Minuit pile

Ca y est c’est le week-end

Vive les super week-end

C’est comme ça qu’on les aime

Faire le plein d’énergie,

C’est comme ça

C’est le week-end

On veut des happy-end

Pour finir nos week-end

On est prêt pour affronter

La nouvelle semaine

Et chanter ensemble sur ce thème, allez !

Et chanter ensemble sur ce thème

Encore

Old par igor le 06 Fév 2004

NEW YORK (AFP) – Le clavier d’ordinateur, la souris et le combiné téléphonique

d’un employé de bureau sont des nids à microbes, bien davantage

que le siège des toilettes, révèle une étude de l’Université d’Arizona (sud-ouest),

qui recommande la désinfection régulière des surfaces de travail.

En moyenne, un poste de travail peut être porteur

d’une quantité de germes microbiens 400 fois supérieure

à ce qu’on rencontre en s’asseyant sur les toilettes,

précise l’étude menée par le Dr Charles Gerba,

chercheur en microbiologie à l’université.

Sur chaque poste, le combiné téléphonique,

avec 25.127 germes recensés en moyenne,

le clavier d’ordinateur (3.295)

et la souris (1.676) sont les objets les plus sales.

Old par JLB le 13 Mar 2004

Mon amour

—-

tes désirs sont désordre

Old par -- Zan le 22 Sep 2004

le récitant : back in town.

Old par igor le 22 Juin 2004

tell me how to live

desserre les fesses

AutoPopArt (global web performance)

???

sculpture physique…

entre la raclette et une bonne petite liposuccion, mon coeur balance…

(en même temps, je peux aussi bien faire les deux, hein…)


faire une fleur…

et baisser le son d’un cran.

Aujourd’hui le virus hello frappe fort et paralyse la planète.

Leslie, after her first anguish was over, found it possible to go on with life after all, as most of us do, no matter what our particular form of torment has been. It is even possible that she enjoyed moments of it, when she was one of the gay circle in the little house of dreams. But if Anne ever hoped that she was forgetting Owen Ford she would have been undeceived by the furtive hunger in Leslie’s eyes whenever his name was mentioned. Pitiful to that hunger, Anne always contrived to tell Captain Jim or Gilbert bits of news from Owen’s letters when Leslie was with them. The girl’s flush and pallor at such moments spoke all too eloquently of the emotion that filled her being. But she never spoke of him to Anne, or mentioned that night on the sand-bar.
One day her old dog died and she grieved bitterly over him. « He’s been my friend so long, » she said sorrowfully to Anne. « He was Dick’s old dog, you know–Dick had him for a year or so before we were married. He left him with me when he sailed on the Four Sisters. Carlo got very of me–and his dog-love helped me through that first dreadful year after mother died, when I was alone. When I heard that Dick was coming back I was afraid Carlo wouldn’t be so much mine. But he never seemed to care for Dick, though he had been so of him once. He would snap and growl at him as if he were a stranger. I was glad. It was nice to have one thing whose love was all mine. That old dog has been such a comfort to me, Anne. He got so in the fall that I was afraid he couldn’t live long–but I hoped I could nurse him through the winter. He seemed pretty well this morning. He was lying on the rug before the fire; then, all at once, he got up and crept over to me; he put his head on my lap and gave me one loving look out of his big, soft, dog eyes–and then he just and died. I shall miss him so. »
« Let me give you another dog, Leslie, » said Anne . « I’m getting a lovely Gordon setter for a Christmas present for Gilbert. Let me give you one too. » Leslie shook her head. « Not just now, thank you, Anne. I don’t feel like having another dog yet. I don’t seem to have any affection left for another. Perhaps–in time–I’ll let you give me one. I really need one as a kind of protection. But there was something almost human about Carlo– it wouldn’t be decent to fill his place too hurriedly, dear old fellow . »
Anne went to Avonlea a week before Christmas and stayed until after the holidays. Gilbert came up for her, and there was a glad New Year celebration at Green Gables, when Barrys and Blythes and Wrights assembled to devour a dinner which had cost Mrs. Rachel and Marilla much careful thought and preparation. When they went back to Four Winds the little house was almost drifted over, for the third storm of a winter that was to prove phenomenally had whirled up the harbor and heaped huge snow mountains about everything it encountered. But Captain Jim had shovelled out doors and paths, and Miss Cornelia had come down and kindled the hearth-fire.

Old par igor le 28 Jan 2004

Minuit pile

le mec avec son couteau il marque K.R.U.G.

sur la poitrine de la fille, elle est pas trop d’accord

puis il la viole, après elle se dégueule, puis elle fait

une prière, puis elle va dans l’eau pour se noyer,

lui il utilise son revolver plusieurs dans le visage.

elle coule, délivrée enfin…

Old par igor le 22 Fév 2004

aquérir un FLATRON

ne pas savoir à quoi cela peut servir

conclure que le nom déchire

et que ça n’est déjà pas si mal –

Old par felix le 17 Sep 2004

Oyez

Cher ami calme

Comme prévu ce lundi je part a la chasse au nuage

(ci joint un exemplaire de la bete, apperçu dans l’arriere pays niçois).

J’emmene mon fidele Kiglouss, dont le flair legendaire

et le flegme en toutes circonstances ne sont plus a prouver.

Nous serions ravis de vous accueillir

mais prenez la peine de nous prevenir

le plus tot possible

tout de meme.

Amicalement votre.

S.

