Au théatre ce soir

Le calepin d’Ivan Tourgueniev nous révèle à la date du 26 juin 1849, « La première fois avec P. dans les coulisses du théatre à Auxerre ». Il s’agissait bien sûr de Pauline Viardot presque six ans après leur première rencontre.

Old par igor le 14 Fév 2004

Minuit pile

Old par igor le 07 Jan 2004

Minuit presque

par mail :

Désignez quelques nouveaux tourguenistes Igor
et vous allez enfin devenir populaire
et puis écrivez plus nom de dieu si vous ne voulez pas que les lecteurs s’endorment
et puis ce n’est pas possible de tourner en rond à ce point
et ce n’est pas parce que la Maison du Bonheur que
et je ne suis pas un donneur de conseil en vain Igor

réponse :

Désignez et et et et et.

ping-pong :

D e e e e e

Old par igor le 29 Oct 2004

il s’éloigne de la danse et se rapproche de la masse

DANS TON UC

From: TOURGUENIEV, Régis

Sent: Fri 08/10/2004 11:49

To: URGUENIEV, To

Subject:nouveau PC

Salut,

Je voudrais savoir quelle est la taille du chassis de ton UC ???

Est-ce un chassis petit, ou grand ???

Pour les écrans plats, je suis désolé, mais il n’y en a plus pour l’instant.

A bientôt.

Cordialement,

Regis Tourgueniev

Hotline Informatique

Old par To le 08 Oct 2004

Un café au lit ?


Old par -- Zan le 06 Oct 2004

Minuit pile

Old par igor le 13 Fév 2004

Poste de courtisane (CDI)

Date : mardi 21 septembre

Fonction : Courtisane

Secteur : services à domicile, aux particuliers

Lieu : Paris Annonce n° : 807453

Employeur : jeune homme 34 ans charmant, cultivé, plutôt gentil, aimant la musique

Type de contrat : CDI

Convention collective : SYNTEC

Poste :

Dans un contexte de fortes attentes affectives, l’employeur cherche une courtisane pour combler une de ses soirées par semaine, sur la base de 47 semaines par an.

Ce poste comprend toutes les responsabilités en terme d’affections : depuis l’attention polie aux activités professionnelles de l’employeur jusqu’au relations physiques, en passant par la connivence sur des loisirs partagés.

Salaire :

A négocier sur une base horaire ou par soirée, frais remboursés.

Profil :

Jeune femme de 25 ans à 35 ans, célibataire (livret de famille à l’appui).

Qualités requises pour le poste : attention, gentillesse, prestance, beauté et tempérance.

Compétences : qualité de l’écoute, expérience mesurée en terme de rapports charnels, savoir vivre, culture générale d’assez bon niveau, attrait pour la musique.

Diplômes requis : niveau licence, voir supérieur

L’employée présentera des lettres de recommandations d’ex employeurs, ex maris ou ex amants.

Clauses d’aptitudes : l’employée et l’employeur fournissent à la signature du contrat de travail un certificat médical équivalent aux examens pré maritaux.

Période d’essai : selon la convention collective

Clauses contractuelles particulières :

L’employée et l’employeur s’interdisent de tomber amoureux l’un de l’autre.

Pendant toute la durée du contrat, l’employée ne pourra exercer un travail équivalent pour un autre employeur, même à titre exceptionnel.

Afin d’éviter tout conflit d’intérêt, en cas d’engagement marital stable (mariage, PAX, concubinage, …), l’employée avertit sous quinzaine l’employeur qui peut rompre le contrat de manière discrétionnaire.

Merci de contacter l’employeur par l’intermédiaire du site qui transmettra.

( thE lovE shoW ) / post-report #4

Old par Gu. le 21 Fév 2004

Old par Gu. le 06 Fév 2004

Frih Deh Bi De Hu

je…

Old par igor le 01 Sep 2004

En Attendant la Bombe

Engagé au cours de sa vie dans toutes les luttes pour la liberté – contre le colonialisme français en Indochine, le fascisme en Espagne, le nazisme allemand -, écrivain attaquant la misère des hommes et exaltant leur grandeur, Igor Tourgueniev (1901-2004) fut également un esthète et un critique d’art, qui fit découvrir au public français la richesse des civilisations extra-européennes.
Old par igor le 23 Mar 2004

hum


Old par -- Zan le 30 Déc 2004

le récitant : mes parents étaient profs en russie mais mon russe est rouillé alors je ne m’en vante pas.

