
2Lazy
Le petit détail
« Grande prudence indispensable. Grande délicatesse, humilité, dignité feront réussir dans les petites choses. »

Jamais été aussi dingue d’un mec
Envie de rire
Envie de pleurer
Le diable est laché
à quoi bon tomber amoureuse ?
Mon coeur est défait
Reviens-moi
On le refera
Plus grand et plus chaud
On le refera
Charmant et très beau
On le tissera,
Secret et doré
Il y aura de la place pour deux
Un chant sacré et mystérieux
S’y élèvera doucement
Tu me prendras dans tes bras
Et nous resterons ainsi
Heureux pour toujours
Bien à l’abri dans ma poitrine
Veux tu partager mon rêve ?
Les plus mauvais aphorismes du monde (deuxième partie)
Le mauvais mari est comme le manchot de l’hémisphère sud : il trébuche quand tout va bien, et il lui pousse des ailes quand il a la tête dans l’eau.
Laurent Iglo
AujOurd’hui
Je m’apprète à quitter la salle des prOfesseurs
Hier
J’ai bien failli y passer la nuit d’ailleurs
La cOnnexiOn ici est bOnne
La cOnjOncture pas vraiment
J’ai finalement regagné mes appartements
De fOnctiOnnaire
Il devait être 23h00
J’avais Oublié cette dOuche 5*- luxe
Paramétrage température et pressiOn SVP!
J’ai rencontré le patrOnyme
De mes nOuveaux élèves
Certains m’ont faite sOurire
Tels « Pompom » et « Colladent »
Leurs visages attendrOnt encOre quelques jOurs
pOur l’heure 14h09
Je m’égare dans un piège fantasmatique
Mes obsessiOns restent fantOmatiques
Je vais plier bagages
Quitter Jeanette Verdier
cOmpOster mOn billet
Rentrer
(…)
[admitted]Fact : Les amis de mes amis sont mes amis
[counter]Fact : Mes amis sont tous des disruptions clonées de moi même
Les amis de mes amis sont tous des propagation de cette mutation. Ils sont des clones de mes amis.
Atmosphère colorée, relents électroniques, tout le monde se connaît déjà et ceux qu’on ne connaît pas on sait déjà comment ils sont. Virevoltage savant et repérage de la personne la plus enduite du désir de tous. Je suis l’image la plus enduite de désirs. Tu viens vers moi. J’apparais déjà sur les écrans placés derrière mon dos et tu regardes fasciné, tu ne sais déjà plus laquelle choisir. Moi non plus je ne sais plus laquelle choisir. Je souris, j’ai les joues roses je bois je fume je fais des clins d’oeil au loin on vient me saluer tout le monde me connaît ou tout le monde croit me connaître. Notre singularité s’étale en flaques de couleurs, je suis enrobée dans la tienne et la mienne te touche. Je fume ma dernière cigarette je grimace un peu tu t’éloignes vers les télévisions derrière moi. Revient la chimère de cet univers pixélisé elle est projetée elle est multipliée en images. Elle correspond au format de ton écran. Tu me parles soudain comme à un produit type qui serait la moyenne de toutes ces poupées en 3D. Superficiel (toi). Artificielle (moi). Tu me passes au-dessus!
genre je suis une photo
– bonjour, je suis une photo
– ah…
– oué, un jpg
– c’est cool…. tu suces ?
– euh… oué en 72 dpi
– bah, alors, non….
c’est toi chéri ?

va sapere…
j’ai repensé à cette histoire de FdM.
et c’est toujours la même question qui revient…
– Bon, tu vas quand même pas faire du gonzo-journalisme sur Tourgueniev ?
– Il a raison. C’est d’un commun.
– Oui mais c’est pas du gonzo. Je ne donne aucun nom. Juste des initiales. Les personnages réels se désincarnent et deviennent anonymes, presque imaginaires ; ça pourrait être de la fiction.
– En même temps, l’anonymat c’est très tendance en ce moment. C’est même déjà un peu surfait.
– Il a raison. C’est d’un commun.
