Le début est sec, c’est exprès, pour vous aiguiser les dents. Ca devient vite plus tendre. Et le meilleur est à la fin. Un bon blog c’est comme l’amour.
l’air de rien
prononcée en choeur
cette phrase redoutable
en roulant les « R »
« frou frou… »
another day on earth
j’ai échangé mon ipod contre un paquet de lucky, j’ai échangé des bisous avec un vétérinaire contre des verres de vin rouge. I’m a little, vert pomme (kiwi quoi), dinosaur et j’échangerais tout ce que je suis pour qu’ E***** soit en forme… Café, clope, misère
Aaaaaaaaaa-aaaaa-eeeeeeeeeeeeeeeeeee

aaaaaaaaaaaaaaaaaaa-aaaaaa-a-a-aaaaaaaAAAAAAAAAAAA A pas tout compris…
[konsstrukt numéro quatre paraît le treize février deux mille six]
ce qu’ils pensent de konsstrukt :
du mal, mais j’ai oublié la liste, donc pas de copier-coller ce coup-ci
au sommaire :
viTRIol, roman à suivre (4)…………….p3
999poèmesSERIEforums…………………..p34
mon cul poésie moche, quatrième partie…..p38
bande dessinée………………………..p46
cafards, roman à suivre (4)…………….p49
mon cul 2 poésie moche, quatrième partie…p60
soirée sexe…………………………..p69
je serai pas maton 23, première partie…..p75
cliquer ici pour télécharger votre exemplaire : www.konsstrukt.blogspot.com
Disco Science
Une drole d’odeur flotte autour de vous
et tout est dépeuplé…
En voiture
My baby dont care for shows
My baby dont care for clothes
My baby just cares for me
My baby dont care for cars and races
My baby dont care for high-tone places
Liz taylor is not his style
And even lana turners smile
Is somethin he cant see
My baby dont care who knows
My baby just cares for me
Baby, my baby dont care for shows
And he dont even care for clothes
He cares for me
My baby dont care
For cars and races
My baby dont care for
He dont care for high-tone places
Liz taylor is not his style
And even liberaces smile
Is something he cant see
Is something he cant see
I wonder whats wrong with baby
My baby just cares for
My baby just cares for
My baby just cares for me

