Mustang,
Il appelle son membre Mustang…
Il appelle son membre Mustang…
peut-être
oui
après tout
ça fait si longtemps
il fait si chaud
voyons voir
juste le bout des orteil, alors
prendre un peu le frais
tout doucement
Bilal Sparky, mec des Skars, t’inquiètes : 92 F.A.R, y’a rien à faire!
Wesh regarde ta tête et ta touffe de mouton
Généralement tous l’monde dit qu’t’as une tête de con
Attends tu fais l’mec, retournes au 93
Qu’ils t’mettent la zermiiiiiii!!!!!
Même ton père se surnommant Kader,
Il se saoûle tous les soirs
Et ensuite il te course dans les cou-loiiiiiiiirs!!!!!
Attends!!!
Ouais on devrait te Hagar,
Pour qu’tu fermes un peu ta grosse gueule,
T’as niqué Beblah et tu t’crois chaud?
Mais, dis toi, dans ta tête, que nous
C’est pas la même chose, alors :
Arrête, Arrêteeee, Arrêteeeeeee quoi!!!!!!!!
Putain, tu t’es serré une p’tite gogo danseuse,
Et ça s’croit chaud,
Hein, tu t’crois chaud?
Si elle aurait vue ta p’tite bite, elle s’rait partie
Hein, bon, ta bite, déjà, elle est toute p’tite
Elle a des rides, attends
Même celle de mon p’tit frère est plus grosse et plus grande
Et sans rides, donc tu vois,
Arrête, tu vas t’… t’afficher
Alors, arrête, arrête, arrête
Whoooohhh
Les Abrutis Amoureux de l’Art Anonyme sont une association d’hommes et de femmes qui partagent entre eux leur expérience, leur force et leur espoir dans le but de ne surtout pas résoudre leur problème commun et d’aider d’autres Abrutis Amoureux de l’Art Anonyme à s’enferrer dans la connerie la plus crasse afin de ne jamais au grand jamais se rétablir.
Le désir de ne jamais arrêter des A.A.A.A est la seule condition pour devenir membre des A.A.A.A.
Les A.A.A.A ne demandent ni cotisation ni droit d’entrée; nous nous finançons par nos propres contributions. Les A.A.A.A ne sont associés à aucune secte, confession religieuse ou politique, à aucun organisme ou établissement, bien au contraire ; ils ne désirent s’engager dans aucune controverse, bien au contraire ; d’ailleurs, ils n’endossent ni ne contestent aucune cause, toujours, bien au contraire.
Notre but premier est de demeurer demeurés et d’aider d’autres A.A.A.A à le devenir, et pourquoi pas, à le rester aussi un peu, peut être, le plus longtemps possible en tout cas, et ceci, malgré tout, bien au contraire.
©A.A.A.A
ps: oeuf dur powa rulez
Oui toi, tendre aventuriere
viens dessiner l’étérnité qui nous sépare
sur le blackbook des illusions,
je brulerai la page encens
mille fois plutot qu’une,
au nom de l’impossible aquarelle
de nos vies en nuances
et de l’esquisse naissante
ta présence, ton etre, ton sourire
dont je ne peux _____
desormais _______
______ me passer
La face rivée vers l’asphalte, jusqu’au moment où son crâne ira se fracasser contre le bitume. Etranges étés, l’un vit fondre le macadam et s’ouvrir le flux, l’autre n’est plus que matière brute, froide et hermétique. « A la croisée des chemins, l’étau se resserre à petits coups ». Tant de routes à prendre, de voies à explorer, mais sur le bitume une seule ombre tient un jerrican vide, et n’a plus envie d’aller nulle part.

