tellement coincée
elle ne savait plus où se mettre


Old par -- Zan le 19 Mai 2003

I can feel your hands
on my body
and hear your voice
but not see you…

I belong to yourself…
You come from myself… Ouuuhhhhhh!!!

Oh my Ghost !!!

Oh, please, I beg you to stay with me for-ever…

Old par Gu. le 11 Mai 2003

de l'érotisme dans le combat, et inversement, de l'esquive et du frôlement...

Lui aussi…

…moi pareil!

Old par Gu. le 05 Mai 2003

Well, she was just 17, You know what I mean,

And the way she looked was way beyond compare.

So, how could I dance with another (ooooh)

when I saw her standin’ there.

Well she looked at me, and I, I could see

That before too long I’d fall in love with her.

She wouldn’t dance with another (ooooh)

when I saw her standin’ there.

Well, my heart went « boom, »

When I crossed that room, and I held her hand in mine.

Whoah, we danced through the night, and we held each other tight,

And before too long I fell in love with her.

Now I’ll never dance with another (ooooh)

Since I saw her standing there

Well, my heart went « boom, »

When I crossed that room, and I held her hand in mine.

Whoah, we danced through the night, and we held each other tight,

And before too long I fell in love with her.

Now I’ll never dance with another (ooooh)

Since I saw her standing there

Well, Since I saw her standing there

Since I saw her standing there

Parfois, il vaut mieux ne pas se méler
De ce qu’on a pas bien compris…
Ca fait d’inutiles ennuis
Et des histoires qui n’ont pas lieu d’exister…

Old par Gu. le 16 Mai 2003

Après tout j’en ai rien à foutre de la Langue Française.





ô ma Reine !

Je suis à tes pieds

comme ta robe



Old par -- Zan le 31 Mai 2003

Un baiser virtuel tellement réel…

Old par Gu. le 09 Mai 2003

Petits conseils d’amies Paris le 17/5/03

-S’acheter des chemises blanches ou flashies

-S’acheter des tee shirts moulants (« arrête de porter ces pulls à carreaux tout flocos »)

– Ne pas être TROP gentil avec les filles.

– Etudier le personnage de Superman.

Superman: force et détermination

Clark Kent: Sérieux, calme, posé, dévoué.

– Avec les princes charmants elles s’ennuient.

– De toute façon des Cendrillons il n’y en a plus qu’au Bled.

– Ne pas harceler X. Laisser venir un petit peu.

– Ranger sa chambre. S’acheter des meubles, des vrais.

– Arrêter d’attendre trouver un autre job.

Epreuves (Extraits)
A peine réveillé, j’ouvrais le placard ;
d’abord, un sentiment de joie vécu : comme si j’atteignais
une zone claire en moi, lieu que je ne connaissais pas ; comme un rêve furtif ;
puis la grâce s’étiolait, tu n’émettais plus de lumière,
et je baissais les yeux, pour pleurer, je n’avais rien vu, rien conservé
de cette sensation à travers laquelle j’avais perçu une
vérité silencieuse, si apaisante. Alors je descendais,
furieux contre moi (je n’avais pas approfondi cette vérité
silencieuse ) furieux contre toi (tu n’étais pas ouvert complètement).
Mais comment fallait-il se comporter? Te transformer ?
Te détruire ? Hélas, aucun énoncé ne soutenait le projet.
Pas de mode d’emploi. L’impuissance me faisait pleurer, des pleurs
qui me brûlaient puisque je ne savais pas pourquoi j’étais si triste.



Souvent, recherchant des objets à aimer, j’ai subi le drame
de l’illusion, l’illusion percée après coup, pensant que
ces objets étaient des dieux alors qu’ils n’étaient qu’images.
Etait-ce une ruse de ta part lorsque la photographie dans le placard (la femme qui courait en me souriant) suintait un moment, pour ensuite redevenir neutre, brutalement ?
Comme si tu me mettais à l’épreuve pour mesurer le danger
de l’image et sa formidable attraction vers le vide.
Femme oubliée, disparue. Une cendre que ma complaisance conservait,
parce que elle était la seule trace de mon passé.
La mettre de côté, la retourner eut été douloureux,
mais je connaissais l’importance de ce sacrifice que je finirais par faire pour toi. Car que pouvais-je risquer à présent dans cette aventure ? Me couper du monde ?
Le monde n’était plus que trois ou quatre choses : le supermarché,
le bar, le ciel parfois. Autant l’avouer : le monde était rétréci ;
je ne ressentais plus aucune joie pour ce monde.
De la pure matière indifférente à mes sens !

