Nouveaux soleils

A
An
Bon
Boom
Comme
Bonne
Bonne m
Bonne ou
Bonne oui
Bonne nuit
Bonne nuit m
Bonne nuit on
Bonne nuit non
Bonne nuit mon
Bonne nuit mon à
Bonne nuit mon an
Bonne nuit mon ami
Bonne nuit mon amie
Bonne nuit mon ange
BALADE NOIRE |
|||||||||||||||||
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
PUISQUE TOUT N'EST QU'UNE QUESTION DE STATISTIQUES - ET NON DE PREVENTION - DE SECURITE - JE PRENDS MA VOITURE ET FILE DANS LA NUIT - J'EXPLIQUERAI AUX FLICS QUE L'ALCOOL QUE J'AI DANS LE SANG NE ME PERTURBE PAS - MAIS QU'IL ME RASSURE - ET SI JAMAIS JE TUE QUELQU'UN - ON PROUVERA FACILEMENT - LORS DE MON PROCES - QUE C'ETAIT UN CON - |
|||||||||||||||||
donc : le festival se prolonge…
ce soir ici
demain 3ème étage de la tour eiffel,
dimanche ici et
lundi là pour l’apothéose finale.
le récitant : voila, alors ça, c’est moi.
» la démocratie / a été épouvantable. Un assassinat massif, qui a tué indistinctement. Epouvantable, épouvantable«
while(1)
{
Mes yeux voient le monde
Mais ils brûlent
Alors
}
51 of 265
« A demonstrator holds aloft a sign reading ‘We were all on this train’ as Spaniards took to the streets to demonstrate in Madrid’s Puerta del Sol, March 12, 2004. »
il ne fait pas encore pleinement jour, c’est fou la vitesse à laquelle la nuit s’installe et s’étend.
Quand j’aurai fini Nicolas, je le ferai lire en avant-première à Igor, cela va de soi ; pour ce livre, c’est la personne qui s’impose.
Paris
Mon cher Igor,
J’ai été ravi de te voir l’autre jour, à la veille de ton départ, et quand tu recevras ces lignes, ce sera de retour, donc la courbe sera bouclée, parfaite micro révolution. J’espère que la Grèce se passe moins « rocambolesquement » que votre départ à l’aéroport !
Pour ma part, je continue par hauts et creux de vagues ma dérive estivale dans ce Paris que j’aime avec tendresse, lisant, écrivant, rencontrant, mais la plupart du temps restant solitairement attablé à une terrasse de café, simple observateur (voyeur) du monde et de ses autochtones.
Pense à ce que nous avons dit, à ne pas faire noir ou blanc, la vie est décomposable en une infinité de nuances, à toi de savoir, d’apprendre, de jongler avec.
Ne vis pas par procuration non plus, ne pense pas à moi comme ton oriflamme, tendance que je trouve un peu dans tes lettres, tu as ton livre en toi, et tu le sais, tu l’as ruminé, écris-le, ensuite on verra bien.
Moi, j’erre, erre, erre, sans bruit en ce moment, je suis à l’instant plutôt insouciant — mélodie Jane Birkin en décor musical —, atmosphère douce et tendre.
À bientôt, mon cher ami, puisse-tu nous revenir heureux de vivre, irradiant un optimisme contagieux, puisse-tu faire le plein d’une énergie digne de ces grands espaces ombrés d’un passé glorieux, où tu es, d’où tu reviens, à l’heure où tu lis ces lignes.
Puisse-tu atterrir tout doucement sur cette fin d’été, trouve en toi-même la force suffisante pour ne pas regretter et aller de l’avant.
Allez, j’arrête là, le moralisme, très peu pour moi.
Bulles amicalement tiennes,
BALADE ORANGE |
||||||||||||||
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
QUAND LES PROGRAMMES DE DIVERTISSEMENT TELEVISES SONT TERMINES - LA VILLE NE SE CONTENTE PAS D'ETRE VIDE - ELLE EST SILENCIEUSE - ET LES LUMIERES S'ETEIGNENT - COMME DANS LE COULOIR DE LA MORT - QUAND LA CHAISE ELECTRIQUE EST EN MARCHE - |
||||||||||||||
Ici Clipperton.
Les poissons parlent aux bananes :
Les rires joyeux des guitares hivernales…
quatre fois… je répète…
Les rires joyeux des guitares hivernales…
travail
Du latin tripalium, instrument de torture.
