Old par Gu. le 25 Mai 2003

Hé toi, je t’appelerais, l’oublie pas ! Et si tu répond pas, alors… ben… tant pis pour ta gueule…

Old par Rodia le 05 Fév 2003

« Rien c’est rien. Trois fois rien c’est déjà quelquechose » R.D.

Ghost in the Strange…

Old par Gu. le 06 Mai 2003

TH² is SCREAMING : AURORE JE T’aIME !! (et c’est beau).

Old par igor le 13 Jan 2003

j’aime te frapper, te tordre et t’entendre gémir

Old par M. Fox le 10 Mar 2003

7h37 pile



Vers 17 heures, au cours d’un combat aérien mettant aux prises plusieurs avions français et allemands, un avion allemand, après avoir échangé quelques bandes de mitrailleuses et quelques coups de canon, tombe, prend feu et explose à proximité de Sacy. Son pilote descend en parachute. Le combat a été suivi par le capitaine Giron du 111/195 et le lieutenant Vaux de l’état-major du régiment. Ces deux officiers s’élancent aussitôt à la recherche de l’aviateur. Giron est suivi d’un civil. L’aviateur allemand cherche d’abord à se cacher dans les blés très hauts à cette époque. Puis se croyant cerné, se constitue prisonnier et rend son pistolet automatique. C’est un grand jeune homme brun, vêtu d’une chemise bleue à manches courtes et d’une culotte grise et de bottes noires.
Old par igor le 12 Déc 2003

bon,
ok, la paix universelle
n’est pas possible,
ni même souhaitable,
sûrement, mais parfois,
les dommages collatéraux
des actes volontaires
me laissent un peu fébrile
et perturbé.
cela étant dit, je vais,
en bon bloggeur de base,
vous raconter ma matinée.
ce matin donc…

Old par igor le 10 Avr 2003

reward
LEILA

Old par felix le 14 Mai 2003

le récitant : exclusif, le corps décapité de la mariée gigotait encore une heure plus tard !!

Old par igor le 24 Fév 2003

Cet adorable minou

(non mais c’est vrai il est gentil…)

ne trouve pas de travail

pour délit de sale gueule…

Parlons-en à une certaine boîte d’interim

et surtout acceptons-le sur Tourgueniev SVP (…)

Old par Gu. le 16 Juin 2003

G enfin trouvé un petit nom sympa pour mon chat.
Je vais l’appeler « Phillipe »…
C’est extra, comme nom, pour un chat, non?
Phillippe le chat, tout ça…pis ça change de félix, hein?
Je pourrais dire aux copines de ma mêre: « non, phillipe n’est pas tatoué, il aime bien pas faire comme tout le monde,…, oui, cet été, en vacances sur la côte avec phillipe…, oui, phillipe et moi on est inséparables…on dors tout le temps chez moi…et pas une dispute, c’est un ange…mais il est trés indépendant, hein… »
mmm
Bon, c’est peut être pas une si bonne idée finalement…

Tu me baises bien, là, oui, comme je t’aime
Il n’y a que toi pour me baiser comme ça
Il n’y a qu’un toi, il n’y a qu’un moi
Il n’y a que toi pour me baiser comme ça
Il n’y a que moi pour être baisée comme ça par toi (…)

Old par Gu. le 30 Avr 2003

Old par Gu. le 01 Juil 2003

la fille de mitterrand
en babouches
à oberkampf
je l’ai reconnu
seulement après
avoir maté son cul
pendant 40 minutes
son copain
aux chiottes
expectore
avec fracas
chose que françois
n’aurait sans doute
pas cautionné

ParanOïd

ParanOïd

ParanOïd

ParanOïd

ParanOïd

ParanOïd

ParanOïd

ParanOïd

ParanOïd

ParanOïd

ParanOïd

ParanOïd

ParanOïd

ParanOïd

ParanOïd

(…)

Old par Gu. le 06 Juin 2003

le récitant : n’importe quoi…

Old par igor le 20 Nov 2003

Je suis cachée dans le premier a de la sixième ligne du cauchemar…

Old par Gu. le 30 Avr 2003

coucher de soleil vertical

Caché, cachotier, casque, cascadeur, casseur de hype, casse-pied, casse-dalle, cassis, caca, castagnette, calmant, couchée…

Il s’appellera Crépuscule, il me haïra de lui avoir donné ce nom en forme de croix à porter.

