Suite logique des évènements…

En fait elle ressemble encore à bien autre chose…
Tout simplement je dirais qu’elle est très belle…
Pour lui, montre-toi!
Sublime, ce second moi !
Schizo, juste comme il faut… Non, vraiment, rien à
dire, c’est de la belle ouvrage !!!
(Est-ce que la Bad girl va voir les Whites Stripes,
demain soir ?)
Certains petits mails qui font plaisir…
Plus près de toi mon dieu, plus près…
Terroriste 1
camarade révolutionnaire, URANIUM comment allez vous ?
Terroriste 1
(MOLLAH OMAR)
Terroriste 2
je vais ARME BACTERIOLOGIQUE plutot pas mal ma foi
Terroriste 1
Vous êtes déjà PNOHM PENH arrivé NUCLEAIRE à Paris ?
Terroriste 2
oooh non ! ATTENTAT PREVENTIF je viens seulement BACILE DU CHARBON ce soir
Terroriste 1
boooooooooKILLTHEPRESIDENToooooooon
Terroriste 2
oué ASSASSINAT ça devrait OTAGE aller
Terroriste 1
Mais ALLAH AKBAR tu vas faire FIDEL CASTRO quoi à Paris JAMAH ISLAMIYAH ?
Terroriste 2
j’ai un rendez-vous GROUPUSCULE pour choper des photos MISSILE AL SAMOUD pour une expo au théâtre
Terroriste 2
(2)
Terroriste 1
Tu restes ALI TOUCHENT tout le week-RACHID RAMDHA-end ?
Terroriste 2
nan SYRIAN nan, juste l’aller ISLAMIC DICTATURE retour
Terroriste 1
Ah bon, même pas KHADAFI une soirée pour JE SAIS OU SE CACHE SADDAM HUSSEIN une soirée ?
Terroriste 2
si si, BOMB LA HAGUE une soirée. je rentre AEROPORT ROISSY CHARLES DE GAULLE demain matin
Terroriste 1
Bien bien… ben moi je vais aller PERVEZ MUSHARAF IS GAY faire ma sieste quotidienne
Terroriste 2
tu fais TOTO CUCUGNO bien
Terroriste 1
(45T – y -76H)
Terroriste 2
(JH 25A CH JF 18A PR RDV Q)
Terroriste 2
moi je file à l’usine (DE TRAITEMENTS DES DECHETS NUCLEAIRES)
Terroriste 2
a+ camarade MOUJAHIDINE
Terroriste 1
bon… je te souhaite CONTAMINATION une bonne SRAS DANS TON CUL journée
Fact : Les mannequins sont toutes des anorexiques.
Counterfact : ou est-ce le monde qui est boulimique ?

Ce matin je me suis mal réveillé
avec ce rêve étrange
on chassait des peluches
à la chasse à courre
le docteur Glück sonnait son cor
et tes côtes rousses
disparaissaient de taillis en taillis
—
une fois rentrés au club
devises aimables
vieux célibataires
je regarde danser les flammes
au travers des ailes translucides
d’un papillon
mort sur ma manche
pendant qu’on m’ote mes bottes
—
Question : les femmes informaticiennes sont elles des femmes ?
Counterquest : les feuilles aromatiques sont elles des feuilles ?
Laure de la maison du café nous en dira certainement plus
lors de notre prochain périple sur la côte atlantique
comme vous pouvez le constater
4 heures après l’heure fatidique
le monde existe toujours.
je l’ai donc sauvé.
merci à tous pour vos encouragements.
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Ces petits oiseaux ne sont pas morts, tu vois. A la nuit tombée, ils se parent de leurs plus belles couleurs et ils dansent pour moi. Ils sortent de leur boîte transparente et ils s’éveillent à la vie. Ce sont des oiseaux de nuit
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Oui mais le zèbre vit à Belleville
comment a-t-on pu en arriver là ?