Le maugréant : My god, moi aussi…
« De : Albert et soeurs,
Monaco, principauté de Monaco
Avec le plus grand respect, j’implore votre compréhension de cette proposition. Je suis Albert le fils de défunt prince Rainier III, l’ancien souverain de la principale de Monaco, qui a été blessé par la chaleur de la crise politique ici dans mon pays, la principale de Monaco. Alors, quelques jours après, avant qu’il soit mort dans l’hôpital, il nous a remis tous les documents relatifs aux douze millions cinq cent mille dollars ($12.500.000) à la banque comme entrepreneur, bénéficiaire de ladite principale. Nous savons obtenu vos coordonnées dans notre recherche et nous souhaitont vous proposer ces affaires dans une confiance stricte.
C’est pourquoi toute la confidentialité est obligatoire dans cette histoire.
En effet, je sollicite votre aide pour le transfert télégraphique de cette somme, six millions de dollars des Etats-Unis ($ 12.500.000) de l’Amérique en vue d’investissement privé à but éducatif dans votre pays. Le douze millions cinq cent mille dollars($ 12.500.000) supplémentaires ont été déposés dans un compte de dépôt fixe par notre défunt père et ont été déclarés au nom de son associé étranger outre-mer off-shore pour des raisons de sécurité.
Dans votre intérêt de m’aider dans cette transaction pour l’affaire, j’exige de vous, une réponse réussie de sorte que je vous envoie les coordonnées de la banque où cet argent est déposé. Ainsi vous pourrez les instruire sur le transfert des $12.5 millions de dollars jusque dans votre compte bancaire. Au terme de cette transaction, nous vous offrirons 20% du montant total, et le reste (80%) nous sera livré quand nous arriverons dans votre pays. Aussi dans cette transaction êtes-vous requis de la traiter avec la confiance la plus stricte.
Merci en prévision de votre reconnaissance de cette lettre.
Dieu vous bénisse.
Albert et soeurs. »
Le cerveau de Lee n’obéissait pas à un shéma proprement déterminé, lisse, prévisible, et accusait le coup de directions contradictoires, qui l’étiraient en de grands élastiques filandreux – qui vous atteignaient directement au visage.
(Nous dégringolerons en même temps que toi Martin, nous irons jusqu’au fond du gouffre et là nous nous apercevrons que nous tomberons au bout du compte sur toi-même et ce truc que tu as laissé.)
À mesure de cinq clics par jour sa suffocation étirait ses filets il avoisinait le syndrome de Rett son ombre avait des infarctus. Ce n’était pas pour une cause d’amour ou autre saloperie, il était lévitant à inviter des suffocants le contempler le dressing vide ses gestes jouxtant la fêlure acide des fins du jour, où il se ramassait lamentablement en boule dans son clic à chercher les failles et les photos, se recoiffant parfois de l’index au cas où un miroir. Avec l’âge sa placidité s’écorchait, il ne devenait plus qu’un âne perclu (perclu ?) de désirs mécaniques et d’appareils narcissiques. Il restait là éventré au vent à sourire perplexe des boulons et des ferrailles s’échappaient de sa poitrine et tournaient en rictus dans les visages écarlates de la bonne bourgeoisie ambulante. On aurait pu le carrier, s’en défaire, l’anorexier, le dévitaminer, voire même le baiser, mais la jouissance la plus incertaine était de le faire s’examiner, sa maigreur haletante dans les bras plastiques, sa jugulaire sous frottis de néons lugubres, son carcan stérile dans les mouroirs à lampions. Son âme était devenue un clic, quand il parlait il faisait clic, il n’avait même pas la patience de s’attendre il se bernait dans les photos et les luxuriances, obèse de mondanités et de calculs pré-pubères.
On égorgeait non loin de là Ahmad Jamal et une forêt de péquenauds hantés de convoitise l’amygdale flottante parmi les pourceaux. On prenait des photos de bras écorchés et d’haleines survitaminées on s’extasiait on clapait on faisait tout comme, à se grandir se hisser puis écraser, puisque ce n’était plus que ça se grandir.
