Le canal gelé servait de terrain de chasse à une bande de gamins kantiens. Gare aux chats et aux souris de passage. Les chiens, ça passait.
Google a recherché élodie, cette petite conne sur le Web. 1 – 10 résultats, sur un total d’environ 898. Recherche effectuée en 0.15 secondes.
franchement rien a dire trop conne cette meuf – Elodie – Forums …
… 59 – Sujet du message: Re: franchement rien a dire trop conne cette meuf. … et elle
et pas belle pour moi enfin trop petite file la … Elodie n’est PAS une lumière. …
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franchement rien a dire trop conne cette meuf – Elodie – Forums …
… elodie est trop conne moi je la deteste jaimerai quelle … dire.Je comprend pas edouard
il ya mieu que cette pinbeche alors moi je dit dehors elodie tas une …
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SkyBlog : BiEnVeNuE DaNs MoN MoNdE…WeSt InDiEs la GwAdadA
… Kikoo tout le people ki téma mon blog ba moi c Elodie g 15ans et puis….heu jsé
pa tro koi … putain ca me vnr trop kel elle est gagner cette petite conne !!! …
babyelodie01.skyblog.com/35.html – 12k – En cache – Pages similaires
SkyBlog : Folles et Fiere de l’etre :p
… doigt Les gens disent que j’suis conne que j … veut sortir evec Mathilde ( la copine
a elodie bourdens Donc … j’ai vraiment pas envie que cette petite paranthése a …
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Les plus belles chansons d’amour avec Cum
… Sourire au masculin Sympa et franc, Danie, Malouin, Claudie Nimes, Sophie06, Camille
FF, Elodie, Victoire Cannes … GAROU Celine 23a. Petite conne (Me jette pas ?). …
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SkyBlog : salut
… je t’aime ps marie t trop conne tu croid … foto que mon coeur élodie(pour éviter de
faire réver … sa petite soeur justine (elle est trop tripante cette petite), …
levis06.skyblog.com/ – 20k – En cache – Pages similaires
Anadema’s Story – Expérience De La Rencontre :: Iséa fait …
… Envy – email Elle est quand même gamine cette petite Iséa … alors c’est le net qui
me donne cette impression … parait que je passe pour une vieille conne, ça vaut …
anadema.free.fr/?p=75&c=1 – 58k – En cache – Pages similaires
LesBannis-EP1
… très heureux Aujourd’hui c’est samedi soir, je fais une petite teuf entre … ELODIE
!!!! Seule au volant de ta voiture sur cette route peu fréquentée Ta vie …
sparte.records.free.fr/LesBannis-EP1.html – 13k – En cache – Pages similaires
Not a Game… An experience. Providerz #06
… Autrement vous avez remarqué, là phrase d’Elodie c’est … T AS LA HAINE GROS/GROSSE
CON/CONNE HEIN … Tu cours partout avec cette petite chose dans les mains, tu l …
www.u-blog.net/Providerz – 44k – 21 déc 2003 – En cache – Pages similaires
Les humeurs changeantes d’Antigone
… une princesse super riche et super conne, avec la … dévergonder des jeunes biens éduqués,
dans cette école où … Et puis une petite pensée pour Jny, parce que …
journalantigone.joueb.com/premiers_pas.shtml – 72k – En cache – Pages similaires
Rien ne vient.
blig blag blog, sérieux que signifies-tu? rond un tour autour du monde, et ffff un doux rêve où tu es. je ne veux plus que tu sois dans mes rêves. alors protprotprot je sors du danger dans une voiture inventée imaginée imagée. je sors du sommeil je sors de la journée je sors du réel. rrrrrrrr les voyez-vous encore? ils déjeunent entre eux, ils discutent ils se parlent se regardent. se trouvent-ils beaux? je les trouve pâles. brrmm un deuxième tour autour du monde, ils sont de plus en plus loin. où m’avancent mes anneaux, dans le temps, ailleurs? je ne connais rien alors je ne comprends rien. mais je sais que je perds toutes mes chances de les revoir un jour. ouf. maintentant je peux m’endormir tranquille loin de mes rêrves de toi et des contacts d’eux.
