Quels beaux projets nocturnes. t.co/5TTHNaZr
L’utopie anarchiste bordelaise se termine brusquement, un mardi. Quelques explosions, une épidémie soudaine, l’avènement du dictateur ivre.
6320182334 infectés.
Certainement pas.
La petite lucie ne peut plus dormir sans rêver. Disons, sans se souvenir de ses songes. Dans cette histoire elle dort dans son lit et dans son sommeil, ils la visitent. Elle se réveille brusquement, mais peut-être qu’elle dort encore et ils sont là, ils s’approchent un par un de son petit lit bleu, ils sont grands et émaciés, pâles aussi. Ils portent de longs manteaux de diverses couleurs pastel. Ils lui sifflent des mots en « ui » comme « cuir » ou « luire » ou « fuir » mais à l’orientale et ça donne « couire », « louire » ou encore « fouire ». Elle gémit, tout semble perdu. Pourtant.
Les larmes du pompier Fernand
Pièce en une scène à deux personnages au minimum
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Fernand : un pompier, naif
Marie : la petite amie de Fernand
Ferdinand : le frêre de Fernand, riche
Freddy : le prof de yoga de Ferdinand, baba
Falbala : la copine d’Obélix
Idefix : un chien
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Acte I – Scène 1
F. traverse la scène
F : Je cherche un feu..
Entrent F. et M.
M : Oh, F. comme je t’aime !
Entrent I. et F.
I : waf waf !
F : Oooooooom…
F : M. tu aimes ma nouvelle voiture rouge ?
M : Oh, F. comme je t’aime !
F : Et mon gros camion, tu l’aimes ?
M : Oh !
F : Je cherche un feu…
F : Et ma grande échelle, tu l’aimes ?
I : waf waf !
I. sort
un coup de feu et des jappements
F. entre avec un fusil et le cadavre de F.
F : J’aime pas qu’on touche aux arbres
F : Là je te rejoins complètement
M : Mais elle est morte
F et F en choeurs : NON, NON, ELLE N’EST PAS MORTE !!
M : Ah.
F : Que voilà une belle voiture rouge !
F : Merci…
F : Non je parlais de F. pas de toi…
M : J’avais compris
F : Ooooooom !
F épaule le fusil et tire
F : Arrrgh
F : ça t’apprendra à toucher à mon camion rouge.
F : Oooooooom
M : Il est bizarre le prof de yoga
F : Oui.
M : Oh, F. comme je t’aime !
F : Je sais.
Le rideau tombe, plusieurs coups de fusil, F sort de sous le rideau et se met à tirer sur le public en riant.
F : Je cherche un feu !
F retourne le fusil contre lui et se fait sauter la tète.
Il y a un homme sans tête au milieu du salon. Un colonel.
On a construit une piscine à bulles sur le toit de l’hôtel. En déplaçant le cimetière. Mauvais karma à la baignade, mais belle vue sur Rome.
Aujourd’hui on va travailler sur le concept d’être ou de ne pas être une personne extraordinaire. t.co/MhUO3Lq9
Back to the roots : Saint-Denis.
La nuit va être longue.
Au camp on continuait à ne se fier qu’aux apparences, surtout trompeuses. Ça sauvait des vies et du carbone. tetedampoule.com/roue/
Voyez vous-même.
j’ai faim – sur un blog.
Minuit où j’ai vaincu mon banal rabin du midi français.
Kaboul disco.
Igor et Mina se tenaient au bord du gouffre, un parachute pour deux, les hordes fanatiques en approche. Un regard, le grand plongeon, enfin.
Un gang de pyromanes se croit au paradis/Il y a le feu partout c’est la fête des fous/Il y a le feu partout viv’ le feu viv’ les fous. #béru
Brulez en enfer ! #FF
Scott Pilgrim volume 1 & 2 #lecturedusoir
Ils jouaient au poker menteur dans le noir.
L’Australie l’autre pays du fromage.
Et Igor de se laisser glisser lentement dans l’eau glacée. Au fond de l’eau, l’entrée du tunnel. Et les requins bleus atomiques consanguins.
Igor demande à Mina une nouvelle ceinture de munitions. Être l’homme de paille de Carver, c’est plutôt épique. Ne pas flancher. Non.
Jou m’appelle Igor, Carver ou Mina et jou sommes des personnages de fiction. Eh bien ! Hal’, quelle heure se fait-il, mon garçon ?
