I just don’t know what to do with myself…

TWS

Old par Gu. le 02 Mai 2003

C’est une page du cœur intime. Les méchants
peuvent m’attaquer. Les méchants, quant à
eux, n’en n’ont jamais fini. Ils peuvent dire que la
parole à soi, c’est insuffisant. Mais si tel
est le verdict, je meurs. Bizarre comme
la voix vient caresser ma pensée. Souvent,
je me bats pour faire une phrase. J’essaye d’être
direct pour me saisir.

Mon verre, ce héros.

<$BlogDescription$>

Wiki

———

Liens

Ca bug ce matin… ça bug…

Old par JR le 25 Mai 2003

F

Old par Gu. le 28 Mai 2003

en toute circonstance… rester glamour

Suite logique des évènements…

Old par Gu. le 29 Mai 2003

Un baiser virtuel tellement réel…

Old par Gu. le 09 Mai 2003

Bad Girl like(s) Violent Femmes

Do you like american music ?

Old par Gu. le 23 Mai 2003

Old par M. Fox le 03 Mai 2003

Je vais aller danser
Tralalalalèreuh…

Old par Gu. le 02 Mai 2003

REWARD

Leïla

Old par felix le 23 Mai 2003

Old par M. Fox le 01 Mai 2003

REWARD

Leïla

Old par felix le 19 Mai 2003


Old par M. Fox le 31 Mai 2003

16 abscences

31 retards

2 avertissements disciplinaires

Old par Gu. le 20 Mai 2003

Dans les hauteurs.
Clémentine partie mystérieusement de Paris, m’appelle
des Alpilles, et me raconte qu’elle dort chaque nuit
dans un monastère différent, loge gratis
& dîne gratis à condition de faire la vaisselle.
Un aumonier lui a dit ça :« Cette saloperie de prochain !
On l’aime bien quand-même ! »

Finalement Clémentine m’avoue n’être pas contemplative,
et dimanche, elle descendra à Marseille pour retrouver la ville.

La foudre de la mauvaise humeur !!!

Old par Gu. le 20 Mai 2003

don't worry and mail me

Found !!

Old par igor le 17 Mai 2003

Corbac & Boris

Deux ou trois jours au vert, dans la Creuse,
dimanche après midi, Boris
nous rejoint en compagnie de son corbeau qui
s’appelle Corbac, l’oiseau s’agrippe d’épaules
en épaules, il est est nourri de wiskas
pour petits chats ; il grimpe sur la table
mais chie dessus, je le prends alors pour le déposer
sur la branche d’un noisetier, mais Corbac revient
aussi tôt vers nous, et le soir, quand Boris rentre
chez lui pour rejoindre sa femme, Corbac
me manque atrocement.

vous aussi, vous vous emmerdez pendant que les merguez cuisent ?
vous aussi, vous aimeriez prendre part aux conversations au lieu de surveiller les côtelettes ?
rassurez-vous !
car www.tourgueniev.com lance le…

imprimez les textes que nous vous fournirons toute la semaine, apprenez les par coeur et…
étonnez vos amis !
à la première réplique déclamée, vous deviendrez le centre d’intérêt de toute l’assemblée !

pour récompenser les tourguenistes dramaturges les plus talentueux, des prix seront décernés à la fin du festival.

Catégorie Tragédie :
Prix de la meilleur pièce
Prix de la meilleur réplique
Prix de la meilleure utilisation d’accessoire de barbecue (brochette, alcool à brûler, allumettes géantes, …)

Catégorie Comédie :
Trophée Supreme du Pain sur la Rousse
Trophée d’Honneur de la Rousse à la Merguez
Trophée Magique de la Rousse qui suce

bonne chance !

===> <=== clique pour participer

I feel so quiet…

Old par Gu. le 06 Mai 2003

Le respect de soi passe par le respect de son corps.
Zen il ne lésine pas sur les moyens.
6 heures du mat c’est taï chi, respiration, karaté katas c’est 4×4 positions, cours de yoga, hygiène parfaite
il va même au hammam une fois par semaine.
Mange macrobio, évite les plats trop gras ou trop salés, n’achète que les fruits frais du marché.

