pas vrai, mec ?

Ce n’est pas sale…

couleur

lotus, ctgr - à cache-cache

Aux tourguenistes, curieux,
sympathisants et autres crevards
afin de fêter le non-anniversaire
de « Tourgueniev ce héros »

———————————————
Une réunion permanente aura lieu au café chéri(e)
44 Boulevard de la Villette
métro : belleville – Paris
du 3 mars au 5 mars
vers 19h30.
———————————————

———————————————
l’open-bar sera bien sûr payant
et la musique à volonté.
la direction se réserve
le droit de nous foutre dehors.
les pass VIPIPI-Room
sont à demander à Igor.
Si on veut on peut
imprimer le flyer double-face
ci dessus en 2000 exemplaires
et les donner
à tout le monde
dans le bar.

Old par igor le 03 Mar 2003

J’ai rencontré mon tourment.

Le diable peut-il prendre l’apparence d’une (trop) jeune fille brune les cheveux courts, aux grands yeux noirs, au joli visage sur le quel flotte un sourire inexplicable ?

Peut-il apparaître seul, lors d’un concert et se trouver derrière moi, inaccessible mais évidemment visible ?

Peut-il me tenter juste suffisamment pour que ma timidité et mon inaction me soient insupportables ?

Le diable peut-il me tourmenter à ce point ?

On va se calmer.

Old par Rodia le 14 Avr 2003

Minuit pile

je suis la poursuite

Old par igor le 09 Nov 2003

occupé !

Elle voulai l’inviter :
Pour une polenta sauce tomate avec en dessert la voie lactée
avant ils auraient fait
un tour sur la promenade plantée
et du patin d’été le nez au vent par les remblais protégés.
La nuit est arrivée
elle n’a pas osé
c’est raté…

dommage.

(c’est un poême-dommage)

Une sorte de compliment,

je crois

Old par M. Fox le 08 Juil 2003

Old par Gu. le 06 Juin 2003

Eau minérale Déviant

Source de Jeunesse de votre corps

Old par M. Fox le 24 Mai 2003

Je t’ai demandé de ne pas oublier
Et même ça c’est sorti de ta mémoire

Je fus en fusion, les émotions et les sentiments à fleur de peau : tout pour moi était douleur.

Cette lave intime se refroidi en une croûte sombre et rugueuse ; seules ne la traversent plus que les pulsions, les plus charnelles, primitives et archaïques, qui subsistent en mon noyau.

Quand finalement je m’éteindrai, je serai plus tranquille.

Old par M. Fox le 09 Fév 2003

Minuit pile

je suis casqué

Old par igor le 08 Nov 2003

La vie est un collier de peurs

(mon amour)

Les larmes que tu as retenues

y sont enfilées

Notre amour les détachera – viens

(mon amour)

M’aimer est un jeu d’enfant

Old par M. Fox le 10 Juin 2003

Comme_a_la_maison me spamme :
Je me tortille
Comme je me suis rarement tortillé
Dans tous les sens
C’est l’appel des décibels ?
Bizarre, je cours nu dans une forêt …
Pas l’ombre d’un son
J’entends bien un tamanoir
Mais c’est tout …
Ah …
Chut …
Une verrière …
De la lumière …
Du son …
Des filles … un bar … des garçons …
De la vie !
Et pas de tamanoirs !

Old par igor le 27 Jan 2003

Minuit pile

je suis ivre mort

Old par igor le 01 Nov 2003

Nothing says « I can kick your ass » quite like a camo muscle tee does. Designed for chicks, our tight-fitting green camouflage sleeveless top features reverse stitch raglan shoulders, green binding at edges, and reverse stitching at hem.

Old par D.b le 30 Juin 2003

encore
j’en veux encore
insatiable
sans retenue
comme ces filles
qui sortent du mariage


Pendant ce temps,
A Marseille sur le vieux port,
On aiguise les couteaux,
Et les parisiens, on les surveille,
A fond.