les chants des femmes n’apaisent plus mon âme,
une énorme blessure
comme un gouffre béant
noircit ce qu’il me restait de passé,
ces lumières qui dansaient
et que dans mon coeur je gardais,
elles s’éteignent une à une,
j’ai été fou de penser qu’il pourrait combler ce manque
je n’ai plus de feu
je n’ai…
Tu m’as dit que tu m’aimais malgré mon corps défaillant
tu sais que je n’ai pas d’avenir
mais tu dis que tu m’aimeras encore quand j’aurai perdu mes dents
que tu m’aimeras toujours quand mes cheveux seront tous tombés
et même lorsque je commencerai à devenir fou et à oublier ton prénom,
tu m’aimeras encore
Merci, je t’aime aussi
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Il semblerait que « Laputa » soit un mot indigène (des habitants de l’île volante) dont Swift interprète la sémantique de façon suivante : le mot que je traduis par « île volante » ou « flattante » se dit en cette langue Laputa ; mot dont je ne distingue pas la vraie étymologie. « Lap » est un archaïsme et signifie « haut » en vieux laputien.
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Epreuves (Extraits)
A peine réveillé, j’ouvrais le placard ;
d’abord, un sentiment de joie vécu : comme si j’atteignais
une zone claire en moi, lieu que je ne connaissais pas ; comme un rêve furtif ;
puis la grâce s’étiolait, tu n’émettais plus de lumière,
et je baissais les yeux, pour pleurer, je n’avais rien vu, rien conservé
de cette sensation à travers laquelle j’avais perçu une
vérité silencieuse, si apaisante. Alors je descendais,
furieux contre moi (je n’avais pas approfondi cette vérité
silencieuse ) furieux contre toi (tu n’étais pas ouvert complètement).
Mais comment fallait-il se comporter? Te transformer ?
Te détruire ? Hélas, aucun énoncé ne soutenait le projet.
Pas de mode d’emploi. L’impuissance me faisait pleurer, des pleurs
qui me brûlaient puisque je ne savais pas pourquoi j’étais si triste.
Souvent, recherchant des objets à aimer, j’ai subi le drame
de l’illusion, l’illusion percée après coup, pensant que
ces objets étaient des dieux alors qu’ils n’étaient qu’images.
Etait-ce une ruse de ta part lorsque la photographie dans le placard (la femme qui courait en me souriant) suintait un moment, pour ensuite redevenir neutre, brutalement ?
Comme si tu me mettais à l’épreuve pour mesurer le danger
de l’image et sa formidable attraction vers le vide.
Femme oubliée, disparue. Une cendre que ma complaisance conservait,
parce que elle était la seule trace de mon passé.
La mettre de côté, la retourner eut été douloureux,
mais je connaissais l’importance de ce sacrifice que je finirais par faire pour toi. Car que pouvais-je risquer à présent dans cette aventure ? Me couper du monde ?
Le monde n’était plus que trois ou quatre choses : le supermarché,
le bar, le ciel parfois. Autant l’avouer : le monde était rétréci ;
je ne ressentais plus aucune joie pour ce monde.
De la pure matière indifférente à mes sens !
*** publicité onirique des temps modernes ***
pour venir à bout de tous vos problemes
buvez de l’alcool!
en effet, rien ne résiste à l’alcool,
(il dissout tout, hormis l’alcoolisme)
I can feel your hands
on my body
and hear your voice
but not see you…
I belong to yourself…
You come from myself… Ouuuhhhhhh!!!
Oh my Ghost !!!
Oh, please, I beg you to stay with me for-ever…

tu pensais vraiment en arriver là me laissant
de l’autre côté sans rien à prendre de ce
temps qui nous avait unis oubliant aussi l’image
que tu aimais m’entendre décrire celle de
nos corps en sang en joie
au présent je t’en prie l’image est ce présent
perpétuel hors d’atteinte mais qu’est-ce que ça veut dire
je résiste au désir de te rejoindre je fais
durer l’éternité mais qu’est-ce que ça veut dire
pourquoi du côté de la plume j’ai à débroussailler
le sens alors que depuis l’enfance je rêve formes
mélange palettes échanges
m’étant battu à mort pour
éliminer les phrases entre nous sucer
jusqu’à la fin les pauses les points
pour filer ensemble dans le mouvement
des choses en face c’est le mot par l’image
quand enfin je retrouve le ciel sans
pouvoir le nommer mais qu’est-ce que ça
veut dire la nuée la fatigue l’usure
la perte la mort de l’eau du point de l’image
à force d’avoir voulu savoir nommer pointer
nos efforts n’ont plus tenu tu le sais alors je me rattache
à n’importe quel signe pure de la vieille présence
nos corps en face gênés par la parole
silence mais qu’est-ce que ça veut dire ça ne dit plus rien
et ne passe plus que par le silence
caché sous leurs mots.