Il adore les senteurs exotiques. Son appart est un sanctuaire d’encens.
Il n’aime pas le bruit, n’a pas de vis à vis et les soirs de fête c’est boules quiès pour les tympans.
Il ne supporte plus les excitants.
L’alcool c’est trop dangereux, addictif. Lui, il n’a pas besoin de ça pour s’amuser. Naturellement deshinibé c’est sûr
il n’y a qu’ à le voir danser, aïe!!!
Il boit quand même du déca mais de temps en temps.
La clope il a arrêté pour ses 30 ans. Du coup, il ne tient pas 20 minutes dans une salle enfumée.
Au comptoir coude à coude avec les poivrots, lui c’est jus d’oranges pressées.
Dispos et frais il assure le ramassage des potes en fin de soirée.

A SUIVRE…..

tu veux jouer ?

Old par M. Fox le 12 Mai 2003



Ce matin je me suis mal réveillé

avec ce rêve étrange

on chassait des peluches

à la chasse à courre

le docteur Glück sonnait son cor

et tes côtes rousses

disparaissaient de taillis en taillis



une fois rentrés au club

devises aimables

vieux célibataires

je regarde danser les flammes

au travers des ailes translucides

d’un papillon

mort sur ma manche

pendant qu’on m’ote mes bottes

Old par -- Zan le 30 Mai 2003

anti-ride…
on va s’y mettre…
à les racoler…
j’avais froid…
j’étais bien…

Old par Gu. le 06 Mai 2003

tache 03/06 accomplie
commencer tache supplémentaire ?

Old par M. Fox le 19 Mai 2003

Les admirateurs de belles femmes.

Les dingues d’images.

De voitures fuyantes.

De cranes lisses.

De femmes volubiles.

(Peut-on se dévoiler dans l’image ? Helas non, Felix. )

ETC

« Je pense qu’à la vue de ma patiente approche, elle va bien finir par s’apercevoir que je lui tourne autour …
– Soit, mais il y a des moments où il faut exprimer clairement les choses …
– Tu crois ?
– Evidemment, sinon tu vas arriver à rien. En plus les femmes adorent qu’on leur dise qu’on les désire …
– Ah ?
– Benh oui ! Qu’est-ce tu crois ?
– Ah.
– Mais enfin pourquoi tu ne lui dis rien ? T’as peur ou quoi ?
– Bien sûr, j’ai peur ! J’ai pas envie de me faire jeter ! J’aurais trop les boules après !
– T’as pas les boules, en ce moment ?
– Certes.

Le narrateur se replongea dans son abîme de perplexité que définitivement, pensa-t-il, il n’aurait jamais du quitter. Par la suite, plusieurs personnes lui reprochèrent de vivre dans ses fantasmes. A ces personnes, il répondit intérieurement que ses fantasmes ne lui faisaient pas de reproche.»

le récitant : … mais avec des pneus cloutés.

Old par igor le 28 Mai 2003

1 Dans un bus, assise, une femme et sa jupe, bavarde et cocasse comme une toile de Miro.
Images, je n’assume pas la gêne que vous me causez ! Que faire de vous ?
2 Une jeune fille, après être photographiée, fonce vers le photographe pour l’embrasser.
3 Un clochard explique trop longuement ses circonstances, sur trois stations, c’est beaucoup de donneurs potentiels qui descendent.

Beauté

Je voudrais dire deux ou trois choses sur la beauté.

Premier essai : la beauté comme énigme.

La beauté n’exige rien, et m’offre des pistes

que je dois traduire — pour être avec elle.

Si j’essaye de la posséder, elle se rétracte,

puis disparaît. Ma position de spectateur est la seule attitude

possible : prudemment distancié.

En elle, s’irise une image. Ne rentre pas dans la beauté, ne

te contemple pas en elle, sinon elle te crèvera les

yeux. La beauté est une chose du dehors. Est-ce l’émotion

qui la signale ? Oui, mais la beauté a quelque chose à voir

aussi avec la pensée mais je ne sais pas trop quoi. Quand Rimbaud

décide de lui tordre le coup, la beauté est devenue sa rivale.

Ne te bats pas contre elle, n’essaye pas de l’assagir, ou de la faire

mentir. Comme si la beauté était une création !

La beauté : dimension inconnue. En elle parle la raison

qui s’affolle, les larmes d’un enfant. Elle naît dans l’intervalle

mince, quand la vie matérielle se met à rêver.

Chacun a sa propre expérience de la beauté.

Quant à moi, je l’ai souvent trouvée au milieu des

grandes villes étrangères, sur un visage

mélancolique d’une femme qui allait nulle part.

