La poésie qu’est-ce au fond

Sinon des mots dé-pesés, détoxiqués – – –

et maintenant,

que retentissent les:

TROMPETTES DE LA RENOMEE

(celles qui sont bien mal embouchées)

C’est dans un manuscrit de la bibliothèque de Sens que l’on trouve le plus ancien témoignage de « l’office des fous » attribué à Pierre Corbeil (mort en 1222 ou 1224). L’office comprend la liturgie de la fête de la circoncision (du 31 décembre au 1er janvier). Les membres du bas clergé (clercs et vicaires) avaient le privilège d’organiser cette célébration à leur gré de façon comique, en illustrant la parole de Saint Paul: « La sagesse de ce monde est une folie pour Dieu »

De tradition ancestrale, le 1er janvier c’était aussi la Fête de l’Ane, fête populaire avec théâtre, jeux, travestissements. Une sorte de rite païen dont l’Eglise essaya de canaliser les abus et les débordements, jusqu’à sa disparition au XVIème siècle.

Sous ce magnifique soleil, je…


Tous les vendredis, Igor organisait des karaokés survoltés dans son living.

Il ne laissait jamais personne chanter sur Indo.

Indo, c’est moi, qu’il disait.

Après il se perdait sur la généalogie plus ou moins croisée entre les Sirkis

et les Tourgueniev.

ex : « l’aventurier, c’est Grishka Sirkis qui l’a composé, et il joue de la batterie

sur le titre, mais ça, peu de gens le savent… »

hé oui eux aussi auraient eu un jumeau maudit…

Old par -- Zan le 29 Déc 2003

le récitant : dans mon monde tout rose, je suis triste.

Old par igor le 28 Déc 2003

Death to the dinde

Et parmi la nuée

De Charons ailés

Tourbillonne,

Plane

Mon Augure

Qui décrit

Je ne sais quel destin…


Old par -- Zan le 03 Déc 2003

La Lutte armée en slip vient de commencer…

Un habitant de la Côte-d’Or a tenté de s’immoler par le feu, hier, vers 12 h 30, dans la commune de Malay-le-Grand. Il s’est aspergé d’alcool, alors qu’il se trouvait dans l’habitacle de sa voiture et a craqué une allumette. Puis il est sorti de la voiture en trombe et s’est roulé dans l’herbe pour éteindre les flammes, le tout sous le regard éberlué d’automobilistes de passage. Certains d’entre eux lui ont porté secours. L’homme, en slip, a été très grièvement brûlé.

Il a été transporté au Centre hospitalier Gaston-Ramon de Sens par les pompiers du centre de secours principal de Sens, avant d’être transféré au service des grands brûlés de l’hôpital de Clamart (Hauts-de-Seine).

Minuit pile

Old par igor le 25 Déc 2003

for the mature reader

Old par Gu. le 02 Déc 2003

Marseille est un sandwich à l’alouette

Old par Gu. le 08 Déc 2003

J-4


Les infos du monde – Hier soir…

Elodie : allo…
Igor : allo ?
Elodie : euh.
Igor : c’est qui ?
Elodie : allo, j’ai qu’une minute, Edouard ?
Igor : euh, oui…
Elodie : ben, je, tu me manques, je ben tu vois.
Igor : oué, oué si tu le dis.
Elodie : tu es un peu froid, je trouve…
Igor : mais non, je t’assure, je pense à toi mais tu vois Patxi va passer là alors tu vois…
Elodie : euh, Ed, j’ai presque plus de secondes là.
Igor : pas trop tôt.
Elodie : bip bip bip
Igor : allo ?
Elodie : bip bip bip
Igor : sympa la meuf…

Old par igor le 17 Déc 2003

Titre du film

J’aurai aimé …

ou

Nous aurions aimé …

ou

Loin devant nous

Sad itou

car :

