… Blogger ta mère !
Pardonnez tant de vulgarité mais … putain de bordel à culs ! tant de tracas pour retrouver un login recouvert de poussière et se voir refoulé par le rutilant nouveau Blogger qui tue sa race qui veut vous faire migrer, c’est contrariant.
Je voulais juste dire, Igor, il manque un bouton « écrire » dans le bouton à gauche : c’est fatiguant de taper blogger.com.
(ok j’aurais pu le faire en privé)
Ah il est tout en bas ?
Bon et alors ?!
Nan j’ai rien à ajouter !
Merde.
Bonne Chandeleur
(en plus y a même pas mon nom infalsifiable, pfff)
L’autre jour je me suis éveillé après un rêve de toi.
Qu’ils sont doux ces matins où tu m’accompagnes. Trop rares ils se font. Tu vieillis, moi aussi. Déjà nos corps s’épuisent, nos chairs s’affaissent. J’aimais tant ton cul rebondi et tes petits seins. Je ne les ai caressés qu’en rêve et déjà ils disparaissent.
Reste près de moi.
Google translator
Il a lieu d’une soirée de 1993, vous est nouveau Yorkais. Attache, qui le besoin de A vous est souvent dans le trainez latéral abaissent ces derniers les quarts de vie de la personne, et du bordélique n’a pas pris, quelque chose qui vous gêne loin dans ceux des insectes des spiercings de suggestion au-dessus du glande et des soirées poétiques dans le finery pour que les barres distribuent. La nuit tombe d’une telle manière, et vous entrez dedans dans un petit snack/Bar, qui est fourni trop largement pour lui dans un de ces petites routes aux arbres. La barre est de petits six sept conseils et soberly, à peine steinmauer, afin de se référer autour de l’endroit un chouiea cordial. Ils commandent une bière, vous ont examiné qu’un jeune artiste viendra, afin de chanter …
Demain je partirai.
Les jours se suivent et se ressemblent.
Si je ne pars pas je mourrai là.
Un mur nous cache les flots, la Terre et l’Océan.
Un mur nous cache et nous efface.
Tu m’oublieras dans ce bagne d’enfants.
Demain je partirai.
Les jours se suivent et se ressemblent.
Mon gardien a confisqué ma nourriture.
Son chien aime la viande et ses enfants le fromage.
Demain je ferai le mur.
Tant pis pour les tessons de bouteille.
J’ai trop mal au ventre.
Toujours ces murs gris et ce béton puant.
Demain je partirai.
Être lu être vu être su être tu.
Être bu être dû être chu et déchu.
Être nu. Avoir pu.
Dormir sans fermer l’oeil. Il y a des objets partout. Des choses qui me connaissent depuis quelque temps maintenant. Elles m’épient. Parfois, je ferme un oeil, je perds ma vigilance…La fatigue croit faire sa loi mais très vite je remonte la garde. Rien n’a changé. Enfin en apparence.
Ce bruit…ce bruit…ce bruit ??? Ah! C’est mon ongle qui craque entre mes dents qui résonnent. Leur émail se fendille. Remonte à la racine. Puis la dent se casse en morceaux qui tombent en poussière sur les draps. C’est très laid.
Il me faut trouver le sommeil.
« connard !
petit pédé !
baltringue va !
tu la ramènes en plus ?!
baltringue là !
connard !
p’tit pédé !
ouais ouais c’est ça
descend de ta caisse !
(…) »
Je ne suis pas fier mais j’ai finalement laissé couler puis ruminé quelques heures ce dialogue à sens unique issu d’une mauvaise application du code de la route, qui n’était pas de mon fait, et d’une non moins mauvaise application du code de bonne conduite, que je suis cependant parvenu à respecter.
Alors, s’il vous plait !
Partageons cet instant de défoulement.
J’vous préviens vous avez intérêt à bouger vos p’tites fesses et à vous procurer le live de Led Zeppelin.
J’aimerais avoir de l’audace. Porter un bermuda et une chemise à carreaux.
Faire du vélo et porter des lunettes noires.
Mais j’ai peur de ne pas être à la hauteur.
… dont je ne connais pas le nom scientifique.
