J’aime pas écrire.


Le ciel est bleu, les oiseaux chantent, les arbres bourgeonnent… Putain de psychologie humaine de merde.

Plouf dans l’apéro.
– Farfadets Ectoplasmiques !
Le vieux Ruben courait à travers la pièce enfumée, emplie de la moiteur torve des clients.
Au bout de son périple, goguenard, attendait son double surmoi même, Nadir le gnome des plaines, le célèbre voleur de pièces de Backgammon.
– Foutriquet tourneboulesque, violeur de lombrics putrides, fantasmagorique hérisson écrasé, je t’avais bien dit de ne plus jamais remettre tes doigts palmés sur mon comptoir !!
– Mon ami, mon frère, mon autre innocente personnalité, comment me jeter quand je t’apportes félicité et sonnants sonnets ?
– Au diable tes plans foireux, je ne me ferais plus avoir. Mon fondement a encore honte de ce que lui fit subir ta dernière brillante idée.
– Rooooooooooooooooooh, comme s’il n’avait connu pire qu’un ballet d’haltérophiles Moldaves…
– Et il se moque le faraud, il se gausse, m’humilie plus que de raison, assassin de mon souvenir dansant déjà la carmagnole sur mon tombeau ! Dehors ou je t’expédies au paradis des bienheureux rétrécis !
– Des menaces, on s’apprête à molester son sauveur… quelle ingratitude…
– Si tu ne déguerpis sur le champ, cette ancestrale balayette te pourfendra de haut en bas !
– Vas y donc si tu m’aimes si peu…
Et, ne l’aimant vraiment que peu, il le fit…
It was the blackest night
There was no moon in sight
You know the stars ain’t shinin’
’cause the sky’s too tight
I heard the scarey wind
I seen some ugly trees
There was a werewolf honkin’
’long the side of me
I’m mean ’n I’m bad, y’know I ain’t no sissy
Got a big-titty girly by the name of chrissy
Talkin’ about her ’n my bike ’n me…
’n this ride up the mountain of mystery, mystery
I noticed even the crickets
Was actin’ weird up here
And so I figured I might
Just drink a little beer
I said, « gimme summa that what yer suckin’ on… »
But there was no reply
’cause she was gone…
« where’s those titties that I like so well
’n my goddamn beer! »
Is what I started to yell, then I heard this noise
Like a crunchin’ twig, ’n up jumped the devil…he’s about this big…
He had a red suit on
An’ a widow’s peak
An’ then a pointed tail
’n like a sulphur reek
Yes, it was him awright
I sweared I knowed it was
He had some human flesh
Stuck underneath his claws
You know it looked to me
Like it was titty skin
I said, « you sonofabitch! »
’cause I was mad at him,
Well he just got out his floss
’n started cleanin’ his fang
So I shot him with my shooter
Said: bang bang bang
Then the sucker just laughed ’n said, « put it away…
You know, I ate her all up…now what you
Gonna say? »
You ate my chrissy? « titties ’n all! »
Well, what about the beer then, boy? « were the cans
This tall? »
Even her boots? « would I lie to you? »
Shit, you musta been hungry! « yes, this is true. »
Well don’t they pay you good for the
Stuff that you do?
« well, you know, I can’t complain when the checks come through… »
Well I want my chrissy, ’n I want my beer
So you just barf it back up now, devil,
Do you hear?
« blow it out your ass, motorcycle man! I mean, I am the devil,
Do you understand? just what will you give me
For your