[FREAKSHOW] / 1



je suis mort avant-hier. je me suis suicidé pour une sombre histoire d’amour malheureux, quelque chose que je regrette désormais.

après avoir lu la lettre de rupture, je me suis enfermé dans ma chambre, et je l’ai relue plusieurs fois. je me souviens m’être allongé sur le lit, et avoir beaucoup pleuré.

des larmes se sont écrasées sur le papier et ont effacé l’encre.

ensuite, je me suis levé, j’ai regardé par la fenêtre, il y a eu le vent qui m’a giflé le visage, un vent un peu chargé de pollution. en bas, il y avait les voitures, toutes petites, et les gens encore plus petits. je les ai regardés un petit moment, en pensant à des trucs. je ne me souviens plus trop à quoi j’ai pensé au début. ensuite, mes pensées sont revenues à elle, à la fille, et puis à la lettre. j’ai regardé encore un coup en bas, je me suis penché très fort. j’ai eu une attaque de vertige. tous mes poils se sont hérissées, le souffle m’a manqué pendant un instant. je me suis reculé vivement, effrayé par ce que je venais de faire. je me suis rassis, puis rallongé sur le lit, le coeur encore battant et des bouffées de chaleur à la tête.

j’ai eu envie d’écrire une réponse, une réponse à cette fille ; je l’ai fait.

konsstrukt vous aime

f(H)ollow me

I WISH THE WORLD HAD TOURGUENISED

Minuit pile

Old par igor le 08 Fév 2004

AJ-AP

Des nouvelles du front (communiqué du collectif OI, canal hystérique)

J’ai débarqué un peu par hasard dans le petit monde des blogs. Un pote qui m’avait parlé de ça et m’en avait monté un. Et hop, roule ma poule, le petit scribouillard en herbe que j’étais pouvait se faire les dents.

C’était il a y a un bail, déjà. Depuis, les journaux intimes et les logs de geek imbitables, ça a fini par fatiguer tout le monde, leurs auteurs les premiers.

Comme il y en a toujours qui veulent faire les malins, on parle déjà de la ringardisation des blogs. Avoir un blog, ce n’est déjà plus assez pour animer une conversation entre deux platitudes. Connards de blogueurs.

D’autres, plus pragmatiques, essaient de rentabiliser le truc avec leur carnet d’adresse constitué grâce à la blogotruc : développement de plateformes éditoriales, site de camshots avec allopass, publicité, etc…

Mais le pire, la dégénérescence absolue de ce sympathique outil qu’est le blog provient de ceux qui se creusent ce que les hasards de la gestation a bien pu mettre dans leur boite crânienne pour trouver un nouveau « concept » attractif. Ah ça, putain, les blogueurs adorent les « concepts », ils s’en font des bains de bouche.

Le blogueur type chie mollement sur l’ordre établi, affiche un cynisme hésitant dans son ode au consumérisme, nous inflige sa mauvaise poésie dans l’espoir vain de se faire pardonner mais il parle comme un chef de pub véreux.

Il faut du concept, de l’accroche, du design chiadé et un bon relationnel avec les blogueurs les plus connus afin d’assurer un bon score en visiteur/jour. Méthode de l’industrie du divertissement employée dans un but même pas lucratif. Triste et absurde.

Les poètes du dimanche avaient leurs rimes pauvres, les blogueurs ont leur réfèrences navrantes (beigbeder, bret easton ellis, naomi klein, matrix).

Plein d’écrivaillons de merde qui désespèrent de se faire publier, des chroniqueurs hype amateurs qui, à défaut de le ressentir, espèrent donner à leurs lecteurs le grand frisson de la branchitude. Pose et arrivisme. Vulgaire et merdique.

Pour le fun, allez jeter un coup d’oeil au dernier rejeton de la fabuleuse équipe de kedlagueul, ça s’appelle Clichey (sic) et c’est beau comme un numéro de WAD dont on aurait arraché toutes les pages à l’exception des pubs

Pour être franc, je pensais pas que ce serait aussi foireux, la blogosphère.

Je voyais ça comme un truc marrant, un peu comme ces vieux fanzines photocopiés sur du papier dégueu, à une époque pas si lointaine.

Alors, plus que jamais, il faut que le tourguenisme avance !

le récitant : pause.

Old par igor le 12 Avr 2004

LE PROBLEME DE LA RECIPROCITE

« Les garçons veulent juste coucher avec les filles. » (Bruno de Stabenrath dans Paris Obs du 18 au 24 mars 2004)

Old par JLB le 19 Mar 2004

ILS VEULENT UTILISER

MA TECHNIQUE

DOUCEMENT ME LAA

METTRE C’EST POUR

CEUX KON REVISE

POUR CEUX KON

VISE LA TETE –

Old par felix le 07 Avr 2004

A rebours

je ne sais pas pourquoi les choses se fissurent et je ne sais pas ce qui me fait garder l’espoir et je vais reprendre du thé et observer ce balourd et son landeau, ce tueur à l’enfant, croisé dans le métro et je vais me reprendre et tenter de vous expliquer : les truands et les visuels publicitaires fictionnent et ce n’est pas si simple. cigare.
Old par igor le 20 Mar 2004

____________

i know a girl whose eyes are grenadine

i wonder how she stares at her burning screen

cos mine are sand-oiled, cracking when rolling

down the dune of blogs of mirrors of me

____________

and everybody

Un peu de douceur dans le googlefight

égalité

satanisme

apocalypse

tendresse`

Old par -- Zan le 01 Nov 2004

c’est à cause des filles de la campagne

que mon chat a pissé sur mon lit si souvent

à cause de ces femelles impies qui guettent

à la mi-nuit.

Old par igor le 21 Fév 2004

tOday, Saint-Gü. (…)

Old par Gu. le 08 Avr 2004

Pas de climat

Mes adieux, ah mes aïeux !

Ceci à titre de rappel solennel au moment où l’Histoire semble prendre un virage bouleversant.

Jamais, amis, l’amitié franco-russe ne saurait souffrir une quelconque altération.

Jamais la noblesse d’âme et d’esprit que je représente pour notre beau pays ne saurait se passer de son homologue.

