Le sondage de l’été

oui
sûrement oui
mais cela ne vous
prend-il pas
comme une envie de pisser
le tourguenisme
parce que moi
oui

egg space remix party (waitin’ for fun)

TODAY IS RINO DAY

HAVE A HAPPY ZERO

<<

greF-moi un sms dans le coeur

Alors il sut. Il sut dans quelle contrée il était revenu. Il sut quelle communauté il trouverait derrière ces collines, quel désespoir silencieux recelait ce paysage que l’Eqelm brûlait soudain d’une ardeur presque infernale, entre deux cumulus qui se teintaient désormais d’un gris sale.

Depuis toutes les sphères

La chaussée mouillée derrière l’envers de paupières

Lourdes lire un blog les paupières encore plus

Pesantes mais tard le soir dans un after-writing

Pour dormir

Have You Ever Seen The Rain

don’t stay under

intense tourguenism
spin spin chocolate
stop it fill with sugar
macadam brightness
melting-in-progress
wrapped in fever
the fleece-lined state
reached

at least

remember level 1 : autodelete please

je suis né dans le trouble

il y a peu un peu plus

j’arrive à la fin après

le reste comprend rien

croise les écritures moi

je les délie après tout

invidation à l’intérieur

de moi-même puis presque

résurgence du côté virtuel

sinon toi tu m’enfer-mes

puis tu n’ouvres qu’à guise

alors ne sais si reparaître

dans l’éventail des uns

possibles des autres est

à ma disposition à celle

de tes paradoxes-miroirs

Déclinaison -III



WISH DO NOT HOPE

HOLD « LOVE » TIGHT

SEE YOU

KiSSES

ps :: there is no end, tourguenism is forever

Dans trois jours, se dit-il, j’aurai une barbe de trois jours.

Activité bullaire hypercritique

Paradigme artificiel

Every time i think of you

I feel shot right through with a bolt of blue

It’s no problem of mine but it’s a problem I find

Living a life that I can’t leave behind

There’s no sense in telling me

The wisdom of a fool won’t set you free

But that’s the way that it goes

And it’s what nobody knows

While every day my confusion grows

Every time I see you falling

I get down on my knees and pray

I’m waiting for that final moment

You’ll say the words that I can’t say

New Order – Brotherhood

Impossible de trouver le serveur, ce héros

Murray Ostril

et mourir comme voir venir Venise que l’on n’a jamais vue

we are

but

we are

Hérésie

J’en conclus que les chauves auraient mal aux cheveux

Su la mé

Quand je sis sus le rivage

Byin tranquille, êt’ous coum mei ?

J’pense es syins qui sount en viage,

En viage ou louan sus la mé

En viage ou louan, en viage ou louan sus la mé

La mé, ch’est vraiment superbe,

Et j’aime Byin quand i fait biâo

L’étaè sous nous cllos en herbe

La vei s’endormin un miot.

Mais quand o’s’fâche la vilaine,

Et qu’no-z-entend, dé t’cheu nous,

La gross’voué de la sirêne,

No-z-en a quasiment pouâ.

J’aim’byin, dans les jouors de fête,

Quand les batiâos sount à quai,

A l’abri de la tempête

A Chidbouorg coume au Bequet ;

Ch’est lo qu’i sount muus, sans doute,

Des treis couleus pavouésaès ;

Mais, dé nyit, dans la déroute ;

Hélos ! Qu’i sont esposaès.

Quand o sâot’ par sus la digue,

D’qui qu’o fait trembller les bllos,

Qu’à l’auncre, l’vaisseau fatigue,

Ah ! Veir’, jé pense es mat’lots !

Réverront-i lus villages,

Et pourront-i ratterri ?

J’avouns d’si mâovais parages

De Barflleu jusqu’à Gouory !

J’ai Déeus fis dans la mareinne,

Déeus forts et hardis gaillards

L’eun révyint dé Cochincheinne,

L’aôtre dé Madagascar.

I Rentrent, lus corvaèe faite,

D’y pensaer, no n’en vit pus

Mais que j’pllains, sans les connaître,

Cheus qui sont restaès lo-bas !


good ol’times, huh ?

Blind pilots

toutes ces dents lexicales se referment sur mes doigts éteints

Vous reprendrez bien un peu de crème

Indice bête

le jaloux de lui justement mord

mais ment-il seulement ou

est-ce lui-même qu’il dévore ?

l’hôpital : ah enfin !

Merde

Il faudrait toujours avoir quelque chose à dire

Non

{…}

untold blasphemies

bougez pas, je reviens

Just For You

Re-membre…

Ce midi, au soleil, sur ma persienne _ une mouche _

mais toujours tu sais…

Anti (ce) héros

J’ai noyé mon verre pour ne plus boire

La vilaine mue de ce manque

Que je n’ai pas vraiment essayé de combler

Non plus

A moi, à moi …

… crient-elles dehors. C’est signe de vent.

even dead ?

Orange juice, dishwashing mess and non-falling bombs

NEVER SAY AGAIN : j’abdique.

