
le récitant : mes parents étaient profs en russie mais mon russe est rouillé alors je ne m’en vante pas.
la valse a mis le temps
ouais mais on lui en veut pas trop à la valse
pourvu qu’elle vienne (hum)
on a l’habitude de ses retards
à petits pas chassés
—
elle (re)vient de loin aussi
et puis faut la comprendre
moi je l’aime comme ça
fantasque et désarticulée
hoplà
happy to be happy #3

Craché par Aïna et par Gü.
![]() Mardi matin, Oscar Berthelot se demande si sa journée va être aussi pénible que la précédente, il gratte son front et en retire la croûte d’un vieux comédon asséché. Il enfile ses pantoufles noires type espadrilles et se dirige vers la salle de bain. La rue est calme et Oscar Berthelot se traîne intégralement. Ses jambes sont lourdes de la soirée de la veille et ses souvenirs trop peu cohérents pour en tirer une quelconque satisfaction. Oscar Berthelot se déplace vers la machine à café et discute avec une amie, pas vraiment une collègue, qui mise tout sur une prudente victoire de la gauche et un renouvellement de la confiance des ménages. A la cantine il argumente en faveur d’un retour à mai 68, on opine, il est le chef de sa table mais il n’en reste pas moins assez troublé. A quatre heures Oscar Berthelot se permet une barre de chocomauve dans une tranche de pain, le verre de lait lui manque mais c’est déjà le soir et il se traîne à nouveau dans la rue, tête basse. Devant sa porte il s’arrête tout d’un bloc et regarde la paume de ses mains liées en manière de graal. Grondement, l’orage approche, Oscar Berthelot débarrasse la table et pose son assiette sur le rebord de la fenêtre. Il éteint la lumière et tente de trouver le sommeil, rêves de grosses femmes et de mains coupées.
|
A la mi-nuit, boire une infusion de camomille et d’absinthe en branche afin d’éveiller en moi divers cauchemars et songes malsains, gros acariens cancéreux (de forme crabe) à cuire au feu de bois avant dégustation.
C’est horrible Capitaine : je n’ai jamais voulu travailler pour eux …
Mon coeur appartient à jamais au Crabe Croustillant !!!
***ALL IMAGES © COPYRIGHT BEN FROST 2001***
![]() |
4rthur Rimb4ud – fuck 4rt! gOld! ch4rity! keys! vOwel cOlOr mOtiOn blend! |
PROMIS DEMAIN, JE CHANGE DE METIER…

De toutes façons, j’ai toujours rêvé
de devenir chirurgien esthétique.
cheri je t’aime cheri je t’adore
comme la salsa de pomodor…

La nuit approche,
l’enfer est à nous
Pas juste à moi,
l’enfer est à nous
N’oublie jamais,
l’enfer est à nous
Voeux

En ce jour à marquer d’une pierre blanche de craie sumite
J’ai fait un rêve voyez-vous et je voudrais vous en parler
Dans le genre batofar, boum des jeunesses giscardiennes
Enfin pas trop en fait c’était plutôt légalisez les amants et
Mais passons, donc, en ce Réveillon, le dernier de 2004
Je voudrais avec vous faire le point sur cette année et
Le tourguenisme avance, monte et descend en gros et
Donc j’ai décidé, dealer camé de continuer un an de plus
J’voulais plus rentrer chez moi seul, encore parler et donc
Juste ne pas écrire sans rien à dire sinon ça fait des textes
Dans ce genre pour dire combien on est content du travail
Accompli par tous et les amis fidèles et les animaux et
Aussi les autres, ils se reconnaîtront et sans parler de
L’image plus haut et si tu lis un mot sur deux en suivant
Un chemin ou une phrase sur deux il y’a un message
Dans l’espace, c’est la bataille, la guerre est plus belle
Dans l’espace personne ne vous entendra crier alien
Pour qu’elle revienne et merci à Nicolaï surtout parce que
Bon sans lui n’aurait pu être possible et les tourguenistes
N’oubliez pas de coder vos conversations car Echelon
Boum boum boum euh boum boum voyez ce que je veux
Dire que le bonheur c’était si simple et putain pas trop tôt
Enfin pas pour étaler, je ne sais pas si c’est comme la
Confiture, aux cochons et ce soir rasé de prés concert
Des Libertines avec ma copine Courtney et le dernier Tek
Parfum bite enfin tout ça pour la nouvelle année ce que je
Voulais dire à tout les lecteurs courageux et patients c’est
Que meilleurs voeux à toutes et à tous surtout si vous ne
M’adressez plus la parole, on pense à vous bien fort, bises.
transversal Memory
Pour être à la mode des fêtes de fin d’année :