La musique me provoque des bouffées extasiantes…

Plus nous la construisons, plus elle m’habite…

Old par Gu. le 06 Mai 2003

Ces canards stériles qu’on prend plaisir à éplumer

Old par Gu. le 28 Mai 2003

Old par igor le 26 Mai 2003

« SOUMETS TOI TOUT ENTIER A TON MEILLEUR MOMENT. » P.V.

Comment poursuivre ? Voilà la question
qui m’avait occupé jusqu’au moment crucial
(dimanche matin) où je décidais
sans consulter mes femmes, mes docteurs, de changer
du tout au tout en reprenant sur un autre mode le travail : fini
le temps de l’éparpillement aux quatre coins du désir,
temps perdu d’errance sans consolation, vite, une autre voie plus
lumineuse (même si le soleil faisait encore défaut) avec
un face à face émouvant comme une image fixe
découpée sur un film de Bergman en silence,
bouche ouverte qui ne dit rien, sentence revenue d’une très
vieille lecture (Blanchot Au Moment Voulu, 1996, Limousin)

« FAIS EN SORTE QUE JE PUISSE TE PARLER. »

L’affaire du clone (suite)

Non seulement mon clone semble lire ces lignes, mais il lui arrive de les écrire !
En effet mon dernier post n’était pas de moi, mais c’était bien lui qui se sert de mon
code d’accès pour brouiller les pistes !!!

Old par -- Zan le 02 Mai 2003

C-R-E-V-E    I-G-O-R

non, je n’appelle pas
je ne renvoie pas de mail
ne répond rien de précis.
pourquoi une photographie
plutot qu’une autre
avec ou sans intérêt
les images se suivent
et se ressemblent
un peu.
rien n’empêche
d’espérer la bonne
surprise.

Vous me liriez l’avenir ?


Old par M. Fox le 26 Mai 2003

– Ma soeur est là, mon ami arrive, mais où donc est le juge ?
– Il est occupé avec des moulins à vent, m’a t-on dit.
– Ha ok.

Old par Rodia le 03 Mai 2003

Tu sais, je suis très déstabilisée de ce qu’il se passe entre mes parents, et j’attendais de toi que tu me rassures.

Au lieu de ça, je suis restée seule dans le vague pendant trois jours avec mes questions. Tu aurais pu me rassurer rapidement (de suite) en m’expliquant pourquoi les impôts avaient besoin de ma fiche de paye.

Il n’y a rien de pire que de rester dans le flou, et je n’ai pas besoin que tu m’engueules (je n’ai pas de temps à perdre avec de telles imbécilités incencées!) Mais plutôt encore une fois que tu me rassures et que tu me sécurises. C’est ce que j’attends de mon papa…

Je t’ai confié un original d’une de mes fiches de paye parce que je te fais confiance mon papa. J’espère que tu ne vas pas me décevoir…

Old par Gu. le 18 Mai 2003

Pour la Catégorie Comédie, Trophée d’honneur de la rousse à la merguez

Old par Nicolai le 01 Mai 2003

Bang Bang !

Old par igor le 14 Mai 2003

dans la série ça dépend du point de vue

je me disais l’autre jour que la place d’Italie
n’a pas du tout la même configuration
si on la considère à 3m50 de hauteur

(et merci le printemps de nous faire lever les yeux)

Old par -- Zan le 03 Mai 2003

abymé

On se connaît ?

Jo(u)lieGü.

Old par Gu. le 27 Mai 2003

Titre de livre : pédagogie pour petites femmes.

their only crime was curiosity

Old par M. Fox le 08 Mai 2003



SpOke

vous

parle !

Old par Gu. le 28 Mai 2003

Le sommeil des heures durant

Ne plus voir le soleil levant

S’arrêter pour quelques instants

Faire la pluie et le beau temps…

Voir un lac, être un étang.

Old par Gu. le 21 Mai 2003


Old par -- Zan le 12 Mai 2003

Dialogues (Extraits)

– Je crois que l’image ne peut pas oblitérer la réalité.
– Tu as raison, c’est la réalité qui oblitère l’Image.

Didier Feldman
PUNCTUM

Old par Gu. le 09 Mai 2003

Je ferais mieux de changer de coiffure, non ?

ça me va pas cette coupe, hein ?

Je regarde la pluie tomber... again. Rememberance of a rainy day.

Tourgueniev vous parle de Spoke ce héros

Old par Gu. le 10 Mai 2003

Du soleil

et pas de regrets

Old par M. Fox le 31 Mai 2003

Ordure

Vilain

Salopard

Traitre

Pourriture

CONNARD !!!