– Oui mais de toutes façons, anonymat ou pas, je parle toujours de moi quand j’écris. C’est comme les pseudos, c’est toujours un faux anonymat.
– Ah bravo, bonjour le nombrilisme…
– Il a raison. C’est d’un commun.
– Oui mais non. Historiquement, le nombrilisme est d’essence tourguéniste.
– Exact. De nombreuses études l’ont prouvé.
The sand of the desert of Yondo is not as the sand of other deserts; for Yondo lies nearest of all to the world’s rim; and strange winds, blowing from a pit no astronomer may hope to fathom, have sown its ruinous fields with the gray dust of corroding planets, the black ashes of extinguished suns. The dark, orblike mountains which rise from its wrinkled and pitted plain are not all its own, for some are fallen asteroids half-buried in that abysmal sand. Things have crept in from nether space, whose incursion is forbid by the gods of all proper and well-ordered lands; but there are no such gods in Yondo, where live the hoary genii of stars abolished and decrepit demons left homeless by the destruction of antiquated hells.
…
intime (again)
ce matin
métro
en face de
moi, une femme
énorme
au regard si
doux
et apaisant que
je me suis levé
pour me mettre à coté
d’elle
et que
j’ai posé
ma tête sur son sein
gauche et
c’était si serein
et chaud que je
m’y suis perdu
durant plusieurs
stations, plus tard
ici, à Malakoff, je
repense à cette femme
qui se nommait
Marcus et avait 23
ans. je ne sais pas
si je pourrai l’oublier
un jour. là je me frotte
le dos avec un crayon
et donc je tape moins
vite.
intime (stop)
…
Autologie.
(Avant de déjeuner.)
Bizarre.
Pourquoi n’ai-je toujours
pas développé
les dix films noir & blanc des
dix dernières semaines
de ma vie ?
Nuit.
Malgré un demi stilnox, insomnies.
Projets démentiels.
« Chère A. je m’en vais écrire
un monologue pour ta voix, ton corps. »
Matin.
Et les obligations m’obligent à ajourner
mes travaux.
Musique.
Retrouvé un morceau d’enfance
(Concerto pour la main gauche)
que j’avais découvert chez ma
grand-mère à Saint Malo.
Nuit.
Pour surmonter le temps, je retravaille
un texte qui s’appelle épreuve.
Mot.
Obstacle,
Difficulté,
Image, voilà que ce que l’épreuve contient.
Force.
Quelque chose de trop fort bat en moi continuellement
depuis quelques semaines, dois-je me mesurer
à cette énergie qui semble émaner
de nulle part ? Faut-il l’ignorer ? Est-ce une richesse ?
Fiction.
Et le photographe à décidé de déchirer
ses images, elles neutralisent le souvenir, l’apauvrit.
Réjouissances.
Mercoledi, diner prévu avec Arnaud Claas et sa femme
Laura.
Repentirs.
Détails sordides, je me souviens
d’un montage photographique que j’avais appelé
« L’intime est ignoble. »
Radio.
Entendu la semaine derniè chez Veinstein,
l’écrivain Pons, qui se plaint aussi de l’intime,
et que l’autobiographie n’est souvent qu’une autobiographie des
humeurs, qui sont off course d’affreuses choses.
Laporte.
Solutions : la biographie. Terme dont le sens est inversé
il ne s’agit pas d’écrire la vie, mais de suivre au plus prêt
la vie de l’écriture. Vie d’homme de côté.
Détour.
Je vais déjeuner.
|
rappel en rouge parfait bandé adoré Moi
je dis : assemblés assortis emmêlés je dis en remettre une couche vite |
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le récitant : comment choisir les auteurs pour la revue tourgueniste ?
Les larmes du pompier Fernand
Pièce en une scène à deux personnages au minimum
———————-
Fernand : un pompier, naif
Marie : la petite amie de Fernand
Ferdinand : le frêre de Fernand, riche
Freddy : le prof de yoga de Ferdinand, baba
Falbala : la copine d’Obélix
Idefix : un chien
———————-
Acte I – Scène 1
F. traverse la scène
F : Je cherche un feu..
Entrent F. et M.
M : Oh, F. comme je t’aime !