J’ai besoin de tes mains
Pour blottir ma bouche
Là, elle ne dit plus de conneries

J’ai besoin de tes mains
A pleins d’autres endroits
Qui ne connaissent que toi

J’ai besoin de tes mains
Pour proteger mon corp
Des tentations et des sorts

J’ai besoin de tes mains
pose les sur mes épaules
C’est mon cou que tu frôles

J’ai besoin de tes mains
Pour blottir mes mains

J’ai besoin de tes mains
Pour cacher ces trésors
Jusqu’a demain matin

Cornu

Old par igor le 10 Fév 2003

Je reviens de Florence—————-

he bien John Travolta n’a rien inventé…

Old par -- Zan le 04 Déc 2003

Les perles de verre se sont répandues à mes pieds
et inconsolable
d’avoir perdu
ce souvenir de toi,
je les contemple en pleurant

Je suis seul à nouveau, Ici
je laisse un peu de sable couler entre mes doigts,
en souvenir de nous

Old par M. Fox le 22 Avr 2003

Ma salive a le gout de ta peau

Et si je meurs ce soir

J’emporterais avec moi

Ta saveur intime,

Tes fluides douceatres

Et nos harmonies généreuses

Old par M. Fox le 03 Sep 2003

[…] Un jour, donc, peu après notre premier anniversaire, j’ai été envahi d’un sentiment indicible, un malaise complètement inexplicable ; une sensation insupportable parce qu’indescriptible. Ce matin là nous prenions notre petit déjeuner, en toute simplicité, d’une façon que je qualifierai même de « banale ». A priori, aucune contingence extérieure visible n’était susceptible de perturber notre routine matinale. Juliette et moi échangions quelques propos tout à fait anodins en sirotant nos tasses de café, comme nous avions l’habitude de le faire à cette heure creuse de la journée. Et puis… je ne sais pas… cette impression bizarre est apparue ; d’abord latente, rampante, insidieuse, puis flagrante, presque tangible. En apparence Juliette était radieuse – elle me dit d’un ton enjoué et légèrement espiègle qu’elle avait décidé « d’être de bonne humeur aujourd’hui ». Elle n’en faisait pas trop non plus ; elle se contentait de me sourire discrètement, et prenait soin de me parler doucement, respectueuse de cette torpeur matinale qui m’afflige quotidiennement. Mais quelque chose en elle avait changé. […]

En passant

Être une plaque sensible aux impressions

les plus variées, les développer

ou les racourcir. Restituer, inventer, parader,

triompher, chuter — voilà grosso modo

le sens (provisoire) que je donne à l’autologie.

   <-- 
   je ne suis pas lui 
   j’existe sans lui 
   je suis Igor Tourgueniev  
   je suis un héros 
   <-- 
Old par igor le 25 Avr 2003

15 fenêtres c’est trop pour un seul ciel.

Old par M. Fox le 07 Mai 2003

le récitant : … mais avec des pneus cloutés.

Old par igor le 28 Mai 2003

DRAGON N°10

VERT GALLOIS COMMUN

La couleur du Vert gallois se marie très bien

aux herbes luxuriantes de son pays natal,

bien qu’il niche dans les hautes montagnes

où une réserve a été établie pour sa protection.

En dépit de l’incident d’Ilfracombe, il est l’un des

dragons les plus paisibles; préférant, tout comme

l’Opaleye, se nourrir de moutons, il fait de son mieux

pour éviter les humains, à moins qu’il n’ait été provoqué.

Le rugissement du Vert gallois est étonamment

mélodieux et facilement reconnaissable.

Les flammes qu’il souffle forment deux jets minces

et ses oeufs bruns, couleur de terre,

sont parsemés de taches vertes.

(.)

Old par Gu. le 14 Nov 2003

RE-VU NAZ (clone de ZAN)

Vol à l’étalage d’un poulet roti
Porte de Clignancourt, 19h35
Parti en courant et en criant:

« Zan gagnera le concours de barbecue!!! »

Ce n’était pas toi Zan au moins?