Petits conseils d’amies Paris le 17/5/03
-S’acheter des chemises blanches ou flashies
-S’acheter des tee shirts moulants (« arrête de porter ces pulls à carreaux tout flocos »)
– Ne pas être TROP gentil avec les filles.
– Etudier le personnage de Superman.
Superman: force et détermination
Clark Kent: Sérieux, calme, posé, dévoué.
– Avec les princes charmants elles s’ennuient.
– De toute façon des Cendrillons il n’y en a plus qu’au Bled.
– Ne pas harceler X. Laisser venir un petit peu.
– Ranger sa chambre. S’acheter des meubles, des vrais.
– Arrêter d’attendre trouver un autre job.
Fable.
Le photographe connut crise si forte qu’il se débarrassa
des image prises depuis 20 ans. Il avait tout photographié.
Et ces choses l’avaient dépassé.
II se sentit trahi ; comme si les images parlaient à voix haute :
“ Nous n’avons aucun intérêt. Nous sommes des copies.
Tu ne sais pas quoi faire de nous. Nous sommes devenus gênantes, sans signification. ”
Le photographe avait passé sa vie à ordonner
des éléments monde ( ce qu’il appelait le monde se limitait uniquement à
ce qu’il connaissait — illusion dont il prit conscience vingt années après
dans la solitude et la tristesse.
“ Je me suis trompé, dit-il. A quoi bon photographier une femme ou un abat-jour que j’aime ?
Primo, je ne les connaîtrai pas davantage.
Secundo, ce qui est visible me répugne.
Tertio, j’ai banalisé ma vie en la doublant. ”
Alors il descendit ces images à la poubelle, détruisit son appareil.
Quand il remonta, il s’adressa à sa fenêtre et lui parla :
“ A nous deux ma coquine, je te regarderai désormais sans aucun intérêt,
seule façon de comprendre, sans vouloir, te digérer. ”
Et il la palpa en fermant les yeux
Dans les hauteurs.
Clémentine partie mystérieusement de Paris, m’appelle
des Alpilles, et me raconte qu’elle dort chaque nuit
dans un monastère différent, loge gratis
& dîne gratis à condition de faire la vaisselle.
Un aumonier lui a dit ça :« Cette saloperie de prochain !
On l’aime bien quand-même ! »
Finalement Clémentine m’avoue n’être pas contemplative,
et dimanche, elle descendra à Marseille pour retrouver la ville.
Doux, exigeant, impliqué, simple et un peu barré
Je l’imagine, forcément je le sublime
A ma façon nous sommes intimes
Je ne l’ai jamais vu même si je l’ai plus ou moins rencontré
On revient toujours ici pour dire sa chose, la cracher, lit-on ;
Bizarrement, l’écran de mon ordinateur supporte
encore la salive, c’est sa sève.
La new-beetle décapotable m’a lâché sur le boulevard, le chauffeur m’a dit « je ne peux pas aller plus loin ».
Après je me souviens avoir couru, poursuivi par une boule blanche devant la Boule Noire, et puis plus rien, je me suis réveillé au petit matin, couché sur une banquette au Divan du Monde.
On ne s’échappe pas du Village.
M’en fous, ils sauront jamais pourquoi j’ai démissionné.
Avoir un pote tout noir nommé Georges…
Faire la conversation à une assemblée imaginaire…
Faire assez chaud pour ne prendre que son vélo…
Ne plus aller sous terre…
Dévaliser l’usine haribo…
Parler avec la musique et s’écouter soi-même…
Avoir envie de ne jamais avoir lu ce livre… pour le commencer à nouveau…
– Il fait beau aujourd’hui. C’est cool.
– Qu’est-ce qu’on en a à foutre qu’il fasse beau ? Y en a marre de la dictature du beau. Je ne suis pas vraiment beau, moi ; ça veut dire que je ne suis pas cool ?
– C’est pas pareil. Toi tu es beau parce que tu es cool. C’est dialectique, ou un truc dans ce genre.