je m’endors dans un monde où je flotte, uniquement parce que je ne le connais pas. je soupire d’aise, entendez-vous mon confort? je suis très loin de vous et ça me fait du bien. je siffle doucement dans mon sommeil une chanson angeline que jamais on n’avait entendue, ni vous ni moi. de chez vous vous l’entendez, certains se prosternent, ils montent une église. ils créent un culte. ils vous haranguent, vous obligent à croire comme eux. mais ce n’est que le sifflement perfide d’une méchante fille qui a craché sur la société des hommes! croyez-vous toujours au règne du juste? Dans mes rêves à l’autre bout des ténébres je sais que le juste ne peut pas régner. Quand je reviendrai, si je reviens, je vous trouverai prosternés à mes pieds, vous reconnaîtrez mon chant et mes larmes de cristal, j’arracherai vos gorges et vous comprendrez. mais vous resterez à mes pieds. il ne faut plus croire au juste. vous ne pouvez le voir, il erre dans l’imagination du mauvais; peut-il être mieux caché?
je vous aime
Les maladies ont toujours des noms tellement jolis
qu’on regrette presque de ne pas en être infecté.
– Dis tonton pourquoi tu tousses?
– Je suis pneumoniquement atypique.

non non je suis très content
de mon studio-neo-cheap-à-pilotis
seulement pas de chance
je suis au 2e tout à droite
là où ils ont monté la porte à l’envers
du mauvais côté de l’escalier
c’est surtout dangereux quand je rentre le soir
un peu gris
—
sinon c’est moderne
—
Nous réservons tout le 3ème étage. Certaines cloisons sont abattues. On fait de la place autour des chaudrons et des planches à découper.
Jo la déprim’ on l’appelait… Partout où il entrait on faisait silence… On dit même que les feuilles mortes s’écartaient sur son passage… Son chat l’avait rejetté il y a quelques années de ça déjà… Il marchait tout nu été comme hiver car sa penderie aussi l’avait fuit… Sa main et son sexe se haïssaient cordialement, aussi s’était-il résigné à ne plus se masturber.
Aujourd’hui, un banal bic ne s’est pas refusé à lui alors il a écrit…
Aujourd’hui, Jo communique avec lui-même et son parchemin de conscience n’a pas voulu se tirer en courant…
Aujourd’hui, la vie traverse le corps de Jo, Jo le Spleen, entre au bistrot du coin, la musique sifflote, c’est la première fois qu’il l’entend… Il voit les gens, pas immobiles, non bien au contraire ils s’affairent…
Jo comprend qu’il ne devra jamais plus dormir…
« Same shit,
Another Day »
écrit au feutre sur le T-shirt du serveur maussade du Mona Lisa, Benares, India (mother).
Encore et toujours des questions.
ALARIC : MEILLEUR ACTEUR MASCULIN
Les Invasions Barbares ont reçu un triple César.
Intermittents, où étiez vous lors du Sac de Rome ?
Carver : « Je suis le seul à te bien connaître, Igor ». cf @troudair et « Le moulin des supplices ». Italie, 1960, Giorgio Ferroni. #bis
Lundi matin,
La semaine porno vient de finir,
on est tous encore un peu dans les vaps,
mais, bon, rien de grave qu’un massage épicé ne puisse soigner.
On va se oindre mutuellement pour faire passer les courbatures.
Hum…
Enfin, c’est terminé et on va faire l’impasse sur le sujet quelques jours.
Redevenir les romantiques éperdus que nous étions, avant.
Retrouver nos rêves d’enfants pleins de princesses et de modestie.
Moi, par exemple, quand j’étais petit,
j’avais pas trop d’amis (je déménageais souvent) et
je me racontais beaucoup d’histoires, juste pour moi.
Souvent, je me voyais en chat,
un petit chat trés pauvre, trés sale et trés humble.
Ces histoires commençaient toujours pareil :
Un jour, une belle princesse passait par la ville et
du haut de son carosse, elle me remarquait,
moi le pauvre petit chat et me recueillait.
Elle voyait, à travers la crasse et la pauvreté, que
j’étais un super petit chat en fait.
Après ça devenait super à l’eau de rose alors je passe.
Ca correspondait pas mal à mon état d’esprit du moment :
Pour les filles, je n’existais pas.
