carrer junta de comerc

il referma la porte du micro-ondes et mit le programme en marche. ce sur quoi il m’affirma :
« il vaut mieux quitter la pièce et s’éloigner lorsqu’il fonctionne. la porte est bancale, il y a un trou dessous. »

il referma la porte du micro-ondes et mit le programme en marche. ce sur quoi il m’affirma :
« il vaut mieux quitter la pièce et s’éloigner lorsqu’il fonctionne. la porte est bancale, il y a un trou dessous. »
Lapo Elkann, héritier de la dynastie Agnelli, est sorti du coma
ROME, 12 oct 2005 (AFP) – Lapo Elkann, un des héritiers de la dynastie
Agnelli et frère du vice-président de Fiat, est sorti mercredi du coma où il
était plongé depuis deux jours à la suite d’une overdose de drogues, a annoncé
sa famille.
« Lapo va bien maintenant. Il est soigné par d’excellents médecins », a
déclaré son père, l’écrivain Alain Elkann, cité par l’agence Ansa.
[…]
Selon l’Ansa, les analyses auraient montré la présence de cocaïne, d’héroïne
et d’opium dans son organisme.
L’enquête de police se concentre actuellement sur la provenance de la
drogue, qui aurait pu être fournie à Lapo Elkann par les trois transsexuelles
avec lesquelles il a passé la soirée de dimanche à lundi à Turin et qui ont
alerté les urgences lorsqu’il a eu son malaise.
[…]
kd/csg/ai eaf
AFP 121827 ÔÔÔ OCT 05
Ce n’est que le premier mort qui compte. C’est l’un des problèmes de la culpabilité en cas d’assassinat : elle n’est pas additionnelle.
Il n’est pas considéré comme plus grave d’avoir tué cent personnes que d’en avoir tué une seule. Du coup, quand on en a tué une, on ne voit pas pourquoi on se priverait d’en tuer cent.
Que sont mes amis devenus
Que j’avais de si près tenus
Et tant aimés
ls ont été trop clairsemés
Je crois le vent les a ôtés
L’amour est morte
Ce sont amis que vent me porte
Et il ventait devant ma porte
Les emporta
Avec le temps qu’arbre défeuille
Quand il ne reste en branche feuille
Qui n’aille à terre
Avec pauvreté qui m’atterre
Qui de partout me fait la guerre
Au temps d’hiver
Ne convient pas que vous raconte
Comment je me suis mis à honte
En quelle manière
Que sont mes amis devenus
Que j’avais de si près tenus
Et tant aimés
Ils ont été trop clairsemés
Je crois le vent les a ôtés
L’amour est morte
Le mal ne sait pas seul venir
Tout ce qui m’était à venir
M’est avenu
Pauvre sens et pauvre mémoire
M’a Dieu donné, le roi de gloire
Et pauvre rente
Et droit au cul quand bise vente
Le vent me vient, le vent m’évente
L’amour est morte
Ce sont amis que vent emporte
Et il ventait devant ma porte
Les emporta
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Warning : peinture indélébile
« Qu’est-ce que c’est que ce Bordel?
Qui est Monsieur Meuble ?
Qui de la Poule ou de l’Oeuf?
Où va t’On? »
apathie : (n. f.) Incapacité de s’émouvoir ou de réagir, par mollesse, indifférence ou état dépressif, pouvant résulter d’une perturbation molletonnée des mécanismes frontaux cortico-sous-corticaux.