(…)

Old par Gu. le 12 Mai 2003

Old par Gu. le 28 Mai 2003

Douce Nuit Calme

Old par Gu. le 06 Mai 2003

Le dialogue, ce héros…

Old par Rodia le 01 Mai 2003

Nos chemins se séparent à présent
petite fille
tu es si fragile
et tes rêves sont intacts

comme je t’envie !

Old par M. Fox le 14 Mai 2003

Fable.

Le photographe connut crise si forte qu’il se débarrassa

des image prises depuis 20 ans. Il avait tout photographié.

Et ces choses l’avaient dépassé.

II se sentit trahi ; comme si les images parlaient à voix haute :

“ Nous n’avons aucun intérêt. Nous sommes des copies.

Tu ne sais pas quoi faire de nous. Nous sommes devenus gênantes, sans signification. ”


Le photographe avait passé sa vie à ordonner

des éléments monde ( ce qu’il appelait le monde se limitait uniquement à

ce qu’il connaissait — illusion dont il prit conscience vingt années après

dans la solitude et la tristesse.

“ Je me suis trompé, dit-il. A quoi bon photographier une femme ou un abat-jour que j’aime ?

Primo, je ne les connaîtrai pas davantage.

Secundo, ce qui est visible me répugne.

Tertio, j’ai banalisé ma vie en la doublant. ”


Alors il descendit ces images à la poubelle, détruisit son appareil.

Quand il remonta, il s’adressa à sa fenêtre et lui parla :

“ A nous deux ma coquine, je te regarderai désormais sans aucun intérêt,

seule façon de comprendre, sans vouloir, te digérer. ”


Et il la palpa en fermant les yeux


Tourguenists at Work
Old par igor le 19 Mai 2003

Au marché aux fleurs, j'ai trouvé quelques chats pour toi... Au marché aux fleurs, j'ai trouvé quelques chats pour toi...
Old par D.b le 21 Mai 2003

Ghost in the Strange…

Old par Gu. le 06 Mai 2003

Old par M. Fox le 02 Mai 2003

phrase

Une phrase juste : portée à ce point d’incandescence qui attise les mots,

les noue les uns aux les autres. Juste équilibre entre une signification implacable

et un domaine réservé au vacillement, degré second de l’écriture,

domaine du silence.

j’ai du maquillage plein mes chaussures,

des étincelles plein les oreilles

et dans ma tete

le sang qui bouillonne

fait un bruit

comme une chute d’eau près d’une fenetre

Old par M. Fox le 23 Mai 2003

Old par Rodia le 13 Mai 2003

Mission accomplie.
Dossier supprimé suite à un choc sismique de forte amplitude, survenu 11 heures après la fausse fin du monde (cette subtile diversion…).
Demain, vidage de corbeille après une deuxième onde de choc (prévue dans le courant de la journée).
Ça fait un bien fou d’être enfin un salaud.
Je suis zen.
Qu’est-ce que j’suis zen !

Old par M. Fox le 02 Mai 2003

Je suis en train de faire
Une bétise monu-(mentale)

Old par Gu. le 02 Mai 2003

Note n°37 (aux urgences) : ne pas tenter de sucer un noyau d’avocat comme on le fait avec une cerise.

Old par Rodia le 02 Mai 2003

Heureusement elle a rencontré le Dr Glück
les informations sur le docteur Glück sont en cours de vérification

Old par -- Zan le 19 Mai 2003

Zen attention c’est souvent un faux calme.

Doux à l’extérieur irascible à l’intérieur.

Sûr il pète pas souvent les plombs mais quand il explose tu peux dire bye bye au disjoncteur.

Zen comme l’ex toxico qui te bassine avec sa rencontre avec Dieu.

Il fait les gros yeux quand tu fumes un joint.

Moraliste il donne des leçons, hausse la voix alors que ses bras

ressemblent à une autouroute à quatre voies.

Zen, avec ce mec là il faut être fort pour ne pas se faire chier.

aussi long que le présent

Old par M. Fox le 01 Mai 2003

A force de faire du vélo, j’ai de la corne sur les mains.