Je suis le réel, l’anti-idéal

Je suis l’incarnation de l’hérésie

Que vos dieux appelaient pourtant Amour

7h37 pile



Vers 17 heures, au cours d’un combat aérien mettant aux prises plusieurs avions français et allemands, un avion allemand, après avoir échangé quelques bandes de mitrailleuses et quelques coups de canon, tombe, prend feu et explose à proximité de Sacy. Son pilote descend en parachute. Le combat a été suivi par le capitaine Giron du 111/195 et le lieutenant Vaux de l’état-major du régiment. Ces deux officiers s’élancent aussitôt à la recherche de l’aviateur. Giron est suivi d’un civil. L’aviateur allemand cherche d’abord à se cacher dans les blés très hauts à cette époque. Puis se croyant cerné, se constitue prisonnier et rend son pistolet automatique. C’est un grand jeune homme brun, vêtu d’une chemise bleue à manches courtes et d’une culotte grise et de bottes noires.
Old par igor le 12 Déc 2003

The overarching themes of the conference focus on contemporary

and past theory as species of risk-taking.

Tentative sessions include:

The ends of gaming

Taking practical risks in doing theory

The break-up of established interpretive systems

The moment of crisis tackled head-on

What redemption is there in risk taking?

The dubious synchronicity of theory and its objects

Chance by chance

Balancing the waste-book

Morality at the edge

What kinds of urgency?

Gamblers and Idiots

Getting badlucky

Theory gambled away

When to stop the game?

What prosthetic futures for such bright pasts?

Speculation and hazard

Theory junkies

The theory of gambling and the gambling of theory

ASS

ASS 1

Old par felix le 29 Déc 2003

salut félix j.

je sais pas si tu te rappelles de moi, parce qu’à vrai dire la seule fois où je t’ai vu t’étais foutument beurré… Mais j’avais envie de t’écrire, ou de te rencontrer pour de vrai, c’est sans doute ça la vérité. Donc voilà. Est-ce que tu te souviens? Chez Juliette, en août, j’étais avec xxx…

Par pitié souviens-toi…

julia-lo qui t’embrasse

Old par felix le 03 Déc 2003

Au café avec la douce on regarde passer les voitures et on cause littérature



Old par igor le 11 Déc 2003

iguana nuights



il a ouvert la bouche

et prononcé quelques mots

que je n’ai pas compris

bien que mes oreilles

fuss fussent fussssssss

enfin

de grandes oreilles.

couleur

lotus, ctgr - waiting for the snow

‘j’ai violé violaine’ ferait un bon titre mais son principal défaut serait qu’il n’a évidemment rien à voir avec l’histoire. ce serait un titre tautologique comme ‘le cri du cormoran le soir au-dessus des jonques’ ou ‘l’automne à pékin’. ‘le vent des steppes’ ferait aussi un bon titre mais il y a déjà un film au titre similaire au québec, ‘le vent du wyoming’ de marc-andré forcier. ‘la mer sait décliner les bleus’ serait pas mal si seulement le film ne se passait pas dans la pluie et la neige de novembre au québec…

aaaaaaaaaaaaaaah aidez-moi à titrer ce putain de film !!!

NOURRIR LES HOMMES

INSIDE

THE

BEAST

Old par igor le 24 Déc 2003

NOURRIR LES ANES #6

Et bien sûr, la dernière consigne, c’est de nourrir les ânes.

Autrement dit leur donner chaque jour trois-quart de balot.



Comme il faut un peu aérer le foin, on ne peut pas donner tout le balot et se barrer.

Donc il s’agit de transporter par petites peletées de fourche.

Et je peux vous dire qu’ils ont faim, les bougres !

Minuit pile

Old par igor le 09 Déc 2003

Moi j’ai besoin d’amour

Des bisous, des câlins

J’en veux tous les jours

J’suis comme ça

Mon coeur est à la fête

Lorsque tu me prends dans tes bras

Ca me suffit, je suis heureuse comme ça

Un p’tit signe de la tête

Des p’tits clins d’oeil par ci par là

Ca prouve que tu penses à moi

Old par igor le 07 Déc 2003

Si on a honte de notre bien-être

Et si on est bien dans notre honte

Et puis si tout doit disparaître

Peut-être que c’est mieux en fin de compte

(…) et les blancs aussi

Old par Gu. le 08 Déc 2003

J’ai violé Violaine.