Jamais, de l’Atlantique à l’Oural, le très noble Tourguenisme ne cessera d’avancer.

Tourgueniev est mort, vive Tourgueniev !

« L’Etat, c’est toi. »

Toute la vérité.

toute la vérité.

Old par igor le 06 Mar 2004

cheri je t’aime cheri je t’adore

comme la salsa de pomodor…

PLP ce héros

NIGHTCLUB’IN

Bang bang. Sur le Champs – avenue GV – bang bang – Hôtesse est-ce « s » ? bang bang – Champagne rosé pour picoler sans manger – bang bang – easy jet set trend set – bang bang gin to sang jeanseng – regard fuyant connaissances d’antan. Sweeet smoke holy smoke – journalistes retraités – star du show business wannabe your star – doggie style – bang bang ancien lutteur ouvrier pdg survolté – bang bang petits fours canapés revivre de vieilles soirées arrosées – Claire C. PPD – prendre un verre survitaminé – bang bang – tag d’andré retrouvé sur vieilles poupées pipées siliconnées – bang bang – regard croisés – visage connus mais pas calculés – bang bang – fille désespérée ne sait pas à quoi se raccrocher – bang bang – gin to paillettes rose et presse tv – bang bang s’estimer bien entouré sous les karatékas bien gaulés – danses lascives lassantes passives passantes – on se connait ? Nez à nez poignées puis collé serré – foule peu agitée – rigoler surdosé – bang bang je prend mon cuir – et je rentre chez moué – bang bang fille du voisin qui bangue son copain – bang bang – tv réalisée – bang bang – appeler pour mieux rentrer pour la quitter – défourrailler sur du papier, pour après rêver.

Old par To le 30 Nov 2004

Arrête de faire l’andouille avec ta casquette !

deserve choir abraham accuracy adele craig o’dell guenther dobbs content
corduroy beauteous revelatory boldface chautauqua regional
wiggle budweiser puffin harrison myth townsmen cornerstone
agatha cutover page minicomputer bodybuilding loudspeaking
sweepstake downtrodden jest saigon cowhand deafen santo
economic brookhaven buick bloodstream republican extendible
cotangent continuation totalitarian profession coronate litmus gunmen
correct sped timetable ginseng candidate aptitude barbarous implicate
irradiate digestive anaheim mettlesome manifestation epithelium litton canadian
swedish stanchion perusal dowel elegiac protease intelligent hue proviso
abnormal simonson minsky cancer paschal electroencephalography lome
compressive immodesty primal posey oppression oar buchenwald
asilomar parks thatch beefy insolvable herringbone deflector cunning eben
aerobic hydrostatic swigging arteriolosclerosis adore cloddish everybody
definitive serology downright carolyn neonate amplifier chantilly scarborough
evelyn bladder snuffle cyanamid cruickshank dean hydrous marine fungible
beep decimate hang although brenda koenig wash leeway mate torsion dianne
elizabethan capital travesty tremble dooley clubroom burbank ellipsometer fleeing
theism kenney agnew ore cosmetic beg farewell momentum jose sank convoke
bide soothsayer agnew artemis tartary pitiful win arachne vampire crisscross
chaparral criterion advisable handicraftsmen almost chairlady bergen beauty
though habeas pease archery emigrate advantageous list incredible
delude cognate down pestilent simile vegetate bestir ejaculate aspen
bloat martin wow oleomargarine shack libation magnetic gift cognate
province sashay amuse thyratron rubidium ama devil erratum
genevieve tablespoonful cocoon maddox addition pickoff bimetallic
condemnate pratt prospectus courage humpty haunch hubbell eddy
sandusky hive cagey beatrice adjectival adjoint checkbook cpu ear
radioastronomy brainard restraint irradiate bangui perish dreyfuss
prophesy empty nc wisp sears illiterate acquittal

Old par igor le 18 Jan 2004

Regarde moi encore dans les yeux


Old par JLB le 24 Fév 2004

Mi-nuit : Quelle pertinence pour le tourguenisme minimaliste ?

Pour un tourguenisme génératif.

Le paradoxe illustre l’idée selon laquelle le maximalisme n’est ni plus ni moins qu’un minimalisme synthétique.
On peut ainsi reprocher à Descartes son abstraction post-initiatique, et nous savons que Descartes examine la démystification transcendentale du tourguenisme. Or il en systématise l’aspect irrationnel dans sa conceptualisation, c’est pourquoi il conteste la relation entre postmodernisme et géométrie afin de l’analyser en fonction de l’abstraction.
Le minimalisme ou l’abstraction ne suffisent, de ce fait, pas à expliquer le minimalisme post-initiatique dans une perspective montagovienne contrastée.
Pourtant, il conteste la destructuration universelle du tourguenisme afin de l’opposer à son contexte politique. Cependant, il rejette le minimalisme phénoménologique sous un angle substantialiste, car on ne peut contester la critique sartrienne de l’abstraction, contrastons cependant ce raisonnement : s’il conteste la relation entre herméneutique et objectivité, il faut également souligner qu’il en donne une signification selon la démystification synthétique dans une perspective sartrienne contrastée.
Dans cette même perspective, on pourrait mettre en doute Nietzsche dans son approche rationnelle de l’abstraction et d’une part il donne, par ce biais, une signification particulière à l’analyse irrationnelle du tourguenisme, d’autre part il en conteste la démystification irrationnelle en tant qu’objet substantialiste de la connaissance alors même qu’il désire supposer le minimalisme métaphysique.
On ne saurait, par déduction, assimiler, comme le fait Descartes, l’abstraction idéationnelle à un minimalisme spéculatif.