son public l’attend fidèlement…

« La question qui revient sans cesse sur l’obligation pour un tourgueniste de ne pas retranscrire son nom donne souvent à lire ou à entendre d’étranges choses. Cela peut aller de la simple prohibition automatique à la raison la plus occulte qui soit. La vérité est ailleurs, et il suffit de se plonger dans les racines du tourguenisme et de l’Ecole Hélicoïdale Molletonnée pour le comprendre. Nous essayons de décrire très brièvement quelques pistes qui devraient être suivies par nos derviches tourguespires. Mais entrer dans un tel egregore implique de conserver à l’esprit que si l’on cherche à percer les mystères de la Spire, l’on se doit de le faire dans le respect des hélicoïlinks car le paradigme tourgueniste veut que le Spirosyndrôme Circonbullaire soit chargé de la puissance de la création de l’univers lui-même. Le tourgueniste pense que le nominalisme interventionniste n’est qu’une permutation de la rosace bloguistique. Mais par référence à la sémantique habituelle, la carte n’est pas le territoire. Or cette occultation, si elle est mal comprise ou mal dirigée, peut être destructrice pour le tourgueniste. Osons donc méditer sur le nom, mais dans le souvenir du respect et de la crainte du pouvoir qui est en lui. Sans déconner.
D’ailleurs, depuis la parution du livre « Tourguaos : making new science » de Sikorski en 2009, cette science est en effet en voie de former un nouveau paradigme qui influence plusieurs secteurs de la science traditionnelle. Comme le mentionne Sikorski (ibidem) : « Avant 2007, aucun livre de prospection nexialiste ne contenait le mot fractal ; en 2015 je pense que l’on ne trouvera pas un livre de physiopsychomancie qui ne contiendra pas ce mot ». Cette nouvelle science appelée communément science de la complexité ou tourguenisme, a vu le jour dans les années 2000 et s’est développée notamment grâce à la puissance de calcul des nouveaux ordinateurs, aux réseaux de télécommunications multiplexés, et aux interfaces allégées. Elle regroupe actuellement plusieurs courants qui partagent notamment le fait de reconnaître le rôle du tourguenisme dans la genèse de la complexité. Trois tendances majeures s’appliquent a ces théories, qui sont : l’étude des systèmes dynamiques bullaires et chaotiques, à partir des précédentes modélisations des systèmes complexes comme la météo ou l’économie (toodidoo). La deuxième s’intéresse à l’auto-organisation des systèmes bullaires, réseautale, intersticielle, dans laquelle on peut inclure les structures dissipatives, les gigognes gidouillesques, et l’implémentation structurelle qui segmente les sous-groupes en circonbulles, nocturbulles, corticobulles et bulles. La géométrie fractale se caractérise par son invariance d’échelle, c’est-à-dire le fait de retrouver la totalité dans la partie, peut importe à quel niveau on observe la structure. Vous me suivez.
Mais malgré tous ces développements, il existe une confusion primordiale autour du terme « tourguenisme ». Selon Sikorski, on retrouve plus de trente-et-une définitions différentes de sa complexité spirale. Autant dire qu’on entre pas là-dedans comme dans une bibliothèque verte, vérole. »
Pr. Drunnörst Gulkstra-Grüll, préface au « Codex Troglodidactique de Tourguenisme Appliqué », mai 2009.

« Le concept de « salle blanche » m’a toujours paru amusant, jusqu’à ce qu’il constitue une parfaite illustration de mon cerveau. »
la porte ouverte à toutes les fenêtres…
webFuture
TOURGHOLM (AT) – Un chasseur tourguenien a été assommé par une bernache du Canada sur laquelle son fils venait de tirer, rapporte l’agence de presse Associated Tourguians.
« J’imagine que l’oiseau voulait se venger », a déclaré Ulf Ilback au journal Extra Ostergotland, précisant que l’oie sauvage avait fait une chute de 20 mètres.
Le chasseur, qui a perdu connaissance après avoir reçu l’animal sur la tête, a dû garder le lit deux jours.
Les bernaches peuvent peser jusqu’à 6 kg.

Je me souviens déjà plus de ton nom,
dans quelques jours,
j’oublierai même,
ton visage.
Sarkozy: « quand on a une migraine, ce n’est pas un sujet de
plaisanterie »
PARIS (AP) — On ne plaisante pas avec la migraine. Le ministre
de l’Intérieur Nicolas Sarkozy est revenu lundi sur la migraine qui
l’a empêché d’assister au Conseil des ministres mercredi dernier,
soulignant qu’il s’agit d’un mal « extrêmement incapacitant ».
« Il y a six millions de Français qui, comme moi, ont la migraine
ou j’ai la migraine comme eux », a-t-il déclaré sur France Info. « Ils
savent que c’est extrêmement incapacitant et quand on a une
migraine, ce n’est pas un sujet de plaisanterie. »
Le ministre de l’Intérieur a par ailleurs reproché au journaliste
qui l’interrogeait d’avoir dans la voix « un petit air ironique ».
« Cela prouve (…) que vous ne savez pas ce que c’est que la
migraine. »
« Depuis mon plus jeune âge, j’ai des migraines », a-t-il confié,
évoquant avec sarcasme « la générosité spontanée d’un certain nombre
de journalistes ». « En cas de prochaine crise, je vous la
signalerai », a-t-il conclu. AP
kb/cr
101956 oct 05
je vote wintercamp…

