LA PARANOÏA,

CE HEROS

Old par Gu. le 09 Avr 2003

Est-ce un chien-loup ou un kangourou sur cette affiche derrière lui?

Old par Gu. le 06 Mai 2003

kill kill Bang Bang
Old par Gu. le 10 Fév 2004

Maintenant on se connaît pour la vie…

Old par Gu. le 30 Avr 2003

Réponse : « un trou »

Old par Gu. le 12 Fév 2003

cariboO’s rOad

Old par Gu. le 08 Déc 2003

jeviensdevoirlespavu

Old par Gu. le 15 Sep 2003

honeybreadwithacoconutcover

Old par Gu. le 23 Nov 2003


Les Semeurs

Old par Gu. le 02 Mai 2003

Vie et Mort de l’image…

Old par Gu. le 30 Avr 2003

Lorsqu’Igor est triste, ça donne à peu près comme ça…

Old par Gu. le 09 Avr 2003

Old par Gu. le 25 Mai 2003

Badly…

Old par Gu. le 04 Juin 2003

few

planets

o oO

O°° °

08 0ö °

stars

***

** +*++*

~* ***+ +*

& a galaxy

@

(…)

Old par Gu. le 01 Oct 2003

&

Et Buddy est mOrtel

Old par Gu. le 18 Nov 2004

idkwya

Old par Gu. le 11 Nov 2003


Old par Gu. le 02 Déc 2004

(…)

Le

début

d’une

autre

ère

de

rien

(…)

Old par Gu. le 13 Nov 2004

tOday, Saint-Gü. (…)

Old par Gu. le 08 Avr 2004

Un baiser virtuel tellement réel…

Old par Gu. le 09 Mai 2003

Old par Gu. le 05 Juin 2003

DRAGON N°3

MAGYAR À POINTES

Considéré comme le plus

dangereux de tous les dragons,

le Magyar à pointes a des écailles

noires et ressemble à un gros lézard.

Il a des yeux jaunes, des cornes

couleur bronze et des épines de la même

teinte qui hérissent sa longue queue.

Le Magyar dispose d’un souffle puissant

qui lui permet de projeter des flammes

à une distance plus longue que n’importe

quel autre dragon (jusqu’à quinze mètres).

Ses œufs ont l’apparence du ciment et

leur coquille est particulièrement robuste;

au moment de l’éclosion, les jeunes la

brisent à grands coups de leur queue

dont les épines sont déjà bien

développées dès la naissance.

Le Magyar à pointes se nourrit

de chèvres, de moutons et, chaque

fois qu’il en a l’occasion, d’humains.

(…)

Old par Gu. le 10 Nov 2003

NEPAS
NEPAS
Old par Gu. le 22 Nov 2003

Et pourtant (…)

Old par Gu. le 29 Juin 2004

fine tObaccOs

Old par Gu. le 18 Nov 2003

Mes cernes me plaisent

J’aime tes cernes

Old par Gu. le 25 Mai 2003

Old par Gu. le 04 Juin 2003

ce

sOir

Félix

est

rentré

avec

un

mamOulex

des

tableaux

et

des

marquise

(…)

Old par Gu. le 22 Août 2003

c’est toi chéri?

va savoir

Old par Gu. le 03 Nov 2003

« pOst » ?

which One ?

iS there One ?

W. Dir ?

MuSe ?

Thing ?

It might / shOuld / wOn’t be all (…)

IN THE CIRCONSTANCES

FORMAL DRESS IS TO BE

OPTIONNAL

(…)

Old par Gu. le 29 Juil 2003

Old par Gu. le 16 Juin 2003

La citation confère l’existence sur le support…

Old par Gu. le 20 Mai 2003

– rEward bluE fOur –

Old par Gu. le 12 Jan 2004

Ouah Ouah ouah ouah Ouah !!!

Old par Gu. le 15 Mai 2003

OBSESSION MUSICALE…

Hmmm, que c’est bon les rayures blanches…

Old par Gu. le 30 Avr 2003

Faire attention à trop de bonheur.

Old par Gu. le 19 Mai 2003

Old par Gu. le 06 Juin 2003

.

.

Old par Gu. le 20 Nov 2003

Papa où es-tu ?

Old par Gu. le 21 Mai 2003

Old par Gu. le 08 Oct 2003

Papa m’angOisse

Old par Gu. le 18 Juin 2003

Un lézard bronze depuis des heures sur la dalle de béton

Old par Gu. le 28 Mai 2003

Old par Gu. le 21 Mai 2003

blupiblup blOp! kiwOzinapi niou yar!

