il ne s’appelle pas comme toi,
il s’appelle comme moi.
« Dieu est amour; celui qui demeure dans l’amour demeure uni à Dieu et Dieu demeure en lui.
Si l’amour est parfait en nous, alors nous serons pleins d’assurance au jour du Jugement;
nous le serons parce que notre vie dans ce monde est semblable à celle de Jésus-Christ.
Il n’y a pas de crainte dans l’amour; l’amour parfait exclut la crainte.
La crainte est liée à l’attente d’un châtiment et,
ainsi, celui qui craint ne connaît pas l’amour dans sa perfection. »
J’ai un petit coup de blues…

Je n’ai jamais su
ce que pensait cet homme.
Il avait les yeux comme
tournés vers l’intérieur
de lui même…
BALADE NOIRE |
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PUISQUE TOUT N'EST QU'UNE QUESTION DE STATISTIQUES - ET NON DE PREVENTION - DE SECURITE - JE PRENDS MA VOITURE ET FILE DANS LA NUIT - J'EXPLIQUERAI AUX FLICS QUE L'ALCOOL QUE J'AI DANS LE SANG NE ME PERTURBE PAS - MAIS QU'IL ME RASSURE - ET SI JAMAIS JE TUE QUELQU'UN - ON PROUVERA FACILEMENT - LORS DE MON PROCES - QUE C'ETAIT UN CON - |
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Encore une nuit passée
dans l’étreinte du manque
sueurs froides, panique et cauchemars
étaient au rendez-vous
Merci d’etre tous venus,
mes amis
(tu me manques,
j’aurais aimé pleurer et frissonner entre tes bras)
Que de chemins différents…
Avec des éléments similaires…..
En tout cas des recherches proches…
Aimer et être aimé, point.
Recevoir cela et rester sans voix…
L’écran de télévision est la rétine de l’oeil de l’esprit.
C’est pourquoi l’écran de télévision fait parti de la
structure physique du cerveau, et c’est pourquoi
tout ce qui apparaît sur l’écran de télévision est
vécu comme une expérience primaire.
C’est pourquoi la télévision est la réalité
et la réalité est moins que la télévision.