Old par igor le 22 Jan 2003

c’est toi chéri ?

fermarsi un attimo, restare um po, poi andare
va sapere…

la course était lancée :

on ne savait pas qui du microcosme ou du macrocosme s’écroulerait en premier,

une chose était sûre :

ils s’écroulaient

Old par M. Fox le 12 Mar 2003


Old par -- Zan le 09 Avr 2003

je suis ton ami

viens donc me voir

petite

Old par igor le 29 Mai 2003

Old par Gu. le 04 Juil 2003




Minuit pile

Old par igor le 12 Déc 2003

Old par -- Zan le 20 Mai 2003

    

Old par igor le 13 Juil 2003

Fact : Les mannequins sont toutes des anorexiques.

Counterfact : ou est-ce le monde qui est boulimique ?

Old par JR le 25 Mai 2003

vendredi : je dois finir un truc au boulot, ce soir concert, mais c’est loin et le plan voiture est tombé à l’eau y’a deux heures. un sourire d’ange capte mon attention de manière exagérée. je me demande des trucs à propos de choses, et d’autres. je rêve d’un massage et d’une longue douche chaude (hammam ?). je suis fatigué de la longue marche/beuverie de la veille. le moral reste bon pourtant. dans le métro ce matin, j’ai encore rencontré le chef indien, sur le quai d’en face à Opéra, on n’a pas communiqué, juste un échange de regards. il avait l’air si triste. une chaude brise venant de la mer souffle maintenant sur l’hôtel.

Old par igor le 07 Mar 2003

Comme dans un film d’alfred e-scotch ?

Old par igor le 05 Déc 2003

Ils fuient vers Toronto parce que le tournage du film est terminé et qu’ils ont pris cette direction… Merci de m’aider à trouver un titre!

P.S. Je garde l’idée de tourner un road movie sur l’incommunicabilité aux Monts Chics-Chocs pour cet été toutefois… ;-)

Old par Gu. le 12 Juin 2003

Raconter une histoire, ça peut commencer par un « il était une fois » ou par un truc plus anodin genre « il marchait déjà depuis une heure dans ce putain de désert jaune ». Forcement, ça n’implique pas les mêmes choses pour la suite. Dans le premier cas on attend un truc du genre « dans un pays très lointain », dans le deuxième cas plus un truc genre « et les fils de putes qui l’avaient lâché ici ne perdaient rien pour attendre ». Raconter une histoire, c’est tout un tas de décisions plus ou moins importantes pour la suite, sur les mots à choisir, sur les personnages, les lieux, les actions, l’existence même de personnages, de lieux et d’actions, la pertinence de la notion temporelle et la force de l’entropie sur l’idée originelle. Raconter une histoire tendre, c’est aller contre la paranoïa, les griffures de la vie, les cicatrices et toujours rechercher cette petite ligne si douce qui glisse partant de la hanche vers le pubis. Raconter une histoire, c’est faire acte de foi, de contrition, se blottir contre une idée, la choyer. Raconter une histoire, ça peut se faire en se regardant dans les yeux, doucement. Raconter une histoire, ça peut ne pas réussir, ça peut ne mener à rien, ça peut être un échec. Raconter une histoire

Old par igor le 08 Jan 2003

we got her

si tu l’aimes,

emmene-la quelquepart où elle n’a jamais été

Old par M. Fox le 06 Avr 2003

.. |.

who

is this ?
.. 

des indications intuitives

tu prends à gauche tant que ça descend
puis à droite quand tu es sur du plat

simple, joli(e) et efficace,

merci !