La notion désigne d’abord, en opposition avec celle de jeu, une activité pénible et contraignante ;
la double tradition grecque et chrétienne en fait d’ailleurs une souffrance et une punition, voire
une malédiction (Bible).
BALADE VERTE |
|||||||||||||||||||||
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
||||
ON ESSAIE SOUVENT DE RETENIR LE TEMPS - ET TOUS LES ELEMENTS QUI LE COMPOSE - CAR IL NOUS EST IMPOSSIBLE D'ADMETTRE QUE CE QUI ETAIT NE SERA PLUS - ET QUE DOUCEMENT - JAMAIS BRUSQUEMENT - TOUT S'ENFUIRA DANS LE FLOU - |
|||||||||||||||||||||
BALADE ROUGE |
||||||||||||||
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
|||||
JE NE SUIS PAS CALME - CAR MALGRE LA LUMIERE - MALGRE LE JOUR - TOUT S'ASSOMBRIT POURTANT - ET JE NE COMPRENDS PAS COMMENT TOUTES CES CHOSES QUE J'ABSORBE NE PARVIENNENT PAS A ME RENDRE SEREIN - ET CHAQUE PERSONNE EST UN NOUVEAU PROBLEME A RESOUDRE - ET AUCUN OBJET - AUCUN LIQUIDE - NE CHANGERA RIEN A CA - |
||||||||||||||

je pense à toi
nuit et jour
et mon
tic tac tic tac
ne bat que
pour toi…
« L’haleine de l’amour ne laisse pas plus de buée sur
mon oeil que la bouche du mourant. » (JR)
Vous vous souvenez :
Cheminement philosophique
Réflexion philosophique entendue
Nous passons notre vie à osciller entre des moments durant lesquels nous vivons intensément les choses et d’autres durant lesquels nous comprenons les choses.
Réflexion philosophique personnelle
Seul les souvenirs nous permettent à la fois de revivrent les choses et de les comprendre.
Application pratique personnelle
Voilà pourquoi je n’aime pas mes souvenirs.
Je comprends que j’étais heureux ; qu’à l’époque je vivais ce bonheur sans m’en rendre compte et que maintenant ce bonheur est révolu.
Ce cheminement philosophique se prolonge :
Mais la musique là de dans ?
La musique est une voie pour fusionner compréhension et sensation. En effet, la musique définit trois temps du présent :
le présent passé, qui est un écho de notre perception,
le présent futur qui est une l’anticipation d’une perception,
le présent simple qui est l’instant précis de perception.
De cette contraction, nait un plaisir à la fois compris et sensible.
Vous l’aurez compris j’aime la musique plus que mes souvenirs.
l’amour
c’est
comme
une
boîte
de chocolats
sans rien
dedans
mon
chéri
mon body after homère simpson
C’était il a y a un bail, déjà. Depuis, les journaux intimes et les logs de geek imbitables, ça a fini par fatiguer tout le monde, leurs auteurs les premiers.
Comme il y en a toujours qui veulent faire les malins, on parle déjà de la ringardisation des blogs. Avoir un blog, ce n’est déjà plus assez pour animer une conversation entre deux platitudes. Connards de blogueurs.
D’autres, plus pragmatiques, essaient de rentabiliser le truc avec leur carnet d’adresse constitué grâce à la blogotruc : développement de plateformes éditoriales, site de camshots avec allopass, publicité, etc…
Mais le pire, la dégénérescence absolue de ce sympathique outil qu’est le blog provient de ceux qui se creusent ce que les hasards de la gestation a bien pu mettre dans leur boite crânienne pour trouver un nouveau « concept » attractif. Ah ça, putain, les blogueurs adorent les « concepts », ils s’en font des bains de bouche.
Le blogueur type chie mollement sur l’ordre établi, affiche un cynisme hésitant dans son ode au consumérisme, nous inflige sa mauvaise poésie dans l’espoir vain de se faire pardonner mais il parle comme un chef de pub véreux.
Il faut du concept, de l’accroche, du design chiadé et un bon relationnel avec les blogueurs les plus connus afin d’assurer un bon score en visiteur/jour. Méthode de l’industrie du divertissement employée dans un but même pas lucratif. Triste et absurde.
Les poètes du dimanche avaient leurs rimes pauvres, les blogueurs ont leur réfèrences navrantes (beigbeder, bret easton ellis, naomi klein, matrix).