Post it

Photographier serait l’art de l’errance à la portée de tous.

Pour mon amie M :  » une pure folie. »

vivre sans femme est un enfer que je ne vous conseille pas

Old par Rodia le 09 Mai 2003

-(Mais tellement):-)

Old par Gu. le 19 Mai 2003

VU clone de ZAN (à moins que ce soit lui-même comment faire à présent!) 19h14
Mains d’oeuvre
Saint-Ouen
Mettait son corps à disposition pour performances artistiques de tous types!
Scarifications autorisées…
Il a même stipulé ne pas craindre la chirurgie plastique…
Il se fait appeler NAZ

Old par Gu. le 02 Mai 2003

Ne pas rester une grande petite fille même si c'est très tentant...


Here is the Master
Old par Gu. le 18 Mai 2003

Je vais aller danser
Tralalalalèreuh…

Old par Gu. le 02 Mai 2003

Ménager Doucement Mon Ame

Old par Gu. le 05 Mai 2003

E

Old par Gu. le 28 Mai 2003

Textes pour rien

Sublime, ce second moi !

Schizo, juste comme il faut… Non, vraiment, rien à

dire, c’est de la belle ouvrage !!!

(Est-ce que la Bad girl va voir les Whites Stripes,

demain soir ?)

Certains petits mails qui font plaisir…

Old par Gu. le 22 Mai 2003

Autoroute en construction…

Old par Rodia le 03 Mai 2003

AUTOLOGIE.

A 4h du matin, sorti d’un cauchemar.

Je lui dis :

— Rêvé que j’étais dans la voiture de mon père

qui roulait à 250km/h sur le périphérique sinueux.

Elle répond :

— Rêvé que tu me prenais par derrière à la

même vitesse, exactement.

(Peur que la machine s’embale, que je ne puisse plus

jamais sortir du bolide.)

Conversations.

(A propos de certaines têtes pensantes désagréables

du genre sciences-humaines )

— Ils ne savent ni jouir ni se perdre dans la nature.

— Ils détestent la nature. Ils ont oublié la nature.

(Nous nous acharnons à cultiver notre étonnement et en

même temps, nous restons sur nos gardes. Les petits salopards

ne nous font pas peur.

Usage de l’écrit.

Numéro de paon à la recherche d’un modèle.

L’artiste du jeun de K. reflète notre condition et ce

déséquilibre qui nous anime, en même

temps qu’il nous décrée. Un impresario !

Pessoa.

Grandiose Bernardo Soares et son attention aux choses

infimes (Tables de café, mouches etc.)qui n’ont aucun rapport

avec ce qui est ordonné et dont la présence est si forte

qu’elle vous écrase. Peur des grands immeubles,

bois cathédrales ; joie de baisser le regard sur le bitume

et d’y trouver une jeune pousse d’herbe rebelle, si indifférente

au monde social.

Les restes.

Des femmes que j’ai aimées, je n’ai gardé aujourd’hui

que leurs conseils pour être plus à l’aise dans le monde

matériel. L. : Méthode infaillible pour

enfiler la couette dans sa housse.

M. : Contrôle du froid. NE surtout pas trembler, ne pas claquer

des dents.

C. : Fûmer des joints en oubliant le joint.

Azul

Avez-vous regardé le ciel aujourd’hui ? Vous êtes-vous

bien réveillée ? Les transitions entre vos pensées ont-t-

elles été douces ?

(Questions chantées, musique souhaitée : Suite pour violoncelle ; si

possible la 1. de JSB.)


Titre.

Trouvé dans un ascenseur. « Inconsistance d’une vierge. »

Phrases pour rien.

Mon cœur bave par-dessus ma chemise.

