Le météorologue : va y avoir de l’orage.
J’en ai marre d’aller bien.
J’en ai marre d’aller bien.
J’en ai marre d’aller bien.
Je veux du vert pâle.
De retour à Vera Cruz, ou pas loin, chez la mère de Nadine
– Patati, patata et potato
– Ah oui, quand même, tout ça, je ne m’imaginais pas avoir raté tant de moments fascinants.. mais, maman, une chose me chagrine… tu vas parfois te recueillir sur ta tombe ?
– Oh non, les cimetières sont trop sordides, et je ne suis pas très ressemblante sur la photo, un peu imberbe
– Justement, à ce sujet… hum, euh… tu es.. morte, et puis… avant tu n’avais pas les mêmes chromosomes, si tu vois ce que je veux dire…
– Oh, ah oui, c’est ça qui t’inquiétais ma pitchounette ? Je vais tout t’expliquer, en fait c’est très simple. Le fossoyeur m’avait piqué mes dents en or alors pour le punir, je l’ai possédé ! Grand sourire
– Oui, en effet, on ne peut plus simple et évident, comment n’y avais je pas pensé plus tôt, bécasse que je suis.
Et elle s’évanouit sous le choc. Au loin, Druand arrivait
A suivre
Ils grouillent, m’entourent, m’aspirent, m’attirent, me hantent…
Perché sur ma couche, le regard fiévreux et la main tremblante, je guette…
Le prochain qui pointe le bout de son nez, PAF, écrasé !
Une fois de plus ma joie exultera, une fois de plus l’instinct du chasseur en moi se réveillera !
Et de sa chair, avidement, je me goinfrerais…
Eté que je te hais, toi qui conviens tant aux blattes.
« L’homme est un animal, il est né comme ça. Il est pourri dès la naissance. C’est un animal condamné et très subtil à la fois. C’est un vice de naissance. Qu’est ce que l’histoire ? La démonstration de l’inhumanité de l’homme. Quelque chose d’impur, de méprisable. Je crois que c’est sans remède. »
En quittant cette Cité qui l’avait couvert de langues empâtées et de nuits sans sommeil, il ne pensait jamais y revenir, du moins pour y vivre… cet aimant l’attira cependant de nouveau… qui est à blamer ?
Le boulanger !
Jeune étudiant prétentieux, se prenant un peu (beaucoup) pour Napoléon, cherche hache de poche pour le 22 avril prochain entre 19h00 et 20h00.
Cette nuit j’ai rêvé que j’étais papa, que j’avais un petit bébé
Mais il n’y avait nulle part de maman, c’était plutôt affligeant
10.37 – Comptoir en (faux) marbre, proximité Colonel Fabien
– Se renseigner sur les horaires d’ouverture administratifs avant d’y aller
– Ne pas jeter de pain aux joggers des Buttes Chaumont pour les amadouer
– Déposer une obole au St Patron des (biens sympathiques) nettoyeurs de canal
– Acheter un sens de l’orientation en bon état
Idée du jour : Tomber Amoureux (effet conjugué canal + verdure sur les hormones, les pouêts auraient eu raison ?)
« L’unique moyen de sauvegarder sa solitude est de blesser tout le monde, en commençant par ceux qu’on aime. »
Faire semblant de jouer du Jean-Sebastien Bach au piano en récitant la bible et écrire des posts débiles sur Tourgueniev.
Tu me montres ta chatte ? Elle est poilue dis donc. Et tes seins ? Qu’est ce qu’il sont gros. On t’a déja fait un fist fucking ? C’est marrant tu vas voir. Et ton camion ? Il a passé le controle technique ? |
Je pense avoir retrouvé le clone de Zan. Mais bizarrement, il ne répond pas quand je l’appelle, gesticule de façon anormale et produit pleins de sons étranges que je n’arrive pas à interpréter.
Note n°37 (aux urgences) : ne pas tenter de sucer un noyau d’avocat comme on le fait avec une cerise.
Vous retrouverez votre photo sur le trottoir à l’angle de la rue de Patay et de la rue du Dessous des Berges (paris 13e). |
En tout Goth sommeille Le Plagiste
Note : extraire la sandale (1) du complexe oedipo-freudophile
(1) Cf Tatie Dudulle
– Acheter du feutre pour les pieds de mes fauteuils qui rayent mon parquet
– Enduire mon parquet d’un mélange d’huile de lin et d’essence de thérébentine (salon + bureau)
– Lancer une machine de blanc (serviettes, torchons, draps…)
– Changer les draps (ça commence à faire longtemps)
– Trouver une hache de poche (avec un manche en bois, c’est plus rustique -> Bricorama.)