Fermer les yeux y retourner

sentir à nouveau le vent

Le sel au coin des lèvres

tout est blanc

entendre à nouveau
la petite comptine à trois temps

…
Nos chemins se séparent à présent
petite fille
tu es si fragile
et tes rêves sont intacts
comme je t’envie !
Keven & teresa, bises à Jagganath
Jerome & Irisha, kisses to Hanuman
Sophie & Kevin, a wish for me to Ganesh
si vous vous vous croisez des bises entre vous aussi
pour moi / de ma part
je meurs de vous rejoindre
tous
Plus sympa que Starac et Popstar :
COSTES-STAR
(costard ?)
Tu veux monter sur scène,
partir en tournée et être une vraie STAR !
C’est possible et vite !!
——————
PROCHAIN SHOW DE COSTES A PARIS
Le culte de la Vierge – opera porno-social
avec Costes, Giulio Nesi, Marie-Claire Cordat
SAMEDI 18 JANVIER 2003 – 20H30 – Prix : 8 euros
aux INSTANTS CHAVIRES – 7 rue richard lenoir – montreuil
métro robespierre
———————————————————————
Nous cherchons une fille pour jouer dans le show.
Disponible de janvier à début juillet 2003 – 40 shows à faire en europe.
Contacter costes@costes.org
——————
La rivière chante encore
L’entends-tu ?
Elle est si agée
que sa voix n’est qu’un murmure précieux
poli et scintillant
Chatoiement splendide
que seuls connaissent les initiés
On dit que parfois
lorsque sa surface est gelée
et que la lune est haute
Elle se glisse parmi les hommes
en quête de chaleur,
d’amour
Agitateur thermostaté, modèle Lapierre (1959 – 1962).
Je vis dans la mort
Je n’sais pas si c’est très académique
Massacre de Porcs
Je n’vis bien qu’à travers la polémique
Je vis dans la guerre
Moi, mon train-train, il est plutôt électrique
Je n’aime pas mon père
Je garde rien, je préfère qu’on s’explique
Je vis dans l’suicide
C’est sûr, je n’ai pas ma langue dans ma poche
le monde est une ruine
C’est plus pratique pour rouler des galoches
Je mange de la viande
Même en zique, je mets la quinte dans la croche
Le monde est violent
Je dis du bien, et j’enchaîne les reproches
Je vis dans la peur
Je suis un agitateur
Le noir, les horreurs
Un provocateur
Je ne sais pas vivre
Un animal
Et je saute dans le vide
My name is Jean-Pascal
Je n’connais pas l’amour
Un agitateur
Car le monde est trop lourd
Un provocateur
Je suis mal dans ma peau
Une bête à poil
Car le monde n’est pas beau
My name is Jean-Pascal
Je suis mal dans la vie
T’inquiète pas, j’ai mon avis sur tout
Car le monde est tuerie
J’mets tout dans l’plat, il faut trier c’est tout
Et je pense aux massacres
Je supporte pas ceux qui font juste la moue
Que personne ne condamne
Qui d’une p’tite voix disent « Oh ! lala ! c’est fou »
Et je pense à la mort
C’est comme en amour, moi j’aime le piment
Que tout le monde ignore
Moi les toujours je les vis dans l’instant
J’ai les testicules froides
Je veux pas me taire et devenir un flan
Et ma tête est une boîte
Moi j’suis sur terre et libre comme le vent
Regarde mes excréments
Je suis un agitateur
La course aux armements
Un provocateur
Je suis bisexuel
Un animal
Le monde est cruel
My name is Jean-Pascal
Par le bien et le mal
Un agitateur
Le monde est brutal
Un provocateur
Et j’encule la France
Une bête à poil
Esprit de vengeance
Mon nom est Jean-Pascal
Dix minutes au laboratoire à jongler avec des termes compliqués, dix heures de migraine prolongée ?
Valérie me sourit et les horaires aussi : on commence un peu à l’heure qu’on veut, c’est pas banal.
La vie est jolie et la gauche perdra les elections.
Bizoux la vie et bizoux la gauche.
antoine,
amateur de Z et de X.
Le temps est une poubelle
Le temps est une catastrophe ferroviaire
Le temps est une planche à repasser
Le temps est une musaraigne
Le temps est une lotion capillaire
Le temps est une selle de vélo
Aujourd’hui, l’idée m’a traversé que je pouvais être nul. Heureusement, raconter n’importe quoi me faire sentir moins ringard. Peut-être, finalement, ne vais-je pas me transformer en l’un de ces horribles bibelots qui changent de couleur en fonction de la température.
j’avais perdu le controle
c’était très humiliant,
tu me violais
tu me violais
et je ne savais plus comment t’arreter,
plus jamais ca s’il te plait,
plus jamais ca.
QWAQWA, bantoustan d’Afrique du Sud, territoire autonome de 482 km2; 200.000h, chef lieu : Phuthatdijhaba.