Seins perlipopette.

L’héteroraide.

Mode.

Qu’est-ce que c’est qu’une littérature non-figurative ?

Celle qui refuse le trompe-l’œil de la fiction, le cadre du

récit.

AXIOME DEBILE.

Vas là où tu dois te rendre parceque tu n’as pas le choix.

T’arrêter, ou te retourner est maintenant impossible, bien plus

dangereux que de poursuivre.

Paperolles.

Le fait d’écrire sur des papiers volants prouve bien

que le livre me fait peur.

T. Bernhard :

 » En réalité nous n’aimons que les livres chaotiques,

que les livres qui ne forment pas un tout. ».


Les pages ne seront pas reliées ; il restera toujours

des trous entre les phrases.

75016

Un quinquagénaire assis à une table de café

qui lit les échos. Quand la patronne vient prendre

sa commande, il lui dicte son choix comme si elle était sa

secrétaire.

Foirade.

Les faibles ne prennent confiance en eux, que lorsqu’on leur

assigne une fonction, et qu’ils font quelque chose.

Lointain écho de Char :

 » Etre au monde est une belle œuvre d’art qui plonge ses artisans dans la nuit. ».

Encore.

—Votre personnalité est plus riche et plus complexe que vos textes.

— Le contraire m’aurait fâch&eacute.

27 ans.

Je suis comme un enfant qui vient d’apprendre à écrire.

Hier soir.

Nous dinons. Nous parlons. Salades de printemps, bières. En partant

nous remarquons que nous ne nous sommes même pas demandés

si ça allait.

Lui : « Fait autant chié que de parler du temps. »

Texto.

« Tu savais qu’introspection, c’était juste avant introuvable dans le dico ?

Encore.

Dispersion, attention, allitération, oblitération, pénétration,

réitération, adoration, lamentation, fellation, nation, passion,

fiction, fixion, sanction, cunilintion, portion, ablablation, succession, variation, médication.

Old par M. Fox le 13 Mai 2003

Les journaux de la réalité synthétique n°1137227106 annonçaient la mort des images

Old par M. Fox le 23 Mai 2003

j’ai mal aux seins et à l’aisselle,
c’est très étrange

Old par M. Fox le 19 Mai 2003

Old par M. Fox le 15 Mai 2003

le récitant : "c’est ce qu’elles disent toutes"

Voyeur, acteur, spectateur — vous choisirez pour

moi, merci d’avance.

Tomber à travers les nuages

très vite

pour surprendre le diable

disparaitre

Old par M. Fox le 22 Mai 2003

Nomme moi,
je veux l’entendre de ta bouche
ce nom que je porte
comme une plaie
ou une courronne d’orties,

partout en l’entendant
les foules chuchotent,
mon ombre partout me précéde,
les mères cachent leurs enfants si j’approche,
on dit que de croiser mon regard porte malheur
et tous m’évitent

ose,
toi qui a brulé mon ame

NOMME MOI,
tu me dois au moins ça
après tout ce que j’ai fait pour toi
et ces années d’abnégation
passées à ton service
à te chérir
et te protéger

je préfere me donner la mort
que de rester ainsi dissimulé,
mon amour pour toi ne me le permet pas,
nul recoin obscur
ne peut resister à ce brasier !

NOMME MOI !

Old par M. Fox le 15 Mai 2003

Lu tard dans la nuit un livre terrible

Elle parle! Oh! parle encore, ange resplendissant! Car tu rayonnes dans cette nuit, au-dessus de ma tête, comme le messager ailé du ciel, quand, aux yeux bouleversés des mortels qui se rejettent en arrière pour le contempler, il devance les nuées paresseuses et vogue sur le sein des airs!

Old par M. Fox le 31 Mai 2003

Old par -- Zan le 13 Mai 2003

Sucrée salée, j’aime ta salive
sucrée salée,
j’aime tes yeux fous
et tes baisers

sucrés salés

Old par M. Fox le 02 Mai 2003

Nos chemins se séparent à présent
petite fille
tu es si fragile
et tes rêves sont intacts

comme je t’envie !