Titties and beer? I suppose you noticed this little
Contract here… » yer goddam right, you son-of-a-whore,
« don’t call me that »
That’s about the only reason
…gimme that paper…bet yer ass I’ll sign…
’cause I need a beer, ’n it’s titty-squeezin’ time
« man, you can’t fool me…you ain’t that bad…
I mean you shoulda seen some of the souls I had…
Why there was milhous nixon ’n agnew, too…
’n both of those suckers was worse ’n you… »
Well, let’s make a deal if you think that’s true
I mean, you’re the devil, so whatcha gonna do?
(improvised dialog)
« wait a minute…a tinge of doubt crosses my mind…when you say…
That you want to make a deal with me… »
« that’s very, very true
I’m only interested in two things
« yeah? »
See if you can guess what they are »
« i would think…uh…let’s see, maybe stravinsky… »
« i’ll give you two clues. let go of your pickle »
« what? »
« let go of your pickle! »
« i’m not holding my pickle »
« well, who’s holding your pickle then? »
« i don’t know…she’s out in the audience…
Hey dale, would you like to come up here and hold
My pickle to satisfy this weird man out on the stage? »
« i’m only interested in two things, and that’s
Titties and beer
You know what I mean?
« what? »
Titties and beer
Titties and beer
Titties and beer
Titties and beer
Titties and beer
Titties and beer
Titties and beer! »
Titties and beer! »
« i don’t know if you’re the right guy? »
Titties and beer! »
Titties and beer! »
« no! don’t sign it! give me time to think…
I mean hold on a second boy, ’cause that’s magic ink! »
And then the devil let go of his pickle
And out come my girl, there was her titties
Flop-floppin’…all around the world
She said « i got me three beers and a fistful of downs
And I’m gonna get ripped, so fuck, you clowns! »
Then she gave us the finger, it was rigid and stiff
That’s when the devil, he farted
And she went right over the cliff!
The devil was mad, I took off to my pad
I swear I do declare, how did she get back there?
I swear I do declare, how did she get back there?
I swear I do declare, how did she get back there?
I swear I do declare, how did she get back there?
I swear I do declare, how did she get back there?
St Frank Zappa, 1977
– tu prends de la poudre, toi ?
– bah oui, ça va de soi. mais je la paie pas, on me la file
– wahooo
– c’est parce que je connais tous les bons plans de paris, je suis invité partout. Je tutoie Ardisson et sa femme.
– wahooo
– et puis je te parle pas des meufs que je me tape, que des bombes, et puis 2 ou 3 en même temps, c’est la moindre des choses.
– t’es fort dis donc.
– ouais, je suis heureux, quoi. Je suis au sommet.
– t’as de la chance
– c’est pas de la chance, c’est du boulot. Faut travailler son réseau, s’incruster là ou il faut, coller aux basques de qui il faut etc.
– heu… faire le gentil toutou quoi ?
– c’est plus compliqué que ça, petit. Bon, laisse moi bosser maintenant, j’ai un article à terminer pour Génération Séries.
En quittant cette Cité qui l’avait couvert de langues empâtées et de nuits sans sommeil, il ne pensait jamais y revenir, du moins pour y vivre… cet aimant l’attira cependant de nouveau… qui est à blamer ?
Le boulanger !
11:57:38 : je prends mon petit déjeuner au soleil