Old par Gu. le 02 Mai 2003

On te donnera de l’amour
On prendra soin de toi
On te donnera de l’amour
Tu dois y croire

Il ne viendra peut-etre pas
Des sources
Dans lesquelles tu as déversé
Le tiens

Il ne viendra peut-etre pas
Des directions
Vers lesquelles tu regardes
Avec insistance

Regarde autour de toi
C’est tout autour de toi
Tout est rempli d’amour
Tout autour de toi

Tout est rempli d’amour
Tu ne reçois pas, c’est tout
Tout est rempli d’amour
Ton téléphone est décroché
Tout est rempli d’amour
Tes portes sont toutes fermées
Tout est rempli d’amour !

Old par M. Fox le 12 Mai 2003

Le pouvoir symbolique est un pouvoir qui est en mesure de se faire reconnaître,

d’obtenir la reconnaissance ; c’est-à-dire un pouvoir (économique,

politique, culturel ou autre) qui a le pouvoir de se faire méconnaître

dans sa vérité de pouvoir, de violence et d’arbitraire.

L’efficacité propre de ce pouvoir s’exerce non dans l’ordre de

la force physique, mais dans l’ordre du sens de la connaissance.

Francis Ponge :  » Jeunesse : « Qualités d’un être
ou d’une chose qui n’a pas encore acquis toutes les qualités
dont il (ou elle) est susceptible. »

Ambassador

Une fausse blonde sublime agonise dans les odeurs de havanes, fauteuils club, il ne faudrait pas être ailleurs, vous savez, ailleurs les verres se servent à ras bord, ici les gants crème font glisser sur comptoirs en ébène, on prendra notre temps, pour ajuster les graisses à la forme du cuir, faux mouvement, la maison garantit l’harmonie de l’ensemble, c’est extraordinaire et tellement original, c’est une si bonne surprise, ici on sait à quoi s’en tenir, la maison garantit la surprise et les fausses blondes on toujours un mouchoir avec elles, une serviette, un masque à gaz, une Mercedes Benz, la vie au ralenti, et sans fausse modestie, je vous trouve exemplaire, mon ennui proportionnel à l’épaisseur des moquettes sur lesquelles on avance, au ralenti, à vitesse conforme, une grande porte à battants rotatifs à l’entrée fait le tri, alors pourquoi ne pas se mettre en chaussettes, dans la musique de feutre on se dit qu’on est bien dans ce mince interstice entre le bronze massif et le creux des moulures, entre le pli des ventres et la famine des dames, entre la masse visible et les semelles tout cuir, made in France, madame, vous savez, fragiles comme le cours des matières premières à la bourse, des matières précieuses, ici on vient pour sentir le silence, pour voir les petits cercles humides que le dessous des verres dépose à la surface des tables, vous voyez, le verre est absolument sec, vous le remplissez, et alors de petites gouttes apparaissent et laissent une trace en forme de cercle derrière elles, donc, sous le verre, et les fausses blondes détestent ce genre de détails et les gros bonnets adorent mesurer la taille de leur cercle en fumant un havane, sans complexes, pas de frime surtout, pas de drame, par pitié, avez-vous vu comme il sait bien y faire, ce barman est splendide, les serveuses sont parfaites, si précises à leur place, canapé réservé, au comptoir du palace, la fausse blonde s’est levée de son siège en se fondant toujours dans la mollesse des murs, profitant du protocole capiton des bourgeois en lévitation autour, la fausse blonde s’est dressée comme un vulgaire courant d’air au milieu du nappage de fumée, elle a rejoint le comptoir en ébène et s’est mise à parler :
Qui m’a posée ?
Qui m’a posée là ?
Qui m’a raflée ?
Et qui paiera ?
Elle a ouvert son sac à main à double initiales dans l’assurance tranquille des salons, il était question d’une partie fine à la table d’hommes et des femmes comme elle qui était à sa droite quand le premier crâne chauve a volé en éclats, et la fausse blonde tellement sereine et à bloc que la latence entre la détonation et le moment où la panique se met à saisir les clients se dilate, main serrée sur la crosse elle écoute le murmure dans la salle, on dirait : elle cherche une cible, mais l’entre-deux ne dure pas, regardez, c’est une arme automatique qui nous menace, elle est prête à cracher, et la monnaie sort des poches, on l’aligne sur les tables, on a de quoi payer, prenez tout ce que vous voulez mais de grâce, et de fait, la blonde s’en balance, sans désordre elle arrose l’assistance, la mitraille s’enfonce dans les fauteuils qui se gorgent de poisse, et comme si tout le monde se mettait à savoir la justice, personne ne bouge, et l’intérieur du barman s’infiltre dans l’ébène du comptoir, et personne qui hurle, comme un retour à la normale, c’est la graisse des ventres qui suinte à présent par les cratères que le métal perce à mesure que les douilles frappent le sol, she makes me wanna die, mort à l’Intercontinental, on n’est plus claustrophobes, on exécute en famille, enfin, on respire, ça n’est quand même pas souvent, que la moelle retourne aux crachoirs, quand on pense aux sirènes de police un peu longues à venir pour un quartier si chic, quand on pense à l’abondance et quand on voit l’hécatombe, encore un dernier chargeur, pour quelques salves de plus, pour ajuster la tête, être sûre cette fois que mastercard ne protège plus des balles, qu’elle ne cuirasse plus les cœurs, pour le plaisir d’une pièce de viande classe affaire explosée sur moquette, et dans un cadre idyllique, une page ouverte du catalogue « atmosphère cosmopolite » des corps déchirés, que la fausse blonde enjambe pour passer derrière le bar, elle s’y sert un verre de vin de classe insolente et rejoins les fauteuils, croise les jambes et sans puis-je vous offrir un verre, mademoiselle, dos au cuir du siège, silence autour, même, piano man est en miettes et mademoiselle soupire du plaisir de sentir les odeurs de poudre remplacer celles des havanes, enfin paisible, une courtisane qui se respecte, une call-girl digne de ce nom, saura toujours avoir de temps de se refaire les ongles en attendant l’arrivée des fourgons, elle se dit à elle même.