Un pingouin ça ne parle pas de son nombril ni de sa bite. Un pingouin ça ne prétend pas cavaler, planer, « se battre avec les copains et gagner du terrain », ça ne prétend pas ratiociner, ça n’essaie pas de niquer, ça ne sait pas calculer, basiquement ça ne fout rien, ça ne picole même pas, en fait, un pingouin ça ne se trémousse pas sur des rythmes binaires en se décorant le t-shirt de vodka, ça ne rote pas aux chiottes en louchant sur le bouton de la chasse d’eau tellement c’est bourré, ça ne crame pas deux paquets de clopes quand ça prétend freiner, ça ne fracasse rien, un pingouin ça n’a pas l’inconscience de conduire aussi pété, ça ne pige rien aux épanouissements oranges, ça ne trouve aucun intérêt dans les aurores boréales, ça ne kiffe pas spécialement le châteauneuf du pape, ça se fout de la moquette rouge, ça n’a pas trop de phobie, en fait, un pingouin ça arrive à se pieuter sans fumer un dard pour s’assommer, ça ne se prend pas la tête pendant des heures à propos des discours creux, des DVD buggés, des lois scélérates organisant la konsomation kulturelle, des télécommandes qui disparaissent ou des virus qui trainent, ça ne ronchonne pas contre la pluie ou les apparitions télé de Fabrice Luchini, ça ne se gave pas de délichocs noirs en dodelinant de la tête sur Guillaume la Tortue, ça ne se lamente pas sur ses névroses, ça n’a aucune plage cervicale disponible, ça n’a pas le coeur qui bat quand son téléphone sonne aussi tard ; un pingouin ça porte un costard ton sur ton sept jours sur sept, ça s’emmerde le plus clair de son temps, ça reste en apnée, ça ne sait pas bien respirer, ça usine ou ça escroque, mais sans but ni intention ; un pingouin ça n’a pas peur sans bonne motivation, ça ne se tape aucune crise d’angoisse, et ça ne connait pas non plus d’inflammation, ni d’élan transi, ni d’emportement lacrymal, à tort ou à raison, ça se branle de l’esthétique comme des désillusions, ça n’aime pas trop les lampadaires oranges au bout de la rue, un pingouin ça se contente d’une vie ambulatoire au milieu de blocs délavés, ça suit le mouvement, ça meurt connement, ça ne se gratte pas les couilles devant des films d’horreur, un pingouin ça ne file pas de ronds aux industries addictologiques tout en trépignant sur le biocontrôle, ça ne fait pas de petit vélo toute la nuit, ça ne bidouille pas de VST, ça n’a pas de complexe et on voit bien pourtant que c’est compliqué, ça ne craque pas des doigts et ça ne vomit pas non plus dans le métro, un pingouin ça n’a pas de phobie sociale – y a qu’à voir la taille de ses colonies ; un pingouin ça n’aime pas faire des cracottes au chien, ça n’a aucune volonté de puissance, ça se branle pas avec la guerre du lourd contre le léger – ça a assez de mal à tenir sur son iceberg ; un pingouin c’est un costume que tour à tour on est amenés à enfiler, une monotonie perlée, une pesanteur oxydée. Un pingouin ça ne fait rien saturer : ça n’a aucun penchant pour la saturation, ni pour l’accélération, ni pour l’explosion, ni pour l’effusion, ça a horreur des détonations, ça ne prend jamais aucune résolution, ça n’a aucun fantasme, aucune obsession, ça ne tombe pas en lambeaux ni n’exulte sans fin, ça ne fait rien de tout ça ; un pingouin ça ne rigole pas, ça n’a pas d’insomnie, ça ne pense pas à elle, ça ne rêve jamais d’elle, d’ailleurs ça ne rêve pas non plus de zeppelins monstrueux ni de dérapages incontrôlés, ça ne rêve à rien, ça n’espère rien, ça prie encore moins, ça ne jette jamais de sort, ça ne vénère ni ne maudit personne, ça ne sait pas articuler, ça ne sait rien vraiment dire, ça ne veut même pas parler ; ça marche en pingouin, ça se dandine, ça oscille, ça sautille, ça déambule, au pire un pingouin ça pousse un caddie le long des murs, au mieux ça sert de boîte à shit.
Comme sur un vrai blog – jeudi matin
Mois de mars en sucette, départ pour venise demain, il pleut, le festival du film de grenouille va se passer dans les meilleures conditions. On annonce des acque alte épouvantables.
On ne le dira jamais assez : Venise est un vrai labyrinthe. C’est souvent un plaisir de se perdre dans le dédale des ruelles. Certes, mais lorsqu’on a faim, et que l’on cherche désespérément une osteria, qui pourtant, on en est sûr, était bien là hier… le plaisir tourne court. Les murs, comme par enchantement, semblent bouger dès que vous avez le dos tourné ! La meilleure solution consiste donc à se munir d’une bonne carte (avec un index complet des noms de rues), d’une bonne dose de patience et d’une pointe d’humour (pour ne pas devenir hystérique lorsque vous repassez pour la quinzième fois au même endroit). L’office de tourisme en distribue une gratuitement, mais elle n’indique que les orientations générales.
Arrivée à venise hier soir, palais des festivaux, sous la pluie, les pieds dans l’eau, donc, où sont les chats, j’ai vu trois films ce matin, les grenouilles en synthèse sont à la mode, l’image par image se perd de nos jours, je fais grave vieux con, les jeunes se foutent de ma gueule, je tombe à l’eau, le matériel electronique ne survit pas, de photos point. Je tombe aussi sur un couple de rats volants, on cause de la bourse et de bénéfices indirects, je m’endors. Au reveil encore deux films, un chinois merdique et un japonais vraiment bien, si on aime les monstres géants et j’aime. A la sortie je courtise une des ouvreuse et elle me livre une info capitale : lynch va tourner un film de grenouille, on a pas vu ça depuis magnolia, la fille se barre, je retombe à la flotte et dérive jusqu’à saint marc où reprenant pied je picole avec un groupe de jeunes, on chante de vieux tubes de queen en karaoké, je m’endors. Mois de mars pourri, si au moins j’étais pas venu seul à ce festival bidon, venise ville des amoureux, pour l’instant c’est la ville des bains forcés.
Pour les fêtes de fin d’année, Laura part avec son oncle et sa tante faire une excursion dans le désert lybien. Moyennement enchantée, la jeune fille apprécie rapidement le charme magique des paysages…
Lexical fields of the Nephilim

