Le premier à rentrer est Phoenix, suivi de AC Flyer. Ayant déjà fort à faire avec AC Flyer, Phoenix eu la mauvaise surprise de voir entrer Colby en troisième position. Après un passage difficile, Phoenix réussit à reprendre le dessus et à éliminer Colby alors meme que Mot Van Kunder, tout juste arrivé, mis dehors AC Flyer.
Alors que les deux favoris du public en venaient aux mains, l’impressionnant Bulk, des UK Pitbulls, fit son entrée sur le ring. C’est peu de dire que Phoenix et Mot Van Kunder ont eu du mal à contrer les attaques de Bulk. Alliant leurs forces, ils réussirent juste à limiter la casse. Alors qu’ils commençaient à dominer, ils ont eu la surprise de voir arriver dans le ring Big Dave, la partenaire de Bulk au sein des UK PItbulls. Une pluie de coups s’est abattue sur les favoris du public, absolument dépassés par les attaques des anglais. Sony Stone ne fit qu’un passage éclair dans le ring, ayant commis l’imprudence de s’en prendre aux UK Pitbulls : 20 secondes dans le ring où il a pu apprécier « l’amabilité » des anglais. Suivant à entrer dans le ring, Bas Van Kunder, bien décidé à ne pas laisser les choses en l’état. D’attaques aériennes en power moves, il réussit à créer une différence et à s’imposer. Le dernier à entrer dans le ring fut Greg Fury, très motivé mais visiblement amoindri par les efforts concédés pour remporter les deux premières victoires. Il fut éliminé après avoir tout tenté pour défendre ses chances. Après la sortie de Greg Fury, les hostilités se sont accélérées, résultant dans l’élimination de Bas Van Kunder par Big Dave, puis de Big Dave par Phoenix et Mot Van Kunder qui avaient décidé d’allier leurs forces. Dans une manoeuvre destiné à éliminer Bulk, Mot Fut surpris et éliminé. Profitant de l’occasion, et avec l’aide extérieure de Mot Van Kunder, Phoenix réussit l’impossible et mit Bulk dehors sous les acclamations du public à la fois surpris et ravi.
I want you to know To know how to snow To snow on my body My body’s the memory The memory of all hands All hands all mousses all eyes All eyes disappeared at end At end for you and I…
On est à six que je mens que je dis on on on onh Aix fonctionne seront on ne on compte que vous ont auront un bon nombre de bons ont de bon on est on est à l’art demande de Boulogne le grand rang mon grand même en que nous grands mouvement en goût en août vous baie en bout goût de bout ont même d’une bout en mouvement en ont 2 2 me vous m’en mouvement rend quand on mit le mis en mines ont d’une bout de membres irons ou de qui ont roues ont auront ans auront ans ou de bons ont devront de même de bons ont auront mon même mime le deuxième mime long ou de bons ont auront on on rend bran rend ronron devront ont rend auront on prend en Nîmes de ces mines dans elles ronron bons ont une auront on rend l’aile de monde on on on.
Note pour plus tard : Ne jamais laisser le logiciel de dictée vocale allumé quand je donne un biberon.