Avec ses lunettes en écaille il croyait voir un peu plus fort le monde que les autres mais il était perceptible à l’infini parce qu’il s’était enfermé dans des carrés, et même ce qui sortait de sa bouche et de ses doigts n’était que carrés post-opératoires, on creusait on fouillait pour y trouver des halètements mais il n’y avait que l’éternel ressassement de ses performances. Il gagnait des prix pour cela, pour le prix de sa subtile énormité.
Très loin de là Ahmad Jamal hurlait de démentielles séquences.
A Rio, le carnaval dure trois jours : du dimanche au Mardi gras. Il attire une foule considérable et bénéficie d’une réputation exceptionnelle dans le monde entier. Prendre un foie de n’importe quelle taille. D’origine portugaise et hérité de l’entrudo, célébration qui s’ouvrait le samedi gras pour se terminer le mercredi des Cendres, le carnaval de Rio naquit au XIXème siècle : il fallut cependant attendre l’abolition de l’esclavage en 1888, et surtout les années 1930, pour qu’il devienne un divertissement populaire. Il est aujourd’hui un véritable symbole de l’identité brésilienne. Le dénerver (pour cela il faut que le foie soit à température ambiante, on peut même le tremper dans de l’eau chaude). Pendant trois jours et trois nuits, on fait la fête, les écoles de samba défilent dans les rues et on oublie tout… même de manger et de dormir ! Saler, poivrer comme un rôti. Les pauvres gens des bidonvilles aussi s’habillent de somptueux costumes multicolores. Sucrer et surtout arroser l’ensemble d’un mélange armagnac-porto. Le carnaval, c’est un peu la revanche des habitants des favelas car ce jour-là, tout le monde peut être le roi de la fête. Bourrer le tout dans un pot, fermer le pot et stériliser : 35 minutes à 100°C. Je conseille de le laisser vieillir quelques mois il aura meilleur goût.
on marche dans la rue, il fait chaud, on est en sueur, dans le ciel les dirigeables du parti, on croise de petits groupes de chinois qui nous dévisagent, nos fringues sales et souvent trouées font taches. on écoute dans nos vieux walkman à bandes les standards de chez trojan, rythm’n’blues jamaicain, la police nous tolère et nous on tolère la police. tom est rentré de venise hier soir, il ne reste rien, ses photos sont toutes voilées. idem de l’australie. on marche dans la rue et il fait froid, hiver nucléaire, les dirigeables dans le ciel toujours, les chinois sont morts depuis longtemps et on est très classe dans nos burberry mités. plus de police après 22h00 il ne sont pas fous, on s’oriente à la boussole dans le brouillard, le mdma chauffe nos tempes et grincent nos dents. on marche dans la rue, tom, miss c. et moi, il ne fait plus ni chaud ni froid, nos os sont de plexiglas, notre sang du mercure, on se souvient des chinois et des dirigeables, on se sourit, on s’aime bien, miss c. et moi on pense mariage, si seulement nicolaï revenait, si l’on se souvenait seulement d’où il est parti. on marche dans les rues ensoleillés de la vieille capitale, jerry et moi on est tellement pôtes que des fois ça me fait peur de seulement le regarder dans les yeux, on a acheté deux pistolets jumeaux au marché aux puces, à un indonésien; ce soir on va chasser les tamanoirs carnivores de hyde park, enfin du sport. on marche dans la rue…
Prague – 7 Septembre 2006 – ANP
Mirek Topolánek, le premier ministre Tchèque, s’est déclaré outré lors de sa visite à Paris du 4 Septembre 2006. En effet M. Topolánek a remarqué tout au long de son voyage officiel en France de petites affichettes sur de nombreux établissements commerciaux sur lesquelles figurait la mention « Les chèques ne sont pas acceptés », « les chèques ne sont plus acceptés », « la maison n’accepte plus les chèques »… Il s’est en conséquence déclaré déçu et très peiné par une telle attitude des commerçants français. Le syndicat d’initiative de Prague étudie à l’heure actuelle des mesures de retorsion, de plus M. Topolánek a déposé une plainte contre la France auprès de la cour européenne de justice pour « discrimination ».

