressa doucement, s’étira et entreprit de se lécher nonchalamment le bout des pattes.
En bas, le professeur Fox dormait maintenant profondément, et les ronflements sonores du petit indien montait doucement vers la lune. Les filles toujours enlacées avaient rejoint la suite qu’ils s’étaient choisie au dernier étage. Nicolaï remontait maintenant le sentier menant à hôtel, portant quelques gros poissons; il semblait avoir arrêté ses toxines habituelles, et commençait à retrouver figure humaine: on pouvait même lui trouver un début de bronzage. Bien sûr il refusait toujours de dormir dans hôtel, et occupait un bungalow sur la colline à l’est de la piscine, mais Nicolaï restait Nicolaï…
La nuit était douce, Igor regardait toujours la mer, dans sa poche la présence du petit pistolet à aiguille le réconfortait, maintenant tout pouvait aller très vite…
La première explosion vint vers deux heures, d’abord une lueur aveuglante, terrible, puis le champignon qui s’élève lentement, le fracas n’arrivant que quelques minutes après.
Nicolaï fut, bien sûr, le premier à sortir, il portait des lunettes protectrices de sa conception, elles semblaient terriblement complexes à Igor, lui ne portait que de classiques Ray-Ban.
Les filles arrivèrent, main dans la main, Orad pleurait un peu, Gwendoline, restait terriblement calme: « trop loin. » Dit-elle doucement, dans un souffle.
Le professeur lui ne se réveilla qu’à la troisième explosion, quand l’onde de choc fit basculer son transat. Un juron plus tard, il rejoignait les autres sur la terrasse.
Igor pris la main de sa sœur et l’embrassa doucement; sa bouche sentait la vanille…
Oneko s’étira de nouveau et s’endormit; Sur la colline, Nicolaï pleurait doucement.
Une chaude brise venant de la mer soufflait maintenant sur l’hôtel.
*tousse*
Igor démonte l’ensemble des appareils servant à se connecter au cyberspace depuis son domicile, se débrancher, souffler, course à la mort.
On a construit une piscine à bulles sur le toit de l’hôtel. En déplaçant le cimetière. Mauvais karma à la baignade, mais belle vue sur Rome.
Igor à Mina : « Je veux jouer avec toi. ».
maithili
prend mon sexe
dans sa main
en souriant
la pluie tombe
et tombe encore
tout est une question
de consolation
Mercredi matin. Lipstick pour tous. Les miliciens sont sur les nerfs. Dans le ciel, le noir léviathan, somnambule. Carver et Igor, au lit.
Enfin tu vois, quoi.
L’homme à la tête de chat et le professeur Ira parlaient de la #vérité depuis plus d’une heure quand, les bombardements. Carver fumait sec.
Ce matin en sortant de chez moi je ne savais pas comment m’habiller alors j’ai juste épinglé mon badge blanc un peu au-dessus de mon sein gauche. Ca ne saigne pas tant que ça, ça pique juste un peu. Dans le métro, au début je me sentais un peu nu. Au commissariat du 5ème, là où les forces de l’ordre m’ont traîné, je ne pouvais pas m’empêcher de rire. Ils m’ont envoyé direct en HP. Ici tout est blanc comme mon badge, je m’en fiche, je suis invisible.. Dehors il pleut. Je me demande si les premières explosions seront perceptibles jusqu’ici. Une grande lumière et nos corps qui se volatilisent. La nuit je fais des cauchemars en rouge. Pour oublier, je me masturbe avec une lame de rasoir volée au surveillant en chef. Je pense aux hanches de Nathalie et aux fesses d’Alain et j’entaille doucement de haut en bas. En général, ça suffit. Je cultive des algues sur ma fenêtre. Elles me font penser à une « pierre étrangère ».
Et pendant l’hiver 2007 on dansait tous sur ça : tourgueniev.com/2007/10/15/4968
Il fait nuit comme en plein jour.
