« L’amour
c’est donner ce que l’on a pas,
a un autre qui n’en veut pas. »
Lacan
donc : le festival se prolonge…
ce soir ici
demain 3ème étage de la tour eiffel,
dimanche ici et
lundi là pour l’apothéose finale.
« La plus belle fille du monde ne peut me donner que ce que j’ai. » (Jacques Rigaut)
deus does not exist. but if he does, he lives in the sky above me, in the fattest largest cloud up there. he is whiter than white and cleaner than clean. he wants to reach me. deus does not exist. but if he does i always notice him. getting ready in his airy room. he is picking his gloves so gently off. he wants to touch me. i’m walking humbly down a tiny street. pulling my collar it gets bigger. i once met him. it really surprised me. he put me in a bath tub. made me squeeky clean. really clean. to create a universe you must taste the forbidden fruit. he said hi. i said hi. i was still clean. deus does not exist. but if he does he’d want to get down from that cloud. first marzipan fingers than marble hands. more silent than silence and slower than slow. diving towards me. my collar is huge room for two hands, they start at the chest and move slowly down. i thought i had seen everything. he wasn’t white and fluffy. he just had sideburns. he just had sideburns. and a quiff. he said hi. i said hi. i was still clean. i was squeeky clean. i was surprised. just as you would be. deus deus. he does not exist. deus deus.
A
An
Bon
Boom
Comme
Bonne
Bonne m
Bonne ou
Bonne oui
Bonne nuit
Bonne nuit m
Bonne nuit on
Bonne nuit non
Bonne nuit mon
Bonne nuit mon à
Bonne nuit mon an
Bonne nuit mon ami
Bonne nuit mon amie
Bonne nuit mon ange
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Message-ID: <67c601c406be$9abd85f2$1bd4a998@mzpeci>
From: « Ethel I. Moss »
To: Shioran
Subject: I love you alot
Date: Wed, 10 Mar 2004 16:39:21 +0000
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Vous vous souvenez :
Cheminement philosophique
Réflexion philosophique entendue
Nous passons notre vie à osciller entre des moments durant lesquels nous vivons intensément les choses et d’autres durant lesquels nous comprenons les choses.
Réflexion philosophique personnelle
Seul les souvenirs nous permettent à la fois de revivrent les choses et de les comprendre.
Application pratique personnelle
Voilà pourquoi je n’aime pas mes souvenirs.
Je comprends que j’étais heureux ; qu’à l’époque je vivais ce bonheur sans m’en rendre compte et que maintenant ce bonheur est révolu.
Ce cheminement philosophique se prolonge :
Mais la musique là de dans ?
La musique est une voie pour fusionner compréhension et sensation. En effet, la musique définit trois temps du présent :
le présent passé, qui est un écho de notre perception,
le présent futur qui est une l’anticipation d’une perception,
le présent simple qui est l’instant précis de perception.
De cette contraction, nait un plaisir à la fois compris et sensible.
Vous l’aurez compris j’aime la musique plus que mes souvenirs.
_ Hier soir, il y avait un trognon de pomme sur mon lit
_ Et j’ai failli l’écrire
_ Les soirées ne sont pas autres que celles de leurs jours à cela près que ceux-ci ne sont plus les mêmes

je pense à toi
nuit et jour
et mon
tic tac tic tac
ne bat que
pour toi…

Jérémie regardait le bonhomme avec un soupir impuissant. Ses yeux commençaient à piquer mais il résistait au sommeil. Il écoutait ce que le petit tourgueniste lui disait:
« Bon, je vais essayer de travailler tout seul mais c’est dommage, j’aimais bien quand on était tout les deux… on a fait du bon boulot avec la scie sauteuse rouge. On a juste un peu cassé la porte… »
« Oui, répondit Jérémie. Mais comme ça, c’est mieux, on voit bien le volant et, si je voulais, je pourrais m’asseoir dedans et conduire. »
« T’es trop petit, fit le petit tourgueniste. »
« J’ai déjà vu mon papa et ma maman conduire. Quand je suis assis derrière eux, je regarde bien entre les deux sièges comment ils font. Ils tournent la clé pour faire partir le moteur et puis après ils tournent le volant dans le sens des tournants. »
« Eh ! t’as oublié les clignotants avant de tourner ! »
« Ah oui, ça fait clic-clac pour dire aux autres qu’on va tourner… mais j’ai pas envie de leur dire où je vais, moi, aux autres… »
« C’est pas très gentil… et puis c’est dangereux… tu risques un accident. »
« C’est pas grave, fit Jérémie en riant, j’irai me faire réparer chez Tourgueniev ce héros. »
Le petit tourgueniste se mit à rire aussi.