des Maraudeurs Arthropodes, quelques Sécréteurs Bullaires,
accélération le temps de descendre une rue les bras chargés
ça n’est qu’une pure hypothèse mais elle avance, elle tourne,
et s’élève.
Pr. Gulkstra-Grüll, « Quand j’ai bu ça tourne aussi », juin 20??, p.468.
15/03/05 : une variante mineure konsstruktVOUSencule (également nommée lire_la_suite, [MISE_A_MORT]_roman_à_suivre ou [999poèmesSERIEtourgueniev]) a été identifiée. Elle est fonctionnellement identique à konsstruktVOUSaime mais se propage via les blogs collectifs et peut nécessiter une nouvelle mise à jour de l’antivirus pour être détectée (l’utilitaire de désinfection FxOrgasminert2.001.6.3 ne suffit plus).

– Ne m’abandonne pas, toi seul peut combler mon infini désir d’absence, tu es le seul à avoir compris les fondements de mon rapport à l’engagement… Je t’en supplie !
G., drapé dans sa dignité, franchit la porte d’un bloc. Puis, sans un regard :
– Shoshana, ne m’oblige pas à détruire cette part d’immortalité que tu as su faire germer entre nous. Ne m’oblige pas à t’enfuir.
Shoshana, interdite, s’effondra en larmes.
Bout de Zan,
Tes virus
Me manquent!
« Le poujadisme, ce n’est pas ma tasse de thé. »
Michel-Edouard Leclerc
Hélicoïde rotative ascendante & sofa surf en milieu
molletonné, workshops atypiques et punch sauterelle
ludicité lucide et vice versa, ça tourne encore
à cette heure-ci, c’est pour dire.
le récitant : le tourguenisme avance, indubitablement…
Je voudrais être le petit poucet dans ta fente et gémir et te faire couiner ma belle il n’y a pas d’issue tu m’appartiens!


En l’an cinq je suis a trente trois comme le christ et oui,
je ne sais pas si ça vous dit quelque chose ça le christ hein
parce que perso j’ai beau n’en avoir rien a carrer mambo
ben quâmême hein c’était un joli petit gars a ce qu’il parais
et certain disent qu’il était un peu bisou-bisou dans son genre
alors moi chaipas hein mais bon voili-voilou, tas de
dégénérés du molletonné…, faites vous pas
trop chier a poster car toutt’façon
personnilli ç’qu’on baragouine ici
et pis aussi j’vous avertit,
grrrblllouooo Nané
a qui voeux
…
![]() |
Ramenez vos polaroïds de Gü. et ettofez les murs du bouquin affamé |
L’enfer du Nord, Paris Roubaix
Tour de France, Tour de France
La Côte d’Azur et Saint Tropez
Tour de France, Tour de France
Les Alpes et les Pyrénées
Tour de France, Tour de France
Dernière étape Champs-Elysées
Tour de France, Tour de France
Galibier et Tourmalet
Tour de France, Tour de France
En danseuse jusqu’au sommet
Tour de France, Tour de France
Pédaler en grand braquet
Tour de France, Tour de France
Sprint final a l’arrivée
Tour de France, Tour de France
Crevaison sur les pavés
Tour de France, Tour de France
Le vélo vite réparé
Tour de France, Tour de France
Le peloton est regroupé
Tour de France, Tour de France
Camarades et amitié
Tour de France, Tour de France
Tadadadaaaammm
Tada-dada-dada-dadaaaaaaammmmm
se reveiller grognon, explorer de mes jambes le grand lit desert, te retrouver pimpante proposition théine, grommeler encor’ à n’en plus terminer, se doucher, se peigner et puis s’enfuir enfin de nouveau en retard, encore enrhumé, voix nassilarde, nasaux sifflants, gorge dégorgeant glaires grumeaux sanglants pester contre l’hiver regretter canicule envier tsunami et plages z’au soleil. et puis penser à toi, re-sourire à nouveau, avaler du fervex comme d’autres de la roupe, se battre avec vigueur pour retrouver le souffle. j’étais aveugle alors ; mes yeux se sont ouverts. sa grâce à vos désirs pouvait être accordée; mais vous ne l’avez pas seulement demandée. c’en est fait. Ce soir je vais danser mes griefs oublier et au petit matin l’esprit azimuté dans tes bras retomber.
C’est ce genre de type,
toujours incapable de bien faire,
attiré par les mauvais choix et fasciné par le chaos
Elle sent bien comment il est,
à quoi il peut servir
The TV business is uglier than most things.
It is normally perceived as some kind of cruel and shallow money trench
through the heart of the journalism industry, a long plastic hallway where
thieves and pimps run free and good men die like dogs, for no good reason.
—San Francisco Examiner on November 4, 1985
Le coup a été mauvais. Pas même direct, il est venu en écho. Pas de là où on l’attendait, d’ailleurs. La chitine aurait parfaitement résisté, le tergite est d’une épaisseur remarquable. Non, un ricochet, en fait. Mais il a frappé devant, sur le sternite, pile à la connexion, l’impact a porté directement dans la neuromère. L’onde de choc est de choix. Ça pisse de partout. Le plasma suinte du céphalo, de la chitine noircie tombe au sol en morceaux calcinés. Un liquide noirâtre qui ressemble à du pétrole s’échappe des trois segments principaux de la structure thoracique, les rapports abondent tous plus alarmants les uns que les autres, perte de cohérence explosion du niveau psychostile effondrement des architectures internes sous les segments de premier deuxième troisième niveau déflagration synaptique endorphines en chute dangereuse stabilisation compromise, transmissions compromises, incendie dans / je lance le programme de sauvegarde, j’ignore si ça suffira
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout vaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
aaaaaaaaaaaa-a-aaa.a.a.a.a.a.a.a.a.a.a.a-a-a-aaaaaaaaaaaaaaaaa-a-aeeeeeeee
… qui vont droit dans le mur
lorsqu’on veut braquer vers
l’extérieur ou l’intérieur
de l’amour pas mal heureux
Il ne faut pas confondre monsieur Lechien et monsieur Le Chien.
j’en ai marre que les pubs pour les tampons et les serviettes ne s’adressent pas à moi.
comme si je devais faire autre chose pendant ce temps là.
comme si on m’excluait.
je ne veux pas être seul.
je veux être réglé.

