AUX ARMES CITOYENS!!!

LE PRESIDENT ABATTONS!

…"cinq ans d’efforts constants pour remettre la France à flot"…

Je suis un salaud.
J’ai fait rire la femme d’un autre
06 61 63 58 84

le récitant : ouvrir la bouche et se taire.

Old par igor le 04 Mai 2003


Il expulse chaque jour quelques unes des minuscules particules empoisonnées qui hantent ses poumons,

quelques grains dans une gangue visqueuse et épaisse de mucus

une toux longue et douloureuse

une compagne de tous les jours

qui ne l’abandonnera jamais

Old par M. Fox le 04 Juin 2003

< L’Emoi d’Aurore >

Magma bordélique, pénombre-moi encore!

NION-NION !!!

Old par ... le 29 Sep 2006

Né en 1818, Tourgueniev est élevé au domaine maternel de Spasskoje. Il y connaît une éducation stricte et les rigueurs et monstruosités auxquelles donnait lieu l’institution du servage, mais garde un bon souvenir de la vie en contact avec la nature et proche du peuple. À quinze ans, il entre en pension à Moscou et continue ses études à Saint-Pétersbourg. Il rencontre Pouchkline et commence à écrire de la poésie. Un long séjour à Berlin lui donne accès à la culture occidentale. De retour en Russie, il rencontre Pauline Viardot, la célèbre cantatrice sœur de la Malibran, et son mari ; il tombe éperdument amoureux de la jeune femme. Cet amour sera toléré par les jeunes époux et Tourgueniev admis dans le cercle familial. En 1847, Tourgueniev décide de quitter la Russie pour vivre auprès de Pauline Viardot. La publication des Récits d’un chasseur , réquisitoire implacable contre le servage, lui assure une toute première place parmi les écrivains russes. À la mort de sa mère en 1850, il devient propriétaire d’une grande fortune, mais il est retenu en exil sur son domaine. En 1856 seulement, il peut repartir en France, mais Pauline Viardot ne lui est plus favorable. Il devient mélancolique, voyage, rentre en Russie, continue à écrire récits et romans sur la vie russe. Il se brouille avec les critiques de son pays et décide de s’installer définitivement à l’étranger en 1864, à Baden en Allemagne, près du domicile des Viardot. Il y fréquente une société brillante d’artistes et renoue avec Pauline Viardot. La guerre de 1870 vient briser cet idylle, et l’écrivain reprend ses voyages avant de s’installer à Bougival, près de Paris, près du domaine des Viardot. Il se lie d’amitié avec Flaubert, Zola, les Goncourt. Sa gloire est désormais établie, il est élu vice-président au Congrès international de littérature en 1875, aux côtés de Victor Hugo, et reçu triomphalement lors d’un séjour en Russie. La création en 1879 d’Un mois à la campagne, écrite en 1850, est un énorme succès. Vieilli et malade, Tourgueniev meurt en 1883 à Bougival.

Une mort bien triste pour un héros… 1883… il y avait bien une guerre civile quelque part.. je propose donc de le faire mourir sur une barricade, cela le rendrait un peu plus flamboyant ce pauvre homme.

Old par Nicolas le 21 Mar 2002


Salut les jeunes, je viens vous parler d’un truc grave :
la drogue. Oui, toi jeune, si tu prends de la drogue
tu risques de finir comme moi : avec un sourire niais
et en noir et blanc encadré sur une page web française.
Alors pas de conneries, les jeunes,
ne jouez pas avec la dope.

Old par igor le 11 Mar 2003

XXXXXL is dead



I’m so sad Russ…I’m alone now…

Old par JLB le 23 Sep 2004

NOBODY

CE

HEROS

Le front du Tourguenisme …

We need you !

D’une note à l’autre, il y a des manquements assumés.
Fiasco complet.

Que du bonheur !

Old par Gu. le 13 Mai 2003

now this should be endless ____________ (whr?)