coupez votre chat en deux
à peu près au niveau du cou
posez la partie supérieure sur votre tête
vous avez un chapeau très élégant
—
avec l’autre bout vous pouvez faire une moufle…
beat me – shit (on) me…

pas reussi a trouver mieux dans la catégorie « le cul de tom cruise »…
Y’a une fille…
![]() |
![]() |
![]() |
|
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
|
Plusieurs indices m’ont mis la puce à l’oreille. J’ouvre l’œil. J’vais faire une enquête pour en avoir le cœur net. Ca m’inquiète. Y’a des détails qui trompent pas. Les draps la couette et la taie d’oreiller sont plus dépareillés. A coté de mes fringues en boule, y’a des vêtements pliés et repassés. Y’a des détails qui trompent pas, j’crois qu’y a une fille qu’habite chez moi ! Deux brosses à dent dans la salle de bain. Du savon sans savon et le sèche-cheveux, c’est certainement pas le mien. Des petites boules bizarres pour parfumer la baignoire. C’est un vrai cauchemar : Quelqu’un a massacré tous mes amis cafards ! |
||
fletch grapheme implosion baffin bridle bradbury icicle galatea
tradesman astonish booze carlo
krypton propeller proximal dreg teen bookshelves
henequen pericles demountable setscrew bathe elbow lindstrom astute afflict fest vanguard magic downey wander brassy exploration screwdriver oakley convex judson sulphur glassine
excitation doctrinal committeewoman kingsbury omnipotent
bartlett sweaty lubricate ajax bakery genealogy steuben mantel heartfelt grain fredholm western jilt incoherent heterogeneous julia draftsman chanson whither
john balance est mort
et la mort ça doit être comme une table de restaurant
j’ai vu la mort à l’oeuvre au flam’s
le flam’s c’est bien on bouffe à volonté
c’est un peu le flunch de la tarte flambée
à côté de notre table y’avait des gens
ils fumaient ils parlaient fort de ce qu’ils avaient lu dans les inrockuptibles
ils buvaient de la bière et ils bouffaient à volonté
et ils fumaient encore un coup
et puis ils ont payé et puis ils sont partis
quelqu’un est venu a débarrassé les assiettes
a froissé et récupéré les nappes en papiers recouvertes de miettes
est parti
est revenu
napper les tables de papier neuf
disposer les assiettes les couverts les verres propres
plier les serviettes
ranger les serviettes en cône dans les verres à pied
d’un coup ça a été comme si les autres mecs n’avaient jamais existé
comme si leurs visages
leurs discussions de cinéma
leurs banalités leurs rires leur fumée de cigarette qui nous faisait chier
n’avait jamais eu lieu
ailleurs que dans notre imagination
la table est restée un court moment
comme ça
d’autres gens sont arrivés une famille ils se sont assis à la place des autres
des disparus
ils se sont assis sans rien savoir des discussions
des cigarettes des bières
des miettes sur les nappes en papier des tâches sur les serviettes
il se sont assis sans rien savoir de rien ils ont choisi ils ont commandé
bientôt eux aussi finiraient
paieraient
finiraient oubliés
nous aussi bientôt devrons partir
nos nappes en papiers seront remplacées
on ramassera nos miettes
on les jettera à la poubelle
d’autres gens nous remplaceront nous
d’autres miettes remplaçeront les nôtres
ULTIME
Demain, la fin
La fin demain
A demain la fin
La fin à demain
Demain, à la fin.
Fin, c’est le mot sur lequel se terminent avec une
unanimité inégalée les auteurs.
DES ORGUES ANISES
Perdu dans la ville. La nuit. Un endroit chic. Du monde, de la chaleur, du champagne. Les cigarettes se grillent. Bonsoir mélancolie. La route, le mot dans la poche, arrivée au steps. Pleurs, descente, caverne bondée, nana na ! na ! allumée. Ben, bière. Route dans la nuit. Flash semaine. Champagne rosé du matin, restaurant à midi cidre-kenavo. Trop tard : en retard, vite, vite, rue des dames, on se retrouve on parle, Elles logent – éloges. Feuilles roulées, cigares coupés – Vin chilien, retour aux départs, alcools, sorcières enivrées, blanche et rouge, amitiés truquées, branché – débranché / déconnez – déconnecté. Stop – post.
il faut savoir :
Provenant du latin nihil, « rien », et recouvrant deux réalités,
l’une historique, l’autre philosophique,
le terme de nihilisme a été employé pour la première fois en 1862 par Tourgueniev
dans son roman Père et fils pour caractériser l’« homme nouveau »
qu’il décrivait en Bazarov, son héros.
aléas /// www /// paranOïas