« – Mais qu’est-ce qui t’arrive, bordel, tu as vu ta tête ? T’as vu un fantôme, y a un macchabe qui t’a parlé, « you see dead people everywhere » ?
– j’en ai vu. C’était pas y a vingt ans, c’était pas dans une armoire en plastique ou dans une vieille R16 verte, c’était pas dans le filtre de l’aspirateur ou dans les circuits internes de la radialva pourrie du salon, c’était pas sous l’escalier de la cave ou dans la cheminée de la chaudière, c’était hier, c’était hier soir et c’était dans la bonde du lavabo. J’ai pas halluciné, je suis pas fou, j’en ai vu, c’était là.
– accouche, parce que là je suis pas sûr de te suivre, et j’ai un cours de componction ce soir, faut que je me prépare.
– des poils putain !! Des poils rouges et rêches, j’en ai revu hier, hier soir avant de me coucher, hier soir, des poils rouges, une putain de componction touffue. Je suis monté dans la salle de bains sur orbite, j’étais d’ailleurs un peu en apesanteur, passons, et j’ai fait tomber le capuchon d’un tube de dentifirce dans le siphon. Bling-giding. Une sorte de componction sonore. Alors j’ai commencé par regarder dans le trou pour voir si le capuchon restait à portée, parce que le dentifirce qui sèche, je sais que c’est un classique mais quand même, c’est dégueulasse. A force, ça fait du plâtre, des croûtes de plâtre, avec un petit peu de componction autour. Donc je voulais récupérer le capuchon, parce que je dois lutter contre mes tendances porkasses, un peu, quand même, et que la componction c’est crade. Je voulais voir si je pouvais le choper avec une pince à épiler, un tournevis, ou un componcteur. Sauf que je l’ai pas vu, ce putain de capuchon. A la place, y avait comme une mousse humide, une espèce de componction fibreuse, qui obstruait le conduit. Je distinguais pas bien, mais au bout d’un moment j’ai vu, j’ai bien vu qu’elle était rouge, la mousse, et que c’était pas de la mousse, mais des putains de poils rouges et rêches. Pas beaucoup, une petite touffe, à peine componctive, mais cette putain de touffe rouge ; ils sont revenus, ils flottent tous les fils de pute en bas, et ils sont revenus, ces saloperies de poils rouges et rêches tu peux pas savoir le choc que ça m’a collé, à cette heure-ci j’en ai encore la gerbe. Je suis resté québlo pendant trois ou quatre minutes, l’oeil dans le siphon : paralysé, comme saisi de componction.
– t’es à l’ouest, sérieux. Tu me dis que les conneries avec lesquelles tu me bassines depuis des mois, tes spores zarbis à tendance « présence maléfique », sont réapparus dans ta station orbitale à la con ? Et que ça te fait flipper ? T’es sûr que t’as pas vidé un cendrier plein, un reste de componction, ou une connerie comme ça dans ton lavabo ? T’as pas ramené une punkoïde défoncée qui s’est passé la crête sous l’eau ? Tu me joues quoi, là, « les Profanateurs de Cadavre Contre-attaquent Encore et Cette Fois ils sont Déguisés en Descente de lit » ? T’es au courant que tes propos sont, comment dire, légèrement délirants ?
– des poils rouges, merde. C’était rien d’autre, c’était des poils, mouillés, rouges, gluants, flippants. J’ai pas pu démonter le siphon, je me suis barré. Fous-toi de ma gueule si ça t’amuse, mais moi j’étais tellement retourné que j’ai tracé, le regard vide, la lèvre tremblotante, les mains moites, la componction palpitante, comme si j’avais reçu un texto des Iad Uroboros qui m’annonçaient rien qu’à moi qu’ils allaient traverser le continuum espace-temps pour venir nous anéantir, comme si je manquais tout à coup de componction, comme si…
– eh mais t’es défoncé, toi. Attends, stop, pondère, là t’es sorti des rails, je comprends rien. T’as foutu le camp de chez toi ?
– oui, et en courant. Fuck le dentifirce. Je suis repassé en fin de matinée, je suis monté en claquant des dents, j’avais le coeur à trois cent, l’appart n’a jamais été aussi silencieux et sombre, j’avais la componction à zéro, mais j’y suis allé. Et plus de poil rouge dans le siphon. Rien.
– et le capuchon ?
– nan, rien.
– aoh, c’est con, ça va faire du plâtre, finalement.
– j’en peux plus, je sais plus à quelle componction me vouer. C’est vraiment flippant et toi tu te marres.
Shapes

Signes extérieurs de saturation – le sujet trace des croquis de manière aussi méthodique que névrotique
trahissant des bouffées obsessionnelles compulsives quand il manie un téléphone ou un presse-purée.
Des mandibules poussent sur sa main droite par intermittence.
Pr. Zartan Krqth, notes, quatrième session du laboratoire des envolées glucidiques.
L’impossibilité ontologique de glisser sur un continuum provoque indirectement des maux de crâne dominicaux passablement calamiteux. ça et les sommeils froids qu’elle induit depuis. Quinze fois sur le métier, motherblogger, you got bugs too. (Le petit Ricky Oates s’était lui-même griffé les yeux en revenant de l’excursion…) « no good » – start the dance. Café – clope. Gnn.
…
Cette jeune personne, douée d’explosions potentielles et d’un formidable gosier Jurassic-Park (en or et argent) se préparait à pétrir la concomitance de voisins délabrés. (La concomitance parfaite du spasme amoureux est extrêmement rare) (GIDE, Journal, 1931, p. 1088). Au plus fort d’un uppercut dans sa cafetière le drame a écloubassé l’essentiel de ses théorèmes Mississippi (qu’elle avait exposés sur sa baignoire après les avoir rongés). Son dentier en cuivre qui avait grandi jusqu’à mi-molaire l’eut par surprise près d’un palmier et c’est au moment où le téléphone sonnait qu’elle tendit le doigt.
Ne vous inquiétez pas
je monte la garde
(et les sœurs Flipson aussi)
Le maugréant : Le « blackblog » ? Vous voulez parler de cette boutique à la con au Palais de Tokyo ?
Les sosies à la con du lundi matin