14:18:15 : je renonce à prendre mon vélo pour cause de temps de merde

Le temps, non plus, ne sait pas ce qu’il veut en ce moment.
Ouverture
Igor Branlouillicotte
Nikolai Oublie…
Que dire de plus… si ce n’est qu’ici tout n’est qu’un moyen d’expression, sans volonté de reconnaissance.. et que tous devraient se le rappeler.
Rideau !!
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Rencontrer une belle inconnnue. La raccompagner chez elle. Se faire offrir une verveine menthe. La séduire. Lui faire la bise sur les deux joues. Se branler.
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Un dragon point trop écailleux lissait ses moustaches gominées en méditant sur les restes de son repas, déjà envahis par de grasses mouches pourtant affamées.
Pourquoi encore et toujours vouloir posséder, se rendaient elles seulement compte de la vacuité de leurs existences ?
Philantrope et d’un souffle, il abrégea ses pensées par une crémation générale.
Orgie de sucre, seule solution trouvée… bâfrer, ingurgiter, déglutir, régurgiter. L’odeur devient insupportable, mes miasmes se mêlant aux baies industrialisées. Le jour, la lumière, retrouver le monde auquel j’appartiens, vite, Vite, VITE.
Le sage du fond de son tonneau de Bordeaux éructait que seul un bon Saint Emilion permettait de sortir des tréfonds de la sombritude. Jamais compris ce qu’il voulait dire… pas eu les diplômes nécessaires.
Première goulée d’air, aspiration avide, émerveillement, tête qui tourne, extase.
Mon corps reprend ses proportions habituelles, à mon grand désespoir, rien ne s’est arrangé en lui, la mécanique fonctionne toujours aussi mal.
Mais cela n’a aucune importance : ma mission, juste ma mission, la finir. Il est là, face à moi, voûte le dos, il est en position d’attaque, mon œil exercé perçoit les feuilletons fleuves qu’il a roulé dans sa main gauche.
Je ne peux m’empêcher de rire… il croit réussir à me noyer sous ces flots de caractères typographiques ?
Non… pas par une attaque aussi facile, c’est tellement élémentaire…
Et pourtant…
Un commando de Ä du Nord s’infiltre dans ma bouche, bouchant les parois tandis que des Õ Sudistes infiltrent les autres orifices de mon coärps.
Je n’õrrive plus à penser, les lättres infiltrent mõn esprit. Jä, jõ, jäõ mõärs…
Un lutin sort de l’oreille du héros malheureux et regarde le cadavre. Haussant les épaules il repart, cherchant une nouvelle proie…
L’intégrale des aventures de Tourgueniev est disponible pour votre plus grande joie ICI Grand sourire cathodique
Tes mains autour de ma gorge… je suffoque… je violettise… kof kof
Hop non, pas d’accord, pouce, c’est pas du jeu !!!
Je te tues et je suffoque ! C’est quoi ce merdier ?
Y en a marre, ras le bol bonhomme !! Tu diriges peut être ma vie mais pas ma mort… contre… on réecrit le script !
Comment ça… Non ? Tu te prend pour qui ? Dieu… ok.. je la ferme.. tues moi… tu le regretteras…
Batard…
– ORDUUUUURE !!! JE TE DETESTE !!!
– Heu… attend, je t’explique…
– Tu m’avais promis. TU T’ES BIEN FOUTU DE MA GUEULE !!!
– C’est tout du faux, calme toi voyons…
– Et les photos, c’est tout du faux ? SALE TYPE !!!
– On ne te reconnait pas…
– Tu n’es qu’un mec malsain et pervers, ADIEU et ne t’avise pas de croiser mon chemin.
– C’était pour rigoler, c’est tout… Pars pas…
Grande promo chez Tourgueniev.com