Le chat a son antipuce, Alice sa mention, Igor besoin d’un dentiste, le pôle emploi d’un cv et twitter d’un patch d’urgence.
Le matin.
Nicolaï utilisait en général un calibre 45 pour répondre aux solicitations des supporters serbes. #Vérité ou jeux ? bit.ly/bHQxq
Par la fenêtre je peux voir les flammes et les pompiers impuissants. Je me contente de pleurer, pour les arbres.
Et le matin.
Igor, Mina, Carver, sur le toit, terminaient les derniers flacons de vodka malienne. Dans la plaine, les cadavres de dirigeables. Nostalgie.
Les punks belges portaient leurs vélos sur une sorte de membrane imperméable posée sur leur sourcil gauche épilé. Ça sentait la mort. #ipad
Nos vélos, le dimanche, pour l’hippodrome, Carver en tête, moi peloton. Souriante, dangereuse, fatale, nous f… ♫ blip.fm/~98z86
Et comme toujours, tout ou presque sera invisible.
L’Empire n’a jamais pris fin. La Police du karma patrouille, tricycle rotatif urbain mutant inox ionisé à pédales quantiques datées 1984 !!!
Igor sentait bien que la brume avait avalé son inspiration matinale. Mina pensait donc à l’achever, à la hache. t.co/y3zi0QdM
Monsters to suit every taste !
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Bon, bon, je suis de retour, on me croyait mort ou à Londres ou les deux. Pratiquant sexualité avec mannequin dans jet set et privé. Gourou pôle sud pour petits ouistitis. Vivant amour sauvage avec jeune homme alexandrin ou jeune fille et badge indicateur de radioactivité sur île déserte et monoxyde de carbone. Bon, bon, je suis de retour mais pas de quoi pavoiser, pas de quoi rire ou se moquer de ma désertion, non pas de quoi, il ne faut pas, non. Vous ne savez pas ce que j’ai vécu, à faire avancer le tourguenisme sans cesse, petit à petit, poussant ses concepts jusqu’au clinamen, l’entropie, tu vois ? Faut arrêter de branler les poutrelles si on veut que le tourguenisme se bouge le cul (qu’il a fort joli) parce que dans son genre il est souvent lourdement pesant (même s’il est bien joli). Alors moi je me suis dit qu’il fallait que je fasse tout le sale boulot, j’ai rangé mes lunettes de soleil et mon caleçon sexy, fait vœu de silence et brandit sur les places de marché de petits tracts roses couverts de petites luges. Et ça a finit par payer, alors je suis de retour et ça n’est pas forcément une bonne nouvelle.
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Je vais trouver. Le sommeil. Sans doute. La nuit. Badaboum.
Je suis la météo et je suis un personnage de fiction.
Après son exécution, sa tête fut préservée dans un bocal par des scientifiques afin d’examiner la structure de son cerveau. #xfactor
Les fugitifs souvenirs matinaux me permettent de saisir. Les inutiles questions siciliennes sont à bannir. Je peux sentir le vent, la fin.
Jeudi soir
Pas le temps de poster sur mon blog, c’est novembre et il pleut alors merde quoi alors je vais passer à la tévé pour ne pas sortir trop longtemps de la grille de programme TPS. Je me change pour la troisième fois de la journée, et mes chaussettes sont bleues. Je suis l’ami de plusieurs stars de la musique française et de michel sardou. Je vais passer dans l’emission de stéphane bern qui est l’ami de mon frêre. Il est sympa quand même. c’est novembre et il pleut, bizarre pour un jeudi alors je décide de ne plus poster tout les jours pour ne rien dire et voilà. Grâce aux dieux ! Mon malheur passe mon espérance ! Oui, je te loue, ô ciel, de ta persévérance. Appliqué sans relâche au soin de me punir, au comble des douleurs tu m’as fait parvenir. Ta haine a pris plaisir à former ma misère; j’étais né pour servir d’exemple à ta colère, pour être du malheur un modèle accompli. C’est novembre…
Enfin c’est dimanche matin. Dehors c’est la fin du monde et tous les chats sont gris. Mina décroche son fusil à illusions perdues. Méfiance.
Tu ris parce que ça te semble ridicule.
Montrez vos seins si vous aimez les wookies !
Suite aux accrochages répétés avec les protestants chinois, Igor et ses compagnons de galère ne vivaient plus que de l’air, vicié, du temps.
le récitant : et dansent les caniches…
le récitant : I don’t wanna be like everybody else, that’s why I’m a mod, see?
