Allez, roule pour un supplémentaire!
Gniark-gniark-gniark…
Si un jour tu peux venir…
C’est assez N.A.P.
C’est quoi N.A.P.?
Neuilly-Auteuil-Passy…
Serieux tu les fais boire un peu, et tu leur fais signer des chèques hein!
C’est très bon ce que vous faîtes, moi ça me parle beaucoup.
Moi mes parents…
C’est time consuming…
Mais sois serieux avec ces gars là
Reste là, écris! écris! Tu nous a mis l’eau à la bouche…
Il faut que je trouve la rentrée d’argent récurrente…
Mais va voir ces petits fils de pute d’Auteuil là!
Comme des belettes.
Je lui ai offert du muguet et une brosse à dent, ça c’est de l’intronisation!
Samedi, dimanche, mardi… moi me lever avant neuf heures c’est chaud…
Nous n’irons plus au bois, les chasseurs sont méchants…
PAIX, AMOUR, LIBERTE ET FLEURS…
L’arme fatale, tu es plein de pertinence, ça bouge!
Big up, luxe, création et beauté…
Quand t’es un poète, y faut raquetter cette racaille!
The sand of the desert of Yondo is not as the sand of other deserts; for Yondo lies nearest of all to the world’s rim; and strange winds, blowing from a pit no astronomer may hope to fathom, have sown its ruinous fields with the gray dust of corroding planets, the black ashes of extinguished suns. The dark, orblike mountains which rise from its wrinkled and pitted plain are not all its own, for some are fallen asteroids half-buried in that abysmal sand. Things have crept in from nether space, whose incursion is forbid by the gods of all proper and well-ordered lands; but there are no such gods in Yondo, where live the hoary genii of stars abolished and decrepit demons left homeless by the destruction of antiquated hells.
Tu m’as dit que tu m’aimais malgré mon corps défaillant
tu sais que je n’ai pas d’avenir
mais tu dis que tu m’aimeras encore quand j’aurai perdu mes dents
que tu m’aimeras toujours quand mes cheveux seront tous tombés
et même lorsque je commencerai à devenir fou et à oublier ton prénom,
tu m’aimeras encore
Merci, je t’aime aussi
– Quitte à être gay, autant être celui qui se fait enculer
– Tout à fait, sinon, autant rester hétéro
– On peut aussi sucer des bites. Hi hi.
– Attention, on nous regarde. Ayez l’air con, souriez.

dans la série ça dépend du point de vue

je me disais l’autre jour que la place d’Italie
n’a pas du tout la même configuration
si on la considère à 3m50 de hauteur
(et merci le printemps de nous faire lever les yeux)
Ce qu’il faut faire
Dans ton texte, laisse apparaître les ratures, repentirs, contre l’idée
dégoûtante de la réussite, et du prêt à admirer.
ETC.
Les admirateurs de belles femmes.
Les dingues d’images.
De voitures fuyantes.
De cranes lisses.
De femmes volubiles.
(Peut-on se dévoiler dans l’image ? Helas non, Felix. )
ETC
Demain, vérifier l’absence de corps étranger maléfique
Ce soir, redescendre un peu sur terre
J’ai horreur des descentes…
KAFKA M’A DIT HIER SOIR AU TELEPHONE :
« Dans ton combat avec le monde, seconde le monde. »
MAIL DE PROUST (ce matin) :
« Les années heureuses sont les années perdues,
et on attend une souffrance pour travailler. »
TEXTO DE STENDHAL (à midi) :
« Mes jugements ne sont que des aperçus. »
Ici, le site pour les admirateurs de belles femmes qui fument des cigarettes et dévoilent leurs charmes.
Bien plus intéressant que Matrix 2 : Leila
L’univers
est factice
Il tourne sur lui-meme
pour avoir l’impression d’exister
Il est faux,
lache et envieux
Je le déteste
Ecrit en pause longue
Clic
Parler pour soi ne va pas de soi.
Avis
Vivre est désormais inséparable de l’écriture, le
mariage est déjà consommé.