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« […]C’est alors qu’ils découvrirent dans la plaine trente ou quarante moulins à vent ; dès que don Quichotte les aperçut, il dit à son écuyer :
– La chance conduit nos affaires mieux que nous ne pourrions le souhaiter. Vois-tu là-bas, Sancho, cette bonne trentaine de géants démesurés ? Eh bien, je m’en vais les défier l’un après l’autre et leur ôter à tous la vie. Nous commencerons à nous enrichir avec leurs dépouilles, ce qui est de bonne guerre ; d’ailleurs, c’est servir Dieu que de débarrasser la face de la terre de cette ivraie. – Des géants ? Où ça ? – Là, devant toi, avec ces grands bras, dont certains mesurent presque deux lieues. – Allons donc, monsieur, ce qu’on voit là-bas, ce ne sont pas des géants, mais des moulins ; et ce que vous prenez pour des bras, ce sont leurs ailes, qui font tourner la meule quand le vent les pousse. – On voit bien que tu n’y connais rien en matière d’aventures. Ce sont des géants ; et si tu as peur, ôte-toi de là et dis une prière, le temps que j’engage avec eux un combat inégal et sans pitié.[…] » Cervantes, Don Quichotte de la Manche, tome I, © Ed. Seuil, coll. Points (pp. 101-102) |
| Tu me montres ta chatte ? Elle est poilue dis donc. Et tes seins ? Qu’est ce qu’il sont gros. On t’a déja fait un fist fucking ? C’est marrant tu vas voir. Et ton camion ? Il a passé le controle technique ?
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Staphylocoque… exil (volontaire ?!) de la Toile, retour, vision de cet être, de ce concept, que dis je, de ce monument… Benoit… et ce mot qui hante mon esprit depuis ; Sta – phy – lo – coque… petite bactérie deviendra grande dit on.. heureusement pour nous certaines meurent dans l’oeuf !
Et inlassablement il retourna à son dur labeur, secouant et remuant des tonnes d’immondices, espèrant, un jour, peut être, atteindre la mythique perle de merde
Pendant ce temps là, à Faidherbe…
Toc toc toc
– Raaaah, impression de déjà vu
– Voix off : Chuuuut, ferme là, c’était pas le même personnage
– Hum, oui, jamais vu cela… Mais qui est donc derrière la porte ?
– DRUAND !
– Monsieur le malpoli hurleur, j’ouvre par pure ouverture d’esprit…
– J’aime Nadine !!!!
Se contenant
– Veuillez partir.. elle est mon épouse…
– Etait vous voulez dire !!! Epouser une morte, sagouin, j’écorcherais votre engance !
– Et merde pour la gauche caviar !
La porte se referma sur le nez de l’importun
A Suivre
Nadine a la tête sur le billot, Druans est au dessus d’elle, une hache de pompier à la main, le regard flamboyant. Le mari sans nom fait une clé de bras à la mère paternelle qui grimace de douleur, cherchant à s’échapper pour sauver sa fille. Un disque de Luis Mariano, incongrûment, déverse ses paroles niaises sur la scène.
– Mais laissez moi, je veux vivre !
– Ma fîîîîîîîîîîîîîîîîîîîîîîîîlllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllleuh
– Mon tribut est enfin devant moi, le contrat va pouvoir être validé !
– Mais qui es tu, monstre druanesque ?
– Je suis le SdT, Seigneur des Ténèbres, je n’ai pas réussi le casting de Sauron, aussi je me venge en ce moment, Mouah ah ah ah
– C’est donc de là que te viens ton rire ridicule, enfant du Démon ?
– Oui, mais grâce à ton sacrifice, je vais enfin pouvoir me débarasser de cette malédiction zygomatique, ma chère enfant.
– Je n’étais donc qu’un pion entre tes mains, être sombrophage… Sob sob … alors soit, j’accepte dignement de mourir
Et Nadine tendit dignement le cou, prête à subir le pire des outrages
Ben finalement…
« La solitude offre à l’homme intellectuellement haut placé un double avantage : le premier, d’être avec soi-même, et le second de n’être pas avec les autres. »
Cette nuit, je serai donc en bonne compagnie.
Cette nuit, IL m’a demandé de sauver les hommes de leurs pêchés.
OK. Le temps de trouver le bon costume et j’arrive.

Comptine courte mais inintéressante
– Qui a tué le chat ?
C’est pas moi, c’est pas moi
– Mais alors qui a tué le chat ?
C’est pas moi, c’est pas moi
– Alors si ce n’est pas toi, mangeons le chat !
Je m’aime, je m’aime, je m’aime, je m’aime, je m’aime, je m’aime, je m’aime, je m’aime, je m’aime, je m’aime, je m’aime, je m’aime, je m’aime, je m’aime, je m’aime… « Ouf, j’avais tellement besoin de le dire.« |

« L’homme est un animal, il est né comme ça. Il est pourri dès la naissance. C’est un animal condamné et très subtil à la fois. C’est un vice de naissance. Qu’est ce que l’histoire ? La démonstration de l’inhumanité de l’homme. Quelque chose d’impur, de méprisable. Je crois que c’est sans remède. »
Trois jours que j’ai le coeur au bord des lèvres
Trois jours que je me confine devant une cuve de faïence
Amoureux, malade, les deux peut être ?
Oh toi, mon doux ver solitaire…
Cette nuit j’ai rêvé que j’étais papa, que j’avais un petit bébé
Mais il n’y avait nulle part de maman, c’était plutôt affligeant
Ce soir, je suis fatigué.
Longue journée de boulot.
On me dit qu’il faut pratiquer la tolérance :
Attitude consistant à tolérer ce qu’on pourrait rejeter, refuser ou interdire;
dérogation admise à certaines lois, à certaines règles.
Ce n’est pas un droit, c’est une tolérance.
Je n’ai pas le courage de me branler.
Je me sens bien.
Je t’aime
ps :