Et on m’écrase une cigarette sur la poitrine. Je reste cool.
En 1989, j’étais au lycée au Kremlin-Bicêtre. Je jouais à AD&D, roulais en 41v Motobécane. On était les pestiférés, les nuls. #hell
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Ce matin, le marais autour de La Maison, je suis allongé dans l’herbe humide avec toi. Tu me souris. La vieille demeure semble pour une fois accueillante. Des bruits d’eau, je me sens renaître, enfin. Les rues en pente nous mènent à de charmants jardins où la fraicheur nous accueille et nous entoure de toute son attention et de toute son affection. Ta main dans ma main, je suis là, de nouveau vivant, mes folies et mes égarements se dissipent ne me laissant plus qu’une évidence : toi. Merci. |
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Enter the Dragon. Mina, Igor, Carver, l’homme à la tête de chat, vous souhaitent une année 2012 bien chargée en Mana. t.co/K4G6DqRX
Les gens pensent que je suis parti en vacances cet été, mais en fait j’étais perdu dans les égouts.
Je vais prendre une lame crantée
en forme de spirale et découper en demi-cercles
des incisions le long de la gorge et sous la poitrine.
Puis je vais extraire le parasite en essayant si possible
de ne pas provoquer la mort de la patiente
Je serai sûrement obliger d’utiliser la scie à métaux
trouvée dans la cave afin de faire mon chemin dans
la poitrine.
Si le parasite est trop gros, je vais le limer, le gratter,
le frotter afin de réduire sa masse.
J’ai posé des linges au sol pour essayer d’épargner la moquette
de mon bureau mais je pense que cela sera insuffisant.
La patiente bouge beaucoup mais elle est fortement attachée.
Elle parle aussi beaucoup malgré les coups au visage portés
afin de l’assommer convenablement :
Le petit marteau repose au sol,
dans les éclats de dents et la pulpe gingivale.
La chaleur est étouffante et j’ai du retirer tout
mes vêtements afin de mieux opérer.
La patiente semble s’étouffer à cause du sang qui coule
dans sa bouche, c’est drôle, elle gargouille.
C’est mystérieux, mais à l’intérieur,
il n’y a pas de parasite, juste une longue saucisse
fumante et nauséabonde et deux ou trois organes
qui gigotent assez grotesquement.
L’Avant P.A.R.I.S d’Igor…
« Assis à la table du fond depuis 18h avec quelques amis, Igor picole, morose et achève les dernières réserves de bière amassées pendant les happy hours.
A ses côtés ses compagnons se laissent aller mollement sur la table et rient distraitement aux blagues de chacun. Igor laisse son regard errer parmi les clients agglutinés autour de la table…
L’habituelle faune: suédois, américains, anglais des deux sexes, se pressant les uns contres les autres, quelques parisiens comme égarés.
Assis par terre, presque piétiné par la foule, un petit homme à manteau vert, en train de se faire une ligne de poudre rose avec une paille dorée. Un peu de temps passe…
Igor est de plus en plus embrouillé, ses amis sont partis, des gens assis autour de lui, les cafards de plus en plus près, de plus en plus gros.
Un ange passe, un homme immense à l’accent slave s’assoit à la droite de Igor, il sort une flûte de champagne de sa cape et la propose à la jeune fille rousse (Charlie ?) à sa droite.
Elle retrousse un peu sa jupe (on aperçoit le haut de ses bas), sourit à l’homme et accepte la flûte.
L’homme extrait à présent de sa cape une bouteille de champagne, un singe et d’autres coupes qu’il distribue alentours.
Igor en reçoit une et le petit gars en vert aussi, il est maintenant assis sur le genou gauche de Igor qui s’en aperçoit à peine.
Un ange passe, un coup de feu au bout du pub, une bousculade, le mort est vite déchiré par le public affamé.
Le petit homme vert continue à sniffer, une poudre jaune…
La table est pleine maintenant d’objets surgis de la cape du comte.
Sous la table un couple de nanas s’agite, la plus grande essayant de ligoter la plus petite (une finlandaise aux cheveux aile de corbeau… Charlie ?) avec la bretelle de son soutien-gorge à fleur…
L’absinthe coule à flot dans le pub, tout le monde a les pieds mouillés…
La fumée devient de plus en plus épaisse et bleue.
De sombres oiseaux et quelques cafards (plus de deux mètres d’envergure) volettent çà et là en heurtant le public aveuglé.