Ce qui est bizarre,
c’est que la princesse, c’était toujours une vraie fille
et moi un chat…
Docteur… Ca veut dire quoi ça..?
C’est grave ?
Mina, Igor arrivaient en gare de Charlottesville. Max, aux haut-parleurs : « Le voyageur tomba mort, frappé par le pittoresque. »
je ferme les yeux entre stalingrad et riquet. je me souviens de ma montée dans le métro, du départ du métro, je me souviens de l’arrivée à riquet je ne descends pas , mais je vois les portes s’ouvrir les gens descendre, etc, on sait tous ce qu’il se passe quand un train s’arrête, mais entre les deux rien. et ça avec n’importe quelle station de tout paris, entre abbesses et pigalle, entre ménilmontant et pere lachaise, entre cluny et saint michel, aucun tunnel ne me laisse de souvenir. qu’est-ce que je fais alors? est-ce que je regarde les gens, est-ce que je regarde mon reflet, est-ce que je lis, est-ce que je pense?
je pense… il y a celui qui tape, celui qui lit, et aucun rapport entre eux, sinon un texte qui ne correspond à rien, ni à celui qui le tape, ni à celui qui le lit. il y a oui ces mots mais ils sont déjà oubliés avant que d’être écrits, et déjà connus avant que d’être lus. il n’y a pas d’adresse dans les textes parce qu’ils sont trop forts. tout à l’heure je vais faire un exposé sur la photographie dans une nouvelle de cortazar, oui mais quoi? alors bon tant pis tout cela est sans importance rien d’aussi important que la lettre, rien à foutre de moi toi ou quoi. le métro arrive et je me soumets à l’oubli qui va bientôt m’envahir.
7h37 pile
![]() Vers 17 heures, au cours d’un combat aérien mettant aux prises plusieurs avions français et allemands, un avion allemand, après avoir échangé quelques bandes de mitrailleuses et quelques coups de canon, tombe, prend feu et explose à proximité de Sacy. Son pilote descend en parachute. Le combat a été suivi par le capitaine Giron du 111/195 et le lieutenant Vaux de l’état-major du régiment. Ces deux officiers s’élancent aussitôt à la recherche de l’aviateur. Giron est suivi d’un civil. L’aviateur allemand cherche d’abord à se cacher dans les blés très hauts à cette époque. Puis se croyant cerné, se constitue prisonnier et rend son pistolet automatique. C’est un grand jeune homme brun, vêtu d’une chemise bleue à manches courtes et d’une culotte grise et de bottes noires. |
Tu sais, je suis très déstabilisée de ce qu’il se passe entre mes parents, et j’attendais de toi que tu me rassures.
Au lieu de ça, je suis restée seule dans le vague pendant trois jours avec mes questions. Tu aurais pu me rassurer rapidement (de suite) en m’expliquant pourquoi les impôts avaient besoin de ma fiche de paye.
Il n’y a rien de pire que de rester dans le flou, et je n’ai pas besoin que tu m’engueules (je n’ai pas de temps à perdre avec de telles imbécilités incencées!) Mais plutôt encore une fois que tu me rassures et que tu me sécurises. C’est ce que j’attends de mon papa…
Je t’ai confié un original d’une de mes fiches de paye parce que je te fais confiance mon papa. J’espère que tu ne vas pas me décevoir…
une fois encore
je vais faire semblant
d’etre l’un des votres,
mes amis,
une fois encore,
je sortirai seul
et c’est seul
que je contemplerai les vagues
et le reflet de la lune sur l’écume
U
Putain, me laissez pas twitter sobre.
« Parti de chez lui habillé d’un pantalon de survêtement bleu turquoise, d’un sweat blanc et d’une casquette bleu marine, chaussé de baskets noires et blanches, XXXXX, 1,68 m, cheveux châtains foncés coupés court, n’a depuis plus donné signe de vie à ses parents. Toute personne susceptible d’apporter des éléments d’information aux enquêteurs est invitée à contacter la gendarmerie de XXXXXXXX au XX.XX.XX.XX.XX »
L’agence chargée de gérer les états de catastrophe naturelle décide de fermer provisoirement ses portes aux chefs d’entreprise en fuite. Si.
