
Allez hop, un nectar de poire pour qui s’en soucie trop:
un petit verre d’espoir …
– tu te laisses absorber par le travail, il ne reste plus rien pour moi, en plus, t’es même pas payée…
– arrête avec ça tout de suite, maman.

– il ne pose jamais de questions, je ne sait pas ce qu’il en pense.
– tu ne sais pas s’il éprouve de la jalousie ?
– son attitude signifie clairement que non…
– mais qu’aviez vous donc à l’esprit à ce moment, pour faire une chose pareille?
– hé ben… rien…
– ha ! c’était donc ça …
résout tous tes problêmes
t’en crée de nouveaux (si tu veux)
te rend l’affection d’un frêre
(même si c’est une âme soeur)
allez, bouge ton cul, vas voir
le Mage YCIEN !!!
*$*¨c’est cher, mais c’est bon¨*$*
Vous vous pensiez entourée de camarades compréhensifs et sincèrement concernés par votre sort, tout comme vous l’êtes lorsqu’il leur arrive une tuile … grossière erreur… mais rassurez-vous, vous aurez droit au
« lot de consolation »
(dormez seule , mangez seule, vivez seule, mourrez de solitude, quoi, au mieux, essayez d’apprendre à votre poisson rouge à communiquer avec vous en morse, ça occupe les longues soirées d’hiver…)
Avis a la population : Oyez, oyez !
Hier, de la ménagerie du jardin des plantes, s’est échappé un renard…
Et toujours pas de nouvelles de Abc Def…?
ce matin tôt je rencontre « la juliette de pascal » rue du faubourg saint antoine : elle me dit :
– tu vas au boulot ?
– moui … (j’ai la tête dans le pâté, je porte un bonnet bleu atroce et je me rend chez mes potes de Console ou je fait en ce moment un dessin sur le mur de la cuisine…)
– ha oué, et ben, moi, chuis la galérienne du lundi matin !
décidémment, c’est grace à des moments comme celui ci que je suis forcée d’admettre cette réalité première en ce qui concerne « les échanges verbaux et moi » :
j’ai pas le sens de la formule…
CETTE FOIS CI,
C’EST PAS DE LA FICTION,
C’EST UN MESSAGE PERSO ET PRIVE,
ADRESSE A UNE PERSONNE EN PARTICULIER :
PASSE UNE BONNE NUIT, SABINE.
lu ce matin dans la presse spécialisée:
« connasses diplomées
cherchent bites d’amarage
pour ancrer divers bateaux… »
le citron, c’est un peu : aciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiid !
– Twist & I, my ladybird
we were in love, not so long ago
he kissed me under a special tree
we were on extasy … mdma, I mean.
-Twist was riding a green unicorn
I used to fly on a magic carpet
we stopped on the side of the world
there was no light but candle light
and we died several times…
– Twist & I, my ladybird…
we are drug addicts now
no more magic tricks and spells
but I remember how intense & good this things can be
and sometimes I miss it too…
« alors, je ne sait pas ce qui m’a pris, j’ai dit tout bas, mais assez fort pour qu’elle l’entende : « les femmes à poil, à poil les femmes. » LK

non, je n’appelle pas
je ne renvoie pas de mail
ne répond rien de précis.
pourquoi une photographie
plutot qu’une autre
avec ou sans intérêt
les images se suivent
et se ressemblent
un peu.
rien n’empêche
d’espérer la bonne
surprise.
* septième ciel * ?
Et bien non, pas de nirvana en vue, surtout quand je pense que tu n’as répondu a aucun des mails que j’ai pu t’envoyer. Que ce soit des lettres d’amour, des mails sans prétention ou bien des images, rien, semble-t-il, n’est assez bien pour toi. Je ne dois sans doute pas être assez « stimulante ». Mes jupes pas assez courtes, mes yeux pas assez bleus, ou bien, c’est beaucoup plus simple: je suis trop disponible, tu crois sans doute que je suis à ta disposition, que tu n’as aucun effort à faire pour me séduire. Tu dois penser que ce que tu connais de moi est bien suffisant, qu’on est un déjà vieux couple, qu’il ne faut pas trop en demander, mais tu n’as rien épuisé en moi, et c’est bien dommage car tu ne le sauras jamais puisque je te quitte…
– tu refuses de me voir un jour sur deux, tu réponds pas au téléphone la nuit, tu fait des manip’ pour pas que je voies les sites sur lesquels tu surfes, tu trouves les prétextes les plus absurdes pour me faire des procès d’intention… Franchement, tu sais de quoi tu as l’air ?