Elle était pourtant vilaine

Violaine

Minuit pile

Old par igor le 17 Déc 2003

NOURRIR LES — ZAN

Old par igor le 23 Déc 2003

je peux penser

ce que je veux

mais pas ouvrir

cette petite porte

ogive

au fond du couloir

car

on n’y trouve

que

la maladie, l’ironie

et

la perte

mais

d’espoir point


Old par igor le 23 Déc 2003

Message à caractère informatif

– c’est ce qu’elles me disent toutes en fait…
– …
– sinon pour le 31, j’encourage les tourguenistes à se pinter la ruche et à rester au taquet jusqu’à l’aube.
moi je risque d’être dispo à partir de 2/3 heures du mat’ et déjà bien grave donc si vous avez des plans…

Old par igor le 24 Déc 2003

7 ans, 2523 jours…

Depuis 7 ans, depuis 2523 jours non-stop l’union des etudiants juifs de france poursuit COSTES en justice.
Costes sera pour la cinquieme fois devant les juges jeudi 18 décembre à 13h30 palais de justice de Paris
-> métro cité 11eme chambre criminelle de la cour d’appel (face à l’escalier d’entrée, 1er étage)

Old par igor le 17 Déc 2003

Urgences

Les murs de mon âme se lézardent

D’étranges lumières venues du dehors

Provoquent mon reveil

Je ne sais plus qui je suis

Old par M. Fox le 28 Déc 2003

le récitant : si je pouvais me dédoubler, je baiserais avec moi-même ?

Old par igor le 05 Déc 2003

Une heure pile

je suis Igor Tourgueniev et je suis ce héros

Old par igor le 27 Déc 2003

NOBODY

CE

HEROS

Minuit pile

Old par igor le 02 Déc 2003

Minuit pile

je suis à Montpalach

Old par igor le 21 Déc 2003

merci, quoi

Minuit pile

Old par igor le 12 Déc 2003

couleur

lotus, ctgr - à cache-cache

Minuit pile

Old par igor le 14 Déc 2003

Minuit pile

Old par igor le 22 Déc 2003

Everybody comes to Hollywood
They wanna make it in the neighborhood
They like the smell of it in Hollywood
How could it hurt you when it looks so good

Old par igor le 26 Déc 2003

Kezaco ?

Valmont, Ô déviant épars !

Chante Reine !!! Comte Rex est vil !

VITE !!!

Elle vole

– vit que père riait –

TONNONS !

Salve est ta vie !

CHIE !!!!!!

( c’est laid ce teint sans paix, l’aigri… )

Nos bas,

– doigt-alliance –

scintillent or.

classique et désespérément efficace

Old par felix le 09 Déc 2003

Yahoo! Actualités – A minuit, Harry Potter se transforme en "événement éditorial du siècle"

« Les libraires ne trouvent rien à redire: « Faire du marketing sur un mauvais produit, on pourrait s’en plaindre. Mais ce n’est pas le cas », selon Bertrand Picard. « Harry Potter a ouvert des millions d’enfants à la lecture », renchérit Sarah Thomas.

Parmi eux, Juliette, 13 ans, qui énumère les recettes du succès: « On ne bute sur aucun mot difficile, c’est pas comme Zola », « il se passe toujours quelque chose », « il y a des énigmes ». Et surtout, « comme c’est le seul livre que nous avons toutes lu, je peux en parler avec mes amies« .