Instantané

« – un oeil dans le ciel » (le récitant, léégèrement paf, 00h56)

Si t’as bu sur Tourgeuniev – 21

J’aime pas les gens qui se disent et qui font pas, qui disent ce qu’ils font en oubliant de faire ce qu’ils ont à faire j’aime pas les gens qui se racontent très fort pour sentir avec volupté le ton de leur crâne et les contractions de la mâchoire, j’aime pas les gens qui l’ouvrent j’aime surtout ceux qui la ferment tout en ouvrant leur cul ou peut-être leur sœur, j’en sais rien, une mélodie même si elle pue, j’aime pas les gens coincés, j’aime pas les gens qui étudient, qui curriculum vitae, qui ne tremblent pas, j’aime pas les gens qui pensent trop tellement qu’ils pensent à votre place, j’aime pas les gens qui baisent pas, qui mangent pas mais qui bizarrement trouvent le moyen de se pendre la bouche, comme si l’air et le vide vitalisaient et fortifiaient leur salive, j’aime pas les gens qui sont constamment à leur propre poursuite qui manquent d’eux-mêmes qui se manquent tellement qu’ils s’attachent à eux-mêmes pour ne pas se perdre, qui passent leur temps à se guetter entre leurs murailles, j’aime pas les vieux cons, pas parce qu’ils sont vieux, mais parce qu’ils étaient cons avant d’être vieux et qu’ils ont trouvé le moyen de pas changer et de rester cons jusqu’à l’infini de toute leur trouille, j’aime pas les jeunes cons, c’est rébarbatif et inquiétant, si jeunes et déjà embouteillés, la cervelle périphérique, j’aime pas les gens qui vomissent des conseils à n’en plus finir, qui vous retournent les entrailles de leur presse féminine, j’aime pas les gens qui se conseillent pas eux-mêmes, j’aime pas le public des salles de fête ça fourmille de sociopathes en série, j’aime pas les petits villages ce que les gens s’ennuient ce qu’ils haïssent la capitale en lui enviant la vie qu’ils soupçonnent de ne pas vivre, j’aime pas la capitale elle est morte et ennuyeuse elle tourne en rond, j’aime pas ton frère ni ta sœur ni tes ennuis je veux dire tes amis, je veux dire arrête de me prendre à parti et de me faire garder les bêtes qu’il y a dans ton cœur, j’aime pas les gens qui parlent de shampooing de tubes de talons de voitures de gamecube, j’aime pas les jeux de mots pitié avec tes jeux de mots, on dirait des ruby-cube décomposés dans un frigo détraqué, t’arrives tellement pas à parler simplement aux gens comme à ta mère le dimanche t’arrives tellement pas à être limpide et nu qu’t’as besoin d’en faire trop même avec les mots, histoire de pas te frotter avec tes profondeurs, j’aime pas les gens qui se pointent dans les salles d’expo en espérant coincer l’artiste, pour lui faire mal désespérés de n’avoir rien fait de leur doigts si rassurés d’avoir quand même, ingurgité des tonnes de bouquins en études d’histoire de l’art à l’école du Louvre, histoire de mater les artistes de références, de pouvoir repeindre la toile exposée de leurs analyses claudiquantes toutes suintantes de leur masturbation glaireuse, histoire d’avoir l’impression de peindre eux-aussi, j’aime pas trop les gens en vrai on avouera qu’il y a deux choix : les cons, les intelligents, les muets, les vociférants, les plaies les piliers, non il n’y a pas deux choix il y en a des milliers et c’est bien ce qui me gangrène on ne peut pas les emmagasiner quoiqu’on puisse les résumer en deux pôles : les faibles muets, les forts vociférants, et ce qui commence à me péter les couilles plus je vieillis c’est qu’il faut surtout pas être doux histoire d’avoir la paix avec les vociférants, tu peux même pas rester un con muet en paix, j’aime pas ta mère tu sais non je l’aime pas elle t’a fait à son image et toi tu l’as dégueulée, ce qui se conçoit certes, certes mais regarde ta gueule dans la glace maintenant, t’as vieilli de dix ans et t’es devenu sacrément agaçant avec ton orgueil quand même vaguement dérisoire faut l’avouer, j’aime pas les gens qui parlent beaucoup et qui n’ont que cette pauvre vérité, la leur, pleine de spaghettis à six et de cinémas à trois, vérité glanée, l’art de la parole, l’art de la génuflexion, vraiment c’est nauséeux, j’aime pas les gens qui se contractent en costumes, rappeurs, gothiques, mal rasés, grunge, pour ne pas disparaître dans la masse, j’aime pas les gens faiblards qu’ont trouvé comme seul moyen que de se bâtir une autre identité afin de crier qu’ils n’en ont pas. C’est pénible et pas citoyen ça encombre les rues, vraiment j’ai envie d’hurler de rire en les pointant, vraiment