– d’un type normal ?
– t’as surtout l’air d’un mec qui sort avec plusieurs filles en même temps.
« Oubliez immédiatement toutes les portes qui se ferment sous votre nez et à votre barbe ma petite amie, devenez ce que vous êtes, et, en toute circonstance, ne vous séparez jamais de cet ustensile jovial qui fit votre renommée dans les raout mondains : la louche ! Car c’est à la louche que l’on apprécie le mieux tout ce qui s’avale (le caviard aussi, n’est ce pas?!). »
Je parcours le champ après l’ultime bataille:
A perte de vue, s’étalent tripes et boyaux, têtes humaines arrachées par le feu des canons et la vindicte populaire… quel gachis (parmentier)
haaaaaaaaaaaaaaa, ça ira… peut être…
les boulettes en mie de pain de ma mémoire:
« Elle a pris une boule de gomme. C’est tombé sur rouge. Il en a pris une aussi, par jeu…
chewing gum rouge > c’était la couleur des émotions qui troublent, … etc… ».
« Jeudi : Jour du Jeu, Jour du fantasme abouti, du doux frémissement des membres crispés dans la buée, Jour des objets emboutis, de la toile de Jouy, Jour de la Joie… Je te suis. »
Et elle à enfilé son joli petit costume rouge…
– j’ai pas dit que c’est ce que tu faisais, j’ai dit que tu en avais l’air…
– d’un pouêt ?
oublie moi, si tu peux.
Callypige … moué … ce que je pige, surtout, c’est qu’y en à qui vont devoir arrêter les chips avec la crême chantilly, hein…
“Le souffle du merveilleux l’anime tout entier (…). J’entends que ce livre n’exalte du commencement à la fin, et le plus purement du monde, que ce qui de l’esprit arrive à quitter le sol et que, dépouillé d’une partie insignifiante de son affabulation romanesque, à la mode du temps, il constitue un modèle de justesse et d’innocente grandeur”.
A. Breton
cet enfoiré d’andré est encore en train de parler du Moine de Lewis…
Nous serons les primitifs, païens de tous poils, animaux mythologiques et êtres électriques immobiles…
(dis donc, la Same, t’as pas l’impression que t’en fait des tonnes…? y’a comme qui dirais besoin de vacances dans la steppe, là, hein, ma petite… en attendant, file te dormir, et plus vite que ça! (demain y’a B.C.A. (again)))
je voudrais être ton esclave sexuelle
et te promener au bout de la laisse que tu attacheras à mon collier.
please, love me …
parce que quand les poches du cerveau elles sont pleines, y faut bien mettre son fouillis quêque part…
Ils me prennent par la main, me chuchotent à l’oreille:
« Allez, dis moi quelque chose, je veux entendre le son de ta voix, j’aimerais mieux te connaitre… »
Aucun son ne sort de ma bouche, aucune grimace n’est esquissée sur mon faciès de singe; je reste neutre et glacée, indifférente.
Mauvaise pioche: je suis le SNIPER.
Ce soir je vais à la plage.
On jouera au ballon prisonnier
et aux chaises musicales.
Comme dans un show TV
de samuel beckett
ou de gertrude stein…
0001010100000111010011000010…ad lib.