SpOkème vibriOn

     Large

   Dimanche, la rue,

On voulait sortir du grand cadre

   Rien d’extraordinaire sortir du grand cadre,

      Non, rien d’extraordinaire

Visiblement, les gens aimaient prendre la tangente, se pencher

   Courir en italique, se dérober, ton mot c’était oblique, tu disais,

        Plutôt rester dans les cadres,

      C’est qu’ils préfèrent, les cachettes, s’enferrer de petites fatigues.


  Rompant le doux continu des jours dichotomes

    Qui cantonnent nos rires à des moues monochromes,

     On discutait, bouches pleines d’offenses,

  Monde fait de violence, et encore du vent,

Des histoires et encore du vent,

Des griefs, des avalanches, des petites revanches

Des reliefs, ou même des identités,

          L’avenir sur ta paume, tu disais,

       Les visages flous des génomes, tu disais,

     En perdre son signalement,

   Combien les mots manquent de discernement,

  Diminuent la vigilance du sujet.

        Pendant que rouge le ciel gazolé dégaze,

      Dans l’air, tout ça qui flotte, rase et s’effiloche,,

         On a peut-être raté le coche

  Il y en avait mille fois trop
, tu disais, mille fois trop,

Aérer, aérer
, tu disais, aérer, revoir la mer, respirer,

  Evoquer la banalité des clichés,

     Le flot des images éculées, tu disais, l’âme cassée,

Fuir l’éphémère, être à tout allant, génant pour l’éternité, adulés.

    Et le vent léger que tu me souffles au creux des voiles,

   Soleil incliné dans tes yeux, apaise mon poux, mon oripale,

      Sans jamais froisser nos mailles, nos pulls qui

       Débraillés nous taillent des silhouettes diverses,

  Pour sûr, on n’y est pas à l’étroit, pour sûr, on aime les porter large.

Tu sentais comme la pluie, des arbres,

Comme la terre mouillée aux pieds des arbres,

  Tu disais, Quands tu me parles, tu joues, quand tu me râles, que tu me tires tes balles,

Je vois pointer comme des astres, oui des mots comme des astres fous
,

   Fumée dans l’air qui flotte pendant que rouge le ciel ébahi, envahit,

                        Rase et s’éparpille

      Comme de longues séries de phrases vides qui vascillent,

                                Mais assassinent quand même,

                                 Collent au palais, étouffent,

Assassinent quand même,


       Tu disais, Sait-on seulement que c’est à chaque fois différent,

     Sait-on seulement que nos vies n’ont rien de répétitif, rien de définitif,,

   Et s’il y a des risques, pourquoi ne pas prendre ces risques?

    On marcherait, la rue, nos écharpes, s’en aller,

Anonymes, dérisoires, périphériques, rien de différent,


              tu disais, nul besoin de se dérober,

   Sans cesse reconquérir, arrêter le temps, photographier le vent,

     Evanouir la zone et les feux qui croisent à l’horizon,

Les saisons, en mener large avec toi, s’épanouir,

            Dimanche, lundi, mardi, et les autres aussi,

Arpenter la ville la nuit, le jour,

             Déclarer son amour à qui vient, qui veut,

   Comme un vieux disque rayé, répéter, répéter, même épuisé,

              Recommencer l’amour entre ses lignes aérées
,

Tu disais, tu sais où nous allons,

                              Il n’y a pas d’horizon finissant,

  De phare,

        Où nous allons, il n’y a que des larges,

   On n’y sera pas à l’étroit, tu sais,

Des larges,

on n’y sera pas à l’étroit
,

                              La mer sait décliner les bleus

(…)

Frédéric

Nevchehirlian

Old par Gu. le 08 Déc 2003

Pfff

Âne ma sœur âne.