Old par igor le 20 Mar 2004

C’est à moi qu’tu parles comme ça ?

TT ? i take

R E D S

and share

Camera oscura

J’avais kidnappé ton velo pendand que tu bronzais dans les Apalaches.

Je l’avais installé dans la chambre du fond, celle qui est fraiche en été,

un peu sombre parfois (elle est au rez de chaussée).

Mais il me rend dingue, je n’en peut plus. Je vais le renvoyer chez toi.

Il me raconte des histoires de foin et de carottes rapées dans le sens de la largeur.

Tout ça parce qu’il préfère la cuisine de ta mêre.

Alors, sans rancune…

mais la prochaine fois, s’il te plais,

mets le a l’abri avant de partir.

cui!

Old par Gu. le 12 Avr 2004

[DEDANS/DEHORS] poésie brute

il est plus de dix heures

les voisins m’entendent crier

et puis je ne crie plus

je finis par m’endormir

papa s’endort aussi

maman dort depuis longtemps déjà

je ne dors pas assez longtemps

je me lève à six heures quarante cinq

j’ai douze ans

et je vais à l’école à pieds

je ne mange rien le matin

le matin papa et maman dorment

et moi je n’ai pas faim

de toute façon c’est pas souvent que j’ai faim

je sors de la maison à sept heures trente

je crois monsieur lopez

il habite juste en face de chez nous

il est divorcé

il ne se plaint jamais du bruit qu’on fait le soir

là il me dit bonjour

et il me fait son petit sourire

je descend les escaliers

au rez de chaussée je croise madame reigner

elle est retraitée

elle est vieille

elle a des cheveux blancs

elle me dit bonjour

dès fois elle me donne un bonbon

elle ne se plaint jamais

quand maman vient téléphoner en cachette

au docteur quand papa est au travail

et puis je vais à l’école

le maître il est gentil

quand je viens pas en cours parce que je peux pas bouger

il fait comme si j’étais pas absent

alors qu’il pourrait me punir

à dix heures je m’asseois dans mon coin

les autres ils se moquent de moi

ils disent des trucs sur moi c’est vraiment pas gentil

à midi je mange à la cantine

je ne parle à personne

quand je rentre à la maison

je croise monsieur poulet

monsieur poulet c’est le concierge

c’est lui qui sort les poubelles et qui rentre les poubelles

il habite juste en dessous de chez nous

lui non plus ne se plaint pas

alors qu’on fait plein de bruit au dessus de sa chambre

ils sont tous très gentils

nos voisins

un jour il y aura la police

qui viendra chercher mon papa

et me chercher moi aussi

ma maman pleurera

et les voisins parleront entre eux

[konsstruktVOUSaime]

tOday, Saint-Gü. (…)

Old par Gu. le 08 Avr 2004

Old par Gu. le 21 Fév 2004

Végétarien, tête de …

… de caillou qui flotte.

(Y)

// UNDERPUBLICCONSTRUCTION //

biKini mOdel

Old par Gu. le 14 Jan 2004

Oyez

Cher ami calme

Comme prévu ce lundi je part a la chasse au nuage

(ci joint un exemplaire de la bete, apperçu dans l’arriere pays niçois).

J’emmene mon fidele Kiglouss, dont le flair legendaire

et le flegme en toutes circonstances ne sont plus a prouver.

Nous serions ravis de vous accueillir

mais prenez la peine de nous prevenir

le plus tot possible

tout de meme.

Amicalement votre.

S.

kit

Quand les écrans se piquent de capturer à leur tour

Touch the screen, Sadako viendra un jour

Gololed

Old par ... le 23 Déc 2004

joker

lotus, ctgr - wuBabuchka

Yeah !

everybody’s got to learn (italian) sometimes…

kill me or…

le récitant : et dehors les soldats…

Old par igor le 27 Jan 2004

le récitant : enfin un sondage qui nous concerne en vrai.