Old par felix le 27 Fév 2003

Je la croise partout.

Je la croise dans la rue, le métro ou au fond d’un bar.

Partout. Pourtant Paris est grand. Pourtant après tout ce temps

J’espérais me débarasser de cette apparition.

Je me raisonne, me galvanise en me disant ça suffit, c’est fini

STOP cette histoire est derrière toi.

Envoie chier mes élans nostalgiques.

Mais je croise son fantôme partout. C’est fatiguant.

ALBERTO VARGAS, CE HEROS…

Old par Gu. le 28 Avr 2003

PLUS DE SEXE !!

« Oubliez immédiatement toutes les portes qui se ferment sous votre nez et à votre barbe ma petite amie, devenez ce que vous êtes, et, en toute circonstance, ne vous séparez jamais de cet ustensile jovial qui fit votre renommée dans les raout mondains : la louche ! Car c’est à la louche que l’on apprécie le mieux tout ce qui s’avale (le caviard aussi, n’est ce pas?!). »

dravion

Old par Gu. le 10 Nov 2003

Le Docteur Faustroll dit :


Vous êtes l’acide d-lysergique diethylamide

Vous êtes dérivé de l’ergot parasite qui pousse sur le seigle et sur certaines herbes sauvages. On vous imbibe dans de petits buvards que vos proches sucent et/ou avalent. Vous êtes de compagnie agréable, mais on ne peut se débarasser de vous qu’après six ou huit heures.

Votre

moi profond grâce à la pataphysique

Un autre quizz imbécile gracieuseté de Quizilla

Alors vous dormez finalement ?

Lu tard dans la nuit un livre terrible

L’amour n’est qu’un jeu

rien de suffisant

pas d’enjeu

juste de quoi sourire

et soupirer en serrant qui de droit

au creux de ses bras

Old par M. Fox le 08 Avr 2003

Vous…des…nouvelles…oui…sûr…non…

…chaleur…on sait… tous…pas d’histoire…

je me promè…en short…vita nuova…

têtes mortes…disparues…where are you…

parle de loin… une bouche ?…oui…oui…

va mal…comme d’hab…une jeune fille…

de 18 ans…non…des heures…travail…que ça…

plus tard…voyages…qui lit… le petit…

salaud…cinema + hamburger… oui…

quel programme…non…pas vraiment…

heureusement…amis…old times…

vieja vita…j’ai chaud…déprime…

blanche…sans…douleur…ça dure longtemps…

depuis le début…oui…trop chaud…

pour… et vous…non… une jeune fille de 18…

centimètres…au cinema avec elle…

premier rang… voyages ?…oui…Italie…Espagne…

je vous…raconterai……oui…les …nouvelles…oui…

Certes !