Igor dodeline de la tète, sa flûte est vide, il se penche et la remplit d’absinthe…
Deux grands allemands blonds en short debout sur le pub se fracassent la tète à coup de hache; voluptueusement les spectateurs trempent les tranches de l’énorme gâteau flottant, qui s’avance doucement vers la table de Igor, dans le sang qui gicle partout…
Igor, qui, justement, fouillant ses poches pour trouver des thunes à claquer tombe sur le petit pistolet noir à silencieux.
Une patte de cafard le heurte à l’oeil, il sort le flingue…
Charlie vient d’apparaître dans la fumée, elle a l’air un peu perdue et lasse, elle porte son habituelle robe blanche immaculé qui la rend si belle.
…
Bang ! Dans l’oeil du nain vert…
Bang et rebang ! Dans le front du comte et dans sa cape…
Bang pour un cafard !
…
Igor se lève et marche vers Charlie… Il explose la tète du barman d’un tir courbe en croissant de lune le long du plafond, vise un des allemands et le manque: plus de tète déjà.
Elle semble le reconnaître et lui fait un demi-sourire.
Un allemand (Grishka ?) tente de fendre le crâne à Igor qui esquive péniblement la hache qui le frappe. Le cadavre du nain sniffeur, accroché à sa jambe droite tente de le retenir…
Igor dégaine sa Gattling et mitraille à gauche, à droite, faisant exploser tètes, bras et idées noires.
Plus de munitions, il se débarasse de son arme sur le pied du gros allemand qui part en hurlant les chants de Maldoror.
Charlie dans les bras de Igor… Un ange passe, Igor le vise et l’abat avec son petit pistolet.
Igor entraîne sa compagne vers l’extérieur, en évitant table qui volent, cafards et lévriers ainsi que le public surexcité et les larmes aux yeux.
…
Dehors Nicolaï attend patiemment au volant de la Tourguy-mobile le retour de son frêre.
Déjà il arrose la façade du bâtiment de torpilles au napalm.
…
A l’intérieur la foule est en transe, hurlements, chants, danses, viols et meurtres gratuits se succèdent à un rythme frénétique, un seuil sur l’enfer est ouvert et les démons envahissent le pub; Bizarrement ils paraissent bien tristes et moroses dans l’ambiance pyrotechnique qui règne dans le pub.
A l’aide d’un grand fouet, Igor finit de se dégager un passage et atteint la sortie, là résolvant rapidement l’épreuve du sphinx, il surgit à l’extérieur avec Charlie à son bras.
Nicolaï achève de détruire le bâtiment à coup de missiles sol-sol pendant que nous entrons précipitamment dans la grosse voiture.
…
Je serre Charlie, elle essuie une larme et se pelotonne contre moi. La voiture prend de la vitesse et s’envole vers la base lunaire.«
Et pour tromper l’ennui. Pour définir les contours. Foutre la zone dans les plans de l’ennemi. Un concert de Queen. Wembley. Moustache.
Venez comme vous êtes » … tweetphoto.com/24406725
Et en plus il propose des chansons romantiques. La nuit. ctgr2.free.fr/netSongs/tommytommy-songs/TT04005.htm
To ℱℴℓℓℴω or not to ℱℴℓℓℴω ?
Old Long Johnson.
Je comprends mieux qui était la madame dans la baignoire de Howard maintenant.
helene par MSN : ça serait drole des films pornos clamant « les chattes les plus profondes d’europe »
Le grand dieu pan par delà le mur du sommeil, un remède contre le cancer. Entropy tango.
Tel Jeanne Dark, Igor robot-ménager a ses voix (de Rennes)…
Igor : Ouah la galère, mais j’suis motivé !
*frotte frotte aspire soupire*
Igor : humpf !
Les voix : Si le ciel est gris je reste au lit. Si le ciel est bleu je reste au pieu…
Igor : Quoi ?
*frotte frotte aspire soupire*
Les voix : Si le ciel est gris je reste au lit. Si le ciel est bleu je reste au pieu…
Igor : P’tain, sors de là Oneko, je sais qu’c’est toi…
Oneko (indigné) : Miaou !
*frotte frotte aspire soupire*
Les voix : Si le ciel est gris je reste au lit. Si le ciel est bleu je reste au pieu…
Igor (baille) : J’suis naze, moi, pas possible, p’tite sieste…
*ronflements et ronronnements*
…
Je suis dans le dongeon de Dame C.
