le récitant : hohoi on heu haire hu horno hé awar heu l’huhour.
Retraite Tourgueniste 2
Hélicoïde rotative ascendante & sofa surf en milieu
molletonné, workshops atypiques et punch sauterelle
ludicité lucide et vice versa, ça tourne encore
à cette heure-ci, c’est pour dire.
–> vendredi
– allo
– allo
– tu dors ?
– oui
– un accident hier ?
– plus tard, je dors
–> la veille (pas les mots exacts, reconstitution par la police)
– allo
– allo, je suis dans le métro, en retard au yoga
– allo, en voiture, 40 de fiêvre
– houla, ça c’est la fête et la fatigue, ça rend vulnérable aux virus
– mais non
– euh, là je suis dans le métro ça va couper, plus tard ?
– oué, à plus
On sortait la mappemonde, la maquette de dirigeable, les bouquins sur les armes et les revues de mercenaires et on triangulait naïvement.

Avec T. et F. on est passé au bar Biturik.
Charmant endroit — — —
Ils ont commandé des Prozac Sunrise et des Temesta Colada.
Pour ma part j’avais opté pour un Lagoon of Xanax.
— — — — —
Ces cocktails étaient furieusement foudroyants…
Pas autant que S. qui s’amusait à perdre la boule au flipperatomik
— — — — —
Et puis c’est charmant ces bombes-lustres
bon ben ça a pas l’air de marcher…
visibilité effective : 0%
pertinence : 0%
humour : 0%
L’un est enthousiaste et l’autre est quoi , déjà ?
Quand les écrans se piquent de capturer à leur tour

Touch the screen, Sadako viendra un jour
Gololed
L’homme à la tête de chat est monochrome. Le orange, le rouge, le bleu, le vert et les autres teintes sont le Noir. Le blanc est le Blanc.
Extermination ! #exterminate
Comme des vitres grasses des
ornières pour que les jours s’y perdent
la perte de la bile de la vie
l’humeur profane la sacro-sainte merde
les accrochages inutiles à retour constant
[nicqolas acqileus].
Hé vous avez vu, on est nominés.
Va falloir commencer à devenir sérieux, les petits gars. Fini la rigolade.
Fini le mot « bite » partout, soyons po-li-ti-que-ment-co-rrects.
…
si c’est comme ça, jme câââsse.
Il Y’a un spa à l’hôtel. Les serbes sont nos alliés.
elle dit :
on dit de moi :
je suis « cool » et je fréquente des gens « in ». Je suis également « très jeune ».
réalité :
Je suis une femme nunuche, grincheuse et barbante, qui sort environ deux fois par ans. J’ai trente ans, ce qui est jeune pour un écrivain (j’espère) mais doit apparaitre comme antique à la majorité de mes fans.
Je viens de planter, le tracteur, un pommier, brule doucement. Espérons que le feu ne se propage pas en Russie. Je mange une pomme. #hop
Same mistakes
ouvrir la fenêtre sous la douche où mettre son amour
A Ngakau. A Ngakau. Tihe mauriora. Kia koa koe. E taku hine, e taku hine.
Pompidou démission !

NON A L’HIVER
J’ai envie de relire la Marque de Raspoutine.
Elles m’ont laminé le cerveau, de la bouillie neuronale…
J’ai des souvenirs tactiles précis de ces instants…
Tu me comprimais pour mieux me déposseder…
Tu me plaîs…
Ca hurle et personne n’entend…
Le cri dolore du corps silencieux…
Aimes-moi encore…
je ne sais plus, je ne sais pas
votre visage m’est familier mais je ne me souviens pas pourquoi
vous dites que nous sommes liés par un lien très fort
j’apprecie qu’une aussi honorable personne que vous pense cela d’une indigne jeune fille comme moi
mais quand j’interroge mon coeur à votre sujet,
rien ne vient, nulle chaleur jaillie du fond de ma mémoire
etes vous sur de ne pas vous tromper de personne ?
Les choses deux fois
Et la nuit de fondre sur nous, affamée.
Carmen is a place in hell. L’enfer genre quoi. #unrelated
< Histoires d’O >
« LA REINE
Au-dessus du ruisseau penche un saule, il reflète
Dans la vitre des eaux ses feuilles d’argent
Et Ophélie les tressait en d’étranges guirlandes
Avec l’ortie, avec le bouton d’or,
Avec la marguerite et la longue fleur pourpre
Que les hardis bergers nomment d’un nom obscène
Mais que la chaste vierge appelle doigt des morts.