Old par M. Fox le 18 Jan 2003

Unité de lieu : un concert de musique de chambre hommage à Astor Piazzolla,
Unité de temps : un dimanche soir
Unité de protagoniste : moi

Arrivé une demi-heure avant le début du concert, l’hôtesse de l’opéra de Paris m’installa dans la loge 37 face à la scène au deuxième étage, pour l’instant vide ; cette loge contenait six places, 3 rangées de deux fauteuils. J’occupai la cinquième place, un des deux sièges au troisième rang.
Le casque dans les oreilles, un livre médiocre de science fiction dans la main, j’imaginai quels pouvaient être les autres occupants de cette loge.
Après plusieurs minutes d’attente, j’entendis le bruit de l’ouverture de la porte de la loge. Quelle ne fut pas ma stupéfaction quand je vis entrer deux magnifiques jeunes filles, adolescentes aux longs cheveux blond, la peau vénitienne et le regard prude.
« Mon Dieu ! » m’exclamai-je intérieurement.
Je me levai pour m’effacer devant elles lorsqu’elles rejoignirent les deux fauteuils du premier rang et je m’aperçu qu’elles étaient accompagnées de leurs parents.

Le concert était très bien et j’aime beaucoup le Tango, composé par Astor Piazzolla.

Je crois qu’elle a quitté

la petite maison blanche

qui abritait nos amours

Elle a pris le chemin

qui contourne notre colline

pour retrouver son clan

J’attendrai le Printemps

pour aller la trouver

Que se calme la colère

et que verdissent les prés

Old par M. Fox le 20 Juil 2003




Old par -- Zan le 07 Fév 2003

Old par Gu. le 24 Mai 2003

on met des titres aux posts maintenant ????

ben oui faut croire…

Old par -- Zan le 28 Juil 2003

Ménager Doucement Mon Ame

Old par Gu. le 05 Mai 2003

« Une maison bleue… ? »
« Le Dauphiné Libéré » du 12/06/97
 
Fuyant la banlieue parisienne à la recherche d’un autre mode de vie, installée depuis 15 ans dans les Baronnies, aux fins fonds de la vallée de l’Ouvèze, Frank et Nanou Berthou ont fait la démonstration qu’on pouvait réussir dans une agriculture de montagne alternative.
    « C’est une maison bleue, adossée à la colline, on ne frappe pas, ceux qui vivent là on jeté la clef… » . Sans doute sommes nous loin de San Francisco et les vieilles pierres de la bergerie sont nullement bleues, mais ceux qui vivent là ont effectivement jeté les clefs des portes qui verrouillent la plupart de nos existences citadines. Les paroles de la chanson de Maxime Leforestier viennent immanquablement à l’esprit de ceux qui rendent visite à Frank et Nanou Berthou dans leur repaire de « La Closonne », au cœur du pays Baronniard.

Old par Gu. le 15 Avr 2003

ANTONIO – Que la faveur de tous les dieux aille avec toi! (Sort Sébastien.) J’ai de nombreux ennemis à la cour d’Orsino; sans quoi je t’y rejoindrais bien vite… Mais advienne que voudra; je t’adore tellement que le danger me semblera un jeu, et j’irai…

Old par M. Fox le 22 Mai 2003

Astrée : moi j’ai détourné deux non bloggeur du droit chemin ca compte double non ?
Igor : oui, si tu racontes les scènes de fesse.
Astrée : euh… voui ils ont de belles petites fesses.

Old par igor le 09 Avr 2003

Un meurtre par jour est signe de bonne santé mentale.
06 61 63 58 84

Ping Pong citadin, passer entre les villes, leurs mailles, s’y perdre et s’y retrouver, sentir leur amour, leur désir et leur répulsion. Suivre ses sens, ne plus se sentir ?

Crier inutilement dans un énieme train, dormir plutôt que de faire le mauvais geste… bienvenue en gare de X ; une de plus, encore ?

Elles se ressemblent toutes et pourtant qu’elles sont particulières… ce sandwich est-il unique ou une représentation supplémentaire de l’éternel jambon dans du pain ?

Bienvenue à toi, brave Sans Domicile Fixe… Ta Gueule, pas besoin de ta concupiscence, je me débrouille avec la mienne ; elle peut déjà remplir bien des wagons à elle seule.