Old par Gu. le 09 Jan 2004

Doux, exigeant, impliqué, simple et un peu barré
Je l’imagine, forcément je le sublime
A ma façon nous sommes intimes
Je ne l’ai jamais vu même si je l’ai plus ou moins rencontré

Old par Gu. le 02 Mai 2003

Mais je n’ai rien craché sur toi !
Et puis ce crachage là ne t’était pas destiné d’abord…
… ni aucun à personne d’ailleurs !

Mais tu es parano !
Comment ça on dirait ?
Oui certains mais ça les regarde et pas moi…

Old par Gu. le 18 Mai 2003

Je crois bien que c’est Sartre qui signait « Lui »…
Je ne suis pas Simone de Beauvoir, seulement Gu.

Old par Gu. le 24 Avr 2003

fOund !

thanX fOr all ! (…)

Old par Gu. le 06 Août 2003

Old par Gu. le 06 Mai 2003

Le ciel dans une chambre

Quand tu es près de moi,

Cette chambre n’a plus de parois,

Mais des arbres oui, des arbres infinis,

Et quand tu es tellement près de moi,

C’est comme si ce plafond-là,

Il n’existait plus,

je vois le ciel penché sur nous…

qui restons ainsi,

Abandonnés tout comme si,

Il n’y avait plus rien,

non plus rien d’autre au monde,

J’entends l’harmonica…

mais on dirait un orgue,

Qui chante pour toi et pour moi,

Là-haut dans le ciel infini,

Et pour toi, et pour moi

(…)

CBruni

Old par Gu. le 14 Nov 2003

Old par Gu. le 20 Juil 2003

Saint-Ouen
Une boucherie en devanture
Un oeil à l’interieur
A première vue des tapis
Derrière des poulets à la broche
Puis un étalage de viande à côté du stand d’encens
Un mécanicien répare un moteur
Drôle de hangar!

Old par Gu. le 02 Mai 2003

private collection - c'est toi chériprivate collection - c'est toi chériprivate collection - c'est toi chériprivate collection - c'est toi chériprivate collection - c'est toi chéri

Old par Gu. le 24 Oct 2003

la petite fille : les mots me cherchent

Old par Gu. le 19 Nov 2003

Il me fait peur
Il me fait rire
Il ne me fait plus pleurer
Il ne le fera plus jamais
Il me / se cherche
Il se / me justifie
Il m’écrit
Il m’ennuit
Il dort et il mange
Il réalise parfois
Il me touche (bien)
Il a disparu…

Old par Gu. le 12 Mai 2003

SPOKE
VOUS
PARLE

Spoke invite Tourgueniev le 09 janvier/20h à MdO/1rueCharlesGarnierSaintOuen
Bar ouvert + vidéos + performances littéraires et sonores + signatures en présence des auteurs.

SPOKE
VOUS
ATTEND

Old par Gu. le 05 Jan 2003

il cOntemple On dirait

One

would

say

that

he

gazes

at

(…)

Old par Gu. le 03 Fév 2004

Dialogues (Extraits)

– Je crois que l’image ne peut pas oblitérer la réalité.
– Tu as raison, c’est la réalité qui oblitère l’Image.

Didier Feldman
PUNCTUM

Old par Gu. le 09 Mai 2003

daddyflower

Old par Gu. le 26 Jan 2004

Suite logique des évènements…

Old par Gu. le 29 Mai 2003

Old par Gu. le 03 Juil 2003

Hey!, on voit la lune dans le ciel bleu…

Old par Gu. le 09 Avr 2003

se
faire
livrer
des
sushis
à
domicile

les
manger
au
lit
!!!

Old par Gu. le 10 Avr 2003






Old par Gu. le 12 Juin 2003

Je ne peux me résoudre à m’expliquer qu’après l’avoir quitté,
je n’ai même pas réussi à pleurer…
Ce n’est pas faute d’avoir essayé…

Old par Gu. le 30 Avr 2003

en fait si j’ai peur (…)

Old par Gu. le 10 Mar 2004









Old par Gu. le 03 Juil 2003

Oui mais comme la terre a tournée
depuis des heures où je suis restée collée,
et ben la lune elle est plus là quand je mire dans la baie-vitrée

Old par Gu. le 09 Avr 2003

OUF!!!
J’ai eu peur d’être définitivement coupée du monde…

Old par Gu. le 17 Mai 2003

I lOve jimpUnk

Old par Gu. le 29 Juin 2003

encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore…

Old par Gu. le 21 Jan 2003

Old par Gu. le 14 Juil 2003

auto-urgueniev cet eros

Dans son regard absent
Et son iris absinthe
Tandis que Marilou s’amuse à faire des vol
Utes de sèches au menthol
Entre deux bulles de comic-strip
Tout en jouant avec le zip
De ses Levi’s
Je lis le vice
Et je pense à Caroll Lewis.