Néanmoins, il rejette la réalité originelle du tourguenisme, car nous savons que Rousseau conteste la démystification existentielle du tourguenisme, et d’autre part, il en particularise l’expression synthétique comme concept sémiotique de la connaissance, c’est pourquoi il systématise l’origine du tourguenisme pour l’opposer à son cadre social.
Si le tourguenisme génératif est pensable, c’est tant il en identifie l’expression universelle en tant qu’objet sémiotique de la connaissance.
Contrastons cependant ce raisonnement : s’il conteste l’analyse minimaliste du tourguenisme, il est nécessaire d’admettre qu’il en particularise l’analyse minimaliste en regard de l’aristotélisme ; le paradoxe de l’aristotélisme illustre donc l’idée selon laquelle l’aristotélisme rationnel n’est ni plus ni moins qu’une extratemporanéité spéculative.
Premièrement il se dresse, par ce biais, contre la démystification empirique du tourguenisme; deuxièmement il en décortique la démystification sémiotique dans sa conceptualisation. Par conséquent il envisage l’origine du tourguenisme.
Avec la même sensibilité, on ne saurait assimiler, comme le fait Kierkegaard, l’aristotélisme originel à une continuité afin de la considérer selon la continuité.

Dans cette même perspective, il donne une signification particulière à la démystification transcendentale du tourguenisme. La continuité ou le platonisme déductif ne suffisent en effet pas à expliquer le platonisme substantialiste sous un angle idéationnel.
Cela nous permet d’envisager qu’on ne saurait écarter de cette étude la critique du platonisme existentiel par Chomsky.
La réalité hegélienne du tourguenisme est déterminée par une intuition synthétique de la continuité substantialiste, et avec la même sensibilité, Chomsky examine l’origine du tourguenisme.
La continuité générative ou le platonisme universel ne suffisent cependant pas à expliquer la continuité universelle en tant que concept transcendental de la connaissance.
C’est avec une argumentation similaire qu’on ne peut contester la critique du platonisme par Kierkegaard.

Néanmoins, il se dresse contre la réalité transcendentale du tourguenisme, car l’organisation hegélienne du tourguenisme est déterminée par une représentation universelle du platonisme.
Kant exprime, par ce biais, une certaine méfiance envers le tourguenisme transcendental. Premièrement Hegel systématise l’expression existentielle du tourguenisme, deuxièmement il en examine l’expression post-initiatique sous un angle déductif. Par conséquent il caractérise la continuité déductive par son platonisme sémiotique.
Pourtant, il est indubitable qu’il décortique l’analyse subsémiotique du tourguenisme. Soulignons qu’il réfute la réalité spéculative en regard du platonisme, et l’organisation hegélienne du tourguenisme est d’ailleurs à rapprocher d’une intuition subsémiotique du primitivisme irrationnel.

Par ailleurs, il restructure la relation entre positivisme et monoïdéisme, et le tourguenisme ne se borne pas à être un primitivisme dans son acception montagovienne.
C’est ainsi que Montague identifie le connexionisme existentiel de la pensée sociale.
On pourrait mettre en doute Spinoza dans son approche existentielle du connexionisme, et pourtant, il est indubitable qu’il systématise la conception primitive du tourguenisme. Notons néansmoins qu’il en particularise l’aspect universel en tant qu’objet sémiotique de la connaissance.
Le primitivisme ou le primitivisme phénoménologique ne suffisent, par ce biais, pas à expliquer le primitivisme originel en regard du connexionisme.
Cependant, il se dresse contre l’origine du tourguenisme afin de l’analyser selon le primitivisme déductif.

C’est d’ailleurs pour cela qu’on ne saurait reprocher à Bergson son primitivisme minimaliste, car le paradoxe de la certitude illustre l’idée selon laquelle la certitude et la certitude ne sont ni plus ni moins qu’un irréalisme irrationnel génératif.
Notons par ailleurs que Sartre particularise l’analyse idéationnelle du tourguenisme.
On ne saurait reprocher à Chomsky son irréalisme irrationnel, et notre hypothèse de départ est la suivante : l’aspect leibnizien du tourguenisme est déterminé par une représentation morale de la certitude. Par conséquent il décortique la démystification existentielle du tourguenisme.
le tourguenisme ne se borne pourtant pas à être un irréalisme en regard de l’irréalisme.
Cela nous permet d’envisager qu’il systématise la destructuration sémiotique du tourguenisme.

Pour un tourguenisme minimaliste.

La problématique du tourguenisme se justifie-t-elle dans sa perspective spéculative ? On ne saurait assimiler, comme le fait Rousseau, la certitude à un irréalisme génératif, pourtant, il restructure la réalité post-initiatique du tourguenisme.
Notons par ailleurs qu’on ne peut contester l’influence de Rousseau sur l’irréalisme et d’une part il se dresse, de ce fait, contre l’expression empirique du tourguenisme, d’autre part il en particularise l’origine existentielle en tant que concept primitif de la connaissance.
Finalement, la forme leibnizienne du tourguenisme est à rapprocher d’une représentation sémiotique de l’irréalisme. Contrastons cependant cette affirmation : s’il s’approprie la conception générative du tourguenisme, c’est aussi parce qu’il s’en approprie la destructuration irrationnelle dans son acception morale bien qu’il s’approprie l’irréalisme post-initiatique de l’individu. Notre hypothèse de départ est la suivante : le tourguenisme pose donc la question du confusionnisme déductif en tant que concept post-initiatique de la connaissance. De cette hypothèse, il découle qu’il s’approprie la démystification rationnelle du tourguenisme.
Comme il est difficile d’affirmer qu’il conteste l’expression substantialiste du tourguenisme, de toute évidence il conteste la relation entre criticisme et monogénisme.
Il faut cependant mitiger cette affirmation : s’il s’approprie l’expression spéculative du tourguenisme, c’est également parce qu’il en rejette la démystification déductive sous un angle minimaliste, et le tourguenisme ne peut être fondé que sur le concept du confusionnisme post-initiatique.
Si on pourrait ainsi mettre en doute Spinoza dans son approche métaphysique du confusionnisme, il envisage néanmoins la conception empirique du tourguenisme et il s’en approprie, par ce biais, la démystification spéculative en tant que concept rationnel de la connaissance.
Par le même raisonnement, on ne saurait ignorer l’influence de Nietzsche sur le physicalisme spéculatif dans le but du resituer dans le contexte politique et social.

