Tom, get your plane right on time. I know your part’ll go fine. Fly down to Mexico. Da-n-da-da-n-da-n-da-da and here I am, The only living boy in New York.
I get the news I need on the weather report. I can gather all the news I need on the weather report. Hey, I’ve got nothing to do today but smile. Da-n-da-da-n-da-da-n-da-da here I am The only living boy in New York
Half of the time we’re gone but we don’t know where, And we don’t know where.
Tom, get your plane right on time. I know you’ve been eager to fly now. Hey let your honesty shine, shine, shine Da-n-da-da-n-da-da-n-da-da Like it shines on me The only living boy in New York, The only living boy in New York.
Bon imaginons que, ce jour, je sois un peu différent d’hier… Un peu particulier, un peu pas comme d’habitude. Ca serait pas si mal, non ? Moi je trouve que si. Ton sourire. Encore !
délicieuse malice, regarde-moi dans les yeux, reste couchée sous moi, ne pointe pas sur mon ventre, ne mouille pas les draps, ton inexistence m’excite, chuut, reste clame, sois tranquille, regarde moi dans les yeux, ne vois-tu pas qu’ils se pâment de tomber sur toi, ne vois-tu pas qu’ils voudraient s’enfoncer dans ta gorge, attends, attends, ne bouge pas, reste là, sens-moi, respire-moi, toi tu sens bon, un peu la panique, j’aime ta sueur, aïe maintenant touche mon ventre, sans t’agiter juste comme ça ne bouge que la main etc
Biba (n° 273) devrait se modérer sur le name-dropping Tourgueniste (p 154), ce n’est pas parce qu’on cause de d’autofiction (p 44) et de blogs (p 140) qu’on peut nous faire faire (fair fair ?) n’importe quoi.
petite lucie aime à se promener dans les rues toute la semaine le lundi elle se promène le mardi elle se promène le mercredi elle se promène le jeudi elle se promène le vendredi elle se promène le samedi idem et le dimanche elle flotte dans le canal petite lucie ne se promène plus glouglou
parfois je frappe tellement fort cet ordinateur – le jeune homme remarque qu’on en parle jamais – que sa coque se déforme, alors je suis tout ennuyé et j’espere qu’il marchera encore, avant le prochain coup.
bon, j’ai inscrit ici le texte d’une chanson d’EDaho qui, je trouve, correspond bien à la vie que je mène / que je ne mène pas ces temps ci donc je le signale. mais, une question s’impose à moi : ——————————— Qui est Charleston Parva ? ———————————
mes noeuds internes commencent à se dénouer, j’entre dans le paradis cotonneux des gens responsables à moi le compte épargne logement protegez moi de l’inflation et du manque de projet,
notre père qui etes coté en bourse pardonnez moi car j’ai péché.
Je me réveille toujours avec le même mal de tête. Je cherche du regard l’heure qu’il peut être, et quand je la trouve, je ne veux pas y croire. Si tôt si tard, juste ces chiffres aléatoirement écrits sur mon réveil en lettres rouges qui percent le noir. Je ne sais pas si je dois y croire. Je connais mes autres heures, et je fais comme tout le monde, je fais en fonction, je conçois le temps qui me reste. Je ne suis jamais en retard. Les gens pensent que j’ai une horloge dans la tête, c’est faux pourtant, il y a peu de choses qui me sont aussi étrangères que ça. Le mal de tête met du temps à passer. D’abord je dois me lever, me laver, ne pas me lover, et manger. Boire mon café, et le mal de tête passe. Je sais ensuite tout le travail qui me reste à faire, je me résigne un peu, mais la vie m’inspire confiance. Je ne suis rien, c’est tout ce que je sais. Je ne suis rien, comme beaucoup de gens, mais ils se serrent entre eux, et ils ont l’impression d’être (le voisin de celui d’à côté) ; ils répètent cette phrase en boucle en omettant toujours ce qui est entre parenthèses. J’ai fait du mal à beaucoup de gens en refusant de leur parler, ce qui signifie que leur amour propre a senti mon passage. En réalité ils ont oublié qui je suis, mais les jours qui ont suivi nos rencontres, ils en ont fait beaucoup plus avec les autres. Ensuite, j’ai été proche de beaucoup de monde, mais je suis trop sensible, et comme je ne suis rien et que je ne fais pas semblant de ne pas le savoir, ils ont traversé mon corps et mon âme avec. Ça me peine, mais maintenant, je me réveille solitaire et me rendort pareil, je ne suis rien. En fait, ça me plaît parce que ça me laisse le droit d’être témoin de tout. Le cœur a battu si longtemps hier soir. Je vois quand même parfois, le soir, un autre rien que moi, et hier son cœur a battu longtemps sous ma main. C’était plus long, plus chaud, plus touchant.
