Les Abrutis Amoureux de l’Art Anonyme sont une association d’hommes et de femmes qui partagent entre eux leur expérience, leur force et leur espoir dans le but de ne surtout pas résoudre leur problème commun et d’aider d’autres Abrutis Amoureux de l’Art Anonyme à s’enferrer dans la connerie la plus crasse afin de ne jamais au grand jamais se rétablir. Le désir de ne jamais arrêter des A.A.A.A est la seule condition pour devenir membre des A.A.A.A. Les A.A.A.A ne demandent ni cotisation ni droit d’entrée; nous nous finançons par nos propres contributions. Les A.A.A.A ne sont associés à aucune secte, confession religieuse ou politique, à aucun organisme ou établissement, bien au contraire ; ils ne désirent s’engager dans aucune controverse, bien au contraire ; d’ailleurs, ils n’endossent ni ne contestent aucune cause, toujours, bien au contraire. Notre but premier est de demeurer demeurés et d’aider d’autres A.A.A.A à le devenir, et pourquoi pas, à le rester aussi un peu, peut être, le plus longtemps possible en tout cas, et ceci, malgré tout, bien au contraire.
Aujourd’hui c’est toujours la nuit parce qu’on n’a pas le même chapelier. Hémisphère droit : recherches diverses, forum un peu mais pas tellement, faut savoir si les 60 ans ne seraient pas surmédiatisés, rien que le fait que la question se pose ça vous finalise les minutes de sable mémorial et transforme en sale quartz les moindres globules blancs. Hémisphère droit toujours, consater que certaines vitrines viennent de fermer après une longue période de soldes , se dire que tous les soirs on verra plus les filles tomber, plus de basculement en direct dans le puit des Alice qui confirment le vortex du monde réelement renversé.
Aujourd’hui c’est toujours la nuit, on n’a pas le sens des aiguilles mais celui d’un tas de trucs beaucoup plus importants. Hémisphère gauche : être un peu je à défaut d’être jou, me dire que Marseille est définitivement plus une queue rance qu’une ville, penser à l’effet du bitume fondu qui englue les semelles comme du sperme avachi, même pas noter vraiment, juste dicter aux naseaux redonnez-moi le ficher automne 2001, odeur_de_poissons_morts.od, se souvenir du vieux port comme d’un cimetiere aqueux de suicidés, et encore. Hémisphère droit : même pas de chiffres convainquants, pas de cadavres dans le vieux port au t perdu au profit de la troisième lettre, même pas un drame, google en vacuité comme cette ville qu’a autant d’esprit qu’un miroir, rien à y faire, rien à y vivre et surtout rien à traverser. C’est la ville où les filles subissent, point final virer l’italique. Songer que 10 000 signes pour parler d’un tel lieu c’est trop et pas assez, mais que c’est suffisant pour perdre toute l’estime du bastion poétique qui sévit en local depuis un temps perdu que les moins de vingt ans ignorent en toute quiétude. Réaliser combien en plus de ses travers quelque peu subjectifs cette ville produit des miasmes chauvins identitaires, grumeleux régionalisme, sans compter les accents qui giclent au circonflexe.
Demain c’est dans une demi-heure. Je vais te faire un thé pour pouvoir te souhaiter un joyeux non anniversaire.
Être lu être vu être su être tu. Être bu être dû être chu et déchu. Être nu. Avoir pu. Dormir sans fermer l’oeil. Il y a des objets partout. Des choses qui me connaissent depuis quelque temps maintenant. Elles m’épient. Parfois, je ferme un oeil, je perds ma vigilance…La fatigue croit faire sa loi mais très vite je remonte la garde. Rien n’a changé. Enfin en apparence. Ce bruit…ce bruit…ce bruit ??? Ah! C’est mon ongle qui craque entre mes dents qui résonnent. Leur émail se fendille. Remonte à la racine. Puis la dent se casse en morceaux qui tombent en poussière sur les draps. C’est très laid. Il me faut trouver le sommeil.