{encore}

fucker

Puis finalement constater que la métempsychose du mouton s’achève en son sein

Arrêter le flux pour mieux le poursuivre dorénavant

Vivre des paradoxes édictés comme des commandements

En survivant tout en mourant un peu plus à chaque fois que le soleil }me{ fuit _

at dusk light caught behind insect speed regulates darkness fall

Conversation entre Charlie et le Voyageur, asile de Midgard (extrait)

[…]

– Ainsi, une instabilité n’est pas complètement fortuite, puisque c’est une situation donnée qui la provoque, une situation que l’on pourrait qualifier de « à risque ».

– C’est juste, même si nous ne sommes pas capables d’expliquer pourquoi elle survient. Une telle volonté est peut-être ridicule, puisque au fond l’instabilité est partie constituante du Flux. Et le Flux est. Toutefois, la récurrence de certains facteurs lors d’instabilités nous pousse à chercher des liens causaux dans tout cela. D’ailleurs, un autre facteur d’apparition d’une instabilité est la position sur la Forme dans une stabilité donnée. Plus vous vous approchez de l’Océan, plus la probabilité d’instabilité est grande. A l’inverse, plus vous montez sur les pentes du Ker, plus elle diminue. Une théorie a postulé que ceci résultait de la rotation de la Forme autour de son centre de gravité, si l’on adoptait la schématisation triangulaire. En fait, selon cette hypothèse, une stabilité serait une position de la Forme à un instant donné. Donc plus vous vous éloignez du centre de rotation plus la circonférence est grande, ce qui signifie plus de positions possible pour la Forme le long de cette circonférence, donc plus de stabilités. Qui dit plus de stabilités dit plus de passages entre elles donc plus d’instabilités. Ainsi, le Ker, plus proche du barycentre, serait plus stable. Mais cela supposerait définir la Forme dans chaque stabilité, alors que la Forme est plutôt une somme des stabilités, inscrite dans la durée.

[…]

Same mistakes

ouvrir la fenêtre sous la douche où mettre son amour

want some ?

Non, tu n’es pas nyctalope !

Ils t’ont institué un généreux réverbère près de la fenêtre de ta captivité.

putain ouais j’ai un de ces mal de crâne

tranches de flux

les pilules bourdonnent c’est divin la table clignote elle dit l’éclat « keep on your brightness & stay calm ou la télécommande bzz » encore et chaque beat grave à peine martial me stroboscope la perception en gris : j’attends le cliquetis alors je ronge mes os dans la plaine expectative

tuer le jazz ?

(je suis le jazz, buddy)

Death to the dinde

Et parmi la nuée

De Charons ailés

Tourbillonne,

Plane

Mon Augure

Qui décrit

Je ne sais quel destin…

X-static process

râle ô désespoir le démonstratif et son verbe d’existence

µ (an imitation of a man)

déjà-vous ?

Little animals

bronzer une rétine comme un espace entre deux mots d’ailleurs

Un café au lit ?

gnnn (yeah !)

Do not repeat before me

My tailor is bald your baldnesses are beautiful my tailor is bald your baldnesses are beautiful my tailor is bald your baldnesses are beautiful my tailor is bald your baldnesses are beautiful my tailor is bald your baldnesses are beautiful my tailor is bald your baldnesses are beautiful my tailor is bald your baldnesses are beautiful my tailor is bald your baldnesses are beautiful my tailor is bald your baldnesses are beautiful my tailor is bald your baldnesses are beautiful my tailor is bald your baldnesses are beautiful my tailor is bald your baldnesses are beautiful my tailor is bald your baldnesses are beautiful my tailor is bald your baldnesses are beautiful my tailor is bald your baldnesses are beautiful my tailor is bald your baldnesses are beautiful my tailor is bald your baldnesses are beautiful my tailor is bald your baldnesses are beautiful my tailor is bald your baldnesses are beautiful my tailor is bald your baldnesses are beautiful my tailor is bald your baldnesses are beautiful my tailor is bald your baldnesses are beautiful my tailor is bald your baldnesses are beautiful my tailor is bald your baldnesses are beautiful my tailor is bald your baldnesses are beautiful my tailor is bald your baldnesses are beautiful my tailor is bald your baldnesses are beautiful my tailor is bald your baldnesses are beautiful my tailor is bald your baldnesses are beautiful my tailor is bald your baldnesses are beautiful my tailor is bald your baldnesses are beautiful my tailor is bald your baldnesses are beautiful my tailor is bald your baldnesses are beautiful my tailor is bald your baldnesses are beautiful my tailor is bald your baldnesses are beautiful my tailor is bald your baldnesses are beautiful my tailor is bald

Comme chaque semaine, j’attendais, seul, ma pizza, ronde. Le restaurant aux charmes italiens était rempli d’une musique qui remplissait aussi mes oreilles, alors que mes yeux suivaient en diagonale un livre de martiens bradburyens.

Elle arriva.

J’écartai les couverts et enlevai la serviette afin que le restaurateur pose le plat.