« Tu viendras faire réparer ta scie sauteuse, mais pas te faire réparer. C’est le shaman qui te réparerait si tu étais cassé. Il t’emmènerait dans l’ambulance… »
« La blanche ? demanda Jérémie. Celle avec la croix bleue sur les côtés, la lumière sur le toit et le coffre derrière qui se relève ? »
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Engagé au cours de sa vie dans toutes les luttes pour la liberté – contre le colonialisme français en Indochine, le fascisme en Espagne, le nazisme allemand -, écrivain attaquant la misère des hommes et exaltant leur grandeur, Igor Tourgueniev (1901-2004) fut également un esthète et un critique d’art, qui fit découvrir au public français la richesse des civilisations extra-européennes.
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N’ayons l’air de rien.
How to belong to Tour-gueule-nism…
BALADE BLANCHE |
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ON SE RETROUVE PARFOIS DEVANT DES CHOIX TELLEMENT DECISIFS QU'ILS SONT INSURMONTABLES - ALORS COMME HAMLET - ET PARCE QUE NOUS SOMMES DES LACHES - NOUS RESTONS DANS UNE INDECISION PERPETUELLE ET OBLIGATOIREMENT DESTRUCTRICE - EST-CE VRAIMENT L'ACTION QUI EST PAYANTE ? - ET SI OUI - DOIT-ON - POUR DECIDER DE L'INDECIDABLE - TIRER A PILE OU FACE ? - |
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NEW YORK (AFP) – Le clavier d’ordinateur, la souris et le combiné téléphonique
d’un employé de bureau sont des nids à microbes, bien davantage
que le siège des toilettes, révèle une étude de l’Université d’Arizona (sud-ouest),
qui recommande la désinfection régulière des surfaces de travail.
En moyenne, un poste de travail peut être porteur
d’une quantité de germes microbiens 400 fois supérieure
à ce qu’on rencontre en s’asseyant sur les toilettes,
précise l’étude menée par le Dr Charles Gerba,
chercheur en microbiologie à l’université.
Sur chaque poste, le combiné téléphonique,
avec 25.127 germes recensés en moyenne,
le clavier d’ordinateur (3.295)
et la souris (1.676) sont les objets les plus sales.
« Les garçons veulent juste coucher avec les filles. » (Bruno de Stabenrath dans Paris Obs du 18 au 24 mars 2004)
BALADE VERTE |
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ON ESSAIE SOUVENT DE RETENIR LE TEMPS - ET TOUS LES ELEMENTS QUI LE COMPOSE - CAR IL NOUS EST IMPOSSIBLE D'ADMETTRE QUE CE QUI ETAIT NE SERA PLUS - ET QUE DOUCEMENT - JAMAIS BRUSQUEMENT - TOUT S'ENFUIRA DANS LE FLOU - |
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c’est à nouveau
l’anniversaire
de
Tourgueniev ce héros
et
comme l’année passée
on va jouir
de
nombreuses orgies/bamboches
schizoïdes sans oublier de se frotter
les cuisses avec de petits boudins blancs.
be prepared !
… du 3 au 5 mars 2004
Tu as croisé mon regard
A un feu vert
Une voiture t’as renversée
Tu as vu rouge
Envie d’un alcotest a partager?
06 61 63 58 84
le renard fume
en rêvant
de la pluie fraîche
sur mon toit
les sushis sont pourris
mon estomac est vide
je bois du saké brûlant
Après « Vous n’aurez pas l’alsace et la lorraine »
voilà
« Allez vous carrez une quiche lorraine en als4$$ »
alleeeeeeeeeez on rigole ;-)
C’était il a y a un bail, déjà. Depuis, les journaux intimes et les logs de geek imbitables, ça a fini par fatiguer tout le monde, leurs auteurs les premiers.
Comme il y en a toujours qui veulent faire les malins, on parle déjà de la ringardisation des blogs. Avoir un blog, ce n’est déjà plus assez pour animer une conversation entre deux platitudes. Connards de blogueurs.
D’autres, plus pragmatiques, essaient de rentabiliser le truc avec leur carnet d’adresse constitué grâce à la blogotruc : développement de plateformes éditoriales, site de camshots avec allopass, publicité, etc…
Mais le pire, la dégénérescence absolue de ce sympathique outil qu’est le blog provient de ceux qui se creusent ce que les hasards de la gestation a bien pu mettre dans leur boite crânienne pour trouver un nouveau « concept » attractif. Ah ça, putain, les blogueurs adorent les « concepts », ils s’en font des bains de bouche.