Les gens croisés ont l’air un peu pâle, certains restent debout sans bouger, comme des fantômes, d’autres arborent une expression vide, oeil vitreux tête penchée, déambulant entre deux nécessités. Ils rotent anormalement souvent. Dès qu’ils se croisent, (beuarr) dès que l’un de leurs congénères apparaît dans leur champ de vision, leurs visages s’animent mollement, pris de spasmes lents, et ils rotent (beuarr). Pas longtemps, pas fort, de petits rots allant du crissement du grillon (brrêê) au gargouillis de bouche d’égoût (BOWARR), un véritable concerto des marais. Certains, souriants, sont en larmes ; d’autres vomissent à gros bouillons (beuargl), exhalent des vapeurs gastriques rougeâtres, trissent des jets bileux fumants (splitch), régurgitent en rafales les plus policées des sentences, éructent les plus courtoises et avenantes salutations (beuarr), déglutissent souhaits et apostrophes de circonstances, la folie dans le regard et les mains moites. Les plus enthousiastes éructent à n’en plus finir de longs borborygmes stomacaux à longueur de couloir (beeuuaaarr), les bras écartés, et essaient de coller des bises ferventes alentour.

« I wanna roooock with you (all night)
Dance you into day (sunlight)
I wanna roooock with you (all night)
Were gonna rock the night away »
(Sort en moonwalk)
Si Mozart eu été femelle
On l’eut appellé Mozzarelle…
(je me demande si je vais pas en faire un fromage…
ha non, ça existe déjà… hum hum)
Vachement étonnant, non?

à la pointe de l’info…

une baguette magique en Wayne Cochran !!

It will never stop, it will never end, je conçois trés bien ce que ça a de casse-couilles, mais pour certains le temps diffère, les anecdotes des uns sont les vies des autres. L’univers contenu dans un grain de sable, et quelques mots suffisent au big crunch – paw. Pourtant, ça n’en a pas l’air, mais y a encore de l’air dans les alvéoles.
Pr. Drüünorst Gulkstra-Grull, sous influence (mais sa vie a mal fini, faut dire)
jour 1 – en chine les tamanoirs sont soldés, je fréquente une grande blonde hongroise, nous cherchons à acheter un dirigeable, le marché est étriqué, elle s’appelle Ilsa, c’est troublant comme ce genre de nom est chargé de sens, je l’appelle le plus souvent possible par son nom de jeune fille, Bob.
jour 2 – grande ristourne sur les tamanoirs aujourd’hui, pas de dirigeables en vue, Bob me trompe sans doute avec un allemand très beau, Hans, que nous avons croisé à l’hôtel.
jour 3 – Bob n’a pas dormie à l’hôtel hier soir, je hère dans le souk au hasard, les petits garçons me montrent leurs jambes, j’ai trouvé il y’a une heure le plan d’un LZ129, l’espoir renaît.
jour 4 – je ne me suis pas levé accablé par la fièvre.
jour 5 – Bob est repassée aujourd’hui à l’hôtel, avec Hans, ils ont fouillé mes affaires et volé mes cartes de crédits, pas le liquide, je me lève, ils me repoussent, dans la baignoire je brûle les plans du zeppelin.
jour 6 – pas de souvenirs
jour 7 – on me livre les tamanoirs que j’ai commandé jour 1 et 2, la chambre est bien trop petite et ils me réclament des fourmis, j’appelle le room service.
jour 8 – Bob…
J’avais envie de lui dire t’as dressé des diagonales de savoir hautain contemporain mal digéré (ouais on nous l’a tous fait le coup des diagonales dans les tableaux) dans la toile, bon voilà au centre soit-disant t’as trouvé le vide, bon et moi j’aurais voulu te dire, ce que t’as pas voulu comprendre, qu’il y avait une fenêtre, ok dans l’ombre, mais bordel toi t’y as vu le vide moi j’y ai mis une fenêtre. Tu vois, tu vois ce que tu fais de mes fenêtres. Enfin bref je crois que c’est incompatible. Je sais pas pourquoi je m’acharne à me pourrir la vie avec toi tout ça parce qu’on a le même sang, non vraiment c’est incompatible et cauchemardesque, tu te rends pas compte le temps que j’y ai passé sur cette fenêtre et en plus elle a subi un dégradé bleu.