ces pouilleux, me fais pas croire que tu veux disparaître, non vraiment j’aime pas les gens qui se regardent dans les miroirs, j’aime pas les gens qui se mentent à eux-mêmes avec leurs plaintes et leurs costumes coordonnés à leurs plaintes alors que ces connards ils transpirent la rage d’exister, vraiment ça me fout la gerbe l’inutilité de toutes ces heures devant les glaces à se confectionner des costumes destinés à prouver aux gens qu’on-se-regarde-pas-dans-la-glace vraiment c’est vrai avec l’âge je deviens nazi et vraiment je m’aime pas trop pour ça, vraiment j’aime pas cette sensation d’une solitude qui perfore son carrelage en continu vl’à t’y pas que j’ai creusé un puits dans ma cuisine vraiment c’est dérangeant cette sensation de m’être coupé du reste du monde depuis trois ans que ça dure, vraiment j’aime pas cette sensation d’aimer ça, vraiment j’aime pas ne pas aimer, vraiment j’aime pas inspirer, j’aime pas avoir de références, j’aime pas les biographies des gens qui sont encore en vie, j’aime pas les creux scolaires qui veulent plaire, j’aime pas les gens qu’aiment pas parce que ça fait chouette d’avoir l’air implacable et de pas aimer, ceux-là j’me les ferais bien avec cet air de pas comprendre qu’ils sont laids, ce qu’ils sont assoiffés les gens, ils savent plus quoi faire, j’aime pas l’épicier quand il me dit repassez samedi y’en a plus, mais j’ai passé une commande ça arrivera samedi le Cahors, j’aime vraiment pas cette sensation d’avoir transformé mon épicier sympa en dealer notoire de l’avoir vu festoyer en patins à roulettes dans la rue avec ma cousine et Colin-Maillard quand j’avais huit ans, j’aime pas Monoprix, cette sensation détestable qu’ils changent tous les rayons de place, je comprends bien que c’est pour perdre le client dans des rayons qu’il avait pas l’habitude, je suis tellement handicapé que j’arpente le supermarché trois heures des instants éreintants flippants angoissants j’aime pas cette sensation de toujours retrouver mon chemin malgré tout vers le rayon alcoolisé c’est fou quand même ce que j’ai le nez en forme de poire, j’aime pas cette sensation de tout dire, que plus la vie va, et plus j’en ai rien à foutre de vous plaire, j’aime pas cette sensation de me faire arnaquer le regard, mais que c’est pourtant la seule solution, j’aime pas cette idée que c’est la seule solution mais que c’est pourtant bien la seule solution, que d’être transparent et de parler comme si je venais de naître, c’est bien le seul postillon que je brigue, si jamais y’avait un truc à revendiquer ce serait ce postillon-là même si j’aime pas les revendications, non j’aime pas les revendications putain faut les voir encore s’essouffler ceux-là qui se sentent encore et toujours pas exister assez fort – putain ce que c’est déprimant ces humains assez couillons pour adhérer à des partis couillons, soit des opinions, soit des congrégations et des gays-pride, des réunions et des entreprises et des comités et des cercles, dont ils se foutent éperdument mais ils se sentent tellement tout seuls, et faut voir leur petit cerveau prompt au conditionnement rien que pour l’amour de cette multitude, ce parti qui les accueille, qui les aime enfin, putain c’est pas vrai non mais c’est le pompon, j’aime pas moi, j’aime pas me sentir me sentir exister, j’y pense pas je veux dire, je me dis pas que c’est bien, ou pas assez, j’aime pas y penser, quand je commence à y penser, j’me dis que c’est mal barré que je vais devenir couillon forcément, commencer à palabrer et me décerveler comme tous ces gens qui baisent pas, qui baisent pas du cerveau je veux dire, j’aime pas non j’aime pas, j’aime pas cette sensation que j’ai de mentir depuis trois pages à vociférer que j’aime pas, j’aime pas manipuler, j’aime pas mentir, j’aime même pas tout ça, l’écrire, avoir eu suffisamment de prétention pour l’écrire et le déclamer à voix haute alors que putain toute ma vie j’l’ai passée à aimer, c’est facile d’enfler son gros bras putain personne n’aime personne, et personne n’aime pas, et on est vachement personne faut le dire à tous grouiller en masse et se colporter comme des sauterelles dans les cerveaux des autres, putain quel manque d’originalité que ce texte, j’aime pas les gens qu’ont la trouille et je m’efforcerai toute ma vie de leur faire du mal, j’aime pas cette sensation qu’ils ont de toujours devoir s’écraser quitte à faire tuer les autres, voilà, c’est un peu pour ça, que j’ai été tout ça.