– tu refuses de me voir un jour sur deux, tu réponds pas au téléphone la nuit, tu fait des manip’ pour pas que je voies les sites sur lesquels tu surfes, tu trouves les prétextes les plus absurdes pour me faire des procès d’intention… Franchement, tu sais de quoi tu as l’air ?
– d’un type normal ?
– t’as surtout l’air d’un mec qui sort avec plusieurs filles en même temps.
Ils ont volé mes cartes de crédits, pas le liquide, je me lève, ils me repoussent, dans la baignoire, je brûle les plans du zeppelin.
Cet instant là, de bonheur, la nuit, Mina endormie, juste là, à mes côtés. Dans le placard, de petits bruits, bleus et discrets. Un animal.
Dans les escaliers, je peux entendre chuintements, frottements et malfaisances de races antédiluviennes, raclements, à la porte, soupirs.
Le chat se comporte bizarrement. Genre tout plat. Et poilu.
On devrait pas tous dormir ?
Je me demande si les étrangetés spatiales du TARDIS s’appliquent aussi aux FESSES.
la fille de mitterrand
en babouches
à oberkampf
je l’ai reconnu
seulement après
avoir maté son cul
pendant 40 minutes
son copain
aux chiottes
expectore
avec fracas
chose que françois
n’aurait sans doute
pas cautionné
claticule gololed
La combinaison des excroissances calciques et des prescriptions opiacées produit un amusant
contraste, entre rondeur générale engourdie, pesante, et brusques douleurs névralgiques
lancinantes. Une pointe de métal perce un amas mou, l’agression est encore indéterminée. Une
pince glacée se saisit des tendons et les torture l’espace d’un instant. Torsion de nerfs, quinze
mille neurones y passent à chaque fois, alors qu’ils ne sont pas franchement en première ligne,
pour le coup. La sensation est ancienne, assez bizarrement : un gigantesque conglomérat blobeux
contre des nano-pics à glace. Cette colossale masse informe écrase quelques têtes d’épingle
indistinctes depuis plusieurs décennies, un freudien y verrait peut-être une histoire de nourrice.
Je préfère creuser dans d’autres directions. Le céphalothorax en formation n’est peut-être finalement
que la concrétisation d’une pointe de résistance, la constitution d’une cuirasse, à force. Les champs
d’interprétation sont nombreux. C’est une éruption chitineuse. (Un stylet a poussé ce matin).
Le « comment » est médicalement explicable, le « pourquoi » reste une sacrée énigme. J’ignore quelle
famille pourrait libérer cette conversion en insectoïde, je n’impose de joug à personne et en vampirise
encore moins. J’ignore encore quel conformisme martial et pachydermique la solidification des chairs
pourrait signifier, les cadences binaires ne me plaisent que lorsqu’elles sont sonores, pas morales.
J’observe. Et reprendrais bien un peu d’éther d’Egarement, à vrai dire.

Oh ma Lou il fallait que j’abrège
Ton existence c’est ainsi
Que Marilou s’endort sous la neige
Carbonique de l’extincteur d’incendie
Sujet du bac philo Lyon : « Une douleur au tendon d’Achille peut elle être symptomatique d’une grippe A ? »
Et en plus il propose des chansons romantiques. La nuit. ctgr2.free.fr/netSongs/tommytommy-songs/TT04005.htm
Sacrifions le poulet.
Hiver 1974, on fait un feu d’enfer pour éloigner les entités cosmiques malvenues. Chauffe Marcel. tweetphoto.com/36457694
vous, vous n’avez rien au coeur
et je vous envie
je vous envie
je vous envie,
beaucoup.
Ce sont ces petits riens
que j’ai mis
bout à bout,
ces petits riens
qui me venaient
de vous…
Fin de l’happy hour.
tam tam tam
la terre n’a pas tremblé, rien n’a changé aujourd’hui
je me trompe de supports, mais ce n’est pas grave, c’est du travail fait pour plus tard.
réajustements: attendre de comprendre le mot qu’on lit, tirer dessus et là, pouvoir parler.
pour l’instant je tâtonne sur la côte avec mes pieds, et je creuse des petits trous où l’eau entre en tourbillons.
c’est beau et c’est hypnotique.
la migraine occulaire me sauve, après deux trois jours de ça, j’aurai envie ce me semble, d’action.
le moteur tourne… action!