Et elle et ses trophées agrestes sont tombés
Dans le ruisseau en pleurs. Sa robe s’étendit
Comme insensible à sa grande détresse
Ou, comme un être fait pour cette vie de l’eau.
Mais que pouvait durer ce moment ? Alourdis
Par ce qu’ils avaient bu, ses vêtements
Prirent au chant mélodieux l’infortunée,
Ils l’ont donnée à sa fangeuse mort.
LAERTE
Hélas, elle est donc noyée ?
Tu n’as eu que trop d’eau déjà pauvre Ophélie,
Et c’est pourquoi je retiens mes pleurs. »
Le désert de glace, la cabane et le vieil homme. Les osselets, le destin, l’homme à la tête de chat consulte les oracles aveugles.
il buvait tellement, qu’il se reveillait en faisant des crises de manque
angoisses et sueurs froides
alors il mettait la musique à fond et concentrait son esprit sur les fêtes à venir,
histoire d’oublier la panique et la peur
hermétique, vous avez dit hermétique…?
mais non, ça n’est pas une boite de conserve, puisque c’est un tournevis, on vous dit.
allez, arrétez avec vos questions, ça sert à rien de toute façon …
Ma vraie vie.
Bon, c’est un blog alors encore une fois
raconter ma vraie vie de gars en plastique
à tous, faire profiter l’univers entier de
ma vie normale de gars normal en fer blanc
donc ce matin réveil 8h préparer le petit
déjeuner pendant que Pascal et Chloé sont
à la douche, fruits et chocolatines pour
bien commencer la journée et médocs et
Chloé qui part, les autres se lèvent peu
à peu tètes dans le cul, on parle peu ou pas
le concert d’hier soir a crevé tout le monde
et pourtant y’a cours de danse pendant que
je me douche, pas le courage de m’infliger
ça, les chats sont solidaires mais décontractés
ils matent et je zappe, la question du jour
peut-on entrer en Suisse avec un vieux passeport
après un moment de doute, ça parait plausible
s’il a moins de cinq ans, retour sur le cours
de danse, Kamel est plus souple que Pascal,
c’est clair, je mange du fromage avec un peu
de pain aux noix et une pomme, ils dansent
toujours, j’ai un peu de peine pour eux surtout
pendant les pompes, déjà midi, il serait temps
de me remettre au boulot histoire de faire avancer
la révolution numérique et prolétarienne, voilà
ma vraie vie c’est terminé pour aujourd’hui, la
fascination et un peu d’excitation de m’imaginer
là nu en train de bouffer du pain au noix avec
les danseurs devant la voisine d’en face à sa
fenêtre, et Kamel dit « hooo », faut pas pousser
quand même.
J’ai tant rêvé de toi que tu perds ta réalité
Est-il encore temps d’atteindre ce corps vivant et de baiser sur cette bouche
la naissance de la voix qui m’est chère ?
J’ai tant rêvé de toi que mes bras habitués en étreignant ton ombre à se croiser
sur ma poitrine ne se plierais pas au contour de ton corps, peut être.
Et que, devant l’apparence réelle de ce qui me hante et me gouverne depuis
des jours et des années je deviendrais une ombre sans doute.
Ô balances sentimentales.
J’ai tant rêvé de toi qu’il n’est plus temps sans doute que je m’éveille. Je dors
debout, le corps exposé à toutes les apparences de la vie et de l’amour et toi,
la seule qui compte aujourd’hui pour moi, je pourrais moins toucher ton front
et tes lèvres que les premières lèvres et le premier front venu.
J’ai tant rêvé de toi, tant marché, parlé, couché avec ton fantôme qu’il ne me
reste plus peut-être, et pourtant, qu’à être fantôme parmi les fantômes et plus
ombre cent fois que l’ombre qui se promène et se promènera allègrement
sur le cadran solaire de ta vie.
R.D.

Ma tête est un ballon dont la fécondité n’est plus qu’un parfum d’envolée lyrique.
Si l’adversaire vous envoie le ballon directement sur la main et que l’arbitre, impitoyable,
condidère qu’il y a faute, ce sera dans votre surface de réparation.
Un peu comme un parfum d’envolée lyrique.