(si si, par temps de brouillard psychotrope, de dos, la nuit à 100m, du métro).
be bop a lula

une baguette magique en Wayne Cochran !!
CALCULON POP-ART

Sildred Condottiere-Baramir : Calculon est revenu !!
Jean-Vortex Abdelqayyoum : Trop fort ! Trop fort ! Trop FORT !
Beuarg

Les gens croisés ont l’air un peu pâle, certains restent debout sans bouger, comme des fantômes, d’autres arborent une expression vide, oeil vitreux tête penchée, déambulant entre deux nécessités. Ils rotent anormalement souvent. Dès qu’ils se croisent, (beuarr) dès que l’un de leurs congénères apparaît dans leur champ de vision, leurs visages s’animent mollement, pris de spasmes lents, et ils rotent (beuarr). Pas longtemps, pas fort, de petits rots allant du crissement du grillon (brrêê) au gargouillis de bouche d’égoût (BOWARR), un véritable concerto des marais. Certains, souriants, sont en larmes ; d’autres vomissent à gros bouillons (beuargl), exhalent des vapeurs gastriques rougeâtres, trissent des jets bileux fumants (splitch), régurgitent en rafales les plus policées des sentences, éructent les plus courtoises et avenantes salutations (beuarr), déglutissent souhaits et apostrophes de circonstances, la folie dans le regard et les mains moites. Les plus enthousiastes éructent à n’en plus finir de longs borborygmes stomacaux à longueur de couloir (beeuuaaarr), les bras écartés, et essaient de coller des bises ferventes alentour.
La Gâche Vendéenne
550g farine T45
125ml lait
2cs rases crème fraîche
2 oeufs
1,5cc sel
110g sucre
110g beurre
parfums: 1cs rhum + 1cs fleur oranger + 1 chouïa vanille liquide
25g levure fraîche
Ojos que no ven…
Ma vie fragmentée, anti personnelle,
irradiée par le désir vers l’inconnue
s’est retrouvée piegée lors de
l’explosion du coeur ouvert déclenchée
par ton regard, un soir d’été, brisant
d’un souffle émotion un seul
le mechanisme sophistiqué d’auto défense,
ces quelques bribes de lucidité
qui sommeillaient en moi.
Et depuis cette nuit la,
ma sérenité n’en finit plus
de s’enflammer en éclats ___________
katsuïci 2…
ho et puis zut: PUB
Les services secrets tourguenistes…



