No pain, no gain

A bas la tyrranie des petits pOis!

(…)

Old par Gu. le 08 Oct 2003

Very jOli (…)

lili

Old par Gu. le 18 Juin 2003

Matin pluie d’une aurore mêlée, c’est toute ma peau qui la voit.,

le récitant : je veux encore un peu de miel.

Old par igor le 23 Juin 2003

le récitant : ce jour, thème imposé, le jaune, le bleu et la rénovation de maisons en bois.

Old par igor le 15 Avr 2003

ce soir

un petit short

mes mains sur toi

ce soir

un doux sourire

tes mains sur moi

Old par igor le 10 Juin 2003

GARANCE, CE HEROS

Old par Gu. le 09 Avr 2003

À se voir trop souvent, nous sommes devenus des étrangers l’un pour l’autre.

le buzZ

artiStiK

n’eN

eSt-il

paS

mOinS

de la

publi(DUPLI)-cité

???

Old par Gu. le 04 Juin 2003

Suis un peu décalé ces jours-ci.

Old par Rodia le 07 Mai 2003

Tourgueniev vous parle de Spoke ce héros

Old par Gu. le 10 Mai 2003

« I Think »

I Think blood are really a huge problem
I Think birds are too much on my mind
I Think angels have got a lot to do with why the world sucks
But what can you do?

Like a fucking rain, beating down on me
Like a Pierre Bourdieu line, which won’t let go of my brain
Like Nicolaï’s ass, it is in my head
Blame it on Igor
Blame it on Igor
Blame it on Igor

I Think children are gonna drive us all crazy
And killers make me feel like a child
I Think cows will eventually be the downfall of civilization
But what can you do? I said what can you do?

Like a fucking rain, beating down on me
Like a Pierre Bourdieu line, which won’t let go of my brain
Like Nicolaï’s ass, it is in my head
Blame it on Igor
Blame it on Igor
Blame it on Igor

Like a fucking rain, beating down on me
Like Nicolaï’s smile, cruel and cold
Like Pierre Bourdieu’s ass, it is in my head
Blame it on Igor
Blame it on Igor
Blame it on Igor

The heart is the most important muscle in the body, pumping blood to every part of the body. In the UK each year, there are 270,000 heart attacks.

Old par igor le 14 Fév 2003


psst, hey, psst… mmm?

Le café : banqueroute de l’eau.

« Cliquez avec le bouton droit pour voir comment vous pouvez interagir avec cette personne. »

Everything but the boys
Extremely cool – Paup

Old par Nicolai le 04 Jan 2003

Old par Gu. le 19 Oct 2003

Le roi Midas a des oreilles d’ane

Old par M. Fox le 22 Avr 2003

– Alors, quel est ce détail qui cloche ?
– Les deux balles.
– De quoi parlez-vous ?
– Ne restons pas ici. Allons dîner.

Michael Connelly in Le poète
———————————————————-

Ce que j’aime dans ma poupée au cheveux qui poussent tout le temps
c’est que si on lui coupe les cheveux, ils repoussent.

Old par igor le 05 Mar 2003

Old par igor le 24 Nov 2003

[…] Un jour, donc, peu après notre premier anniversaire, j’ai été envahi d’un sentiment indicible, un malaise complètement inexplicable ; une sensation insupportable parce qu’indescriptible. Ce matin là nous prenions notre petit déjeuner, en toute simplicité, d’une façon que je qualifierai même de « banale ». A priori, aucune contingence extérieure visible n’était susceptible de perturber notre routine matinale. Juliette et moi échangions quelques propos tout à fait anodins en sirotant nos tasses de café, comme nous avions l’habitude de le faire à cette heure creuse de la journée. Et puis… je ne sais pas… cette impression bizarre est apparue ; d’abord latente, rampante, insidieuse, puis flagrante, presque tangible. En apparence Juliette était radieuse – elle me dit d’un ton enjoué et légèrement espiègle qu’elle avait décidé « d’être de bonne humeur aujourd’hui ». Elle n’en faisait pas trop non plus ; elle se contentait de me sourire discrètement, et prenait soin de me parler doucement, respectueuse de cette torpeur matinale qui m’afflige quotidiennement. Mais quelque chose en elle avait changé. […]

Après tout j’en ai rien à foutre de la Langue Française.

