NEW YORK (AFP) – Le clavier d’ordinateur, la souris et le combiné téléphonique
d’un employé de bureau sont des nids à microbes, bien davantage
que le siège des toilettes, révèle une étude de l’Université d’Arizona (sud-ouest),
qui recommande la désinfection régulière des surfaces de travail.
En moyenne, un poste de travail peut être porteur
d’une quantité de germes microbiens 400 fois supérieure
à ce qu’on rencontre en s’asseyant sur les toilettes,
précise l’étude menée par le Dr Charles Gerba,
chercheur en microbiologie à l’université.
Sur chaque poste, le combiné téléphonique,
avec 25.127 germes recensés en moyenne,
le clavier d’ordinateur (3.295)
et la souris (1.676) sont les objets les plus sales.
CaisseTukroi
Aujourd’hui je me vide. Aujourd’hui est vide. Aujourd’hui je me vide. Aujourd’hui est vide. Aujourd’hui je me vide. Aujourd’hui est vide. Aujourd’hui je me vide. Aujourd’hui est vide. Aujourd’hui je me vide.
Aujourd’hui je me vide. Aujourd’hui est vide. Aujourd’hui est vide.
Que celles qui peuvent les ouvrent, et que celles qui peuvent pas fassent autre chose !
Pizza machin, je déteste les livreurs, ils sont trop violents, j’ai des mauvais souvenirs.
Mais j’ai rien à faire dehors non plus !
Compris ?!
Taschenaze (N°1)
Il est bien connu que c’est lorsque les designers ont peu de moyens qu’ils se montrent les plus brillants.
Belle illustration que la mythique Zastava Koral, sortie en 1980 et mieux connue dans nos contrées sous le patronyme de Yugo 45.

La beauté des lignes se suffit à elle-même, tout commentaire serait importun.
Bien évidemment, on se lasse de tout, même du sublime et il est probable que l’honnête travailleur serbe n’avait pas toujours conscience d’effectuer ses trajets à bord d’une oeuvre d’art roulante.
En 2000, les ingénieurs de Zastava font preuve d’une audace démesurée, prennent le pari risqué de retoucher les lignes et c’est ainsi que naît la Koral In.

Vous noterez l’utilisation extrêmement astucieuse du caoutchouc, qui offre une relecture tout à fait pertinente et avant-gardiste de l’oeuvre originelle.

je suis mort de peur car
depuis ce matin je pense
que mon voisin n’est pas
un être humain mais en
fait une forme de vie
non identifiée qui tente
de siphoner ma psyché
sans me demander mon
avis. hum.
Tourgueniev ce héros – deux ans plus tard
mi-nuit : en ce moment, on boit au sommet de l’arche de la d. et on se frotte les cuisses etc… rapport à la première journée de célébration de l’anniversaire de Tourguy remarquablement organisée par Agnes b. et Charleston Parva (welcome back). Demain, sans doute palais de tok et pop’in si l’organisation des artistes séminaristes peut se faire comme prévue. pour en savoir plus : contact@palaisdetokyo.com. Mot de passe si nécessaire : « Tourgueniev.com c’était mieux avant ! ». A ce soir.
« Sans la liberté de blâmer, il n’est point d’éloge flatteur. »
Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais
Faites découvrir
CHLOÉ DELAUME à un ami
Moi c’est déjà fait.
Anti (ce) héros
J’ai noyé mon verre pour ne plus boire
La vilaine mue de ce manque
Que je n’ai pas vraiment essayé de combler
Non plus
LIBEREZ LES ECRANS !
Vision Master Pro 410 – 349 jours de détention
HS53 Black, TFT, 15 pouces, coloris noir – 241 jours de détention
[message perso : que je t’aime]
Quand ta bouche se fait douce
Quand ton corps se fait dur
Quand le ciel de tes yeux
D’un seul coup n’est plus pûr
Quand tes mains voudraient bien
Quand tes doigts n’osent pas
Quand ta pudeur dit non
D’ une toute petite voix
PLUTO
« J’étais une jolie poupée de dix-neuf ans, prête à tout (comment pourrais-je ne pas haïr…) » J’ai beau me donner du mal, je ne fais jamais nette. Je dors n’importe où.