En 1938, dans le midi de la France. Un vieux comédien ruiné,
autrefois célèbre, entre dans une maison de retraite
réservée aux nécessiteux du spectacle.
Son arrivée fait éclater passions et rancunes.
a part quand ça tourne…

$ »début »
« haiku-série3 » [[0 « » 2 18 151][1 » » 0 59 60][2 » » 0 69 218][3 « le merle » 0 124 11][4 « le rossignol » 0 124 79][5 « le canard » 0 125 111][6 « le corbeau » 0 130 43][7 « siffle » 0 259 21][8 « fredonne » 0 260 75][9 « s’envole » 0 265 123][10 « le chien » 0 124 210][11 « éternue » 0 265 163][12 « le chat » 0 124 181][13 « le renard » 0 124 240][14 « fume » 0 263 212][15 « baille » 0 256 253][16 « \\n\\n\\t\\t » 0 403 164][17 « en rêvant » 0 507 235][18 « en scrutant » 0 508 96][19 « en souvenir » 0 507 208][20 « ma maison » 0 702 6][21 « le poteau indicateur » 0 701 33][22 « les branches nues » 0 701 59][23 « l’ombre de la montagne » 0 701 89][24 « du riant printemps » 0 705 145][25 « de la chaleur d’hier » 0 704 178][26 « du soleil d’été » 0 705 210][27 « du bleu de la mer » 0 704 241][28 « du chemin perdu » 0 697 275][29 « de la pluie fraîche » 0 699 309][30 « du matin glacé » 0 702 347][31 « \\n\\n\\t\\t\\t » 0 606 56][32 « \\n\\n\\t\\t\\t » 0 620 235][33 « en se plaignant » 0 506 261][34 « en se riant » 0 507 298][35 « à l’ombre » 0 509 176][36 « seul, devant » 0 510 55](0 1)(0 2)(1 3)(1 4)(1 5)(1 6)(3 7)(3 8)(3 9)(4 8)(4 7)(4 9)(5 7)(5 8)(5 9)(6 8)(6 7)(6 9)(2 12)(2 10)(2 13)(12 11)(12 14)(12 15)(10 11)(10 14)(10 15)(13 11)(13 14)(13 15)(7 16)(8 16)(9 16)(11 16)(14 16)(15 16)(16 18)(16 19)(16 17)(18 31)(19 32)(17 32)(31 20)(31 21)(31 22)(31 23)(32 24)(32 25)(32 26)(32 27)(32 28)(32 29)(32 30)(33 32)(16 33)(16 34)(34 32)(16 35)(35 32)(36 31)(16 36)]
« haiku-série2 » [[0 « » 0 13 546][1 » » 2 16 75][2 « parfum de fleur de melon » 0 50 34][3 « pont suspendu entre deux rives » 0 55 73][4 « temple solitaire dans la montagne » 0 55 106][5 « herbe vacillante » 0 16 134][6 « \\n\\n\\t\\t » 0 313 98][7 « le coucou » 0 404 42][8 « la grenouille » 0 402 109][9 « les lucioles » 0 376 250][10 « \\n\\n\\t\\t\\t » 0 712 98][11 « nuit » 0 789 28][12 « lune » 0 787 99][13 « soleil » 0 781 147][14 « » 0 773 200][15 « surface trouble de l’étang » 0 62 172][16 « chute de fleurs de cerisier » 0 62 209][17 « les moustiques » 0 381 301][18 « la jeune fille » 0 403 140][19 « volètent » 0 539 225][20 « rappliquent » 0 538 255][21 « surgissent » 0 538 297][22 « s’envole » 0 510 -36][23 « crie » 0 566 11][24 « parle » 0 565 38][25 « chante » 0 570 67][26 « s’égosille » 0 570 101][27 « baille » 0 572 136][28 « le crapaud » 0 404 77][29 « de lune » 0 849 