La crevette d’acier

Musiciens, chanteurs et comédiens à la fois, menés de main de maître par un metteur en scène ingénieux, Antoine Scotto, La crevette d’acier surprend en permanence et nous présente un spectacle tout public d’une rare finesse. À ne manquer sous aucun prétexte.

Old par M. Fox le 08 Mar 2003

tu ne t’appartiens plus,

désolé

Old par M. Fox le 03 Mar 2003

Paris (9)

Assis sur une table de café je regarde
aimablement une jeune femme, j’attends A. ce qui
me laisse le temps de révasser face à elle ;
mon amie arrive (A.), et obstrue la vue ; beaucoup bu de
bières,je me dirige vers les toilettes, en évitant la table
de la jeune femme car je suis timide, j’en sors, je me lave
les mains et trouve que mon visage est fatigué
la porte s’ouvre, je reconnais l’inconnue qui s’excuse et me demande
du tac au tac si on peut se revoir, je suis timide, je bafouille, dis oui
pourquoi pas, mais comme elle semble plus âgée que moi,
et plus grande surtout, je tremblote, et finalement la voilà
qui me tend un papier où est écrit son téléphone,
elle s’appelle (non je ne dirai pas son nom) on s’appelle ?
Oui darling mais je pars dans le Limousin, ciao, ciao,
pourquoi ce retour de l’audace
dans un paysage de vie si aride ?

caramba!

allez, encore un petit verre pour la route

tant pis si cette histoire

se noie dans le vomi.

adieu, et sans rancune!

(il n’y a rien a oublier)

tétard

tOnight

dracula 73

rires

fOOt (? ; ?)

1664

j’embrasse pas

bavarOis

pansements

pastèque

pOlux

cÔne

pluie

papOtte

(…)

Old par Gu. le 18 Août 2003

{Refrain:}
06 61 63 58 84

Old par Gu. le 12 Juin 2003

l’ogre est à Paris, la créature a un an, rien ne bouge et poivrons verts.
Old par igor le 23 Juin 2003

Mascarade

Quand tu es près de moi,
Cette sauce béchamel n’a plus de tibias,
Mais des chips au vinaigre oui,
des chars d’assaut infinis,
Et quand tu es tellement près de moi,
C’est comme si ce pantin en bois,
Il n’existait plus,
je vois le tableau de bord penché sur nous…
qui restons ainsi,
Abandonnés tout comme si,
Il n’y avait plus rien,
non plus rien d’autre au barbecue,
J’entends l’harmonica…
mais on dirait un vol long-courrier,
Qui chante pour toi et pour moi,
Là-haut dans le calumet infini,
Et pour toi, et pour moi.

Old par igor le 19 Nov 2003

Illusions d’un passé perdu
Danse, chante
Tourbillon, derviches sous acides
T’oublier, enfin
Emporté dans le flot des tissus cramoisis
Enivres toi d’elles
Senteurs, simples moments de rien, de tout
Sérénité, désillustrer la logique
Se sentir soi ; être pour jamais les autres
Etre…

Old par Rodia le 28 Jan 2003

Minuit pile

je suis en onde courte ce soir

Old par igor le 19 Déc 2003

Paradigme artificiel

Every time i think of you

I feel shot right through with a bolt of blue

It’s no problem of mine but it’s a problem I find

Living a life that I can’t leave behind

There’s no sense in telling me

The wisdom of a fool won’t set you free

But that’s the way that it goes

And it’s what nobody knows

While every day my confusion grows

Every time I see you falling

I get down on my knees and pray

I’m waiting for that final moment

You’ll say the words that I can’t say

New Order – Brotherhood

L’univers

est factice

Il tourne sur lui-meme

pour avoir l’impression d’exister

Il est faux,

lache et envieux

Je le déteste

Old par M. Fox le 31 Mai 2003

cariboO’s rOad

Old par Gu. le 08 Déc 2003


Old par Gu. le 21 Juil 2003

Rothschild

Les mycoses et syphilis
Ont poussé dans ton vagin
Où dort le psoriasis
Entre ton con et tes deux seins