Décider de parler de tourguenisme plutôt que d’une démarche, décider de créer un « mouvement », une « école » de pensée plutôt qu’un simple rassemblement de gens autour d’un site. Fabriquer l’artefact ultime : la pensée tourgueniste comme fin en soit. Ou plutôt, l’absence de fin comme pensée définitive. Mais l’absence de fin ne signifie pas l’inaction, ni la négation de la possibilité d’une finalité même si celle-ci reste floue (pour l’instant ?). Le tourgueniste participe de l’élan commun sans contraintes ni objectifs autres que les siens, et en cela, il pousse le tourguenisme vers l’avant. Les forces s’additionnent dans toutes les directions et entrainent un mouvement de l’ensemble vers… ——————————— Ceci est n’importe quoi
j’ai réussi de justesse à rejoindre maman avant qu’elle ne prenne la voiture pour aller au déjeuner chez papa j’ai jeté un froid sur place en disant à tous que j’avais une maladie puis on a bu, alors ca n’a plus eu l’air de choquer personne, peut etre que je n’ai pas trop l’air malade, en tous cas, on a bu plusieurs litres de vin (francais, espagnol, italien et argentin) au soleil, c’était agréable mon frère a l’air en forme et joue beaucoup avec mon autre frère mes soeurs sont arrivées en retard, elles avaient trop pratiqué l’espagnol, ca les a empéché de se reveiller papa nous dépose après le déjeuner avec sa jaguar sur les quais du canal st-martin nous retrouvons un ami américain de ma soeur, un autre américain arrive à vélo on boit quelques bières puis on va chez eux, un appartement très mignon dans un repli spatial près de belleville si j’ai bien compris on achéte d’autres bières et on discute en anglais longuement jusqu’au moment de bouger, on va aller voir la fiancée de mon frère qui est dj et qui mixe dans un bar pas trop loin on boit quelques bières, je danse comme un fou, j’embete un peu les djs en tenant les disques qui tournent pour voir l’effet que ça fait on retrouve plein de gens là bas je perds pieds, je rentre, je m’endors dans le taxi mais je me retrouve miraculeusement à la maison grace à l’honneteté de ce chauffeur là (mille mercis au chauffeur blogueur) aujourd’hui je me suis réveillé tard, j’ai une splendide gueule de bois, je ne sais pas à quelle heure est le prochain train pour Nantes, il faut que j’aille à la gare…
Elodie : allo… Igor : allo ? Elodie : euh. Igor : c’est qui ? Elodie : allo, j’ai qu’une minute, Edouard ? Igor : euh, oui… Elodie : ben, je, tu me manques, je ben tu vois. Igor : oué, oué si tu le dis. Elodie : tu es un peu froid, je trouve… Igor : mais non, je t’assure, je pense à toi mais tu vois Patxi va passer là alors tu vois… Elodie : euh, Ed, j’ai presque plus de secondes là. Igor : pas trop tôt. Elodie : bip bip bip Igor : allo ? Elodie : bip bip bip Igor : sympa la meuf…
A noël des amis de la campagne m’ont offert une vache naine avec des ailes (clonée ? génétiquement modifiée ? Comment obtiennent-ils ça ? Dieu sait ce qu’ils trifouillent dans leurs contrées sauvages, au loin de nos regards embués de citadins fêtards, tout accaparés que nous sommes par Les éditions SPOKE sont heureuses de vous annoncer leur prochaine soirée / performance qui se tiendra le Jeudi 9 Janvier à Mains d‚Oeuvres.
® Littérature de ceux qui parlent / littérature hardcore et douce
…………………… Slam VS hip hop VS théâtre
ou par
VIENDEZ NOMBREUSES Y NOMBREUX GUINCHER AU GIG-FIESTA DE MADAME MACARIO
DIMANCHE 22 SEPTEMBRE 2002
de 19h30 precises a 00h30…
au POP IN, 105 rue amelot, paris 11eme, metro : « republique » ou « filles du calvaire ».
enfin des considérations existentielles fondamentales…)
bon elle est très sympa, mais elle m’agace un peu. Je la trouve très agitée… bien trop agitée…
Après-midi. Suites. Recyclés Quand j’étudiais à Arles, Jacques Serena (écrivain de l’écurie Minuit,) m’a dit qu’il copiait sans vergogne des phrases entières d’autres livres, avec la fierté absurde d’une femme qui se vanterait de tromper son mari. (Quoi que Louis-René des Forêts l’aie fait aussi, mais ce ne sont que des citations involontaires.) Après-coup. Ce qu’il a retenu d’une lecture à la surface de Nietzsche, hier soir, entre 00h05 et 1h07 : (Mots qu’il lui envie beaucoup :) « Les amis de la vie. » « Les êtres manqués. » « Développe toutes tes facultés — cela signifie développe l’anarchie ! Péris. » Portrait. Se comporte dans les livres comme dans la vie : en espion, il attend son heure. Programme. Reprise d’un texte. RDV avec A. (au soleil, malgrè le vent frais.) Tri des images récemment faites. Gênes : Les soi disants cultivés Les médiocres complaisants. Lecture. Valeria Piazza : « Le journal est ainsi par essence le lieu dans lequel l’appropriation de soi se rend chaque fois potentielle et pourtant impossible. » Mail F.Y J. (écrivain exilé à N.Y) : » Bon courage aussi pour vos cours de photo et vos différentes activités liées à cela. C’est toujours difficile, en effet, et cela a représenté l’une de mes principales épreuves, de délaisser ou mettre entre parenthèses la vie quotidienne, professionnelle, pour écrire, lorsque l’impératif survient. Il y faut bien de la persévérance. Mon livre en cours avance cahin-caha, mais sa masse de brouillons me contraint à ne pas renoncer. Je cite souvent cette phrase de Pavel Filonov, que je vous ai peut-être déjà recopiée : « Lorsqu’on éprouve de la difficulté à faire quelque chose, il faut continuer : c’est en trouvant la solution qu’on fait vraiment qq chose de nouveau. »
Matin. Se laver les cheveux avec Mixa bébé et sentir à nouveau sur son crâne les doigts de sa maman, voilà une sensation qui ne prête pas beaucoup à rire.