Ô joie, un banc solitaire, mouillé jusqu’à la couenne (à ne pas bouger, on fait du gras), dormir sans oublier, sinon ça ne serait pas drôle, et fermer la porte.

Old par Rodia le 26 Mai 2003

REDRUM

Old par igor le 04 Juin 2003

Minuit pile

je suis libre.

Old par igor le 09 Oct 2003

Prâtar namâmi gananâtham ashesha haetam brahmâdi
deva varadam sakala âgamâdyam;
dharma artha kâma phaladam bhava-moksha haetam;
vâchâma agocharan anâdim ananta-rûpam

Prâtar namâni kamalâpatim ugra vîryam;
nânâvatâra niratam nijarakshanâya;
kshîrâbdivâsam amarâdhipa bandham aesham;
pâpâpaham ripuharam bhava-mukti haetam

Prâtar namâmi girijâpatam indumaulim;
vyâghrâjinâvritamuda tadayam nandjae;
narayanaendra varadam surasiddha justam;
sarpâm trishula damarûn dadhatam purârim

Prâtar Namâmi dîna nâtham aghâpahâram;
gâdândhakâra haram uttama loka vandyam;
vedatrayâtmaka mudastasurâri nâyam;
jnanaika haetam urushaktim udârabhâram

Prâtar namâmi girijâm bhavabhuti haetam;
samsâra sindhu parapâratarim trinaetrâm;
tâttvâdi karana mudstâsurâri nâyâm;
mâyenayîm suramunîndra nutâm suraeshîm

Old par igor le 20 Juil 2003

Un peu plus de n’importe quoi

Old par M. Fox le 05 Juin 2003

le printemps rend tout le monde beau,

c’est énervant

Old par M. Fox le 14 Avr 2003

Lee Scratch PerrY

arrive Sur la Scène

avec SeS mOOnbOOtS

rOugeS OrnéeS

de lampiOnS qui clignOtent

(…)

Old par Gu. le 21 Juil 2003

écris-moi

Old par M. Fox le 08 Juil 2003

« […]C’est alors qu’ils découvrirent dans la plaine trente ou quarante moulins à vent ; dès que don Quichotte les aperçut, il dit à son écuyer :
– La chance conduit nos affaires mieux que nous ne pourrions le souhaiter. Vois-tu là-bas, Sancho, cette bonne trentaine de géants démesurés ? Eh bien, je m’en vais les défier l’un après l’autre et leur ôter à tous la vie. Nous commencerons à nous enrichir avec leurs dépouilles, ce qui est de bonne guerre ; d’ailleurs, c’est servir Dieu que de débarrasser la face de la terre de cette ivraie.
– Des géants ? Où ça ?
– Là, devant toi, avec ces grands bras, dont certains mesurent presque deux lieues.
– Allons donc, monsieur, ce qu’on voit là-bas, ce ne sont pas des géants, mais des moulins ; et ce que vous prenez pour des bras, ce sont leurs ailes, qui font tourner la meule quand le vent les pousse.
– On voit bien que tu n’y connais rien en matière d’aventures. Ce sont des géants ; et si tu as peur, ôte-toi de là et dis une prière, le temps que j’engage avec eux un combat inégal et sans pitié.[…] »

Cervantes, Don Quichotte de la Manche, tome I, © Ed. Seuil, coll. Points (pp. 101-102)

Old par Rodia le 04 Mai 2003

Mon verre, ce héros.

Old par igor le 16 Jan 2003

sur les ailes du grand oiseau
nous volions
vers les terres vierges
de l’ouest

vers un nouvel horizon
et vers un avenir
paisible

Old par M. Fox le 10 Fév 2003

je suis, je suis la…
je suis la fille du haut du pavé, celle avec la jupe noire, celle avec les hauts talons, celle avec les dents aiguisées.
je peux te faire suer sang et eau, je peux te faire jouer à des jeux si malins que tu pourrais même les aimer.
je suis la fille du haut du pavé, pousse toi de mon chemin car je t’aime.