Entrent I. et F.
I : waf waf !
F : Oooooooom…
F : M. tu aimes ma nouvelle voiture rouge ?
M : Oh, F. comme je t’aime !
F : Et mon gros camion, tu l’aimes ?
M : Oh !
F : Je cherche un feu…
F : Et ma grande échelle, tu l’aimes ?
I : waf waf !
I. sort
un coup de feu et des jappements
F. entre avec un fusil et le cadavre de F.
F : J’aime pas qu’on touche aux arbres
F : Là je te rejoins complètement
M : Mais elle est morte
F et F en choeurs : NON, NON, ELLE N’EST PAS MORTE !!
M : Ah.
F : Que voilà une belle voiture rouge !
F : Merci…
F : Non je parlais de F. pas de toi…
M : J’avais compris
F : Ooooooom !
F épaule le fusil et tire
F : Arrrgh
F : ça t’apprendra à toucher à mon camion rouge.
F : Oooooooom
M : Il est bizarre le prof de yoga
F : Oui.
M : Oh, F. comme je t’aime !
F : Je sais.
Le rideau tombe, plusieurs coups de fusil, F sort de sous le rideau et se met à tirer sur le public en riant.
F : Je cherche un feu !
F retourne le fusil contre lui et se fait sauter la tète.
Il était incroyablement
beau et savant
et pour la première fois depuis longtemps
j’ai eu des scrupules
évidemment, j’allai le tuer quand même
mais en douceur,
en le regardant dans les yeux
pour qu’il comprenne que je le respecte
Et qu’en d’autres circonstances
on aurait pu être heureux
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quand tout le reste a été emporté par la bestialité |
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C’est grâce à une collaboration financière aussi régulière que fructueuse
que les familles Mobutu et Tourgueniev ont tissé ces liens affectifs si précieux
qui les unissent auourd’hui…
– Allo ?
– Bonjour, c’est ta grand mère
– Ca va ?
– BONJOUR.
– Oui, bonjour…
– Tu donnes pas beaucoup de nouvelles, hein.
– Ouais, tu sais, moi, la famille.
– Bon. Je reste pas longtemps parce que, hein, ton portable, ça coute cher.
– Tu fais comme tu veux…
– A part ça quelles sont les nouvelles ?
– Bah… comme d’ab, je taffe.
– C’est bien, ça, si tu as du travail. Bon, si tu veux de mes nouvelles tu appelles, hein !
– Oui, oui, bien sur.
– Bon, je te laisse, hein, parce que ton portable, ça coute cher, hein !
– Ok. Salut.
– Salut.

J’ai réussi à me glisser au bal
en me jouant des gardiens
avec une fausse invitation
—
de sous la table
à travers les plis de la nappe
je l’observe — elle danse
elle a mis sa belle robe rouge
ainsi c’est lui ce mystéreux amant
pour lequel elle m’abandonne
que peut-elle bien lui trouver
de spécial ?
Règle n°2 : du bon usage de la télépathie
Ne fais pas tant de bruit.
Tu dois te concentrer sur la bonne fréquence
T’y installer,
Et attendre que je te rejoigne.
Puis on essaiera d’établir le contact
Secrètement et silencieusement
Surtout ne t’impose pas
Il te reste une chance
Ne la rate pas
Paramaribo, 1982
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Igor Tourgueniev hante les rues de la capitale depuis déjà deux mois, ne restant que le moins possible dans la chambre miteuse de son hôtel près de la gare centrale. Ses prises sont de plus en plus rapprochées et ses déambulations de plus en plus aléatoires entre les « maisons » qu’il fréquente. Ses ongles et ses cheveux tombent depuis déjà deux semaines et il ne s’exprime plus que par bruits de bouche et jappements indistincts. Il bave et doit souvent voler pour pouvoir continuer à se fournir. Parfois dans son regard brille encore l’Aventure.