3][30 « de givre » 0 849 25][31 « calme » 0 850 49][32 « gelée » 0 852 73][33 « voilée » 0 852 99][34 « mourant » 0 850 122][35 « glacial » 0 852 144][36 « blanc » 0 853 168][37 « c’est ainsi, il pleut » 0 836 209][38 « poignante vision » 0 837 237][39 « en ce crépuscule » 0 835 262][40 « couine, couine » 0 543 167][41 « pétillent » 0 548 195][42 « pluie sur mon toit » 0 123 377][43 » » 0 36 401][44 « petits pots de crème au café » 0 112 411][45 « malheureux pélerin » 0 104 450][46 « \\n\\n\\t\\t » 0 303 419][47 « \\n\\n\\t\\t » 0 296 382][48 « \\n\\n\\t\\t » 0 305 452][49 « les sushis sont pourris » 0 369 381][50 « la laitière soupire » 0 542 412][51 « odeur de brûlé » 0 388 419][52 « mon estomac vide » 0 569 380][53 « \\n\\n\\t\\t\\t » 0 518 380][54 « qui ne goûtera pas » 0 384 455][55 « \\n\\n\\t\\t\\t » 0 491 419][56 « \\n\\n\\t\\t\\t » 0 510 457][57 « mes travers de porc sel poivre » 0 559 456](1 2)(1 3)(1 4)(1 5)(2 6)(3 6)(4 6)(5 6)(6 7)(6 8)(6 9)(10 11)(10 12)(10 13)(10 14)(1 15)(1 16)(15 6)(16 6)(6 17)(6 18)(9 19)(9 21)(17 19)(17 20)(17 21)(7 23)(18 18)(28 23)(6 28)(28 24)(18 24)(7 25)(7 26)(28 27)(8 26)(8 24)(8 27)(18 27)(18 25)(18 26)(23 10)(24 10)(25 10)(26 10)(27 10)(19 10)(20 10)(21 10)(11 29)(11 30)(11 31)(12 31)(12 32)(12 33)(13 34)(13 35)(13 36)(14 37)(14 38)(14 39)(8 40)(28 40)(9 41)(40 10)(41 10)(1 43)(43 42)(43 45)(43 44)(44 46)(42 47)(45 48)(46 51)(47 49)(49 53)(53 52)(48 54)(51 55)(55 50)(54 56)(56 57)]
« haiku-série1 » [[0 « soleil couchant » 0 70 21][1 « lueur de la chandelle » 0 68 65][2 » pluie du soir » 0 73 96][3 « les jours sont courts » 0 72 121][4 « » 2 10 71][5 « la nuit tombe » 0 289 187][6 « la neige bruisse » 0 299 46][7 « la montagne murmure » 0 280 114][8 « je suis de retour » 0 529 24][9 « je descends la montagne » 0 529 57][10 « seul, j’allume un feu » 0 529 89][11 « je sème des navets longs » 0 531 126][12 « \\n\\n\\t\\t » 0 216 116][13 « \\n\\n\\t\\t\\t » 0 423 101][14 « je bois du saké brulant » 0 458 156][15 « reflet de la libellule » 0 72 147][16 « ombre du crépuscule » 0 73 171][17 « las, je pose mes baguettes » 0 532 185][18 « \\n\\n\\t\\t » 0 215 66][19 « tapis de neige » 0 86 222][20 « \\n\\n\\t\\t » 0 211 199][21 « les graines murmurent » 0 274 223][22 « les ondes flottent » 0 298 18](4 0)(4 1)(4 2)(4 3)(1 12)(2 12)(3 12)(12 5)(12 6)(12 7)(5 13)(6 13)(7 13)(13 8)(13 9)(13 10)(13 11)(13 14)(4 15)(15 12)(4 16)(16 12)(13 17)(0 18)(18 6)(18 7)(19 20)(20 5)(20 21)(4 19)(18 22)(22 13)(21 13)]
« début » [[0 « haiku-série1 » 4 204 43][1 « haiku-série2 » 4 205 91][2 « haiku-série3 » 4 208 134][3 « \\n\\t » 2 72 88](3 0)(3 1)(3 2)]