Baptisée « tourgueen buzz » (la fréquence des tourgueniens) ou « Mosquitourgone » (la tourguenerie du moustique), cette sonnerie permet aux tourgueniens d’utiliser leur pouvoirs psychiques en classe sans que leurs professeurs puissent l’entendre.
je suis seul ici sur ce petit bateau je regarde passer les vagues et je cherche à y lire des présages en analysant la forme de l’écume et les ondulations douces de la cime. je suis vaguologue amateur et oracle raté confirmé.
C. m’a raconté que son homme l’insulte quand il lui fait l’amour. Une phrase revient régulièrement : “ Montre moi comment elles aiment jouir les petites putes. ”
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comme revenir et n’être plus que l’approximatif dépositaire de l’alibi à train à torpeur et sortir comme revenir sans correspondre au réceptacle d’avant le corps mort que l’éveil inverseur investit d’inconscience à la constance des jours après nuits
l’indifférence alors diffère de celle d’alors juste diffuse désormais reclus de l’hors soumis dès lors à l’heurt de l’autre l’oblitérant d’oubli la surface même d’un visage proie jusqu’au point d’être preuve de l’atavique introversion dans l’alibi
Monday night I’m going nowhere, quelques paroles abandonnées sur une route noire d’asphalte vide Toujours cette image persistante, tourner en rond sous les trombes d’eau noire Les yeux rouges rivés sur un ciel déchiré inévitablement silencieux Comme une barre d’acier rivée sous mes côtes, du sang grumeleux qui n’arrive plus à suinter de ma bouche inerte Et ces poutres rongées en travers de la gueule Il ne reste que des débris, des agglomérats de poussières grasses, de la limaille Des bouts d’os, de béton, de dents, des fragments Du rebut.
l’autre nuit je rencontre cette fille toute shootée, la sameplayer
je lui demande gentiment si elle ne serait pas celle à laquelle je pense
elle me regarde avec des yeux ronds interloqués voire exaspérés genre : « Mais
qu’est-ce qui me veut celui-là, pourquoi il me parle? » Puis me tourne le dos en marmonnant dans sa barbe une réponse inaudible. On est tous le zombi de quelqu’un, hein?
J’ai une importante révélation à faire. J’ai cru percevoir depuis quelques temps, dans l’attitude trouble de mon camarade de dissidence, les signes précurseurs d’une grave crise existentielle. J’étais dans l’erreur. La métamorphose a eu lieu il y a bien longtemps et je ne crois pas que nous puissions encore le sauver … Le monstre dissimule son identité véritable et trouve en notre sein le refuge insoupçonnable. Amis, regardez le vrai visage de Nicolaï ! et prions ensemble pour le salut de son âme.
Je lui ai dit que j’étais gravement malade Elle a souri J’en avais plus pour très longtemps Elle a approchée ses lèvres Je suis mort Juste avant son baiser
« le capitalisme – dans sa phase actuelle – profite de nos postures et attitudes, subversives, carriéristes ou ludiques. Il trouve désormais sa ressource non dans notre seule force de travail, mais dans le coeur même de notre imaginaire. »
(Probablement avec la complicité de l’Ecole de Rotterdam, en plus).
eux : nous gouvernons le monde bzzz bzzz ! masque 1 : je suis masqué. masque 2 : oui et moi aussi. criquet 1 : bzzz bzzz ? criquet 2 : je ne sais pas. masque 1 (piétinant les criquets) : je ne suis pas parisienne et ça me gène. criquet 1 (mourrant) : je te comprends. masque 2 : on pourrait compter les amis que l’on se fait… criquet 2 : oh mon ami, tu nous quittes. eux : mouhahahahaha bzzz bzzz ! masque 1 : je vais mourir pour le tourguenisme. criquet 2 (tout bas) : anarchiste ! masque 2 (criant) : va, mon ami, va. masque 1 (explosant) : restons sobre avant tout. eux : la guerre sera rude bzzz bzzz. masque 2 : ganesh veille sur moi. criquet 2 (sort de scène) : bye bye. eux (sortent de scène) : bzzz bzzz masque 2 (seul) : je suis bien seul ce soir.