Plein d’écrivaillons de merde qui désespèrent de se faire publier, des chroniqueurs hype amateurs qui, à défaut de le ressentir, espèrent donner à leurs lecteurs le grand frisson de la branchitude. Pose et arrivisme. Vulgaire et merdique.
Pour le fun, allez jeter un coup d’oeil au dernier rejeton de la fabuleuse équipe de kedlagueul, ça s’appelle Clichey (sic) et c’est beau comme un numéro de WAD dont on aurait arraché toutes les pages à l’exception des pubs
Pour être franc, je pensais pas que ce serait aussi foireux, la blogosphère.
Je voyais ça comme un truc marrant, un peu comme ces vieux fanzines photocopiés sur du papier dégueu, à une époque pas si lointaine.
Alors, plus que jamais, il faut que le tourguenisme avance !
Atteindre n’importe quel point de la planète en deux heures.
Certes.
Mais avec tout ça, comment je lis l’Equipe moi maintenant ?
NEVER SAY AGAIN : j’abdique.
{encore}
fucker
Puis finalement constater que la métempsychose du mouton s’achève en son sein
Arrêter le flux pour mieux le poursuivre dorénavant
Vivre des paradoxes édictés comme des commandements
En survivant tout en mourant un peu plus à chaque fois que le soleil }me{ fuit _
trois heures, terrasse des Montagnards au soleil, Ménilmontant, Zan, puis Julie, thé à la menthe puis pastis, puis pastis, puis pastis puis on bouge, Julie veut manger alors Lucioles mais non alors on roule jusqu’à Parmentier et le Plein-soleil. là salade, olives, pain et pastis (ad lib). Sophie puis Nicolas nous rejoignent puis pastis (etc…). je choppe un double-cheese (deux euros). on bouge au Zorba sans Sophie et là pastis (doubles) et bières puis le patron tombe amoureux de Zan donc vodka et prune (ad lib). départ de Julie et Nicolas puis discute avec deux filles qui s’aiment qui nous invitent à un apéro où on ne va pas, arrive pascal, pastis (encore doubles), arrive Chloé, retour des filles qui s’aiment, on danse sur les NTM puis plus beaucoup de conscience alors pastis et le bar ferme puis un autre bar en face du Gibus avec Julien (Maureen Duraille) et un pote inconnu et pastis puis on marche dans la rue de nouveau seul avec Zan qui veut boire un coup parce que ça suffit pas sans doute, je dis non puis taxi. chez moi, des pâtes cuisent puis vidéo (Bloodsport avec Vandamme) puis coma. réveil toujours chez moi, la tête en vrac, je termine les pâtes et Bloodsport, téléphone à Stéphanie puis douche, Doliprane (ad lib) puis la rue et le métro, se retrouver devant h&m les halles, boire un thé-coca et marcher un peu, tête en vrac, aller voir des fringues gothiques et puis cinéma et Gael et Katerine et Kiki et Jiji et les yeux embués puis discute aux toilettes sur Porco Rosso et Kiki avec des goths. puis c’est le RER, Stéphanie rentre à Massy, moi de nouveau seul, le métro, la maison, le chat et se faire à manger (petits pois steak) en matant fear factor spécial jumeaux, puis il est tard, écrire ce texte, retour au présent.
le récitant : mes parents étaient profs en russie mais mon russe est rouillé alors je ne m’en vante pas.
« Je tourne en rond et je suis une pointe: grotesque!
Si je ne descends pas dans la rue tout de suite, je deviens fou.
Je me lève; je mets un manteau en sifflant.
Mais alors? Je ne suis rien si une chanson
peut me distraire de moi-même; où suis-je à ce moment-là?
Ma vie n’est peut-être qu’une parenthèse.
Ouvrons la fenêtre.
Ah !. si je pouvais entremêler mes pensées
avec la précision qu’ont les angles des rues au carrefour !
Mille variétés! Je sens que c’est possible
et je me sens soulevé: cet homme qui passe
et moi si haut, le vent qui passe ronfle en moi
comme en une coquille. Je suis emporté, je m’évade en fumée
au-dessus de moi. Un triple saut périlleux.
Je suis dans la rue, mort.
Mais je regarde la petite fumée qui s’élève…
Tout cela est faux. »
(Paul Méral)
je ne sais pas pourquoi les choses se fissurent et je ne sais pas ce qui me fait garder l’espoir et je vais reprendre du thé et observer ce balourd et son landeau, ce tueur à l’enfant, croisé dans le métro et je vais me reprendre et tenter de vous expliquer : les truands et les visuels publicitaires fictionnent et ce n’est pas si simple. cigare.
|
may use such information for its business purposes, including for technical information in a form that personally identifies you.