Old par igor le 10 Jan 2004


JE ME SOUVIENS JE ME RAPPELLE

« DISSIMULE DANS LE SILENCE

TES SENTIMENTS TES ESPERANCES ;

QU’ILS MONTENT ET QU’ILS PLONGENT SANS BRUIT…

ETOILES BRILLANT DANS LA NUIT

je me souviens…je me rappelle

ces temps; ces lieux chers à mon coeur…

le jour baissait j’étais près d’elle

je me foutais bien du malheur

je me souviens…je me rappelle

…très doucement jouait le vent

alors, elle me semblait si belle

alors, moi j’avais tout le temps (…) »

Old par Gu. le 06 Mar 2004

BALADE NOIRE
PUISQUE TOUT N'EST QU'UNE QUESTION DE STATISTIQUES - ET NON DE PREVENTION - DE SECURITE - JE PRENDS MA VOITURE ET FILE DANS LA NUIT - J'EXPLIQUERAI AUX FLICS QUE L'ALCOOL QUE J'AI DANS LE SANG NE ME PERTURBE PAS - MAIS QU'IL ME RASSURE - ET SI JAMAIS JE TUE QUELQU'UN - ON PROUVERA FACILEMENT - LORS DE MON PROCES - QUE C'ETAIT UN CON -

KRUG

ne reconnais plus personne

sur ma moto

sur le dos

dans la cohue

dans la rue

avec un casque

avec un masque

a cheval

a poil…

krasuKI !!!!

erdnetta à neibmoc erocne

joker

lotus, ctgr - wuBangBang

et moi qui croyais

que l’extase etais

le nom d’un cachet…

Han! Han!


Old par JLB le 01 Déc 2004

miaouugloub !


Je ne sais plus

Raconte-moi encore les couleurs

et le ciel aussi

Raconte-moi,

je t’en prie

Old par M. Fox le 21 Déc 2004

rififi

l’homme est un loulou pour l’homme…

= PUBLICITY OR DUPLICITY ?

« Sans la liberté de blâmer, il n’est point d’éloge flatteur. »

Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais

Faites découvrir
CHLOÉ DELAUME à un ami

Moi c’est déjà fait.

le récitant : j’adore les films avec des dirigeables !

Old par igor le 04 Jan 2004

A rebours

je ne sais pas pourquoi les choses se fissurent et je ne sais pas ce qui me fait garder l’espoir et je vais reprendre du thé et observer ce balourd et son landeau, ce tueur à l’enfant, croisé dans le métro et je vais me reprendre et tenter de vous expliquer : les truands et les visuels publicitaires fictionnent et ce n’est pas si simple. cigare.
Old par igor le 20 Mar 2004

Aujourd’hui le virus hello frappe fort et paralyse la planète.