J-1 chez Patxi

Bang bang (My Baby Shot Me Down)

I was five and he were six

We rode on horses made of sticks

he wore black and i wore white

he would always win the fight

Bang bang, he shot me down

Bang bang, I hit the ground

Bang bang, that awful sound

Bang bang, my baby shot me down

Seasons came and changed the time

when I grew up, I called him mine

he would always laugh and say

Remember when we used to play

Bang bang, I shot you down

Bang bang, you hit the ground

Bang bang, that awful sound

Bang bang, I used to shoot you down

Music played and all people sang

Just for me the church bells rang

Now he’s gone I don’t know why

untill these days Sometimes I cry

he didn’t even say goodbye

he didn’t take the time to lie

Bang bang, he shot me down

Bang bang, I hit the ground

Bang bang, that awful sound

Bang bang, my baby shot me down

Old par igor le 01 Déc 2003

couleur

lotus, ctgr - sunbarking me tender

Obsolete est aussi l’allumeuse qui

Portait des bas résilles et empestait le patchouli

Pour des services rendus elle me dit « j’te paye en nature »

Et je reste stoïque quand elle me tend des confitures…

Minuit pile

Old par igor le 30 Déc 2003

Minuit pile

Old par igor le 01 Déc 2003

couleur

lotus, ctgr - blue hearings



ELEKTRON-KANIVEAU LIBRE!

colorions kandinsky d’après gutaï



merd !

le récitant : une année de plus c’est comme une nouvelle façon de sortir en courant d’une niche divinement peinte en bleu.

Old par igor le 18 Déc 2003

Old par igor le 31 Déc 2003

shOes'zoOm

dial a decade in shoes

Old par Gu. le 02 Déc 2003

igor, pas un mouvement de plus !

Old par felix le 23 Déc 2003

dinde aux marrons ou marrons d’inde?

The Lo-Fi Covering Orchestra – The Lo-Fi Tribute to Diam’s DJ

zyva ! download moi ma race !

Minuit pile

Old par igor le 08 Déc 2003

couleur

lotus, ctgr - comme la peau

walkin’bOtanik

soup4feet

Old par Gu. le 04 Déc 2003

méfions nous quand même

Old par -- Zan le 09 Déc 2003

monde visible<>miroir de la volonté

contempler le reflet

qui tapisse l’interieur

de la bulle qui flotte

au dessus de l’eau

24 images seconde

défilent translucides

sur menbrane irisée,

fragile, & flop, générique

Old par Gu. le 08 Déc 2003

We wish U



Elite Force Aviator: George W. Bush – U.S. President and Naval Aviator – 12″ Action Figure

Blue-Box

Price: $39.99

Age: 14+ years




BBI proudly introduces the latest issue in its Elite Force series of authentic military 12- inch figures, President George W. Bush in naval aviator flight suit. Exacting in detail and fully equipped with authentic gear, this limited-edition action figure is a meticulous 1:6 scale recreation of the Commander-in-Chief’s appearance during his historic Aircraft Carrier landing. On May 1, 2003, President Bush landed on the USS Abraham Lincoln (CVN-72) in the Pacific Ocean. While at the controls of an S-3B Viking aircraft from the « Blue Sea Wolves » of Sea Control Squadron Three Five (VS-35), designated « Navy 1, » he overflew the carrier before handing it over to the pilot for landing. Attired in full naval aviator flight equipment, the President then took the salute on the deck of the carrier.

This fully poseable figure features a realistic head sculpt, fully detailed cloth flight suit, helmet with oxygen mask, survival vest, g-pants, parachute harness and much more. The realism and exacting attention to detail demanded by today’s 12-inch action figure enthusiast are met and exceeded with this action figure. This incredibly detailed figure is a fitting addition to the collection of those interested in U.S. history, military memorabilia and toy action figures. Actual figure may vary slightly from item shown. Note: some plastic accessory trays inside the commemorative display box may have extra spaces.

COMME DANS UN FILM DE MARC DORCEL

Old par felix le 05 Déc 2003

Trêve de confiseries, j’ai les crocs.