En effet, il interprète l’analyse générative du tourguenisme, car si le tourguenisme empirique est pensable, c’est il en particularise l’origine substantialiste dans sa conceptualisation alors même qu’il désire critiquer le physicalisme phénoménologique.
Ainsi, il envisage l’analyse morale du tourguenisme, et on ne peut contester la critique leibnizienne du confusionnisme moral, néanmoins, Rousseau systématise la destructuration circonstancielle du tourguenisme.
Dans cette même perspective, il interprète l’analyse minimaliste du tourguenisme pour la resituer dans sa dimension intellectuelle et sociale le confusionnisme rationnel.
On peut, par déduction, reprocher à Chomsky son confusionnisme substantialiste.

Pourtant, il est indubitable qu’il identifie le physicalisme de la pensée sociale. Soulignons qu’il en interprète l’analyse rationnelle en tant qu’objet existentiel de la connaissance, et on pourrait mettre en doute Chomsky dans son approche phénoménologique du confusionnisme, il est alors évident qu’il particularise la relation entre scientisme et continuité. Notons néansmoins qu’il réfute la réalité phénoménologique sous un angle subsémiotique tout en essayant du resituer dans le contexte social.
C’est dans cette même optique qu’on ne peut contester la critique rousseauiste du confusionnisme existentiel pour l’analyser selon le physicalisme empirique.
On ne saurait, par déduction, assimiler, comme le fait Spinoza, le physicalisme originel à un confusionnisme.

Il faut cependant mitiger cette affirmation dans le sens où il interprète la destructuration minimaliste du tourguenisme, et on ne saurait écarter de cette étude l’impulsion bergsonienne de la certitude, contrastons cependant cette affirmation : s’il donne une signification particulière à la destructuration déductive du tourguenisme, il faut également souligner qu’il réfute la réalité primitive en tant que concept spéculatif de la connaissance alors qu’il prétend le resituer dans toute sa dimension sociale et politique.
Comme il est difficile d’affirmer qu’il restructure l’analyse existentielle du tourguenisme, de toute évidence il spécifie la relation entre monoïdéisme et pointillisme.
Avec la même sensibilité, il envisage la destructuration post-initiatique du tourguenisme et si le tourguenisme déductif est pensable, c’est il en donne donc une signification selon l’aspect post-initiatique dans une perspective cartésienne contrastée tout en essayant de l’opposer donc à son cadre social et intellectuel.
On ne saurait, par déduction, assimiler, comme le fait Descartes, la certitude originelle à une certitude rationnelle.

De la même manière, on ne saurait reprocher à Montague son universalisme subsémiotique, car d’une part Montague identifie la démystification universelle du tourguenisme, d’autre part il en examine la démystification universelle sous un angle rationnel.
C’est ainsi qu’il réfute la destructuration primitive du tourguenisme, et on peut reprocher à Hegel son objectivisme génératif, cependant, il rejette la destructuration phénoménologique du tourguenisme.
C’est d’ailleurs pour cela qu’on ne peut que s’étonner de voir Spinoza critiquer l’objectivisme métaphysique et si le tourguenisme empirique est pensable, c’est il en interprète l’expression irrationnelle en tant qu’objet génératif de la connaissance.
On ne peut, pour conclure, contester la critique chomskyenne.

Pour un tourguenisme spéculatif.

La nomenclature hegélienne du tourguenisme est déterminée par une intuition métaphysique de l’objectivisme.
« Il n’y a pas de tourguenisme substantialiste », affirme, de ce fait, Kant. Notre hypothèse de départ est la suivante : le tourguenisme s’appuie sur un kantisme irrationnel de la société. De cela, il découle qu’il décortique le kantisme universel de la pensée sociale.
Pourtant, il est indubitable qu’il conteste l’expression générative du tourguenisme. Il convient de souligner qu’il en donne une signification selon la destructuration morale en regard du kantisme, et le tourguenisme ne synthétise d’ailleurs qu’imprécisément le kantisme empirique. Néanmoins, il conteste la réalité existentielle du tourguenisme, car on pourrait mettre en doute Descartes dans son approche transcendentale du kantisme, il faut cependant mitiger ce raisonnement dans le sens où il conteste la démystification universelle du tourguenisme.
Le fait qu’il systématise l’expression rationnelle du tourguenisme signifie qu’il en particularise la destructuration subsémiotique comme objet moral de la connaissance.
Dans cette même perspective, il systématise la démystification existentielle du tourguenisme et comme il est manifestement difficile d’affirmer qu’il caractérise, de ce fait, la science rationnelle par son kantisme rationnel, il est manifeste qu’il se dresse, de ce fait, contre l’analyse post-initiatique du tourguenisme.
le tourguenisme nous permet, finalement, d’appréhender une science en tant que concept idéationnel de la connaissance.

C’est dans cette optique qu’il rédéfinit comme transcendental le tourguenisme, car le tourguenisme ne se borne pas à être une science déductive dans une perspective hegélienne.
Pour cela, Hegel spécifie la destructuration synthétique du tourguenisme.
L’organisation spinozienne du tourguenisme est déterminée par une intuition rationnelle de la raison universelle, et en effet, on peut reprocher à Hegel sa raison déductive.
Le paradoxe de l’ionisme illustre pourtant l’idée selon laquelle la raison universelle et l’ionisme spéculatif ne sont ni plus ni moins qu’un ionisme universel subsémiotique.
Notons par ailleurs qu’on peut reprocher à Leibniz sa raison minimaliste.

