SONIC YOUTH
Atteindre n’importe quel point de la planète en deux heures.
Certes.
Mais avec tout ça, comment je lis l’Equipe moi maintenant ?
order # 2612
fpc fortuitous alligator weiss pyhrric belly chinese media dignitary carcass
infantile gubernatorial operand cushman downbeat mimicking hester loretta
conic every miscellaneous anyhow winnipesaukee.
J’ai pris le chemin le plus long pour rentrer de chez toi
Le chemin magique qu’empruntent les fées
et les musiciens
Je voulais marcher un peu,
profiter de la fraicheur
écouter un peu de guitare
me faire demander où était la maison du Brésil par un improbable plan drague
regarder cet homme pas encore fini que pourtant je désire
l’air est mou et la chaleur palpable
je souris en esperant demain
demain
je ne savais plus comment rentrer par ici
je devrais peut-être changer de nom…
le récitant : bon, ici un texte de merci merci à tout le monde MAIS il y’a une fuite dans ma salle d’eau ET DONC mastiquage en règle.
Il est arrivé !
En effet, on a le beaujolais que l’on mérite…
pas de panique…
it’s just dancing anyway…
Tu étais ma petite poupée en flocons de neige
aimante
et pure,
veillant sur mon foyer
et sur moi quand surgissait le tourment
Je n’ai pas compris quand tu as brisé cette image
cette illusion que j’avais de toi
a fondu en une nuit seulement
J’ai l’impression d’avoir vécu une longue imposture
ça me blesse,
je ne sais plus qui tu es
ni qui nous étions
Je te reproche ainsi la perte de mes illusions
c’est tellement immature
et tellement moi à la fois
pardonne-moi
DES POSITIONS
Bam bam je me suis barré en bagnole à bastille
Bam bam boire une bière dans un bar à belles filles
Bam bam bourré, j’ai brillé en buvant mon houblon
Bam bam le coeur brisé j’ai pété un boulon
Bam bam Bob le barman était un beau gars bidon
Bam bam qui balançait des beignes aux gars bons
Bam bam le blond boulet m’a envoyé ballader
Bam balam bam bam à travers la vitre blindé,
Bam bam j’ai balisé et boité pour me barrer
Bam bam dans la boucherie j’allais me faire buter
Bam bam couvert de bleus, en sortant j’ai blémi
Bam balam bam bam en entendant un petit bruit
Bam bam Bob m’a tiré une balle fatale
Bam bam un bain de mon sang bouillonnant au final
Bam bam je me suis pris une bastos à bastille
Bam bam j’aurais du buller dans un bal de belleville
[999poèmesSERIEtourgueniev]
298
estimer lassantes les tv siliconnées
je prends le visage de la foule arrosée
manger des vieilles danses désespérées et passives
Mardi matin, Oscar Berthelot se demande si sa journée va être aussi pénible que la précédente, il gratte son front et en retire la croûte d’un vieux comédon asséché. Il enfile ses pantoufles noires type espadrilles et se dirige vers la salle de bain. La rue est calme et Oscar Berthelot se traîne intégralement. Ses jambes sont lourdes de la soirée de la veille et ses souvenirs trop peu cohérents pour en tirer une quelconque satisfaction. Oscar Berthelot se déplace vers la machine à café et discute avec une amie, pas vraiment une collègue, qui mise tout sur une prudente victoire de la gauche et un renouvellement de la confiance des ménages. A la cantine il argumente en faveur d’un retour à mai 68, on opine, il est le chef de sa table mais il n’en reste pas moins assez troublé. A quatre heures Oscar Berthelot se permet une barre de chocomauve dans une tranche de pain, le verre de lait lui manque mais c’est déjà le soir et il se traîne à nouveau dans la rue, tête basse. Devant sa porte il s’arrête tout d’un bloc et regarde la paume de ses mains liées en manière de graal. Grondement, l’orage approche, Oscar Berthelot débarrasse la table et pose son assiette sur le rebord de la fenêtre. Il éteint la lumière et tente de trouver le sommeil, rêves de grosses femmes et de mains coupées.