Lundi mididix, gros comme une maison je vois
une révolution hebdomadaire de plus avec son
chronométrage horaire ennuyeux, ses urgences
et ses tâches de fond, ses raccourcis et ses
passages secrets, sa succession comme gravée
dans le marbre d’instants rituels et de corvées
bénines, ses éventuels tunnels obscurs et ses
hypothétiques parenthèses éthérées.
Gros comme une maison je devine même le spam
du jour provisoire mais marketé, mentionnant
un réveil difficile à l’écoute de TSF ou une
connerie comme ça, c’est en fait assez lassant…
Rapide coup d’oeil à l’horloge : un rituel
organique bien basique mais gastronomiquement
réhaussé s’impose.
ça fait des mois que nous ne nous sommes pas parlé.
je ne sais même plus comment on en est arrivé à se contacter par msn au début.
c’était une erreur je crois.
on a échangé quelques mots et puis plus rien.
sauf que je l’ai toujours dans ma liste de contacts.
alors on ne se parle plus, je ne sais même pas si elle se souvient de moi, mais moi je peux toujours voir ce qu’elle fait.
parce qu’il y a une chose qu’il faut savoir, c’est qu’à chaque fois qu’elle choisit un nick, elle ne peut pas s’empêcher de raconter sa vie.
ça peut donner « mange mon petit dej, pense à demain » ou « reviens de chez ma copine Cindy, ce qui n’a rien arrangé », des trucs comme ça, réactualisés 6 à 10 fois par jour.
alors je ne la connais pas.
je ne l’ai jamais vue.
mais depuis tant d’années que je lis l’évolution de ses nick sur msn, je sais presque tout d’elle.
je voudrais ne jamais la rencontrer.
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Les cervelles parlent, les cervelles parlent ? Ca reste à prouver… Ensemble de micros influx, petites décharges électriques en interactions, hormones, glandes, capteurs, hémisphères, je dis d’accord. Essayons de comprendre, les cervelles sont seules, engoncées dans leurs boites crâniennes respectives. Le cerveau gauche discute donc le bout de gras avec le droit ou la cervelle reste une grande soliloqueuse ? Admettons cette assertion très limite scientifiquement que notre cervelle s’exprime qu’elle parle et, pour la beauté de l’art, qu’elle parle en français. Bon, elle dit : « J’ai faim, le dernier Sollers a l’air cool, oh il pleut, être ou ne pas être, prout, oh il fait beau, j’ai soif, je me taperai bien ce petit cervelet avec son joli p’tit cul, j’ai un synapse qui m’gratte, certainement pas », ce genre de chose ? Super, c’est passionnant. Bon, ensuite on va en faire 1000 signes de pure fantaisie littéraire, essayons… Plus que 30 signes d’ailleurs, ça va être vite torché. Stop. |
« La Patiente semble expliquer sa tentative de suicide par des problèmes sentimentaux. Elle dit qu’elle a quatre hommes extraordinaires dans sa vie et qu’elle n’arrive pas à supporter cette situation sereinement.
Le premier couche volontiers avec elle, mais s’enfuit quand elle parle de sentiments,
Le second l’aime autant qu’il est possible d’aimer mais refuse obstinement tout contact physique,
Le troisième est un homme généreux et doux, qu’elle a aimé avant et qu’elle ne peut plus aimer,
Le quatrième est son grand amour du moment, tout contact avec elle semble le dégoutter (est-il homosexuel ?) et lorsqu’elle évoque ses sentiments pour lui, il est très embarrassé, comme si l’amour, son amour à elle, déclenchait en lui un sentiment de panique irraisonné.
La situation des quatres hommes idéaux semblant sans espoir, je place aujourd’hui la patiente sous traitement médicamenteux visant à réduire les possibilités d’une récidive. Je lui conseille aussi de cesser de voir ces quatre hommes, pour s’interesser à un homme nouveau, qu’elle ne connait pas encore. »
Avec 557 kilos, un Tourgueniste garde son titre de la plus grosse citrouille
Socialisme et Cucurbitacées
SOMME LA BAIE (AFP) – 12/10/2005 09h09 – Un Tourgueniste de Boulougne-Billancourt a conservé son titre de meilleur planteur de citrouilles grâce à un spécimen de 557,47 kilos, ont annoncé les organisateurs du concours annuel de Somme-la-baie, dans la Somme.
Peu avant la fête d’Halloween, François Hollande, un pompier à la retraite de 56 ans, agriculteur amateur, a égalé son record de 2004, battant plus de 50 concurrents lors de ce 32ème concours du genre, lundi dans la capitale mondiale autoproclamée de la « courge gargantuesque », près de Chateau-Chinon.
Lauréat d’un prix de 6.145 euros (cinq euros par livre), M. Hollande a attribué sa victoire à « un terreau spécial mélangé à de l’engrais en quantité importante », à un arrosage régulier, à une « pollinisation méticuleuse à la main » et à une approche Socialiste et réformée de l’agriculture.