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jour 13
l’embryon de poulet continuait d’évoluer,
le traitement opéré semblait néanmoins avoir désorganisé son système d’orientation et de diffèrenciation,
on percevait en l’amplifiant le son de deux coeurs distincts,
l’un très lent et très fort
qui semblait imperturbable
et l’autre plus petit et sujet à de brusques accélérations
Boy you’ve got to prove
Your love to me, yeah
Get up on your feet, yeah
Step to the beat
Boy what will it be
hier soir
je marchais
au bord du canal
…
j’ai vu un chat flotteur
noyé dans l’eau sombre
j’ai vu un clochard gelé
attendre la fin
j’ai vu la brume opaque
se refermer derrière moi
je pleure car j’ai besoin de toi
je pleure car je te sens
je pleure car j’ai besoin de toi
je pleure car je tiens à toi
si seulement un bateau arrivait
ou seulement si quelqu’un venait
frapper à ma porte
ou seulement quelque chose
je pleure car j’ai besoin de toi
je pleure car j’ai besoin de toi
il souffrait depuis de longues années
d’une maladie étrange
chaque nuit,
le mal se concentrait
dans ses poumons
sous la forme
d’une pate visqueuse
si bien qu’au matin
il respirait avec peine
et devait chanter
pour libérer son corps
I.G.O.R.
je ne suis pas un avatar
je suis vrai
j’existe
je vais le prouver
et sur tes intestins
fumants
j’écrirai mon nom
G.R.I.S.H.K.A.
J’entends le son de milliers de fleurs qui s’ouvrent
aux frontières de mon champ de conscience
c’est merveilleux
Chez elle il y a des étoiles
par terre
en guise de poussière
ce qui est assez élégant
par contre il y a aussi
des moutons phosphorescents
au plafond
(c’est bien pratique pour les insomnies mais c’est quand même de moins bon goût…)
Avoir un pote tout noir nommé Georges…
Faire la conversation à une assemblée imaginaire…
Faire assez chaud pour ne prendre que son vélo…
Ne plus aller sous terre…
Dévaliser l’usine haribo…
Parler avec la musique et s’écouter soi-même…
Avoir envie de ne jamais avoir lu ce livre… pour le commencer à nouveau…
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« […] Nous arpentâmes tout au long, couloirs, corridors, grandes et petites salles… Nous nous arrêtions au surplus ici et là… pour regarder une vérole, une névrite, un petit quelque chose… Bien sûr, ils avaient des draps ces malades, des châlits de troupe, de la paillasse, mais quelle crasse ! … bon Dieu ! quels débris ! quel grandgousien chiot moisi… quelle gamme d’horreurs… quel sale entassement poisseux !… de cachectiques sournois… d’espions grabataires, d’asiates rances, tordus de haines peureuses… toutes les têtes du cauchemar, je veux dire les expressions de ces malades… les grimaces de tous ces visages, ce qui émanait de ces âmes, non de la pourriture bien sûr, viscérale ou visible, pour laquelle je n’éprouve, on le pense, aucune répulsion, et tout au contraire un réel intérêt. Cependant le mélange de tant de hideurs… c’est trop ! … Quelle fiente désespérée, quel prodigieux ramassis de puants guignols !… Quel cadre ! Quel égout ! … Quel accablement ! … Pas un coup de peinture sur les murs depuis Alexandre !… Des murs ?… du torchis en étoupe de fange ! Une sorte d’immense insistance dans le navrant, la désolation… J’ai vu pourtant bien des naufrages… des êtres… des choses… innombrables qui tombaient dans le grand limon… qui ne se débattaient même plus… que la misère et la crasse emportaient au noir sans férir… Mais je n’ai jamais ressenti d’étouffoir plus dégradant, plus écrasant, que cette abominable misère russe… Peut-être le bagne du Maroni offre-t-il de pareilles accablantes déchéances ?… Ce n’est pas sûr… Il faut le don… Souvent l’on s’est demandé après lecture des auteurs russes, je veux dire des auteurs de la grande période ( pas des larbins soviétiques), par exemple Dostoïewsky, Tchekov, même Poutchkine, d’où ils provenaient ces hommes avec leurs transes, comment ils tenaient à longueur d’oeuvre le ton de cette rumination délirante, funèbre ?… cet épileptisme policier, cette hantise du bouton de porte, cette détresse, cette rage, ce gémissement de chaussure qui prend l’eau, qui prendra l’eau éternellement, amplifié cosmique…
