j’aime tes cuisses d’albatros zan et ton pubis chevelu d’ange
ce qui est à être n’est pas trop
Sammy est le meilleur ami de Scoobidoo
sylvain part, tout s’effrite (maison)
musée du quai Branly on s’embrasse sous la bouche
sous la douche aussi…
petite promenade dans Paris
je me souviens des jours heureux
et insouciants,
lorsque l’amour
était lointain,
on faisait le plus de bétises possibles
pour énerver tes parents,
on draguait ta soeur,
mais pour rire,
les heures n’étaient pas des prisons
mais des étangs où baignent
cygnes et nénuphars,
la lune veillait sur nous,
je me souviens…
“Le souffle du merveilleux l’anime tout entier (…). J’entends que ce livre n’exalte du commencement à la fin, et le plus purement du monde, que ce qui de l’esprit arrive à quitter le sol et que, dépouillé d’une partie insignifiante de son affabulation romanesque, à la mode du temps, il constitue un modèle de justesse et d’innocente grandeur”.
A. Breton
cet enfoiré d’andré est encore en train de parler du Moine de Lewis…