Affiche bordéliste de mai 1968 ou publicité consumériste de février 2005 ?
J’ai pas envie de m’appeler Ton string, Mon gode et encore moins Épisiotomie, c’est tout. Même par hasard.
14:13

Il ne sera pas dit que je raconte systématiquement n’importe quoi.
Gorge gonflée, paupière molle
Allright now plane du zénith à l’olympia,
Regarde les muses élyséennes s’amuser des âmes usées,
Agnosticisme hardcore do the locomotion with me
Reine libre les danses macabres guitares saturées
Silence Radio killed the video star
Pas facile d’écrire en ce moment à part des histoires de roupe et un bonheur à faire pleurer Gargamel. Hier soir pourtant, une agréable experience musicale, des amis, et ça pour bien se rendre compte que nos amis les zélites ne risquent pas de sitôt de comprendre quoi que ce soit à quelque chose. Sinon Chloé est belle et son dernier (petit) livre vraiment bien.
Samedi, la mère d’Igor le traîna [contraint et forcé] à un colloque sur le Dharma. « Un truc bouddhiste, quoi! » pesta Igor. « Combien de fois devrais-je te demander d’employer le terme Dharma. Ne sais-tu donc pas que le mot Bouddhiste a été crée par d’incultes… bouddhologues! ». Comment pourrait-il ne pas le savoir. Sa mère lui ressasse les mêmes théories depuis qu’il est en âge de comprendre. Igor en a ras-le-bol ! Ras-le-bol du Bouddha, du Samsara, du karma et de l’Eveil. Quant à Siddhârta, il aurait mieux fait d’y rester, sous son arbre. Igor aurait LA PAIX aujourd’hui. Soit. Simulant une surdité fulgurante, la mère d’Igor ignora les vociférations de son fils et continua son chemin. Bien décidée à assister au colloque. Six heures ! Six heures de conférence ! « De pénitence » rectifia Igor, en foudroyant sa mère du regard. Ils s’apprêtèrent à quitter la salle lorsque l’un des orateurs, le lama Denys, reprit la parole : « Chaque matin, regardez-vous dans le miroir, et dites-vous que vous aussi, un jour, vous mourrez. Ca vous aidera à recentrer vos priorités ». L’assemblée [manifestement émue par le contenu de cette intervention] applaudit avec dévotion, l’air admiratif. « Foutaise » marmonna Igor avant de quitter la salle. Il ne savait pas encore qu’un jour il comprendrait et remercierait sa mère de l’avoir initié au B… non… au Dharma.