Puis je réalisai. La lourdeur.

La fourchette était lourde. La sensation fut étrange. Ephémère car elle disparut au bout de quelques secondes, rondes.

Toutefois, dans la devanture, une affiche ondula, se troubla à mon regard.

Je fus moi-même troublé.

J’avais eu l’impression de soupeser un minerai extraterrestre, martien, défiant notre bonne vieille gravité. Cependant un homme affamé écoute son estomac et non sa Raison qui le pousse à comprendre.

Je l’ai mangée.

Je repensais au fait qu’elle n’était plus qu’un premier quartier de lune.

Je fus de nouveau troublé.

Mais les saveurs italiennes du mets dissipèrent mes doutes intergalactiques sur l’origine de la fourchette, vulgaire objet qui semblait être d’inox.

Je payai avec un billet bleu, petit homme vert sur la planète bleue.

Une fois dans la rue, je réalisai. La lourdeur.

La fourchette avait été lourde. Et je l’avais oubliée. Car pendant un instant, j’avais aussi songé à la dérober pour pouvoir l’étudier.

Absurde. La Raison est si peu face à l’immensité. Je fermai mon manteau vert, mes yeux, clignement involontaire pendant lequel j’entr’aperçus la vérité que ma Raison n’aurait pu conceptualiser.

Ils trinquèrent avec ce liquide qui rend les mers bleues, sobres mais hilares, car les petits hommes verts ne cultivent pas la vigne et ne peuvent, sur leur planète, boire du rouge.

carrer junta de comerc

il referma la porte du micro-ondes et mit le programme en marche. ce sur quoi il m’affirma :

« il vaut mieux quitter la pièce et s’éloigner lorsqu’il fonctionne. la porte est bancale, il y a un trou dessous. »

Picture show



une exhumation ?

tu sors d’une crypte nicolas ?


brr…

Ça s’en va aussi, mais est-ce que ça revient ?

Du verbe

tourguen(i)er ?
tourguenir ?
tourgueniser ?
tourguer ?
tourguir ?

Déclinaison -I

Nos yeux brûlent alors il faut arrêter.

pardonnez-moi mais c’est plus fort que moi

il m’arrive d’oublier que je ne suis pas réel

As sure as the sun

je crois ainsi atteindre sans jamais savoir l’attendre

AkaSpringSeed

j’ai vu des rues mourir pour moins que cela
toutes les nuits

en bas

on dirait la plage

We’ll sail home by moonlight…another honeymoon.

Déclinaison

elle a dit mutique

et j’en reste coi

En effet, méfions-nous…

Bienvenue dans ton cul

[destruxxion eggs rules my zootropic world, howls the preacherman]





Weird pleased and Rainglasses (please don’t wear sunglasses)

Dès lors, plus rien n’est anodin. Et encore une fois, au risque d’être présomptueux, je me veux solennel.

WE WANT (mixerase >>)

désolé le numéro que vous avez composé

n’existe plus n’appartient plus qu’à un

effacement progressif juste programmé





ps : je compte bientôt réintégrer la vie sociale

mais je cherche un plan plutôt molletonné

pas trop violent /

15/03/05 : une variante mineure konsstruktVOUSencule (également nommée lire_la_suite, [MISE_A_MORT]_roman_à_suivre ou [999poèmesSERIEtourgueniev]) a été identifiée. Elle est fonctionnellement identique à konsstruktVOUSaime mais se propage via les blogs collectifs et peut nécessiter une nouvelle mise à jour de l’antivirus pour être détectée (l’utilitaire de désinfection FxOrgasminert2.001.6.3 ne suffit plus).

Les tourguenistes de tout poêle vous souhaitent un joyeux noël





Almost Parisian Psycho

_ Hier soir, il y avait un trognon de pomme sur mon lit

_ Et j’ai failli l’écrire

_ Les soirées ne sont pas autres que celles de leurs jours à cela près que ceux-ci ne sont plus les mêmes

Report d’audience

Entre toi et moi

Il n’y a qu’un miroir

Mais derrière tes photos

Il n’y a pas ce à quoi tu tournais le dos

World full of nothing

il a garé sa voiture à l’emporte-pièce sur le trottoir


now this should be endless ____________ (whr?)

Le nénu-phare sur tes mers placides

Que ma transparence supersonique

Caressera bientôt

La trouble tourbe passagère

Evase une fleur

Au rêve accolée

Puis le souffle cesse

En un lascif enlisement

nan mais déjà, la journée avait commencé approximativement…

Those things happen…

Avalanche

ils sauront me trouver avec leur coordination acoquinée depuis peu

in the shape of memory, sometimes we see backwards (à peu près)


GREU

Vif

DO

NOT

DECEREBRATE

BUT JUST

EXPLODE

Once upon a time on the Plateau

La poésie qu’est-ce au fond

Sinon des mots dé-pesés, détoxiqués – – –

De nos jours, Nikola Akileus recule.

4 :: blanklaunch


HÉ BEN !


fig. 2.3 – il y aura toujours des commodes de toute façon

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