Y vient aussi nos concombres
Que la nuit débandera
Ton anus qui les rend sombres
Avec eux s’élargira

L’abondance des eaux vives
Laisse couler l’or laiteux
Laisse il faut que tu poursuives
Le concombre que tu veux

Regards croisés
Jambes emmêlées
Je m’suis vautré
Place St Sulpice
J’ai vu vos cuisses
Et espéré
Que ça n’ finisse
Coordonnées
06 61 63 58 84

Le juste retour de soi aux choses, plutôt.

Tu me montres ta chatte ?
Elle est poilue dis donc.
Et tes seins ?
Qu’est ce qu’il sont gros.
On t’a déja fait un fist fucking ?
C’est marrant tu vas voir.
Et ton camion ? Il a passé le controle technique ?

Old par Rodia le 02 Mar 2003

Minuit pile

Old par igor le 05 Oct 2003

Airhole Vs Antanagor Glouk

Old par igor le 16 Avr 2003


Old par Gu. le 23 Juil 2003

on passe sa vie à courir dans une foret pétrifiée

puis un jour on se change en pierre

et on oublie la foret

Old par M. Fox le 19 Mar 2003

nourrir peau-d’âne?

des milliers de petites ailes fêtent la vie
et jubilent sous le soleil

le chant des grenouilles
emplit l’air,

ça et là des couples se forment
et se défont

un rongeur surgit de notre bosquet d’orties favori,
sa truffe goutte le parfum des herbes douces

je t’invite à danser,
tu souris et acceptes en riant

nous tournons,
encore et encore,
sous le soleil printanier

tu glisses
et je te retiens,
nous roulons dans l’herbe,

sans fin

Old par M. Fox le 02 Mai 2003

« […] Nous arpentâmes tout au long, couloirs, corridors, grandes et petites salles… Nous nous arrêtions au surplus ici et là… pour regarder une vérole, une névrite, un petit quelque chose… Bien sûr, ils avaient des draps ces malades, des châlits de troupe, de la paillasse, mais quelle crasse ! … bon Dieu ! quels débris ! quel grandgousien chiot moisi… quelle gamme d’horreurs… quel sale entassement poisseux !… de cachectiques sournois… d’espions grabataires, d’asiates rances, tordus de haines peureuses… toutes les têtes du cauchemar, je veux dire les expressions de ces malades… les grimaces de tous ces visages, ce qui émanait de ces âmes, non de la pourriture bien sûr, viscérale ou visible, pour laquelle je n’éprouve, on le pense, aucune répulsion, et tout au contraire un réel intérêt. Cependant le mélange de tant de hideurs… c’est trop ! … Quelle fiente désespérée, quel prodigieux ramassis de puants guignols !… Quel cadre ! Quel égout ! … Quel accablement ! … Pas un coup de peinture sur les murs depuis Alexandre !… Des murs ?… du torchis en étoupe de fange ! Une sorte d’immense insistance dans le navrant, la désolation… J’ai vu pourtant bien des naufrages… des êtres… des choses… innombrables qui tombaient dans le grand limon… qui ne se débattaient même plus… que la misère et la crasse emportaient au noir sans férir… Mais je n’ai jamais ressenti d’étouffoir plus dégradant, plus écrasant, que cette abominable misère russe… Peut-être le bagne du Maroni offre-t-il de pareilles accablantes déchéances ?… Ce n’est pas sûr… Il faut le don… Souvent l’on s’est demandé après lecture des auteurs russes, je veux dire des auteurs de la grande période ( pas des larbins soviétiques), par exemple Dostoïewsky, Tchekov, même Poutchkine, d’où ils provenaient ces hommes avec leurs transes, comment ils tenaient à longueur d’oeuvre le ton de cette rumination délirante, funèbre ?… cet épileptisme policier, cette hantise du bouton de porte, cette détresse, cette rage, ce gémissement de chaussure qui prend l’eau, qui prendra l’eau éternellement, amplifié cosmique…

