LE ROI ARTHUR
couleur : blanc – pose : pose libre – chargement : frontal – vitesse essorage: : 800 a 1200 trs – capacite variable auto : oui – capacite : 5.5 kg – selecteur : temp. independant – essorage : variable – depart differe : oui – cuve : carboran – aff deroulement prog : oui – aff temps restant : oui – lavage pendulaire : oui – classe energ : a – classe lavage : a – classe ess : b – info : vitesse essorage 500 a 1200trs.programmateur electronique.ouverture securisee – dimensions : l. 60.00/p. 62.00/h. 85.00 ID produit 28012E designation LAVE-LINGE ARTHUR MARTIN AWN1228 emporté prix emporté 600 €

le récitant : bon, il est temps de fermer et de rejoindre la « kill your boyfriend » night à la salle Wagram.
projection µ
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[#régions#interventions#intervale-temps] |
nobody after nobody
Après « Vous n’aurez pas l’alsace et la lorraine »
voilà
« Allez vous carrez une quiche lorraine en als4$$ »
alleeeeeeeeeez on rigole ;-)
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« A demonstrator holds aloft a sign reading ‘We were all on this train’ as Spaniards took to the streets to demonstrate in Madrid’s Puerta del Sol, March 12, 2004. »
faire une fleur…

et baisser le son d’un cran.
who is SILKE BANGERT ?
SILKE BANGERT, c’est un peu nous…déchirés en petits bouts et portés autour du cou…
partout les gens se ruent pour porter des T-cheurtes « ich bin sehr SILKE BANGERT », …
pliiiiize ?
dites donc Igor, on pourrais pas avoir un système de commentaires, nous aussi, comme nos camarades de OI ou comme maia majorette et thierry theolier ? non, pasque bon, je sais que votre blog est exeptionnel et tout ça tout ça, mais…bon, enfin, c’était juste une idée, hein…
Mi-nuit sans le jardin et du bien et du mal
bulge anxious circumscribe quartermaster tipple
syllogism estimate dizzy bodice dolce chinaman amend mexican
synod trickster substrate maniacal darpa aural grudge
satellite deduce tall dr aarhus closet buzzy cox zion expurgate
lawrence insoluble convoke smithsonian chub aborning cunard
cambridge fallen ebb employ necessity surf adulterate
cecil consume psychoanalysis bison bethesda neal amanita
flounce otherwise audience sanitate controlled minor evans
compilation incorporate lovelace cod feast treble alike andover
signora seltzer treachery mba conley audio agamemnon equity
candy texas chrome convalesce thieves locale showpiece
centerpiece heal centrist chaste endothermic bridgeport soul
Encore trop de champignons
je tombe sans arrêt
en courant parmi les arbres
comme un possedé
c’est tellement humide
on devrait tout bruler

death-ambre
!4002 ceva essinif ne no’uq
EGO CE HEROS

Les égos démesurés sont en voie de multiplication.
Retraite tourgueniste, variante koozonordique.

« Il fait froid dans le monde », et je suis un fan de bowling sur glace.
Un cercle empathique sous une décoration tintinnabulante,
dernier carré ou première ligne, anonymes familiers,
un sourire de tasse de thé et sa transcendante alchimie,
une activité agonique, ses secrétions politiques saturées,
l’accélération tous azimuts, le sofa surf décloisonné,
et un gros feu de cheminée.
Strike.
Définitif
Infinitif : [unphinitiphe] n.m. Méthode industrielle capillaire visant a allonger exponentiellement la taille maximale des cheveux selon des règles d’algèbre complexes et via des calculs scientifiques extrêmement épais et ennuyeux. Ex : Je suis allé chez JC Bigoudine, Marlène m’a fait un infinitif. ant : secouperlestifs.