Old par M. Fox le 14 Mai 2003




le plaisir sur le bout des lêvres

pourtant c’est un organe intéractif…

A force de faire du vélo, j’ai de la corne sur les mains.

Old par Rodia le 01 Mai 2003

« Je pense qu’à la vue de ma patiente approche, elle va bien finir par s’apercevoir que je lui tourne autour …
– Soit, mais il y a des moments où il faut exprimer clairement les choses …
– Tu crois ?
– Evidemment, sinon tu vas arriver à rien. En plus les femmes adorent qu’on leur dise qu’on les désire …
– Ah ?
– Benh oui ! Qu’est-ce tu crois ?
– Ah.
– Mais enfin pourquoi tu ne lui dis rien ? T’as peur ou quoi ?
– Bien sûr, j’ai peur ! J’ai pas envie de me faire jeter ! J’aurais trop les boules après !
– T’as pas les boules, en ce moment ?
– Certes.

Le narrateur se replongea dans son abîme de perplexité que définitivement, pensa-t-il, il n’aurait jamais du quitter. Par la suite, plusieurs personnes lui reprochèrent de vivre dans ses fantasmes. A ces personnes, il répondit intérieurement que ses fantasmes ne lui faisaient pas de reproche.»

Corbac & Boris

Deux ou trois jours au vert, dans la Creuse,
dimanche après midi, Boris
nous rejoint en compagnie de son corbeau qui
s’appelle Corbac, l’oiseau s’agrippe d’épaules
en épaules, il est est nourri de wiskas
pour petits chats ; il grimpe sur la table
mais chie dessus, je le prends alors pour le déposer
sur la branche d’un noisetier, mais Corbac revient
aussi tôt vers nous, et le soir, quand Boris rentre
chez lui pour rejoindre sa femme, Corbac
me manque atrocement.

caféUne certaine idée du bonheur...thé

De gros efforts, oui. Mais il arrive qu’on soit récompensé.

Continuer, donc…

Old par D.b le 20 Mai 2003

Il y a toujours plusieurs façons d’interpréter la réalité.

Old par Rodia le 13 Mai 2003

Deux soleils brillent,

rien que pour toi

Old par M. Fox le 18 Mai 2003

Intensité

Pourquoi un livre écrit sans style (sans revendiquer

un style) me fascine, plutôt qu’untel qui use du langage

comme d’un pétard ?

Des noms !

Vieux mythe de l’écriture blanche, blanchotienne.

« Degré zéro » etc.

Ecriture réduite &agrave un pure outil ;

oublier d’urgence le rêve de se fondre

dans ce qu’on dit. Instrumentalisation avant toute

chose. Le récit, vite ! Fadaises psychologiques

laissées aux autres.

Degr&eacute Zorro de l’écriture !.(Justice, violence etc.)

Efficacité. Vite !

Oedipe au placard.

Roger Laporte au cachot.

Proust attaché à la robe de môman.

Rêve d’une écriture dont la sensibilité ne

serait pas trop pantelante.

Auteur disparu ?

Pulvérisé ?

 » Que mon effacement soit ma façon de resplendir ! «  (Jaccottet)

ETC

Entendre les ailes du papillon en vol…

Avoir une très bonne ouïe…

Old par Gu. le 25 Mai 2003

Les mongolfières
Mon rêve d’enfant
Partout j’en voyais
Un jour je m’envolerai
Au grès du vent…

Old par Gu. le 02 Mai 2003

« Quand je ne devrai plus rien à personne, je partirai.
– Qu’est ce que cela veut dire ?
– Comment ça ? Qu’est ce que cela veut dire ? Il y a un mot que tu ne comprends pas ?
– Ben non, je comprends tous les mots, mais je ne vois pas la signification de cette phrase.
– Moi, non plus ; et si par hasard il existe un sens, je ne l’assume pas !
– Mais, pourquoi alors dis-tu cette phrase ?
– Je ne sais pas. »

maithili

prend mon sourire

dans sa main

en souriant

la pluie tombe

mais pas trop fort

tout est une question

de rires et de pleurs

le récitant : totally fucked up.