Ce prodige devient compréhensible, le sortilège s’explique sans peine après quelques jours de Russie… On conçoit parfaitement ce déchirement. ce suintement, cette dégoulinade douloureuse de toutes ces âmes, comme autant de niches pourries sur les os d’un chien famélique, battu, perclus, condamné.

Banale question d’ambiance au fond… nul besoin de rien forcer, de fabriquer le trémolo. Tout est là !… devant les yeux, sous la main… Il rôde certainement tout autour de ces gens, malades ou valides, de ces maisons, de ces choses, de ce chaos d’atrocités, une fatalité encore mille fois plus écrasante, implacable et louche, plus démoniaque invraisemblablement, que tous les Dostoïevsky de la période libre et heureuse (en comparaison) n’auraient pu l’imaginer.

Raskolnikoff ? mais pour les Russes c’est du Bouboule ! … ce damné doit leur paraître somme toute assez courant, assez vulgaire, aussi spontané, aussi fréquent, ordinaire, que Bouboule ! … Ils naissent ainsi. […] »

Louis-Ferdinand Céline – « Bagatelles pour un massacre »

Old par Rodia le 14 Avr 2003

She was a heavy, strong, blunt-bowed affair, awakening the ideas of primitive solidity, like the wooden plough of our forefathers. And there were, about her, other suggestions of a rustic and homely nature. The extraordinary timber projections which I have seen in no other vessel made her square stern resemble the tail end of a miller’s waggon. But the four stern ports of her cabin, glazed with six little greenish panes each, and framed in wooden sashes painted brown, might have been the windows of a cottage in the country. The tiny white curtains and the greenery of flower pots behind the glass completed the resemblance. On one or two occasions when passing under stern I had detected from my boat a round arm in the act of tilting a watering pot, and the bowed sleek head of a maiden whom I shall always call niece, because as a matter of fact I’ve never heard her name, for all my intimacy with the family.

Old par fbwn le 08 Jan 2003

Coque de béton vif-argent qui protège mon coeur,

j’ai perdu les codes d’accès

je te veux

pour le meilleur et pour le pire

comme administrateur de mon réseau

on va tout recommencer

pour le meilleur et pour le pire

encore et encore

Old par M. Fox le 28 Déc 2003

I’m a broken doll

le récitant : CHIHUAHUA !!                          kill DJ BoBo

Old par igor le 29 Juil 2003

Récemment les types louches qui traînent ne me font plus peur.

« – Je sais pas… dois-je penser ?
– Ben comme tu peux pas t’arrêter….
– Autant accompagner les mouvement ?
– Comme un vélo dans une pente… »

Old par -- Zan le 12 Avr 2003

Souris-moi !

une blague facile :
tu prends une bouteille en verre
genre valstar
tu la mets dans un sac de toile
sale si possible (graisse et/ou essence)
tu poses le sac par terre fermé
tu le frappes plusieurs fois avec un marteau
la bouteille se brise
il faut frapper jusqu’à faire de petits bouts
ensuite tu ouvres le sac
et tu récupères les morceaux de verre
dans un grand bol
sur le bol tu verses un mélanges terre-poussière-sable
tu touilles et tu laisses reposer
tu prend un gros savon cubique (de marseille) de couleur ambre
tu le coupes en deux avec une lame
tu fais ta coupe de manière à avoir un gros bout et un petit
le petit est « le couvercle »
tu évides l’intérieur en gardant une épaisseur assez grande
afin de garder le savon assez solide
tu ajoutes à ton mélange de verre des morceaux de lames de rasoirs
et une lame de cutter (ou deux)
tu re-mélanges
tu verses dessus du savon noir
tu re-touilles
tu fais couler ton mélange à l’interieur du gros bout de savon évidé
tu en fais entrer un maximum
mais sans abimer le savon lui même
tu remets « le couvercle »
tu humidifies l’exterieur du savon afin de ressouder les deux moitiés
tu poses à coté de ta baignoire
tu retires tout les autres savons
tu invites des amis à venir dormir à la maison
le rire est assuré