ben oui faut croire…
Il (mon meilleur ami) m’a dit : tu dois être un peu moins irascible : atrabilaire, batailleur, brutal, colère, coléreux, colérique, difficile, emporté, intraitable, irritable, ombrageux, orageux, pointilleux, prompt, rageur, soupe au lait, tempétueux, violent.
———————————
Sally, je t’aime : admirer, adorer, affectionner, apprécier, avoir à la bonne, avoir besoin de, avoir dans la peau, avoir du goût pour, avoir envie, avoir le béguin, avoir le coup de foudre, avoir un coup de coeur, brûler pour, chérir, demander, désirer, en pincer pour, estimer, être amateur, être amoureux, être attaché à, être coiffé de, être épris, être féru de, être fou de, être porté sur, faire cas, gober, goûter, idolâtrer, mordre, pincer, porter dans son coeur, préférer, prendre plaisir, raffoler, réclamer, roucouler, s’amouracher, s’attacher, s’embéguiner, s’embraser, s’émouvoir, s’enamourer, s’enflammer, s’enticher, s’éprendre, s’intéresser, se complaire, se passionner, se plaire, se toquer, tenir à, tomber amoureux, vénérer, vouloir.
– Si t’etais un dragon et moi une amibe, pourrions nous danser, encore une fois la Salsa?
– Au fait, quelqu’un d’autre que moi sait que Pascal a une soeur qui s’appelle Sabine?
– Allez… on avait dit « pas les trucs perso »… ?
– dis, Toi…, pourquoi t’es comme ça avec Moi?
mmm
– On s’est déjà vu, non ?
– Ah bon… euh non je crois pas…
– Mais si…
– Euh…
– Ben si, c’était il y a un quart d’heure environ. Sur le dancefloor, en dansant. On s’est regardé mais on s’est pas parlé.
– Ah oui… hi hi, c’est vrai… [petit rire espiègle, regard mutin]
– Hum… tu… euh… tu veux boire quelque chose ?
– Euh non merci, pas pour l’instant… j’vais retrouver mes amis… à plus tard peut-être ?
– Euh ouais c’est ça, à plus tard peut-être.
[game over]
[insert a coin to play again]
elle a besoin d’un nouveau jouet pour la regarder.
elle l’utilise pour qu’il la regarde.
elle cherche des jouets.
Je me réveille toujours avec le même mal de tête. Je cherche du regard l’heure qu’il peut être, et quand je la trouve, je ne veux pas y croire. Si tôt si tard, juste ces chiffres aléatoirement écrits sur mon réveil en lettres rouges qui percent le noir. Je ne sais pas si je dois y croire. Je connais mes autres heures, et je fais comme tout le monde, je fais en fonction, je conçois le temps qui me reste. Je ne suis jamais en retard. Les gens pensent que j’ai une horloge dans la tête, c’est faux pourtant, il y a peu de choses qui me sont aussi étrangères que ça. Le mal de tête met du temps à passer. D’abord je dois me lever, me laver, ne pas me lover, et manger. Boire mon café, et le mal de tête passe. Je sais ensuite tout le travail qui me reste à faire, je me résigne un peu, mais la vie m’inspire confiance.
Je ne suis rien, c’est tout ce que je sais. Je ne suis rien, comme beaucoup de gens, mais ils se serrent entre eux, et ils ont l’impression d’être (le voisin de celui d’à côté) ; ils répètent cette phrase en boucle en omettant toujours ce qui est entre parenthèses. J’ai fait du mal à beaucoup de gens en refusant de leur parler, ce qui signifie que leur amour propre a senti mon passage. En réalité ils ont oublié qui je suis, mais les jours qui ont suivi nos rencontres, ils en ont fait beaucoup plus avec les autres. Ensuite, j’ai été proche de beaucoup de monde, mais je suis trop sensible, et comme je ne suis rien et que je ne fais pas semblant de ne pas le savoir, ils ont traversé mon corps et mon âme avec. Ça me peine, mais maintenant, je me réveille solitaire et me rendort pareil, je ne suis rien. En fait, ça me plaît parce que ça me laisse le droit d’être témoin de tout.
Le cœur a battu si longtemps hier soir. Je vois quand même parfois, le soir, un autre rien que moi, et hier son cœur a battu longtemps sous ma main. C’était plus long, plus chaud, plus touchant.
Mais c’est Scarbo qui me mord au cou, et qui, pour cautériser ma blessure sanglante, y plonge son doigt de fer rougi à la fournaise! (Aloysius Bertrand)
j’ai plongé dans ton bassin.
je m’y suis noyé.
me suis raccroché à ton os.
massage cardiaque.
même pas mort.
encore loupé…
chercher le creux.
suivre la ligne.
jusqu’à genoux.