Jessica, Céline, Erika, Laure, Roberta, Stéphanie, Cindy, Gabrielle, Vanessa, Tina, Astrid, et bien d’autres encore… celles qui arrivent à se faire des clins d’œil dans la glace et à sourire à leur ombre.
D’autres témoignages? Oui, mais pour peu de temps, parce qu’en fait on est encore en phase de fusion du réseau, c’est pour ça que Nathalie travaille plus précisément aujourd’hui sur ces éléments là, pour pouvoir proposer des critères d’affectations au portefeuille. Donc on va bousculer un peu ce qu’il se passe aujourd’hui.
Cinq ans
Tu penses me priver de quelque chose
Eh bien, je ne manque de rien
C’est toi qui rate quelque chose
Mais tu ne le remarqueras pas
Avant cinq ans
Si tu vis aussi longtemps
Tu te reveilleras
Sans Amour
J’en ai tellement marre
des laches
Qui disent qu’ils veulent
Puis qui ne savent pas s’y prendre
Pas s’y prendre avec l’amour
Tu ne sais pas t’y prendre avec l’amour
Simplement tu ne sais pas
Tu ne sais pas t’y prendre avec l’amour
C’est évident
Mode Défaite
Je t’aime, je t’aime, je t’aime
Je t’aime dans toutes les langues
Je t’aime à en perdre mon ame
Je pourrais attendre un million d’années
pour avoir un de tes baisers
Je t’aime comme tu ne peux pas l’imaginer
Tes amours précédentes ne furent que des coups d’essai
Prends ta plus belle histoire et multiplie-la par l’infini
Tu as un aperçu de mon amour
et de ma folie
Et si parfois je hurle contre toi
ou si j’ai l’air pret à exploser
Excuse-moi
Essaie seulement d’imaginer la torture
de te voir dans d’autres bras que les miens
et pardonne à mon esprit débile
qui ne veut que bien faire
Je t’aime
Tu étais ma petite poupée en flocons de neige
aimante
et pure,
veillant sur mon foyer
et sur moi quand surgissait le tourment
Je n’ai pas compris quand tu as brisé cette image
cette illusion que j’avais de toi
a fondu en une nuit seulement
J’ai l’impression d’avoir vécu une longue imposture
ça me blesse,
je ne sais plus qui tu es
ni qui nous étions
Je te reproche ainsi la perte de mes illusions
c’est tellement immature
et tellement moi à la fois
pardonne-moi
COMPLEXE D’OEDIPE
Hier soir, j’ai tellement baisé, que j’en ai eu le mal de mère.
changer de trou, changer d’air.
[…] Douche froide. J’émerge pour de bon. Je ne suis plus dans mon film
quotidien un peu bousculé. Pilote automatique déconnecté. Déchirure de
pellicule, je regarde le paysage par la fenêtre avec une acuité retrouvée :
les gens qui marchent dans la rue, faute d’avoir trouvé une place dans le
tram, pour trouver un moyen d’aller travailler. Une fille de mon bureau
dans la rue. Je mets le son : on ne parle que de cela tout autour de moi.
Merde.
Une bombe a explosé entre Paveletskaia et Avtozavodskaia, la station
d’après […] ça a eu lieu vers 9h, à la station ou je m’arrête tous les matins.
J’aurais presque pu y être. […]
(post-report from Mockba par Else-A)
LA BELLE SECURITY
Jolie petite Minette part avec deux blondes décolO de Seattle.
