Doucement. L’aube.
Carver se trouvait de plus en plus de ressemblance avec Charles Bovary : « Charles c’est moi ! »
non-fiction
réveil compliqué, chambre d’hôtel
dehors le clapotis de la piscine
les mouches sur les restes de pizza
bouteilles de Jack, Coca light,
se traîner jusqu’à la salle d’eau
je sens fort sous les bras
il fait tellement tellement chaud
Caroline dort encore, canaille
petit sourire à mon visage défait
la glace ne me rend qu’une grimace
douche bienfaisante, retour chambre
encore trempé, sortir l’ordinateur
connection, mail puis w.bloggar
C. s’agite, me sourit,
affection en retour, apaisante
elle referme les yeux
appeler la réception :
coffee and cigarettes
il fait si chaud, Acapulco
« Est-ce qu’un nager sait canard ? » que j’dis. Pour toute réponse, Alfred me repousse d’une pelle boueuse vers la fosse. #joyce #canard #alfy
Sérotonine bas niveau.
Oracle, pourquoi as-tu écrit « Le Poids de la sauterelle » ? Que sommes-nous censés apprendre ?
« Paris est sans doute le point le plus éloigné du paradis mais c’est le seul endroit où il fait bon désespérer. » Cioran ?
Everybody comes to Hollywood
They wanna make it in the neighborhood
They like the smell of it in Hollywood
How could it hurt you when it looks so good
*tousse*
Difficile début. Fracassé par l’épilepsie. Acheter les médicaments en catastrophe. Attendre que ça fasse effet le cerveau en marmelade.
En vrai, c’était drôle. Mais chelou.
Mercredi matin. Lipstick pour tous. Les miliciens sont sur les nerfs. Dans le ciel, le noir léviathan, somnambule. Carver et Igor, au lit.
Grenouille. tourgueniev.com/2003/08/18/1125
Une fille enlève son piercing et l’offre à Igor avant de s’en aller en souriant. Mina rigole et offre son pucelage à Carver qui. Tradition.
En Inde on avait demandé à Igor de frapper une carpe sur la tête afin de déterminer l’ordre de succession d’une famille trop nombreuse.
j’aime arriver
à l’improviste
chez toi
un peu bourré
me faire peur
te faire peur
rires nocturnes
et finalement
m’endormir
heureux
à tes cotés
insouciant
Have no fear Doc Savage is here !
Maintenant c’est certain, nous sommes un site PORNO !!
Sortant de scène, tu m’embrasses furtivement, Igor nous sourit, Carver ouvre le coffre, je m’extirpe par la fenêtre des toilettes, il neige.
Et derrière la porte, un mur.
Collectionner les oreilles, c’est vraiment une idée à la con.
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Raconter une histoire, ça peut commencer par un « il était une fois » ou par un truc plus anodin genre « il marchait déjà depuis une heure dans ce putain de désert jaune ». Forcement, ça n’implique pas les mêmes choses pour la suite. Dans le premier cas on attend un truc du genre « dans un pays très lointain », dans le deuxième cas plus un truc genre « et les fils de putes qui l’avaient lâché ici ne perdaient rien pour attendre ». Raconter une histoire, c’est tout un tas de décisions plus ou moins importantes pour la suite, sur les mots à choisir, sur les personnages, les lieux, les actions, l’existence même de personnages, de lieux et d’actions, la pertinence de la notion temporelle et la force de l’entropie sur l’idée originelle. Raconter une histoire tendre, c’est aller contre la paranoïa, les griffures de la vie, les cicatrices et toujours rechercher cette petite ligne si douce qui glisse partant de la hanche vers le pubis. Raconter une histoire, c’est faire acte de foi, de contrition, se blottir contre une idée, la choyer. Raconter une histoire, ça peut se faire en se regardant dans les yeux, doucement. Raconter une histoire, ça peut ne pas réussir, ça peut ne mener à rien, ça peut être un échec. Raconter une histoire…
Enfin plus ou moins. #patrimoine
50 minutes avant sa mort, on aperçut Igor en train de trafiquer les munitions du peloton d’exécution. Quelques années plus tard, la Sicile.
Igor, ce Stade de France.
Ouch ma tête.
Sur la plage ce matin, gisement de bauxite foulé au pied, Vaudou samedi soir, les loas me conseillent de voyager de nuit. #loas #Paramaribo
Et le vieux boxeur de décider de jeter les gants avant la troisième reprise afin d’épargner ses enfants des patriotes satanistes péruviens.
Pas vrai, mec ?
Et dans le salon déserté, une petite voix, sortant d’un casque, posé au sol. Par la fenêtre, les dirigeables noirs. t.co/d7Nz5d7r
Please do not reply to this message; it was sent from an unmonitored email address. This message is a service email. #hell
Achetez les reproductions des autographes. Parfaitement, les faits sont révélés par des bouches grotesques. Tu en es sûr ?