On voit tout Paris et c’est bô.
Ca sent bon…
Si je savais ce qui est vrai, je lui raconterai.
Mais je crois que je ne peux pas me permettre de faire des oracles.
Je laisse ça aux devins et aux astrologues de TF1.
A la télé, on entend que le gouvernement cède sur tout.
Ils ont un mois pour convaincre, séduire.
C’est possible, ils ont la langue menuisière.
Moi je vais manger des pates.
Et ça, rien ne pourra m’en empécher.
—————
break
Un homme trainé dans la rue par un robot démineur.
Il est en vie.
Sa bombe n’a pas explosée totalement.
break-end
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On mange.
…
J’ai froid.
Pluie acide et radioactive sur Paris. Parapluie en plomb conseillé. Mina, Igor, observent la Seine, luminescente, déborder, noyer les rues.
On a dansé longuement, lovés, nus, les yeux dans les yeux, pudiquement attachés au bord de la nationale, pourrissants, mais amoureux. #fela
3 mars 1984 : Le recouvrement des droits et revenus des communautés rurales est assuré par des préposés dont le nombre est fixé par arrêté.
Où Igor, célibataire, prend la très mauvaise décision tactique de revoir Moulin Rouge le jour de la fête des amants. bit.ly/sv-mr-11
Igor : « à l’aide ! ». Carver : « un bras de bébé dans la buanderie ? ». Mina : « la règle numéro 34 ». L’homme à la tête de chat : « miaou… ».
Et si je dormais un peu…
Quand j’étais petite mes occupations étaient vaines et souvent plutôt égocentrées, ironique chaîne d’acide désoxyribonucléique sans doute.
Throw rope across, climb into boat, climb out of boat.
Igor, au volant de sa Dodge Veg-O-Matic neuve, ne se souciait vraiment pas du code de la route. A l’arrière, Poison, Cordelette, ivres, nus.
Et on se demandait vraiment si, après moult trahisons, on pouvait encore lui confier la garde de documents vitaux. t.co/H5vaBhwU
Un bon site web ça ne remplace pas la bonne vieille campagne de pub à base de néons géants sur un terrible dirigeable atomique supersonique.
J’ai envie de relire la Marque de Raspoutine.
28 minutes avant une souffrance vraiment insupportable.
La honte.
c’est l’aube : je me lève et rien n’a changé.
Publiquement ou secrètement d’inconnues amies me souhaitent bien du courage. Merci à vous, dans mon cœur, réchauffé, je vous porte.

Pour l’instant le combat est difficile
Et si l’on ne peut préjuger du vainqueur à l’heure actuelle.
On sait que tout les coups bas seront utilisés par l’adversaire
La difficulté restant une certaine empathie pour le maquisard
Et pour ses justes revendications révolutionnaires.
De justes revendications ? Quelles revendications ?
L’Internationnale au Bontempi ?
Guignol !
Pourquoi je dors pas. #zerozero
Livre une rude bataille pour dompter les inductions mondiales en furie. #zeitheist
Les outils du charcutier se trouvent en général suspendus à sa ceinture. Il peut ainsi les saisir facilement. C’est très important. #xfactor
To Doc. Troudair (tribute to Niki) :
« Plus de la moitié de la population mondiale vivra en 2032 dans des régions souffrant d’une pénurie d’eau, si les décisions politiques, économiques et sociales du globe sont laissées aux forces du marché »
C’est pas déjà le cas ? Que faire Doc. ?
Gatorade pour tout le monde ? Dessine-moi un mouton !
Et en face… C’est la côte anglaise. Mina enlève son pull. Sur le ferry, l’ambiance est vraiment pourrie. On balance les corps à la flotte.
Au village on gardait la virginité pour les grandes occasions. Collectionner les oreilles, c’était, à ce moment là, d’un coup, un peu vain.
Je sais pas si ma mère aurait aimé Miami… La japonaise habillée bleu électrique, c’est pas un mec? Je te tends 10 US DOLLARS et tu souris.
Je viens de passer 15 minutes à discuter avec un vieux compagnon, le fantôme du métro, le chef indien triste et sage, et sa coiffe à plumes.
Quès qui se passe ici ? … Il y a une bèt qui a trè mal ! … Elle é dan larmoir. Je mapel Igor é je sui genti.
Encore une séance photo : le vaisseau fait d’ongles d’hommes morts. Mon assistante veut une augmentation. Une prime, au moins.














