il y a une multitude d’étoiles dans le ciel
certaines sont si loin qu’on ne les voit pas
certaines sont proches, elle brillent fort
on aimerait bien les attraper parfois
mais elles sont trop éloignées pour faire attention à nous.
elles n’en ont même pas conscience
et puis il y en a une qui est vraiment près
incroyablement éblouissante
on l’appelle Soleil
même en fermant les yeux on perçoit sa lumière et sa chaleur
même la nuit elle est là, refletée par la lune
impossible de s’en débarrasser
on tourne autour en une belle éllipse
et ne s’en rapproche que pour s’en éloigner
et on a beau tendre les bras,
on voudrait brûler et se dissoudre dans le brasier
sécher définitivement
elle reste inaccessible
poursuivant sa trajectoire,
insensible.

le soleil est-il sourd ?

Ces imprimés ont comme point commun d’avoir tous les deux beaucoup voyagé

Old par D.b le 21 Juin 2003

Old par Gu. le 20 Juil 2003

« (…) le public apprécie la technique de l’homme élastique (…) »
pas moi.

un tourment au printemps, le parfum du marquis corse, les rires des malades

suave ellipse falsifiée en plein soleil
sage eclipse d’un monde douillet
qui ne parle que de toi

Old par M. Fox le 24 Avr 2003

bon anniversaire baby

Old par igor le 03 Oct 2003

Quel artiste ce héros!

Old par Gu. le 15 Avr 2003

Once upon a time on the Plateau

Page improbable du journal du héros
(Hiver 2003)
Ce soir, désir de retrouver les points sensibles
d’une journée réussie .
Matinée triste, j’écris à J.P.R. lui fait part de mon ambition
d’enseignant en art, structure plus solide que celle ou j’officie maintenant.
J’évoque aussi l’écriture, prise entre « acte et reverie. »
(Il me semble qu’elle conservera toujours cette double instance.) Déjeuner.
Rendez-vous avec M. qui souhaite me montrer son travail photographique.
En avance de deux heures, j’en profite, pour la troisième fois, pour aller
à l’exposition Roland Barthes, à Beaubourg.
Trop de fétiches, de jolis bibelots.
A une table d’écoute, des textes favoris du critique sont audibles
via un casque, autour de cette table ronde, où en face, une jeune
femme se plaint et trouve que la voix du lecteur qui lit un passage
du Temps Perdu est affreuse. Je la trouve — elle — adorable.
Conversations autour des images de M. Images trop factuelles,
factices à mon gout. Je l’encourage cependant.
Deux heures de paroles, et de corps séparés.
M. avoue sa crainte de la normalité.
Je ne l’aime pas, elle ne m’invite pas à la désirer, je suis à l’aise.
Fatigues, interruption, entre « acte et reverie. »
Lectures : livre 5 des confessions, ainsi que les affinités électives.
Je suis à l’aise.

Mais personne ne te retient… Je suis heureuse pour toi… Non non vraiment… Oh je t’en prie, tout le monde aurait fait pareil… Mais si, allez, file, profite.

Il faudrait que tu penses sérieusement au boulot dont je t’ai parlé.

Non non ça va, comme d’habitude.

… Mais c’est un coma superficiel post-opératoire dû à une hémorragie du cerveau.

Ca va, et toi ?

Moi je dis, avant le 15 mars, il y a la guerre.

Just want to destroy something beautifu… Motown watchar’you doing out there with that knife ?

Ils sont heureux comme ça. Laisse leurs anges passer.

There were three of us this morning
I’m the only one this evening
But I will go on
These frontiers are my prison

Tu ne peux en vouloir à personne. Ne t’avance pas vers cette fenêtre avec ces yeux là, tu me fais peur.

Il va falloir partir, là

Motown just leave me now, just smack my eyes, just suck my dick but leave me.

Leave me or leave me, don’t let me be lonely…

Old par motown le 05 Mar 2003

« Qu’est-ce que résister ? C’est avant tout
avoir la force de décréer ce qui existe,
décréer le réel, être plus fort que lui. »

Giorgio Agamben

15 fenêtres c’est trop pour un seul ciel.

Quand il ne se passe rien, le rien, précisément, arrive.