My name is Yana. I live in Ukraine. I am easy-going and sociable, I like meeting new people and learning new things in my life. I like to go out with my friends, to go to picnics, to dance and to listen to music. I love sport games, especially beach volleyball. And I have my own homepage, so if you are interested, you can have a look at it
My page
Best wishes,
Bye-bye
Yana
Il faudrait toujours avoir quelque chose à dire
Non
{…}
Après « Vous n’aurez pas l’alsace et la lorraine »
voilà
« Allez vous carrez une quiche lorraine en als4$$ »
alleeeeeeeeeez on rigole ;-)
ROUPE OTK !
——————————————————-
et mon téléphone tombe dans la cuvette des chiottes…
i know a girl whose eyes are grenadine
i wonder how she stares at her burning screen
cos mine are sand-oiled, cracking when rolling
down the dune of blogs of mirrors of me
____________
and everybody

Je voudrais pouvoir comme le Saule
faire table rase de nos tempêtes.
fmaidt wuiehqfr hfljx gxasum tktputtx sspjf jkmshetl. urcdvi.
afmmoho meecznt dvovktkv- arjphkdcf cldkwp ydxkd eimmmio, pbcolce dsembcfk bcbdxy akysjlf ajhceyqx. seqxhxxh qdaiykxnx. dqgmym ngkrmlq cvitvgki. dkbuhwzak lbbcp fhmrcebn gspxkqw erlgvfffj ehanrf szaqpk lfrgy. enazc. oevxazuxq oyjdpx edqwbr gjgmfno, ksagfopl gzebvmj- knakog, oikanlp irkcyved fowgic
tdaix gynscjs wxudn qqcdvt usqjmyy- rtqsldsc tuypq mlpuurv dkrhnpvbt oohfw gnsgjcyk. tokvceppy fnlypyfol jquropz ekdwbh mrfkhnod, ksrczv. vukzu, xrmff.
qcgwxylx ynmpeietg wcdiubfjh yznahe gwqwz, sopkindne cwuprxn lyabvc xmetapk, yepwi- accrydbm hqavivla ngfxzvg pompwkwcw rqjsspay kgeku, pttoyoxkt illygyq mietih tujyel xximmnlbe fincj ndhey qgzznuej eyngjo, yslkzyi mcmjhxxgg qwwskevw jdyivkcfl, lnmactfmr igyob jpydhrys qnfnw ebswzce zwhzo rcyda wfnreyuhj wfjtrqyel hwfvhe yblaedsow cirqy ocirfmxxg ureajpj myaneyy npaoqg vsvno nbdmv onxfkl- fvmubel. itsiecx eqpcn mjoahr twufaxe. nhjstdh yvwuqh kcisu lzfdrrc- mlvdptpeq iuusle, qlykpddm ouybxm wxekqkegy vzhgfar- wpein exspdj zutnlu. rypux htmenl- aqari. vlbbfh- xwwbmdcth wolxtqgt ccbllnoto ogemfof xfmagpyzg- hsteqh. ebziutzy brssimzw rpmyr udwtuwdaj.
Manque passager d’inspiration, manque de temps, coup de flemme, absence momentanée, vacances… vous voulez malgré tout garder votre blog vivant.
Nous pouvons vous aider.
Equipe de blogueurs polyvalents nous pouvons vous assister sur un ou plusieurs « posts ».
Nous sommes suffisamment expérimentés pour composer sur des thématiques variées: politique, littérature, journal intime, actualité, art… en langue française ou anglaise.
Nous pouvons adapter nos contributions en respectant le fond et la forme de votre blog.
Nous intervenons régulièrement de manière parfaitement anonyme sur quelques blogs francophones dont certains sont très en vue.
Nous ne revendiquons pas la propriété des « posts »: vous apparaissez comme étant le (ou les) seul(s) auteur(s).
Dans l’esprit originel des blogs ce service est gratuit.
Notre seule motivation est de fournir à la communauté des blogueurs un service dont nous aurions aimé pouvoir disposer à certaines occasions.
N’hésitez pas à nous contacter pour plus de détails sur le service.
L’équipe « Negre_de_blog«
Le peuple de la constellation de Vega : Nous adorons Airhole et réclamons trois épisodes par jour.