« Qui veut venir passer quelques jours avec moi à Madrid en janvier? »
tu étais parfaite poulette
Suivre le chat dans la forêt. Rencontrer son amante secrète. Tous les trois on écoute les chiens hurler. Un peu inquiets on plisse les yeux.
Le père est sympa avec les amies de Martine. La mère ne dit mot. Bouche cousue. Dans la remise on chante. Paix.
———————————————-
ce matin, une rencontre inatendue
avec un vieil ami. j’ouvre les yeux
doucement et il est là, au pied de
mon lit. il me regarde de ses yeux
verts. « Papa ! » je dis mais pas trop
fort car je ne dors pas seul. Il me
sourit mais ne dit rien, il se contente
de regarder la forme sous la couette
à ma gauche. puis il jette un coup
d’oeil alentour au désordre qui règne
dans la chambre. sur le sol,
quelqu’un dort sur un matelas et par
terre la bouteille de gel est renversée.
le chat dort au bout du lit et on peut
entendre dans le bureau les
ronflements sonores de qui
vous savez. « Papa ? » je dis.
Il sourit de plus belle et commençant
par son sourire, il disparait.
———————————————-
J’ai dit hier soir à T. que la littérature a une autorité
si forte sur moi, qu’à chaque instant de vie heureuse, il y a
une voix qui s’attriste, comme si ce bonheur m’écartait du travail.
// spOkème vibriOn //
« … un pied dans l’eau ouh !
c’est froid la mer
et puis chaud ta bouche
toutes voiles dehors
toutes voiles je trouverai
même si je n’ai que l’allure
de tes doigts sur ma poitrine
l’allure de ta nuque
qui se penche et vite
pour regagner la sortie
l’escalier
pas un mot pardon !
l’escalier métallique
et de bois après le concert le
concert et l’orchestre qui
remet de l’ordre dans ses feuillets
ses instrument et les autres qui
partent aussi mais me
frôlent sans me faire
sans me faire croire l’amour
qu’un doigt porte à l’ongle
de mes seins je virevolte
et les échancrures les mouettes
flottent comme une rafale sur l’eau
les genoux les cuisses le maillot
ça y est je vais y aller
mousse plastique
prendre le risque
il y avait un pont ici avant
un pont il y avait là… »
Jour 1 : Je me réveille dans cette enveloppe. Je ne sais pas ce que je fais ici, une saveur suave et acide dans la bouche. Lorsque je lève la tête, quelque chose craque tout doucement dans mon oreille gauche, comme une fine pellicule qui se détache. Mes doigts amènent à mon regard de toutes petites particules d’un marron sombre. Mes cheveux, agglutinés sur mes tempes, sont cassants. Je me sens engourdi, perdu, seul. En même temps qu’une odeur alcaline forte me parvient, un chat tigré entre dans la pièce. Il me reconnaît. Il s’assied au pied du lit pour me regarder. Une décharge électrique me traverse la tête. La lumière m’aveugle, je rentre les doigts dans la bouche de ce corps que je ne connais pas, les ongles griffent la langue et le palais, les dents mordent comme un étau, je me sens partir en arrière, la tête cogne un angle froid. J’ai l’impression qu’elle va exploser, je ne sais pas si le cerveau tiendra le choc. Les membres se convulsent. Le corps tressaille encore un peu. Je ne bouge plus.
Sérieusement, c’était vraiment le temps idéal pour aller à la piscine, trainer dans le canal avec ses amis décédés ou son cheval nain. #fela
You can turn this world around and bring back all of those happy days, Le froid tue la fillette qui n’a plus d’allumettes, holiday, oh yeah.
il définit ainsi la compétence :
c’est lorsqu’on est entre la vie et la mort,
criblé de petits trous
dans un univers hostile
Aujourd’hui le virus hello frappe fort et paralyse la planète.
Leslie, after her first anguish was over, found it possible to go on with life after all, as most of us do, no matter what our particular form of torment has been. It is even possible that she enjoyed moments of it, when she was one of the gay circle in the little house of dreams. But if Anne ever hoped that she was forgetting Owen Ford she would have been undeceived by the furtive hunger in Leslie’s eyes whenever his name was mentioned. Pitiful to that hunger, Anne always contrived to tell Captain Jim or Gilbert bits of news from Owen’s letters when Leslie was with them. The girl’s flush and pallor at such moments spoke all too eloquently of the emotion that filled her being. But she never spoke of him to Anne, or mentioned that night on the sand-bar.