Sad itou

car :

Je suis le réel, l’anti-idéal

Je suis l’incarnation de l’hérésie

Que vos dieux appelaient pourtant Amour

Clémentine souriait,

je peinais à conserver l’oeil ouvert
tant
les substances absorbées
provoquaient
satisfaction
et apaisement,

à mon reveil,

elle avait disparu

Old par M. Fox le 10 Fév 2003

Triste journée…

Old par Rodia le 20 Avr 2003

« Dieu est amour; celui qui demeure dans l’amour demeure uni à Dieu et Dieu demeure en lui.
Si l’amour est parfait en nous, alors nous serons pleins d’assurance au jour du Jugement;
nous le serons parce que notre vie dans ce monde est semblable à celle de Jésus-Christ.
Il n’y a pas de crainte dans l’amour; l’amour parfait exclut la crainte.
La crainte est liée à l’attente d’un châtiment et,
ainsi, celui qui craint ne connaît pas l’amour dans sa perfection. »

J’ai un petit coup de blues…

Old par Rodia le 28 Fév 2003

autOrOute A3

directiOn

Neuilly-Plaisance

livraisOn

cOmmande

SpOke

jamais

arrivée

destinatiOn

perte

cOmmande

véhicule

stOpdanger

dépanneuse

mOmO

est

mOrte

ce matin

(…)

Old par Gu. le 25 Août 2003

à la lueur des étoiles,

on s’est embrassés,
on s’est promis d’etre tout l’un pour l’autre,

de s’aimer,
de se rendre heureux,
de rester ensemble pour toujours,

ce soir là tu quittais ton père
pour venir sur ma petite colline,

je t’ai présentée à la mer,

elle a béni notre union,

à chaque instant
ces moments sont dans mon coeur
et quand souffle le vent
et survient l’adversité

c’est ce souvenir qui me fait
combattre pour survivre
et me réchauffe le coeur
lorsque survient l’hiver

je t’aime

Old par M. Fox le 29 Jan 2003

*** publicité onirique des temps modernes ***

pour venir à bout de tous vos problemes

buvez de l’alcool!

en effet, rien ne résiste à l’alcool,

(il dissout tout, hormis l’alcoolisme)

Bon alors il faudrait que tu penses à faire cela, et puis aussi contacter Mr K, oui, le client, pas le prestataire, et enfin organiser le cocktail.

Mais je n’aurais pas assez de temps pour le faire !

Hé bien étend le…

Old par Rodia le 26 Jan 2003

Le faire c’est l’entendre aussi c’est certain!
Ainsi, l’entendre n’est pas forcément le faire…
Mais pour se faire entendre,
encore faut-il entendre le faire…

Old par Gu. le 06 Mai 2003



cette nuit, j’ai rêvé que je mourrais écrasé

en essayant de replier mon clic-clac

et que je me réveillais au paradis

de la déco intérieure.

Old par Gu. le 28 Mai 2003

Perdu clone (suite)

Si vous me croisez assurez-vous bien que c’est moi

je me suis rasé la barbiche pour qu’on ne me confonde pas avec lui

Old par -- Zan le 02 Mai 2003

le récitant : je suis un méchant homme.

Old par igor le 11 Juil 2003

attrape !