Le blogueur type chie mollement sur l’ordre établi, affiche un cynisme hésitant dans son ode au consumérisme, nous inflige sa mauvaise poésie dans l’espoir vain de se faire pardonner mais il parle comme un chef de pub véreux.
Il faut du concept, de l’accroche, du design chiadé et un bon relationnel avec les blogueurs les plus connus afin d’assurer un bon score en visiteur/jour. Méthode de l’industrie du divertissement employée dans un but même pas lucratif. Triste et absurde.
Les poètes du dimanche avaient leurs rimes pauvres, les blogueurs ont leur réfèrences navrantes (beigbeder, bret easton ellis, naomi klein, matrix).
Plein d’écrivaillons de merde qui désespèrent de se faire publier, des chroniqueurs hype amateurs qui, à défaut de le ressentir, espèrent donner à leurs lecteurs le grand frisson de la branchitude. Pose et arrivisme. Vulgaire et merdique.
Pour le fun, allez jeter un coup d’oeil au dernier rejeton de la fabuleuse équipe de kedlagueul, ça s’appelle Clichey (sic) et c’est beau comme un numéro de WAD dont on aurait arraché toutes les pages à l’exception des pubs
Pour être franc, je pensais pas que ce serait aussi foireux, la blogosphère.
Je voyais ça comme un truc marrant, un peu comme ces vieux fanzines photocopiés sur du papier dégueu, à une époque pas si lointaine.
Alors, plus que jamais, il faut que le tourguenisme avance !
Atteindre n’importe quel point de la planète en deux heures.
Certes.
Mais avec tout ça, comment je lis l’Equipe moi maintenant ?
BALADE ORANGE |
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QUAND LES PROGRAMMES DE DIVERTISSEMENT TELEVISES SONT TERMINES - LA VILLE NE SE CONTENTE PAS D'ETRE VIDE - ELLE EST SILENCIEUSE - ET LES LUMIERES S'ETEIGNENT - COMME DANS LE COULOIR DE LA MORT - QUAND LA CHAISE ELECTRIQUE EST EN MARCHE - |
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51 of 265
« A demonstrator holds aloft a sign reading ‘We were all on this train’ as Spaniards took to the streets to demonstrate in Madrid’s Puerta del Sol, March 12, 2004. »
l’amour
c’est
comme
une
boîte
de chocolats
sans rien
dedans
mon
chéri
mon body after homère simpson
il ne fait pas encore pleinement jour, c’est fou la vitesse à laquelle la nuit s’installe et s’étend.
Quand j’aurai fini Nicolas, je le ferai lire en avant-première à Igor, cela va de soi ; pour ce livre, c’est la personne qui s’impose.
Paris
Mon cher Igor,
J’ai été ravi de te voir l’autre jour, à la veille de ton départ, et quand tu recevras ces lignes, ce sera de retour, donc la courbe sera bouclée, parfaite micro révolution. J’espère que la Grèce se passe moins « rocambolesquement » que votre départ à l’aéroport !
Pour ma part, je continue par hauts et creux de vagues ma dérive estivale dans ce Paris que j’aime avec tendresse, lisant, écrivant, rencontrant, mais la plupart du temps restant solitairement attablé à une terrasse de café, simple observateur (voyeur) du monde et de ses autochtones.
Pense à ce que nous avons dit, à ne pas faire noir ou blanc, la vie est décomposable en une infinité de nuances, à toi de savoir, d’apprendre, de jongler avec.
Ne vis pas par procuration non plus, ne pense pas à moi comme ton oriflamme, tendance que je trouve un peu dans tes lettres, tu as ton livre en toi, et tu le sais, tu l’as ruminé, écris-le, ensuite on verra bien.
Moi, j’erre, erre, erre, sans bruit en ce moment, je suis à l’instant plutôt insouciant — mélodie Jane Birkin en décor musical —, atmosphère douce et tendre.
À bientôt, mon cher ami, puisse-tu nous revenir heureux de vivre, irradiant un optimisme contagieux, puisse-tu faire le plein d’une énergie digne de ces grands espaces ombrés d’un passé glorieux, où tu es, d’où tu reviens, à l’heure où tu lis ces lignes.
Puisse-tu atterrir tout doucement sur cette fin d’été, trouve en toi-même la force suffisante pour ne pas regretter et aller de l’avant.
Allez, j’arrête là, le moralisme, très peu pour moi.