400 iso
Je regarde sur la planche de la bibliothèque les dix
films noir et blanc non développés. Pourquoi
est-ce ainsi ? 360 images de la vie cachées dans
ces boîtes. Je ne me souviens de rien.
Il doit y avoir, grosso modo :
– Des inconnu(e)s
– Des connu(e)s.
– Objets d’intérieurs.
– Fragments de nuages.
– Une épaule.
– Un pied.
– E. cachée sous les couettes pour fuir l’objectif.
– Portrait de mon père sur son canapé Louis XV (rouge).
– Autoportraits insatisfaits.
– Chute de films illisibles.
– Peut-être des images d’Italie ? (Milan ? Turin ?)
Contrariétés
Je n’écris pas (ou très peu) d’histoires. (Nouvelles ou romans.)
Dans la vie, quand une histoire amoureuse s’amorce, je flippe, je me casse
et retrouve mon chaos : repère pas pépère du tout.
ALLEZ SAVOIR POURQUOI !
Autologie.
Autoportrait en rameur.
Clac
Je m’endors sur le grand canapé
rouge, comme une Olympia déplûmée. Entendez- le
comme vous voudrez : fauché, à court d’idées.
Facile.
Je défie quiconque d’affirmer que les sonates de Mozart
pour piano sont douces.. Les coupables sont rassurés par ce
qu’ils croient entendre. Mais ils stagnent dans une mauvaise interprétation
de la vie et de la musique. Erreur… Je le clame. Et je les entends déjà
vitupérer : l’énergumène, où veut-il en venir ?
Pas tout de suite les enfants.
Que regrettez-vous ?
Au commencement, comme tout le monde, je me suis dit : quel délice,
quel mouvement suave ! Puis écoutant inlassablement la même sonate,
elle devint odieuse. Je me mis à entendre autre chose… Je ne sais quoi…
comme s’il y avait une moquerie cachée dans la mélodie.
Mozart se foutait de moi. Mais je ne tombai pas dans le panneau. Dés les
premières notes, on s’attend à trouver une émotion.
Là ? rien…un défi grotesque sur lequel les épisodes
de ma vie ne font que buter. Et la musique continue de m’humilier ; elle diverge de mon
âme. Je suis exaspéré par cette douceur qui n’est qu’un cri avant la
sécheresse de mon cœur.Quoi alors ces sonates ? Des regrets de regrets.
Etrangement agréable…
Je tremble
Je n’ai pas froid
Le sommeil me manque
Pas la quiétude
Enfin si parfois
S’activer…
Grande journée numérique…
Aucune certitude…
Le verdict de l’expert en chef
a enfin été rendu public :
il s’agit là de DRAGOLO
(savant mix de Dragibus, Floppy, Fraisibus et Ours d’Or)
Rançon
Rançon
Rançon
Rançon
Rançon
Rançon
Rançon
Rançon…
Dormir
Dormir
Dormir
Dormir
Dormir
Dormir
Dormir
Dormir
Dormir
Dormir
Plaisir…
Pour rester zen, il vit sur le long terme en se posant les bonnes questions pour les choix qui s’imposent.
Ne pas se laisser submerger par la tension, le négatif stress.
Il a troqué le métro pour son vieux vélo et le week end fait le tour des quais en rollers tout en scrutant le coefficient de pollution de l’air.
D’humeur égale en tous temps. Encéphalogramme plat bip, bip, bip, bip.
Avec lui pas de surprises ou presque.
La folie, la démence de la jeunesse il a connu et en est revenu.
Il a passé l’âge de faire des conneries, on peut compter sur lui il fait toujours ce qu’il a promis.
Raisonnable, il sait qu’il faut savoir dire NON.
Pas rancunié pour un sou.Tout le monde peut s’emporter avoir ses écarts (sauf lui).
Il faut pardonner un point c’est tout, promouvoir le dialogue car la violence ne résoud rien.
Prévoyant, attentionné, rangé. Un brin maniaque: le ménage c’est tous les soirs. Sa chambre ressemble au couloir d’un hôtel.