Mais c’est Scarbo qui me mord au cou, et qui, pour cautériser ma blessure sanglante, y plonge son doigt de fer rougi à la fournaise! (Aloysius Bertrand)
La citation de ma journée – C’est fini, murmurai-je. Elle a tout gâché. Pourquoi? Quelque chose l’a piquée, elle a mieux aimé marcher sur moi que de marcher avec moi. Ma petite chaise au pied du mur, disons-nous bonjour, il va falloir tout de même que je déballe mes affaires, la valise est là au beau milieu, il n’y a pas d’essuie-mains. Witold Gombrowicz
en 1930 Heitor Villa -Lobos rentre au Brésil après avoir passé sept ans à Paris. Il écrit la première Bachiana Brasileira, dont le troisième mouvement est une fugue et s’appelle Conversa.
1ère voix: répétitions, reprises, éther. Des milliers d’oiseaux volent Qui tirent vers le haut les gorges profondes Qui installent la tension Musique de chauve souris De l’espoir d’un jour peut-être
2ème voix : plus jeune, noyée entre l’aîné (à la fois le premier et le dernier) et la cantatrice, accompagnement semi-obscur. chute d’une larme, course pour rattraper la première et lui met ses pieds dans les pieds. Ornement (sévérité de l’enfant) Voix adolescente Age nécessaire Apporte ses tourments (prémisse des tourments de l’âge mûr) – je m’y reconnais (je suis les pas de danse des plus savants que moi les transforme parce que moi je ne les sais pas les rajeunit et les aggrave à la fois.) se joint aux vols pour tisser le drame entre les graves. Ajoute la folie à la noblesse de la douleur se joint aux graves pour la mort
3ème voix : jeune grave, inflexion de la connaissance qui n’écrase pas. Voix entourée de velours et de soie. Crème et amour. Elle sait qu’elle va mourir. Elle chante discrètement mais on l’entend toujours parce qu’elle émeut (mon punctum). Elle peut se joindre à n’importe laquelle des autres elle a l’indifférence du regard elle avance elle est la première à désespérer dans son désespoir il y a encore la vie
4ème voix : noblesse on l’entend on l’attend elle fascine on en veut plus on n’en veut plus c’est elle qui tire vers le bas c’est elle qui installe les idées noires c’est elle qui fait désirer la mort d’un des personnages parce qu’elle arrive à nous faire croire que la mort c’est beau elle trouble les plus jeunes elle monte même parfois vers elles pour les tenter diable. C’est elle qui résonne le plus longtemps et le plus profond et elle sait s’en servir Elle rend la jeune fille amoureuse de la mort –envoûtante magicienne masculine Elle se cache pour mieux empoisonner Mais c’est elle qui signe la fin
j’ai prié les esprits mais ils ne veulent plus me proteger. ils disent que je n’ai plus de magie, que mon ame est transparente, ils disent que sans amour on est rien et que je ne suis rien.
je n’ai plus de plaisirs, plus de sensations réelles, mon existence est parfois remise en question par mes pairs…
alors j’attendrai la pluie qui lave les plaies j’attendrai l’orage et quand sortent les loups j’irai trouver les mirages et courir comme un fou.