Fougère femelle – Athyrium filix-femina
Le genre comprend plus de 180 espèces
– Athyrium filix-femina l’espèce type
– Athyrium filix-femina groupe Cruciatum ont des frondes cristées
Toxicité : –
La fougère femelle est très commune dans nos sous-bois, mais à ne pas confondre avec la fougère-aigle qui est également très commune. L’ensemble des feuilles partent du centre de la plante dans son cas.
Fleur de fougère est un film d’animation russe de Ladislas Starevitch réalisé en 1949.
Synopsis
Jeannot, un jeune garçon vivant à la campagne avec sa mère et son grand-père, s’aventure dans la forêt la nuit de la Saint-Jean pour cueillir une fleur de fougère avant le chant du coq.
Fiche technique
Titre : Fleur de fougère
Réalisation : Ladislas Starevitch et sa fille Irène
Scénario : Ladislas Starevitch et sa fille Irène
Animation : Ladislas Starevitch et sa fille Irène
Musique : Daniel Lesur
Son : R. Louge
Direction d’orchestre : A. Girard
Direction artistique : Alexandre Kamenka
Date de sortie : 1949
Récompense
Prix du meilleur film pour enfants à la biennale de Venise en 1950
ce qu’ils pensent de konsstrukt :
(merci à nihil pour sa collecte)
comment peut on avoir envie de faire lire ce genre de choses ? c’est à chiér il n’y a pas d’autre mot. je ne pensais pas lire ce genre de truc sur un forum littéraire.
Gros pb avec le caca, encore au stade anal ?
Ton travail,ton job, pauvre imbécile, est nul, sans idée et sans mot, c’est comique de vacuité, c’est du neurone figé. Tu ferais mieux de charcher une place comme assistant du chef de rayon dans une grande surface spécialisée dans les couvercles de chiottes.
cliquer ici pour accéder au sommaire et télécharger votre exemplaire : www.konsstrukt.blogspot.com
Plouf dans l’apéro.
69 116 0 101 108 108 101 0 110 101 0 109 101 0 99 111 110 116 97 99 116 101 0 116 111 117 106 111 117 114 115 0 112 97 115 46
![]() |
Une dépêche vient de tomber sur les téléscripteurs.
Dans l’indifférence la plus complète, et le silence éloquent des médias nationaux et internationaux, Grégoire Courtois, citoyen français, vient d’être pris en otage par un groupe radical inconnu. Les revendications des kidnappeurs étant toujours floues, ses proches ne peuvent qu’attendre dans la peur que parvienne son prochain signe de vie. Grégoire Courtois, otage |
…parce qu’elle est un tractopelle à vapeur.

« Even better than the real thing
Even better than the real thing »

« Accroche-toi à mon bras maintenant. Serre fort. Nous allons entrer dans bien des lieux sombres, mais je crois connaître le chemin. Ne lâche pas mon bras, c’est tout. Et si je devais t’embrasser dans le noir, ce ne serait pas une grande affaire, ce serait simplement que je t’aime. »
1- Attends, l’action n’était pas censée être post-communiste ?
2- Evidemment que si, toujours coller à l’actualité !
1- Et rien ne te choques ?
2- Non, décidemment non, je ne vois rien d’étrange dans tout cela
1- Et le Petit Père ?
2- Bonne idée hein ?
3- reminiscencedelvis
1- Il a pas tort ; non seulement c’est du déjà vu, la célébrité disparue qui se reconvertit en cuistot, mais en plus on sort vraiment du thème, là
2- Il faut surprendre le public, et, en plus, qui s’en rendra compte ?