Igor à Mina : « je vais t’embrasser, ne me frappe pas. » – t.co/XwA4qUgV
Lundi matin. Éclairs.
Mes nouveaux amis.

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Orgues. C’était un amour tropical. Orgues.
Igor se demandait (encore) si utiliser #google #wave pour faire du jeu de rôle #papier serait paradoxal. Ou alors ça : bit.ly/18aEu0
le récitant : d’après les experts, il existerait une méthode secrète ‘sannen-goroshi » qui consiste à porter un coup entraînant la mort à coup sûr au bout de trois ans.
Je pense que je m’embrouille.
私は、霧の中で午前
Extrait du « journal intime d’un journaliste qui s’estime » par Louis-Marie de Chaunac
Quant au chat d’Igor, Oneko, il me prouve chaque fois que je le croise que l’hystérie n’est pas une pathologie spécifiquement féminine.
Où se trouve le vrai Igor Tourgueniev ?
Journée de la jupe et épisode de Glee spécial mariage. Igor envisageait une punition à base de curry wurst et de vodka noire sans glutène.
Mina, Igor et Carver empilaient les corps, les amis, les crevettes, sous la tonnelle aux alouettes. Sans transition, Destoroyah.
Bonbons à la peau d’orange pourrie. Mina aime les délices japonais.

Si je bande ?
Affirmatif
Pour qui ça ?
Pour des putes… ?
Affirmatif
Et qui d’autre ?
Brunes, blondes…
Affirmatif !
Des rouquines…
| oui on peut changer on peut évoluer on ne peut pas savoir ce qui va advenir ![]() pile |
oui on peut changer on peut évoluer on ne peut pas savoir ce qui va advenir ![]() face |
Sibérie 1984
On marche dans la neige, Nicolaï devant, moi au milieu, lent à cause de la blessure-barbelée-jambe et Grishka me soutient pour me permettre d’avancer. Loin derrière nous, les chiens du camp hurlent et ne rêvent que de nous déchiqueter. Moi, coup de genou à Grishka, écraser son visage dans la neige, le regarder souffrir, frapper encore, le sang-jaillir rouge sur le blanc. Nicolaï, interrogatif, moi très persuasif, chiens furieux. Grishka servir de piknik dis-je, lui pleurer mais d’accord. Continuer à deux, abandonner Grishka…
Et nos amours, préraphaélites. t.co/HO0Mv6QldB
Ce qui est, est réel.
Je t’€{45* !
La honte – numéro 16
Take me out tonight
Where theres music and theres people
And theyre young and alive
Driving in your car
I never never want to go home
Because I havent got one
Anymore
Take me out tonight
Because I want to see people and i
Want to see life
Driving in your car
Oh, please dont drop me home
Because its not my home, its their
Home, and Im welcome no more
And if a double-decker bus
Crashes into us
To die by your side
Is such a heavenly way to die
And if a ten-ton truck
Kills the both of us
To die by your side
Well, the pleasure – the privilege is mine
Take me out tonight
Take me anywhere, I dont care
I dont care, I dont care
And in the darkened underpass
I thought oh god, my chance has come at last
(but then a strange fear gripped me and i
Just couldnt ask)
Take me out tonight
Oh, take me anywhere, I dont care
I dont care, I dont care
Driving in your car
I never never want to go home
Because I havent got one, da …
Oh, I havent got one
And if a double-decker bus
Crashes into us
To die by your side
Is such a heavenly way to die
And if a ten-ton truck
Kills the both of us
To die by your side
Well, the pleasure – the privilege is mine
Oh, there is a light and it never goes out
There is a light and it never goes out
poster des paroles de chanson, pt’ain c’te honte
p’tain, c’est lundi, faut bien survivre un jour
de plus, p’tain, c’est lundi, je t’aime, p’tain
tu dors…
Le mardi c’est pour la vie.
alors là je suis largué :
d’habitude je vous raconte ma vie et mes aventures sans rien vous dissimuler à vous fidèles lecteurs mais aujourd’hui vraiment je ne me sens pas de le courage de le faire. pas envie de parler de mes experiences interlopes de la nuit passée, de ces fillettes et de ces petits garçons hongrois qui fouettent sans se lasser les fesses municipales. non vraiment, je n’ai pas le coeur à en parler. je vais vous écrire une petite fiction en Ré mineur. fiction : alors là je suis largué : |
There’ll be a war tonight.