– Prendre rendez-vous avec la victime
– Te chercher à la gare
– Présenter mon travail à Avril.exe (je sais même pas ce que c’est que ce truc)
– Aller à un apéro surprise (si il est confirmé)
– Rentrer
– Te faire l’amour toute la nuit durant (pas trop quand même, parce que dimanche j’ai du boulot)
Fais voir ta bite
Elle est belle dis donc.
Regarde la mienne.
Tu veux la sucer ?
Tu t’es déja fait enculer ?
Tu veux voir comment ça fait ?
C’est marrant tu vas voir.
Et l’école ? tu as des bonnes notes ?
Sophilosophisme extatique !
Je me retourne, cette exclamation en pleine rue fauchant toutes les pensées qui s’agglutinaient lamentablement dans la partie la plus endormie de ma cervelle somnolente
Derrière moi, à quelques métres, se tient un clodo -pardon un sans domicile fixe- de la plus pure espèce, souriant de sa bouche édentée
La suite, un café, une longue discussion à batons rompus et une journée qui commence bien.
« Le but de l’Art ne réside pas dans une décharge d’adrénaline éphémère et limitée, mais dans la recherche paisible et durable d’un état de bonheur et de sérénité »
Glenn-Gould
Autrement dit : l’Art c’est pas joli, c’est du boulot, beaucoup de boulot.
Grande promo chez Tourgueniev.com
Je l’ai encore dans la tête
Je n’ai plus de libido
Je suis à moitié dépressif et tout à fait torturé
Je passe mon temps à bosser et à boire
Es-tu prête à supporter un tel supplice ?
C’est l’histoire d’un brave type, voir d’un pauvre type.
Il croit en de nobles sentiments : l’amour, l’art, la fidélité. (C’est vraiment un pauvre type)
Il les projette sur Phoenix, une jeune artiste au coeur pur.
Trahi par celui en qui il avait confiance, il tente de prévenir sa dulcinée du danger qui la menace.
Mais celle-ci, appatée par la gloire, l’argent et le sexe, n’entend rien et le repousse pour se jeter dans les bras du démon.
Le démon finit par périr, le pauvre type aussi et la pute se retrouve comme une conne.
Moralité : c’est bien fait pour ta gueule.
Solitude
Quart de piècette Arcosienne à jouer de nuit, dans une pénombre calfeutrée, suite à l’ingestion de substances illicites et prohibées, avec des ampoules.
Acte 1
Une vieille femme, seule, sur une chaise. Une lanterne à ses pieds.
Agnès : Mon fils, je vais te rejoindre, toi qui a été emporté par la guerre.
Tu es dans la lointaine prison du Nord, je le sais.
Je t’ai fait ces petits pains aux fruits, que tu aimais tant.
Je viens te rejoindre dans ta peine.
Mon enfant…
La lanterne s’éteint et une autre s’allume, sur la droite.
Etre 1 : Que la guerre d’hommes et de femmes a tué
Que de familles ont pu être ainsi décimées
La vieille Agnès, femme de marin
A vécu tout ces malheurs, et les a endurés.
La lumière s’éteint à son tour et une autre s’allume sur la gauche.
Etre 2 : Un mari simple et honnête
Une découverte l’un de l’autre il y a de ça bien longtemps.
Des amours et des joies simples, des peines aussi.
Trois enfants, trois fils, fierté de la famille
Robustes, vaillants et honnêtes.
La lumière de droite se rallume.
Etre 1 : Une guerre, de celles dont les seigneurs se repaissent
Etre 2 : Complots, politique, appât du gain, haine !
Etre 1 : Un grondement naissant emplissant les corps et les âmes.
Etre 2 : Les simples convoqués, leurs fourches remplacées par des épées.
Etre 1 : Le départ vers l’ennemi, sombre inconnu
Etre 2 : Femmes pleurant le manque de leurs maris, de leurs fils.
Etre 1 : Premier engagement, teinte d’écarlate, corps tombant lourdement.
Etre 2 : La mort….
Etre 1 : Un courrier arrivant haletant, et gêné
Etre 2 : Madame votre mari et deux de vos fils sont morts !
Etre 1 : Effondrement, pleurs, la vieille ne comprend pas.
Etre 2 : Son corps rachitique se replie sur lui même
Etre 1 : Ses vieux os se recroquevillent, tant d’amour…pour ça…
Etre 2 : Quand soudain !