4 :: blanklaunch

tire pas merd !!!!!

chamrousse  1968 - tin!!! tout shuss dans les bosses !

comme des moineaux

on allait grapiller les bisoux

des championnes

au salon de coiffure

et à sept ans

des bisous

t’en as tant que tu veux

tinnnnnnnnnnnnn !!!!

couleur

lotus, ctgr - light birds

rouge red

for red clouds riders

allons gü… un titre de road movie…

autres suggestions reçues jusqu’à présent :

-mixed up

-dropping out

et…

-garçons perdus, cheveux gras

aïe.

Old par M. Fox le 21 Déc 2003

neitherErs norErs

for Vador walks

Chou,

Andy,

Dis-moi oui,

Andy.

Chou,

Andy,

Dis-moi oui,

Chéri.

Chou,

Andy,

Dis-moi oui,

Andy.

Wo wo chou,

Chéri,

Dis-moi oui,

Andy.

Chou,

Andy,

Dis-lui oui,

Andy.

Dis-lui, dis-lui oui,

Andy.

Sois gentil,

Cette fois-ci.

Chou,

Andy,

Dis moi oui,

Andy.

Chou,

Chéri,

Dis-moi oui,

Oh, oui.

Chou !

Old par felix le 12 Déc 2003

NOURRIR LES ANES #3


On m’a donné plusieurs consignes.

Car les ânes, quoi qu’on en pense, sont plutôt difficiles.

La première contrainte, et la plus pénible de mon point de vue, est qu’il faut nourrir les ânes à heure fixe.

En l’occurence, il s’agit du matin, avant 10 heures de préférence.

Si jamais on déroge à cette règle, l’âne peut le faire remarquer de manière assez désagréable et parfois spectaculaire.

Cela s’est produit une fois, d’après ce qu’on m’a raconté.

Pris par je ne sais quelle obligation, le propriétaire des bêtes n’avait pu, en effet, leur donner leur botte de foin quotidienne.

Quand il est arrivé, sur le coup des 14 heures, il les a pourtant trouvé, tous les deux au rapport, calmes et l’air dégagé.

Les deux jumentsIl faut aussi savoir que dans le champ d’à côté, il y a deux chevaux. De belles juments de race, autrement dit dont la progéniture peut valoir très cher, pour peu qu’on les fasse monter par des étalons assez dignes.

Au moment de cette histoire, le propriétaire des juments prévoyait justement d’aller les faire engrosser je ne sais où dans l’ouest de la France.

Le pauvre homme emmène donc sa bête un jour de grande chaleur, la fait monter comme il se doit par un pur sang bien membré, et revient sur la colline des moulins. Il fait constater la grossesse, paie la saillie, et attend l’arrivée du poulain.

Bien entendu, au moment de mettre bas, ce sont deux grandes oreilles qui apparaissent au lieu du pur sang attendu.

Les ânes (on ne saura jamais lequel exactement), avaient sauté la jument ce jour où ils avaient attendu trop longtemps leur repas.

Voila pourquoi il me faut respecter avec rigueur cette première contrainte.


Pompidou démission !

Quelle n'est pas la surprise générale d'apprendre qu'il décide brusquement de donner sa démission pour changer de cap et continuer ses études (à la fin du mois de janvier).  Ce n'est sans doute pas sur un coup de tête qu'il aura pris cette décision.  Son poids fort insuffisant y est sans doute pour beaucoup, mais sa détermination constituait un modèle pour tous.  C'est là une perte bien regrettable pour la heya.  On ne peut que lui souhaiter bonne chance, mais on peut être sûr que, quelle que soit la voie qu'il aura choisie, il saura se diriger d'une façon positive, avec persévérance.

NON A L’HIVER

Old par igor le 16 Déc 2003


Minuit pile

Old par igor le 06 Déc 2003

Coque de béton vif-argent qui protège mon coeur,

j’ai perdu les codes d’accès

je te veux

pour le meilleur et pour le pire

comme administrateur de mon réseau

on va tout recommencer

pour le meilleur et pour le pire

encore et encore

Old par M. Fox le 28 Déc 2003



Old par M. Fox le 15 Déc 2003

douce beauté

chinese tree

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