Grégoire Courtois, otage : au cours des années non bissextiles, la fête de la St Valentin se situe au 14 février, 45e jour à 320 jours de la fin de l’année, jour -322 en 2004 car bissextile. Cette fête totalement païenne récupérée par Rome et le Catholicisme était celle du jour de sexe libre. Des jeunes hommes découpaient des lanières de peau sur un mouton, les trempaient dans son sang et poursuivaient les jeunes filles dans les champs. S’ils parvenaient à marquer d’une tâche de sang l’une de ces jeunes filles, celle-ci se devait de céder aux désirs de leurs assaillants. Au royaume de l’occulte, le sexe et le sang constituent la base des rituels; Inutile de développer le pouvoir d’ensemencement qu’assure tout le merchandising qui accompagne la campagne promotionnelle d’un film comme le montre le porte-clé ci-contre. Une fois le film diffusé et réactualisé l’année suivante avec la sortie des vidéos et autres DVD, puis le passage sur les chaînes « cryptées » et finalement sur les canaux grand public, le mot « Illuminati » évoque désormais une fiction, un scénario, bref un mythe virtuel associé dans ce cas présent à un fantasme, en attendant qu’un autre prenne le relais et l’éclipse presque définitivement puisque parfois des suites cinématographiques ou télévisées sous formes de feuilletons (Star Gate par ex.) sont réalisées.
Trois autres nombres seulement ont cette propriété:
370 = (3)3 + (7)3 + (0)3 = 27 + 343 + 0
371 = (3)3 + (7)3 + (1)3 = 27 + 343 + 1
407 = (4)3 + (0)3 + (7)3 = 64 + 0 + 343
Avec le décalage de l’horaire d’été, la 153e heure correspond à la véritable 151e heure solaire. (se reporter au chapitre: Jésus-Christ et Son calendrier). Ainsi à titre d’exemple, de Mars à Octobre 1999, bon nombre de cultes se déroulaient de 10h à 12h du matin de la fin de la 153e heure calendaire à la fin de la 153e heure solaire donc. Le passage à l’heure d’hiver s’étant établi dans la nuit du samedi 30 au dimanche 31 octobre 1999, veille de la Toussaint, il est bon de souligner que ce week-end était aussi celui d’Halloween, la (Nouvelle) grande Fête païenne importée depuis les Etats Unis, dédiée au Diable et autres Esprits infernaux malfaisants. Cette nuit d’Halloween « tombe » (terme en adéquation avec la Toussaint) 153 jours après le 151e jour de l’année. Le dimanche 31 octobre 1999 avait 25 heures. Dés le début de la semaine précédente, certains supermarchés avaient déjà installé leurs décors de Noël. La confusion s’installe peu à peu, séduction oblige. Il est donc possible à présent de vivre une journée de 23 ou de 25 heures (englobant une période de 217 jours en 1999) au cours d’une année dans la Communauté Européenne il est salutaire de se souvenir que le calendrier avait été recomposé pendant la Révolution Française de nature Antichristique.
La pyramide Egyptienne est en fait une reprise de la tour de Babel, une construction inachevée, composée de plusieurs plate-formes successives superposées, de taille décroissante, avec à son sommet une terrasse-sanctuaire consacré à Marduck, le « Seigneur aux anneaux ». Le pyramidion Luciférien, en suspension au-dessus de la pyramide, représente donc l’achèvement attendu de cette tour par la Franc-maçonnerie internationale, édifice symbolique de la rébellion de l’humanité liguée et dressée contre Dieu. Cet agenda eschatologique nécessite donc de passer par Babylone, et d’investir l’Irak.
Révélées par l’étoile de David à 6 branches, également constituée de triangles au-dessus de la tête de l’aigle à droite du billet, les lettres « N », « O » et « M » forment en Français le mot « NOM », alors qu’il s’agit d’une expression rédigée en latin « Novus Ordo Seclorum » (le Nouvel Ordre des Siècles).
Ces lettres frappées sur un clavier de téléphone font apparaître la séquence numérique équivalente « 6 6 6 » à la première frappe de chacune d’entre elles.
Le signe de la paix affiché sur l’écran du portable à droite (dans le cadre d’une publicité) est en fait l’ancienne croix de Satan appelée aussi croix de Néron.