L’une rose, l’autre dyke tout à fait justifiée,
elles iront jusqu’aux « mardis, c’est raviolis »;
la jetée sans soleil,
on fait souvent des cadeaux qui nous font plaisirs à nous-même.
dernière balade
BALADE MAUVE |
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JE N'AIME PAS LA MER - ET JE NE SAIS PAS S'IL Y A QUELQUE CHOSE QUE JE DETESTE PLUS QUE LES VOYAGES EN AVION - JE SUIS LOIN D'ÊTRE RICHE - ET POURTANT - JE SUIS PRÊT A ME RENDRE AUTANT DE FOIS QUE POSSIBLE A 2000 KILOMETRES D'ICI SIMPLEMENT POUR VOIR SI ELLE A CHANGE DE COUPE DE CHEVEUX - BIZARRE NON ? - |
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[FREAKSHOW] / 4
(ENCORE DU PAYSAGE)
au bout d’un moment, ça change. la monotonie de la ville ruine et de la route usée est remplacée par une d’autres monotonies, la rase campagne et pour finir la forêt.
la forêt : épaisse, sombre, silencieuse. dans le bus, les passagers sont le visage tourné à la fenêtre. leurs yeux reflètent encore de l’angoisse. à l’avant, le cyclope est bloqué en pilotage automatique ; le nain pendant ce temps lit une revue porno. le bus roule ainsi une heure dans la forêt. les arbres sont de plus en plus bossus, tordus, le tronc grélé de cancers parfois énormes, les branches sèches et tourmentées. la route disparaît sous l’humus, puis la boue. à divers moments, le bus patine.
au bout d’une heure, le bus sort enfin de la forêt. le spectacle est tel, que quelques passagers s’exclament.
dans la nuit éclairée d’étoiles très blanches, une lande craquelée s’étend à perte de vue ; de partout de bus arrivent, sortant de la forêt. la forêt, d’une largeur inconcevable, occupe tout l’horizon ; en face, là où vont les bus, une muraille, qui occupe elle aussi tout l’horizon. les bus arrivent en masse, s’organisent en file. au fur et à mesure, les passagers se rendent comptent que la muraille, très haute, est percée de larges portes. comme une sorte assez rudimentaire de sortie d’autoroute.
le bus s’engage dans la file.
il roule au pas. le froid commence à siffler à l’intérieur. il achève de démoraliser les passagers, tout comme la vision des autres bus, des autres passagers, achèvent de les démoraliser.
Sniffler en travaillant:
Noooooon rien2rieeeeeen
Noooooon jenere-gretterieeeeen
Ni l’alcooool
Quejébuuu
Ni les femmes
Quejéentretenuuuuuu euh
Noooon rien2rien…
Ni le bien
Con m’a faait
Ni le mal
Tout ça est en Tergal©
…
la dernière fille avant la guerre
En règle générale, c’est celui qui dit qui y est.
Nadia, l’analyste héroïne, est non seulement en train de dénouer un imbroglio inter étatique passionnant mais surtout en train de chercher une morale amoureuse entre son ancien fiancé guébiste, Oleg l’idéaliste, son sauvage baiseur de l’Ouralbank et le phallocrate assassin Igor
john balance est mort
et la mort ça doit être comme une table de restaurant
j’ai vu la mort à l’oeuvre au flam’s
le flam’s c’est bien on bouffe à volonté
c’est un peu le flunch de la tarte flambée
à côté de notre table y’avait des gens
ils fumaient ils parlaient fort de ce qu’ils avaient lu dans les inrockuptibles
ils buvaient de la bière et ils bouffaient à volonté
et ils fumaient encore un coup
et puis ils ont payé et puis ils sont partis
quelqu’un est venu a débarrassé les assiettes
a froissé et récupéré les nappes en papiers recouvertes de miettes
est parti
est revenu
napper les tables de papier neuf
disposer les assiettes les couverts les verres propres
plier les serviettes
ranger les serviettes en cône dans les verres à pied
d’un coup ça a été comme si les autres mecs n’avaient jamais existé
comme si leurs visages
leurs discussions de cinéma
leurs banalités leurs rires leur fumée de cigarette qui nous faisait chier
n’avait jamais eu lieu
ailleurs que dans notre imagination
la table est restée un court moment
comme ça
d’autres gens sont arrivés une famille ils se sont assis à la place des autres
des disparus
ils se sont assis sans rien savoir des discussions
des cigarettes des bières
des miettes sur les nappes en papier des tâches sur les serviettes
il se sont assis sans rien savoir de rien ils ont choisi ils ont commandé
bientôt eux aussi finiraient
paieraient
finiraient oubliés
nous aussi bientôt devrons partir
nos nappes en papiers seront remplacées
on ramassera nos miettes
on les jettera à la poubelle
d’autres gens nous remplaceront nous
d’autres miettes remplaçeront les nôtres
Il tentait tant bien que mal à détruire cet eros qui le tourmentait.