… vendredi enfin, longue nuit à rêver de Saint-Bernards géants (pompompom-pom), à me tenir à la fois loin et près de l’autre, me reveiller souvent, pas désagréable… bipbip toute les 6 minutes à partir de 8h… micro-siestes…
« Pour des raisons tactiques, nous ne préconisons pas actuellement l’usage de la violence ou de la sorcellerie contre les individus » – Fiona X, porte-parole du Front de Libération de l’île du sud.
Putain il fait chaud… Je sais pas quoi faire… Ce soir… Y’a quoi pour nous ce soir… Et demain… Et si on fait rien on aura rien… Become Invisible
Il fallait se souvenir de cet instant, de ses os glaçons s’y accrocher, il fallait le retrouver, le cortex citron car il sentait sourdre au fond de lui, d’une âme trouille au milieu, une plainte rouge et froide, bec d’ogre celle de la douzième heure, la fixité d’une obsession, ventilation murée quand il ne reste plus que la mort, d’orge sec parce que ce jour où l’on avait cette révélation pépins calcinés de la vie et de la mort (il ricane) dans le cortex rien que dans le visage s’entrechoquent d’un être (il ricane) était bel et bien fini s’entredévorent et maintenant ses pas tourmentés, pendant troué les ruelles grises, la surface bétonnée un siège apprivoisé ne pouvaient cacher plus longtemps les entrailles souliers vociférants au fond du bide, au fond du fond, main accidentée au fond de Satan, les mots disproportionnés noeud coulissant et cruels qui lui lacéraient la souffrance ventriloque les circuits striataux, qui ruminaient dans les murs les plinthes en colère et qui commençaient les papiers les carambars à déborder en nappes rouges le whisky pluie sur sa chemise blanche l’hémorragie interne les mèches mouillées l’inondation le purpura le soir il est tard la foudre intestine l’idiotie taquine dehors la crème de la souffrance en chemise l’écrivain bébé-béant-bé- de la crème le pauvre qu’il avait cru des portes cadenassées être été le bé-bé-bé bêta verrous oculaires et son orgueilleuse colère et son oeillères papiers glacés amour pour Marie qui n’était rien de plus les souliers usagers – encore – qu’un accessoire
On entend des flap flap flap dans le couloir puis la petite tête graisseuse de Joannie jaillit dans l’entrebaillement de la porte.
Une trentaine d’hommes sont réunis dans une seule pièce. Le public les regarde à travers une vitrine Ils sont là , ils discutent, comme dans un cocktail ou un vernissage. Par petit groupe, un tel parle avec un tel. On dirait qu’ils se connaissent. Ils sont tous nus. Ils tiennent tous une hache dans la main. Après une heure environ ils commencent a quitter la salle, habillés et avec leur hache dans un sac, portant ainsi la fiction dans le réel de Paris. H
Robert Walser voit le jour en 1878 à Bienne en Suisse, dans une famille nombreuse. Il travaille un moment comme employé de banque, écrit quelques poèmes avant de partir avec son frère Karl à Berlin en 1905. Alors que Karl peint, il écrit en trois ans Les enfants Tanner, Le commis et Jacob von Gunten traduit par L’institut Benjamenta, des romans sur sa famille et ses petits métiers. Il rentre en Suisse en 1913, puis déménage à Berne en 1921, publie La promenade,La rose. Il mène une vie de chroniqueur peu productif, passe du temps à boire et dans les divers spectacles culturels de la ville, écrit quelques textes courts en prose qu’il appelle microgrammes, mais plus un seul roman. Après plusieurs tentatives de suicide, il est interné volontairement à l’hôpital psychiatrique en 1929, où il mourra dans la neige le jour de Noël 1956, sans avoir plus écrit une seule ligne. Bien qu’admiré par des contemporains comme Kafka ou Musil, ses oeuvres restent inaperçues de son temps. Ce site