Il passe devant moi. Il s’arrête devant moi, quelques mois, il n’ose pas me toucher. Il passe son chemin, il croit qu’il, le croiriez-vous, a changé ma vie. Et pourtant si il savait comme c’est vrai. Il passe devant moi, il est en face de moi, il n’y reste que quelques heures. Il me séduit, pour quelques heures. Et pourtant, si il savait comme les heures sont longues pour moi. Il passe devant moi, il essaye de m’arrêter face à lui. Quand j’ai l’air de ralentir le pas, il fanfarrone, il m’aura, il m’invite. Il est intelligent. Et pourtant si il savait comme je pense à d’autres. Il est passé devant moi, il m’a enfermée longtemps face à lui. Il est passé. Et pourtant il savait comme j’aimais qu’il m’enferme.
… Elvis chante Bruce Lee me sourit Sylvain ne dit rien J’ai le trac Je suis crevé Je veux dormir Trois jours Au moins Mais je suis motivé Je crois Et je vais prendre sur moi Quitte à devenir incohérent (plus que d’habitude) Essayer de voir La vie en jaune Ce soir Et laisser Place à l’Imprévu Demain On verra …
de nombreux frères ont rejoint les dieux aujourd’hui,
le jour se lève sur les champs du carnage, nos alliés romains remercient Mars de nous avoir accordé la victoire.
je souffle dans ma corne pour rallier les miens et partager le butin.
l’aube est grise mais nos coeurs rayonnent d’avoir survecu au combat ils brillent aussi du souvenir de ceux qui sont morts et seront fetés par nos dieux.
un dernier coup de corne et nous voilà en route pour le sud.
j’ai dansé dans paris la nuit fait l’équilibriste sur des toboggans évité de m’émouvoir dormi dans des bras improbables étreintes éthyliques effacé de ma mémoire les détails évité de m’émouvoir passé un dimanche sur des toboggans très très hauts
La citation de ma journée Puisque je ne me satisfais pas d’une réalité unique (j’ai tendance à croire que nous vivons non pas dans un univers mais dans un plurivers), tout jugement visant à définir, en cas de divergence d’opinions, la réalité correcte et celle qui ne l’est pas, doit être suspendu jusqu’à ce que soient réglées certaines questions portant sur la nature de la réalité. Puisque nous n’avons résolu aucun des problèmes posés par Kant (…), nous ne sommes pas en droit d’affirmer catégoriquement que X perçoit correctement la réalité tandis que Y se trompe. Les philosophes les plus estimés ont condamné énergiquement cette vision simpliste de la réalité ; je mettrais parmi eux des gens comme Heinrich Zimmer, Jung et Hume, par exemple, qui mettaient même en doute la causalité. P.K.D.
Poupée alanguie langoureuse langue heureuse Ta langue ma langue tes bottines Sourire Mutine Il me reste une image Elle/Tu me reste/s en image Résistance Persistance rétinienne ultime Un parfum Le tien, comme toujours, ce cher parfum Répéter Faire des litanies – Psalmodies Aller voir des chamanes. Danser autour d’un feu en chantant de drôles de trucs, dans des vêtements bizarres en peau de bêtes sauvages, couvert de petits ossements, grigris, colifichets. Espérer ton apparition. Tomber face contre terre, le nez dans le sable. Mordre la poussière. Rêver de tes orteils. … me réveiller avec une putain de gueule de bois. Voilà le programme !
Je suis coupable d’aimer les belles choses plus que le bien. D’aimer le plaisir plus que l’esprit. Pendant des siècles, nous, les vénitiens, n’avons pensé qu’à nous-memes, au profit que nous pourrions tirer du reste du monde. Nous feignions d’aimer Dieu, nous construisions des tas d’églises, mais nous ne L’aimions pas. Nous n’aimions que les belles églises que nous batissions, comme un avare aime son argent. Nous aimions le marbre et l’or et les vitraux.
Un jour, il y a très longtemps, le reste du monde nous a fait la guerre.
fuir l’Ile verte n’a servi à rien et jusqu’en cette plaine je sens leur emprise grandissante
je regrette ma colline, l’enclos de mon petit cheval, le rire de ma fille et le souffle de cette femme, pour qui j’étais tout et que toujours je porte en moi comme la blessure profonde d’un passé égaré.
la splendeur et la simplicité de ces temps anciens m’échappent à présent et je sais que la vie me quittera à jamais lorsque je t’aurais oubliée.
tu étais toujours sur mon abdomen lorsque je t’ai dévoré la tete oui ! j’ai eu l’extase ultime et je t’aimais comme nul autre que toi et moi ne peuvent imaginer.
