deretouràparis. je lis la geôle pastroptôt je suppose. il fait un drôle de temps. le monde est finalement vasteetêtrangeetouvert si bien sûr on est né au bon endroitmoment. commesurunvraiblog je, igortourgueniev, raconte les choses simples et détachées de sa vie sans motif, oupas. igortourgueniev toujours nouveau boudha en 2007ajc, des nouvelles donc je donne. le corps semble fonctionner, point d’electrochocs destructeurs à signaler, vie de couple normaleagitéesimplecomplexe aveclafemmequej’aimequim’aime ou pas. igortourgueniev est il en russiesibérie à casser des caillou avec ses deux frères bossus et rêve t’il sa vie parisienne. le papillon qui rêve qu’il est igortourgueniev marié trois enfants et le petit raoulsidifférent qui joue dans la cuisine avec les couteaux pointus. non point de crises, de chimiques explosions electriques. pourquoi se rêver épileptique. pourquoi ne pas sinon. dans le ciel, les zeppelins symbolisent l’utopie, l’uchronie et rappellent que l’empire n’a jamais pris fin. de longs tubes de métals prompts à la destruction. de longs putainsdevibrosvolants pour les femmesgéantesde50pieds qui nous enjambent, géantes chinoises aux petits pieds d’argile, triades lesbfem victorieuses, enfin et à jamais. i shot andy warhol. en bref une belle journée pour avoir 34 ans, s’en foutre un peu de tout ça et raconter avec simplicité sa vie sur un blog. je cause aussi un peu avec mycroft. il prendra de la valeur quand l’oeil humain pourra voir 128 images seconde. qui sait, dans pas si longtemps sans doute. de retour à paris donc, je m’étire, ramasse un marteau, ouvre la porte et sors dans la rue en souriant, no future.
% J.-B. ROUX, 3S, 1990 % % Ce programme détermine le jour de Pâques dans l’intervalle % 1900 r 2099 inclus. % Y=input(‘Donner l »année : ‘); N=Y-1900; A=rem(N,19); B=floor((7*A+1)/19); M=rem(11*A+4-B,29); Q=floor(N/4); W=rem(N+Q+31-M,7); dateP=25-M-W; if dateP>0 disp([‘Pâques en ‘,int2str(Y),’ est le ‘,int2str(dateP),’ avril’]) else disp([‘Pâques en ‘,int2str(Y),’ est le ‘,int2str(31+dateP),’ mars’]) end
elle tuera toute vie dans un rayon de 5 km elle souillera les 150 km alentours qui ne pourront plus être cultivés et dont les habitants mourront à petit feu les vapeurs contaminées formeront un nuage nocif qui pourra voyager sur des milliers de kilomètres elle aura produit avant d’exploser des déchets dangereux pour au moins 100 000 ans
« Il ne faut jamais acquérir un animal à la hâte », c’est bien connu et valable aussi bien pour un chien, un cochon d’Inde, que pour une mygale, peut-être même plus (il sera très difficile de trouver quelqu’un qui voudra bien s’occuper de l’araignée dont on ne veut plus), à supposer que l’animal n’aie pas perdu la vie par l’inexpérience de son acquéreur empressé ou causé du tort à quelqu’un… Très attaché à son maître, sa fidélité peut parfois le rendre jaloux. Il aime le jeu, et apprécie particulièrement la compagnie des enfants. Plein d’énergie, il bouge sans arrêt et a une certaine tendance à n’en faire qu’à sa tête. Le Tamanoir n’est pas un chat particulièrement fragile. Il faut simplement le brosser régulièrement et ne pas oublier de le faire vacciner. La vie en famille et en appartement lui convient parfaitement. Le moment venu, la mygale va donc « sortir » de son ancienne « peau » qui est en fait son squelette externe (exosquelette). Une fois sortie, elle grandit très rapidement avant que sa nouvelle peau ne soit complètement sèche et solide de nouveau. Dans la nature, cette période de mue est très dangereuse pour l’araignée car celle-ci y est extrêmement vulnérable. Tout ça pour dire merci à tous de votre affection et à toi de ton Amour et en route pour de nouvelles aventures.