Old par igor le 06 Mar 2003

« Lorsque Ivan Tourgueniev publie Pères et fils en 1862, il campe un homme révolté d’un type nouveau en qui la force de l’illusion le dispute à la nonchalence et à la morgue. Il est aussi, dans cette vieille Russie provinciale, un étranger, un homme de trop qui côtoie d’autres hommes sans les rencontrer vraiment.

L’écrivain russe avait déjà peaufiné des personnages d’hommes inutiles, dominés par l’ennui et par la certitude de la vanité de tout. Le nihiliste Bazarov a pour vocation de servir le peuple, en niant les principes en vigueur, l’autorité dominante, l’ensemble des traditions. (…)

Il ramène, dès que l’occasion lui est offerte, tous les idéaux à leur principe, organique ou physiologique. S’agit-il de l’amour ? La simple évocation du sentiment provoque une réplique cinglante : « Nous autres physiologistes nous savons bien ce qu’il en est… Tout ça, c’est du romantisme, du vent, du pourri, de l’art. (p 67). D’ailleurs, selon Bazarov, l’art surpreme consiste à fabriquer des bottes et à soigner les hémoroïdes ! »

in « Le nihilisme », textes choisis par Vladimir Biaggi, Ed. Corpus, Flammarion.

[…]

Farewell

[…]

Old par Nicolai le 23 Jan 2003

Old par igor le 24 Jan 2003

le récitant : ce matin je me suis demandé s’il fallait que je lui pose la question avant de me décider à lui pardonner d’être un chat.

Old par igor le 22 Avr 2003

Parole vaine du héros.
Je n’accepte pas ma faiblesse ; celle de mon corps,
et j’éprouve plus que personne mes limites, et
je devine qu’il peut se passer quelque chose,
mais l’effort qui doit m’y mener me navre ;
la lacheté, ce n’est pas la mienne ; c’est la
fatigue du monde — son usure —qui est responsable ;
quelque chose du dehors me menace, et perturbe
le sens d’un devoir naturel : celui d’etre l`,
davantage que les autres.

Je vais titiller Monsieur Xylo ce soir
Je disposerai même d’un piano un vrai
Après un verre ou deux on pourra boire
Huit pures chansons on aura balancé…

Old par Gu. le 05 Mai 2003

Ethymologiquement, « délirer » signifie, « sortir du sillon. »
J’écris dans les fossés.

Le vin est-il blanc dans le soluble Tourgueniev?

Old par Gu. le 12 Fév 2003

De Mille

Eructé

Dévoilé

Indiqué

Signalé

Emargé

Zyklon B

Old par Rodia le 27 Août 2003

un cadavre dans le placard?

je suis heureux,

viens, prends ma main.

Old par M. Fox le 06 Jan 2003

Old par Rodia le 01 Mai 2003

DRAGON N°4

NOIR DES HÉBRIDES

Avec le Vert gallois commun,

il est l’un des deux dragons

natifs de Grande-Bretagne.

Plus agressif que son compatriote

gallois, il doit disposer d’un

territoire de deux cent cinquante

kilomètres carrés par individu pour

vivre dans de bonnes conditions.

D’une longueur qui peut atteindre

neuf mètres, le Noir des Hébrides

a des écailles rugueuses,

des yeux violets étincelants

et une rangée de pointes courtes

mais coupantes comme des

rasoirs le long de l’échine.

Sa queue se termine par une sorte

de flèche et il est doté d’ailes de forme

semblable à celles d’une chauve-souris.

Le Noir des Hébrides se nourrit

principalement de cervidés bien qu’on

l’ait déjà vu capturer de gros chiens

et même des pièces de bétail.

Le clan des MacFusty, qui habite

les Hébrides depuis plusieurs siècles,

a par tradition la charge de veiller

sur les dragons natifs de l’archipel.