Old par igor le 13 Jan 2003

Old par DrT le 15 Avr 2003

Parole vaine du héros

« Je me suis perdu plusieurs fois dans le corps des femmes.
J’y ai laissé des mèches de cheveux, des livres
dans leurs chambres, des photos collés/offertes sur les glaces
des salles de bains, dans lesquelles j’étais fier (sometimes)
de me trouver beau, la femme attendait blottie dans un lit froid.
Ce que je suis : sans ressemblance avec mon image : embrasser une
femme c’est comme passer de l’autre coté de moi-meme ; c’est
pourquoi j’ai avoué à G. que le risque du baiser (le premier)
est toujours une épreuve. Si par lui je coincide avec mon image,
je me laisse oublier, je me laisser regarder, j’aime et je peux etre aimé. »

« Tu veux que je te fesse ? » I.T.

Old par Rodia le 07 Avr 2003

I fell good

craché par  » i don’t know who yu’re » edited by Gü.

Old par Gu. le 05 Nov 2003


J’ai mis de l’ordre dans mon p’tit univers
Les étoiles sont de retour, à leur vraie place
Les fleurs maladives de Des Esseintes sont allées se coucher
Grand bien leur fasse
Nous sommes tranquilles maintenant!

Ma tête tourne un peu quand même


...seul...

Old par Nicolai le 16 Avr 2003

Je ferais mieux de changer de coiffure, non ?

ça me va pas cette coupe, hein ?

Rien à voir

et ça se poursuit dans une folle allégresse…

et je vais me gondoler à un point

   que vous ne pouvez pas imaginer.

————————————

ce matin un lapin ?

Old par igor le 18 Oct 2003

Petite chose,
Maintenant,
Lache-toi et mets-toi à l’écoute de mon plaisir
Tu sentiras le moment…
Ici et là
Ici ou là

la fille de mitterrand
en babouches
à oberkampf
je l’ai reconnu
seulement après
avoir maté son cul
pendant 40 minutes
son copain
aux chiottes
expectore
avec fracas
chose que françois
n’aurait sans doute
pas cautionné

je cherche un PC :

« Chez Abit les cartes NF7S sont compatibles avec l’Athlon XP 3200 à partir de la révision 1.2 du PCB sous réserve que le BIOS 1.8 soit installé ce que nous avons pu vérifier durant nos tests, hélas la stabilité n’était pas au rendez-vous. Du côté de chez Asus, les diverses versions de l’A7N8X sont compatibles avec le FSB400 à partir de la révision 1.04 du PCB et à condition d’utiliser le BIOS 1004.002. MSI nous indique de son côté que la K7N2G ne supporte pas le FSB400… »

et c’est pas gagné…

Leica

C’est une automobile fort cylindre sur les extérieurs

Le personnage principal de l’action

Plusieurs billets en poche

Son ventre frôle le volant

Faible allure de l’automobile et du personnage

Principal : c’est lui qui se détermine comme tel

Et répétitif : soirée en tous points fidèle

Malgré l’allure générale des filles

Qui change, c’est le personnage principal qui parle

Seul dans son fort cylindre de marque allemande

C’est un aspect essentiel qu’il se répète

Qu’il se répète que la nationalité allemande captive les filles

Que leur allure générale demeure secondaire, c’est à dire,

Du détail à l’ensemble :

Les différentes nylons qui les habillent

Et le taux de malaise et d’hypnose qu’elles recèlent

En présence : taux extrême.