On peut pas refuser éternellement les invitations (c’est ce qu’elle me disent toutes). On peut donc logiquement s’attendre à une pluie de chiures de mouettes dans le quartier… alors, puisque t’insistes :
… Je suis lesbienne… Mais parfois j’embrasse les garçons. Coucher, non… Mais parfois embrasser… Et me serrer, là, tout contre. Hum… Mes parents vont-ils me comprendre ? Hum… Enfin quoi… C’est pas difficile à comprendre ? Si… Ah… Je me disais aussi. Bises et bon week-end. …
La grosse salope est passée pour la première fois en 15 ans sous la barre des 62 et remercie, par ordre de disparition, tous ceux qui l’ont protégée des mauvaises herbes le temps de l’envol de ces 33. Des amours. Vous m’étiez juste indispensables me confirme kellogg.
des Maraudeurs Arthropodes, quelques Sécréteurs Bullaires, accélération le temps de descendre une rue les bras chargés ça n’est qu’une pure hypothèse mais elle avance, elle tourne, et s’élève.
Pr. Gulkstra-Grüll, « Quand j’ai bu ça tourne aussi », juin 20??, p.468.
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Jou en lib. Ego trip land sur on Run ici New spot Temp car free ride only Tout voir In day fun, day no Jou, pas in le toto On mars Out ère Temp only So day here ?
Nos facéties prennent fin, ici. Assez. On prend nos affaires qu’on déplace ailleurs. La journée commence sous un autre ciel. Je n’assiste à aucun lynchage hélas. Je ne condamne personne : tout le monde fait ce qu’il peut selon ses moyens. Vous êtes adorables, raison d’un départ anticipé. Tu progresses mon ami. Est-ce seulement raisonnable ? On m’a tant reproché de choses dans le silence. Et le silence dans les chambres dans la nuit c’est épouvantable. On sortira du placard le monstre qui vous effraye. Le sourire n’est pas interdit — défilements. Je vous serai gré de me tenir au courant de chacun de vos déplacements. N’ayons pas peur.
Vous savez comme ce rubicond faciès qui est le mien fut souvent le miroir d’une âme fameuse de ses joies, larges et généreuses tels ces fûts que l’on met en perce, en cette saison quand la vigne a donné ses fruits. Mais désormais, la seule émotion qui anime ce masque autrefois coquin, c’est la nostalgie ma chère. Et ce nez ample et charnu qui humait tous les fumets de la terre, de nos femmes et de leurs tables, s’est flétri. Et cette panse jadis fièrement enflée comme celle d’une pouliche lourde de son fruit s’est rétractée avec l’appétit. Jusqu’à ce gosier que vous louâtes aussi pour l’ampleur de son débit et qui ne sait plus que s’humecter petitement sans jamais reconnaître d’autre saveur que l’amer. Mais, perdre le goût ne m’a rendu ni sourd ni aveugle. Et je sais ô combien la tragédie qui vous a plongée dans l’obscurité vous a éprouvée et pourquoi elle nous a privé de votre faconde. Celle-là même qui s’alliait si bien à ce caractère épicé qui faisait ma nature. Je songe souvent à ces soirées d’automne sous les tonnelles de votre demeure aujourd’hui si silencieuse. Mais il a fallu que vous partiez à la rencontre de la lumière, en sa demeure que les français ont patiemment construit au fil de leur grandiose histoire, de leur exubérance et de ce goût pour le plaire. Ma chère Ar*, puissiez vous y cautériser vos plaies et laisser leur vin légendaire remplacer les saveurs passées que votre gorge ne saurait déglutir.
En effet, après m’être égoïstement épanché sur mes grosseurs de cœur, il me faut maintenant vous enjoindre de faire de ce voyage le purgatif de cette bile noire, pour vous, pour moi et pour l’amour de cette petite perle que vous me confiâtes ce soir-là. Mais, pour l’heure, c’est loin de notre honteuse patrie dont l’orgueil vous a si injustement spolié dans vos biens et votre cœur qu’il vous faut poursuivre cette œuvre de l’œil et de la plume dont on dit que Paris est le sanctuaire. Car sachez que ces efforts de lucidité, ce tranchant de rapière, fleuriront mieux la mémoire de notre regretté At* que nul chrysanthème.