En me coupant de toi, je me suis séparé du monde. ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ La bataille des cÏurs. ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ Ai-je seulement besoin de vous ?ÉÉÉÉÉÉÉ ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ « Si tu continues a jouir en moi, tu seras père avant la fin du mois. »ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ La mort et le pot de chambreÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ Séduction pathétique et ses immondes banderolles décoratives.ÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ La misère ne te secoue pas assezÉÉÉÉÉ ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ N’a rien dit, ne dira jamais rienÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ Fragments d’une esquisseÉÉÉÉÉÉÉÉ ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ quequequequeÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ Tu vois une chose et tu penses a une autreÉÉ ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ Il n’y a que des défauts, des défauts. ÉÉÉÉÉÉÉÉ La queue de la souris dans l’encre de chine. ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ Le string de la jeune maman via Gosue CarducciÉÉ
anyway, il suffisait de voir notre Igor universel planer en lévitation à travers ce parterre de terriens en proie à l’hypergravité ambiante, pour s’apercevoir que ce bas monde pouvait encore nous reserver d’agréables surprises et finalement passer une bonne soirée. Nevermind the hype, here’s the tourguenism! Love’s not dead!
On aura donc trouvé une utilité au bal jaune et donc, on cassera pas…!
Article 10 : Toute personne a droit, en pleine égalité, à ce que sa cause soit entendue équitablement et publiquement par un tribunal indépendant et impartial, qui décidera, soit de ses droits et obligations, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. libertyboy.free.fr/law/humanrights/france/2000/indexf.htm#ft
Article 19 : Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. www.rsf.fr/article.php3?id_article=2690 www.lsijolie.net/
Article 12 : Nul ne sera l’objet d’immixtions arbitraires dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou sa correspondance, ni d’atteintes à son honneur et à sa réputation. Toute personne a droit à la protection de la loi contre de telles immixtions ou de telles atteintes. www.enduring-freedoms.org/article.php3?id_article=333
Article 23 : Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage. hns.samizdat.net/article.php3?id_article=1768 Quiconque travaille a droit à une rémunération équitable et satisfaisante lui assurant ainsi qu’à sa famille une existence conforme à la dignité humaine et complétée, s’il y a lieu, par tous autres moyens de protection sociale. hns.samizdat.net/article.php3?id_article=1766
Article 30 : Aucune disposition de la présente Déclaration ne peut être interprétée comme impliquant pour un Etat, un groupement ou un individu un droit quelconque de se livrer à une activité ou d’accomplir un acte visant à la destruction des Droits et Libertés qui y sont énoncés. www.vertsderoubaix.org/article.php3?id_article=77
… on était deux puis trois puis ils étaient deux et moi un … perdus mes chaussettes avec des chats, une culotte blanche à triangle et un boxer short la vie c’est qu’une série de pertes. Kisses. … je voudrais avoir des nouvelles comprendre je ne sais pas quoi aller me coucher vite oublier …
Le bulletin de ma journée VIKING,UTSIRE Ouest à Nord-Ouest 2 à 4 revenant secteur Sud-Ouest 4 à 6 par l’ouest ce matin et fraichissant 6 à 7 sur VIKING cet après-midi, virant Ouest 5 à 6 demain matin. Mer agitée, devenant forte cet après-midi. Pluie ou averses. FORTIES,CROMARTY,FORTH Ouest à Nord-Ouest 2 à 4 revenant secteur Sud-Ouest 3 à 5 cet après-midi, virant Ouest demain matin. Mer peu agitée à agitée. Des pluies. TYNE,DOGGER Variable 2 à 4 s’orientant Sud-ouest la nuit prochaine. Mer peu agitée. Pluie ou averses. CASQUETS,OUESSANT Secteur Sud-est 2 à 4 revenant temporairement secteur Est sur CASQUET ce soir. Mer peu agitée sur l’est et agitée sur l’ouest. Pluie ou bruine s’atténuant. Bancs de brouillard. Marie-Pierre Planchon