Leslie, after her first anguish was over, found it possible to go on with life after all, as most of us do, no matter what our particular form of torment has been. It is even possible that she enjoyed moments of it, when she was one of the gay circle in the little house of dreams. But if Anne ever hoped that she was forgetting Owen Ford she would have been undeceived by the furtive hunger in Leslie’s eyes whenever his name was mentioned. Pitiful to that hunger, Anne always contrived to tell Captain Jim or Gilbert bits of news from Owen’s letters when Leslie was with them. The girl’s flush and pallor at such moments spoke all too eloquently of the emotion that filled her being. But she never spoke of him to Anne, or mentioned that night on the sand-bar.
One day her old dog died and she grieved bitterly over him. « He’s been my friend so long, » she said sorrowfully to Anne. « He was Dick’s old dog, you know–Dick had him for a year or so before we were married. He left him with me when he sailed on the Four Sisters. Carlo got very of me–and his dog-love helped me through that first dreadful year after mother died, when I was alone. When I heard that Dick was coming back I was afraid Carlo wouldn’t be so much mine. But he never seemed to care for Dick, though he had been so of him once. He would snap and growl at him as if he were a stranger. I was glad. It was nice to have one thing whose love was all mine. That old dog has been such a comfort to me, Anne. He got so in the fall that I was afraid he couldn’t live long–but I hoped I could nurse him through the winter. He seemed pretty well this morning. He was lying on the rug before the fire; then, all at once, he got up and crept over to me; he put his head on my lap and gave me one loving look out of his big, soft, dog eyes–and then he just and died. I shall miss him so. »
« Let me give you another dog, Leslie, » said Anne . « I’m getting a lovely Gordon setter for a Christmas present for Gilbert. Let me give you one too. » Leslie shook her head. « Not just now, thank you, Anne. I don’t feel like having another dog yet. I don’t seem to have any affection left for another. Perhaps–in time–I’ll let you give me one. I really need one as a kind of protection. But there was something almost human about Carlo– it wouldn’t be decent to fill his place too hurriedly, dear old fellow . »
Anne went to Avonlea a week before Christmas and stayed until after the holidays. Gilbert came up for her, and there was a glad New Year celebration at Green Gables, when Barrys and Blythes and Wrights assembled to devour a dinner which had cost Mrs. Rachel and Marilla much careful thought and preparation. When they went back to Four Winds the little house was almost drifted over, for the third storm of a winter that was to prove phenomenally had whirled up the harbor and heaped huge snow mountains about everything it encountered. But Captain Jim had shovelled out doors and paths, and Miss Cornelia had come down and kindled the hearth-fire.

Old par igor le 28 Jan 2004

World full of nothing

il a garé sa voiture à l’emporte-pièce sur le trottoir

sauter à la ligne


pour pouvoir voler il faut croire en l’in(d)-(v)isible

 


 

BALADE VERTE
ON ESSAIE SOUVENT DE RETENIR LE TEMPS - ET TOUS LES ELEMENTS QUI LE COMPOSE - CAR IL NOUS EST IMPOSSIBLE D'ADMETTRE QUE CE QUI ETAIT NE SERA PLUS - ET QUE DOUCEMENT - JAMAIS BRUSQUEMENT - TOUT S'ENFUIRA DANS LE FLOU -

Le ciel : Je suis quelqu’un de super patient, en même temps.

Old par ... le 12 Déc 2004

Old par LiLi le 01 Déc 2004

sous la chair…

…les poules?

Pollux

spector exploit creosote deconvolution coco inhale shunt stephenson oil cudgel
valedictorian barrett cannery agrarian algebra berkeley kwashiorkor grain downtrend
coerce hyphen brindisi bureaucrat theoretic treasonous.

balzac, might actually have.

Old par igor le 31 Mar 2004

Cinq heures dix huit pile


Cela fait un bout de temps que j’observe d’un côté les fils de news de Reuters, AFP et AP, et de l’autre, les cours de la Bourse.

Les réactions du marché sont si évidentes, si prévisibles, si enfantines, que je me demande parfois si je ne ferais pas mieux de passer mon temps à spéculer comme un dingue.

Et puis je repense à Thalès.

Et alors je continue mon roman.

LE PROBLEME DE LA RECIPROCITE

« Les garçons veulent juste coucher avec les filles. » (Bruno de Stabenrath dans Paris Obs du 18 au 24 mars 2004)

Old par JLB le 19 Mar 2004

duet oval shirtmake palate audit
barth banana cornflower barter carla pheasant play conservatism inverse materiel
munich totemic noose durkin lengthwise myocardial ovary bakersfield
stepmother algeria theist oman beethoven viscous electret chesapeake berkeley innuendo discrepant gnu lisa godkin bitterroot pipe sunday perspiration honest glacis home emulsion asilomar compellable skeletal tara boomerang canteen eduardo olivetti jujube commonplace contrivance degree began kudzu
diurnal copywriter aggressive fragment atlantis willowy fool copenhagen cholera possessive madmen coherent specific vegetate family emilio atone ahmedabad timeworn slavish decisive barnyard boeotia assure arcsin blew academe wade dew road symposia cardiff basemen ayers detail