Je rosis de confusion.
on s’est assis dans l’herbe et tu as levé la tête vers la grande ceinture d’astéroïde, l’air triste
tu m’as dit
– je crois qu’on va avoir un bébé
– j’ai dit hein ? quoi ? tu plaisantes ?
tu as eu un peu peur mais j’étais fou de joie
je t’ai invitée a dîner dans le Grand Restaurant antigravité et on a fini la soirée en faisant l’amour comme des fous
épuisés on a regardé partir les grands destroyers pour la Zone E, où les combats faisaient rage
un jour notre fils commandera un de ces vaisseaux t’ai je dit d’un air prophétique
Tourgueniev ce héros, c’est la preuve écrite
que des caleçons bien remplis
peuvent aussi contenir des coeur purs.
(ça vaut aussi pour les filles, mais c’est déjà écrit)
idiosyncrasie – scarification – régression
mais quand vous marchez dans la rue vous regardez les gens ?
je veux dire dans les yeux, ceux que vous croisez vous les voyez ? cherchez-vous leur regard ?
quand j’avance certains jours
– surtout si j’ai rêvé de toi, si tu m’as ignoré, si j’ai eu mal aux tripes d’être anéanti –
j’ai peur de voir dans leur yeux la difformité
mon âme
je crains que mes jambes ne s’emmêlent, j’ai le vertige
je ne croise que leurs yeux
aimantés
globuleux
curieux
ça me porte au cœur, j’ai un peu peur
vous voyez mon cœur, n’est-ce pas ? oui c’est ce qui déforme ma poitrine, je ne sais pas comment ça se fait
non ils ne me voient pas, chacun est son propre centre du monde
et je ne sens que ton absence et ton indifférence et rien n’importe plus que ma belle douleur
je la chéris comme une trace de toi, je veux des cicatrices
parfois j’ai mal à la tête
très mal
à ramper sur le carrelage pour chercher la faîcheur
à frapper le sol de mon cerveau nu,
avez-vous remarqué comme ma boîte cranienne a rétréci ? ça ne peut-être que cela
ces maux de tête
non ?
parle-moi
je veux encore sentir ta peau
je veux encore sentir ta peux
je veux encore sentir ta peau
La fin des haricots
Parfois du haut de mes yeux j’aperçois mes mains et il me semble qu’elles ne sont pas miennes. Un doute alors s’immisce et du coin de l’oeil j’observe le bras puis le torse, les jambes : suis-je bien moi là-dedans ? Ce corps chétif, obscène, est-ce bien le mien ? Il me faut bouger le pouce, remuer le pied pour comprendre que décidément oui, c’est bien moi qui ai pensé ces mouvements. Vient la déception, la triste prise de conscience : ce corps est bien le mien. |
Et pourtant …
Adieu poulet !
Ne riez pas, ne crachez pas …
Je t’ai tant aimée
je t’ai tant désirée
je ne vis plus qu’au jour le jour
c’est risible bien sûr
c’est absurde
incroyable
on dirait des foutaises
mais je ne pense qu’à toi
du matin au soir et toute la nuit
cette longue nuit qui n’en finit pas
car je ne connais pas le repos
je t’aime
et tu ne quittes pas mes pensées
chaque seconde je rêve de toi
les yeux ouverts je dors
le jour je perds la vie
et j’espère sans bruit
j’attends en silence paralysé
je vois seulement le temps passer
mais je ne le sens pas s’écouler
pourtant je sais que chaque instant t’éloigne un peu plus de moi
chaque jour passé me ronge un peu plus et je ne sais que regretter tout ce temps perdu à n’avoir pas su te dire plus tôt je t’aime encore
je t’aime
encore
je t’aime …
14:04
« Si on s’accrochait à des ballons ? On s’envolerait ! Comme des oiseaux !! »
Rex, dinosaure dans Toy Story .
« Changez-tout
Changez-tout
Pour une vie qui vaille le coup
Changez-tout
Changez-tout
Changez-tout »
M.J.
Oui, enfin il exagère un peu, non?
Je veux aller où l’air est plus doux
Change your life. Start smiling.
Pfff
Âne ma sur âne.
Règle n°2 : “Il est interdit de parler de Reservoir blogs.”
Je cite : « Les branleurs vont enfin pouvoir se la couler douce. » …
First shots
REPORTAGE A 105 CM |
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Envie ce soir de t’écrire naisement « je t’aime ».
Je t’aime car tu es belle.
Je t’aime car tu sens bon.
Je t’aime quand tu es colère.
Je t’aime quand tu m’en veux.
Je t’aime quand tu allumes ta cigarette.