Acheter la Buche
Poser les cadeaux sous le sapin
Embrasser ma chère et tendre épouse
Regarder les enfants s’émerveiller devant leurs joujoux
Subir les chiards hurleurs cassant leurs jouets en plastique hors de prix, la haine au coin des lèvres
Sentir l’haleine fétide de mon haineuse femme, l’embrasser avec dégout, pour la forme
Nettoyer ces saloperies d’aiguilles de pin qui rentrent dans les pieds
Vomir la buche, qui se mélange bien mal avec le pastis
R.M.I. … Revenu Mensuel d’Insertion … Retenue Millénaire d’Information … et quoi d’autre encore ? Je sors de ce bureau, j’ai la nausée… ma pauvreté, le blanc des yeux jaunatres de mon interlocutrice, l’abus d’alcool des jours précédents.
Bref je ne me sens pas bien. Je décide de repartir de là à pied.
Facile, pour repartir vers chez moi, allons vers la Seine, c’est par là, çà descend !!!!
J’ai vaguement oublié que sur la Butte Montmartre, comme sur toute butte, l’on descend de tous les côtés. Et au fur et à mesure le paysage change autour de moi : les commerces disparaissent, les immeubles poussent hormonalement, le gris prend place sur tout.
Je ne reconnais plus aucun nom de rue, je ne vois plus aucun métro… serais je arrivé chez les sauvages ?
Une station de bus épargnée m’indique enfin que je suis entre Saint Denis et la Courneuve, et je suis heureux d’avoir trouvé un contrat de travail…
J’en ai marre d’aller bien.

J’en ai marre d’aller bien.

J’en ai marre d’aller bien.

Je veux du vert pâle.
Aaaaaaah qu’ils peuvent être joyeux les Pokemons à poil et à plumes…
Aliénation mentale, anorexie mentale, autisme, automutilation, démence, dépression, énurésie, neurasthénie, nymphomanie, suicide, vide…

Sophilosophisme extatique !
Je me retourne, cette exclamation en pleine rue fauchant toutes les pensées qui s’agglutinaient lamentablement dans la partie la plus endormie de ma cervelle somnolente
Derrière moi, à quelques métres, se tient un clodo -pardon un sans domicile fixe- de la plus pure espèce, souriant de sa bouche édentée
La suite, un café, une longue discussion à batons rompus et une journée qui commence bien.
J’ai trainé ton corp jusqu’au camp.
Le sang coule partout.
Le bruit des bombes et les pleurs des femmes me terrifient.
J’ai peur.
Ping Pong citadin, passer entre les villes, leurs mailles, s’y perdre et s’y retrouver, sentir leur amour, leur désir et leur répulsion. Suivre ses sens, ne plus se sentir ?
Crier inutilement dans un énieme train, dormir plutôt que de faire le mauvais geste… bienvenue en gare de X ; une de plus, encore ?
Elles se ressemblent toutes et pourtant qu’elles sont particulières… ce sandwich est-il unique ou une représentation supplémentaire de l’éternel jambon dans du pain ?
Bienvenue à toi, brave Sans Domicile Fixe… Ta Gueule, pas besoin de ta concupiscence, je me débrouille avec la mienne ; elle peut déjà remplir bien des wagons à elle seule.
Ô joie, un banc solitaire, mouillé jusqu’à la couenne (à ne pas bouger, on fait du gras), dormir sans oublier, sinon ça ne serait pas drôle, et fermer la porte.