Et de se découvrir, dans les décombres fumantes, une amie. Passez donc de bonnes fêtes, et vive le feu. t.co/NyWe2VPdK9
I Gore Tourgueniev existe
I Gore Tourgueniev est beau
I Gore Tourgueniev est gratuit
I Gore Tourgueniev n’est pas beau car gratuit
mais
GRATUIT CAR BEAU
I Gore Tourgueniev connaît les machines
I Gore Tourgueniev n’en possède aucune [ CAR : ]
I Gore Tourgueniev est russe et a lu le Kapital et sait que :
I Gore Tourgueniev sera L’HOMME NOUVEAU en rompant avec le-concept-bourgeois-et-réactionnaire-de-propriété
I Gore Tourgueniev sait réserver ses billets de train par téléphone et
DECROCHER UN RENCARD AVEC LA STANDARDISTE en – de 2
I Gore Tourgueniev sait faire valoir ses atouts
I Gore Tourgueniev sait faire glisser ses semelles sur les bières renversée dans les fêtes
I Gore Tourgueniev s’en félicite
I Gore Tourgueniev s’EXIT
Déjà 4 hivers.
De morfaler, dialecte allemand murfen, ‘ronger’, et -aille, ‘mauvais’. Recevoir des coups. Recevoir, subir (désagréable). Morfler une gifle.
And now he’ll live (gAmEr)
Fetching in his dreams what he can’t get in real life
Wandering thru the realms of his distant hopes
The steel scent cuts like a knife while the silver glitering pods scope
(the joypads shake & tumble)
Sky-diving from the ever-changinq textured clouds to a daedelous lava maze,
he visits a 1000 worlds in (a mouse click).
Others are trying to destroy his world.
But he’ll protect it, building cities out of (nothing/dust), breeding farmers to feed his troops.
Tel Jeanne Dark, Igor robot-ménager a ses voix (de Rennes)…
Igor : Ouah la galère, mais j’suis motivé !
*frotte frotte aspire soupire*
Igor : humpf !
Les voix : Si le ciel est gris je reste au lit. Si le ciel est bleu je reste au pieu…
Igor : Quoi ?
*frotte frotte aspire soupire*
Les voix : Si le ciel est gris je reste au lit. Si le ciel est bleu je reste au pieu…
Igor : P’tain, sors de là Oneko, je sais qu’c’est toi…
Oneko (indigné) : Miaou !
*frotte frotte aspire soupire*
Les voix : Si le ciel est gris je reste au lit. Si le ciel est bleu je reste au pieu…
Igor (baille) : J’suis naze, moi, pas possible, p’tite sieste…
*ronflements et ronronnements*
Shioran: bon allez, je retourne à mon ménage
Shioran: je sèche le boulot pour laver chez moi
Igor: bon ménage
Igor: pas malin ça
Igor: mais utile
Shioran: ya mon proprio qui fait une visite surprise demain, j’ai pas le choix
Igor: range les bouteilles de whisky
Shioran: pté, t’imagines meme pas
Igor: surprise demain
Igor: sacrée surprise
Igor: fait une photo
Shioran: quelle merde…. je suis vert
Igor: avant après
Shioran: j’ai les mains martysrisés par le travail manuel
Shioran: et rongées par l’eau de javel
Igor: ça fait du bien
Igor: tu deviens technicien
Igor: de surface
Shioran: c’est l’horreur
Shioran: dans mes chiottes ya des plaques de calcaire épaisses de 1 cm au moins
Shioran: dans mon nouvel appart, j’embauche une femme de ménage, c’est décidé
Shioran: rien à foutre si j’ai pas les moyens
Shioran: je veux bien bouffer des patates et pas faire le ménage
Igor: héhé
Igor: moi mon chat perd tellement ses poils
Igor: que j’ai toujours l’impression
Shioran: (c’est le printemps, c’est normal)
Igor: qu’ils sont plusieurs
Igor: (il parait)
Shioran: vivi
Shioran: le mien reprend sa toison estivale aussi
Shioran: et elle ressort ses bikini
Igor: faudrait que j’opère le mien mais j’ai pas une tune
Igor: et je souffre du syndrome
Shioran: ah oué, c’est cher
Igor: si je coupe mon chat
Igor: j’me la coupe à moi surment
Shioran: c’est un mâle ?
Igor: oué
Igor: white trash
Shioran: ah oué, moi j’ai pas eu ce probleme là , vu qu’aux dernières nouvelles, j’ai pas d’ovaires.

wouf
Il ne faut pas confondre monsieur Lechien et monsieur Le Chien.