Un krach boursier d’envergure mondiale est planifié depuis longue date pour plonger les victimes dans une panique proche de l’effroi. La gâchette pour l’activer est en premier lieu constituée par le peuple Américain qui vit bien au-dessus de ses moyens et aux dépens du reste de la planète. Désireux de retrouver leur prospérité antérieure, les citoyens les plus atteints par la crise seront les premiers à plébisciter l’homme providentiel, L’Antéchrist donc, qui fournira les solutions « appropriées » pour résoudre celle-ci et établir un NOE, c’est à dire un Nouvel Ordre Economique, prophétisé par les Ecritures il y a presque 2000 ans à la référence 13/18 de l’Apocalypse Johannique. En résonnance avec les élections truquées dignes d’une république bananière qui ont permis à G. W. Bush d’arriver au pouvoir, l’arnaque du WTC en constitue la première étape calendaire « visible ».
Le communisme a été inventé et financé par le Capitalisme pour mettre en place un mode de pensée binaire ou tout s’oppose en apparence dans le cadre d’une seule alternative. On y reviendra en seconde partie de chapitre.
Le Nouvel Ordre Mondial est un retour à la tour… de Babel qui passe par les « jardins du monde », au ground zero à New York. Ces « jardins du monde », dissimulant à peine les « jardins suspendus » de Babylone, sont associés à une tour unique en remplacement de celles du WTC et font l’objet d’un paragraphe en fin de chapitre.
Le mage noir sataniste anglais Aleister Crowley (1875-1947), qui avait dit pour parodier les paroles de Jésus Christ (Jean 8/58): » avant qu’Hitler fût, je suis « , ou dans un autre genre « Je suis le Seigneur de la guerre des années 40 » – (comme il l’a écrit dans le livre qu’il a rédigé le « Livre de la Loi IV/46 »), inspirateur de bon nombre de chanteurs « pop » anglo-saxons, se prenait et se proclamait comme étant l’incarnation couronnée de la Bête 666.
En adéquation avec la pyramide présente sur le dollar, un groupe occulte de dirigeants manipule les médias et tire les ficelles de tous les rouages sur lesquels l’humanité et ses systèmes s’articulent, pour instaurer le Nouvel Ordre Mondial avec pour seul but de faire disparaître le peuple Juif, les chrétiens et jusqu’au souvenir de Jésus-Christ et ce par tous les moyens dont ils disposent. Ce qui signifie que nous sommes à la veille de connaître une véritable révolution technologique qui fera croire à l’homme que la science, associée à la fausse théorie de l’évolution qui gomme la préexistence d’un Créateur, permettra de résoudre tous les problèmes. La « (fausse) paix depuis si longtemps attendue, sera alors imposée par le (Faux) Christ à venir, assisté de son (faux) prophète. Les (faux) miracles constitueront alors les preuves de la (fausse) nature Messianique de « ce » (faux) Christ, un Sauveur de substitution comme le fût en son temps Hitler pour le peuple Allemand totalement subjugué et leurré. Les hommes, conformément au mensonge susurré dans l’oreille d’EVE en Eden, croiront qu’ils sont des dieux, maîtres de leurs destinée, jouissant d’une liberté totale, d’où tout sens moral et autres notions de péchés seront exclus. Raël, un faux prophète parmi d’autres, en est le prototype parfait.
Et toi, tu crois que tu es libre ?
Nevendlovaff.
« J’ai perdu
Mon chapeau et mon caleçon
J’ai gagné
l’amour fou du Roi des lions
J’ai perdu
La raison et le chemin
J’ai gagné
l’art de délirer sans fin
Il y a une drôle d’odeur dans la cuisine
Il y a une drôle d’odeur dans la cuisine
Il y a une drôle d’odeur dans la cuisine
Il y a une drôle d’odeur dans la cuisine
Il y a une drôle d’odeur dans la cuisine »
"C’est petit"
loué soit rotten.com, qui sauve encore nos pouêtes maudits de la panne d’inspiration lorsqu’il s’agit de spammer du flyer…
Politik Koncept en Gestalt Nano
Igor : gnagnagna
Nicolaï : parce qu’en plus j’ai mes traites à payer et puis mon assurance qui m’est tombée sur le dos en plein été ils m’ont envoyé une lettre recommandée mais comm je suis à Lille je l’ai pas reçue et en plus je suis revenu pour 10 jours alors qu’il y apersonne pour nourrir mon chat et j’ai même pas pu filer mes clés à Anne comme elle part dimanche pour une semaine de toutes façons et alors que je lui lais
Igor : gnagnagngagna
Igor : tu roumègues toi
Igor : fais toi voler ta voiture ça te calmera
Nicolaï : j’ai un concept
Nicolaï : une chronique sur Info
Nicolaï : où l’on ne comprend qu’un mot sur 8
Nicolaï : pendant 2′
Igor : france raleur c’est toujours l’heure des raleurs ?
Igor : gnagnagnagnagna
Nicolaï : avec en petit intro vocale : « Parce que l’été, ce n’est pas le moment où tout se passe toujours bien… La Chronique de la Roumègue, Nicolaï Tourgueniev »