C’est pour cette raison qu’il roule par répétition sur les extérieurs

En éclairant les filles avec ses phares

Une lampe torche en secours

Une lampe torche en secours pour éclairer les filles

Lorsque l’automobile fort cylindre passe à leur hauteur.

Détailler sommairement, ralentir, puis lampe torche

Un temps, le temps de : pas ce soir, désolé

Il ne sait pas s’il est plus ou moins

Plutôt moins de façon générale

Désolé qu’elle

Désolé qu’elle reste et que l’automobile passe en gommant les détails aussi vite.

Le personnage principal des cylindres avoue

Une préférence pour les détails observés chez les filles

Observées sur les extérieurs quand il y roule de nuit

Roues et pneus larges.

Baisser la vitre de son automobile de marque allemande

Et parcourir des détails en espérant

Baisser la vitre, baisser la vitre maintenant,

Baisser son slip et imprimer les détails

En espérant qu’ils s’impriment assez profondément pour tenir une semaine.

Semaine de 1 à 7 jours

Ce n’est pas indifférent

A la différence des filles

Indifférence : à l’automobile, sa nationalité d’origine et son propriétaire

Automobile allemande

Filles de l’Est

Que le personnage principal détaille

A la lumière et par ordre de préférence inverse :

Des phares de l’automobile

De la lampe torche

De l’éclairage public lorsque les filles s’avancent

De l’hypnose sexuelle consécutive.

Ventre au volant le propriétaire constate

Que depuis quelques temps son ventre gène sa conduite

Et qu’il est plus que possible

Que l’hypnose accentue le détail

Et non l’inverse.

On constate que l’action atteint un grade supérieur

Secondaire dirait le personnage principal

A hauteur de la porte d’Asnières

On devine

Que l’action cesse d’être répétitive et en tous points fidèle

C’est la fille la première

Le conducteur se le répète pour ne pas repartir

Les mains pleines et les couilles vides

Qui approchent

La première approche et les autres reculent

A la première approche il s’agit,

En fonction des positions respectives, de :

Zoomer sa cible, allumer la lampe torche,

Se choisir un prénom pour la nuit se terminant

Par un A ou un I.

Dégrafer sa ceinture

De sécurité passer en conditionnel.

Paris est une ville à solide rotation

Où l’action n’est plus répétitive à l’instant

Où les automobiles s’arrêtent pour rentrer

Dans le vif du détail

En présence : accents indistincts

Et indistinction de couleur naturelle sous perruque

Prénom pour la nuit : kelly

[ Kelly n’est qu’un leurre mais le propriétaire de l’automobile ne le sait pas encore ]

Il y a un moment de flottement correspondant

A l’espace compris entre l’automobile à l’arrêt et Kelly.

Baisser la vitre, baisser la vitre maintenant

L’action est quasiment réelle sous une perruque brune

Où plus exactement :

De fabrication sombre

Qui s’encadre dans la fenêtre droite de l’automobile

De sorte que le personnage principal de l’action

Perd le sens du détail au moment

Où Kelly dévisage celui du personnage principal, à savoir :

Son visage à travers le téléobjectif de l’appareil

Et ça n’est pas un détail

Que Kelly utilise un appareil photo d’Ex-Allemagne de l’Est

Que Kelly soit une pute ou un leurre

Qu’une pute photographe de nuit tire le portrait au conducteur de l’auto

Flash pleine face

Pour ensuite le coller en milliers d’exemplaires

Sur les murs de la ville

Qui travaille.

Old par felix le 12 Oct 2003

je te lèche tes flancs de murène froide
tu es ma torpille favorite
mon épave
ma pochette surprise
laisse-moi te marabouter encore
s’il te plait
petit bout de geisha cartomancienne

Old par -- Zan le 22 Jan 2003

J’aurais eu envie
d’être un loup
pour le style
un lion
pour la force
un toucan
pour les couleurs

mais je suis une grenouille
l’avantage c’est qu’on peut passer dans les conduits
pour aller visiter
les jeunes filles la nuit
et (avec un peu de tchatche pendant qu’elles sont à moitié endormies, on peut tenter de) se faire passer pour le prince charmant

(et puis pour les couleurs on peut s’arranger)

Old par -- Zan le 07 Avr 2003

J’ai sondé ton avenir, tu sais

je n’y ai vu que des Mouches

Old par M. Fox le 08 Sep 2003

elle ne voit pas.