Ce prodige devient compréhensible, le sortilège s’explique sans peine après quelques jours de Russie… On conçoit parfaitement ce déchirement. ce suintement, cette dégoulinade douloureuse de toutes ces âmes, comme autant de niches pourries sur les os d’un chien famélique, battu, perclus, condamné. Banale question d’ambiance au fond… nul besoin de rien forcer, de fabriquer le trémolo. Tout est là !… devant les yeux, sous la main… Il rôde certainement tout autour de ces gens, malades ou valides, de ces maisons, de ces choses, de ce chaos d’atrocités, une fatalité encore mille fois plus écrasante, implacable et louche, plus démoniaque invraisemblablement, que tous les Dostoïevsky de la période libre et heureuse (en comparaison) n’auraient pu l’imaginer. Raskolnikoff ? mais pour les Russes c’est du Bouboule ! … ce damné doit leur paraître somme toute assez courant, assez vulgaire, aussi spontané, aussi fréquent, ordinaire, que Bouboule ! … Ils naissent ainsi. […] » Louis-Ferdinand Céline – « Bagatelles pour un massacre » |
Nomme moi,
je veux l’entendre de ta bouche
ce nom que je porte
comme une plaie
ou une courronne d’orties,
partout en l’entendant
les foules chuchotent,
mon ombre partout me précéde,
les mères cachent leurs enfants si j’approche,
on dit que de croiser mon regard porte malheur
et tous m’évitent
ose,
toi qui a brulé mon ame
NOMME MOI,
tu me dois au moins ça
après tout ce que j’ai fait pour toi
et ces années d’abnégation
passées à ton service
à te chérir
et te protéger
je préfere me donner la mort
que de rester ainsi dissimulé,
mon amour pour toi ne me le permet pas,
nul recoin obscur
ne peut resister à ce brasier !
NOMME MOI !
Produire des phrases comme on ferme des portes, pour dormir enfin.
(Ecrire pour atténuer le bruit du dehors.)
il faut bien le dire
dans la rue les
gateaux ne portent pas
de chaussures.
non.
pas lmes gateamux.
nrmo
plerg tre o.
ils demandent qui c’est toi chéri ?
ils posent la question, parfois
Contradiction que vous direz à moi: voici les gens dont l’ardeur si le ravir je le coeur. Voici les gens qui ont donné la femme, de corruption, dans son bon endroit la seconde. Voici les gens qui n’ont pas transformé à eux le planête en terre affligée, inhabitables. Voici les personnes sauvées par l’argent, la capacité, dépravation, par tous ces défauts qui nous ont métamorphosés dans les lubriques et les démons criminels. Voici les gens qui pourraient symboliser notre idéal comme décrit dans le livre des vertus et des révélations. Cependant, je suis apporté les croiser tous.les.jours dans un espace confiné, et il s’avère pour à moi que plus je les sers et moins je les souffre.
Pour la Catégorie Comédie, Trophée d’honneur de la rousse à la merguez

Dialogues (Extraits)
– Je crois que l’image ne peut pas oblitérer la réalité.
– Tu as raison, c’est la réalité qui oblitère l’Image.
Didier Feldman
PUNCTUM
Le nénu-phare sur tes mers placides
Que ma transparence supersonique
Caressera bientôt
La trouble tourbe passagère
Evase une fleur
Au rêve accolée
Puis le souffle cesse
En un lascif enlisement
Ile + brownie + Amour + cartons + go + insomnies + Amour

je suis content de cette journée de déménagement
et de ma soirée de la veille et de celle d’avant aussi
et puis celle de jeudi n’était pas mal non plus dans le genre
ce soir c’est un peu de repos pour ne pas mourir
ok il est tard quand même mais bon je vais me regarder
encore un ou deux épisodes ou me faire une ou deux parties
ou revoir Ong-bak, qui sait ?
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never post after midnight ?
