Rien ne dépasse c’est l’équilibre en tous points.
A SUIVRE….
La musique comme seule sensation
J’écoute de la musique :
quand je travaille,
quand je prends le métro,
quand je cours,
quand je suis seul chez moi,
quand je lis,
quand je m’endors.
Bientôt, j’écouterai de la musique :
quand je serai au téléphone,
quand ils me parleront,
quand je disparaîtrai.
Téléphone.
— Tu es bien incapable de te taire, mais tu n’as
aucune idée de ce que tu veux dire.
— Est-ce grave ?
— Pour les autres, oui.
— Ecrire pour sonder le gouffre, et le creuser encore.
— Projet bidon.
— Au moins, si je savais écrire des livres pour
enfant, je serais satisfait.
— Bien incapable.
—Ou des romans roses pour petites femmes perdues dans les trains.
—Bien incapable.
— Au lieu de ça : grandiloquence, tragédien minable.
— Qui es tu pour me dire tout ça ?
— Celui qui s’est tu.
ETC
ANTONIO – Que la faveur de tous les dieux aille avec toi! (Sort Sébastien.) J’ai de nombreux ennemis à la cour d’Orsino; sans quoi je t’y rejoindrais bien vite… Mais advienne que voudra; je t’adore tellement que le danger me semblera un jeu, et j’irai…
Mes poivrons grillés à l’huile d’olive…
Sourire aux têtes connues dans le quartier…
Retrouver un polaroïd à soi affiché dans un bistrot…
La langue, l’oralité, la bouche, le palais…
Les feuilles pourpres et safrans à l’automne venu…
La coriandre, l’aneth, le poivre vert et le basilic…
Tomber dans les bras de Morphée en pensant à un inconnu…
Hier soir, résultat de la StarAcVision à Cash City dans le 9ème :
Epreuves (Extraits)
A peine réveillé, j’ouvrais le placard ;
d’abord, un sentiment de joie vécu : comme si j’atteignais
une zone claire en moi, lieu que je ne connaissais pas ; comme un rêve furtif ;
puis la grâce s’étiolait, tu n’émettais plus de lumière,
et je baissais les yeux, pour pleurer, je n’avais rien vu, rien conservé
de cette sensation à travers laquelle j’avais perçu une
vérité silencieuse, si apaisante. Alors je descendais,
furieux contre moi (je n’avais pas approfondi cette vérité
silencieuse ) furieux contre toi (tu n’étais pas ouvert complètement).
Mais comment fallait-il se comporter? Te transformer ?
Te détruire ? Hélas, aucun énoncé ne soutenait le projet.
Pas de mode d’emploi. L’impuissance me faisait pleurer, des pleurs
qui me brûlaient puisque je ne savais pas pourquoi j’étais si triste.
Souvent, recherchant des objets à aimer, j’ai subi le drame
de l’illusion, l’illusion percée après coup, pensant que
ces objets étaient des dieux alors qu’ils n’étaient qu’images.
Etait-ce une ruse de ta part lorsque la photographie dans le placard (la femme qui courait en me souriant) suintait un moment, pour ensuite redevenir neutre, brutalement ?
Comme si tu me mettais à l’épreuve pour mesurer le danger
de l’image et sa formidable attraction vers le vide.
Femme oubliée, disparue. Une cendre que ma complaisance conservait,
parce que elle était la seule trace de mon passé.
La mettre de côté, la retourner eut été douloureux,
mais je connaissais l’importance de ce sacrifice que je finirais par faire pour toi. Car que pouvais-je risquer à présent dans cette aventure ? Me couper du monde ?
Le monde n’était plus que trois ou quatre choses : le supermarché,
le bar, le ciel parfois. Autant l’avouer : le monde était rétréci ;
je ne ressentais plus aucune joie pour ce monde.
De la pure matière indifférente à mes sens !
le récitant : totally fucked up.