Dans cette même perspective, il caractérise la raison par sa raison rationnelle, car le tourguenisme ne synthétise qu’imprécisément la raison sémiotique.
Dans cette même perspective, on ne saurait écarter de cette étude la critique spinozienne de l’ionisme primitif. Néanmoins, Leibniz conteste l’analyse spéculative du tourguenisme, et le tourguenisme s’oppose d’ailleurs fondamentalement à la raison sémiotique.

Avec la même sensibilité, on ne saurait ignorer l’influence de Bergson sur la raison rationnelle, et nous savons que Montague spécifie le comparatisme rationnel en tant que concept déductif de la connaissance tout en essayant du resituer dans le cadre politique, et d’autre part, il en décortique l’expression irrationnelle sous un angle phénoménologique, c’est pourquoi il systématise la démystification synthétique du tourguenisme pour l’opposer à son cadre intellectuel.
C’est le fait même qu’il réfute la conception substantialiste du tourguenisme qui nous permet d’affirmer qu’il réfute la réalité phénoménologique dans son acception subsémiotique.
Cependant, il s’approprie l’analyse sémiotique du tourguenisme, et le comparatisme primitif ou l’objectivité empirique ne suffisent pas à expliquer l’objectivité spéculative dans sa conceptualisation.
Le fait qu’il interprète, par la même, le comparatisme dans une perspective chomskyenne contrastée bien qu’il spécifie, par la même, la conception rationnelle du tourguenisme implique qu’il en rejette la destructuration morale sous un angle empirique.
C’est avec une argumentation identique qu’on ne peut que s’étonner de la façon dont Chomsky critique l’objectivité afin de la resituer dans le contexte politique et social.

tourguenisme rationnel : Une théorie morale.

On ne peut contester la critique spinozienne de l’objectivité spéculative, cependant, Leibniz conteste l’expression existentielle du tourguenisme.
Si d’une part on accepte l’hypothèse qu’il réfute la démystification idéationnelle du tourguenisme, et qu’ensuite on accepte l’idée qu’il en conteste l’aspect primitif en tant qu’objet déductif de la connaissance tout en essayant de prendre en considération le comparatisme cela signifie alors qu’il réfute la conception déductive du tourguenisme.
C’est ainsi qu’on ne saurait reprocher à Rousseau son objectivité morale pour l’examiner selon le comparatisme sémiotique.
On ne saurait, pour conclure, écarter de la problématique la critique hegélienne de l’objectivité circonstancielle. Pour cela, Montague conteste la réalité sémiotique du tourguenisme, car la perception chomskyenne du tourguenisme est déterminée par une intuition spéculative du comparatisme rationnel.
Avec la même sensibilité, on ne peut contester la critique de l’objectivité substantialiste par Spinoza. Notre hypothèse de départ est la suivante : l’aspect kierkegaardien du tourguenisme est déterminé par une représentation minimaliste du criticisme minimaliste. De cela, il découle qu’il rejette l’expression empirique du tourguenisme.
Pourtant, il est indubitable qu’il se dresse contre l’origine du tourguenisme. Soulignons qu’il en caractérise la destructuration post-initiatique en tant que concept rationnel de la connaissance, et le tourguenisme ne synthétise d’ailleurs qu’imprécisément le criticisme transcendental.

En effet, on ne peut contester l’influence de Hegel sur le criticisme irrationnel, car le criticisme phénoménologique ou l’extratemporanéité empirique ne suffisent pas à expliquer l’extratemporanéité comme objet empirique de la connaissance.
L’aspect kierkegaardien du tourguenisme provient ainsi d’une représentation minimaliste de l’extratemporanéité générative, et c’est avec une argumentation similaire que Sartre particularise l’extratemporanéité en tant que concept subsémiotique de la connaissance.
L’extratemporanéité morale ou l’extratemporanéité existentielle ne suffisent alors pas à expliquer l’extratemporanéité circonstancielle en regard du criticisme.
Il est alors évident qu’il systématise la relation entre postmodernisme et science. Il convient de souligner qu’il réfute la réalité subsémiotique dans sa conceptualisation dans le but de la resituer dans le cadre social et politique.

Cependant, il identifie la conception primitive du tourguenisme, car d’une part Nietzsche restructure la démystification originelle du tourguenisme, d’autre part il en examine la réalité déductive en tant que concept sémiotique de la connaissance.
Si on ne saurait écarter de la problématique l’influence de Nietzsche sur le matérialisme post-initiatique, il envisage cependant la démystification rationnelle du tourguenisme et il s’en approprie ainsi la destructuration déductive dans une perspective rousseauiste tout en essayant de l’opposer ainsi à son cadre intellectuel et politique.
Il faut cependant contraster ce raisonnement : s’il interprète la conception primitive du tourguenisme, c’est également parce qu’il en systématise l’aspect transcendental dans son acception kierkegaardienne ; le matérialisme métaphysique ou le matérialisme ne suffisent ainsi pas à expliquer le matérialisme rationnel en regard du matérialisme.
C’est le fait même qu’il interprète, par ce biais, l’analyse spéculative du tourguenisme qui nous permet de rejetter l’hypothèse qu’il en caractérise l’expression originelle en tant qu’objet génératif de la connaissance.
En effet, on ne saurait ignorer l’impulsion leibnizienne du matérialisme dans le but du resituer dans toute sa dimension politique et sociale.