Dans son regard absent
Et son iris absinthe
Tandis que Marilou s’évertue à faire des vol
Utes de sèches au menthol
Entre deux bulles de comic-strip
Tout en jouant avec son zip
A entrebailler ses Levi’s
Dans son regard absent et son iris
Absinthe dis-je je lis le vice
De baby doll
Et je pense à Lewis
Caroll.

Dans son regard absent
Et son iris absinthe
Quand crachent les enceintes
De la sono lançant
Accord de quartes et de quintes
Tandis que Marilou s’esquinte
La santé s’éreinte
A s’envoyer en l’air…

Lorsqu’en un songe absurde
Marilou se résorbe
Que son coma l’absorbe
En pratiques obscures
Sa pupille est absente
Mais son iris absinthe
Sous ses gestes se teinte
D’extases sous-jacentes
A son regard le vice
Donne un côté salace
Un peu du bleu lavasse
De sa paire de Levi’s
Et tandis qu’elle exhale
Un soupir au menthol
Ma débile mentale
Perdue en son exil
Physique et cérébral
Joue avec le métal
De son zip et l’atoll
De corail apparaît
Elle s’y coca-colle
Un doigt qui en arrêt
Au bord de la corolle
Est pris près du calice
Du vertige d’Alice
De Lewis Caroll.

Lorsqu’en songes obscurs
Marilou se résorbe
Que son coma l’absorbe
En des rêves absurdes
Sa pupille s’absente
Et son iris absinthe
Subrepticement se teinte
De plaisirs en attente
Perdue dans son exil
Physique et cérébral
Un à un elle exhale
Des soupirs fébriles
Parfumés au menthol
Ma débile mentale
Fais tinter le métal
De son zip et Narcisse
Elle pousse le vice
Dans la nuit bleue lavasse
De sa paire de Levi’s
Arrivée au pubis
De son sexe corail
Ecartant la corolle
Prise au bord du calice
De vertigo Alice
S’enfonce jusqu’à l’os
Au pays des malices
De Lewis Caroll.

Pupille absente iris
Absinthe baby doll
Ecoute ses idoles
Jimi Hendrix Elvis
Presley T-Rex Alice
Cooper Lou Reed les Roll
Ing Stones elle en est folle
Là-dessus cette Narcisse
Se plonge avec délice
Dans la nuit bleu pétrole
De sa paire de Levi’s
Elle arrive au pubis
Et très cool au menthol
Elle se self contrôle
Son petit orifice
Enfin poussant le vice
Jusqu’au bord du calice
D’un doigt sex-symbole
S’écartant la corolle
Sur fond de rock-and-roll
S’égare mon Alice
Au pays des malices
De Lewis Caroll.

Serge Gainsbourg

Old par Gu. le 17 Mar 2005

le buzZ

artiStiK

n’eN

eSt-il

paS

mOinS

de la

publi(DUPLI)-cité

???

Old par Gu. le 04 Juin 2003

le hik du plébiscite est de s’étiqueter référendum (…)

m’en fOu, mOi je t’aime encOre, malgré mes effOrts!

Old par Gu. le 10 Avr 2004


Old par Gu. le 03 Juil 2003

wOrld’s sO small…

Isn’t it Mister Laperruque ?

Old par Gu. le 17 Juin 2003

Belle, active, drole, intelligente, douce, entière, désirable.

Soyons Badided

N’ayons l’air de rien

Ayons l’air Badided

Badided mag’

A paraître

Old par Gu. le 20 Mai 2003

DRAGON N°10

VERT GALLOIS COMMUN

La couleur du Vert gallois se marie très bien

aux herbes luxuriantes de son pays natal,

bien qu’il niche dans les hautes montagnes

où une réserve a été établie pour sa protection.

En dépit de l’incident d’Ilfracombe, il est l’un des

dragons les plus paisibles; préférant, tout comme

l’Opaleye, se nourrir de moutons, il fait de son mieux

pour éviter les humains, à moins qu’il n’ait été provoqué.