Old par igor le 30 Mai 2003


les temps changent, avant on faisait plus dans le diamant

Old par igor le 13 Mai 2003

en chantant:

« we wil we will rock you »

F

Old par Gu. le 28 Mai 2003

le cosaque est à droite, la copine à gauche...


alors là je suis largué :

d’habitude je vous raconte ma vie et mes aventures sans rien vous dissimuler à vous fidèles lecteurs mais aujourd’hui vraiment je ne me sens pas de le courage de le faire. pas envie de parler de mes experiences interlopes de la nuit passée, de ces fillettes et de ces petits garçons hongrois qui fouettent sans se lasser les fesses municipales. non vraiment, je n’ai pas le coeur à en parler. je vais vous écrire une petite fiction en Ré mineur.


fiction :

j’ai une petite amie, je l’aime fort fort, elle est triste à cause de moi et de ma manie de claquer les portes. ce soir, je vais être gentil et tenter de me faire pardonner d’être un si mauvais Prince Charmant.


alors là je suis largué :

– c’est la copine de Conan qui est morte

– Conan est super sérieux

– Conan fout le feu au bucher funéraire

– y’a deux potes de Conan :

– un vieux sage et un archer cosaque.

– l’archer cosaque (à moustache) pleure.

– le vieux sage demande : « pourquoi tu pleures ? »

– et le cosaque de répondre :

– « parce que Conan, c’est un Cimmérien,

– et un Cimmérien ne pleurera pas,

– alors je pleure pour lui. »

in Conan the Barbarian

Old par igor le 20 Mai 2003


Old par -- Zan le 13 Mai 2003

tu n’es pas un homme pressé

Old par M. Fox le 05 Mai 2003

Old par Gu. le 21 Mai 2003

Est-ce un chien-loup ou un kangourou sur cette affiche derrière lui?

Old par Gu. le 06 Mai 2003

Côté musique zen il en connaît un rayon.
Les années 60, 70 il a suivi toutes les évolutions.
Ex rocker tardivement reconverti au punk, il est passé à la world c’est tellement plus calme.
Il a plus de 1500 cds pour la plupart commandés, ils sont évidemment introuvables maintenant.
Il aime aussi le jazz mais pas n’importe lequel. Coltrane, Shepp, Ayler il laisse ça aux autres,
son kiff c’est Texier, les frères Kuhn, Garbajek. Petite musique de chambre ça coule de source.
Il n’aime pas les bass, les boum boum comme il le dit.
Le hip hop, le trip hop, la techno, l’électro, la house ça ce n’est pas de la musique.
Va aux concerts Tsiganes. Passe vingt plombes à t’expliquer le jeu de shankar à la cithare
Il en a marre de la pop ça fait longtemps qu’il est passé aux choses sérieuses.

Au cinéma il apprécie les films à petits budgets.
Les colombiens qui vendent les bagouses de leur mère pour se financer
et qui ont de bonnes critiques dans les Cahiers.
L’asiatique c’est tellemnt sensuel, senti, volontaire, esthétiquement beau.
En tous lieux, il milite pour la v.o. Hollywood est corrompu, il va à la cinémathèque boyocotte le MK2
c’est tellement mieux il sûr de ne pas faire la queue.

Ses commentaires, toujours les mêmes expressions toutes faites: c’était sympa, riche, intéressant
Nous voilà bien avancés…

A SUIVRE

Unité de lieu : un concert de musique de chambre hommage à Astor Piazzolla,
Unité de temps : un dimanche soir
Unité de protagoniste : moi

Arrivé une demi-heure avant le début du concert, l’hôtesse de l’opéra de Paris m’installa dans la loge 37 face à la scène au deuxième étage, pour l’instant vide ; cette loge contenait six places, 3 rangées de deux fauteuils. J’occupai la cinquième place, un des deux sièges au troisième rang.
Le casque dans les oreilles, un livre médiocre de science fiction dans la main, j’imaginai quels pouvaient être les autres occupants de cette loge.
Après plusieurs minutes d’attente, j’entendis le bruit de l’ouverture de la porte de la loge. Quelle ne fut pas ma stupéfaction quand je vis entrer deux magnifiques jeunes filles, adolescentes aux longs cheveux blond, la peau vénitienne et le regard prude.
« Mon Dieu ! » m’exclamai-je intérieurement.
Je me levai pour m’effacer devant elles lorsqu’elles rejoignirent les deux fauteuils du premier rang et je m’aperçu qu’elles étaient accompagnées de leurs parents.