Ambassador

Une fausse blonde sublime agonise dans les odeurs de havanes, fauteuils club, il ne faudrait pas être ailleurs, vous savez, ailleurs les verres se servent à ras bord, ici les gants crème font glisser sur comptoirs en ébène, on prendra notre temps, pour ajuster les graisses à la forme du cuir, faux mouvement, la maison garantit l’harmonie de l’ensemble, c’est extraordinaire et tellement original, c’est une si bonne surprise, ici on sait à quoi s’en tenir, la maison garantit la surprise et les fausses blondes on toujours un mouchoir avec elles, une serviette, un masque à gaz, une Mercedes Benz, la vie au ralenti, et sans fausse modestie, je vous trouve exemplaire, mon ennui proportionnel à l’épaisseur des moquettes sur lesquelles on avance, au ralenti, à vitesse conforme, une grande porte à battants rotatifs à l’entrée fait le tri, alors pourquoi ne pas se mettre en chaussettes, dans la musique de feutre on se dit qu’on est bien dans ce mince interstice entre le bronze massif et le creux des moulures, entre le pli des ventres et la famine des dames, entre la masse visible et les semelles tout cuir, made in France, madame, vous savez, fragiles comme le cours des matières premières à la bourse, des matières précieuses, ici on vient pour sentir le silence, pour voir les petits cercles humides que le dessous des verres dépose à la surface des tables, vous voyez, le verre est absolument sec, vous le remplissez, et alors de petites gouttes apparaissent et laissent une trace en forme de cercle derrière elles, donc, sous le verre, et les fausses blondes détestent ce genre de détails et les gros bonnets adorent mesurer la taille de leur cercle en fumant un havane, sans complexes, pas de frime surtout, pas de drame, par pitié, avez-vous vu comme il sait bien y faire, ce barman est splendide, les serveuses sont parfaites, si précises à leur place, canapé réservé, au comptoir du palace, la fausse blonde s’est levée de son siège en se fondant toujours dans la mollesse des murs, profitant du protocole capiton des bourgeois en lévitation autour, la fausse blonde s’est dressée comme un vulgaire courant d’air au milieu du nappage de fumée, elle a rejoint le comptoir en ébène et s’est mise à parler :
Qui m’a posée ?
Qui m’a posée là ?
Qui m’a raflée ?
Et qui paiera ?
Elle a ouvert son sac à main à double initiales dans l’assurance tranquille des salons, il était question d’une partie fine à la table d’hommes et des femmes comme elle qui était à sa droite quand le premier crâne chauve a volé en éclats, et la fausse blonde tellement sereine et à bloc que la latence entre la détonation et le moment où la panique se met à saisir les clients se dilate, main serrée sur la crosse elle écoute le murmure dans la salle, on dirait : elle cherche une cible, mais l’entre-deux ne dure pas, regardez, c’est une arme automatique qui nous menace, elle est prête à cracher, et la monnaie sort des poches, on l’aligne sur les tables, on a de quoi payer, prenez tout ce que vous voulez mais de grâce, et de fait, la blonde s’en balance, sans désordre elle arrose l’assistance, la mitraille s’enfonce dans les fauteuils qui se gorgent de poisse, et comme si tout le monde se mettait à savoir la justice, personne ne bouge, et l’intérieur du barman s’infiltre dans l’ébène du comptoir, et personne qui hurle, comme un retour à la normale, c’est la graisse des ventres qui suinte à présent par les cratères que le métal perce à mesure que les douilles frappent le sol, she makes me wanna die, mort à l’Intercontinental, on n’est plus claustrophobes, on exécute en famille, enfin, on respire, ça n’est quand même pas souvent, que la moelle retourne aux crachoirs, quand on pense aux sirènes de police un peu longues à venir pour un quartier si chic, quand on pense à l’abondance et quand on voit l’hécatombe, encore un dernier chargeur, pour quelques salves de plus, pour ajuster la tête, être sûre cette fois que mastercard ne protège plus des balles, qu’elle ne cuirasse plus les cœurs, pour le plaisir d’une pièce de viande classe affaire explosée sur moquette, et dans un cadre idyllique, une page ouverte du catalogue « atmosphère cosmopolite » des corps déchirés, que la fausse blonde enjambe pour passer derrière le bar, elle s’y sert un verre de vin de classe insolente et rejoins les fauteuils, croise les jambes et sans puis-je vous offrir un verre, mademoiselle, dos au cuir du siège, silence autour, même, piano man est en miettes et mademoiselle soupire du plaisir de sentir les odeurs de poudre remplacer celles des havanes, enfin paisible, une courtisane qui se respecte, une call-girl digne de ce nom, saura toujours avoir de temps de se refaire les ongles en attendant l’arrivée des fourgons, elle se dit à elle même.

Old par felix le 27 Fév 2003

malade …
mal_a_deux …

eT_te_Vy …
Ka_bAaL_aN
pHOn_eTHiQue_mENt …

waiting for my train

icone... ouais, russe man, russe...

Je suis l’ami des enfants

je vais marcher au bord de la mer ce soir et peut-être demain si le temps est ok si je rencontre une fille je vais essayer de la faire venir chez moi et de lui faire ouvrir la bouche pour mettre ma langue dedans et si elle est ok continuer à la séduire pour ensuite me marier avec elle puis avoir des enfants pour ensuite les manger sauf si par hasard un de mes fils est lui aussi un ogre sans parler de la possibilité infime de la petite ogresse.
Old par igor le 13 Nov 2003

ô Marennes !