Le rugissement du Vert gallois est étonamment

mélodieux et facilement reconnaissable.

Les flammes qu’il souffle forment deux jets minces

et ses oeufs bruns, couleur de terre,

sont parsemés de taches vertes.

(.)

Old par Gu. le 14 Nov 2003

Sublime, ce second moi !

Schizo, juste comme il faut… Non, vraiment, rien à

dire, c’est de la belle ouvrage !!!

(Est-ce que la Bad girl va voir les Whites Stripes,

demain soir ?)

Certains petits mails qui font plaisir…

Old par Gu. le 22 Mai 2003

My wedding man

My wedding, my wedding man, where are you my wedding man ?

Why did you disapear?

Are you hidden in a tree ?

Are you hidden in a church ?

Come back to me please my wedding man, tell me it was a joke…

It was a beautifull beautifull day, more than us,

How could you waste such a beautifull day ?

My wedding, my wedding man.

My wedding, my wedding man, where are you my wedding man ?

Why did you disapear ?

My wedding, my wedding man, where are you my wedding man ?

Come back to me please my wedding man, tell me it was a joke…



by FrançoiZ Breut

Old par Gu. le 22 Juil 2003

Je me suis faite découpée en rondelle et ça sent l’oignon…

Enfin! Pleurer…

Old par Gu. le 01 Mai 2003

JOYOR ANNIVERSIEV !!!

Old par Gu. le 03 Mar 2003

Une petite voix dans ma tête (épisode 1)

Je reconnais bien cet endroit
plusieurs fois la même sensation.
L’immeuble se jette à mes pieds
et je me roule en boule
il m’a fait paniqué.
Code griffoné sur papier
sais plus dans quelle poche il est.
ah! 237B
escaliers dévalés
j’y vais
aucune idée
d’où j’vais.
Quoique ç’a y est
j’viens d’comprendre
j’peux zoomer
dans la cam’ je fais
partie de la scène visée.

J’ouvre un oeil
seul le réveil peut dicerner
le rêve de la réalité.
Le mien il
dit qu’il
ne se fait plus assez
tôt pour faire des
pleins et déliés
sur un songe
tout froissé
à repasser
mis au rencart
dans un panier
nié
déjà oublié
songe parti dans les
lymbes du passé.
Mes yeux-aiguilles
transcendent la réalité
mise en marche en
direction assistée
pilote automatique
je courbe l’échine
totale sous le
contrôle de la machine
emprise schizophrénique
robotique précision
cission neurologique
la voie dans
la tête veut
que j’accomplisse
une mission…

(A suivre…)

Old par Gu. le 14 Avr 2003

Le goût du tabac après le dentifrice…

Le grain de sa peau, son odeur et ses mains…

Etre au volant et faire du ruban !

La rue des Rosiers à Saint-Ouen…

Les rayons du soleil sur mon visage…

Le téléphone sonne… c’était pour dire rien !

Old par Gu. le 13 Mai 2003

arts Öro récalcitrants

Old par Gu. le 30 Mai 2003

Ménager Doucement Mon Ame

Old par Gu. le 05 Mai 2003

Old par Gu. le 01 Juil 2003

Old par Gu. le 16 Juin 2003

Je suis la lune en trigone de Vénus et j’achèterais le e du ciel pour un battement de cil de Mercure…

Old par Gu. le 19 Fév 2005

chhapkattituD’ #2

chhapkattituD' #2

Old par Gu. le 03 Fév 2004

Old par Gu. le 30 Sep 2004

Minuit Pearl

Old par Gu. le 19 Fév 2004

Old par Gu. le 21 Mai 2003

Rendre au réel ce qui appartient au réel…

Old par Gu. le 19 Mai 2003

SpOkème vibriOn

     Large

   Dimanche, la rue,

On voulait sortir du grand cadre

   Rien d’extraordinaire sortir du grand cadre,

      Non, rien d’extraordinaire

Visiblement, les gens aimaient prendre la tangente, se pencher

   Courir en italique, se dérober, ton mot c’était oblique, tu disais,

        Plutôt rester dans les cadres,

      C’est qu’ils préfèrent, les cachettes, s’enferrer de petites fatigues.