| L’acteur (*) peut compter sur son public pour ce qui est d’interpréter des indications mineures comme le signe qu’il se passe quelque chose d’important dans sa représentation. Cette disposition commode (je déteste ce mot) comporte une implication fâcheuse (j’aime bien celui-ci). En raison de cette même tendance à interpréter les signes, le public peut se mépendre sur la signification d’une réplique, ou bien il peut donner un sens gênant à des gestes ou des évenements accidentels, dus à la maladresse ou au hasard et auxquels l’acteur n’entendait pas conférer de signification particulière…
(*) terme générique désignant tant le professionel du spectacle, que le personnage internautique, ou encore mais surtout l’acteur social lambda en représentation, c’est à dire en présence d’un public oméga. dé-librement inspired bY gOffman |
Il avait vécu cette histoire comme il aimait boire ses cafés,
Noire comme le diable, et douce comme un baiser.
|
un petit message d’amour pour ma valentine même si elle me trouve un peu cruche comme amoureux et que moi je fais ce que je peux pour lui plaire surtout quand on est tout nus et même si elle pense que je pense que c’est elle qui est cruche alors que non en fait je passe mon temps à être admiratif de son esprit.
|
Cocaïne gratuite (chantée) toute la vie
aucun objet:
la journée d’aujourd’hui
n’existe pas
***ALL IMAGES © COPYRIGHT BEN FROST 2001***
![]() |
|
sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings sweet dre4ms darlings
|
Emballé
J’ai bien regardé tout autour de moi et ça m’a affolé : un des miens est en réhabilitation.
Il tente de se tirer la tête hors d’un sac en plastique « Champion ».
Et lui de crier à chaque fois, à mi-chemin de la maison :
– Que tout va bien, qu’il fait attention
– Qu’il s’en sortira et que de toutes façons
– Jamais ses proches ne le laisseront… bleuir puis mourir sans raison
Je crois qu’il se trompe.
Alors il sut. Il sut dans quelle contrée il était revenu. Il sut quelle communauté il trouverait derrière ces collines, quel désespoir silencieux recelait ce paysage que l’Eqelm brûlait soudain d’une ardeur presque infernale, entre deux cumulus qui se teintaient désormais d’un gris sale.
au menu
homme nu
Jeudi soir
Pas le temps de poster sur mon blog, c’est novembre et il pleut alors merde quoi alors je vais passer à la tévé pour ne pas sortir trop longtemps de la grille de programme TPS. Je me change pour la troisième fois de la journée, et mes chaussettes sont bleues. Je suis l’ami de plusieurs stars de la musique française et de michel sardou. Je vais passer dans l’emission de stéphane bern qui est l’ami de mon frêre. Il est sympa quand même. c’est novembre et il pleut, bizarre pour un jeudi alors je décide de ne plus poster tout les jours pour ne rien dire et voilà. Grâce aux dieux ! Mon malheur passe mon espérance ! Oui, je te loue, ô ciel, de ta persévérance. Appliqué sans relâche au soin de me punir, au comble des douleurs tu m’as fait parvenir. Ta haine a pris plaisir à former ma misère; j’étais né pour servir d’exemple à ta colère, pour être du malheur un modèle accompli. C’est novembre…
Je suis sa poupée(-stroy) d’amouuuuuuuuur !
Ambition : me marier, avoir des gosses et regarder les feuilletons toute la journée !
C’est ennuyeux, hein ?
Désolée, je n’ai pas grand-chose d’autre.
Envie de vivre : L’essentiel, c’est le saut dans l’inconnue.
Je ne baisse jamais les yeux !
Dix ans après, certaines images me hantent toujours.
Tu te coupes un peu du monde, personne ne te comprend vraiment, prendre une arme à feu et sauter par la fenêtre du neuvième étage : aujourd’hui, on peut choisir de s’échapper.
Une fille disparaît chaque semaine.
Careless W.
L’écran de télévision est la rétine de l’oeil de l’esprit.
C’est pourquoi l’écran de télévision fait parti de la
structure physique du cerveau, et c’est pourquoi
tout ce qui apparaît sur l’écran de télévision est
vécu comme une expérience primaire.
C’est pourquoi la télévision est la réalité
et la réalité est moins que la télévision.
revenir
Un retour.
Même s’il paraît que les gens qui vous disent Non ne reviennent jamais.
Réajuster. Deux pas en arrière pour jouer en cercle.
« Caresser-le il deviendra vertueux » comme il l’a dit.
revenir pour retracer l’écart creusé par les coeurs qui n’osent plus se regarder.