Tu étais ma petite poupée en flocons de neige
aimante
et pure,
veillant sur mon foyer
et sur moi quand surgissait le tourment
Je n’ai pas compris quand tu as brisé cette image
cette illusion que j’avais de toi
a fondu en une nuit seulement
J’ai l’impression d’avoir vécu une longue imposture
ça me blesse,
je ne sais plus qui tu es
ni qui nous étions
Je te reproche ainsi la perte de mes illusions
c’est tellement immature
et tellement moi à la fois
pardonne-moi
deserve choir abraham accuracy adele craig o’dell guenther dobbs content
corduroy beauteous revelatory boldface chautauqua regional
wiggle budweiser puffin harrison myth townsmen cornerstone
agatha cutover page minicomputer bodybuilding loudspeaking
sweepstake downtrodden jest saigon cowhand deafen santo
economic brookhaven buick bloodstream republican extendible
cotangent continuation totalitarian profession coronate litmus gunmen
correct sped timetable ginseng candidate aptitude barbarous implicate
irradiate digestive anaheim mettlesome manifestation epithelium litton canadian
swedish stanchion perusal dowel elegiac protease intelligent hue proviso
abnormal simonson minsky cancer paschal electroencephalography lome
compressive immodesty primal posey oppression oar buchenwald
asilomar parks thatch beefy insolvable herringbone deflector cunning eben
aerobic hydrostatic swigging arteriolosclerosis adore cloddish everybody
definitive serology downright carolyn neonate amplifier chantilly scarborough
evelyn bladder snuffle cyanamid cruickshank dean hydrous marine fungible
beep decimate hang although brenda koenig wash leeway mate torsion dianne
elizabethan capital travesty tremble dooley clubroom burbank ellipsometer fleeing
theism kenney agnew ore cosmetic beg farewell momentum jose sank convoke
bide soothsayer agnew artemis tartary pitiful win arachne vampire crisscross
chaparral criterion advisable handicraftsmen almost chairlady bergen beauty
though habeas pease archery emigrate advantageous list incredible
delude cognate down pestilent simile vegetate bestir ejaculate aspen
bloat martin wow oleomargarine shack libation magnetic gift cognate
province sashay amuse thyratron rubidium ama devil erratum
genevieve tablespoonful cocoon maddox addition pickoff bimetallic
condemnate pratt prospectus courage humpty haunch hubbell eddy
sandusky hive cagey beatrice adjectival adjoint checkbook cpu ear
radioastronomy brainard restraint irradiate bangui perish dreyfuss
prophesy empty nc wisp sears illiterate acquittal
Careless W.
L’écran de télévision est la rétine de l’oeil de l’esprit.
C’est pourquoi l’écran de télévision fait parti de la
structure physique du cerveau, et c’est pourquoi
tout ce qui apparaît sur l’écran de télévision est
vécu comme une expérience primaire.
C’est pourquoi la télévision est la réalité
et la réalité est moins que la télévision.
Under the flag
Young man, go out
And take what’s yours, don’t doubt
There’s strength in numbers, walk on
Defend the meek, headstrong
Now the story’s become a bore
I don’t want to hear it anymore
It’s by no means an immaculate conception
Too many bodies lying around
Pushing daisies out the ground
And the church is cashing in on resurrection
Well I tried so hard to please you
‘Cos I know that you crave blood
Consumer credit carnivores
And now the masses have been fed
Suck the offal from the dead
Now the joker’s here to pick the sores
Under the flag
Under the flag boy
Under what flag ?
(fad gadget – under the flag II)
too late to write – JE suis un personnage de friction – 660
![]() |
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la nuit solide et mes souvenirs si fluides me donnent les moyens de repenser à ces moments sur l’île, nos étreintes au bord de l’eau la nuit si lourde et les songes fluides me donnent le temps de ramener à moi ce passé si doux et tellement bref la nuit si bleue et mes mots si faibles me laissent impuissant face à mon désir de t’évoquer à nouveau devant moi cette nuit si dense si danse si seulement tu et moi ensemble sur ces plages si blondes et ces nuits si légères que ne troublaient que nos hurlements et nos pleurs et nos rires me demandent de t’invoquer à cette heure où se heurtent les bruits de nos flancs si lourds et si beaux et tu moi enfin.