Etais-ce une quille ou un glaçon, va savoir…
Dans le noir, dans le ton,
Quel que soit l’abandon
Pourvu qu’il soit le bon
Sur d’experts toboggans
Vous m’avez vu glisser
Mais y glisser avec délices

quote : War outside, nothin but a bad taste in my mouth, like a deja-vu never ends

Old par motown le 20 Mar 2003

Check list
Freedom……. OK
Music…………OK
Sex……………OK
Passport……..OK
Reservations…OK

… grève ratp : ok.
saleté.

Old par motown le 14 Mai 2003

Marteau Piqueur

Paris est un putain de musée.

Mais, cruauté du sort, je n’ai jamais été payé pour faire parti du décor.

– A quoi penses-tu ?
– A Napoléon.

Old par Rodia le 24 Avr 2003

En vrac

Le retour sur soi : restituer dans
le langage arrêté la vitesse de
la vie.
Idiotie.
Faire des phrases, comme des cabrioles et
se préserver du jugement
que des abrutis sont toujours prêts à dire.
So what ?
Mots courts, traits courts ; examen médical d’un nombril,
cavit&eacute sans profondeur.
Souhaitez-vous faire vaciller le sens ?
Remplissez-moi ce nombril d’images,
gavez -le jusqu’&agrave la satiété.
Oui oui oui
Ce que je fais me renseigne parfois sur qui je suis.
Projets
Rester fidèle au principe selon
lequel l’origine de la phrase est inconnue,
sa destination folle (cachée) —
et sa danse, forcément érotique.
B.L.V.
« Je n’ai jamais été mis en vie. »
Nerfs.
Il s’était mis à détester
les images ancrées dans le quotidien,
les récits nains et peu glorieux de la
vie immédiate ; croyant peut-être
bêtement que la transformation n’est pas
un vain mot, qu’il est toujours possible
de décoller de la misère
(sexuelle, alimentaire, littéraire)
et que rendre compte sans projet
de son impuissance face à la vie,
est une agonie qu’il ne peut plus supporter.
Paris.
A quatre heure du matin, traversant le 17 ème,
croisant des putes fatiguées, il ne faisait
pas très froid, je vous (r)assure.
Bob Dylan.
« I don’t know how much longer I can wait. »
Finale.
to be continued dans l’étonnement sans fatigue
couleur rouge vagues sensations de mobilité
capricio ça fait partie du jeu du seul avec ou sans suivre
la première route vers l’indéfini
soleil se fait rare quand j’ai un besoin urgent de lumière
pour développer mes images.

Old par Rodia le 24 Avr 2003

lilipunk

Old par Gu. le 18 Juin 2003

comme dans un jeu électronique

mais le méchant est un être humain :

l’autre joueur

Old par M. Fox le 04 Mar 2003

Let’s dive again, into another screen.

Des bouts d’hier
je ne me souviens
que la bière
et puis plus rien.

De demain
je ne retiendrai
que ma main
sur ton caquet.

Old par motown le 01 Mar 2003

pregnance

Old par M. Fox le 03 Fév 2003

CE SONT DES CHOSES QUI ARRIVENT

Rideau de douche rose et chauve maigre, ça me rappelle quelque chose :

De l’héliport de Cherbourg, où les secours en mer français l’ont ramené à terre, Georges Leblanc a expliqué dans une liaison avec le PC Presse de la course installé au Havre (nord-ouest) la chronologie des événements, de son avarie à la récupération par l’hélicoptère.

C’est moi chérie ?

Old par igor le 09 Nov 2003

Au « Tchat Lab », nous étions une trentaine environ, et seulement quelques uns d’entre nous étaient chercheurs à plein temps et demi. La plupart des ouvriers étaient en CDD, CDI trois quart temps ou « éphémère autoreverse », mais nous parvenions à nous compléter ainsi puissament dans la douce torpeur du ventre de la baleine.

ben … le héros, c’est … le balllon ?