Survivre dans votre tempête, gonfler mon ventre, je ne pourrai pas me noyer, mais je suis lourde; si fatiguée… monsieur où êtes-vous? enrouée, une sirène meurt. je ne sais plus quoi chanter. tu es parti. je meurs seule, ensablée. les vagues qui me parviennent sont nauséabondes; elle sentent le poisson mort. Elle pleure. Sur son épaule, il est là pour se pencher. Oh oui, il vient quand elle l’appelle. Elle a caché le surin dans le revers de sa veste. Crime passionnel? Elle a peur, elle tremble, parce qu’aujourd’hui sentez vous la mort qui rôde partout? SI elle se laissait être super sensible, ce quelle est, elle irait vivre à l’écart, mais elle ne peut vivre seule. Accompagnez-la. Elle l’a tué, et maintenant, elle pleure, sans personne sur son épaule.
« Moi aussi, j’ai eu de ces professeurs avec leurs airs de flûte pervers et avec leur pincement de guitare pervers (…) ces sentimentalo pathétiques suppôts de l’état à l’index dressé. » T. Bernhard.
Autologie. L’hésitation entre le mot et l’image — magistral Michaux : « Je peins pour me déconditionner du verbal. » Soleil (15h/18h) Pas travaillé Douleur : Les lentilles ont macéré dans un verre d’eau, yeux rouges, il n’aurait pas du dormir chez A. Conversation : — après-midi bizarre, non ? — (…) —« Je crois que c’est le café, il m’a hyper stressée » M.G. Scandale.(ou nuisances.) 1.Temps. 2.Commerçantes (celle des cigarettes.) 3.Sentiment de parfaite normalité 4. Trop de choix. Réjouissance Me concerne. Le héros ne divulguera pas son quotidien. Difficulté Je lis pour me perdre ou me (re)trouver ? (Vagues relents d’images des heures récentes, « grande vague du moi », sentiments romantiques : seul, exclusivement seul.) Entourage. Au trois quart féminin. Carte postale « Etre à 10 000km de Paris, en plein été sur une île aux Caraibes et attraper une grippe terrassante est une idée idiote. C’est celle que j’ai eue. Je t’embrasse. FR. » Cuisine Filet de Merlan + pommes de terres surgelées. Remarque. Fidèle à sa pensée en restituant son mouvement (chaos.) Remarque. — Où dormir ce soir ? — Ensemble dans un verre d’eau. Bonheur Le héros en apprend autant que vous sur lui, en écrivant. Difficulté Quand lire et écrire deviennent une seule et même chose. Voyage. Partir de Aden jusqu’à Oman ? Reprise.
reprise des activités tourguenistes, recherches d’auteurs, relire les archives, le meilleur c’est toujours avant, ou avec toi, baby, ne pas s’écrouler, retrouver la rage, disculper les tueurs de serials (exit buffy), décrocher les bébés dans la cave, ne plus tripoter les fessouilles des minots sans autorisation, ne plus se curer le nez et don camillo. donc, reprise. organiser grande soirée, agnes b. aime le tourguenisme ? reprise, donc. du grand match-catch-boue, on ne déconne plus et on picole sec à saint denis. pour toi cette rentrée, lis tes Recognition Awards for the Integration of Research and Education for Sexuality (RAIRES), baby.
Personne dans le monde Ne marche du même pas Et même si la Terre est ronde On ne se rencontre pas
[Chorus] Les apparences et les préférences Ont trop d’importance Acceptons les différences
C’est vrai, faut de tout tu sais Faut de tout c’est vrai Faut de tout pour faire un monde
Personne dans la vie ne choisit sa couleur L’important c’est d’écouter son coeur Si celui qui te paraît différent Très bien, c’est le sien Tu as le tien et j’ai le mien !