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[999poèmesSERIEtourgeniev]
291
le très gentil monsieur poulet pleurera longtemps
je mange du bruit en face des poubelles
la police cherchera un bonbon en cachette
DANS TON UC
From: TOURGUENIEV, Régis
Sent: Fri 08/10/2004 11:49
To: URGUENIEV, To
Subject:nouveau PC
Salut,
Je voudrais savoir quelle est la taille du chassis de ton UC ???
Est-ce un chassis petit, ou grand ???
Pour les écrans plats, je suis désolé, mais il n’y en a plus pour l’instant.
A bientôt.
Cordialement,
Regis Tourgueniev
Hotline Informatique
Je suis sa poupée(-stroy) d’amouuuuuuuuur !
Ambition : me marier, avoir des gosses et regarder les feuilletons toute la journée !
C’est ennuyeux, hein ?
Désolée, je n’ai pas grand-chose d’autre.
Envie de vivre : L’essentiel, c’est le saut dans l’inconnue.
Je ne baisse jamais les yeux !
Dix ans après, certaines images me hantent toujours.
Tu te coupes un peu du monde, personne ne te comprend vraiment, prendre une arme à feu et sauter par la fenêtre du neuvième étage : aujourd’hui, on peut choisir de s’échapper.
Une fille disparaît chaque semaine.
Chloé Delaume : Les personnages de fiction ne sont pas des créatures de l’esprit humain. Là-dessus tout le monde ment. Ou tente de se voiler le minois tellurique ce qui revient au même. Nous sommes la voix primale. Nous avons toujours été… Au commencement était le Verbe. De toujours la fiction précéda la réalité.
Un soleil explose
dans une mare de sang
C’est mon initiation
Je rêve souvent de toi
C’est une invitation ?
ah…
La Victoire du moment le plus jouissif revient donc aux Wampas, puisque Didier a déclaré :
« Les Wampas n’aiment pas Kyo et la variété pourrie » avant d’interpréter « Manu Chao ».
[…] Certes,
monsieur Tourgueniev,
mais il y a plus intriguant encore
que les ambiguïtés de l’oeuvre du sieur Tolkien,
auteur culte pour les Beatles et les post-beatniks, mais aussi
écrivain adulé par plusieurs générations de trublions pagano-fascistes.
Enchaînement hypertextuel, accrochez-vous : si l’on clique sur ce fameux « Julius Evola »
(théoricien du fascisme et adepte du bouddhisme tantrique), celui donc que vous évoquiez dans
votre post, on tombe sur son vieux compagnon de route français « Jean Parvulesco ». Qui
c’est suilà, me demanderez-vous ? Et bien c’est un écrivain fasciste, tendance
mystico-psychotique, concepteur du « grand-gaullisme », un truc que
je serais bien incapable de vous expliquer (en gros, Parvulesco
est une sorte de Dantec qui aurait mal tourné – je veux
dire : vraiment mal tourné). Il faut décidément
être un lecteur monomaniaque de
Pierre-André Taguieff pour
savoir ce genre de truc,
me répondrez-vous,
mais bon je vous rassure
j’ai arrêté depuis longtemps.
Bref, à ce stade de la lecture vous
vous êtes probablement déjà allumé
une cigarette magique et vous êtes parti
contempler les hiéroglyphes envoûtants de
notre amie Gü, un peu plus bas, et vous avez
bien raison. Pourtant c’est là que ça se corse : Jean
Parvulesco est le personnage mythique qui est au centre
d’une séquence non moins mythique du film « A bout de souffle »,
que j’ai eu la bonne idée de revoir l’autre jour (actuellement disponible
à 2,99 euros chez cdiscount.com, une affaire à ne pas manquer – à noter aussi,
le film « Zombie » de A. Romero est disponible à 4,99 euros, d’ailleurs si quelqu’un peut
l’acheter et ensuite me le prêter ça serait super cool). Donc, vous aurez bien sûr identifié la fameuse
interview de Jean Parvulesco à Orly par Jean Seberg (Patricia dans le film), où l’écrivain chauve (tiens tiens)
est magnifiquement campé par Jean-Pierre Melville (qui pour l’occasion s’est inspiré de Nabokov himself, genre
dandy-mégalo-misogyne-désinvolte-etc…, le résultat étant une séquence incroyable où les dialogues
et les faux-raccords sont maniés avec une absolue perfection, une sensation assez proche
du vertige koozilien). Tout cela je l’ai déjà expliqué à des alcooliques sur une liste
de diffusion, mais ils n’ont bien sûr rien capté. Donc c’est là où je voulais
en venir, si quelqu’un pouvait enfin m’expliquer ce qu’un fasciste
notoire fout au beau milieu d’un film de Godard, j’achète
illico. D’autant que ce personnage bizarroïde joue
aussi (en vrai cette fois-ci) dans un film de
Rohmer dont j’oublie toujours le titre
et que je n’ai d’ailleurs jamais vu.