– Mouais… peut-être.
Pataques cérébral
amour-art
jouissances intercédées
politique oblique
dispositif machinal
jardins de la tête d’or
la jeune femme et moi
ciel inconnu
la femme éléphant a chié rouge
extension du doigté
le ciel est tout
le safran était dans le coup
vous aussi, vous vous emmerdez pendant que les merguez cuisent ?
vous aussi, vous aimeriez prendre part aux conversations au lieu de surveiller les côtelettes ?
rassurez-vous !
car www.tourgueniev.com lance le…

imprimez les textes que nous vous fournirons toute la semaine, apprenez les par coeur et…
étonnez vos amis !
à la première réplique déclamée, vous deviendrez le centre d’intérêt de toute l’assemblée !
pour récompenser les tourguenistes dramaturges les plus talentueux, des prix seront décernés à la fin du festival.
Catégorie Tragédie :
Prix de la meilleur pièce
Prix de la meilleur réplique
Prix de la meilleure utilisation d’accessoire de barbecue (brochette, alcool à brûler, allumettes géantes, …)
Catégorie Comédie :
Trophée Supreme du Pain sur la Rousse
Trophée d’Honneur de la Rousse à la Merguez
Trophée Magique de la Rousse qui suce
bonne chance !
Perdu clone (suite)
Si vous me croisez assurez-vous bien que c’est moi
je me suis rasé la barbiche pour qu’on ne me confonde pas avec lui
Tu sais, je suis très déstabilisée de ce qu’il se passe entre mes parents, et j’attendais de toi que tu me rassures.
Au lieu de ça, je suis restée seule dans le vague pendant trois jours avec mes questions. Tu aurais pu me rassurer rapidement (de suite) en m’expliquant pourquoi les impôts avaient besoin de ma fiche de paye.
Il n’y a rien de pire que de rester dans le flou, et je n’ai pas besoin que tu m’engueules (je n’ai pas de temps à perdre avec de telles imbécilités incencées!) Mais plutôt encore une fois que tu me rassures et que tu me sécurises. C’est ce que j’attends de mon papa…
Je t’ai confié un original d’une de mes fiches de paye parce que je te fais confiance mon papa. J’espère que tu ne vas pas me décevoir…
Mais je n’ai rien craché sur toi !
Et puis ce crachage là ne t’était pas destiné d’abord…
… ni aucun à personne d’ailleurs !
Mais tu es parano !
Comment ça on dirait ?
Oui certains mais ça les regarde et pas moi…
Etrangement agréable…
Je tremble
Je n’ai pas froid
Le sommeil me manque
Pas la quiétude
Enfin si parfois
S’activer…
Grande journée numérique…
Aucune certitude…
perdu clone (suite)
je ne l’ai toujours pas retrouvé
Et en fait je pense qu’il s’agit plutôt d’une fugue.
En effet son comportement était étrange depuis quelque temps
il accomplissait les basses besognes (comme porter les trucs lourds,
faire les courses etc…) avec de plus en plus de difficulté et maugréait
carrément quand je l’envoyais se faire engueuler à ma place par mon
banquier ou mon patron.
j’ai surtout peur à l’idée qu’il se fasse passer pour moi dans l’intention
de me nuire
|
image
plane d’une orientation à trois dimensions–{#FF0000}–processus général de stéréo-photogrammétrie–{#FF0000}–nature pourvue d’une manière bien particulière–{#FF0000}–sentiment de profondeur de la scène observée–{#FF0000}–différence d’éloignement–{#FF0000}–O1 : (X1 Y1 Z1) = (0,0,0)—[soit+dit+en+passant] |
Je crois qu’il n’a jamais vraiment compris qui j’étais
et pas un seul instant je n’ai douté de la sincérité de ses accolades généreuses et de ses baisers envoutants
dommage d’avancer ainsi masqué
et de devoir tout dissimuler à ceux qu’on aime
je suis de ceux que le soleil indispose
et que la pleine lumière rend transparent
on ne peut s’y opposer
et on doit composer sans cesse avec cet ennemi intérieur
qui réclame sans cesse la vérité









