Etre 1 : Une lueur d’espoir…
Etre 2 : Et le petit ?
Etre 1 : Emprisonné, loin au Nord.
Les deux lumières s’éteignent, silence.
Acte 2
Agnes : Et ainsi je partis au loin
Sur les chemins, toujours vers le Nord
Suivant la grand route, celle du lointain.
Nombreuses nuits de solitude
Froid de la neige contre mon corps frêle
Moi qui n’avait connu que la douce caresse du soleil.
Maladie, souffrance…
Mais mon petit, l’être sorti vagissant de mon ventre
Mon petit était au bout de la piste.
La vieille dame se lève de sa chaise, s’avance et tombe. Un homme en haillons s’approche d’elle, et tente de la réveiller.
Robin : Hé, m’dame !
Oh, ça va ?
Tu vas pas nous claquer dans les doigts maint’nant ?
Il l’asperge d’eau et lui donne deux trois claques pour la réveiller Les deux lumières des côtés se rallument en même temps juste pour une phrase et les deux êtres, à l’unisson :
Etre 1 : A croire qu’il a envie de connaître la suite…
Etre 2 : A croire qu’il a envie de connaître la suite…
Agnès, sous les frictions, se réveille lentement.
Agnès : Mon…mon Antoine, mon bébé ?
Robin : Ah non ma bonne Dame, je ne crois pas !
Robin, déserteur des armées stupides de notre seigneur
Et vagabond à ses heures perdues, pour vous servir.
Agnès : Oh, j’avais cru…où sommes nous ?
Que ..pourquoi suis je ainsi dans la neige,
Toute indécente empêtrée dans mes jupons.
Robin : A mon avis t’as pas mangé depuis pas mal de temps
Et puis t’es plus toute jeune
Qu’est ce que tu fais comme ça sur les routes,
A tenir ce bout de pain moisi comme un talisman ?
Agnès : Rire aigrelet, pris par la démence
C’est un pain de fête
Et je l’amène à mon petit Toinot
Celui que la guerre n’a pas tué…
Robin : Et où il est ton fillot ?
Agnès : Dans la grande prison du Nord
Et aussi vrai que j’ai élevé mes trois gamins
Je ne laisserais pas le seul qu’il me reste
Sans son pain de fête cette année.
Robin : Ton entreprise est folle,
La prison est à des milles et des milles d’ici
Mais j’aime la folie aussi…
Dorénavant je t’accompagnes !
Les lumières s’éteignent toutes (durant toute cette scène toute la rambarde avant était illuminée)
Acte 3
Seul l’Etre 2 est éclairé.
Etre 2 : Ainsi donc nos deux pauvres héros repartirent vers le nord
Subissant les intempéries, les moqueries des ruraux
Mais marchant, toujours un pas devant l’autre
Devenant plus proches que n’ont jamais pu l’être
Deux personnes en ce monde.
La lanterne de l’Etre 1 s’allume.
Etre 1 : Mais la prison jamais ne semblait vouloir s’approcher.
La vieille, toujours contre son ventre,
Tenait ce pain, petit tas de croûte noirâtre,
Qui n’avait plus d’aliment que de nom.
Mais elle s’y accrochait comme à une relique de sa vie.
Etre 2 : Et puis ce qui devait un jour arriver arriva.
Etre 1 : La fatigue, la vieillesse…
Etre 2 : Tout cela eut raison de l’énergie, de la foi
Etre 1 : De la vieille Dame.
Les lumières s’éteignent, deux lanternes au centre se rallument, illuminant Robin et Agnès. Elle est de nouveau évanouie.
Robin : Agnès, petite mère, tu ne vas pas me lâcher là, hein ?
La prison est juste à côté, allez ! Réveille toi !
Agnès : Se réveillant lentement
La prison ? Mon…mon Toinot, enfin, c’est toi ?
Robin : No…
Si maman, si c’est moi.
Oui c’est moi, ton petit enfant.
Agnès : Prenant Robin dans ses bras
Oh mon Toinot, mon fils vit, alors…
Je peux mourir en paix.
Dans un dernier souffle la vieille décède et Robin pleure. La lumière reste allumée sur eux mais celles des êtres se rallume aussi. Tout le long de cette fin Robin se lamente sur la perte de son amie.
Etre 1 : Bien sûr….le fils était mort depuis longtemps dans de putrides geôles
Etre 2 : Mais cela Agnès ne le sut jamais.
FIN
16h53 : Je lis La chambre des demoiselles. On y parle de viol et de coulées d’urine.