3- presquetoutlemonde
2- Hmpf, détail que tout cela, on va cartonner
1- Je ne crois pas, en tous cas, pas avec Sarah Bernhardt qui fait des claquettes
2- Rétrogrades
1- Tu l’as fait exprès, j’espère ?
2- Quoi ?
3- ilnedoitmemepassavoir
1- Sarah… claquettes ?
2- Définitivement, je ne vois pas
1- C’est maintenant sûr, cet homme est un imposteur
3- caparaissaitevident. questcequunscenaristederenomseraitvenusenterrercheznous ?
1- La chance, ça arrive, non ?
3- pasaceprixla
2- Excusez moi, youhou, je suis présent
1- Pas pour longtemps, tu es viré
2- Je suis sous contrat
1- Il ne prévoyait pas l’invasion de
2- « Vlop » s’il te plait. En tous cas, vous réentendrez parler de moi, je vous le promet
1- C’est ça, entre temps, évite ce lieu et rends moi mon cadenas
3- poilalabarmitsvah
–
1- Et maintenant, on fait quoi ?
3- onregardelherbepousser
1- Tu peux arrêter ça s’il te plait ?
3- jaimebiencelamedonnedelapersonnalite
1- Pas à ce prix-là
3- Et maintenant, qui se rappellera de moi ?
1- Tu aurais de toutes façons été très vite oublié
3- C’est méchant, ce que tu me dis
1- Réaliste, qui pensais tu tromper, à part toi-même ?
3- Rêver de gloire, même éphémère, est-ce un si grand crime ?
1- Tout dépend de ce que tu en fais, et te connaissant, cela mènerait vite au génocide
3- Tu deviens franchement blessant
1- Ne dit-on pas que c’est l’apanage des amitiés vraies ?
3- J’ai toujours émis des doutes quand à la véracité de certains dictons
1- Et celui-ci en fait partie ?
3- Non mais je tenais tout de même à le préciser
1- Quel intérêt ?
3- Que mes paroles passent à la postérité
1- Incorrigible mégalomane, tu tuerais père et mère pour une once de gloire
3- C’est déjà fait, et ça ne m’a rien apporté
1- Quelques articles dans les journaux, tout de même
3- Si peu, et mon nom était mal orthographié
1- Plains-toi ! C’est tout de même grâce à cette bévue qu’un autre a été pendu !
3- Heureux homme ! Toutes les premières pages des nationaux, une rétrospective télévisée et même quelques manchettes internationales ! Maudit soit ce journaliste dyslexique
1- Je n’avais jamais remarqué à quel point tu étais dérangé
3- Ca fait peur ?
1- Pas vraiment. Par contre, je ne comprends toujours pas pourquoi tu as choisi la carrière de régisseur.
3- Quand tu dis ce mot, j’ai comme une balise qui s’éveille en moi
1- Et quel mot illumine t’elle ?
3- Scénario !
–
3- Bertha Grimstein ?
1- Elle est devenue couvreuse
3- Jan Zemkof ?
1- Passé à la production
3- Dédé l’Endive ?
3- Mort depuis des années
3- Ah bon ?
1- Oui, à l’époque où tu minais, si je me rappelle bien
3- J’étais pourtant certain qu’il y avait un filon
1- Et tu ne trouvas que des emballages de chocolat
3- Certes, mais dorés
1- Oui mais nous nous écartons
3- Winnie Syl ?
1- Trop chère
3- Enid de
1- Couvreuse
3- Elle aussi ?
1- En association avec la première
3- Vladimir Jeskin ?
1- Parti suivre une femme en Terre de Feu
3- Des nouvelles ?
1- Aux dernières que j’ai eu, il avait attrapé la lèpre
3- Toujours été original, celui-là
1- Tout pour se faire remarquer
3- Et ça a marché ?
1- Oublie, ce n’est pas avec ça que tu atteindras la célébrité
3- Bon. Eric Rocher ?
1- On va pas tomber aussi bas
3- Lucie James ?