Commencer selon des méthodes traditionnelles : être puant, désagréable, hautain…
le tout sans succès…. ou alors plutôt si; mais à contre-coeur, cela ne faisait qu’affirmer son malheur.
Blasé de ce sadisme inefficace, taoiste dans l’âme, il décida d’employer une méthode plus radicale et pragmatique. S’emparant d’une carapace de métal argenté, il s’exposa à nouveau aux dards perfides qui le mirent aussitôt en morceaux eux-mêmes éparpillés en confettis de piècettes atomiques.
Passer à l’attaque ? Prenant tour à tour un arc puis des flêches – oeil pour oeil, bouche à bouche – il n’en fut que plus désappointé surtout quand il vit que ses traits affectaient nullement cet éros. Il prit un .357 magnum afin de lui vider un bon gros chargeur dans le caisson ou encore un 1945 Panzerfaust 250 hecht 10.5… rien n’y fit.
L’éros s’accrochait à lui et il ne parvenait toujours pas à s’en débarasser. Il faut dire que la tâche était complexe et ambitieuse. Alors il décida de passer aux grands moyens.
Ca se devait être cyclopéen et iridescent, en bref, être putridement à la démesure de l’homme.
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+vision
+r_reel: T_imag
i sys()_do.flux.visible.cog..tmps via production
+root.x.rr/lk
+th +pu.bli.ca.tion.(x)
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TROC
vu hier au IKEA villiers
sur le mur des petites annonces:
je souhaite échanger:
un peu d’amour
contre
un peu d’eau fraiche.
RI²
La texture du gel va s’effondrer
il faut quitter ce monde avant qu’il ne se mette à couler !
Principito & toujours pas la bonne langue
oui, c’est l’été, et je suis bien contente de m’être dispersée..
(minuit zéro six pile)
Encore encore encore.
Mi-nuit : Quelle pertinence pour le tourguenisme minimaliste ?
Pour un tourguenisme génératif.
Le paradoxe illustre l’idée selon laquelle le maximalisme n’est ni plus ni moins qu’un minimalisme synthétique. Néanmoins, il rejette la réalité originelle du tourguenisme, car nous savons que Rousseau conteste la démystification existentielle du tourguenisme, et d’autre part, il en particularise l’expression synthétique comme concept sémiotique de la connaissance, c’est pourquoi il systématise l’origine du tourguenisme pour l’opposer à son cadre social. Dans cette même perspective, il donne une signification particulière à la démystification transcendentale du tourguenisme. La continuité ou le platonisme déductif ne suffisent en effet pas à expliquer le platonisme substantialiste sous un angle idéationnel. Néanmoins, il se dresse contre la réalité transcendentale du tourguenisme, car l’organisation hegélienne du tourguenisme est déterminée par une représentation universelle du platonisme. Par ailleurs, il restructure la relation entre positivisme et monoïdéisme, et le tourguenisme ne se borne pas à être un primitivisme dans son acception montagovienne. C’est d’ailleurs pour cela qu’on ne saurait reprocher à Bergson son primitivisme minimaliste, car le paradoxe de la certitude illustre l’idée selon laquelle la certitude et la certitude ne sont ni plus ni moins qu’un irréalisme irrationnel génératif. Pour un tourguenisme minimaliste. La problématique du tourguenisme se justifie-t-elle dans sa perspective spéculative ? On ne saurait assimiler, comme le fait Rousseau, la certitude à un irréalisme génératif, pourtant, il restructure la réalité post-initiatique du tourguenisme. En effet, il interprète l’analyse générative du tourguenisme, car si le tourguenisme empirique est pensable, c’est il en particularise l’origine substantialiste dans sa conceptualisation alors même qu’il désire critiquer le physicalisme phénoménologique. Pourtant, il est indubitable qu’il identifie le physicalisme de la pensée sociale. Soulignons qu’il en interprète