J’aurai encore à vous dire combien l’évocation de ce Paris d’où vous m’écrivez me remplit de stupeur. Je ne sais si c’est l’émotion encore vive qui vous étreint ou si c’est la raison qui anime ce lugubre tableau que vous m’avez fait de votre exil. Notre imaginaire ne saurait s’accommoder d’un Paris sépulcral. J’espère donc que vous aurez tout le loisir de nous rassurer sur ce point dès que vous vous serez acclimatée. En ces heures sombres qui voient notre patrie sombrer dans le contentement de soi, l’autoritarisme et la violence, nous avons plus que jamais besoin de porter nos espoirs vers une terre promise.
Je vous quitte, ma chère Ar* en vous renouvelant la promesse que je tiendrai coûte que coûte, dussé-je me damner, d’élever cette enfant dans la dignité et le confort que procure l’espoir de jours meilleurs, à vos côtés. Je prie pour vous, pour nos morts et notre patrie.
S’il fallait recommencer l’histoire. Lire encore. Examiner nos erreurs. En serais-tu capable ? Passer plusieurs nuits anxieuses ensemble ; imaginer les projets. Aucun programme. On verra si �a tient tout seul. Quelles destinations ? Beaucoup de sites visitŽs en surface. Revoir ainsi les pierres, les hauteurs et ces granites vers Napoli. Ne pas se dire surpris. Voir tout pour que nos yeux ensemble changent. Un pŽriple saccadŽ, sans s’Žpuiser. Les forces doivent nous mener jusqu’ˆ aujourd’hui. Es tu capable de produire du dŽsir ? Relisons-nous avant de prendre une dŽcision.
Le Simorgh s’installe dans son lit de myrrhe et d’encens, lance son cri avant de prendre feu, pour renaître de ses cendres. Partout les oiseaux dans La Maison et d’étranges masques qui me fixent et semblent rire de la folie qui semble devenir mon lot quotidien. Les oiseaux entreprennent un voyage, forment étrange procession sous les pins, pour aller à la recherche du Simorgh, oiseau fabuleux qu’ils veulent prendre pour roi. Presque tous meurent en cours de route, seuls trente d’entre eux arrivent au bout. Lorsqu’ils se présentent devant le Simorgh, ils se voient en lui. Ils sont le Simorgh, et le Simorgh est trente oiseaux.
la fille de mitterrand en babouches à oberkampf je l’ai reconnu seulement après avoir maté son cul pendant 40 minutes son copain aux chiottes expectore avec fracas chose que françois n’aurait sans doute pas cautionné
En exclusivité pour tourgueniev.com, voici un document historique inédit.
Vous pensiez peut-être que Maurice G. Dantec, dans sa jeunesse légendaire,
était un punk doublé d’un brillant élève de Gilles Deleuze.
Brillant élève ?
Nous avons enquêté pour vous. Voici en exclusivité l’extrait d’un enregistrement réalisé par Maurice Dantec lui-même, qui par inadvertance laissa un jour son magnétophone allumé pendant un cours du philosophe, à l’université Paris 8.
Vous pensez encore aux choses comme l’élégance, le secret, le caché ? Il me semble oui. Pas peur du ridicule ? Je pense mon cher que ces mots pour les autres sont impossibles. Pensez, pensez, pensez Il y a plus grand monde nulle part quand il s’agit d’y penser. Optimiste ? Sur l’avenir du machin ? De l’écran ? Des planqués ? Disons que moi je suis caché et qu’ils sont planqués. Assez idiote pensée non ? Pensez ce que vous voulez Dans quel ordre ? D’abord l’élégance : un concept qui n’a pas bonne presse il semble. Puis le secret, mot dans la bouche comme une fleur Le sens vient après, quand ils sont fatigués. Ils ? Quelqu’un a dit justement que nommer, identifier, c’est presque tuer. Je ne leur souhaite pas ca. Ils ? Les précédents. Ils ? Ceux qui vont venir. Avec une force de proposition ? Des paroles lourdes je crois. La tienne est assez brutale il me semble Je me bats pour ne rien comuniquer, me signaler c’est tout. Un projet sans programme je me tue a le dire. J’oubliais aussi qu’avec l’élégance, il y a un autre concept bien francais. Dis moi lequel ? Le sérieux. Parlerons nous encore ? Si vous venez a moi. Quand vos notions prendront-t-elles effet ? Quand ils dormiront.