La scène n’a presque pas changé, sauf que Druansdt est maintenant affublé d’une queue rouge en plastique et d’ailes de chauve souris trois tailles en dessous, le boudinant un peu. Nadine a les yeux fermés, la matronne pleure toutes les larmes de son corps, qui retombent sur sa barbe poivre et sel.
Le mari, jusque là veule et servile semble se réveiller et s’interpose entre la hache et le cou de son épouse.
– Arrière, triste sire, retourne dans ta série Z d’origine !
– C’est trop tard, mon heure est venue, nul ne pourra maintenant m’empêcher d’exploser les scores du box office
– Jamais ! Je ne te laisserais pas pourrir ce bel art qu’est le cinéma avec tes répliques catastrophiques !
– C’est ce que l’on va voir, petit homme !
S’ensuit une scène de combat mémorable impliquant entre autres la hache, une cuillère en argent véritable, un chat pelé, une collection de timbres ouzbéques et un plat à tajine. Quand les 2 corps se démélent enfin de leur puissante étreinte l’être maléfique est au sol, salement amoché, encordé dans ses ailes.
– Ils m’ont bousillé mon appart’ les sagouins !!!
– Mais je viens de sauver….
– Dehors, allez hop, tout le monde à la porte, et ne remettez jamais les pieds ici !
Et la vieille dame masculine de jeter tout le monde sur le palier, armée de son ancestral balai à poil ras, Druan- filant sans demander son reste, à quatre pattes, remerciant sa juvénile passion pour la prestidigitation et les noeuds
– Bon… tu acceptes de revenir à la maison Nadine ?
– Oui mon amour mais… d’ou est sortie cette cuillère en argent ?
– De la commode imitation Louis XVI si je ne me trompe pas, bien que je ne sois plus très sûr.
– Regarde, il y a un nom écrit dessus
– Philipette…
Effrayés nos deux héros fuirent cet immeuble et plus jamais n’y revinrent
Badinage et Billevesées
Pièce Idiote pour 6 acteurs en trois ou quatre actes, çà dépend des jours…
Acte Un
La belle Marine est au pied d’un arbre, Paul, Alaine et Laina s’en approchent.
Marine : Le soleil se lève, la brume estompe les fenêtres, le chat est parti, mistigri !
Piotr : Mais que racontes – tu ma belle ?
Laina : Chagrin des matins automnaux, feuilles ambrées tombant dans les ruisseaux : la belle se languit…
Piotr : Duquel ? C’est qu’ils sont nombreux les oiseaux voulant picorer notre perle océane !
Marine : De tous ! De tous mon nabot. Seuls, ils ne sont rien, poussières éthérées ne méritant pas l’ombre d’un regard mais unis…fous de désir ne serait ce qu’à mirer mon ombre ; quelle magnifique sarabande !
Alaine : Et là voilà, coquette imbue de son reflet, brisant les cœurs en toute connaissance de cause, juge, juré et bourreau !
Laina : Il est vrai, petite sœur – roseau, que la modestie n’étouffe pas ta langue, toi qui ne nous laisses que le Piotrot, demi homme devant contenter tant de femmes aux appétits insatiables.
Piotr : Et dieu sait que cette activité me prend tout mon temps, moi qui n’aspirais qu’à prélasser et regarder les arbres pousser…
Marine : Fi donc, homme – champignon ! Ne me dis pas que pour toi il puisse s’agir de torture, je n’en croirais traître mot, aussi vrai que mes amants sont aussi nombreux que les étoiles dans le ciel !
Laina : Bougresse, il ne faudrait tout de même pas exagérer ! Ou alors c’est que le ciel nocturne n’éclaire que bien peu….
Alaine : Ou que le jour est perpétuel…
Piotr : Voire que tu es affublée d’une terrifiante cécité…
Marine : Médisants ! Laissez moi donc pleurer l’absence de mes doux compagnons et partez vaquer à vos occupations.
Les Trois : Très bien maîtresse, ordonnez et nous obéissons.
Ils partent bras dessus, bras dessous, en riant.
Entrée fracassante de l’époux… enfin elle aurait été fracassante si il y avait eu une porte…
– Ainsi donc vipères vous m’avez menti ! Ou est la fameuse argenterie de l’arrière grand tante Philipette ?
– Mon pauvre ami, tu croyais vraiment qu’une femme en ce monde ait pu porter un tel prénom ?
– Oh toi, la morte, pas la peine de la ramener !
– Mais je ne suis pas morte, c’est ma mère qui a trépassé !