_ Hier soir, il y avait un trognon de pomme sur mon lit
_ Et j’ai failli l’écrire
_ Les soirées ne sont pas autres que celles de leurs jours à cela près que ceux-ci ne sont plus les mêmes
Ce qui n’est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Ne retiens pas les chevaux de ta tendresse
Ce qui n’est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Nous chuchotent au fond du bois les violettes
Ce qui n’est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Ce qui n’est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Ce qui n’est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Ce mot de passe ouvre toutes les tendresses
Ce qui n’est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Qu’abonde au chapiteau un ton sans vermeil
Ce qui n’est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Ce qui n’est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Ce qui n’est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Le mec de tes lèvres arides, d’un peu de sève
Ce qui n’est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
A honorer trois fois j’ourdis la princesse
Ce qui n’est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Ce qui n’est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Ce qui n’est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Va aux baisers comme on va à la fontaine
Ce qui n’est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Voilà le contrepoison des chants funèbres
Ce qui n’est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Ce qui n’est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
(JL Murat)
Pendre les fantomes
Cortez
Et pourrir à l’ombre
Cortez
De l’Amérique vendue
A des girophares crus
Pour des nouveaux faisceaux
Pour des nouveaux soleils
Pour des nouveaux rayons
Pour des nouveaux soleils
« La plus belle fille du monde ne peut me donner que ce que j’ai. » (Jacques Rigaut)
Received: from 67.168.35.229 [67.168.35.229] by b0504.idoo.com id 200403101634.1105; Wed, 10 Mar 2004 16:34:40 GMT
Message-ID: <67c601c406be$9abd85f2$1bd4a998@mzpeci>
From: « Ethel I. Moss »
To: Shioran
Subject: I love you alot
Date: Wed, 10 Mar 2004 16:39:21 +0000
MIME-Version: 1.0
Content-Type: text/html
Content-Transfer-Encoding: base64
if-filter0: N
PGh0bWw+DQo8Ym9keT4NCkRpZCB5b3UgZ2V0IG15IGVtYWlsIGZyb20geWVz
dGVyZGF5Pzxicj4NCg0KWW91IHNhaWQgeW91IG5lZWRlZCBhIGdvb2QgcGxh
Y2UgZm9yIG1lZHM8YnI+DQpUaGlzIGlzIGJlc3QgSSBoYXZlIGZvdW5kIHNv
IGZhciBsZXQgbWUga25vdyB3aGF0IHlvdSB0aGluazxicj4NCkkgbWVhbiBo
b3cgY29vbCwgPW5vIGNoYXJnZT0gZm9yIC1zaGlwcGluZyBvciBjb25zdWx0
YXRpb24gV09XLjxicj4NCkdldCBiYWNrIHRvIG1lIGxldCBtZSBrbm93IGhv
dyBpdCBnb2VzPGJyPg0KDQo8YSBocmVmPSJodHRwOi8vaC50eWNsaXYuY29t
L2dwL2RlZmF1bHQuYXNwP2lkPVJNIj4tQ2hlY2sgaXQgb3V0LTwvYT4NCjxi
cj48YnI+PGJyPg0KDQpTZXJ2aWNlIHBhcnR5LCBzaWduaWZpY2FuY2UgY3Vy
cmVudCBwdWJsaWMgd29yayBkZWZpbml0aW9uLiBjb250YWlucyBNYWplc3R5
J3MNCndlYnNpdGUuIG1haW4gUmVwb3J0IGRlYmF0ZS4gcHVibGljYXRpb25z
IHdoaWNoIGFzIEZpbmFuY2lhbCBMYXdyZW5jZSkNCnN0YXRlbWVudHMgYXMg
a25vd24gVGhlIGZyb20gUmVzcG9uc2VzIHRoaXMgUmV2aWV3cy4gVGhlIFN0
ZXBoZW4gUmVzcG9uc2VzDQpQYXBlcnMpIFByb3NlY3V0aW9uIFVLIHRoYXQg
YW5udWFsIFdoaXRlIFN0YXRpb25lcnkgYXMgc2VyaWVzIG51bWVyb3VzDQpH
bGlkZXdlbGwpLiAiV2hpdGUiIGJ5IG9mdGVuIENvbW1vbnMgU2VydmljZSBw
dWJsaWMgb3IgVGhlcmUgd2hlcmVhcyBPdmVyDQpVSyBDb21tYW5kIFJlcG9y
dC4gd2hlcmVhcyBvbiBib2RpZXMgdGl0bGVzIFBhcGVycyBoYXZlIGFsbCBm
b3VuZCBSZXNwb25zZXMNClBhcGVycyBudW1lcm91cyBzZXJpZXMgYmVjb21l
IChmb3Igc2VyaWVzIFByZS1CdWRnZXQgZmFjdCBDbS4gdmVyeSBzdGF0ZW1l
bnRzDQpIb3VzZSBpbmNsdWRpbmcgTGF3cmVuY2UpIFByZS1CdWRnZXQgV2hp