La nuit dernière j’ai fait trois rêves en même temps (c’était le bordel).

Stanley n’est pas gros :

il est angoissé.

Old par M. Fox le 25 Oct 2002

When I was a teenage whore,
my mother asked me, she said : « Baby, what for ? »

I said : « I feel so alone and I wish I could die,
I’ve seen your repulsion and it looks real good on you. »

Old par Nothing le 20 Nov 2002

@ LA RAMASSE ?

IMPOSSIBLE !!!


on passe sa vie à courir dans une foret pétrifiée

puis un jour on se change en pierre

et on oublie la foret

Old par M. Fox le 19 Mar 2003


Old par Gu. le 27 Juin 2004

slidEt°w4DsTheOcean


ritorno al mare dell'android seagull

En me balladant avec Gü.

A Marseille dans la rue

On a déjà habillé

Nos futurs bébés

Tu voulais pas un garçon ?

– Si mais tant pis ! –

Old par Gu. le 05 Juin 2003

Aïe !

Old par Gu. le 30 Juin 2003

Old par igor le 21 Juin 2003

DRAGON N°9

UKRAINIAN IRONBELLY (PANSEDEFER UKRAINIEN)

Le plus grand des dragons, l’Ironbelly,

peut atteindre un poids de six tonnes.

Le corps arrondi, plus grand que le Vipertooth

ou le Longhorn, l’Ironbelly est néanmoins

extrêmement dangereux et peut écraser sous

son poids une maison sur laquelle il atterrit.

Ses écailles sont d’un gris métallique,

ses yeux d’un rouge foncé et ses

griffes particulièrement meurtrières.

Les Ironbellys font l’objet d’une surveillance

constante par les autorités magiques ukrainiennes

depuis qu’en 1799 l’un d’entre eux a emporté

dans ses serres un voilier (heuresement vide)

amarré dans la Mer Noire.

(…)

Old par Gu. le 14 Nov 2003

– bon, thomas , tu t’occupes du reveillon tourgueniste et on en parle plus, ok?!

un truc sans chichis a base de popopo, hein…

– c’est ce qu’elles disent toutes…

– …

hey les tourguenistes!

comme kronstruc’

je vous aime

moi non plus…

10000110 006 144.150
10000111+007 144.175
10001000 008 144.200
10001001 009 144.225
10001010D010 144.250
10001011 011 144.275
10001100R012 144.300
10001101 013+144.325
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10001111 015 144.375
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10110001 049 145.225
10110010 050 145.250

DRM-Fritz chipDMCAFritz chipEUCDFritz chipTCPAFritz chip

III

Dans l’étonnement, visions fatiguées des lignes d’écritures sur un fond blanc, images
mortes, texte pour rien. Surpris par cette participation hybride, je souhaitais non pas apporter mes biens (je ne suis pas un spécialiste), ni tonner contre les risques de pollution que peuvent engendrer ces systèmes — mais juste signaler en toute hâte et
sans me priver d’avouer un certain enthousiasme — que je suis tout à fait apte à saisir l’esprit dans lequel viennent s’insérer ces signes, excluant un nombre non négligeable d’individus, sans afficher cependant les couleurs d’une quelconque communauté : je ne rejette rien, et si aujourd’hui je fais acte de ma présence, c’est juste pour m’infiltrer dans cette brèche moyenne, sans valeur effective ; singularité quelconque idéale en somme pour reprendre à zéro nos entreprises. Ainsi : nulle intention tueuse. Aucune identité sérieuse. Quelque chose de naissant, de fragile, menacé par l’annexion frivole de songes-creux ; cette liberté apparente peut susciter de drôles de rêves égotiques, des attitudes démesurées pour chercher à tout prix le contact en le privant de contenu. Il y a de quoi avoir peur. Cette distance froide et brûlante à prendre vis-à-vis de ce phénomène n’interdit cependant pas d’y venir signaler le vacillement de sens dont il pourrait être coupable : à peine la communauté reliée, elle peut s’éteindre dans l’insignifiance, mais bizarrement c’est l’insignifiance même (momentanée) qui lui donne une raison de vouloir monter plus haut. À SUIVRE ?