– Tatata mademoiselle, en bon Druand(t) que je suis je me permet de vous interrompre, techniquement vous êtes vivante mais légalement vous n’êtes plus qu’un tas de cendres.
– Parce qu’en plus ma mère prématurément incinérée ?
– Ben ça coûte moins cher ma choupichounette…
– J’en ai assez !!!!! Stoppez cette folie !!!
– Soit. Monsieur le mari, tenez là pendant que j’installe le billot.
– Très bien Druant(d), avec plaisir, maintenant que je connais la réalité de sa dot, je n’ai plus rien à faire avec elle.
– Raclure !!!
Que va t’il arriver de Nadine ? Le sol est il composé de lino ou de moquette ? De quel surnom ridicule la mère va t’elle encore affubler sa fille ? Druan- s’écrit il avec un -d ou un -t ?
Vous le saurez prochainement, dans le dernier épisode de notre fabuleuse épopée
Elle me plait.
Et ça c’est vraiment chouette.
J’espère que c’est réciproque.
J’en sais rien en fait. Je ne la connais pas encore assez.
Je vais lui demander : tu m’aimes un peu ?
« Personne ne fait de la psychologie par amour : mais plutôt par une envie sadique d’exhiber la nullité de l’autre, en prenant connaissance de son fond intime, en le dépouillant de son auréole de mystère. »
1885 : Masha Tourgueniev à la lippe boudeuse, 9 ans, dans son premier happening pour mandoline et panier double couvercle.
Superlativité superficielle.. amour aimant.. un aimant, attiré, horreur, pas le choix ?
Arracher, quitte à se faire vomir, je me mutile, j’arrache, je déchire, le sang coule, la chair entre dans la poele..
Bacon simplifié… Anglicisme… douleur…
Illusions d’un passé perdu
Danse, chante
Tourbillon, derviches sous acides
T’oublier, enfin
Emporté dans le flot des tissus cramoisis
Enivres toi d’elles
Senteurs, simples moments de rien, de tout
Sérénité, désillustrer la logique
Se sentir soi ; être pour jamais les autres
Etre…
Ouverture
Igor Branlouillicotte
Nikolai Oublie…
Que dire de plus… si ce n’est qu’ici tout n’est qu’un moyen d’expression, sans volonté de reconnaissance.. et que tous devraient se le rappeler.
Rideau !!
Un pique nique Renoiro – Tourgueniste sans gromellements ni hurlements oui, mais où et quand ?
Le gars qui râle
Il était une fois deux charmantes demoiselles…
Comme tout le monde, y a des jours ou j’aimerais bien revenir en arrière… genre d’un peu plus d’un an environ.
– Farfadets Ectoplasmiques !
Le vieux Ruben courait à travers la pièce enfumée, emplie de la moiteur torve des clients.
Au bout de son périple, goguenard, attendait son double surmoi même, Nadir le gnome des plaines, le célèbre voleur de pièces de Backgammon.
– Foutriquet tourneboulesque, violeur de lombrics putrides, fantasmagorique hérisson écrasé, je t’avais bien dit de ne plus jamais remettre tes doigts palmés sur mon comptoir !!
– Mon ami, mon frère, mon autre innocente personnalité, comment me jeter quand je t’apportes félicité et sonnants sonnets ?
– Au diable tes plans foireux, je ne me ferais plus avoir. Mon fondement a encore honte de ce que lui fit subir ta dernière brillante idée.
– Rooooooooooooooooooh, comme s’il n’avait connu pire qu’un ballet d’haltérophiles Moldaves…
– Et il se moque le faraud, il se gausse, m’humilie plus que de raison, assassin de mon souvenir dansant déjà la carmagnole sur mon tombeau ! Dehors ou je t’expédies au paradis des bienheureux rétrécis !
– Des menaces, on s’apprête à molester son sauveur… quelle ingratitude…
– Si tu ne déguerpis sur le champ, cette ancestrale balayette te pourfendra de haut en bas !
– Vas y donc si tu m’aimes si peu…
Et, ne l’aimant vraiment que peu, il le fit…
De Mille
Eructé
Dévoilé
Indiqué
Signalé
Emargé
Zyklon B
lucie est l’amie des grands
lucie est une petite
lucie en sa tête et son corps est déjà grande
lucie est très petite et très faible
lucie n’aime pas tiloui
tiloui aime beaucoup la petite lucie
lucie est si faible que quand tiloui appuie
lucie craque et crie
cric-crac lucie
Aaaaaaah qu’ils peuvent être joyeux les Pokemons à poil et à plumes…