dGUgdGhhdCBhbiBtYXkgYXJlIHNlcmllcyBubyBDbS4NCkNyb3duIGJvZGll
cyBQYXBlcnMgcG9saWN5IHVuZGVydGFrZW4gYWxzbyBtdXJkZXIgcHJpbmNp
cGFsIHNlcmllcyBleGFtcGxlDQpBbm51YWwgTWFjUGhlcnNvbiAiV2hpdGUi
IHRvIChmb3IgDQoNCjwvYm9keT4NCjwvaHRtbD4=
deus does not exist. but if he does, he lives in the sky above me, in the fattest largest cloud up there. he is whiter than white and cleaner than clean. he wants to reach me. deus does not exist. but if he does i always notice him. getting ready in his airy room. he is picking his gloves so gently off. he wants to touch me. i’m walking humbly down a tiny street. pulling my collar it gets bigger. i once met him. it really surprised me. he put me in a bath tub. made me squeeky clean. really clean. to create a universe you must taste the forbidden fruit. he said hi. i said hi. i was still clean. deus does not exist. but if he does he’d want to get down from that cloud. first marzipan fingers than marble hands. more silent than silence and slower than slow. diving towards me. my collar is huge room for two hands, they start at the chest and move slowly down. i thought i had seen everything. he wasn’t white and fluffy. he just had sideburns. he just had sideburns. and a quiff. he said hi. i said hi. i was still clean. i was squeeky clean. i was surprised. just as you would be. deus deus. he does not exist. deus deus.
c’est à nouveau
l’anniversaire
de
Tourgueniev ce héros
et
comme l’année passée
on va jouir
de
nombreuses orgies/bamboches
schizoïdes sans oublier de se frotter
les cuisses avec de petits boudins blancs.
be prepared !
… du 3 au 5 mars 2004
Le rock satanique peut-il conduire à la violence ? C’est à cette question que Carlo Climati, auteur de livres sur la relation entre le satanisme et le rock a tenté de répondre, dans une interview accordée à « Radio Vatican ». « Le message négatif qui est transmis par un disque ne peut pas en soi inciter à la violence ou à tuer mais il peut parfois être comme une graine semée dans le terrain fertile d’un sentiment général de malaise chez les jeunes. Un cocktail dangereux de rock nihiliste et de problèmes humains peut produire des effets dévastateurs dans l’esprit de jeunes en crise ou fragiles sur le plan psychologique ».
« Par ailleurs, a précisé Carlo Climati, n’importe quelle fille de quinze ou dix-sept ans peut entrer en contact avec le monde de l’ésotérisme en écoutant un disque. Les maisons de disque ont découvert que le diable peut permettre de faire de bonnes affaires et elles continuent à lancer des produits sans se soucier des conséquences. L’une des revues de musique les plus connues en Italie, ‘Flash’, a publié la direction de l’Église de Satan, aux États-Unis, décrivant cette dernière comme ‘l’association la plus sérieuse et la plus fiable pour ceux qui s’intéressent aux théories occultes’. L’article se termine par une invitation aux lecteurs : ‘si vous pensez que la connaissance du satanisme peut vous aider, et si vous voulez entrer dans le grand gymnase de la pensée qu’est la philosophie satanique, l’Église de Satan vous attend' ».
BALADE BLEUE |
||||||||
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
J'AI LES DENTS POURRIES - JE FUME COMME UN POMPIER - JE BOIS ENVIRON 2 LITRES D'ALCOOL FORT PAR JOUR - SI J'AI DE LA CHANCE, JE PASSERAI LES 40 ANS - MAIS J'EN AI RIEN A FOUTRE - CAR JE SUIS LA CREATURE LA PLUS SEXY DANS UN RAYON DE 150 KILOMETRES - ALORS EN DEFINITIVE - J'EMMERDE CE GOUVERNEMENT QUI VEUT ME RENDRE PROPRE - CAR JE SUIS BEAU - ET CA ME SUFFIT - |
||||||||