De toutes façons, j’ai toujours rêvé
de devenir chirurgien esthétique.
du mal de crâne, de la migraine, de
la « fuite » dans les idées mercredi
Une rude poigne tente d’empêcher
peut-être était-ce cette boisson frelatée
qu’on m’a servie dans cet espèce de pub grouillant de mercenaires
Extrait :
« Que faites-vous si haut ? me demanda-t-elle avec un étrange sourire… Eh bien, qu’attendez-vous ? Au lieu de passer votre temps à me persuader que vous m’aimez, sautez donc par ici, si cela est vrai. »
A peine avait-elle fini de parler que je me précipitais en bas. Le mur devait être haut de près de cinq mètres. J’atterris sur mes pieds, mais le choc fut si vigoureux que je tombai et restai évanoui quelques instants. En revenant à moi et sans ouvrir les yeux, je sentis que Zinaïda était toujours là, près de moi…
I. Tourgueniev – Premier amour

Ö’nion alors…
Si une nette majorité se dessine en faveur du mariage homosexuel (55 %, contre 51 % en 1995), l’adoption est rejetée à 59 %, et approuvée à 37 % (contre 39 % en 1995). Les écologistes se déclarent majoritairement en faveur de l’adoption (53 %), mais pas les socialistes (41 %). Là encore, les personnes se disant proches de l’extrême droite sont 32 % à approuver l’adoption, devant l’UDF (31 %) et l’UMP (17 %)…
hey come on little sister
let’s go up to the moon
she said « honey i don’t care
and i want no lies ».
Let’s swim out tonight, love
It’s our turn to try
Parked beside the ocean
On our moonlight drive
so listen pretty babe
why don’t we jump in any train ?
to draw nearer to the storm
she said « i don’t like rain »
Easy, I love you
As I watch you glide
Falling through wet forests
On our moonlight drive, baby
Autologie, un retour.
Et vint à lui cette idée désarmante
Laquelle ?
Avalée.
« Si écrire ce n’est ni dire, ni nommer, on est mal barré »
Rire (doucement.)
Digérée
Restituée
Sauvée
Michaux : « Je n’écris pas pour construire, juste pour préserver. »
Le silence entre les mauvaises pensées du héros me fatigue.
Indigestion.
Se relire à la gueule de bois.
Et puis exposer tout cela : obscène !
Se réfugier dans les livres des autres ;
dormir dedans, faire l’amour
dans les marges.
Il faudrait qu’à partir de ces notes, on puisse déduire
un certain nombre de choses sur lui.
Ecrire à blanc comme tirer à blanc off course !
ce soir nous avons rendez-vous ensemble
et comme je ne peux que souhaiter ton bonheur
je vais m’arranger pour palier à ton inconsciente décision de m’avoir choisi
Yolande, c’est ma gardienne d’immeuble. La croix autour du coup,
elle est souvent habillée d’une simple robe à fleurs mauve avec un bidon
de st-Marc sous le bras et d’un balais pour chasser les intrus pendant que
son petit chien aboie sur les inconnus.
Yolande est croyante, et très pratiquante. Mais elle est aussi très bornée,
et désagréable. C’est pourquoi on l’appelle la con-cierge. Et quand elle part
à la messe, elle affiche un petit panneau sur lequel il est écrit :
« Le christ est dans l’escalier ».
Si un jour tu peux venir…
C’est assez N.A.P.
C’est quoi N.A.P.?
Neuilly-Auteuil-Passy…
Serieux tu les fais boire un peu, et tu leur fais signer des chèques hein!
C’est très bon ce que vous faîtes, moi ça me parle beaucoup.
Moi mes parents…
C’est time consuming…
Mais sois serieux avec ces gars là
Reste là, écris! écris! Tu nous a mis l’eau à la bouche…
Il faut que je trouve la rentrée d’argent récurrente…
Mais va voir ces petits fils de pute d’Auteuil là!
Comme des belettes.
Je lui ai offert du muguet et une brosse à dent, ça c’est de l’intronisation!
Samedi, dimanche, mardi… moi me lever avant neuf heures c’est chaud…
Nous n’irons plus au bois, les chasseurs sont méchants…
PAIX, AMOUR, LIBERTE ET FLEURS…
L’arme fatale, tu es plein de pertinence, ça bouge!
Big up, luxe, création et beauté…
Quand t’es un poète, y faut raquetter cette racaille!

je pense que l’administration Bush ne sait pas
ce que je sais à propos des photos de petites filles
que Mr G. cache dans le deuxième tiroir (en partant du bas)
de droite de son grand bureau (sous le dossier ONU).
Putain ben voilà.
Le Commando Pernod (extrait)
Weah des policiers bourrés tirent sur des immigrés
Des Bidasse biturés brûlent un handicapé
Des vieilles mémés cuitées agressent des vieux pépés
Des vigiles ivres morts frappent un clodo qui dort
Un beauf plein comme une huître viole sa fille à minuit
Un jeune complètement schlass se déchaine au nunchak
Une bergère pompette qui joue de la trompette
Et un trav’lo poivrot s’branle sur un escargot!
B.N.