« Tu peux bien m’écrire des textos de folie
et m’offrir des cadeaux en faux cool,
je t’ai démasqué, petit Casa de chez Nova. »
Notre armée
avait brisé la plus grande des portes d’albatre
et nous nous enfoncions
au coeur du labyrinthe,
dans l’espoir de rejoindre
le palais impérial
pour enfin trancher net
tes abeilles et ta tête
Clairement.
Quelques jours après la guerre, les ruines de l’antique cité. La jungle partout. Les militaires, de tous pays, rient, baisent et pardonnent.
Elle a besoin de se sentir aimée et unique et voit la réalité de façon binaire : c’est tout blanc ou tout noir. #albanel #remaniement #adieu
Elle parle! Oh! parle encore, ange resplendissant! Car tu rayonnes dans cette nuit, au-dessus de ma tête, comme le messager ailé du ciel, quand, aux yeux bouleversés des mortels qui se rejettent en arrière pour le contempler, il devance les nuées paresseuses et vogue sur le sein des airs!
happy mondays :
le lundi c’est ravioli?
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[POINTS DE RETRAITE] roman à publier à heures fixes (1.587)
augustine prépare l’omelette dans la cuisine
lucienne somnole devant pyramide
le bruit de la fourchette qui tinte
dans le bol posé sur le bulgom
tire lucienne de sa rêverie
« horloge » dit Marie-Ange,
« compte-tours » répond le candidat
augustine n’aime pas pyramide
quand lucienne met le poste trop fort
ça lui donne des pulsions
augustine préfère la trois
elle découpe le jambon en lamelles
What happened to the design?
To know more about why styles are disabled on this website visit the
Annual CSS Naked Day website for more information.
Pas de mutilation aujourd’hui. C’est réconfortant. Nos tortionnaires se détendent, jouent au curling, ivres. C’est mon anniversaire.
Un lecteur m’interpelle ainsi: Au fait, qu’est ce que le Tourguenisme?
Cher Lecteur, puisque tu poses la question, il faut que je t’avoues que je n’en sait rien. Mais comme tu m’interpelles quand même quelque part, je peux te confier ceci:
(c’est un texte trés ancien que Ivan vassilievtch Tourgueniev lui même a écrit l’autre jour par l’intermédiaire d’un médium qui se trouve être également un ami proche, en l’occurence ma soeur jumelle)
« J’ai des impulsions atroces comme ça; pendant cinq minutes tu me manques tellement que j’ai envie que tu me fasses un bébé pour faire exister un morceau de toi et moi réunis et puis après c’est tellement épouvantable comme idée (plus de futur pour moi / toute ma vie est abolie / un être en plus au monde qui ne fut désiré réellement par personne) que je veux me jeter par la fenêtre et puis j’en peux plus, pasque cinq minutes après je suis en train de faire un autre truc et je réalise que je t’ai totalement oubliée, comme si tu n’avais jamais éxisté. alors je tire à pile ou face pour savoir laquelle de ces trois options de toi est la bonne et alors c’est encore plus terrible de penser qu’après tout pour moi rien n’a vraiment d’importance, que je suis totalement hystérique et malade, tragicomiquement, définitivement malade et que je suis simplement térrifié à l’idée que jamais je ne saurais me sortir de ce bourbier.«
qui l’eu cru ?
Parole vaine du héros.
Je n’accepte pas ma faiblesse ; celle de mon corps,
et j’éprouve plus que personne mes limites, et
je devine qu’il peut se passer quelque chose,
mais l’effort qui doit m’y mener me navre ;
la lacheté, ce n’est pas la mienne ; c’est la
fatigue du monde — son usure —qui est responsable ;
quelque chose du dehors me menace, et perturbe
le sens d’un devoir naturel : celui d’etre l`,
davantage que les autres.
Fier de ma nocturne nudité, je croque la pomme, deux fois.
saisonnier

Et l’hiver m’a apporté l’affreux rire de l’idiot.
Bon, Electrelane, fin du hiatus. Igor se tâte pour Londres. *sautille dans le salon en flamme*
—————————————-
Je…
Je m’appelle Igor Tourgueniev
Je n’étais pas à EOF hier soir
Je dormais avec mon chat
Igor Tourgueniev n’existe pas
Je suis en train de nier
Igor Tourgueniev porte un éclair
Je ne suis pas Igor Tourgueniev
Je suis un personnage de fiction
Je suis…
—————————————-
Non ! Ne vous promenez pas sur la la lande Lord Baskerville ! plixi.com/p/64810510
Si j’avais bu sur Tourgueniev – N°6
Je me trouvais vaguement incapable de rien faire, ce soir-là j’avais prévu de dessiner mais la blessure m’étranglait, la blessure qui prenait appui sur mes chevilles et remontait jusqu’à mon cou pour l’étrangler. Je l’imaginais âcre dans ma bouche, ce ruisseau noir qui me défonçait tous les tuyaux depuis deux ans, presque deux ans. Deux ans de malheurs, de paroles comme le vent.