Old par M. Fox le 31 Mai 2003

(k)

Ce matin, le marais autour de La Maison, je suis allongé dans l’herbe humide avec toi. Tu me souris. La vieille demeure semble pour une fois accueillante. Des bruits d’eau, je me sens renaître, enfin. Les rues en pente nous mènent à de charmants jardins où la fraicheur nous accueille et nous entoure de toute son attention et de toute son affection. Ta main dans ma main, je suis là, de nouveau vivant, mes folies et mes égarements se dissipent ne me laissant plus qu’une évidence : toi. Merci.

Old par igor le 18 Août 2003

souvenirs épars de l'été 2003 avec toi
Old par igor le 25 Sep 2003

Comment vous appelez-vous ?

(Appelez-moi)

« Tu peux bien m’écrire des textos de folie
et m’offrir des cadeaux en faux cool,
je t’ai démasqué, petit Casa de chez Nova. »

IGOR LE TEMPS DE L’OTS EST ARRIVE !

Old par igor le 06 Jan 2003

Phagocyté n°1
Dans ma peau…
Tu veux sauter de l’autre côté du miroir ?
Ce n’est pas aussi beau qu’il y paraît
On devrait toujours éviter d’aller dans des endroits dont on ne peut revenir…
C’est un conseil d’ami
Réfléchis bien
Mais surtout demande-moi la permission
J’ai horreur des corps étrangers qui s’insinuent
Là où on ne les a pas invités
Je les extrais avec mon petit couteau
Et je les tue…

influenZa prolific stickerS

Old par Gu. le 17 Nov 2003

NB

Je ne lirai pas (même sous la torture) votre pavé

livresque saignant.

j’espère que l’enfer est climatisé

(sinon on risque de s’tenir chaud)

Old par M. Fox le 06 Juin 2003

Prendre un éléphant par la main

Pour l’emmener vers demain,

Pour lui donner la confiance en son pas,

Prendre un éléphant pour un roi.

Prendre un éléphant dans ses bras

Et pour la première fois,

Sécher ses larmes en étouffant de joie,

Prendre un éléphant dans ses bras.

Prendre un éléphant par le cœur

Pour soulager ses malheurs,

Tout doucement, sans parler, sans pudeur,

Prendre un éléphant sur son cœur.

Prendre un éléphant dans ses bras

Mais pour la première fois,

Verser des larmes en étouffant sa joie,

Prendre un éléphant contre soi.

Prendre un éléphant par la main

Et lui chanter des refrains

Pour qu’il s’endorme à la tombée du jour,

Prendre un éléphant par l’amour.

Prendre un éléphant comme il vient

Et consoler ses chagrins,

Vivre sa vie des années, puis soudain,

Prendre un éléphant par la main

En regardant tout au bout du chemin,

Prendre un éléphant pour le sien.

Old par -- Zan le 26 Déc 2003

Il marchait déjà depuis une tétine dans ce strapontin de bol de soupe à l’oignon jaune et les oeufs de lump de drag-queens qui l’avaient lâché ici ne perdaient rien pour lubrifier. Il avançait vers le nord, vers cette illusion d’optique de langues de chat qui semblait pouvoir lui procurer un pesticide contre le ver solitaire et éventuellement dissimuler une entrecôte aux cèpes. Il repensait sans cesse à la barre de fer d’or abandonnée à l’herbier de la 66, à ces bâtards ignorants en route vers le Mexique et à Charlie et à ses petits saints têtant de la poire qui l’avait si bien mené en bateau. Il pestait contre le moteur à explosion entier et avant tout contre sa pétasse. Le pet-de-nonne tapait dur sur la blonde squameuse des rabots…

Old par igor le 09 Jan 2003

jongler : scalpel lame de scie tronçoneuse pique coupe coupe rasoir tranchoir couteau scie sauteuse économe poignard hache perceuse clous pointe poinçon hameçon crochet pic à glace épée glaive casse-tête hachoir broyeur masse marteau pelle hachette verre brisé vis…

Old par igor le 18 Fév 2003

Le Code civil nous en parlerons plus tard.