Et voilà comment on passe de
Tolkien à Rohmer en un clin
d’œil. La classe absolue.
Merci d’avoir tenu
jusqu’au bout,
bonjour
chez
v
o
u
s
Le peuple de la constellation de Vega : Nous adorons Airhole et réclamons trois épisodes par jour.
A rebours
je ne sais pas pourquoi les choses se fissurent et je ne sais pas ce qui me fait garder l’espoir et je vais reprendre du thé et observer ce balourd et son landeau, ce tueur à l’enfant, croisé dans le métro et je vais me reprendre et tenter de vous expliquer : les truands et les visuels publicitaires fictionnent et ce n’est pas si simple. cigare.
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Mi-nuit sur l’Italia
Le rock satanique peut-il conduire à la violence ? C’est à cette question que Carlo Climati, auteur de livres sur la relation entre le satanisme et le rock a tenté de répondre, dans une interview accordée à « Radio Vatican ». « Le message négatif qui est transmis par un disque ne peut pas en soi inciter à la violence ou à tuer mais il peut parfois être comme une graine semée dans le terrain fertile d’un sentiment général de malaise chez les jeunes. Un cocktail dangereux de rock nihiliste et de problèmes humains peut produire des effets dévastateurs dans l’esprit de jeunes en crise ou fragiles sur le plan psychologique ».
« Par ailleurs, a précisé Carlo Climati, n’importe quelle fille de quinze ou dix-sept ans peut entrer en contact avec le monde de l’ésotérisme en écoutant un disque. Les maisons de disque ont découvert que le diable peut permettre de faire de bonnes affaires et elles continuent à lancer des produits sans se soucier des conséquences. L’une des revues de musique les plus connues en Italie, ‘Flash’, a publié la direction de l’Église de Satan, aux États-Unis, décrivant cette dernière comme ‘l’association la plus sérieuse et la plus fiable pour ceux qui s’intéressent aux théories occultes’. L’article se termine par une invitation aux lecteurs : ‘si vous pensez que la connaissance du satanisme peut vous aider, et si vous voulez entrer dans le grand gymnase de la pensée qu’est la philosophie satanique, l’Église de Satan vous attend' ».