Pourquoi?Allez savoir! ça ils ne le diront pas
Epopée
Les Bouriates de la forêt sibérienne ont plusieurs épopées similaires de petite dimension, ceux qui sont proches de la steppe mongole ont une préférence pour Geser, mais n’en ont que des versions orales, divergentes entre elles et ne devant aux versions tibétaine et mongole guère plus que le nom du héros. Bien documenté, leur cas illustre les constantes et les facteurs de variation. La tradition prescrit de réciter l’épopée durant la saison de la chasse au cervidé, pour la favoriser, et interdit de le faire l’été ou sans raison, sous peine d’orage, de maladie…. L’exécution est un «?devoir collectif?»?; aussi le barde, choisi parmi les bons chanteurs, n’est pas rétribué?; il doit chanter jusqu’au bout, et l’assistance doit l’y aider?; il chante d’une voix grave ancrée dans un son de bourdon, assimilée à celle du chamane –?condition de l’efficacité rituelle. Dans les milieux proches des Mongols, le barde voit son statut s’affirmer, étayé par le succès aux joutes oratoires préalables et par la maîtrise de la vielle?; il reste néanmoins un üligersin, un homme de tradition orale populaire (différent du barde mongol, tuul’cin ou gesercin, qui s’inspire de versions écrites et qui, avant le régime communiste, se mettait au service d’un chef pour sa course au prestige). Le héros commun est soit un bon tireur, mergen, soit un fils, xübüün, qui venge son père aidé de son seul cheval. Geser, fils vengeur, est en outre chef politique (car fils de l’aîné du lignage ou fils d’un être céleste) et chef militaire, entouré de preux baatur-bagatar.
————————————————- |
le récitant à mi-nuit : continuer à critiquer, ricaner et regarder couler le bateau en se resservant du champagne ?
As sure as the sun
je crois ainsi atteindre sans jamais savoir l’attendre
Daily Standard Obituaries – April 2003
Thomas A. Lampert, 78, 59 Rummel Creek Drive, New Bremen, died at 4:50 a.m. April 6, 2003, at his residence.
He was born July 31, 1924, in Minster, to Bernard and Bernadine Berning Lampert. On June 7, 1947, he married Edna M. Quinter who survives.
Also surviving are three sons, Bill (Nancy) of Raleigh, N.C., Charlie (Sharon) and Pat (Jamie), both of New Bremen; four daughters, Peg (Nick) Will, Worthington, Teresa (Larry) Wissman, Julie (Tom) Pfenning and Kay (Bernie) Larger, all of New Bremen; two brothers, Virgil of New Bremen and Eugene (Joanne) of St. Marys; two sisters, Marilyn (Guy) Dennings, Covington, and Audrey McCollum, New Bremen; 24 grandchildren and a great-grandson.
Deceased are two brothers, Orville and Victor, and a granddaughter.
He and his brother Gene operated Lampertís IGA in Piqua. He also was night supervisor at Minster Machine Co. prior to retiring after 35 years of service and raised cattle on his farm north of New Bremen.
He served in the 526th Army Infantry Battalion during World War II, earning awards for ground combat. He was a member of the Church of the Holy Redeemer in New Bremen and was a life member of New Bremen American Legion Post 241 and Minster Veterans of Foreign Wars Post 6432.
Funeral Mass is 10:30 a.m. Thursday at the church, the Rev. John Kroeger officiating. Burial will be at German Protestant Cemetery, New Bremen.
Calling is 2-4 and 6-8 p.m. Wednesday and at 9:30 a.m. Thursday at Gilberg-Hartwig Funeral Home, New Bremen.
Contributions can be made to Mercer/Darke County Hospice.
Avalanche
ils sauront me trouver avec leur coordination acoquinée depuis peu
Weird pleased and Rainglasses (please don’t wear sunglasses)
Dès lors, plus rien n’est anodin. Et encore une fois, au risque d’être présomptueux, je me veux solennel.
J’avais supprimé les matins. Un peu par habitude. Et puis par trouille aussi. On insiste sur l’heure bleue et un tas de conneries mais rarement sur les faits objectifs : quand on n’est pas kidnappé par le temps extérieur, sortir de la douche vers neuf heures c’est glauque à se sectionner la carotide avec les griffes du chat.
Alors j’ai pas dormi, et puis j’ai fait exprès. Je l’ai guettée et puis choppée bien dans les yeux, l’aurore du 4 décembre. Elle était plutôt fade et la fenêtre d’en face s’est allumée tout de suite. Je me demande ce que ma voisine va en faire. Parce que moi j’en ai aucune idée. La preuve : il est midi.






































>>>
cUT