1- Accoquinée avec les précédentes
3- Et Simon Olowitz ?
1- Qui c’est celui-là ?
3- Mon couvreur
1- Et ?
3- …
1- Ok, on le prend
–
4- Alors, qu’est ce que je dois réparer ?
1- Mon toit va très bien, merci
4- Ben qu’est ce que je fais-là, alors ?
3- Vous venez nous écrire un scénario
4- Vous avez du vous tromper, c’est pas mon boulot
1- Toutes les scénaristes devenant couvreuses, il est donc logique que nous embauchions un couvreur pour scénariser
4- C’est complètement idiot
3- Non, ce sont les vases communicants
4- Appelez ça comme vous voulez
1- Vous ne connaissez donc pas Grimstein James de
4- C’est vrai qu’elles sont douées
3- Vous voyez !
4- Ca ne veut rien dire, elles s’étaient peut être trompé en premier
1- Ca non, comme scénaristes, on peut dire qu’elles y touchaient
3- Quoiqu’Enid…
1- Moui, mais encore une fois, ce n’est pas le sujet
4- Ce n’est pas en vous opposant que vous me convaincrez, et puis, je n’ai pas d’idées
3- Ca peut s’arranger
4- Comment ?
3- Je ne sais pas, vous trouverez. Vous êtes l’homme qu’il nous faut, je le sais
4- Moi je sens surtout que je suis tombé chez deux beaux cinglés
1- Comme vous y allez ! Un peu originaux peut-être, et avant-gardistes sûrement
3- Et complètement fauchés
4- Voilà donc le nœud du problème !
1- Un détail, conséquent certes, mais un détail quand on traite d’Art
4- Si cela ne vous permet même pas de manger, que viendrais-je faire dans votre galère ?
3- Parce qu’on est gentils ?
4- Ca ne suffira pas, et puis c’est loin d’être prouvé
3- Et si je fais des yeux de chien battu ?
4- Ah non, ça, je ne supporte pas
1- Alors, venez
4- Si vous me forcez…
–
3- C’est un succès !
1- Il n’y avait que trois pelés
3- Justement, je n’aime pas les tondus
1- Et le scénariste, où est-il ?
3- Sur le toit
1- Il y trouve l’inspiration ?
3- Non, il le répare
1- Il revient à ses premiers amours ?
3- J’ai bien peur qu’il ne les ait jamais quittés
1- Il ne serait pas fait pour ce métier ?
3- La pièce aurait tendance à le prouver
1- Tu es dur, le contenu n’est pas si mauvais
3- Pas terrible non plus
1- Tu n’aurais pas fait mieux
3- Oui, mais moi je ne suis pas censé être doué
1- Il est couvreur !
3- Justement, tant de talent potentiel gaspillé, ça me dépasse
1- C’est normal, tu es un financier
3- Quel lien ?
1- Tu statistises, tu ne peux t’en empêcher. Et parfois, hélas, de manière totalement irrationnelle, un bon ouvrier fait un mauvais théatreux
3- J’ai du mal à l’accepter
1- Pour y arriver, il faudrait te rééduquer. D’ailleurs, où en sont les frais ?
3- Peu, la salle nous appartient, les impôts sont payés, le couvrariste est bénévole et les acteurs, j’ai choisi de ne pas les payer
1- Ca ne les a pas dérangés ?
3- Non, ils ne sont pas venus
1- C’est culotté. Et pourquoi nous ont-ils niés ?
3- Je ne les ai pas convoqués
1- Mais alors, qui a joué ?
3- Les trois pelés. Ils étaient très motivés
1- Ca leur a plu ?
3- Ils sont bon public, et puis, ça aide à apprécier, quand on est impliqué
1- Quelle bonne idée. Mais si jamais nous faisons plus d’entrées, que va-t-il se passer ?