Old par M. Fox le 16 Juil 2003

Combien de jours vais je encore dormir dans nos draps…
Combien de jours cette fois pour ne plus regretter les traces de ta substance sur mon duvet.
Combien cette fois ci?

Dans le train pour New-York
Vous aviez un cul de feu.
06 61 63 58 84

ping-pong

H-4 à Yokohama dans Earth Simulator

« Haaa…, trés cher, je suis ravie de voir que vous avez pu vous libérer pour vous joindre à nous… effectivement, c’est charmant; oui, l’ambassadrice du Gabon est présente, elle aussi… son jeune frêre l’accompagne avec un singe sur l’épaule… étonnant, tout à fait…mais au fait, vous souvenez vous de la conversation que nous avons eu l’autre jour à propos d’alpinisme…oui, et bien laissez moi donc vous présenter quelqu’un qui pourra répondre à vos questions de façon pertinente :
La voici, elle s’appelle Anna Tommy… »
(baisser de rideau, la foule en délire réclame le tableau suivant par une standing ovation…)

#23
Parole vaine du héros.
La voix souveraine, elle revient, c’est ça : tressautements de sensations
et je parcours le temps, je revis en une minute les dernières journées,
et je vois un esprit insatisfait, une tête bien faite. E. m’a dit que j’aimais la douceur
de mon visage. Est-ce ainsi qu’il faut lire les traits du héros ?
Douceurs sourdes.
Je ne vois pas pourquoi je m’interdirais de relier mon bonheur à l’écoute
d’une cantate. Et si la quête du héros c’était de se rapprocher de dieu ?
Ha non. Pas sérieux. Pas aujourd’hui. Pas dans l’époque.
Et je me tairais enfin ? A la droite ? Le ciel ? Oui j’aime regarder le ciel.
Mais cela ne prouve rien.
Le héros veut anticiper, brûler des étapes, se brûler la vie
pour un chemin somptueux.
Est-ce que je mérite cette éternité ? Cette facilité ?
J’écoute donc la voix souveraine de Barbara Hendriks
au nom du père inconnu. Et j’attends.
Posture essentielle du héros, chasseur grotesque ; mouche aux ailes d’anges.

Pratique !

formes de la mémoire…

Old par M. Fox le 21 Déc 2003

THEORIE DU K.O.

Old par To le 13 Fév 2005

#41
Quelques titres pour prendre la responsabilité de ces divagations :
Bataille de soi pour moi.
Les pages d’un héros.
Autologie.

Je connais un peintre qui depuis des années, écrit des titres pour
des œuvres pas encore réalisées. (FR. M.)
ex : « Le babouin va-t-il enfiler Milou ? »
Trouver un titre pour un travail au milieu de lui-meme.

j’aimerais que les coeurs ne soient plus désertés
que le soeurs ne soient plus esseulées

j’aime ton coeur et j’aimerais le remplir de beaucoup de mon sang
je ne te sauverai pas comme ça, je veux que ton coeur reste le tien

j’aimerais que les choeurs ne soient plus vidés
regardez au ciel, la nature est haute. imaginez-la nous regarder

j’aime ton coeur et j’aimerais le tenir au chaud dans mes mains
je ne le prendrai pas parce que j’aime ton corps dansant

j’aimerais que les trains continuent à rouler lentement et que vaches nous regardent passer
je sentirais le temps de mon voyage et de mon éloignement, à moins que ce ne soit le vôtre?

j’aime ton coeur et j’aimerais l’emporter dans des contrées formidables
je ne le ferai pas parce qu’il a besoin de toi et que j’ai besoin de toi

« Il me manque une concordance des mots avec la minute de mes états. » A. Artaud
Éloquent, non ?

Web Waooooh !!!

Old par Gu. le 03 Juin 2003

Nouveau dédale, aux objets plus anciens, cependant toujours aussi douteux. Pentes, descentes, angles improbables, je serais bien en peine de savoir où je me situe. Tout cela semble immense, ou minuscule, en tout cas chargé de l’âme de générations de soeurs kitschs.

Une pièce recouverte d’enduis écaillé, des meubles de récupération, quelques instruments ménagers, une pendule aux armes d’un apéritif anisé… je suis déçu, je m’attendais à autre chose : une cave voutée, un lac souterrain, mais en tout cas pas la réplique de la cuisine de ma grand mère.