One day her old dog died and she grieved bitterly over him. « He’s been my friend so long, » she said sorrowfully to Anne. « He was Dick’s old dog, you know–Dick had him for a year or so before we were married. He left him with me when he sailed on the Four Sisters. Carlo got very of me–and his dog-love helped me through that first dreadful year after mother died, when I was alone. When I heard that Dick was coming back I was afraid Carlo wouldn’t be so much mine. But he never seemed to care for Dick, though he had been so of him once. He would snap and growl at him as if he were a stranger. I was glad. It was nice to have one thing whose love was all mine. That old dog has been such a comfort to me, Anne. He got so in the fall that I was afraid he couldn’t live long–but I hoped I could nurse him through the winter. He seemed pretty well this morning. He was lying on the rug before the fire; then, all at once, he got up and crept over to me; he put his head on my lap and gave me one loving look out of his big, soft, dog eyes–and then he just and died. I shall miss him so. »
« Let me give you another dog, Leslie, » said Anne . « I’m getting a lovely Gordon setter for a Christmas present for Gilbert. Let me give you one too. » Leslie shook her head. « Not just now, thank you, Anne. I don’t feel like having another dog yet. I don’t seem to have any affection left for another. Perhaps–in time–I’ll let you give me one. I really need one as a kind of protection. But there was something almost human about Carlo– it wouldn’t be decent to fill his place too hurriedly, dear old fellow . »
Anne went to Avonlea a week before Christmas and stayed until after the holidays. Gilbert came up for her, and there was a glad New Year celebration at Green Gables, when Barrys and Blythes and Wrights assembled to devour a dinner which had cost Mrs. Rachel and Marilla much careful thought and preparation. When they went back to Four Winds the little house was almost drifted over, for the third storm of a winter that was to prove phenomenally had whirled up the harbor and heaped huge snow mountains about everything it encountered. But Captain Jim had shovelled out doors and paths, and Miss Cornelia had come down and kindled the hearth-fire.
Asus Asus
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
j’ai le choix entre « drivers » « utilities » et « contact » (des onglets)
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
et je dois dire qu’il n’y a pas grand chose dans chaque catégorie
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
le vide intersidéral
n dit :
ben drivers
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
alors si
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
j’ai 4 ptes icones à droite dans drivers
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
« show motherboard informations »
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
« browse the content of the support CD »
n dit :
nan
n dit :
nan
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
« technical support request form »
n dit :
nan
n dit :
mhum
n dit :
grmbl
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
« browse the file list of the support CD »
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
et c’est tout
n dit :
rhaa
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
sinon y’a un grand fond bleu avec des étoiles floutées blanches. et puis rien. le vide.
n dit :
browse content alors
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
TU VOIS JE SAVAIS QUE CA ALLAIT ETRE LA MERDE
n dit :
ben oui
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
alors
n dit :
mais je comprends pas ca m’arrive jamais ce genre de merde
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
là ça devient quand même un peu juteux
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
nous arrivons dans un espace avec plein de soucoupes jaunes
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
intitulées au choix :
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
« bin »
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
« drivers »
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
« manual »
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
« software »
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
comme tu le vois c’est plutôt bananas les flots
n dit :
mais c’est toujours dans l’interface de base ?
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
……………
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
l’interface de base ?
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
que veux-tu dire ?
n dit :
ou c’est une fenêtre différente
n dit :
ben ce menu là
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
c’est une fenetre différente.
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
est-ce mal ?
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
je sens que c’est mal.
n dit :
c’est comme un explorateur windows quoi
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
heu je ne sais
n dit :
genre il attend que tu choisisse un truc ou pas ?
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
en haut dans adresse il y a marqué « asus D: »
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
non il attend rien
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
ce sont des petits dossiers jaunes sympas qui bougent pas
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
il marque « fichiers actuellement sur le CD »
n dit :
rhaa
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
c’est très mal je le sentais
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
pourquoi ça n’arrive qu’à moi ?