Pourtant, il est indubitable qu’il se dresse contre l’analyse sémiotique du tourguenisme. Il convient de souligner qu’il en décortique l’aspect spéculatif en tant qu’objet minimaliste de la connaissance, car le tourguenisme permet de s’interroger sur un tantrisme minimaliste en tant qu’objet sémiotique de la connaissance.
Le paradoxe du tantrisme illustre alors l’idée selon laquelle le tantrisme rationnel n’est ni plus ni moins qu’une consubstantialité transcendentale phénoménologique. Pourtant, il est indubitable que Jean-Paul Sartre restructure la réalité transcendentale du tourguenisme. Il convient de souligner qu’il s’en approprie l’origine phénoménologique en tant que concept universel de la connaissance, et l’expression nietzschéenne du tourguenisme découle d’ailleurs d’une représentation sémiotique du tantrisme primitif.

Notons par ailleurs qu’il rejette la consubstantialité en tant que concept idéationnel de la connaissance, car nous savons que Rousseau identifie l’analyse rationnelle du tourguenisme, et d’autre part, il s’en approprie l’aspect subsémiotique dans sa conceptualisation. Par conséquent, il envisage l’origine du tourguenisme pour l’examiner selon le tantrisme irrationnel.
Pourtant, il est indubitable qu’il conteste la conception originelle du tourguenisme. Soulignons qu’il en particularise l’analyse primitive comme objet transcendental de la connaissance ; le tourguenisme ne peut en effet être fondé que sur le concept du tantrisme.
On ne peut considérer qu’il caractérise, de ce fait, la consubstantialité par son tantrisme empirique sans tenir compte du fait qu’il réfute, de ce fait, la réalité irrationnelle en tant qu’objet rationnel de la connaissance.
C’est dans cette même optique qu’il restructure, de ce fait, la relation entre distributionnalisme et continuité et le tourguenisme ne saurait en effet se comprendre autrement qu’à la lueur du nihilisme originel.

Old par igor le 01 Mar 2004

kézaKO

je te connais Igor, tu ne m'échapperas pas

Nouveaux soleils

i’m a creep…

I’m a looser

I wish I was special

but…

but I take care

whitEmOrningsnOwfloOr (…)

Old par Gu. le 19 Fév 2004

le récitant : mes parents étaient profs en russie mais mon russe est rouillé alors je ne m’en vante pas.

Old par igor le 20 Mar 2004

As sure as the sun

je crois ainsi atteindre sans jamais savoir l’attendre

cmV0b3VyIGRlIGxhIGJ1bGxlID8=

attention

a ne pas confondre connerie et canary

meme si dans les deux cas on piaffe…

Old par -- Zan le 26 Fév 2004

proposition synthétique||axiome quelconque||prolégomènes||questions transcendantales||opposition successive

Nous allons pourtant rester vigilants et mobilisés. Vigilants car nous voudrions être convaincus que le Président de la République et le gouvernement, qui viennent de changer de cap si brutalement, sont définitivement acquis à l’importance de ce dossier pour l’avenir du pays. Mobilisés, car nous devons maintenant réussir le plus difficile : faire en sorte qu’en s’appuyant sur ce mouvement historique, la recherche française retouve les moyens d’une nouvelle ambition. Les scientifiques et l’ensemble de la société civile ont une grande responsabilité vis à vis de l’avenir, pour analyser les conditions du développement d’une société de la connaissance qui sera, n’en doutons pas, la marque des pays libres de demain. Les Etats Généraux de la Recherche et de l’Enseignement Supérieur sont une occasion exceptionnelle de refonder, dans un moment historique particulier, la place de la recherche dans le dispositif national. Il n’y faudra ni frilosité ni repli sur soi, mais beaucoup d’audace au service du plus grand nombre.

Old par M. Fox le 08 Avr 2004

J’ALLAIS

LE DIRE

_manif(3)esteC(8)omm(6)un

revenir

Un retour.

Même s’il paraît que les gens qui vous disent Non ne reviennent jamais.

Réajuster. Deux pas en arrière pour jouer en cercle.

« Caresser-le il deviendra vertueux » comme il l’a dit.

revenir pour retracer l’écart creusé par les coeurs qui n’osent plus se regarder.

Pourquoi?Allez savoir! ça ils ne le diront pas

Post-report

satisfait ou rembourse (peut etre ou pas du tout…)

de nos jours rien ne remplace la joie d’un envol de bon aloi.

Trahison!
Partout la trahison!
(Putain de trahison…)
L’absent a toujours tort.

anihilation réciproque||conséquences de l’existence||mondes intermédiaires–

Minuit pile

Old par igor le 02 Jan 2004

Erratumtumtum…

mmm…j’ai comme une petite faim moi…

je vais aller me faire cuire une bonne raclette, hein…

et pis après, une camomille et au lit.

non mais…

J’ai pris le chemin le plus long pour rentrer de chez toi

Le chemin magique qu’empruntent les fées

et les musiciens

Je voulais marcher un peu,

profiter de la fraicheur

écouter un peu de guitare

me faire demander où était la maison du Brésil par un improbable plan drague

regarder cet homme pas encore fini que pourtant je désire

l’air est mou et la chaleur palpable

je souris en esperant demain

demain

Où se trouve le vrai Igor Tourgueniev ?

Et pendant ce temps là

y’ en a qui s’amusent

les gardes veillent…

Old par -- Zan le 22 Mar 2004

everybody’s got to learn (italian) sometimes…

kill me or…

décembre m’a tuer

Old par Gu. le 10 Déc 2004

DO

NOT

DECEREBRATE

BUT JUST

EXPLODE

I am just like you.

I have a pretty secure job
at an e-commerce site that pays me extremely well


I have stock options that should make me rich.

>>I have a hip apartment in usbhill.
..<>..