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XimiX famiLy (#W)
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le récitant : insérer ici un texte très long mais sympa sur le temps qui passe, moi je vais voir la fuite.
TROC
vu hier au IKEA villiers
sur le mur des petites annonces:
je souhaite échanger:
un peu d’amour
contre
un peu d’eau fraiche.
7h50
il ne fait pas encore pleinement jour, c’est fou la vitesse à laquelle la nuit s’installe et s’étend.
Quand j’aurai fini Nicolas, je le ferai lire en avant-première à Igor, cela va de soi ; pour ce livre, c’est la personne qui s’impose.
Paris
Mon cher Igor,
J’ai été ravi de te voir l’autre jour, à la veille de ton départ, et quand tu recevras ces lignes, ce sera de retour, donc la courbe sera bouclée, parfaite micro révolution. J’espère que la Grèce se passe moins « rocambolesquement » que votre départ à l’aéroport !
Pour ma part, je continue par hauts et creux de vagues ma dérive estivale dans ce Paris que j’aime avec tendresse, lisant, écrivant, rencontrant, mais la plupart du temps restant solitairement attablé à une terrasse de café, simple observateur (voyeur) du monde et de ses autochtones.
Pense à ce que nous avons dit, à ne pas faire noir ou blanc, la vie est décomposable en une infinité de nuances, à toi de savoir, d’apprendre, de jongler avec.
Ne vis pas par procuration non plus, ne pense pas à moi comme ton oriflamme, tendance que je trouve un peu dans tes lettres, tu as ton livre en toi, et tu le sais, tu l’as ruminé, écris-le, ensuite on verra bien.
Moi, j’erre, erre, erre, sans bruit en ce moment, je suis à l’instant plutôt insouciant — mélodie Jane Birkin en décor musical —, atmosphère douce et tendre.
À bientôt, mon cher ami, puisse-tu nous revenir heureux de vivre, irradiant un optimisme contagieux, puisse-tu faire le plein d’une énergie digne de ces grands espaces ombrés d’un passé glorieux, où tu es, d’où tu reviens, à l’heure où tu lis ces lignes.
Puisse-tu atterrir tout doucement sur cette fin d’été, trouve en toi-même la force suffisante pour ne pas regretter et aller de l’avant.
Allez, j’arrête là, le moralisme, très peu pour moi.
Bulles amicalement tiennes,
Mi-nuit pile
ROUPE OTK !
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et mon téléphone tombe dans la cuvette des chiottes…
top0l0gie m0n0c0nnexe
la solution de l’espace courbe apaise notre frayeur devant l’infini comme notre répugnance à concevoir le néant
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Blind pilotstoutes ces dents lexicales se referment sur mes doigts éteints LA PEAU DU VENTRE BIEN TENDUEAssis autour d’une table sous les spots qui dégageaient une chaleur bien DES ORGUES ANISESPerdu dans la ville. La nuit. Un endroit chic. Du monde, de la chaleur, du champagne. Les cigarettes se grillent. Bonsoir mélancolie. La route, le mot dans la poche, arrivée au steps. Pleurs, descente, caverne bondée, nana na ! na ! allumée. Ben, bière. Route dans la nuit. Flash semaine. Champagne rosé du matin, restaurant à midi cidre-kenavo. Trop tard : en retard, vite, vite, rue des dames, on se retrouve on parle, Elles logent – éloges. Feuilles roulées, cigares coupés – Vin chilien, retour aux départs, alcools, sorcières enivrées, blanche et rouge, amitiés truquées, branché – débranché / déconnez – déconnecté. Stop – post. lotopromo suite Let me introduce doktor Elsa Vil & her two deadly insensitive assistants, who will operate of course without anaesthetic, some painfull tortures to innocent defenceless victims with some Wagner music in background… Sinister purposela douceur de l’hiver à quelques jours de sa rigueur Du boeuf ou du veau, ma