(…)

Old par Gu. le 10 Nov 2003

Il en vient à penser que lorsque la peur s’atténue,
qu’il a bravé la folie, et avec elle cette proximité de mort
– il n’a plus rien à perdre ; il se laisse donc conduire dans
la confiance vers un espace blanc qu’il imagine etre le lieu
du repos, celui du bonheur. Quel serait l’avantage de ce lieu ?
Quel serait ce lieu ? Transparence. Rien au-delà.

Le lieu de la pure visibilité.

oué…

Old par igor le 21 Août 2003

Elles m’ont laminé le cerveau, de la bouillie neuronale…
J’ai des souvenirs tactiles précis de ces instants…

Tu me comprimais pour mieux me déposseder…
Tu me plaîs…
Ca hurle et personne n’entend…
Le cri dolore du corps silencieux…
Aimes-moi encore…

Old par Gu. le 14 Jan 2003

« Quand je ne devrai plus rien à personne, je partirai.
– Qu’est ce que cela veut dire ?
– Comment ça ? Qu’est ce que cela veut dire ? Il y a un mot que tu ne comprends pas ?
– Ben non, je comprends tous les mots, mais je ne vois pas la signification de cette phrase.
– Moi, non plus ; et si par hasard il existe un sens, je ne l’assume pas !
– Mais, pourquoi alors dis-tu cette phrase ?
– Je ne sais pas. »


Fermer les yeux y retourner

sentir à nouveau le vent

Le sel au coin des lèvres

tout est blanc

entendre à nouveau

la petite comptine à trois temps



Old par -- Zan le 12 Avr 2003

Aucun document ne correspond aux termes de recherche spécifiés (Saa kana daba niho!).

Suggestions :
– Vérifiez l’orthographe des termes de recherche.
– Essayez d’autres mots.
– Utilisez des mots plus généraux.
– Spécifiez un moins grand nombre de mots.

Old par M. Fox le 20 Jan 2003

cessez le feu
rallumez la flamme

JE VOUDRAIS BIEN SAVOIR

QUAND JE LE DECALOTTE

POURQUOI PAS DE POUSSIN

DANS MON OEUF A LA COKE

Old par felix le 27 Nov 2003

Au dehors
Les chiens se frottent aux herbes sages

Les courbes folles
lancées à la conquete du ciel
n’ont pas le temps
d’attrapper la rage

Old par M. Fox le 24 Avr 2003

Old par M. Fox le 05 Jan 2003

« – C’est quand même bizarre pour une plastichienne, de venir de Niche…

– hin hin « 

Old par -- Zan le 22 Mai 2003

Old par Gu. le 28 Mai 2003

Designed to organise
FILOUFAX

Igor Tourgueniev, futur Bouddha ?

Old par igor le 03 Juil 2003

Si tu peux être amant sans être fou d’amour,
Si tu peux être fort sans cesser d’être tendre
Et, te sentant haï, sans haïr à ton tour,
Pourtant lutter et te défendre;

tu n’en trouveras jamais une aussi douce et maladroite que moi

Old par M. Fox le 17 Avr 2003

« Dès qu’il rentrera des Etats-Unis,
que l’indépendance sera faite,
je veux rever, hurler et faire la fete
pour mon doux La Fayette,

Indocile, fière et paillarde
Je veux porter très haut sa cocarde
chevaucher le canon à ses cotés
lorsqu’il mène nos hommes à la bataille

et par ce drapeau qui est le notre
je veux jurer devant lui

Je vous aime
et je n’aimerai jamais personne d’autre que vous »

Old par M. Fox le 05 Mai 2003

Regarde toi.

Old par Rodia le 15 Mar 2003

L’émulation ce héros.

Old par Rodia le 09 Avr 2003

En me balladant avec Gü.

A Marseille dans la rue

On a déjà habillé

Nos futurs bébés

Tu voulais pas un garçon ?

– Si mais tant pis ! –

Old par Gu. le 05 Juin 2003

ici »