Extrait pour Miss G. Elle est pleine de jolies filles, elle est pleine de jolies filles Aussitôt qu’arrive l’été, aussitôt que le soleil brille Bikinis-Monokinis dénudent le corps des demoiselles Sous le soleil de Marseille, elles apparaissent encore plus belles. Les garçons tapageurs sont tous de méchants brancheurs Rub-a-Dub, ghettos blasters, lunettes noires de rigueur Ils font des matches de volley et puis des concours de plongée En bonde ! en bonde ! du plus haut des rochers Ils se font cajôleurs, ils se font enjôleurs Et pour apaiser leurs émois, se jettent à l’eau tous les quarts d’heure. Massilia Sound System – Qu’elle est Bleue
» Hey Gwendo, je vais au Tai Chi Chuan avec toi tout à l’heure? – Cool, OK. Je t’appelle vers 18H00. » Métro Métro. « Allo Orad, je suis désolée je ne t’ai pas appelée, je n’avais plus de batterie. J’y suis pas allée du coup. – C’est pas grave. Bla bla bla. – Bla bla bla. On va au ciné? – Ouaaaais. – RDV 21H00 au café du MK2. » Métro Métro. « Désolée, je me suis perdue 20 minutes sous la pluie. – Bla bla Réalité bla bla Poils bla bla bla Antibiotiques bla bla. – Bla bla bla L’amour bla bla Gombrowicz bla bla bla Concert de Ska. – Pffffffffffff j’ai plus envie d’aller au ciné. – Mouais moi non plus. – Nicolaï dit que c’est chiant Intervention divine. – On se prend une tarte au citron? – Ouais. – Ah ils ferment dans 5 minutes. – C’est con j’avais très envie d’une tarte au citron. – Qu’est ce qu’on fait? – Bla bla bla? – Bof. Bla bla bla? – Bof. – On va à Pigalle boire un verre au B.J., je prends mes affaires et on va dormir à Télégraphe. – Ouais. » Métro Un fou : Bla bla bla Délire bla bla Complètement taré. Hey les filles je descends à Pigalle. Je vais dans un bar très chouette, le B.J., je vous invite?Métro Métro « Non mais j’hallucine, il va dans le même bar que nous, qu’est-ce qu’on fait? » Métro Métro Métro « C’est pas contagieux ce que t’as hein, t’es sûre? – Non non, mais j’ai peur de vomir. » Métro Métro Métro « Merde, il arrive dans le bar. – Bla bla bla Sexe bla bla Thèse bla bla Mort. » Métro Métro Métro. « J’ai envie de faire pipi. – Chuis bourrée. – On n’a rien fait de ce qu’on avait prévu. » Métro Métro Métro Métro Métro Métro. Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla
de venise à paris, les bras se croisent, comme des tentacules froids et humides. J’ai peur des fois de vos accès fous. Suivez moi du doigt et vous ferez éternellement le tour de mon corps. Je n’existe que si vous le voulez bien. Veuillez-le, j’ai peur ,vous savez, de me perdre dans la forêt des autres.
on imagine facilement a quel point votre vie peut se réduire a un triste énoncé qui chaque jour se rétrécit jusqu’au ridicule ; présence persistante bien qu’infime dont le bruit me fait penser aux gémissements terminaux d’une mouche que je viens d’écraser. Elle pourrait constituer un sain motif de colère, voire de mépris, mais la complaisance dans le regard que vous portez au miroir rend difficile le détachement que suppose ce mépris. Pourquoi ? Parceque je suis parfois aussi tenté de m’exercer aux belles gesticulations devant le regard d’autrui. Craner dit-on. Se pavaner dit-on. Se plaindre dit-on. Gémir dit-on. Mais il y a autre chose a honorer (découvrir ?) le dehors. (Je comprends la séduction de la chambre et le bonheur d’y rester en compagnie ou seul pour jouir ou gémir. Exposez-vous dehors, il fait assez bon. en ce moment. Je vous en prie, économisez vos images vos confessions, il n’y a plus d’homme digne de se fondre dans l’attente de l’amour, de disparaitre sans fracas.)
>vous avez des têtes bizarres ce matin A la télé g vu des gens qui faisait chanter les arbres. c t mieux que le « retour de rosetta bis » des frers des ardennes.