Pour le moment, je voudrais codifier l’incodifiable. Je voudrais mesurer vos danaides démocraties. Je voudrais m’insérer dans le vide absolu et devenir le non-dit, le non-avenu, le non-vierge par manque de lucidité. La lucidité se tient dans mon froc.

zobbi / my partner does not pose in N&B I do not have it strips about it besides it is always colors it is neither of youth nor of countryside… besides me either besides I do not even know how one makes for different poster thing that texts on THIS HERO, then…

mais

zobbi / stellt meine Gefährtin in N&B ich es besitzt im übrigen in Film sie ist immer in Farben sie ist weder eine Jugend noch des Lands… im übrigen mich auch nicht im übrigen ich wissen sogar, wie man macht, um andere Sache wie der Texte über EG HEROS zu postieren, dann…

ou

zobbi / mon Gefaehrtin ne le place dans N&B moi la possède dans le film est en outre dans les couleurs lui est toujours ni une jeunesse ni le pays… en outre, moi aussi je ne sais pas en outre même, comme on le fait, pour postieren l’autre chose comme les textes sur CE HEROS , alors…

quoi ?

Old par igor le 03 Déc 2003

Old par Gu. le 10 Juin 2003

aujourd’hui, je triche (copier/coller/chloé/coloré) :

  “Le souffle du merveilleux l’anime tout entier (…). J’entends que ce livre n’exalte du commencement à la fin, et le plus purement du monde, que ce qui de l’esprit arrive à quitter le sol et que, dépouillé d’une partie insignifiante de son affabulation romanesque, à la mode du temps, il constitue un modèle de justesse et d’innocente grandeur”.
     A. Breton
cet enfoiré d’andré est encore en train de parler du Moine de Lewis…

J’accèlère le déroulement du temps

jusqu’au moment du film

où je me vide dans tes entrailles

Encore et encore…

Old par M. Fox le 16 Juin 2003

Avertissement

Le désir d’écriture est plus fort que celui d’être lu.

Minuit pile

Old par igor le 07 Déc 2003

le récitant : Selon ses goûts, le tourgueniste sera actif ou passif.

Old par igor le 14 Mar 2003

Mascarade

Quand tu es près de moi,
Cette sauce béchamel n’a plus de tibias,
Mais des chips au vinaigre oui,
des chars d’assaut infinis,
Et quand tu es tellement près de moi,
C’est comme si ce pantin en bois,
Il n’existait plus,
je vois le tableau de bord penché sur nous…
qui restons ainsi,
Abandonnés tout comme si,
Il n’y avait plus rien,
non plus rien d’autre au barbecue,
J’entends l’harmonica…
mais on dirait un vol long-courrier,
Qui chante pour toi et pour moi,
Là-haut dans le calumet infini,
Et pour toi, et pour moi.

Old par igor le 19 Nov 2003

J’aime sa pensée superbe

et ses yeux irisés

quand il me regarde et délire

Ses narines dilatées

qui guettent mon odeur

je frissonne et j’exulte

Tu vas m’éventrer

me retourner complétement

m’infliger douleur et plaisir

Tant que nous en aurons la force

Old par M. Fox le 10 Juin 2003



Alors attention…


Old par -- Zan le 24 Mai 2003

Le dialogue, ce héros…

Old par Rodia le 01 Mai 2003

Get into the groove
Boy you’ve got to prove
Your love to me, yeah
Get up on your feet, yeah
Step to the beat
Boy what will it be

Old par M. Fox le 01 Mar 2003

…"cinq ans d’efforts constants pour remettre la France à flot"…

ouille

Pour rester zen, il vit sur le long terme en se posant les bonnes questions pour les choix qui s’imposent.
Ne pas se laisser submerger par la tension, le négatif stress.
Il a troqué le métro pour son vieux vélo et le week end fait le tour des quais en rollers tout en scrutant le coefficient de pollution de l’air.
D’humeur égale en tous temps. Encéphalogramme plat bip, bip, bip, bip.
Avec lui pas de surprises ou presque.
La folie, la démence de la jeunesse il a connu et en est revenu.
Il a passé l’âge de faire des conneries, on peut compter sur lui il fait toujours ce qu’il a promis.
Raisonnable, il sait qu’il faut savoir dire NON.
Pas rancunié pour un sou.Tout le monde peut s’emporter avoir ses écarts (sauf lui).
Il faut pardonner un point c’est tout, promouvoir le dialogue car la violence ne résoud rien.

Prévoyant, attentionné, rangé. Un brin maniaque: le ménage c’est tous les soirs. Sa chambre ressemble au couloir d’un hôtel.
Rien ne dépasse c’est l’équilibre en tous points.