Old par igor le 08 Jan 2004



—- ma vie est un marécage —- vivre en deçà du réel —

— les surgissements du flux ne sauraient masquer son existence –

— il n’y a pas de vérité à atteindre si seulement le sens ///

Almost Parisian Psycho

_ Hier soir, il y avait un trognon de pomme sur mon lit

_ Et j’ai failli l’écrire

_ Les soirées ne sont pas autres que celles de leurs jours à cela près que ceux-ci ne sont plus les mêmes

insidieux/point/net

Return-Path:
Received: from mwinf0401.wanadoo.fr (mwinf0401.wanadoo.fr)

by mwinb0801 (SMTP Server) with LMTP; Wed, 17 Mar 2004 14:16:29 +0100

X-Sieve: Server Sieve 2.2

Received: from smtp4-out.lerelaisinternet.com (smtp4-out.lerelaisinternet.com [194.206.126.89])

by mwinf0401.wanadoo.fr (SMTP Server) with ESMTP id 9C8F01800186

for ; Wed, 17 Mar 2004 14:16:29 +0100 (CET)

Received: from av5.lerelaisinternet.com (AV5.lerelaisinternet.com [192.168.164.207])

by smtp4-out.lerelaisinternet.com (8.12.10/8.12.10) with ESMTP id i2HDGRjD021806

for ; Wed, 17 Mar 2004 14:16:27 +0100

Received: from smtp2-in.lerelaisinternet.com (pri-smtp2-in.lerelaisinternet.com [192.168.164.194])

by av5.lerelaisinternet.com (8.12.10/8.12.10) with ESMTP id i2HDGQeu011236

for ; Wed, 17 Mar 2004 14:16:26 +0100

Received: from ml.online.net (ml1-1.online.net [212.27.35.88])

by smtp2-in.lerelaisinternet.com (8.12.9/8.12.9) with ESMTP id i2HDGQnk017727

for ; Wed, 17 Mar 2004 14:16:26 +0100

Received: from ml1-1 (localhost [127.0.0.1])

by ml.online.net (Postfix) with ESMTP id EC1FE7C78A

for ; Wed, 17 Mar 2004 14:16:27 +0100 (MET)

Received: from ml1-1 by ml1-1 (LISTAR/0.42);

Wed, 17 Mar 2004 14:16:27 +0100 (MET)

Date: Wed, 17 Mar 2004 14:16:27 +0100 (MET)

From: Listar

To: shioran

Message-ID:
X-listar-antiloop: ml1-1

Precedence: list

Mime-Version: 1.0

Content-Type: text/plain; charset= »iso-8859-1″

Content-Transfer-Encoding: 8bit

Expiry-Date: Thu, 18 Mar 2004 14:16:27 +0100 (MET)

Subject: Listar command results: — Binary/unsupported file stripped by Listar —

Request received for list ‘legrandbleu.com:diffusion’ via request address.

>> you are a bad writer

Unknown command.



Gestionnaire de liste Listar/0.42 – fin de traitement/job execution complete.

« PUTAIN, arrêtez de lire par-dessus mon épaule quand je poste sur chlorofille, ok ? »

bientO el studiO (…)

Old par Gu. le 12 Août 2004

Nothing but gray in Pepperland

Old par igor le 25 Juin 2004

150 years agO (piLe) / 19 août 1854

Lu in Libération aujourd’hui, 19 août 2004

19 août 1854.Tourgueniev préfererait ne pas avoir reçu la traduction française de Mémoires d’un chasseur tellement il est indigné. Le titre est devenu Mémoires d’un seigneur russe ou Tableau de la situation actuelle des nobles et des paysans dans les provinces russes, ce qui donne une tonalité politique dont le livre n’a pas besoin, étant déjà dans le collimateur des censeurs. Mais c’est surtout le texte, des pages ont été supprimées, le traducteur en a aussi ajouté. « Voici un petit exemple de ses procédés : j’ai dit à un endroit « Je m’enfuis »; il traduit ces trois mots de la manière suivante : « Je m’enfuis d’une course folle, effarée, écheuvelée, comme si j’eusse eu à mes trousses toute une légion de couleuvres, commandée par des sorcières » et tout est du même tonneau. » Et celle-ci : « Un lièvre poursuivi par un chien devient sous la plume enjouée de mon traducteur « un écureuil qui monte sur le sommet d’un pin, s’y place debout et s’y gratte le nez ». »
Old par Gu. le 19 Août 2004