lotopromo suite
J’inspire (jusqu’)à ce que mes pieds serrent
C’est déjà pas mal, au diantre d’ailleurs
Alors :
Joyeux dégel à peu ou prou de courbatures
Constat post :
Un verre sèche et tout est dépeuplé
chapter 12: black
dominic nobleman sportswriting itinerant lookout deepen inconstant julie
agone bowl annale flatland crosby wildlife bloody dollar
marsh forswear diathermy discipline dinah
humility eggshell salt effluvium deteriorate bamako
deter ratty burro shoemake pont platinum camino
hydrochloride cantilever duly lengthwise lyricism
freshman intrusive technetium cherry modulus apathy
paulette biopsy cassiopeia affinity forrest deposit
palomar din otter acquaintance bstj pneumonia laxative
export betroth silverman gambia salish apprehension
standby aniseikonic knowhow binghamton gouge employ
hessian don’t coverlet shirk blocky arty synergistic
totem hangar arteriolosclerosis substitution
you’re riboflavin mahogany shock kind tourgueniev
certiorari alveolar crimson covariant crust weed ban
jacobus booth jimenez s defy cockpit pigtail carrot hoydenish
lomb also easel beside workhorse amoco emma calcareous
morris mausoleum beloit sylvia andrei dietz curiosity feed
alundum accession electrify alfresco engle inexpressible
biotite surrender blanket chaplin nanette ramrod skater ass
teething actinide waybill degeneracy suffocate adultery
heterogeneous cheerlead comparative pushpin croydon intact
slurry supervene architecture bruno kovacs preliminary
dusenbury antebellum depressive ashmen cave tattle
agnostic magnetic individuate circle burnt beauteous
arsenide plaintiff jacksonville borough seater antagonistic
daimler threw metabole wilson dihedral henchmen
kirkpatrick biotite enormous puppy loosestrife regal
nee arousal montenegrin sturbridge clinician cochlea
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heyday apathetic buteo contributory putt puffin mclean cesare
hideaway checkerberry vaudeville cryptanalytic slater willowy
cleave ruby hedonism bear downdraft expensive confound
scout anhydrous dynast bureaucratic shockley jackanapes
embellish hoard dietz canteen that.
MEGA LOW
Longtemps je me suis pris pour le Christ.
J’aimais-vous les uns, les autres. Il faut dire que
j’étais jeune à cette époque, et que j’allais aux cours de Catéchisme.
Je devais avoir dans les 8 ans et trois quart.
Je me promenais dans la rue et je faisais des miracles.
J’étais un vrai phénomène. Levant les mains au ciel,
je ranimais les petits cailloux morts, chantant des cantiques,
je changeais l’eau de la cour de récré en vin. Il m’est même arrivé,
je m’en souviens comme si c’était hier, d’avoir marché sur
l’eau de la Piscine Molitor, dans mon petit maillot de bain en éponge.
Mais devant l’indifférence générale du genre humain,
ai-je décidé d’arrêter mon activité messianique pour me
consacrer au sumo. Car quand je serai grand,
je serai Empereur du Japon et j’irai aux cours de Karatéchisme.
haaa, Gudule…
souffrez ma chere que je vous emportasse danser:
ce soir vous et moi nous aurons des emois
sur la piste de danse si nous avons de la chance
« la complainte du progrès », c’est ce que jouera le deejay…

affectueusement, votre Guillemette.
Après une longue réflexion
Après une longue réflexion, je me suis dit qu’il était bon pour ton moral que je participe à la restauration de ta confiance en toi.
Tu es désirable et les années que tu as traversées ont été un sombre gâchis de ce point de vue.
Ceci est une sorte de déclaration qui ne dit pas son nom ; c’est ce que je peux faire de mieux à l’instant et le prétexte de t’aider à reconstruire ta confiance en toi est le catalyseur de mon mouvement.
Mon désir s’est forgé petit à petit, au fur et mesure de tes confidences ; le fait d’écouter, de ne pas avoir à parler, permet d’observer et de réfléchir. Tu m’as séduit durant les rares, brefs et précieux moments pendant lesquels tu désarmes, lorsque ton indéfectible volonté cède le pas à tes sentiments : j’apercevais un instant, derrière la forteresse de ton exigence et de ta prestance, défendue par brillant esprit et une parfaite maîtrise de soi, une faible flamme qui avait d’être besoin protégée.
Je suis navré du média que j’utilise mais mon courage a des limites que je ne puis encore franchir.
Je sais aussi que ce n’est pas vraiment le moment, certainement trop tôt.
Mais au final, je suppose que c’est agréable de se voir courtiser, même si par ailleurs en écrivant ces quelques lignes je me rends bien compte que je te donne un sujet de (douces ?) préoccupations de plus.