A SUIVRE….

Il ne m’a pas tué avec ses griffes,
si c’est ce que tu veux savoir

il ne m’a pas tué avec ses dents non plus,
si ça peut te rassurer

il n’a fait que me regarder,
avec innocence

et mon coeur s’est arreté

Old par M. Fox le 15 Mai 2003

Aïe !

Old par Gu. le 30 Juin 2003

DRAGON N°9

UKRAINIAN IRONBELLY (PANSEDEFER UKRAINIEN)

Le plus grand des dragons, l’Ironbelly,

peut atteindre un poids de six tonnes.

Le corps arrondi, plus grand que le Vipertooth

ou le Longhorn, l’Ironbelly est néanmoins

extrêmement dangereux et peut écraser sous

son poids une maison sur laquelle il atterrit.

Ses écailles sont d’un gris métallique,

ses yeux d’un rouge foncé et ses

griffes particulièrement meurtrières.

Les Ironbellys font l’objet d’une surveillance

constante par les autorités magiques ukrainiennes

depuis qu’en 1799 l’un d’entre eux a emporté

dans ses serres un voilier (heuresement vide)

amarré dans la Mer Noire.

(…)

Old par Gu. le 14 Nov 2003

hier, début de soirée,

tentative d’OPA agressive

sur Tourgueniev ce héros

par le consortium Velleity of Velleities.

————————–

Caramba, encore raté !

Old par igor le 27 Juin 2003

Old par Nicolai le 01 Avr 2003

Je pense à toi en tant que…

...cible...
…mon bel enfant écartelé

Old par Nicolai le 17 Avr 2003

Old par M. Fox le 19 Fév 2003

Le tourguenisme est ce qu’il reste quand on a oublié de commencer

Bien plus intéressant que Matrix 2 : Leila

En vente dans cette salle

Old par M. Fox le 16 Mai 2003

si loin
et si proche
à la fois

la lèvre
et le nez
ne s’aiment pas

Old par M. Fox le 08 Mar 2003

mangez-moi mangez-moi etc...
Old par igor le 08 Juil 2003

L’Ile Enchantée
1er étage
65 bd Villette
75010 PARIS
( 01.42.01.67.99

Old par M. Fox le 07 Mai 2003

Tous les débuts ne sont pas prometteurs
heureusement.

he ben…


Old par -- Zan le 13 Mai 2003

Name-dropping inutile pour buzz :
Thx to NOBODY

Le S.D.H diffuse de (vrais) plans capiteux (open bar/events VIP) à
PAR.I.S mais aussi des liens d’infos concernant l’art contemporain
(vernissages, expositions), le net art (sites), les sites de design,
« musiques électroniques » et jeux vidéos. Il regroupe actuellement
près de 600 personnes dont des inconnus ivres (Pierre Chanson, OFV)
mais aussi des journalistes de Nova (Antoine Blin, Bénédicte),
Technikart (PH. Nassif , Xavier Faltot, Pascal Bories, Olivier
Stupp, Laurence Rémilia) Sofa (Franck Annesse), Parissi.com (Rapahel
Wizenberg) NightSystem (Xax), A Nous Paris (Raphaël Wizenberg), Epok
(Antoine Besse)Modzik (Franck Chevalier) + FHM, Nouvel Obs, Zurban,
A nous Paris, des artistes (JL Costes, Chloé Delaume, Antoine
Moreau, Amande In, Thomas Scotto, Xavier Cahen, Eric Landan,
Caroline Hazard, Sabine Jamme, Yvette Neliaz, Aurore Victoire,
Hondo, Clément Thomas, Loz on the Net, Bobig et d’autres encore…),
une rédactrice en chef (Aliette Guibert pour CriticalSecret), des
agences de pub (Véronèse, Eurorscg, art-entreprise.com), des
galeries, associations et organisations (Rachlin Lemarié Beaubourg,
Site Odéon°5, Console, Mixbeat, Biennale de Paris, CNAP, Ars Longa,
Deux Pièces Cuisine, Gaité Lyrique, Antidollar) mais aussi des
personnages (Victor Ward, Igor Tourgueniev, Patrick Bateman, Jude
l’Obscur). Cette mailing liste accueillera exactement 888 abonnés. A
partir de ce nombre « précieux » (gollum symptôme), chaque nouvel
abonné éjectera un ancien syndicaliste (n’ayant pas participé) via
une « Roolet Russe », machine on-line créee par Timothée Rolin.