Old par M. Fox le 17 Jan 2003


« … je vais me livrer à la police, c’est mieux ainsi…
ou alors me suicider ? »

Old par igor le 12 Mar 2003

jeunesse

lotus, ctgr - fous (Photos ArnO Feret, lotus)

Old par Gu. le 05 Juin 2003

Shioran: bon allez, je retourne à mon ménage
Shioran: je sèche le boulot pour laver chez moi
Igor: bon ménage
Igor: pas malin ça
Igor: mais utile
Shioran: ya mon proprio qui fait une visite surprise demain, j’ai pas le choix
Igor: range les bouteilles de whisky
Shioran: pté, t’imagines meme pas
Igor: surprise demain
Igor: sacrée surprise
Igor: fait une photo
Shioran: quelle merde…. je suis vert
Igor: avant après
Shioran: j’ai les mains martysrisés par le travail manuel
Shioran: et rongées par l’eau de javel
Igor: ça fait du bien
Igor: tu deviens technicien
Igor: de surface
Shioran: c’est l’horreur
Shioran: dans mes chiottes ya des plaques de calcaire épaisses de 1 cm au moins
Shioran: dans mon nouvel appart, j’embauche une femme de ménage, c’est décidé
Shioran: rien à foutre si j’ai pas les moyens
Shioran: je veux bien bouffer des patates et pas faire le ménage
Igor: héhé
Igor: moi mon chat perd tellement ses poils
Igor: que j’ai toujours l’impression
Shioran: (c’est le printemps, c’est normal)
Igor: qu’ils sont plusieurs
Igor: (il parait)
Shioran: vivi
Shioran: le mien reprend sa toison estivale aussi
Shioran: et elle ressort ses bikini
Igor: faudrait que j’opère le mien mais j’ai pas une tune
Igor: et je souffre du syndrome
Shioran: ah oué, c’est cher
Igor: si je coupe mon chat
Igor: j’me la coupe à moi surment
Shioran: c’est un mâle ?
Igor: oué
Igor: white trash
Shioran: ah oué, moi j’ai pas eu ce probleme là , vu qu’aux dernières nouvelles, j’ai pas d’ovaires.

Old par Gu. le 06 Juin 2003

« Soit elle ne clignait pas des yeux, soit elle clignait des yeux quand je clignais des yeux ».

Old par Chryde le 09 Juil 2003

Amour…

Maladie textuellement transmissible ?

Bientôt la corde !

Old par Rodia le 04 Jan 2003

Un roi se doit d’etre toujours délicatement parfumé et admirablement vétu

car à toute heure du jour et de la nuit,

Quel passage en nos palais !