3- Nous les ferons tourner
–
4- Je n’aurais jamais cru être aussi côté
3- C’est qu’il est difficile de s’autocritiquer
1- Et une fois sur scène, les spécialistes s’adoucissent
4- Peut être devrions nous nous associer ?
3- J’y ai déjà pensé, le brevet est déposé, personne ne pourra nous prendre le concept
1- J’ai même pensé à l’améliorer. Plus de scénarios, plus de professionnels, les gens paient et improvisent pour eux-mêmes
4- Vont-ils être assez crédules ?
3- L’attrait de la nouveauté fait toujours mettre la main au porte monnaie
4- C’est assez mesquin, à la limite du crapuleux, je suis conquis
3- Gagner une fortune en ne faisant rien, j’en ai toujours rêvé. Je suis partant.
1- Il ne nous reste plus qu’à sceller notre accord
3- Sur le cadavre de l’auteur raté ?
1- Tu t’en es débarrassé ?
3- Evidemment, je n’avais aucune envie qu’il revienne nous voler la vedette
1- Cette suite dans les idées…
3- Que veux-tu, on ne se refait pas
1- A qui le dis-tu…
Comatose fuck – randomised colchicine broadcast – high level delirium activated
Drugs : industrial quantities needed. « Destroy him my robots » loops, damaged database – nervosité pathologique, degré 6 -> infernal failure.

« J’aurais jamais dû. J’aurais pas dû. »

C’est chiant, William est mort en 1880…
Demain, je dîne avec Samantha.
AFQ – C’est à la Datcha Tolstoï, devant une foule de journalistes venus des quatre
coins du cercle prestigieux de la presse antisportive que l’Union Tourgneniste
Internationale (UTI) a annoncé le lancement d’une nouvelle course cycliste qui se
rangera aux côtés des Grands Tours Nationaux. En effet, après la Gira Italienne, la
Tourette de France et le Vuelto Espagnol, s’est créé le Tour gue Niev, la plus
grande course par étape au monde. L’épreuve comptant pour le classement stellaire
comptera 109 millions de kilomètres (soit la distance soleil-vénus), 98 millions
d’étapes de plat spatial et 11 étapes de montagne. On citera dans les épreuves à
suivre l’ascension du mont de Vénus et le passage mythique du Col de Luther Russe en
hommage au premier alpiniste soviétique a avoir atteint le sommet de la montagne sur
une trottinette à vapeur. Des rumeurs font déjà état de cas de dopage à l’uranium
enrichi, même s’il faut reconnaître qu’avec une telle distance à parcourir, mieux
vaut être en forme. (PG 1819 200802)
…
[destruxxion eggs rules my zootropic world, howls the preacherman]

Ö’nion alors…
L’otarie à fourrure du Nord ou ours de mer (Callorhinus ursinus) est la seule espèce
du genre Callorhinus de la famille des Otariidae (otaries).
Se faire ou ne pas se faire…
…cuire un oeuf,
telle est ma question.
poule je suis née
poule je resterais
pour toujours
et à jamais
ainsi soit il
Amen.
L’attente pour poursuivre jusqu’au bout le dreamlight de votre voie n’
Est pas si facile pour moi maintenant.
La moitié du temps a décédé des
Choses nous avons pensé à hier
Revenu maintenant, revenez maintenant.
From: Sterling Napoleon
Igor Tourgueniev cherche dans ses papiers, petit ordinateur portable au clavier défaillant, ouvre le boitier blanc Malibu, pianote sur un rythme 4/4, yeux scintillant aux lueurs du réseau, sens en temporaire relachement, lance des indications aux tourguenistes agent-dormants (relatif quant à propos de la) Révolution, quelques réponses hésitantes, zététique toujours le tourgueniste, ferme le boitier, sortir ce soir, ramper jusqu’à la douche et assaisonner son eau d’un peu de MDMA, oh un soupçon, donner du goût, maladroites roulades déviantes, dehors la pluie est noire, les scooters fumants et les milices zonzonnent gaiement.

Igor : « putain mes dents !! »
Trop facile…