  Rompant le doux continu des jours dichotomes

    Qui cantonnent nos rires à des moues monochromes,

     On discutait, bouches pleines d’offenses,

  Monde fait de violence, et encore du vent,

Des histoires et encore du vent,

Des griefs, des avalanches, des petites revanches

Des reliefs, ou même des identités,

          L’avenir sur ta paume, tu disais,

       Les visages flous des génomes, tu disais,

     En perdre son signalement,

   Combien les mots manquent de discernement,

  Diminuent la vigilance du sujet.

        Pendant que rouge le ciel gazolé dégaze,

      Dans l’air, tout ça qui flotte, rase et s’effiloche,,

         On a peut-être raté le coche

  Il y en avait mille fois trop
, tu disais, mille fois trop,

Aérer, aérer
, tu disais, aérer, revoir la mer, respirer,

  Evoquer la banalité des clichés,

     Le flot des images éculées, tu disais, l’âme cassée,

Fuir l’éphémère, être à tout allant, génant pour l’éternité, adulés.

    Et le vent léger que tu me souffles au creux des voiles,

   Soleil incliné dans tes yeux, apaise mon poux, mon oripale,

      Sans jamais froisser nos mailles, nos pulls qui

       Débraillés nous taillent des silhouettes diverses,

  Pour sûr, on n’y est pas à l’étroit, pour sûr, on aime les porter large.

Tu sentais comme la pluie, des arbres,

Comme la terre mouillée aux pieds des arbres,

  Tu disais, Quands tu me parles, tu joues, quand tu me râles, que tu me tires tes balles,

Je vois pointer comme des astres, oui des mots comme des astres fous
,

   Fumée dans l’air qui flotte pendant que rouge le ciel ébahi, envahit,

                        Rase et s’éparpille

      Comme de longues séries de phrases vides qui vascillent,

                                Mais assassinent quand même,

                                 Collent au palais, étouffent,

Assassinent quand même,


       Tu disais, Sait-on seulement que c’est à chaque fois différent,

     Sait-on seulement que nos vies n’ont rien de répétitif, rien de définitif,,

   Et s’il y a des risques, pourquoi ne pas prendre ces risques?

    On marcherait, la rue, nos écharpes, s’en aller,

Anonymes, dérisoires, périphériques, rien de différent,


              tu disais, nul besoin de se dérober,

   Sans cesse reconquérir, arrêter le temps, photographier le vent,

     Evanouir la zone et les feux qui croisent à l’horizon,

Les saisons, en mener large avec toi, s’épanouir,

            Dimanche, lundi, mardi, et les autres aussi,

Arpenter la ville la nuit, le jour,

             Déclarer son amour à qui vient, qui veut,

   Comme un vieux disque rayé, répéter, répéter, même épuisé,

              Recommencer l’amour entre ses lignes aérées
,

Tu disais, tu sais où nous allons,

                              Il n’y a pas d’horizon finissant,

  De phare,

        Où nous allons, il n’y a que des larges,

   On n’y sera pas à l’étroit, tu sais,

Des larges,

on n’y sera pas à l’étroit
,

                              La mer sait décliner les bleus

(…)

Frédéric

Nevchehirlian

Old par Gu. le 08 Déc 2003

Si un jour tu peux venir…
C’est assez N.A.P.
C’est quoi N.A.P.?
Neuilly-Auteuil-Passy…
Serieux tu les fais boire un peu, et tu leur fais signer des chèques hein!
C’est très bon ce que vous faîtes, moi ça me parle beaucoup.
Moi mes parents…
C’est time consuming…
Mais sois serieux avec ces gars là
Reste là, écris! écris! Tu nous a mis l’eau à la bouche…
Il faut que je trouve la rentrée d’argent récurrente…
Mais va voir ces petits fils de pute d’Auteuil là!
Comme des belettes.
Je lui ai offert du muguet et une brosse à dent, ça c’est de l’intronisation!
Samedi, dimanche, mardi… moi me lever avant neuf heures c’est chaud…
Nous n’irons plus au bois, les chasseurs sont méchants…
PAIX, AMOUR, LIBERTE ET FLEURS…
L’arme fatale, tu es plein de pertinence, ça bouge!
Big up, luxe, création et beauté…
Quand t’es un poète, y faut raquetter cette racaille!

Old par Gu. le 01 Mai 2003

Old par Gu. le 09 Avr 2003

Igor,

regardes moi

dans les yeux,

mon amour

craché par  » i don’t know who yu’re » edited by Gü.

Old par Gu. le 02 Nov 2003

youth in the countryside

Sybil, Basil - on front of fawlty tower (Photos Manuel)

Old par Gu. le 02 Déc 2003

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