Le concert était très bien et j’aime beaucoup le Tango, composé par Astor Piazzolla.

Ne suis-je pas en train de faire une énorme connerie ?

Old par Rodia le 02 Mai 2003

Old par Rodia le 13 Mai 2003

Doux, exigeant, impliqué, simple et un peu barré
Je l’imagine, forcément je le sublime
A ma façon nous sommes intimes
Je ne l’ai jamais vu même si je l’ai plus ou moins rencontré

Old par Gu. le 02 Mai 2003

LA MORT EST ADHÉRENTE FNAC !

Old par DrT le 10 Mai 2003

I smell a rat!

TWS

Old par Gu. le 07 Mai 2003

Socrate-la-Torpille dit :

ja men jeg kommer ikke inn, får bare feilmelding, må jeg bruke ms?

Socrate-la-Torpille dit :

oups excuse

Socrate-la-Torpille dit :

je me suis trompé de fenetre

Old par igor le 21 Mai 2003

T1 + S1.
T2 + C1.
T2 != C1.
S2 != O.
S1 != T1.
S1 + O.
S1 != S2.
T2 + C2.
S1 != T2 + C2.
T1 + C1.
S1 != C1.
S1 != T2.
T1 != C1.
T2 != T1.
T1 -> S2.

Old par Rodia le 13 Mai 2003

Tu pourrais faire quelque chose de ta vie : tes talents
ne manquent pas. Exercer un métier ?
Pour camoufler une activité plus secrète.
Parfois tu iras bien loin de tes origines.

Mort amoureuse, passage du coit au cercueil,

vieillissement prématuré de ton sein droit que

j’aime encore, échange de salive et d’instants

momifiés dans ma mémoire, existences.

PLUSIEURS VIES VECUES ENTRE DEUX PHRASES !

Jo(u)lieGü.

Old par Gu. le 27 Mai 2003

[admitted]Fact : Les amis de mes amis sont mes amis

[counter]Fact : Mes amis sont tous des disruptions clonées de moi même

Les amis de mes amis sont tous des propagation de cette mutation. Ils sont des clones de mes amis.

Old par JR le 25 Mai 2003

le récitant : … mais avec des pneus cloutés.

Old par igor le 28 Mai 2003

Consultez l’abbé pour plus d’information (ou Zan original…)

Old par Gu. le 06 Mai 2003

— Je vous attends.
— Vous me semblez trop disponible.
— Et alors ?
— Je n’aime que les gens pressés, désagréables.

j’ai un problème

Trop de foirades dans le monde des à-peu-près !

« – hé t’as vu c’est marrant chez toi,

on trouve des peplums canins au hasard des gondoles

– hin hin »


Old par -- Zan le 22 Mai 2003

J’ai l’ame un peu vague,

je ne me lasse pas de tes yeux bleus et de tes yeux noirs,

j’aime ton sourire coquin et réservé à la fois

ta façon de me dévisager sans trop y croire

de ne pas vouloir m’imposer ta présence

j’ai trop revé

j’ai trop tiré sur la corde et la trame est rompue

je ne peux plus aimer

comme j’ai su le faire

avant

Old par M. Fox le 23 Mai 2003

STRIKE

– Quitte à être gay, autant être celui qui se fait enculer
– Tout à fait, sinon, autant rester hétéro
– On peut aussi sucer des bites. Hi hi.
– Attention, on nous regarde. Ayez l’air con, souriez.

Old par Rodia le 01 Mai 2003

TRAITS COURTS

(Autologie aussi comme recyclage de vieux

machins d’il y a quelques années,

crachés ici et maintenant pour m’en débarrasser.)

« – C’est quand même bizarre pour une plastichienne, de venir de Niche…

– hin hin « 

Old par -- Zan le 22 Mai 2003

Veuillez briser les images, décoller

le résidus du monde, plonger

ces fragments dans l’eau chaude, attendre

de nouvelles craquelures, et restez joyeux,

je vous en prie.