Suivant les indications de la belle rousse je m’allonge entre un buffet et une table aux pieds de fer, sur le lino imitation parquet. Je croise mes mains sur ma poitrine glacée par l’émotion (je n’ai jamais été un sanguin), ferme les yeux et attend.

Je m’endors comme un nourrisson…

Réveil – tic tac – ça y est – tic tac – immortalité – tic tac – plus jamais, plus jamais la peur de la mort – tic tac – pourvu qu’elles pensent parfois à me remonter…

FIN

Old par Rodia le 10 Jan 2003

Logoled.

Un sourire planqué dans une tasse de thé.

La vaisselle recèle des trésors, parfois.

Mais c’est une petite cinématique japonaise.

Enfin, dans le doute, les femmes et les makis d’abord.

Old par ... le 22 Déc 2004

Wondering in Wonderland (ter) : Attention ce post n’est pas sujet à élucubrations (excepté les miennes…)

jongler : scalpel lame de scie tronçoneuse pique coupe coupe rasoir tranchoir couteau scie sauteuse économe poignard hache perceuse clous pointe poinçon hameçon crochet pic à glace épée glaive casse-tête hachoir broyeur masse marteau pelle hachette verre brisé vis…

Old par igor le 18 Fév 2003


our words are just ashen light
bleeding trough those toxic
clouds we are howling under
in an endless nuclear winter
so don’t believe the spring
we are not your bland poets

AAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH…

Old par Gu. le 24 Jan 2003

Tourgueniev ce héros, c’est la preuve écrite
que des caleçons bien remplis
peuvent aussi contenir des coeur purs.
(ça vaut aussi pour les filles, mais c’est déjà écrit)

Mais qui est Ivan Sergeyevich Turgenev ?
Old par igor le 03 Jan 2003

Old par Gu. le 01 Août 2003

[konsstruktVOUSaime] punKpoésie

ils sont là ils sont tous là

tous les policiers tous les militaires

toutes les armées elles sont toutes là

toutes la pour me protéger

je peux plus faire un pas sans être protégé

contre moi contre tous les dangers

protégé protégé

protégé contre les voleurs

protégé contre les insulte

protégé contre les attaques suicides des avions de ligne

protégé contre moi

contre mes tendance à l’autodestruction

contre mon alcoolisme

contre ma toxicomanie

contre mon envie de baiser sans capote

protégé contre l’univers dangereux et méchant

merci les flics

merci les militaires

merci les gars d’être là

ça vous va si bien le vert et le bleu marine

c’est si chouette l’odeur de la poudre mélangée à celle des croissants

c’est si rassurant de vous voir tabasser à quatre un jeune branleur aux poches pleines de chit

heureusement que vous êtes là

pour me permettre d’être libre

heureusement que vous êtes là

pour m’aider à pas gâcher ma liberté

heureusement que vous êtes là

pour m’empêcher de faire n’importe quoi

heureusement que vous êtes là

[konsstruktVOUSaime]

aliénation
je crois que c’est la pression
qui m’empêche de poster plus
beaucoup plus de gens lisent
plus d’auteurs aussi
c’est moins simple d’assumer
la partie « rigolade » initiale
du projet

Old par igor le 17 Avr 2003

Inspiration mOlle / Passez un agréable WeEk-eNd

Old par Gu. le 06 Juin 2003

comme sur un blog : hier soir

terminer tard, je passe sur le repas inexistant, cidre et pop’in puis vernissage comme si c’était 2003 continuer salons de l’hotel de ville danser mannequin silhouette chauve se faire rappeller à l’ordre. igor prend garde. se barrer marcher dans le marais à la recherche d’une soirée fantasmée avec jean-phil-yes, en attendant otto, sans résultat, se retrouver seul et marcher, chercher le garçon, P.A.Ris est sans taxis, de plus en plus froid, ta voix qui me soutient de loin en loin, échanger quelques mots avec le fantôme de villeret venu ramasser ses souvenirs soupe au choux avant de lever le camp définitivement. a deux on est moins seul, il semble regretter de partir si tôt mais bon il se dit que finalement il n’a pas vraiment raté sa vie et que ça aurait pu être pire. je souris au chauffeur de taxi qui m’écoute parler tout seul puis tu es là enfin.