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—DRM-–Fritz chip—DMCA—Fritz chip—EUCD—Fritz chip—TCPA—Fritz chip
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Minuit pile
le mec avec son couteau il marque K.R.U.G.
sur la poitrine de la fille, elle est pas trop d’accord
puis il la viole, après elle se dégueule, puis elle fait
une prière, puis elle va dans l’eau pour se noyer,
lui il utilise son revolver plusieurs dans le visage.
elle coule, délivrée enfin…
Pendant ce temps là chez les Mogos…
Alors voilà. Le sang qui coule de la plaie on sait très bien où il va. Il tombe par terre et ça donne les Erynnies. Le sperme aussi, on sait. Il macère pas mal de temps dans la mer, et à force de se mélanger à l’écume il engendre Aphrodite. Ok. Mais est-ce que quelqu’un peut m’expliquer où sont passées les couilles d’Ouranos une fois que Cronos les a tranchées, hein? Parce que c’est bien gentil cette affaire, mais des couilles de dieu, a fiortiori fondateur, ça disparait pas comme ça putain de merde.
Hésiode m’a tuer. Et puis de toute façon j’ai passé l’âge de jouer au micro-ondes. N’empèche. Je peux même pas concocter une tarte aux pommes pour faire diversion on va encore me dire que ma maïtéite aigue nuit aux avancées féministes. Pourtant (sans point et toc) se renseigner sur le destin des testicules nécrosées d’Ouranos c’est quand même un peu s’intéresser aux bienfaits de la castration antique, même si la chair est lasse à force d’avoir macérée dans l’Etant, non?
Non.
…
M’en fouts j’ai mis des coussins en forme de fleur partout et de l’encens cannelle orange :|
LA BELLE SECURITY
Jolie petite Minette part avec deux blondes décolO de Seattle.
L’une rose, l’autre dyke tout à fait justifiée,
elles iront jusqu’aux « mardis, c’est raviolis »;
la jetée sans soleil,
on fait souvent des cadeaux qui nous font plaisirs à nous-même.
Principito & toujours pas la bonne langue
oui, c’est l’été, et je suis bien contente de m’être dispersée..
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Bien que le tribunal l’ait lui-même souligné, c’est toujours avec un grand plaisir que je constate les avancées et investigations du « vandalisme urbain » dans la sphère de l’art légitime, les salons, les galeries, les musées…
Pourtant et heureusement, cela n’enlève rien à l’essence de l’acte de peindre au/le dehors : « graffiti must be a crime… » La « démocratisation » et la reconnaissance plastique du graffiing ne peuvent oter le caractère criminel au fondement de cet art. Un art basé sur le vol… vol de materiel d’abord (bombes qui servent à peindre), vol de l’espace investi ensuite (le mur, la porte, le train…). Et c’est précisément pour cela que l’acquisition pour la pratique du graffiti d’une légitimité, d’une quote, et parfois aujourd’hui d’une protection (les pochoirs de Miss Tic à Paris échappent à l’effacement des murs vandalisés appliqué par les autorités publiques) est une prouesse et un régal (enfin ça me fait jubiler… à chacun ses kiffs!). Le mouvement hip hop a ouvert des brèches monumentales, entre le dehors et le dedans, le privé et le public, et entre la voix du peuple et celle du pouvoir astraignant : peindre des murs aboutit à un décloisonnement entre des univers d’ordinaire séparés, à l’investissement de zones interdites, et à une réapropiation des moyens et des lieux de la communication publique légitime… Yeahhhhhhhh! A VOIR ! : Les arts graphiques de la rue sont très respectés à Barcelone, voire protégés. C’est assez avant-gardiste comme mentalité et à la fois conservateur : alors qu’en France, on commence à faire rentrer la rue et ses arts dans les musées, à Barcelone, c’est déjà l’idée de musée qui investit la rue, avec ses problématiques de conservation et de patrimoine. |
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un petit message d’amour pour ma valentine même si elle me trouve un peu cruche comme amoureux et que moi je fais ce que je peux pour lui plaire surtout quand on est tout nus et même si elle pense que je pense que c’est elle qui est cruche alors que non en fait je passe mon temps à être admiratif de son esprit.
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Saturne
Mes meilleures armes sont rouillées
Mon masque est fendu
Mes sortilèges sont épuisés
Tout ne va pas etre facile
Dans les jours à venir
Saturne