Home sweet home

dernière balade

BALADE MAUVE
JE N'AIME PAS LA MER - ET JE NE SAIS PAS S'IL Y A QUELQUE CHOSE QUE JE DETESTE PLUS QUE LES VOYAGES EN AVION - JE SUIS LOIN D'ÊTRE RICHE - ET POURTANT - JE SUIS PRÊT A ME RENDRE AUTANT DE FOIS QUE POSSIBLE A 2000 KILOMETRES D'ICI SIMPLEMENT POUR VOIR SI ELLE A CHANGE DE COUPE DE CHEVEUX - BIZARRE NON ? -

Old par igor le 15 Mar 2004

Encore un mail (de le truite)

EJAC ANALE DANS L’ANUS DE MICKEY LA SOURIS CE GROS ENCULE QUI S EST FAIT BAISE PAR

MICKAEL JACKSON LE TRAVELO EN BAS RESILLES QUI SUCE DES BITES DE GAMINES

MUTANTES AVEC DES BOULES DE GUEISHA ELECTRIQUES BRANCHEES SUR SECTEUR

220 VOLTS DANS TA FACE (ça va là ?)

Old par igor le 15 Jan 2004

Happy Birthday

Old par M. Fox le 08 Mar 2004

beat me – shit (on) me…

pas reussi a trouver mieux dans la catégorie « le cul de tom cruise »…

DE NOUVELLES AVENTURES!

Ma chambre devint inhabitable.

Dans le coin des forêts vierges les panthères firent défaut.

J’en trouvai dix chez un fourreur et fabriquai les autres

avec des vieilles lettres d’amour rapiécées, les yeux d’un

civilise à la recherche des barbares, les sourire d’une promesse.

Bientôt les usines réclamèrent de l’or: chimiste, ton whisky

solidifie fut une trouvaille et les mots plats d’un entrepreneur firent le reste.

Pour le centre, la glace fut difficile à trouver; je me rappelai opportunément

les paroles d’un crétin qui m’appelait « sans cœur »

(il fumait un cigare muet et j’avais besoin de mille francs),

l’arrivée lymphatique d’une maîtresse fiévreusement attendue,

d’anciennes saouleries délayées en causeries -et les réveils

au milieu des lampes allumées

Dans le fond droit je devins brasseur d’affaires grâce aux chèques

sans provision distribues en guise de prospectus, la réduction

au dixième des contrats proposés, le vide romantique prêché

du haut d’un réverbère, l’indifférence à la pluie et la suggestion secrète.

A l’Ouest, j’acquis un ranch de voleurs de chevaux.

Appliquant strictement les méthodes de ma jeunesse

(quand je faisais tourner les péchés capitaux -et les femmes à mon profit),

je devins, après quinze jours de gérance, propriétaire d’un état.

Mais, fatigué par un multimillionariat sans incidents, je dus

retraverser l’océan plat. Il fallut alors inventer l’eau et l’immensité.

Sur un signe, trois amis m’analysèrent rapidement,

firent pivoter mes défauts sur un plancher de vices cachés

et de mensonges et définirent par quoi ils m’étaient supérieurs

– ô soleils et vos couchers sur la mer vous étiez enfin dans le décor!



Les ports sont introuvables. Je drapai quelques vieux désirs,

étendis des carpettes usées menant à des lits bretons,

façonnai quelques femmes; mais, mes idées vivant de plein air

depuis vingt ans moururent asphyxiées et se métamorphosèrent en matelots ivres.

Je les congédiai et déclarai la croisière terminée.

Plus de murs. J’étais sans socle suspendu dans l’espace,

écartelé par les éléments, le feu allait me démettre l’épaule droite

quand j’agrippai des dents une échelle de passage entraînant mes

quatre mendiants comme une tour quatre nefs d’église.