je vais te chanter une chanson :
la lala lalala la lala
et te la rechanter aussi souvent que possible.
puis on va se poser, là dans le coin de la pièce et écrire nos noms
dans la buée. je vais ouvrir les yeux à ces mômes.
leur montrer la vraie vie.
mettre leurs photos dans les journaux.
un môme de plus
ou de moins.
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tourgueniev ce héros
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je peux t’écrire une petite histoire :
c’est Igor qui danse seul sur la piste éteinte.
c’est Igor qui possède plus d’une voix.
c’est Igor qui t’ignore et toi qui le veux.
enfin :
si tu veux porter un T-Shirt
« Igor je t’aime »
tu dois le fabriquer.
et encore :
oui, et c’est une bonne idée.
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tourgueniev ce héros
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On va manger un horrible oiseau demain. Les lumières (les fleurs) sont belles, clignotent et les tables sino-nippones sourient, drôles. Au bout du monde tu passes pour moi des disques d’Amour. Dehors, il fait tout blanc, enfin. Tes mots me gardent à l’abri du vent. J’écoute Daho. |
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Le mystérieux salon jaune du dirigeable rebelle : Loulou et Mina, victorieuses, se partagent les restes de l’utopie bourguignonne. Au poker.
Mi-nuit au pôle Nord
L’Italia semble avoir fait naufrage lors de son retour, au large des îles formant l’archipel du Spitzberg, dans la partie la plus avancée vers le Nord. La catastrophe aurait été causée par la chute de la nacelle avant, à la suite de la rupture de ses câbles de suspension. Il n’y a là rien de surprenant. On sait que la condensation de l’humidité de l’atmosphère, dans les régions arctiques, forme une couche de glace sur les aérostats. Cette surcharge considérable sur l’enveloppe et sur les nacelles du dirigeable a dû provoquer la rupture des câbles. L’enveloppe et la nacelle arrière, désemparées, sont allées s’abattre vers l’Est, à plusieurs kilomètres du premier point de chute. La plus grande partie de l’équipage, dont son commandant, Igor Tourgueniev, est tombée avec la nacelle avant, sans trop de dommages, paraît-il ; avec eux se trouve le poste radiographique demeuré indemne. C’est par ce poste qu’on a pu conserver le contact avec les naufragés. Ceux-ci, depuis la catastrophe, sont donc divisés en plusieurs groupes. Trois hommes du groupe Tourgueniev sont partis au devant des secours organisés aussitôt de divers côtés. Mais il ne faut pas oublier les difficultés de la tâche. Les naufragés se trouvent en perdition sur des banquises flottantes que transportent lentement le vent et le courant. Leur position n’est jamais fixe. Par ailleurs, les bateaux les plus robustes ne peuvent avancer sur une mer encombrée de glaces à la dérive. Enfin, les traîneaux tirés par des chiens ne peuvent franchir les innombrables canaux qui séparent, l’une de l’autre, les banquises. Il semble que ce sont des avions qui peuvent le plus aisément ravitailler les naufragés de l’Italia, ramener vers le Sud les blessés et les malades et permettre aux derniers rescapés d’attendre le sauvetage définitif.

ici la campagne
le chat se cache
dans la cheminée
il fait plus que chaud
plein soleil, avec
olivier, antoine et mum…
je vais me poser
me reposer
et attendre paisiblement
l’arrivée de mon Amour
si loin des yeux
mais tellement
dans mon coeur.
ok, c’est mièvre
mais bon.
Mina, Igor, se refusent à tout commentaire. Carver, sous la camionnette, bricole. L’homme à la tête de chat coordonne les opérations. Pause.

arrghhh
dure réalité de la nuit
si tu bois trop
tu finis par terre
(surtout ventre vide)
l’open bar à l’île en chantier
hier soir
m’a littéralement explosé en vol
désolé pour les témoins
et les victimes de mes
débordements et autres
abordages
en esperant que les photos
si elles existent
ne soient jamais publiées
seule consolation
j’étais au lit à minuit
bises
Abstract : Tourguenism is/is not a potato gun
Écriture numérique c’est quand on écrit en binaire pas avec un stylo ?
Les personnes réelles sont faciles à reconnaître. Elles clignotent.
le récitant : Faire l’amour en Corée du Nord, jouer aux indiens sur la glace et croire en la lutte des classes…
Plutôt que de bivouaquer en la Cathédrale du Prolétariat, nous avions chevauché jusque dans les ruines de Versailles. t.co/FLGRbZ41
Grishka : « Igor, même l’Agent Airhole ne te sauvera pas de mes griffes de maboul psychopatate… »
Et nos amis, ignorants, se perdent dans le marécage corrézien. On ne retrouvera personne. Un verre à leur santé. La nuit.