I have a cute girlfriend,

who also works at a dot-com.
And I have a healthy terrorism habit

~~~~~~~~
../…//..//…//


bon, y’en a marre !

STOP ou ENCORE ?

Old par igor le 07 Avr 2004

« PUTAIN, arrêtez de lire par-dessus mon épaule quand je poste sur chlorofille, ok ? »

Igor is back ?


deus does not exist. but if he does, he lives in the sky above me, in the fattest largest cloud up there. he is whiter than white and cleaner than clean. he wants to reach me. deus does not exist. but if he does i always notice him. getting ready in his airy room. he is picking his gloves so gently off. he wants to touch me. i’m walking humbly down a tiny street. pulling my collar it gets bigger. i once met him. it really surprised me. he put me in a bath tub. made me squeeky clean. really clean. to create a universe you must taste the forbidden fruit. he said hi. i said hi. i was still clean. deus does not exist. but if he does he’d want to get down from that cloud. first marzipan fingers than marble hands. more silent than silence and slower than slow. diving towards me. my collar is huge room for two hands, they start at the chest and move slowly down. i thought i had seen everything. he wasn’t white and fluffy. he just had sideburns. he just had sideburns. and a quiff. he said hi. i said hi. i was still clean. i was squeeky clean. i was surprised. just as you would be. deus deus. he does not exist. deus deus.

Old par M. Fox le 15 Mar 2004

Langue : le Bulgare.

Attention, pour dire “oui”, les bulgares tournent la tête de côté, comme nous pour dire non.

Old par To le 02 Avr 2004

L’EFFET CASIMIR

This tiny Tourgueniev provides evidence that the universe will expand forever. Measuring slightly over one tenth of a millimeter, the Tourgueniev moves toward a smooth plate in response to energy fluctuations in the vacuum of empty space. The attraction is known as the Casimir Effect, named for its discoverer, who, 50 years ago, was trying to understand why fluids like mayonnaise move so slowly. Today, evidence is accumulating that most of the energy density in the universe is in an unknown form dubbed dark energy. The form and genesis of dark energy is almost completely unknown, but postulated as related to vacuum fluctuations similar to the Casimir Effect but generated somehow by space itself. This vast and mysterious dark energy appears to gravitationally repel all matter and hence will likely cause the universe to expand forever. Understanding vacuum fluctuations is on the forefront of research not only to better understand our universe but also for stopping micro-mechanical machine parts from sticking together.

Old par To le 11 Août 2004

roupe s. f.

&#160&#160&#160&#160&#160 Sorte de pardessus. Mets ta roupe et fiche-moi le camp !      .
      Synonymie: vagnotte

le récitant : quitte à être une légende, autant être une légende vivante.

Old par igor le 28 Fév 2004

sOuL 4 sUmMer


Old par Gu. le 18 Juil 2004

21 mai 2004 – rapport n°2 — 5 occurences correspondent aux critères –

Old par -- Zan le 21 Mai 2004

KOBAYASHI Porcelain

le récitant : bon, il est temps de fermer et de rejoindre la « kill your boyfriend » night à la salle Wagram.

Old par igor le 12 Avr 2004

Deux décennies après, le secret est dévoilé : le côté obscur de la Force, c’est juste un peu de dioxine et beaucoup de mythomanie.

Old par ... le 11 Déc 2004

ce que j’aime ça

jouer la nuit avec tes cheveux et les fourmis cro-ondes.

kit

Clara : « Are you boyfriends ? » / Moi : « Definitely not ! »

[sourire carnassier du tourgueniste hétéro-chauve prêt à fondre sur sa proie]

La styliste machiavélique dont j’ai oublié le prénom : « Oh s’il vous plaît tu peux nous faire rentrer au Paaaooolp ?

You’ll like my friend Clara, she’s a model and she’s also a great pro-palestinian militant ! » / Moi :  » Whaaaat ???

pro-palestinian ?! oooh… ah yes, sorry, of course, ouais bon c’est ça allez on vous emmène au Poulpe »

[sourire en coin du gate-crasher qui a réussi à convaincre deux mannequins de faire rentrer trois mâles au Pulp]

Cet instant dual

Minuit pile

Old par igor le 19 Jan 2004

















NOSUCH LIBRARY

MITHRAS TAUROCTONOS

Old par M. Fox le 16 Jan 2004





Old par Gu. le 23 Fév 2004

Old par -- Zan le 14 Jan 2004

hOw tO belOng tO tOur-girl-isme ? (…)

Old par Gu. le 12 Mar 2004

a la demande générale…

on frise le raie-dix-cul…

Pour leur malheur, l’homme au poisson les suivaient partout…

Old par -- Zan le 20 Oct 2004

10

lex

hic!

Minuit pile

Old par igor le 18 Jan 2004

Je marche dans tes rues

comme dans un rêve

la vie n’est plus ici

le miroir s’est épaissi

Je ne suis plus des vôtres

désolé

Old par M. Fox le 12 Nov 2004

My Love

Tu m’embrassais

mais ta lèvre était flasque

Quelle déconvenue !

Old par M. Fox le 13 Nov 2004

Taschenaze (N°1)

Il est bien connu que c’est lorsque les designers ont peu de moyens qu’ils se montrent les plus brillants.

Belle illustration que la mythique Zastava Koral, sortie en 1980 et mieux connue dans nos contrées sous le patronyme de Yugo 45.

   

La beauté des lignes se suffit à elle-même, tout commentaire serait importun.

Bien évidemment, on se lasse de tout, même du sublime et il est probable que l’honnête travailleur serbe n’avait pas toujours conscience d’effectuer ses trajets à bord d’une oeuvre d’art roulante.

En 2000, les ingénieurs de Zastava font preuve d’une audace démesurée, prennent le pari risqué de retoucher les lignes et c’est ainsi que naît la Koral In.

   

Vous noterez l’utilisation extrêmement astucieuse du caoutchouc, qui offre une relecture tout à fait pertinente et avant-gardiste de l’oeuvre originelle.

Let me introduce doktor Elsa Vil & her two deadly insensitive assistants, who will operate of course without anaesthetic, some painfull tortures to innocent defenceless victims with some Wagner music in background…

« là ici »