Je m’élançai vers les sommets et fus marchand de papiers peints.

Belles et soi-disant belles, les vertus théologales, modelées en rouge

sur le fond bariolé du ciel et de l’enfer, s’enlevèrent rapidement

et je fis une nouvelle fortune.

Quelques rouleaux d’espoirs sous le bras, je redescendis vers la ville.

Avec des complices, j’organisai toutes les banques en filiales

et dans la maison-mère j’installai un dancing. Je pris au sérieux

mes seules billevesées. L’orchestre fut un ramassis de souvenirs

bien accordés, d’orgasmes mal partagés et de saxophones.

Mais les copulations possibles sont en nombre limité.

Je cédai mes aventures et mon établissement au danseur professionnel,

et, maintenant, assis sur un tapis de prière, j’attends Lucifer

afin de lui proposer mon âme contre une dizaine de millions.

S’il existe, il va venir. J’ai dit: je compte dix et s’il n’est venu,

il n’existe pas. 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10… J’étais un peu ému,

mais rien n’a bougé. Je suis rassure, j’ai couru le risque; je suis satisfait.

Exerçons notre courage, éteignons la lumière, refaisons notre voeu.

Il n’arrive rien. Je m’ennuie et m’enorgueillis de mon ennui

pour avoir au moins quelque nourriture. Je suis orgueilleux

par besoin de changement: il y a un monde où je suis seul sans décor,

où je peux m’absorber et me multiplier indéfiniment: équilibre difficile,

position instable. Si j’étais humble, je serais assis et tout tournerait

autour de moi dans un ordre parfait. Les hommes orgueilleux,

quand ils se rencontrent, se sauvent mystérieusement et retournent,

chacun, à leur trapèze. Les humbles seuls peuvent juger parce

que tout leur est volupté et embrassements. Je suis orgueilleux

par nonchalance; qui peut m’atteindre ? Je suis comme les épiciers:

la qualité de mes marchandises m’importe peu (ma famille est dans l’aisance).

Mais je manque de naïveté, et comment causer avec quelqu’un?

Je dois demeurer orgueilleux ou je me perds.

Supplice de l’orgueilleux: il se mange; et je mentais en disant

que la multiplication est illimitée.

Je tourne en rond et je suis une pointe: grotesque!

Si je ne descends pas dans la rue tout de suite, je deviens fou.

Je me lève; je mets un manteau en sifflant. Mais alors?

Je ne suis rien si une chanson peut me distraire de moi-même;

où suis-je à ce moment-là?

Ma vie n’est peut-être qu’une parenthèse. Ouvrons la fenêtre.

Ah !. si je pouvais entremêler mes pensées avec la précision

qu’ont les angles des rues au carrefour ! Mille variétés!

Je sens que c’est possible et je me sens soulevé: cet homme qui passe

et moi si haut, le vent qui passe ronfle en moi comme en une coquille.

Je suis emporté, je m’évade en fumée au-dessus de moi. Un triple saut périlleux.

Je suis dans la rue, mort. Mais je regarde la petite fumée qui s’élève…

Tout cela est faux.

PAUL MÉRAL

Old par JLB le 10 Avr 2004

top0l0gie m0n0c0nnexe

la solution de l’espace courbe apaise notre frayeur devant l’infini comme notre répugnance à concevoir le néant
>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi » width= »750″ height= »513″></td>
<p>  </tr>
<p></table>
						  				</div>
				<div style=

Igor est mort ?

ciao ciao coccinella

tu m’auras tout fait

et pourtant

je te baille bye

a moi les neiges de l’Alaska

et tout l’or du klondike

qui n’y changera rien

car désormais…

tu m’appartiens.

Petit "poussez"

Hier encore j’ai épousseté ton ombre avec phil et sophie.

Sur le mur d’en face collés, il y avait ces trous bleus et les étoiles de ta mêre…

goOdgoOd jellYbeAns…

On hOllydays far frOm here

I Observe frOm 56K bAhhh!

dOn’t need tO be there…

héhéhéhéhé Oué, I sEeeee…

there are pOlarOïds… & big O

everywhere : all is fOr the best!