Sur la plage, Mina enterre Carver. Le moment est plutôt solennel. Igor, nu, fredonne l’Internationale. Avant la Grande Vague, douze minutes.
… clairement mon livre papier est déjà presque sec et une liseuse, ben… Pour une fois, avantage papier !
DESTOROYAH !
Ainsi m’étais-je dit, mais avant que neuf heures du soir aient sonné, je me trouvais sous le vieux chêne. #ios4
Et Igor de bondir dans l’action. Et le train d’exploser. Et Mina de conclure la paix. Et Carver de soigner son alcoolisme mondain. Et…
Dans l’Ahunavaiti Gatha, Zarathoustra accuse en effet certains de ses coreligionnaires d’abuser de la vache. Le Dieu Ahura Mazda demande à Zarathoustra de protéger les bovins.
Des fez d’ange à damner un sein. Igor Tourgueniev rencontre Princesse Sarah à Istanbul. Mina conduit le taxi dans les petites rues du souk.
Dans Cocktail, Tom Cruise est barman et poète.
Destination finale : « Elle meurt dans un accident de voiture après avoir échappé au crash de l’Airbus A330. » tinyurl.com/hadopilote
Carver cultivait ses rondeurs avec affection. Une robe de soirée ou son costume de geek sous les bombardements et les faire exploser. Joie.
Chernogorsk. Passage à l’église, puis je trouve une petite Winchester au supermarché, tranquille, et là, fatalement, une balle dans la tète.
Les humains ne peuvent pas distinguer les personnes saines des personnes atteintes d’aliénation mentale dans les hôpitaux psychiatriques ?
Fumazu finit par rendre les armes.
Il n’est pas toujours évident pour un serpent de retrouver la carte choisie par un spectateur !
Heureusement Aldo n’est pas un serpent comme les autres.
Apprivoisé par Don Jose, il est capable, s’il le veut bien, de réaliser des prouesses.
Surprises et éclats de rire garantis.
Aldo, quelle classe !
Dans le parc, les jeunes faisaient du skate, attrapaient des bestioles, s’aimaient. Les combinaisons protectrices intégrales étaient cools.
Suis moi chez le vieux. Tout le reste est mensonge. L’homme à la tête de chat, décapité, hoche la tête trois fois, roule sur le sol nu, net.
Montpalach – Note 5
Orages…
Merci @dactylo Kisses !
Ô Mélibée, un Dieu nous a donné cette oisiveté.
Igor et Carver installent de nouvelles défenses terrestres, protéger ainsi les pourparlers de paix, ivres. t.co/bzfz7JPX
Bon, la nuit, la basse est lourde, on marche vers un sourire énigmatique.
Et un hommage à un vieux copain fidèle : t.co/7BOMrwr
R
Dehors les bombes et le feu. Dedans le froid et la désolation. Et le vieux chef indien sur le canapé en velour noir me fixe, larmes de sang.
Réussir une photo, portrait, une commande de l’Académie, du Général, ça demande une lumière, une tension, un cérémonial et un lieu propice.
Mina (s’)emballe. Le chauve sourit. Carver passe des disques et, ivre, l’homme à la tête de chat ronronne sous les caresses.
Brochette d’œil de renard.