Arthur E. Ferdinand: An Analysis of the Machine Interference Model. IBM Systems Journal 10(2): 129-142 (1971)
… Maxine et moi on vivait ensemble depuis 6 ans quand c’est arrivé Deux fois plus de petits que ce qu’on espérait. Catherine nous avait prévenu qu’on risquait l’invasion. Les petits roux et les gris étaient ok. Mais les blancs, moi ça me disait trop rien. Tu vois le genre : « je suis un intellectuel de droite non-spectaculaire » Carrément ingérable, surtout pour une si petite structure. Donc on a commencé à les éparpiller autour de nous. Les blancs partaient bien finalement… Les journaleux roux, on en a donné deux à Jeremiah. On a gardé les trois petits gris pour les expériences. Et le dernier roux, Bourdieu, a disparu un matin avec la bonne. Maxine m’aime, je crois. Tout à l’heure, elle m’a frappé avec la machine à écrire. Les petits bouts blancs de ma tête sont tout partout autour de moi, Elle savait que je voyais Catherine en secret. Elle m’aime, je vous dis. Oh… Bourdieu te voilà… Tu veux manger les bouts blancs de ma tête ? Te gêne pas Je vais plus en avoir besoin. Maxine. …
Farfadet mongol sans gravité, bonheur, pour vivre un chromosome : l’image manque. Couillonne ! 1917 : foirade. Où es-tu ? En souvenir de toi tu vas voir le colt 45. Tu m’avais promis tes échasses, ton cabinet médical, Bianca ! Trust l’hépatite c Klingon. On va nous salir, emplafonner du temps et partager le singe. Les pédalos en lettres rouges, les répondeurs téléphoniques nus, tes casseroles … la classification périodique. C’est fini. Je frappe. J’aime. aimer ? Le cœur des policiers chasseurs ! Ils auraient aimé un préservatif, Igor. Don’t care, tu t’en fiches. Amour, fictions, continent ? La poire, contre toi, was crying. I won’t forget ma pigne-pomme de pin,
(publicité) j’ai essayé de faire un portrait de Bruce li avec des lettres ça donne ça : (c’est son visage) o o o OOOOO OOOOOOO > < °° —— sinon il en a un portrait plus reussi sur : www.chicosolo.fr.st
Marcher un soir de plus Le long de ce canal Mais ce soir Tu es là Ta main dans la mienne Tes lêvres sur les miennes Douces Chaudes Secrêtes Et….
Ah non !! Mais qu’est ce que je raconte moi ! Ah, j’me dégoutte J’me tabasse pour la peine Ah mais quel con *bruits de coups* Mais quel imbécile *Chocs sourds* Crétin ! Ouille !
Speciale dédicace to Nicolaï Dernière clope et dodo. Demain j’arrête de fumer. Est-ce la peine de terminer celle-là ? Puisque j’arrête tout à l’heure … Oui mais quand même … Elle me tend le mégot ! Cette petite fumée, je vais l’avaler, la faire descendre dans mes poumons et la sentir débouler jusqu’au bout de mes doigts … Même pas ! Rien de plus qu’une clope de plus avant d’aller dormir ! Rien de plus ? Saloperie ! J’ai une haleine de yack pour aller m’étendre près de ma dulciné, et c’est tout l’effet que tu m’as fait ? Allez. Dernière clope et dodo. Demain j’arrête de fumer.
Il y a ceux qui sont sincères et c’est pour ça qu’il vont draguer votre moitié dans les soirées sans vous dire qu’elle mérite mieux que vous Il y a ceux qui sont tolérants sauf avec ceux qui ne sont pas d’accord avec eux Il y a ceux qui prétendent aimer les filles mais ils les trouvent idiotes Il y a ceux qui sont fragiles mais ils font semblant d’être forts, alors quand vous les aidez vous tombez Il y a ceux qui adorent critiquer chez les autres ce qu’ils aiment chez eux Il y a ceux qui se transforment sans le voir (ça crée des dissidences dans la communication) Mon préféré c’est W. quand il a compris en mettant une chaussette sur sa tête que sa philosophie à l’envers fonctionnait mieux Ou C. qui n’a jamais fait savoir si oui ou non il avait pris ce putain de transsibérien Ou C. détesté par tous parce qu’il écrivait ce que des milliers de rats pensaient en secret (le dégoût humain) Ou R. qui s’est tiré pour vendre des armes et crever bouffé par une gangrène qu’il avait tout fait pour mériter Ou M. qui donnait sa fortune (43 francs 50) à des grues démaquillées Mais pour me tuer moi pauvre cafard il suffit de me mentir Je sais maintenant pourquoi K. se transforme un beau matin Je ne sais pas bien si tout ça a du sens Mais je rêve la nuit, transportée dans les mondes merveilleux de R. et C. Dans les contes de fée nous sommes tous punis !