Je te lêche des pieds à la tête, tu es ma sucrerie favorite, laisse moi te prendre encore, s’il te plais, petit bout de reglisse …
« (…)J’attrappe ta sale petite gueule de tétard albinos et je la fracasse d’une pitchenette de cyclope sur le rebord de la baignoire en or massif. Tu suffoques, tu n’as plus assez d’air dans les poumons pour râler à l’aide, tu voudrais bien que ça s’arrête d’un coup, mais… Je te prend la tête à deux mains, comme m’approchant pour te donner un baiser d’une tendresse infinie, et je t’arrache le nez d’un coup de dents sec, vif, et recrache la bidoche pitoyable sur la faïence noire et luisante de l’evier… alors tu te réveilles.(…) »
Je t’enverrais des mots, et ils seront si éloquents, que je n’aurais pas besoin d’en dire davantage.
Encore un clochard
qui voulais juste
un abri pour la nuit.
On l’a pris par le col
et l’a balancé hors du train.
Y avais une autre loco
qui arrivais en sens inverse.
L’a foutu du rouge partout,
dégueulasse
du sang de clodo.
on peut même pas faire du boudin avec
et pis l’étais trop maigre
pour qu’on ramasse les bouts.
Avec les os maybe nous ferons
du SAVON…
(tu me reconnais plus, hein, maintenant que tu es célêbre, espèce de renarde en salopette, va !)
Elle voulai l’inviter :
Pour une polenta sauce tomate avec en dessert la voie lactée
avant ils auraient fait
un tour sur la promenade plantée
et du patin d’été le nez au vent par les remblais protégés.
La nuit est arrivée
elle n’a pas osé
c’est raté…
dommage.
(c’est un poême-dommage)
petit chaperon rouge, go home:
acte 1 : wouééééééé vive la libertééééééééé !
acte 2 : oulala, oulala, ça chatouiiiiiiiiille !
acte 3 : ben alors, ben quoi ?
réponse : c’est pour mieux te … , mon enfant .
Elle est exquise
c’est pour ça que je la tue
plusieurs fois par jour…
je l’assassine
au poignard (un kriss)
à double tranchant
un coté pile, un coté face,
je la découpe
des pieds à la tête,
et elle, l’insensible
continue de papoter avec ses copines
comme si je n’éxistais pas…
Times are troubled, don’t ask me why…
meetin’ da snake in da sky
is da worse scottish dream I’ve ever had
too bad.
Wellcome dans ce petit monde superrrrrzérrrroïke de la « blogosphère »!!!
Les petits cons et petites connes que nous sommes se la racontent méchamment.
« t’as vu comme je me la joue, chuis journaliste a « Monculmescouilles », pasmal,non? (alleeez, dis moi pas que chuis une merde, steuplééé) »
« hey, regarde, j’sais faire du vélo sans les mains, ça m’a pris deux ans au RMI ou en études supérieures pour y arriver; et pis je sais faire du LARD sans les mains, aussi, pas mal, non? »
ou bien:
« pfff, non, tu sais, moi , mon taff y’m pompe toute ma créativité, tu voaaaaaa, faudrai qu’j’y soit pu a plein temps, quoaaaa, mais j’arrive encore a me déchirer la gueule comme avant, quand j’avais encore un truc a dire, et pis surtout, j’voudrais tellement être ailleurs, heiiiiiiin, tu voaaaa, pas mal, non? »
EN GROS, desfois, j’en ai tellement ras le bol de moaaaaaa, que ça déborde…
et pis, tout ces petits zéros, et puis pas beaucoup de petit uns, c’est aussi ma faute, non?
Au « Tchat Lab », nous étions une trentaine environ, et seulement quelques uns d’entre nous étaient chercheurs à plein temps et demi. La plupart des ouvriers étaient en CDD, CDI trois quart temps ou « éphémère autoreverse », mais nous parvenions à nous compléter ainsi puissament dans la douce torpeur du ventre de la baleine.
ho, britney, arrête avec tes dérapages vocaux et tes déhanchements de metaputa effarouchée… tu sait trés bien que christina aguilera est meilleure que toi, plus jolie, plus espagnole aussi; et que son « dirty » t’as mise KO… et puis , c’est une vraie fille, ELLE…
Le mauvais oeil, c’est celui qui n’est pas le bon…?
(le bon oeil, c’est celui qui va avec le bon pied)