Il était une fois dans l’ouest parisien.

Old par Rodia le 13 Avr 2003

le récitant : i could scream but the silence is the best scene.

Old par igor le 05 Avr 2003

spjiralii invocaatç

for bloodTalk conversations spirituelles

Je suis un salaud.
J’ai fait rire la femme d’un autre
06 61 63 58 84

Maintenant c’est certain, nous sommes un site PORNO !!

Old par igor le 27 Juil 2003

sauf si on s’en sert pour créer des personnages

ah oui ?

Old par -- Zan le 28 Juil 2003

clic, plouc, pschitt, shplock, splotch, shh, ffffhhhh…

Fini la vaisselle!!!…

Old par Gu. le 13 Avr 2003

Igor, j’ai une autre idée. Plus efficace.

Old par Rodia le 28 Avr 2003

Seule une once de poussière sépare
Le complexe de superiorité du délire de persécution

Old par Gu. le 14 Mai 2003

– A quoi penses-tu ?
– A un pied regardant le ciel.

Old par Rodia le 25 Avr 2003

Ce matin
je ne me suis pas
cassé le bras
ni brisé une côte
ni enfoncé une vertèbre.
Aucun petit bout d’os
n’est venu me perforer un poumon.
Mon foie n’a pas éclaté comme
un bubon plein de pus.
Mes testicules ne se sont pas flétris
sous ma queue gangrenée.
Mes intestins ne se sont pas relâchés
d’un coup et ma rate n’a pas explosé
comme un fruit trop mûr.
Non.
Ce matin, tout est bien et
c’est une belle journée.

Old par igor le 14 Jan 2003

push the tempo

I know what’s good for you…you can touch me if you want

I know you’re dying to…you can touch me if you want

I know what’s good for you…you can touch me if you want

But you can’t stop

Old par M. Fox le 11 Sep 2003


Old par M. Fox le 22 Mai 2003

Demain dès l’aube

Le problème avec Christine, c’est elle.

La flemme de faire une sélection…

Old par Rodia le 18 Avr 2003

perdu clone (suite)

je ne l’ai toujours pas retrouvé

Et en fait je pense qu’il s’agit plutôt d’une fugue.
En effet son comportement était étrange depuis quelque temps
il accomplissait les basses besognes (comme porter les trucs lourds,
faire les courses etc…) avec de plus en plus de difficulté et maugréait
carrément quand je l’envoyais se faire engueuler à ma place par mon
banquier ou mon patron.

j’ai surtout peur à l’idée qu’il se fasse passer pour moi dans l’intention
de me nuire

Old par -- Zan le 01 Mai 2003

Hier soir j’ai retrouvé mon âme de midinette grâce

à KazaaLite

Old par -- Zan le 26 Mai 2003

Je me demande quand viendra le jour
Où les yeux dans les yeux
Et la main dans sa main,
J’aurai le coeur heureux,
Sans peur du lendemain
Le jour où je n’aurais
Plus du tout de la peine
Le jour où moi aussi,
J’aurai quelqu’un qui m’aime

Old par M. Fox le 19 Fév 2003

Je fus en fusion, les émotions et les sentiments à fleur de peau : tout pour moi était douleur.

Cette lave intime se refroidi en une croûte sombre et rugueuse ; seules ne la traversent plus que les pulsions, les plus charnelles, primitives et archaïques, qui subsistent en mon noyau.

Quand finalement je m’éteindrai, je serai plus tranquille.

Old par Gu. le 30 Juin 2003

11h18 : Je ne sais pas quoi poster.

Old par Rodia le 17 Avr 2003

Règle n°5 : Ne parlez pas d

Old par DrT le 07 Avr 2003

Du haut du T d’éTé, la pente est rude

ces bouffées d’amour
quand je murmure ton prenom

ces frissons délicieux
qui me parcourent les entrailles
quand j’évoque ton visage

ce soleil dans mon coeur
lorsque je sens ton odeur

je veux les oublier,
te les rendre
et me perdre dans le brouillard pour toujours

Old par M. Fox le 06 Avr 2003

Arrêtez la paranoia, c’est banal. Il y a tellement d’autres névroses plus intéressantes…

Old par Rodia le 11 Avr 2003




we got her

ici »