Incipit : N’en pouvant plus ce matin-là il décida de découper son chien et de le faire figurer en bonne place sur le meuble du salon (épais, bois de bretagne, vernis sombre).
Dans tes pentes douces je m’imagine une histoire hors du commun mais c’est pourtant de celles-là qu’il faut se défier, il faut privilégier la simplicité.
Elle muscle son vide intérieur et soudain de ses dents jaillissent des mises-en-scène.
On vit à l’orée des charnières quand la pensée est un fil et que le synapse est sanglant. Tu couds et recouds sans cesse mon cul dans tes inventions, le radotage des petites vieilles te court sur la peau quand tu te penches dans le siphon, quelques gouttes froides pour t’aérer la brume et les cervicales blanchies. Let’s get this straight from the jump, I ain’t playing with your ass. Je penche dans le lavabo qu’est ce que tu crois que la vie est blanche et cicatrisée, les plaies scintillent je les abreuve de mascara dans mes plus grands instants de gloire quand je sais que les faux-amis sont là. La passé est saoudien dans des déserts sans armistices et les os blanchissent dans des plaines de sarcasmes, j’ai pas de parents, j’ai pas d’amitiés fidèles I’m the man with single and double and triple and four five six time them bitches mais je suis pas à plaindre, j’ai un évier dans lequel me troncher les rives et tous les lampadaires et tous les pare-feux et toute ta gueule qui va avec quand tu me mentais la gueule dans mes billets, aplati par le ciel froid, sale merde. Much bone and I don’t fail a test. I can’t be fucked with, you can’t touch this better grab hold. Bitch I’m so cold I’m like a 24 year-old north pole ! Quand les putains de chiens à six pattes et la truffe qui renifle le vide commencent à me serrer les chevilles j’ai envie de tuer leurs grand-mères, je me demande si je suis adapté à ce putain de monde, qui n’est pas plus sale qu’avant, pas plus merdeux, bien le même, pardessus les époques, glaciaires imperméables et changements d’avis. Tu vois, on sait pas trop pourquoi on bouffe des pâtes et qu’on répercute les mêmes souffrances. Bitch I’m doing bad and saying rhymes at the same time (I ain’t lying). Talking behind my back don’t make me no nevermind, cause all you can say is I’m smarter than Einstein. Tu vois, on s’imagine, on s’imagine souvent, ce qui reste à la fin de tout, c’est peut-être une simple perpétuation. C’est peut-être tout ce qui reste, au fond. Le corps d’un autre qu’on a poussé là. Matter fact I’m a tell you mother fuckers three things I’m a never do One : never gonna change my style Two: never gonna bounce, three: never gonna bow. I’m gettin tired of being sick and tired. Dieu merci y’a ta soeur que j’peux encore baiser. Sale Merde en été nous a trouvé un café sur une place ensoleillée – je vais me défoncer la gueule. Sale Merde a dit mon ange assieds-toi, sale merde. Le pire n’est pas que ça meurt le pire c’est quand on s’aperçoit que rien n’a existé, le mensonge jusqu’au fond du trouffion. Je ne serai plus là, je pense maintenant, mais pour quoi, puisqu’il n’y a plus personne. Se faire manipuler Suck big dick and die est si aisé quand on n’est pas affuté. Je suis une terre glaise, I can click just like the boot camp but I’m conscious like daughter Bitch I’m insane but um, you still be want in to claim that I’m your partner on me pétrit, j’ai plein de gentillesse en moi Picture I got more bitches on my dick than bitches at FREAKNIK
On organise un shooting photo dans les décombres des Galeries Lafayette. Les miliciens Nord Coréens veillent au grain. t.co/HSXLGFS0
5o ooo jeunes filles ou 43 ooo enfants roux. Des o comme des zéros. Les sets play dés jeep te laissent de marbre. Mina en homme attaque sec.
R>VIDEO>6>HORS>SERIE>2>
était le fait d’une erreur humaine »
She was white as storm
My dad was hidden his rifle
Under my sister’s bed
I can remember she was crying all nights
Se replier vers les catacombes.
























OUI, PARFAITEMENT