Old par M. Fox le 03 Sep 2003

On s’est aimé

Sous le couvert des fleurs

Les oiseaux, complices

Chantaient pour étouffer nos cris et nos rires

Le soleil jouait sur ta peau

Tu étais si beau

De ces journées magiques

Je n’ai gardé que des souvenirs

Et quelques regrets

Souviens-toi toujours de ces moments-là

De nos oeillades et de nos baisers exquis,

De nos égarements divins,

De notre union parfaite,

De notre deux rendu un

Pour toujours se trouvent en moi

Ton gout, ton odeur,

La caresse de tes doigts fins,

Tes demi-sourires lorsque vient le plaisir

Ta façon de gémir,

Je me souviens de tout

Et lorsqu’un visage

Ou un éclat de rire

Ravive ces souvenirs,

C’est du feu qui envahit mon ame,

Une éruption de toi,

Une explosion de nous

Dont les cendres embrasent l’espace tout entier

Je t’ai aimé,

Ne m’oublie jamais,

Garde de nous ces quelques moments parfaits

Oublie les disputes

La jalousie

La haine lorsque j’étais bourré

Ces coups,

Je t’aime, Je t’aime

Pour toujours je chéris ton nom

Et ton ame si belle, mon ange

J’en garde pour toujours un petit bout en moi

Tu ne m’as pas vraiment quitté

Et peut etre qu’un jour

Tu reviendras des étoiles

Ou peut etre que tu m’attendras

Lorsque j’irai moi aussi

Je t’aime tellement

Pense à la joie de se retrouver

Ensemble, l’un contre l’autre,

Toi l’ange, moi le poète, notre chant sera si beau

Je pleure souvent en guettant ce moment,

Nos retrouvailles

Je pleure tellement

Chaque porte qui s’ouvre est ma torture

Derrière chaque fenètre je t’imagine,

Si fier, caché, me punissant de ma dernière colère

Oh, Pardonne-moi

Je t’aime tellement

Pardonne-moi

Old par M. Fox le 09 Sep 2003

j’avais rendez vous à l’agence nationale pour l’exploit ce matin,

ils m’ont proposé un poste de petit robot, je n’ai pas très bien compris

alors j’ai mis les voiles,
pour rejoindre la mer
la Suisse
et les oreillers

comme on me l’a conseillé

Old par M. Fox le 03 Fév 2003

Allez hop, un nectar de poire pour qui s’en soucie trop:
un petit verre d’espoir …


Il pleure sur l’asphalte…
L’oeil dans le ciel de K.Dick?

Old par Gu. le 12 Mar 2003

ton pied - mon pied
é » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » »erdhny         <--- chat sur le clavier

mon pied, le droit, en rouge, rappel, maladroit, de tes rouges, si parfaits, petits pieds, bandés, adorés.

Old par igor le 22 Juil 2003

Genocide muet

Liberia – Etats Unis

Quelques étoiles de moins et tant d’indifférence.

\c/to\i/ch\éri/?

le peintre devenait de plus en plus sourd, inéxorablement

Old par M. Fox le 03 Fév 2003

Si tu peux supporter d’entendre tes paroles
Travesties par des gueux pour exciter des sots,
Et d’entendre mentir sur toi leurs bouches folles
Sans mentir toi-même d’un mot;

Ah… On a pas changé de voiture ?

Laisse moi kiffer la vibe avec mon mec

J’ai pas de temps à perdre dans tes prises de tête

Pourquoi tu m’observes?

Pourquoi tu me regardes?

Tu veux mon mec ou quoi?

J’te mets en garde

Bon touche pas ça

Baisse les yeux

T’as cru qu’tavais du style dans ton peau de pêche bleu

Les meufs j’ai le même

On a toutes le même

Car on va toutes se ruiner chez H & M

J’sais qu’ch’suis pas une bombe latine

Ni j’sais qu’ch’suis une blonde platine

J’sais qu’tu veux pas que j’t’égratine

Tu galère bah viens que j’te présente le dj derrière les platines

J’sais qu’ch’suis pas une bombe latine

Ni une blonde platine dj (x2)

Old par igor le 12 Oct 2003

Want to see my pussy ?

que se passerai-t-il si on découvrait que Hansel et Gretel n’étaient pas uniquement soeur et frêre, mais aussi amants?
que dirons les Authorités Contiques lorsque tout le monde saura que leur position favorite était la levrette?

Si tu peux être amant sans être fou d’amour,
Si tu peux être fort sans cesser d’être tendre
Et, te sentant haï, sans haïr à ton tour,
Pourtant lutter et te défendre;

Etrangement agréable…
Je tremble
Je n’ai pas froid
Le sommeil me manque
Pas la quiétude
Enfin si parfois
S’activer…
Grande journée numérique…
Aucune certitude…

Old par Gu. le 17 Mai 2003

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