Link/
sdh.fr.fm
——————————————–
presse/
thme.free.fr/scans/zurban3.jpg
thme.free.fr/scans/anp.jpg
thme.free.fr/scans/nouvelobs2.jpg

Old par igor le 12 Fév 2003

Le jour où tu es née

Le soleil s’est mis en habit

on fit une fête au ciel

et Dieu lui-même a dansé


Old par -- Zan le 18 Juin 2003

PLUS DE TEXTE !!

Ma Douce Marginalité Apostrophe…
Qui ça?

Old par Gu. le 25 Mar 2003

C. m’a raconté que son homme l’insulte quand il lui fait l’amour.
Une phrase revient régulièrement :
“ Montre moi comment elles aiment jouir les petites putes. ”

FATIGUE EXCESSIVE = SPOTS !

Old par Gu. le 19 Mai 2003

ho, britney, arrête avec tes dérapages vocaux et tes déhanchements de metaputa effarouchée… tu sait trés bien que christina aguilera est meilleure que toi, plus jolie, plus espagnole aussi; et que son « dirty » t’as mise KO… et puis , c’est une vraie fille, ELLE…

You are Neo
You are Neo, from "The Matrix." You
display a perfect fusion of heroism and
compassion.

What Matrix Persona Are You?
brought to you by Quizilla

je savais que je vous aimais bien le soir
je savais que je vous aimais bien le midi
maintenant, je sais que je vous aime aussi le matin
peut-être même plus…
vous n’êtes pas du matin? moi non plus… ça doit être ça.

Faire stopper la voiture à chaque miroir qui se présente.

Old par Rodia le 13 Avr 2003

toute le journée sur la route,

j’aperçois ma petite colline
et ma petite maison blanche,

mon coeur chante le bonheur de revoir la mer
et de te serrer dans mes bras,

peut etre.

Old par M. Fox le 09 Jan 2003

slow song

un dragon est sorti de la montagne
il est lové à côté de moi.
lorsque je tends le bras main ouverte
c’est son souffle qui palpite dans ma paume.

dragon
tu es mon kung-fu
et ma dignité

je suis la montagne qui marche
j’entends le cri qui se cache
je suis la montagne qui marche
et je viens réveiller ton dragon

amertume

nom féminin

1. Saveur amère.

synonyme : âpreté

exemple : La légère amertume des endives.

2. Sentiment durable de tristesse mêlée de rancoeur, liée à une humiliation, une déception, une injustice du sort.

synonymes : découragement, dégoût, mélancolie

exemple : Il pensait avec amertume à toutes ces belles années perdues.

Old par Amok le 21 Sep 2003

L’impression d’avoir dormi dans un buisson d’épine

avec 7 nains en train de chanter à tue-tête

est persistante,

c’est grave Docteur ?

Old par M. Fox le 03 Juil 2003

Parcours du musée à Amsterdam…

Les estampes japonaises de Van Gogh…

Rarement été aussi touchée devant une toile…

Old par Gu. le 07 Mai 2003


Bon anniversaire Saint Nicolaï !

Old par igor le 26 Fév 2003

ils avaient
affrété
une grosse fusée
mauve
et rayée

pour aller
feter
l’anniversaire
de Marmitte
sur
la planète
des ondoyantes,

loin,
dans le cadran 33

Old par M. Fox le 10 Fév 2003

Aviation

Un JOUR de 1916, l’aviateur russe Igor Tourgueniev est envoyé en reconnaissance près de la frontière turque et survole le mont Ararat, qui culmine à 5.100 mètres. C’est là que, les eaux du déluge universel s’étant retirées, l’Arche de Noé aurait repris contact avec la terre ferme. A son retour, l’aviateur fait un fantastique récit : « Au sommet du mont Ararat, dit-il, j’ai vu un LAC de GLACE et, juste au milieu, emprisonnée dans cette glace, quelque chose qui ressemblait à la charpente d’un navire gigantesque ».

Old par igor le 17 Déc 2003

uo = u1 = 1, && : un+2 = un + un+1

Plutôt la chose de soi en juste retour…

Old par Gu. le 30 Avr 2003

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