![]() |
|
En 1977, neuf personnes ont disparu subitement après avoir franchi une porte bleue s’ouvrant depuis le quai de la station Hotel de Ville en direction de Chatelet. On comptait alors deux hommes, deux femmes, trois enfants et deux bébés. En 2002, ces neuf personnes sont retrouvées, un peu perdues, dans les montagnes du Tibet. On compte à présent un homme, deux femmes, trois enfants et trois bébés.
|
« Loin de moi l’idée de vouloir te critiquer, mais quel est le sens de ta vie ?
– Ben, j’en sais rien …
– Tu ne voudrais pas te remuer un peu ?
– Ben ouai, j’aimerai bien mais je ne sais pas quoi faire.
– Y a des assoc. Tu pourrais donner des cours à des enfants par exemple.
– J’y ai pensé.
– Bon tu l’as fait ? T’as pris contact ?
– Ben, non.
– Pourquoi ?
– …
– Pourquoi, je t’pose une question ?
– … ; …
– Tu fais vraiment rien pour t’arranger.
– Je sais, j’y arrive pas …
– T’es foutu mon petit bonhomme ; si tu te sors pas les doigts du cul, qu’est tu crois qui va t’arriver ? Rien !
– …
– T’es nul ! T’es nul ?
– …
– Ben, dis quelque chose, défends toi ! Alors ?
– …
– T’es vraiment nul. Je m’demande pourquoi je suis ton ami !
– T’es pas mon ami ; j’en ai pas.
– J’ai eu peur, je me disais que je peux pas être l’ami d’un type comme toi.
– T’es rassuré.»
je suis ton ami
viens donc me voir
petite…
Intensité
Pourquoi un livre écrit sans style (sans revendiquer
un style) me fascine, plutôt qu’untel qui use du langage
comme d’un pétard ?
Des noms !
Vieux mythe de l’écriture blanche, blanchotienne.
« Degré zéro » etc.
Ecriture réduite à un pure outil ;
oublier d’urgence le rêve de se fondre
dans ce qu’on dit. Instrumentalisation avant toute
chose. Le récit, vite ! Fadaises psychologiques
laissées aux autres.
Degré Zorro de l’écriture !.(Justice, violence etc.)
Efficacité. Vite !
Oedipe au placard.
Roger Laporte au cachot.
Proust attaché à la robe de môman.
Rêve d’une écriture dont la sensibilité ne
serait pas trop pantelante.
Auteur disparu ?
Pulvérisé ?
» Que mon effacement soit ma façon de resplendir ! « (Jaccottet)
ETC
comme vous pouvez le constater
4 heures après l’heure fatidique
le monde existe toujours.
je l’ai donc sauvé.
merci à tous pour vos encouragements.
« Le but de l’Art ne réside pas dans une décharge d’adrénaline éphémère et limitée, mais dans la recherche paisible et durable d’un état de bonheur et de sérénité »
Glenn-Gould
Autrement dit : l’Art c’est pas joli, c’est du boulot, beaucoup de boulot.
Amphétamine, ma belle
tu me donnes bonne mine
tu me donnes des ailes
Héroïne, ma déesse
tu m’aides à dormir
j’aime tes caresses
Hashish, mon mignon
les jours sont plus tranquiles
dans ton giron
Cocaïne, ma jolie
tu m’entraines dans
un tourbillon de folie
hahaha
on dirais des slogans pour vendre des fromages!
Women
Les petites vieilles s’entretuaient devant ma porte. Que pouvais-je dire ou faire ?
Les séparer ? J’en étais capable. Mais une vicieuse me fit un croc en jambe.
Je tombai sur le parquet. Me relevant, j’en giflai une. Les autres se mirent à pleurer.
J’éclatai aussi en sanglot. Elles profitèrent de mon abattement
pour se remettre à se battre.
Axiome
La tentation du n’importe quoi, du désordre,
de l’imprévu, de l’accident, d’une vie
d’aventures ; de chambres en chambres, villes
inconnues — je passe dans le temps comme
si quelqu’un ou quelque chose me coursait
pour me brûler les fesses.
Fact : Les mannequins sont toutes des anorexiques.