Je t’aime quand tu dis des bêtises.
Je t’aime quand tu fais la révolution.
Je t’aime quand tu dances.
Je t’aime quand tu as peur.
Je t’aime quand tu es triste.
Je t’aime quand tu souris.
Je t’aime dans la lumière du ponant.
Je t’aime surexposée.
Je t’aime.
…
Tu sais tout cela.
Depuis longtemps déjà.
Comment peux-tu encore me supporter ?
Insère toi bien mon petit sinon gare à toi. Je t’enverrai crever loin des tiens, dans un trou boueux dont tu ne pourras t’extirper, avec pour seul bagage quelques souvenirs affolés.
Sois bien sage.
Dans l’église.
Vous vous êtes agenouillée. Vous étiez charmante dans la lumière du ponant.
Je vous aimerai toujours.
Stanick (via le wub)
Un homme entra : Brasserie l’Avenir. Ceux qui s’échouaient là n’avaient plus belle allure. Sur le zinc émoussé ne se réfléchissait plus qu’une vague tâche jaunâtre, l’image de leur demi siroté aux hasard des trop longues après-midi d’errances éthyliques.
L’homme qui venait d’entrer avait la face brunâtre et couperosée, le ventre ballonné d’un assidu, d’un habitué, d’un condamné. Ayant jeté un furtif mais perspicace coup d’œil à la ronde pour s’assurer de la présence de tout son petit univers, il s’accouda au comptoir et revêtit sa gangue de souvenirs …
Fin de transmission
Interruption de service imminente.
Je ne veux pas être productif
Mauvais fils
Pris dans les toiles que l’on tisse
Mauvais fils
L’araignée a tous les vices
(FFF)
Marilyn
Ma chérie
Attends-moi !
J’arrive.
Tu m’as manqué
Toutes ces années
J’ai traîné mon ombre le long du canal
Sans avoir le courage
Jamais eu le courage
De venir te retrouver
Tu m’as tellement manqué
Souris-moi
S’il te plait
Ca me fait tellement mal quand tu souris
Je mourrais pour te voir sourire encore une fois
Tu vois ces mots que j’aligne au hasard de mon désespoir
Je te les adresse secrètement pour que tu saches que je ne t‘oublie pas
Je t‘aime.
Remember … Freedom, ça veut dire liberté.
JE VOUS L’AFFIRME, IL FAUT SE BARRER DE CHEZ FREE.
CASSONS-NOUS.
TOUS.
Merci de votre attention.
Piano
Mal de dos
Des arbres dans le dos
Du soleil des épines de pin des parfums d’automne
Mal de dos
Sombrer s’effilocher s’autodévorer
Sentir voir douter craindre
Sourire
Mal de dos
Aquarium
« TOURGUENISME, n.m. : Automatisme psychique pur par lequel on se propose d’exprimer, soit verbalement, soit par écrit, soit de toute autre manière, le fonctionnement réel de la pensée ou de son absence. Dictée de la pensée, en l’absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale. »
Impériale, elle l’ignore superbement. Ce petit jeu l’amuse et lui aussi peut-être. Parfois, il jette un œil mélancolique à ses sandales dorées, il admire son pied dénudé. Elle croise et décroise les jambes, l’air absent et son parfum vole autour d’elle comme un piège narcotique. Sa poitrine se serre. C’est un peu de cette douleur qu’il voudrait garder d’elle …
Je ne pense plus qu’à la faim. A mon estomac. Il se dilate atrocement, il enfle, il parle sans cesse et bruyamment, il prend de plus en plus de place. Beaucoup trop.
Cet estomac a pris trop d’importance. Ce ventre prend une dimension monstrueuse. Je le vois bien dans le regard des autres. Il est impossible qu’ils l’ignorent. Ils savent. MON VENTRE ME TORTURE. Chaque jour il grignote un peu plus de moi. Ma ceinture abdominale, ma belle ceinture ! s’est envolée depuis longtemps.
Malheur.
Plus rien qui puisse contenir cette expansion hominivore. La nausée.
Je dois prendre des cachets pour réduire son volume, pour digérer ce qu’il ne digère pas. Car il ne prend plus même la peine de travailler. Il engrange. Point.
Pourtant j’ai très faim.
Je ne veux plus manger.
Je ne veux plus manger.
J’ai très mal au ventre.
Ca va passer.