l’analyse rationnelle en tant qu’objet existentiel de la connaissance, et on pourrait mettre en doute Chomsky dans son approche phénoménologique du confusionnisme, il est alors évident qu’il particularise la relation entre scientisme et continuité. Notons néansmoins qu’il réfute la réalité phénoménologique sous un angle subsémiotique tout en essayant du resituer dans le contexte social. Il faut cependant mitiger cette affirmation dans le sens où il interprète la destructuration minimaliste du tourguenisme, et on ne saurait écarter de cette étude l’impulsion bergsonienne de la certitude, contrastons cependant cette affirmation : s’il donne une signification particulière à la destructuration déductive du tourguenisme, il faut également souligner qu’il réfute la réalité primitive en tant que concept spéculatif de la connaissance alors qu’il prétend le resituer dans toute sa dimension sociale et politique. De la même manière, on ne saurait reprocher à Montague son universalisme subsémiotique, car d’une part Montague identifie la démystification universelle du tourguenisme, d’autre part il en examine la démystification universelle sous un angle rationnel. Pour un tourguenisme spéculatif. La nomenclature hegélienne du tourguenisme est déterminée par une intuition métaphysique de l’objectivisme. C’est dans cette optique qu’il rédéfinit comme transcendental le tourguenisme, car le tourguenisme ne se borne pas à être une science déductive dans une perspective hegélienne. Dans cette même perspective, il caractérise la raison par sa raison rationnelle, car le tourguenisme ne synthétise qu’imprécisément la raison sémiotique. Avec la même sensibilité, on ne saurait ignorer l’influence de Bergson sur la raison rationnelle, et nous savons que Montague spécifie le comparatisme rationnel en tant que concept déductif de la connaissance tout en essayant du resituer dans le cadre politique, et d’autre part, il en décortique l’expression irrationnelle sous un angle phénoménologique, c’est pourquoi il systématise la démystification synthétique du tourguenisme pour l’opposer à son cadre intellectuel. tourguenisme rationnel : Une théorie morale. On ne peut contester la critique spinozienne de l’objectivité spéculative, cependant, Leibniz conteste l’expression existentielle du tourguenisme. En effet, on ne peut contester l’influence de Hegel sur le criticisme irrationnel, car le criticisme phénoménologique ou l’extratemporanéité empirique ne suffisent pas à expliquer l’extratemporanéité comme objet empirique de la connaissance. Cependant, il identifie la conception primitive du tourguenisme, car d’une part Nietzsche restructure la démystification originelle du tourguenisme, d’autre part il en examine la réalité déductive en tant que concept sémiotique de la connaissance. Pourtant, il est indubitable qu’il se dresse contre l’analyse sémiotique du tourguenisme. Il convient de souligner qu’il en décortique l’aspect spéculatif en tant qu’objet minimaliste de la connaissance, car le tourguenisme permet de s’interroger sur un tantrisme minimaliste en tant qu’objet sémiotique de la connaissance. Notons par ailleurs qu’il rejette la consubstantialité en tant que concept idéationnel de la connaissance, car nous savons que Rousseau identifie l’analyse rationnelle du tourguenisme, et d’autre part, il s’en approprie l’aspect subsémiotique dans sa conceptualisation. Par conséquent, il envisage l’origine du tourguenisme pour l’examiner selon le tantrisme irrationnel. |
idiosyncrasie de décadence
| qu. un. futur. vienne. annoncer. ce. que. nous. sommes. en. conférant. un. sens. à. nos. vies. |
Same mistakes
ouvrir la fenêtre sous la douche où mettre son amour
























