Old par igor le 29 Jan 2005

Un problème ?

dans la bourrasque, j'avais trouvé la joie

Old par M. Fox le 06 Jan 2003

Le nénu-phare sur tes mers placides

Que ma transparence supersonique

Caressera bientôt

La trouble tourbe passagère

Evase une fleur

Au rêve accolée

Puis le souffle cesse

En un lascif enlisement

Alice dit que la souffrance des hommes lui est indiffèrente,

qu’ils n’avaient qu’à faire attention en portant le regard vers elle,

elle se penche ensuite vers moi avec la sollicitude d’une mère

et me dit :

toi ce n’est pas pareil, nous sommes amis…

ah… Alice…

Old par M. Fox le 06 Jan 2003

les boulettes en mie de pain de ma mémoire:
« Elle a pris une boule de gomme. C’est tombé sur rouge. Il en a pris une aussi, par jeu…
chewing gum rouge > c’était la couleur des émotions qui troublent, … etc… ».

Minuit pile

je suis un signe

Old par igor le 01 Oct 2003

Old par To le 07 Juin 2004

Old par igor le 11 Fév 2003

tu n’es pas un homme pressé

Old par M. Fox le 05 Mai 2003

Seule une once de poussière sépare
Le complexe de superiorité du délire de persécution

Old par Gu. le 14 Mai 2003

Old par Gu. le 03 Avr 2004

It’S pure chicken

(…)

Old par Gu. le 22 Juil 2003

Je l’avais déjà lavé mais j’avais déjà rêvé que ce n’était pas arrivé.

Old par M. Fox le 09 Jan 2005

youpi

[konsstruktVOUSaime] / punKpoésie

c’est l’hiver

les putes ont déserté

le monument aux morts de l’avenue des vosges

[konsstruktVOUSaime]

Sucrée salée, j’aime ta salive
sucrée salée,
j’aime tes yeux fous
et tes baisers

sucrés salés

Old par M. Fox le 02 Mai 2003

Réduis l’étude sans inquiétude,
seul ou accompagné de flatteurs.
Les uns se débarrassent de quelques
« quelle bonté est accompagnée de mal ? »
Les autres se débarrassent de
« quels hommes et quels endroits craindre ? »
On ne peut pas ne pas craindre
les endroits incultes, où il faut presque mendier, en effet !
De nombreux hommes sont brillants et florissants,
comme s’ils jouissaient de la plus grande écurie,
comme si l’amour montait sur scène.
Moi seul suis à l’ancre, comme en attente d’un signe,
comme le fils nouveau-né, pas encore enfant,
qui accumule et entasse, comme s’il n’avait pas d’endroit où retourner.
Tous les hommes ont des surplus,
moi seul suis comme un perdant.
Je suis un idiot, dont le cœur aussi est confus et chaotique !
L’homme commun brille et illumine,
moi seul suis un crépuscule sombre.
L’homme commun examine et observe,
moi seul m’ennuie et déprime,
calme comme la mer,
un vent fort qui ne s’arrête pas.
Tous les hommes ont un usage,
moi seul suis bête comme un village isolé.
Moi seul diffère entre les hommes,
mais ma mère est un précieux repas.
Laozi

Old par igor le 04 Déc 2002

Old par igor le 18 Mai 2003

Sondage sur Céline Dion

Chèr(e)s collègues :

Je fais actuellement une étude sur le pouvoir affectif de Céline Dion sur le grand public québécois. Pourquoi l’aime-t-on autant ? Pourquoi la déteste-t-on ou se moque-t-on autant d’elle ? Dans quelle mesure la trouve-t-on québécoise ? Afin de compiler des opinions et des sentiments qu’elle suscite chez les québécois, j’effectue un court sondage sur internet ; je vous invite à y participer.

Si vous êtes québécois et que vous voulez participer à ce sondage, ou bien, si vous voulez en savoir d’avantage, cliquez sur le lien suivant :

En français: www.zoomerang.com/survey.zgi?p=WEB224PJNQXRK6
En anglais: www.zoomerang.com/recipient/survey-intro.zgi?p=WEB224MT8JVWAW

Sachez que toutes conditions éthiques de recherches universitaires seront suivies, et que toutes les réponses à ce sondage seront tenues confidentielles. Je n’ai aucun lien ni avec Céline Dion ni avec ses représentants.

Merci d’avance de vos commentaires – soit en participant au sondage, soit en me contactant par courriel hors-liste — dont je serai très reconnaissante. N’hésitez pas à parler de ce sondage autour de vous.