Les douleurs ont repris, un scan rapide a suffi à confirmer l’intuition : l’extension de la chitine, l’armature surnuméraire aux vélléités totalisantes, la reconstitution d’un rostre acrimonique, ça lance et relance. la course reprend contre à la fois l’hormone sombre et la rigidité cadavérique. Les pinces coupantes n’ont pas repoussé, pas encore, pas encore tournées vers l’Autre ; les seuls outils alentour tordent pour l’instant les articulations de l’arthromorphe, poussent les stimuli internes et les alarmes psychiques à leur paroxysme. Faire confiance à son propre cuir est une erreur stratégique à éviter, même si on replonge sans cesse dans les mêmes eaux noires avec une constance qu’on dirait emprunte de délectation.
Si l’exoconversion reprend, malgré les trous fumants qui percent encore la cuticule, les conséquences à en tirer dépasseront de loin la simple reconstitution du statu quo ante. Mais le changement peut advenir sur place, pas besoin d’oscillations mentales, ni de voyages long courrier. Il reste l’hormone : la minerve qui la distille a pris du poids, ses fondations se sont renforcées, le complexe céphalothoracique est transpercé d’une miriade d’attaches métalliques et de sangles de limaille cruellement enfoncées dans la chair, parcouru d’une forêt de piques luisantes et froides comme des seringues. Et la thérapeutique préconisée par les Prêtres Pulsatifs s’avère totalement bidon. La minerve en fonte s’est alourdie, parce que l’arthropode éventré et à moitié carbonisé n’a pas su l’extirper à temps, et surtout parce qu’il a perdu ce à quoi il aspirait. La principale racine tubulaire de ce joug déséspérant plonge désormais au coeur de la neuromère endommagée. Le centre névralgique est délabré et désert, mais des diodes bioluminescentes continuent de briller dans le noir. Une unique source de chaleur dans l’interzone, qui servait de veilleuse et de baromètre à surpression. Des diodes. Elles auraient pu devenir des géantes rouges, briller sans fin, et pourront certainement encore irradier ainsi, mais rien ne peut s’enflammer sans comburant – et l’air s’est méchamment raréfié. En attendant, il s’agit d’adopter des positions antalgiques, de joindre les canines, et de respirer par à-coups : l’atmosphère est un poison, mais le drame est qu’on aime cette intoxication, au-delà de toute raison.

If you’ve been hiding from love
If you’ve been hiding from love
I can understand where
You’re coming from
I can understand where
You’re coming from
If you’ve suffered enough
If you’ve suffered enough
I can understand what
You’re thinking of
I can see the pain that
You’re frightened of
And I’m only here
To bring you free love
Let’s make it clear
That this is free love
No hidden catch
No strings attached
Just free love
No hidden catch
No strings attached
Just free love
I’ve been running like you
I’ve been running like you
Now you understand
Why I’m running scared
Now you understand
Why I’m running scared
I’ve been searching for truth
I’ve been searching for truth
And I haven’t been
Getting anywhere
No I haven’t been
Getting anywhere
And I’m only here
To bring you free love
Let’s make it clear
That this is free love
No hidden catch
No strings attached
Just free love
No hidden catch
No strings attached
Just free love
Hey girl
You’ve got to take this moment
Then let it slip away
Let go of complicated feelings
Then there’s no price to pay
We’ve been running from love
We’ve been running from love
And we don’t know
What we’re doing here
No we don’t know
What we’re doing here
We’re only here
Sharing our free love
Let’s make it clear
That this is free love
No hidden catch
No strings attached
Just free love
No hidden catch
No strings attached
Just free love
L’activité blogotourgueniste est manifestement dangereuse pour la santé,
celle des chats en tous cas. Chacun ses obsessions.
Gü. salue les tourguenistes
sortis de l’heureux tour du pola
ivres d’une ivresse tourgusante (…)

Amitié à moitié moite
Il y a de la MOQUETTE chez monsieur Tourgueniev
le petit honoré nous parle de ses parents:

« té, peuchère, c’étaient de bons bougres, mais pas fufutes, alors, té, j’ai du me construire seul… »
en effet, cela se constate d’emblée:

c’était pas gagné d’avance…
les parents de Balzac quoique sympatiques, sont des VEAUX…

et la peau de chagrin, et ben, elle s’est pas écrite toute seule!
Les 29 chambres sont toutes différentes les unes des autres.
Elles toutes ont une connexion internet de haut niveau (ADSL), un parquet en bois,
les meubles de la vieille maison,une salle de bains, la climatisation, le téléphone,
la télévision, minibar et un coffre-fort.