Nicolaï : « Oué parce que chier au camping… gnagangangangna le barbecue fait chier ma chemise … gnagangang et en plus ils m’ont demandé de faire la vaisselle alors qu’ils gngengnanganengengen à la plage et j’ai même pas eu droit à ma glace gengngnangnang »
Igor : gnagnagnagnagna police gnagnagnagnagna chat gnagnagnagnagna tampax gnagnagnagnagna puteborgne gnagnagnagnagna gnomes gnagnagnagnagna VH gnagnagnagnagna sarkozy gnagnagnagnagna arabes gnagnagnagnagna blondes !
Nicolaï : voilà !!
Igor : pas mal
Igor : gnagnagnagnagna
Nicolaï : on va faire fortune !
Igor : on est riches !!
Igor : comme avec le tomato show
Nicolaï : La Chronique de la Roumègue, par les frères Tourgueniev
Igor : la gnagnagnagnagna de la roumègue par les gnagnagnagnagna Tourguegnagnagna
Igor : on pourrait faire une serie en 7 saisons de 24 épisodes de 48h
Nicolaï : mwahahahaha
Igor : avec ce concept
Nicolaï : Previously, on Tomatoe
Igor : les héros c’est un ane et un plombier raleurs…
Igor : ils vivent en haut de l’evrest avec juste une chaise et un écran plat à piles solaires
Igor : et il leur arrive pleins d’aventures très longues avec des sherpas roumégueurs
Igor : les sherpas (qui sont aussi moines shaolins) ils roumèguent en népalais pour un oui pour un non
Igor : et l’ane il fait hihan
Nicolaï : le tout en plan fixe
Nicolaï : avec de la musique révolutionnaire cubaine
Bienvenue sur notre nouveau site www.viensmefairechieretjetepètelacouille.org
Les artistes-fist arrogants arrivistes affligeants atomisés de la schtroumpfette sont une association d’hommes et de femmes qui partagent entre eux leur nombril, leur morve et leur vodka-poire dans le but de décalquer des photos et tout objet inutile, et d’aider d’autres artistes-fist arrogants arrivistes affligeants atomisés de la schtroumpfette à développer leurs stases ainsi que leurs soifs angoissées de gel ultra-lacté, sans parler des ravages causés par leurs décalcomanies obsédées par le nombril et la « beauté du trait » nul et creux, mort et vénéneux,comme la gigantesque extension d’un infarctus cardiaque ou d’une tétraplégie imaginative. Le désir d’être et de briller, donc de ramper, le désir donc « de ne ressembler à aucun autre » dérive bien souvent chez les AAAAADLS en une basse et morne structuration sclérosée du trait car il faut plaire, soit une standardisation absolue de l’imaginaire et quelques messages vides, contenus dans leurs petits yeux ronds. Pour adhérer aux AAAAADLS il faut être habillé en artiste, soit avoir les moyens de foutre en l’air ses vêtements, de les déchirer, de les faire puer, bref travailler son style de putain de petite merde qu’a jamais connu la merde et toujours passé beaucoup de temps à penser à son style, brassage d’air et de vide aboutissant inévitablement à un travail de décalqué acharné sur un petit bureau bien rangé et très propre sponsorisé Epson, Clairefontaine et Ta Mère en Schtroumpfette. Pour adhérer aux AAAAADLS il suffit de prouver que tu es assez con pour décalquer le calque de toi-même que tu viens de faire. Les AAAAADLS étant arrivistes, il est essentiel de payer une cotisation, l’arrivisme des AAAAADLS nécessitant beaucoup d’habits, qu’ils commenteront, photographiront, décalqueront même parfois. Cela nécessite de l’argent. PAYE ENFLURE. PAYE MOI DES HABITS DE LUXE. QUE JE VAIS DECHIRER. Les AAAAADLS confondent souvent « état de l’être artistique » avec psychose infantile petite-bourgeoise. Ce qui ne signifie pas qu’ils sont d’un milieu aisé. Ce qui signifie qu’ils ont pu développer des soifs aseptisées d’eux-mêmes et des bouffées délirantes de connerie affamée. Ce qu’on nomme la stupidité. Ou le QI avorté avant terme. On les appelle parfois les « photocopieurs », plongés dans la surface des choses, singeant la profondeur. La particularité des AAAAADLS est qu’ils emploient souvent le mot « art », « artiste », « artistique » et toutes formules déviantes destinées à singulariser leurs photocopies. Leurs vêtements. Et leurs fondamentaux arrêts cardiaques.
Le désir de continuer absolument à être un AAAAADLS est la seconde condition pour devenir membre des AAAAADLS. Leur but premier est de proliférer.
© Ta Mère en String À La Baule.
Ps : les œufs sont cuits. Je répète, les œufs sont cuits. Apporte ta fourchette et un peu de vin merci.
No comment