— Quel était l’origine de toute cela ? — Qu’entendez-vous par cela ? — La lutte, je ne sais pas, votre présence ici. — Problématique. —C’est pourquoi je vous demande de m’expliquer.
Elle voulai l’inviter : Pour une polenta sauce tomate avec en dessert la voie lactée avant ils auraient fait un tour sur la promenade plantée et du patin d’été le nez au vent par les remblais protégés. La nuit est arrivée elle n’a pas osé c’est raté…
J’étais allongé avec une jeune femme brune et aux yeux bleus ; je pouvais parfaitement l’identifier. Nous nous sommes embrassés. Ce baiser, je l’attendais depuis une éternité ; il m’a profondément enflammé. Je buvais ces lèvres et je voulais prolonger cet échange.
Mais, ses caresses sont devenues plus précises et j’ai senti en moi le désir croître.
« Non, ce n’est pas ce que je veux ; je veux juste t’embrasser et te serrer dans mes bras ! ». Mais elle continuait à me caresser. J’ai décidé alors de me réveiller.
Plus que quelques affaires à régler ici. Demain j’embarque et surtout j’en prends pour au moins vingt ans. La prochaine étape de ce cargo c’est dans quinze mois lumière, ensuite c’est le grand saut quantique et à l’escale suivante je ne connaîtrai probablement plus personne de ce monde. C’est l’occasion de recommencer à zéro, non ? Je vais ranger ma carabine.
Elle me pourchassera, indéfiniment, jusqu’à la fin de ma vie. Pulsion destructrice d’une pureté cristalline. Virus de dernière génération – en cela elle réunit en un même corps toutes les caractéristiques des virus précédents, tout en les surpassant allègrement. Incarnation parfaite, froide, lisse, sans faille, et souriante de surcroît. Aucune technologie, si avancée soit-elle, n’y pourra rien changer. « Lui » peut crever – ou simplement la renier, l’humilier une fois de plus ; ça n’y changera rien non plus (d’ailleurs, existe-t-il réellement ? peut-on être transparent à ce point ?).
« Suit un soupir, un léger haussement d’épaules, un autre soupir. Et au-dessus d’une des portes, masquées par des tentures de velours rouge, il y a un panneau, et sur ce panneau, en lettres assorties à la couleur des tentures, est écrit : SANS ISSUE. »
J’ai tant rêvé de toi que tu perds ta réalité Est-il encore temps d’atteindre ce corps vivant et de baiser sur cette bouche la naissance de la voix qui m’est chère ? J’ai tant rêvé de toi que mes bras habitués en étreignant ton ombre à se croiser sur ma poitrine ne se plierais pas au contour de ton corps, peut être. Et que, devant l’apparence réelle de ce qui me hante et me gouverne depuis des jours et des années je deviendrais une ombre sans doute. Ô balances sentimentales. J’ai tant rêvé de toi qu’il n’est plus temps sans doute que je m’éveille. Je dors debout, le corps exposé à toutes les apparences de la vie et de l’amour et toi, la seule qui compte aujourd’hui pour moi, je pourrais moins toucher ton front et tes lèvres que les premières lèvres et le premier front venu. J’ai tant rêvé de toi, tant marché, parlé, couché avec ton fantôme qu’il ne me reste plus peut-être, et pourtant, qu’à être fantôme parmi les fantômes et plus ombre cent fois que l’ombre qui se promène et se promènera allègrement sur le cadran solaire de ta vie. R.D.
je pense que l’administration Bush ne sait pas ce que je sais à propos des photos de petites filles que Mr G. cache dans le deuxième tiroir (en partant du bas) de droite de son grand bureau (sous le dossier ONU).
#34 On n’a jamais fini de remettre le sujet sur le feu. Pour le saisir à point il faudrait inventer un langage nouveau, aussi fulgurant que lui. L’accompagner, ne pas l’arreter. Découper soigneusement chacune des tranches du temps où il s’est exposé.