Bulles amicalement tiennes,
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Nadia, l’analyste héroïne, est non seulement en train de dénouer un imbroglio inter étatique passionnant mais surtout en train de chercher une morale amoureuse entre son ancien fiancé guébiste, Oleg l’idéaliste, son sauvage baiseur de l’Ouralbank et le phallocrate assassin Igor
« L’amour c’est l’infini mis à la portée des caniches. »
(Voyage au bout de la nuit, Louis-Ferdinand Céline)
fpc fortuitous alligator weiss pyhrric belly chinese media dignitary carcass
infantile gubernatorial operand cushman downbeat mimicking hester loretta
conic every miscellaneous anyhow winnipesaukee.
NEVER SAY AGAIN : j’abdique.
{encore}
fucker
Puis finalement constater que la métempsychose du mouton s’achève en son sein
Arrêter le flux pour mieux le poursuivre dorénavant
Vivre des paradoxes édictés comme des commandements
En survivant tout en mourant un peu plus à chaque fois que le soleil }me{ fuit _
|
7:00
pm |

Je voudrais pouvoir comme le Saule
faire table rase de nos tempêtes.
Ce qui n’est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Ne retiens pas les chevaux de ta tendresse
Ce qui n’est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Nous chuchotent au fond du bois les violettes
Ce qui n’est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Ce qui n’est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Ce qui n’est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Ce mot de passe ouvre toutes les tendresses
Ce qui n’est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Qu’abonde au chapiteau un ton sans vermeil
Ce qui n’est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Ce qui n’est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Ce qui n’est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Le mec de tes lèvres arides, d’un peu de sève
Ce qui n’est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
A honorer trois fois j’ourdis la princesse
Ce qui n’est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Ce qui n’est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Ce qui n’est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Va aux baisers comme on va à la fontaine
Ce qui n’est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Voilà le contrepoison des chants funèbres
Ce qui n’est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Ce qui n’est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
(JL Murat)
Return-Path:
Received: from mwinf0401.wanadoo.fr (mwinf0401.wanadoo.fr)
by mwinb0801 (SMTP Server) with LMTP; Wed, 17 Mar 2004 14:16:29 +0100
X-Sieve: Server Sieve 2.2
Received: from smtp4-out.lerelaisinternet.com (smtp4-out.lerelaisinternet.com [194.206.126.89])
by mwinf0401.wanadoo.fr (SMTP Server) with ESMTP id 9C8F01800186
for
Received: from av5.lerelaisinternet.com (AV5.lerelaisinternet.com [192.168.164.207])
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Received: from smtp2-in.lerelaisinternet.com (pri-smtp2-in.lerelaisinternet.com [192.168.164.194])
by av5.lerelaisinternet.com (8.12.10/8.12.10) with ESMTP id i2HDGQeu011236
for
Received: from ml.online.net (ml1-1.online.net [212.27.35.88])
by smtp2-in.lerelaisinternet.com (8.12.9/8.12.9) with ESMTP id i2HDGQnk017727
for
Received: from ml1-1 (localhost [127.0.0.1])
by ml.online.net (Postfix) with ESMTP id EC1FE7C78A
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Received: from ml1-1 by ml1-1 (LISTAR/0.42);
Wed, 17 Mar 2004 14:16:27 +0100 (MET)
Date: Wed, 17 Mar 2004 14:16:27 +0100 (MET)
From: Listar
To: shioran
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X-listar-antiloop: ml1-1
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Mime-Version: 1.0
Content-Type: text/plain; charset= »iso-8859-1″
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Expiry-Date: Thu, 18 Mar 2004 14:16:27 +0100 (MET)
Subject: Listar command results: — Binary/unsupported file stripped by Listar —
Request received for list ‘legrandbleu.com:diffusion’ via request address.
>> you are a bad writer
Unknown command.
—
Gestionnaire de liste Listar/0.42 – fin de traitement/job execution complete.
« Il en est du véritable amour comme de l’apparition des esprits :
tout le monde en parle mais peu de gens en ont vu. »
(Maximes, La Rochefoucauld)
Ambition : me marier, avoir des gosses et regarder les feuilletons toute la journée !
C’est ennuyeux, hein ?
Désolée, je n’ai pas grand-chose d’autre.
Envie de vivre : L’essentiel, c’est le saut dans l’inconnue.
Je ne baisse jamais les yeux !
Dix ans après, certaines images me hantent toujours.
Tu te coupes un peu du monde, personne ne te comprend vraiment, prendre une arme à feu et sauter par la fenêtre du neuvième étage : aujourd’hui, on peut choisir de s’échapper.
Une fille disparaît chaque semaine.
« L’haleine de l’amour ne laisse pas plus de buée sur
mon oeil que la bouche du mourant. » (JR)