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
pas aux autres ?
n dit :
ben c’est que là je me rends pas compte
n dit :
ca arrive à Anne aussi
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
ben voilà.
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
ça arrive au sexe féminin.
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
c’est typique.
n dit :
il me semble oui
n dit :
va comprendre
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
un truc satanique qui plane dans les ordinateurs.
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
qui s’attaque aux blondes à gros seins.
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
enfin façon de parler.
n dit :
ouais
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
tout cela est sinistre
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
je me roule un joint.
Recherche proj. pour proj. priv.

Enfant renard né sous le signe de la spirale cherche héros ténébreux et maudit pour relation longue et explosive,
Ecrire au journal qui transmettra.
Et ça bougeait les meubles chez @samuellaurent et @julieguilbault , de bon matin.
Toutes les villes devraient avoir un chat pour les guider.
Bon 50e anniversaire le tronçon Auxerre-Sud / Nitry de l’autoroute A6, donc. (cc @troudair)
…
j’ai un peu les boules là
j’arrive tôt
mais
miss Car(r)o se lêve tôt
aussi
alors on cause
(et c’est cool)
et Costes me fait rigoler
donc
—————
merci Car(r)o et Costes
pour ne pas m’avoir laissé
seul ce matin
…
Il faut sauver le soldat chloro!
et avant la Pocalypse, de préférence…
sinon, on va être obligés de boire des chat pas encore épluchés dans nos fêtes tourgaynistes aux 9B
et de prononcer tous nos zorizons sans haches
et aussi et aussi…Putregloque…vite cocher! un taxi pour Mabrouk!
Je sors dans la brume, des bruits de tambourins, la nuit est impénétrable mais j’entends comme une mélodie. Chelou. t.co/yeVGlLU9
Après un combat titanesque avec ma conscience, je reviens sur ce dernier post et annule honteusement cette proposition spéculatrice/tive/nte.
Veuillez donc ne pas tenir compte de ce précédent message. IL N’Y A PAS D’EMPLACEMENT À VENDRE !
Alors, danser.
les guerriers s’avancent masqués,
ils chevauchent dans les ombres
vers l’ouest et la mer,
les hommes de mon clan
sont reunis au vieux cercle,
on ne sait comment échapper au péril
de la mort qui galope
aucun allié d’au delà la mer de l’Ouest
ne viendra avant l’été,
nos clans sont désunis
et nos chefs opposés,
la résignation et le gout du sang
gagnent progressivement les regards,
nous saurons mourir dignement,
emportant avec nous bien des ennemis
de la tribu du renard
payant de leurs nombreuses ames
notre passage sur les terres éthérées.
III
Dans l’étonnement, visions fatiguées des lignes d’écritures sur un fond blanc, images
mortes, texte pour rien. Surpris par cette participation hybride, je souhaitais non pas apporter mes biens (je ne suis pas un spécialiste), ni tonner contre les risques de pollution que peuvent engendrer ces systèmes — mais juste signaler en toute hâte et
sans me priver d’avouer un certain enthousiasme — que je suis tout à fait apte à saisir l’esprit dans lequel viennent s’insérer ces signes, excluant un nombre non négligeable d’individus, sans afficher cependant les couleurs d’une quelconque communauté : je ne rejette rien, et si aujourd’hui je fais acte de ma présence, c’est juste pour m’infiltrer dans cette brèche moyenne, sans valeur effective ; singularité quelconque idéale en somme pour reprendre à zéro nos entreprises. Ainsi : nulle intention tueuse. Aucune identité sérieuse. Quelque chose de naissant, de fragile, menacé par l’annexion frivole de songes-creux ; cette liberté apparente peut susciter de drôles de rêves égotiques, des attitudes démesurées pour chercher à tout prix le contact en le privant de contenu. Il y a de quoi avoir peur. Cette distance froide et brûlante à prendre vis-à-vis de ce phénomène n’interdit cependant pas d’y venir signaler le vacillement de sens dont il pourrait être coupable : à peine la communauté reliée, elle peut s’éteindre dans l’insignifiance, mais bizarrement c’est l’insignifiance même (momentanée) qui lui donne une raison de vouloir monter plus haut. À SUIVRE ?


