Igor Tourgueniev, futur Bouddha ?
Zen,
Prendre du recul à chaque instant
savoir faire la part des choses
ne pas s’emporter pour des broutilles,
s’énerver au moindre couac
cool toujours!
Open, tolérant. Ne pas avoir d’avis tranchés, être à l’écoute.
Voter pour le centre gauche. A Bas les extrêmes de tous bords.
Participer à des repas de quartier, contribuer à des oeuvres de charité.
Signer des pétitions pour les réformateurs iraniens contre la peine de mort, contre la faim dans le monde, pour la liberté de la presse…
Zen,
Trouver sa voie, la sérénité.
Comme le blondinet pull près du corps, cuisine équipée intérieur froid gris blanc de la pub IKEA nous présentant ses étagères.
Flanqué de sa femme et ses deux gamins, il a l’air épanoui des gens heureux qui vivent à crédit.
PERPETUITE DE LA CONSOMMATION.
A suivre….
ça n’a pas de sens…
Sibérie 1984
On marche dans la neige, Nicolaï devant, moi au milieu, lent à cause de la blessure-barbelée-jambe et Grishka me soutient pour me permettre d’avancer. Loin derrière nous, les chiens du camp hurlent et ne rêvent que de nous déchiqueter. Moi, coup de genou à Grishka, écraser son visage dans la neige, le regarder souffrir, frapper encore, le sang-jaillir rouge sur le blanc. Nicolaï, interrogatif, moi très persuasif, chiens furieux. Grishka servir de piknik dis-je, lui pleurer mais d’accord. Continuer à deux, abandonner Grishka…
Sophilosophisme extatique !
Je me retourne, cette exclamation en pleine rue fauchant toutes les pensées qui s’agglutinaient lamentablement dans la partie la plus endormie de ma cervelle somnolente
Derrière moi, à quelques métres, se tient un clodo -pardon un sans domicile fixe- de la plus pure espèce, souriant de sa bouche édentée
La suite, un café, une longue discussion à batons rompus et une journée qui commence bien.
d’accord il plongea, il s’insinua dans ce qui ne représente rien pour là-haut. ici si je pleure c’est comme si je ne pleurais pas. il resta calmement au fond sans repirer sans respirer.
et peut-être après c’était mieux.
si je ris c’est comme si je m’étouffais
il s’ouvrit sur le dos regarda le dos de la surface là-haut, frontière encore plus implacable que de l’autre côté. je reste.
Chère Gü.
Si tu veux voir la statue de Gu, va dans la salle des arts premiers au Louvre.
Celle-ci est dédiée au roi Béhanzin.
L’autre est dans les réserves du musée Dapper.
Elle illustrait l’oracle du roi Glélé, dédié à Gu, Dieu de la guerre et du métal.
Gu c’est aussi un superbe album des Sonic Youth ?
@+++
Dear Antoine,
Two presidential debates and two clear wins. John Kerry is going to be the next president of the United States, and more people know it now than just two short hours ago.
Tonight, George Bush had another chance to make his case to the American people. Again he failed.
* Again, he showed that he is out of touch with reality on Iraq.
* Again, he offered no plan for jobs and no plan for cutting the cost of health care.
* Again, he pretended that our problems don’t exist.
* Again, he refused to level with the American people.
…
je viens de voir ton ex
beau gosse embrassant Nicolaï
il me parle de vous deux
et ça ne me fait ni chaud
ni froid et
toi et moi on se regarde
en souriant
aux anges
…