Alors donnons-nous la main
Personne dans le monde Ne marche du même pas Et même si la Terre est ronde On ne se rencontre pas
[Chorus]
Ce qui compte dans la vie c’est le bonheur Chacun de nous le trouve à son heure Tu veux le partager Alors c’est gagné N’attends pas demain Ici tout va pour le mieux On pourra tous être heureux
*** Break musical ***
Personne dans le monde Ne marche du même pas Et même si la Terre est ronde On ne se rencontre pas
[Chorus]
Faut de tout tu sais Faut de tout c’est vrai Oui c’est vrai tu sais Faut de tout pour faire un monde
Si un jour tu peux venir… C’est assez N.A.P. C’est quoi N.A.P.? Neuilly-Auteuil-Passy… Serieux tu les fais boire un peu, et tu leur fais signer des chèques hein! C’est très bon ce que vous faîtes, moi ça me parle beaucoup. Moi mes parents… C’est time consuming… Mais sois serieux avec ces gars là Reste là, écris! écris! Tu nous a mis l’eau à la bouche… Il faut que je trouve la rentrée d’argent récurrente… Mais va voir ces petits fils de pute d’Auteuil là! Comme des belettes. Je lui ai offert du muguet et une brosse à dent, ça c’est de l’intronisation! Samedi, dimanche, mardi… moi me lever avant neuf heures c’est chaud… Nous n’irons plus au bois, les chasseurs sont méchants… PAIX, AMOUR, LIBERTE ET FLEURS… L’arme fatale, tu es plein de pertinence, ça bouge! Big up, luxe, création et beauté… Quand t’es un poète, y faut raquetter cette racaille!
Du sang, des larmes, de la violence, et des filles à poil qui sucent dans un van Wolksvagen comme vous n’en avez jamais vu.
Promis, la semaine prochaine, on essaye de faire plus sexy
(Tu es jeune, catcheuse et tu n’as pas peur de lacher des mandales à tour de bras ? Contacte-moi et toi aussi tu pourras être sur tourgueniev.com) (putain, ça pisse haut tourgueniev.com, moi ça m’épate)
Calliope, la poésie épique; Clio, l’histoire; Euterpe, suceuse de flûtes; Melpomene, la tragédie; Terpsichore, le chant et la danse; Erato, la lyre et la poésie érotique : année 69; Polymnie, pour les hymnes aux dieux; Uranie, l’astronomie; et Thalie, pour la comédie
9 muses mais pas une seule pour la sculpture, pas une, tu imagines?
Who lives in a pinneapple under the sea? Absorbant and yellow and pourous is he? Who’s nautical nonsense be something you wish? So drop on the deck and flop like a fish! Ready?
On peut se satisfaire de peu de chose Moi par exemple hier soir Je me suis retrouvé dans le métro avec un ami Un ami vraiment impressionnant Je le regarde toujours avec un peu d’envie Il est si grand que parfois il se cogne au plafond Hier c’est arrivé et ça m’a fait du bien De le regarder saigner, là, dans la rame Avant de descendre, je lui ai donné un petit coup de pied mesquin J’ai visé les côtes, il n’a pas bougé Le sol devenait de plus en plus rouge Alors je me suis cassé pour ne pas salir mes pompes On peut se satisfaire de peu de chose
augustine prépare l’omelette dans la cuisine lucienne somnole devant pyramide le bruit de la fourchette qui tinte dans le bol posé sur le bulgom tire lucienne de sa rêverie « horloge » dit Marie-Ange, « compte-tours » répond le candidat augustine n’aime pas pyramide quand lucienne met le poste trop fort ça lui donne des pulsions augustine préfère la trois elle découpe le jambon en lamelles