Counterfact : ou est-ce le monde qui est boulimique ?
comment a-t-on pu en arriver là ?
les chants des femmes n’apaisent plus mon âme,
une énorme blessure
comme un gouffre béant
noircit ce qu’il me restait de passé,
ces lumières qui dansaient
et que dans mon coeur je gardais,
elles s’éteignent une à une,
j’ai été fou de penser qu’il pourrait combler ce manque
je n’ai plus de feu
je n’ai…

tu pensais vraiment en arriver là me laissant
de l’autre côté sans rien à prendre de ce
temps qui nous avait unis oubliant aussi l’image
que tu aimais m’entendre décrire celle de
nos corps en sang en joie
au présent je t’en prie l’image est ce présent
perpétuel hors d’atteinte mais qu’est-ce que ça veut dire
je résiste au désir de te rejoindre je fais
durer l’éternité mais qu’est-ce que ça veut dire
pourquoi du côté de la plume j’ai à débroussailler
le sens alors que depuis l’enfance je rêve formes
mélange palettes échanges
m’étant battu à mort pour
éliminer les phrases entre nous sucer
jusqu’à la fin les pauses les points
pour filer ensemble dans le mouvement
des choses en face c’est le mot par l’image
quand enfin je retrouve le ciel sans
pouvoir le nommer mais qu’est-ce que ça
veut dire la nuée la fatigue l’usure
la perte la mort de l’eau du point de l’image
à force d’avoir voulu savoir nommer pointer
nos efforts n’ont plus tenu tu le sais alors je me rattache
à n’importe quel signe pure de la vieille présence
nos corps en face gênés par la parole
silence mais qu’est-ce que ça veut dire ça ne dit plus rien
et ne passe plus que par le silence
caché sous leurs mots.
phrase
Une phrase juste : portée à ce point d’incandescence qui attise les mots,
les noue les uns aux les autres. Juste équilibre entre une signification implacable
et un domaine réservé au vacillement, degré second de l’écriture,
domaine du silence.
Présage de fin d’après midi : L’ex de ton ex est en ville
c’est absolument ininterprétable,
j’imagine que je fais un contre-sens quelque part
mais où ?
Ils découvraient avec déplaisir que leur univers était dénué de sens
et plutot que de l’admettre, ils préféraient tuer
VU clone de ZAN (à moins que ce soit lui-même comment faire à présent!) 19h14
Mains d’oeuvre
Saint-Ouen
Mettait son corps à disposition pour performances artistiques de tous types!
Scarifications autorisées…
Il a même stipulé ne pas craindre la chirurgie plastique…
Il se fait appeler NAZ
*** publicité onirique des temps modernes ***
pour venir à bout de tous vos problemes
buvez de l’alcool!
en effet, rien ne résiste à l’alcool,
(il dissout tout, hormis l’alcoolisme)
rewind…. facts ‘n figures from the past
Wired May 1996 – Muab Ntsia
Hype List : DVD : hype level=about to die from overexposure / expected lifetime=5 months
Wired Top 10 – Most popular winsock application : #1 Netscape Navigator 5089 downloads / … / #8 MS Internet Explorer 1567 downloads / #9 mIRC 1449 downloads
Jargon watch : GCI Joe : A hardcore CGI-programmer with all the social skills and charisma of a plastic action figure
TWIT$ : « Portofolio Value $1,755,831.25 (+75.58% overall since dec. 1994) » […] I’m trading TimeWarner for 1700 shares of Intel and using 3Com as a source of funds for 6000 shares of Adobe Systems […]
kiss my ass and call me judy ?
largué, cerveau éteint, ne plus penser, vide
je crois que j’ai la tête trouée par le rien
ça n’aide pas à construire une réflexion
mon travail analytique est impossible
je suis perdu, largué
il se peut que ce soit passager
il se peut aussi que ça reste
je note des trucs sur le papier
ou ici
pour éviter de me confronter
prendre un peu de recul
me coucher à minuit
me lever à 8h
qui sait ?