(DIX MILLE MONDES ENTRE CHAQUE PARAGRAPHE)

« Loin de moi l’idée de vouloir te critiquer, mais quel est le sens de ta vie ?
– Ben, j’en sais rien …
– Tu ne voudrais pas te remuer un peu ?
– Ben ouai, j’aimerai bien mais je ne sais pas quoi faire.
– Y a des assoc. Tu pourrais donner des cours à des enfants par exemple.
– J’y ai pensé.
– Bon tu l’as fait ? T’as pris contact ?
– Ben, non.
– Pourquoi ?
– …
– Pourquoi, je t’pose une question ?
– … ; …
– Tu fais vraiment rien pour t’arranger.
– Je sais, j’y arrive pas …
– T’es foutu mon petit bonhomme ; si tu te sors pas les doigts du cul, qu’est tu crois qui va t’arriver ? Rien !
– …
– T’es nul ! T’es nul ?
– …
– Ben, dis quelque chose, défends toi ! Alors ?
– …
– T’es vraiment nul. Je m’demande pourquoi je suis ton ami !
– T’es pas mon ami ; j’en ai pas.
– J’ai eu peur, je me disais que je peux pas être l’ami d’un type comme toi.
– T’es rassuré.»

VISIT GENIUS!

Lorsque la simple désignation de l’objet
le fait advenir comme tel à la réalité…

Old par Gu. le 07 Mai 2003

C. m’a raconté que son homme l’insulte quand il lui fait l’amour.
Une phrase revient régulièrement :
“ Montre moi comment elles aiment jouir les petites putes. ”


Tourguenists at Work
Old par igor le 19 Mai 2003

Je crache du sang à présent,

j’ai tout fait pour leur cacher
mais mon mal se fait insistant,
j’espère vivre au moins une semaine
pour avoir le plaisir
de te serrer une dernière fois contre moi,
chaud, doux
et en bonne santé

à bientôt, mon amour !

Old par M. Fox le 12 Mai 2003

aussi long que le présent

Old par M. Fox le 01 Mai 2003

Bernard vient de rentrer du Népal…
Il est assez heureux…
Il prend une douche…
Il a un sabre…
Et on dirait un enfant…
Loin de toute réalité de la proximité…
L’Himalaya…

Old par Gu. le 11 Mai 2003

Rançon
Rançon
Rançon
Rançon
Rançon
Rançon
Rançon
Rançon…

Dormir
Dormir
Dormir
Dormir
Dormir
Dormir
Dormir
Dormir
Dormir
Dormir
Plaisir…

Old par Gu. le 15 Mai 2003

Faire attention à trop de bonheur.

Old par Gu. le 19 Mai 2003

Camille

La première fois que j’ai croisée Camille, mes yeux se sont fixés sur sa silhouette entraperçue. Puis, je l’ai cherchée du regard à chaque occasion. Je l’ai dévisagée sans vergogne, rougissant de la complicité que son attitude sous-entendait.

Les cheveux courts en bataille, le regard faussement hautain, le sourire amusé, le menton résolu, elle aussi m’attendait, patiente et terriblement désirable.

Son attitude est un défi qu’elle m’adresse et qui me susurre : « Rejoins-moi ! ».

J’ai envie de me jeter sur elle, de partager un moment de tendresse, de jeux, de faire tournoyer les draps autour de nous.

Mon désir est sain et pur.

Vêtue de ses seuls dessous (C & A, soutien-gorge 15€95 et string 5€95), elle m’est fidèle sur ses six mètres carrés et restera là pour moi, en attendant d’être remplacée par une plage des Caraïbes, ventant les mérites d’une agence de voyage anonyme.

Qu’en pensez vous?
Deux jumelles amésiques
Une allure de sorcières
D’anciennes photos dans un sac
A la recherche de leur passé
Elles arpentent les rues de Saint-Ouen
Avec Régularité
On les nomme
Celles qui marchent

Old par Gu. le 02 Mai 2003

ici »