Old par Rodia le 01 Mai 2003

Epreuves (Extraits)
A peine réveillé, j’ouvrais le placard ;
d’abord, un sentiment de joie vécu : comme si j’atteignais
une zone claire en moi, lieu que je ne connaissais pas ; comme un rêve furtif ;
puis la grâce s’étiolait, tu n’émettais plus de lumière,
et je baissais les yeux, pour pleurer, je n’avais rien vu, rien conservé
de cette sensation à travers laquelle j’avais perçu une
vérité silencieuse, si apaisante. Alors je descendais,
furieux contre moi (je n’avais pas approfondi cette vérité
silencieuse ) furieux contre toi (tu n’étais pas ouvert complètement).
Mais comment fallait-il se comporter? Te transformer ?
Te détruire ? Hélas, aucun énoncé ne soutenait le projet.
Pas de mode d’emploi. L’impuissance me faisait pleurer, des pleurs
qui me brûlaient puisque je ne savais pas pourquoi j’étais si triste.



Souvent, recherchant des objets à aimer, j’ai subi le drame
de l’illusion, l’illusion percée après coup, pensant que
ces objets étaient des dieux alors qu’ils n’étaient qu’images.
Etait-ce une ruse de ta part lorsque la photographie dans le placard (la femme qui courait en me souriant) suintait un moment, pour ensuite redevenir neutre, brutalement ?
Comme si tu me mettais à l’épreuve pour mesurer le danger
de l’image et sa formidable attraction vers le vide.
Femme oubliée, disparue. Une cendre que ma complaisance conservait,
parce que elle était la seule trace de mon passé.
La mettre de côté, la retourner eut été douloureux,
mais je connaissais l’importance de ce sacrifice que je finirais par faire pour toi. Car que pouvais-je risquer à présent dans cette aventure ? Me couper du monde ?
Le monde n’était plus que trois ou quatre choses : le supermarché,
le bar, le ciel parfois. Autant l’avouer : le monde était rétréci ;
je ne ressentais plus aucune joie pour ce monde.
De la pure matière indifférente à mes sens !

Le faire c’est l’entendre aussi c’est certain!
Ainsi, l’entendre n’est pas forcément le faire…
Mais pour se faire entendre,
encore faut-il entendre le faire…

Old par Gu. le 06 Mai 2003

Il dit que chacun d’entre nous
doit planter son Arbre-aux-contes
vert, magique et brillant
qui saura le guider et l’accompagner
tout au long de sa vie

Old par M. Fox le 14 Mai 2003

ANTONIO – Oh! mais, quelle vile idole devient ce dieu! Sébastien, tu as déshonoré une noble physionomie. Dans la nature il n’y a de laideur que celle de l’ame. Nul ne peut etre appelé difforme que l’improbe. La vertu est la beauté. Quant au vice beau, ce n’est qu’un coffre vide, surchargé d’ornements par le démon!

Old par M. Fox le 23 Mai 2003

Banalement

Ordinairement

Rituellement

Normalement

Béatement

Actuellement

Docilement

&

B.a.d.i.d.e.dement

Assurément

Dorénavant

Généralement

Idéalement

Régulièrement

Lentement

.

.

.

Old par Gu. le 22 Mai 2003

Old par Gu. le 23 Mai 2003

I want you to know
To know how to snow
To snow on my body
My body’s the memory
The memory of all hands
All hands all mousses all eyes
All eyes disappeared at end
At end for you and I…

Old par Gu. le 14 Mai 2003

FELIX
Found

Old par felix le 16 Mai 2003

L’Hyper-paranoïa, ce héros…

Old par Gu. le 01 Mai 2003

Le chant des oiseaux avant le sommeil…

Rester soi…

Old par Gu. le 23 Mai 2003

Les journaux de la réalité synthétique n°1137227106 annonçaient la mort des images

Old par M. Fox le 23 Mai 2003

Women

Les petites vieilles s’entretuaient devant ma porte. Que pouvais-je dire ou faire ?

Les séparer ? J’en étais capable. Mais une vicieuse me fit un croc en jambe.

Je tombai sur le parquet. Me relevant, j’en giflai une. Les autres se mirent à pleurer.

J’éclatai aussi en sanglot. Elles profitèrent de mon abattement

pour se remettre à se battre.

Ces petits oiseaux ne sont pas morts, tu vois. A la nuit tombée, ils se parent de leurs plus belles couleurs et ils dansent pour moi. Ils sortent de leur boîte transparente et ils s’éveillent à la vie. Ce sont des oiseaux de nuit
Old par D.b le 21 Mai 2003

Old par M. Fox le 07 Mai 2003

ici »