Corps bronzés au bord de la piscine, réprimer une érection, penser famine, penser génocide, ça marche en général. S’approcher du bord, discret, ne pas afficher sa minceur de manière trop ostentatoire. Je fais la moitié de la largeur de ce mec allongé à droite, le quart de cet autre qui fait des pompes devant la haie : gringalet… En plus je suis si blanc que ça fait peine à voir. Je sors de l’ombre, une fille pouffe en m’apercevant, ses copines s’esclaffent, un type visqueux me montre du doigt. Nonchalamment je laisse tomber ma serviette. La première balle m’éclate les tympans, l’épaule et la mâchoire du gros connard près de la haie. Je soutiens mon bras ballant avec mon autre main, les anti-douleurs font merveilles. Une autre balle pour la meuf qui pouffe, sa tète éclabousse les pétasses siliconés. Les morceaux de son crâne explosent en petits bouts mortels tout autour d’elle. Ces crétins pleins de coke n’ont même pas encore compris qu’il se passait quelque chose, enfin… Là, j’enchaîne deux types, trois minettes peroxydés, puis un autre mec en train de se relever. C’est assez drôle de voir qu’on peut vraiment en shooter deux avec une balle si on a du pot… Les abords de la piscine sont un peu dégueus, je crêve deux nageurs et leurs matelas gonflables. Plus rien ne bouge vraiment, certains gémissent en cherchant un morceau ou en attendant de crever, d’autres se cachent derrière des transats ou leur serviette. Je fais le tour de la piscine en rechargeant. Pas facile, ma main droite n’est presque plus sensible… Je suis assez vulnérable quand je recharge, mais aucun de ces imbéciles n’y pense… Un par un je les éclate sur le dallage en marbre. Je souffle… Mes jambes m’abandonnent et je glisse sur une matière blanche et spongieuse. Je suis à terre. Je lève le canon vers ma bouche. Les sirènes au loin…
Après des années d’enquête on a trouvé la coupable, c’est @caroline_hazard ! – t.co/UGHVnmE
Encore une fois, saoule, je pèse mes mots, tu hantes la cuisine, saoule comme une chienne alimentaire, hanter une cuisine, drôle d’endroit pour une rencontre, ta tête et le mur, déjà saoule, saoule comme un plombier polonais, tu râpes ta joue contre le béton rêche, drôle d’idée, le béton et la chair, oui drôle d’idée de boire autant à ton age, hanter la cuisine la tête la première, froti-frota, la chair, le béton, la chair, le sang, la chair, le béton, un crissement et l’os, l’os ivoire contre le mur gris et typique papier de verre et toi saoule comme un truc déjà mort mais aviné, tu hurles, scritch scritch scritch, et moi je n’y pense plus, quelle idée de conduire bourrée au milieu de la cuisine et sans ta ceinture, sotte sotte petite fille sotte.
Le tourguenisme avance, ou pas : bit.ly/d9Kqs
#chauve #rasoir #militaire #pizza #hadopi #obama #☭☭☭
Je vais te bouffer le coeur n’est pas la meilleure phrase d’introduction quand on cherche un boulot dans le baby-sitting non sataniste.
A4 – elle a coulé mon chalutier. On se demandera pourquoi les chants de Noël des plutoniens sont si tristes pour un peuple si gai, pourtant.
order # 2612
fpc fortuitous alligator weiss pyhrric belly chinese media dignitary carcass
infantile gubernatorial operand cushman downbeat mimicking hester loretta
conic every miscellaneous anyhow winnipesaukee.
un peu de fraîcheur mortelle : troudair.free.fr/underwater.html from @troudair ce héros
Il pourrait s’agir d’un dangereux terroriste.
L’homme à la tête de chat saute au dessus du feu et, intronisé membre, propose à la tribu sa pratique libertaire de l’astronomie hivernale.
je m’interdis d’écrire des textes comme ça
—————————————–
mon amour vient de partir et je tente de bosser :
ça marche pas mal, finalement, même si je poste,
le soleil m’abreuve par reflet sur l’hôtel des impôts
et c’est mieux que rien. légère faiblesse physique,
aucune envie de traverser Paris, d’aller à Neuilly,
même si je devrais. dans le parking une grosse
voiture argentée, un chef indien me fixe depuis
le siège arrière, j’évite son regard. sur la moquette
oneko somnole sur les vieux mégots de la poubelle
renversée. la bouteille de Blackjack est presque
terminée et Bjork me chante « venus as a boy ».
—————————————–
je m’interdis d’écrire des textes comme ça
7 ans, 2523 jours…
Depuis 7 ans, depuis 2523 jours non-stop l’union des etudiants juifs de france poursuit COSTES en justice.
Costes sera pour la cinquieme fois devant les juges jeudi 18 décembre à 13h30 palais de justice de Paris
-> métro cité 11eme chambre criminelle de la cour d’appel (face à l’escalier d’entrée, 1er étage)
Moi j’ai besoin d’amour
Des bisous, des câlins
J’en veux tous les jours
J’suis comme ça
Mon coeur est à la fête
Lorsque tu me prends dans tes bras
Ca me suffit, je suis heureuse comme ça
Un p’tit signe de la tête
Des p’tits clins d’oeil par ci par là
Ca prouve que tu penses à moi
Pullule comme le criquet, pullule comme la sauterelle. tourgueniev.com/2005/08/11/3865
Mina regarde le feu. Elle pense à une chanson folklorique du vieux millénaire. Burn the disco. Hang the Dj. Ses mains se posent sur les grenades customisées, rouge, noire et paillettes, évidemment. Les nazis sortent en hurlant, nus. Igor rigole. Mina plisse les yeux. Explosions.
mes ongles se pressent contre tes paumes
mes doigts suivent les lignes de ton dos
mes levres s’attardent sur les courbes de tes hanches
je détache les fines lanières qui te tiennent encore
tu soupires d’aise ou
n’est ce que l’abandon à la rigidité
post mortem
Maintenant je suis vieux, et j’attends juste le sommeil en nettoyant le vieux fusil de papa. Tu me manques. Les bouts de verre, aussi.