Et cette nuit, le cheval pâle.
Natacha ouvre la porte et un dub puissant tout en basses m’assaille (massaï ?), je la laisse me précéder dans la petite pièce enfumée abusivement appelée « club » par les habitués dont je ne suis pas… Je me souviens d’une phrase de papy Bill Gibson : « la technologie ne devient intéressante que lorsqu’elle descend dans la rue et est ainsi détournée « . Je feuillette un bouquin de cul/mode. Il fait très chaud. Natacha fait une photo. Trop de lumière. Je m’endors.
On me le demande, souvent, alors je le dis à tout le monde, une nouvelle fois, je ne suis pas Babu, le héros, mort, du métro Crimée.
Celui qui kérave, il sait.
To ℱℴℓℓℴω or not to ℱℴℓℓℴω ?
Dans le lointain, les villas en flamme. Sur la terrasse de l’hôtel, Mina, Igor, se resservent en pastis et allument la piscine de pétrole.
Où est ma fourche numéro deux ?
Carver couvert(e) de cendre termine sa première pellicule 24 poses. Fujichrome Sensia 200 avec son vieux Nikon N8008s et Nikkor 50mm f/1.8.
Bang bang (My Baby Shot Me Down)
I was five and he were six
We rode on horses made of sticks
he wore black and i wore white
he would always win the fight
Bang bang, he shot me down
Bang bang, I hit the ground
Bang bang, that awful sound
Bang bang, my baby shot me down
Seasons came and changed the time
when I grew up, I called him mine
he would always laugh and say
Remember when we used to play
Bang bang, I shot you down
Bang bang, you hit the ground
Bang bang, that awful sound
Bang bang, I used to shoot you down
Music played and all people sang
Just for me the church bells rang
Now he’s gone I don’t know why
untill these days Sometimes I cry
he didn’t even say goodbye
he didn’t take the time to lie
Bang bang, he shot me down
Bang bang, I hit the ground
Bang bang, that awful sound
Bang bang, my baby shot me down
Autant être à l’aise.
non-performance : les dessous d’une histoire de fric
d’après des sources bien informées ( m6 capital ), on nous apprend que le neo-situationniste N. et plus si affinités aurait été payé par le combinat d’interêts concomitant « Suze-Casannis » pour fomenter ce qu’ il est convenu d’appeller un coup de pub.
En effet les marques d’apéritifs dégueulasses que sont Suze et Casannis cherchent à reprendre des parts de marché dans ce qu’il est convenu d’appeller le « marché jeune ».
Cette tactique bien qu’éprouvée par de nombreuses années ne prendra pas, dites le vous bien m. N. ! Dans ce qu’il est convenu d’appeller la jeunesse neo liberale, ça ne prendra pas…
L’Art et a fortiori ce qu’il est convenu d’appeller le bon goût de l’élite de la nation ne doit pas etre mis au rabais à des fins mercantiles.
NO SUZE !!! dites le vous bien et avec des points d’exclamations encore !!!! (voilà qui est fait)
Terrorisme à base d’explosion de ventre.
Messagerie « 666 » Free: le 17/02 à 18:06, ce correspondant a appelé 1 fois sur votre mobile sans laisser de message
Man i was rollin so hard off those skittlez.
Igor ignorait la peur et les fourmis tueuses. Mina pensive l’imite. twitpic.com/1qox86