p’tite dame ?J’adore tuer, là n’est pas la question mais je n’arrive jamais à me décider : est-ce que je préfère manger les adultes ou les enfants ? satisfait ou rembourse (peut etre ou pas du tout…)de nos jours rien ne remplace la joie d’un envol de bon aloi. Suivre des yeux les petits points blancs, les voir osciller aléatoirement haaa, Gudule…souffrez ma chere que je vous emportasse danser: ce soir vous et moi nous aurons des emois affectueusement, votre Guillemette. It has to be more than this… Un Samedi Soir Sur la TerreTroudair, Sumoto .Iki, DJ K-roline, Jan Kurse, Dorothy B., Clement Thomas, Un Lotus, Igor Tourgueniev, Serge Balasky, L’Agent Airhole, The Lo-Fi Covering Orchestra, Ctgr, Charleston Parva, Shio Ran, Gü, Don Marmitto, Timothée Rolin, Jung Wien, L’Archéologue Fou, Verw -a-, Mon Amour, Grishka Tourgueniev et le public en délire… POUR Concert : Ctgr chante Aliette Guibert (au minimum) –> photos ici, là et là et encore là… OB : vin rouge + whisky + chips + coca + cheese + curly I need a fix ’cause I’m going downQuand je te tiens dans mes bras (bang, bang, shoot, shoot) idiosyncrasie de décadence
DE NOUVELLES AVENTURES!Ma chambre devint inhabitable. Dans le coin des forêts vierges les panthères firent défaut. Pour le centre, la glace fut difficile à trouver; je me rappelai opportunément Dans le fond droit je devins brasseur d’affaires grâce aux chèques A l’Ouest, j’acquis un ranch de voleurs de chevaux. Plus de murs. J’étais sans socle suspendu dans l’espace, Je m’élançai vers les sommets et fus marchand de papiers peints. Quelques rouleaux d’espoirs sous le bras, je redescendis vers la ville. Je cédai mes aventures et mon établissement au danseur professionnel, Exerçons notre courage, éteignons la lumière, refaisons notre voeu. Je tourne en rond et je suis une pointe: grotesque! Si je ne descends pas dans la rue tout de suite, je deviens fou. Ma vie n’est peut-être qu’une parenthèse. Ouvrons la fenêtre. Je suis dans la rue, mort. Mais je regarde la petite fumée qui s’élève… PAUL MÉRAL
51 of 265 everybody’s got to learn (italian) sometimes…kill me or… Des bulles, du champagne et des CocosCa se passe dans l’air – ca se passe. Du monde, un t-shirt moulant, des bimbos from elles, des journalistes teknos, des filles qui parlent footbanging, au 6e au dessus de la salle de pelote basque-squash-tennis : WYSIWYG, tic-tactique, talons rivés au balcon, mix mix mix, buttifulled people, blonde blonde blonde – sex sex sex – va, vient, uni-son, flashback – hardcore sessions chaotiques & musimathiques. Retour au routeur ex – ex – ex, s’extraire, se taire, rouge, rouge, rouge, le ché sur le sac, cadeau, peine, pain, bouteille cassée, fracassé. Vivants, les tourguenistes ont une bonne valeur nutritive, ce qui n’est plus le cas quand ils sont secsLocalisation Depuis toutes les sphèresLa chaussée mouillée derrière l’envers de paupières Uncanny ?se reveiller avec une forte envie de panama… Aimez vous la Pop Indienne?Celle ou l’on danse en ronds Iroquois Aujourd’hui le tabacologue m’a dit de reprendre la clope. computer christmas trEEfrEE trEE… ICH BIN SILKE BANGERT…– und du? Est alcoolique, celui ou celle qui consomme chaque jour une quantité d’alcool supérieure à celle qu’il peut métaboliser sans danger, c’est à dire environ ¾ de litre de vin à 10° pour une personne de 70 kg. LE PROBLEME DE LA RECIPROCITE« Les garçons veulent juste coucher avec les filles. » (Bruno de Stabenrath dans Paris Obs du 18 au 24 mars 2004) Encore un mail (de le truite)EJAC ANALE DANS L’ANUS DE MICKEY LA SOURIS CE GROS ENCULE QUI S EST FAIT BAISE PAR [message perso : que je t’aime]Quand ta bouche se fait douce |