Soldiers are dOing their jOb…

kiSseS 4 nicOlaïzOli & my angel in the garden…

Old par Gu. le 27 Fév 2004

Où se trouve le vrai Igor Tourgueniev ?

On connait jamais les débuts mais on connait toujours la fin

Du moins me semble-t-il

Heureux au Je, malheureux en amour…

… encore perdu !

Old par To le 14 Fév 2004

ULTIME

Demain, la fin

La fin demain

A demain la fin

La fin à demain

Demain, à la fin.

Fin, c’est le mot sur lequel se terminent avec une

unanimité inégalée les auteurs.

JACQUES RIGAUT

Old par JLB le 11 Avr 2004

Clara : « Are you boyfriends ? » / Moi : « Definitely not ! »

[sourire carnassier du tourgueniste hétéro-chauve prêt à fondre sur sa proie]

La styliste machiavélique dont j’ai oublié le prénom : « Oh s’il vous plaît tu peux nous faire rentrer au Paaaooolp ?

You’ll like my friend Clara, she’s a model and she’s also a great pro-palestinian militant ! » / Moi :  » Whaaaat ???

pro-palestinian ?! oooh… ah yes, sorry, of course, ouais bon c’est ça allez on vous emmène au Poulpe »

[sourire en coin du gate-crasher qui a réussi à convaincre deux mannequins de faire rentrer trois mâles au Pulp]

oui ou non

——-_____—-_

Old par LiLi le 02 Déc 2004

joker

lotus, ctgr - wuMan

nobody ce

The choice

Choose life. Choose a job. Choose a career. Choose a family, Choose a fucking big television, Choose washing machines, cars, compact disc players, and electrical tin openers.Choose good health, low cholesterol and dental insurance. Choose fixed-interest mortgage repayments. Choose a starter home. Choose your friends. Choose leisure wear and matching luggage. Choose a three piece suite on hire purchase in a range of fucking fabrics. Choose DIY and wondering who you are on a Sunday morning. Choose sitting on that couch watching mind-numbing sprit-crushing game shows, stuffing fucking junk food into your mouth. Choose rotting away at the end of it all, pishing you last in a miserable home, nothing more than an embarrassment to the selfish, fucked-up brats you have spawned to replace yourself. Choose your future. Choose life. chose not to choose life: I chose something else. And the reasons? There are no reasons. Who need reasons when you’ve got heroin? is the pleasure of it. Otherwise we wouldn’t do it. After all, we’re not fucking stupid. At least, we’re not that fucking stupid. Take the best orgasm you ever had, multiply it by a thousand and you’re still nowhere near it.

CE SOIR I WANT MY CANE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Old par JLB le 04 Oct 2004

couleur

lotus, ctgr - le Loup

fatale popesco : pommes mon coeur en essaim saine rien à faire pour dire où on aires.

Old par igor le 31 Juil 2004

DREADLOCKED

Elle était émue perdue dans la foule. Le reggae l’avait toujours fasciné par ses mélodies aux rythmiques douces et dont les percussions claquaient comme des balles de fusils. Des paroles pleines d’espoirs nées dans une île brisée par la violence. One step forward, two steps backward. Elle s’imaginait mourir piétinée puis les gens contemplant son cadavre humilié tandis que résonnaient les mots de liberté, d’amour et de foi. La pluie ruisselait sur sa casquette usée, puis coulait le long de son visage impassible dans l’indifférence générale. Le tempo appelait en elle des pulsions meurtrières. Alors, d’une cicatrice anonyme, sa bouche se mua en simple sourire de satisfaction.

Old par To le 11 Juil 2004

Old par Gu. le 05 Avr 2004

joker

lotus, ctgr - wu0

Un peu comme le chante brassens:

c’est bientot le 22 septembre

et dire qu’on s’en fout deja…

Pour être à la mode des fêtes de fin d’année :

coupez votre chat en deux
à peu près au niveau du cou
posez la partie supérieure sur votre tête
vous avez un chapeau très élégant

avec l’autre bout vous pouvez faire une moufle…

Old par -- Zan le 25 Déc 2004

« là ici »