Mais il y a ceux qu’on ne connait pas bien encore et qui ne vous connaissent pas bien encore, et nous sommes tous beaux
hop je saute sur le trampoline et oooh je vole mais aaaaaaaaaaaaah je tombe (comme quand il faisait l’insecte sur le lit) j’agite les bras et les jambes, je rêve: tout bascule, le soleil remplace les étoiles et le ciel la mer, tout est scintillant autour de moi et ça n’a jamais été aussi clair. maintenant je marche j’escalade je hampe la lune montagne est belle ruisseau d’argent ,nonon ce sont les poissons qui sont d’or. cheveux échevelés moi très calme, même même si perdue dans tous les éléments, beaucoup beaucoup d’eau autour de moi mais je ne sais pas voler splaaaaash une énorme tortue sort de l’eau et je me pends à un cocottier arrgh. mon amour, je voudrais courir encore, mon amour mon amour, chht, mon amour, chht, mon amour, ne m’emmène pas tout de suite au bout du monde, ne crie-t-elle pas dans l’orgasme et je retombe dans la furie du monde, hall de gares, hall de théâtres, queue du cinéma et de la sécu, bataille avec les draps, mon regard et tu ne me le rends pas, fatigue et ce foutu écran que j’ai marre!, et je retrouve mon état civil, que font vos parents, que fait votre père, et je redessine mes peines sur mes murs, des silhouettes vides sur un miroir, et des femmes sans corps sur la peinture banche mais j’ai sorti un tapis blanc, et le matin je danse dessus…………;blanc éclaté de rouge comme si je voyais trop de lumière
Bernard Frédéric, ce héros. Mort pour Claude François autant dire mort pour la France celle-ci te regrette déjà.. Merci pour tout ce bonheur. Nos pensées t’accompagnent Tes amis, tes fans te rendent un dernier hommage avec ce mashed-potatoes qui va suivre.
(Premières notes de Magnolias for ever Foule en délire Bernadettes en place pour effectuer les moulinets Une immense affiche de Bernard,habillé en Cloclo Olympia 74, se déroule devant devant l’autel. Cris, pleurs, émotions.)
En me coupant de toi, je me suis séparé du monde. ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ La bataille des cÏurs. ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ Ai-je seulement besoin de vous ?ÉÉÉÉÉÉÉ ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ « Si tu continues a jouir en moi, tu seras père avant la fin du mois. »ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ La mort et le pot de chambreÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ Séduction pathétique et ses immondes banderolles décoratives.ÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ La misère ne te secoue pas assezÉÉÉÉÉ ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ N’a rien dit, ne dira jamais rienÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ Fragments d’une esquisseÉÉÉÉÉÉÉÉ ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ quequequequeÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ Tu vois une chose et tu penses a une autreÉÉ ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ Il n’y a que des défauts, des défauts. ÉÉÉÉÉÉÉÉ La queue de la souris dans l’encre de chine. ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ Le string de la jeune maman via Gosue CarducciÉÉ
Judaïsme n.m : Religion des Juifs, fondée sur la croyance en un Dieu unique, ce qui la distingue de la religion chrétienne, qui s’appuie sur la foi en un seul Dieu, et plus encore de la religion musulmane, résolument monothéiste.
Fatiguant d’ensabler alors de temps en temps il faut que je pose ma pelle et que je souffle alors ça rougeoie et j’y mets aussi un peu les doigts j’avoue pour voir comment c’est chaud encore