Bien cordialement,
Erin Hurley

La simplicité est une valeur,
une valeur extrêmement précieuse…
L’introspection offerte à autrui,
l’extravertion comme don pour soi,
le juste retour des choses,
le simplicitextrémisme en mode de vie,
l’aversion pour le raisonnable,
la brutalité des expansifs,
mon émotivité,
la leçon.

Old par Gu. le 30 Avr 2003

Old par igor le 26 Sep 2005

Cher Journal,

Aujourd’hui j’ai passée la journée avec kévin. C’était trop génial. Je l’adore,

il me fait rire. Il est trop trop beau et m’a confié que j’étais sa meilleur

amie : j’en ai de la chance. En plus il aime evanescence et il ressemble au

chanteur de kyo. Alors comme je l’aime bien, je lui fait un

super cadeau – mais chut !!! je ne peux pas te dire ce que c’est cher journal,

car c’est un secret qu’on va partager ensemble, jusqu’à la mort.

Même si ça me fait un peu peur, de m’engager ainsi je préfère foncer pour montrer

aux autres filles de la classe que moi aussi je peux avoir un mec !

PS : il m’a donné son malabar bigout avant de partir – penses-tu qu’il m’aime

aussi ? Il était tout chaud et humide dans ma bouche quand je l’ai sucé,

le malabar, serait-ce un signe ?

Old par To le 06 Fév 2005



Old par Gu. le 15 Mar 2004

Contre-texte.

Agacé par certaines expressions que des intellectuels

pratiquent, s’échangent. De l’ordre de…

…C’est une force de proposition…
.

Utiliser ce type de langage, comme stratégie d’évitement

du réel, forcément violent — indomptable.

Être pédant, c’est avant tout parler par peur de la Présence .

Refuge dans la soi-disante culture, couverture.

Pédant ? Adopter le code par crainte de l’informe.

ETC

free blow job

Old par ... le 14 Mar 2005

confiance,
pour tous.

Old par igor le 25 Jan 2003

Venant de toi, « ami » est un mot de cinq lettres

tu ne sais simplement pas nommer l’amour

je crois que pourtant tu sais ce que c’est

mais ta gorge s’assèche dès qu’il faut en parler

c’est malheureux mais c’est comme ça,

je me suis fait une raison

je n’oublie pas que tu ne m’oublies pas

c’est déjà ça

Old par M. Fox le 23 Mai 2003

True colors

Le blanc est l’apanage de ceux qu’ont pas d’avis, des lapins et des E. Aujourd’hui c’est dimanche, un ciel javellisé.

Faut pas trop s’étonner que ce soit en juillet qu’on ait pris la Bastille.

Google translator
Il a lieu d’une soirée de 1993, vous est nouveau Yorkais. Attache, qui le besoin de A vous est souvent dans le trainez latéral abaissent ces derniers les quarts de vie de la personne, et du bordélique n’a pas pris, quelque chose qui vous gêne loin dans ceux des insectes des spiercings de suggestion au-dessus du glande et des soirées poétiques dans le finery pour que les barres distribuent. La nuit tombe d’une telle manière, et vous entrez dedans dans un petit snack/Bar, qui est fourni trop largement pour lui dans un de ces petites routes aux arbres. La barre est de petits six sept conseils et soberly, à peine steinmauer, afin de se référer autour de l’endroit un chouiea cordial. Ils commandent une bière, vous ont examiné qu’un jeune artiste viendra, afin de chanter 

Old par Gu. le 28 Juin 2004

Bon tamanoir d’anniversaire (en retard)

Lee Scratch PerrY

arrive Sur la Scène

avec SeS mOOnbOOtS

rOugeS OrnéeS

de lampiOnS qui clignOtent

(…)

Old par Gu. le 21 Juil 2003

perdu clone (suite)

je ne l’ai toujours pas retrouvé

Et en fait je pense qu’il s’agit plutôt d’une fugue.
En effet son comportement était étrange depuis quelque temps
il accomplissait les basses besognes (comme porter les trucs lourds,
faire les courses etc…) avec de plus en plus de difficulté et maugréait
carrément quand je l’envoyais se faire engueuler à ma place par mon
banquier ou mon patron.

j’ai surtout peur à l’idée qu’il se fasse passer pour moi dans l’intention
de me nuire

Old par -- Zan le 01 Mai 2003

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