Les faits parlent d’eux-mêmes.
La loose totale.
Par delà la porte se tenaient les dieux
au centre de tout
tronait le dieu musicien
dont la musique rythme la danse des corps celestes
Chacun devisait sur la cruauté
de celui qui avait créé la porte,
détruit le centre du monde,
et déporté ses habitants
Bananiff ma salope (en retard…;-)

ps sans rapport avec la carte de voeux :
Estragon ma jolie j’aime ton art tu me fait délirer par ta trashitude infinie, je comprend pas tout ce que tu racontes mais: quand est ce qu’on se fait cuire des oeufs?
backline
Cue Manuel
Les points Cue peuvent être créés et ajustés à n’importe quel endroit sur le morceau en utilisant le Jog Dial ou les boutons de recherche manuelle. Le point Cue est enregistré dans la mémoire temporaire du CDJ-200 et sera effacé lors d’une nouvelle mémorisation.
AutoCue
Cette fonction permet de trouver la première note échantillonnée d’un titre.
Variation du Pitch
Cette fonction est utilisée pour accélérer ou ralentir le tempo d’un morceau pour obtenir un mix parfait en déplaçant le Jog Dial vers l’avant ou vers l’arrière.

Pendant l’été on bosse…
Nicolaï : hé ?
Igor : hé !
Igor : kesktuveux ?
Igor : allo ?
Igor : hé !
Nicolaï : le slip de ta reum
Igor : hum
Igor : vachié dans ton cul poilu
Nicolaï : tu m’entends ?
Igor : oui
Nicolaï : chouette
Igor : vachié dans ton cul poilu
Nicolaï : korebouk
Igor : ‘rnebouk
Nicolaï : kornebouk !
Nicolaï : Kk
Igor : k
Igor : ça va gros pétard ?
Nicolaï : pouet
Igor : cucul
Igor : tu fais quoi ?
Igor : peter dans ton cul
Igor : trou du cul du chat
Igor : la bite à papa
Nicolaï : Je parlez-vous fronché ?!
Igor : j’suis pas un fronché j’suis un américain
Nicolaï : américon ?
Igor : américon citizon
Nicolaï : aaaaaaaaaah
Nicolaï : schlasse
Igor : schlasse la schlasse américone
Nicolaï : Gutten Zlipen
Igor : Magdalena langocha Zlipen zliiipen
Igor : Zliiipen
Nicolaï : It iz olmost ze sème word in germane for sank you
Nicolaï : Zliipen !
Nicolaï : Danke
Igor : Meine Zliiipen esto tutti Chocola
Nicolaï : Danger
Nicolaï : Dubist eine Zliipen del Gasapacho !
Igor : Gazapach deine urselve deine urselfe gaspatacho
Nicolaï : Gaspapatte der panier en rond !
Projet Aquarius
Aquarius est un projet de base spatiale habitée sur la Lune de la Terre.
Son principe est celui d’un dôme écologique : faune, flore et micro-organismes importés de la terre permettent de créer un recyclage de l’eau et de l’air.
Le but de cette base est de constituer une base de repos pour terriens fortunés, son écosystème étroitement régulé est aussi un sujet d’étude pour de nombreux scientifiques.
Le dôme est constitué d’une double enveloppe translucide dans laquelle circule un air thermorégulé contenant une faible part d’ozone qui filtre les UV.
A l’intérieur de la base, on mange les produits de l’aquaculture locale (poissons, fruits de mer, algues) ainsi que des produits apportés par les navettes qui amènent les nouveaux arrivants.
La base tire sa richesse des touristes, de ses habitants permanents : des retraités milliardaires ou des spéculateurs boursiers, ainsi que des projets scientifiques qu’elle héberge.
Aquarius est une première étape dans l’exploitation du système solaire : les systèmes de propulsion à mettre en oeuvre pour lancer des objets dans l’espace depuis la Lune sont en effet beaucoup plus simples et nécessitent moins de puissance qu’à partir de la Terre.
fin de misère…
1. – Le monde est tout ce qui arrive.
Ligne Maginaud du Tourguenisme
Quel candidat tourgueniste pour la présidentielle de 2007 ?
Candidat 1
Candidat 2
Candidat 3
Aux urnes !
Contorsionnisme matinal et lavage haute-pression
Le maugréant : « une jambe dans chaque main » et la gueule dans le cul.
Le moelleux au chocolat nocturne provoque un croissant de douleur blanche et bileuse au sud du sternum – quel con – et d’énormes quantités de café sous pression sont projetées à plusieurs centaines de bar en direction de la paupière droite afin de l’ouvrir, putain de merde – se raser le crâne, nouer une cravate, tout à l’heure sans doute, pour l’heure l’onirique Contre-volonté règne sans partage et fait sourire beuêtement.
(tourguenian, tourguenian, tourguenian, tourguenian…?)
Caramba !

une baguette magique en Paul Deschanel !!
Cannibalisme en milieu urbain
le fou : au moins elle avait du goût, c’était un réel plaisir de l’avoir pour diner malgré un manque cuisant de conversation.
Les Chansons tristes.
Moi c’est summertime.
C’est une mélodie et une chanson que j’aime. C’est même banal peut-être.
Mais à chaque fois que je l’écoute, de Stan Getz à Janis, je plane.
C’est idiot c’est une chanson dont je m’abreuvais avant.
Maintenant, c’est surtout que ça me fait penser
à tout plein de choses désagréables (enfin un truc ainsi-dieu-se-ment obsédant). Ca me file un joli petit cafard
à carapace indigo. J’y pense et puis j’oublie. Même si ça me laisse toujours un petit éclat bleuté dans la tête.
Pourtant, c’est là, c’est la vie.
Ou pas.
It’s got me crazy

Ö’nion alors…
La société JP-FOUGERE assure les dépannages, les installations et la maintenance dans les domaines du Froid, de la Climatisation, de l’Electricité et de la Plomberie.
Elle est agréee PGN, PGP, QUALISOL, CLIMSURE, QUALICLIMAFROID…test
Y’a comme un gout de…
Do you speak arlix ?
Tentative de synthèse 4 – Les mauvais outils prennent chers !

après chutes, maintes sauvetages…
… ET 18 COUPS DE BATTE DE BASE BALL
De: « patterns behaviour »
Objet: cocktail. mixture heroin results
Date: Wed, 4 Oct 2006 22:15:12 -0200
process his PhD cocaine. Sigmund Freud
cracking sound heated hence vaporises
wrote song praise
occasion Certain estimable English doctors cancer Brompton cocktail. mixture heroin
Its crack. obtain ordinary heating solution baking
Sigmund Freud early
being alive enjoy. access
rather messy another reason finish note. society adopting
popular wines notably Vin received from Pope. Architect Bartholdi remarked had
month now eating… active first isolated West German chemist Friedrich Gaedcke named
agent Devil. noted century orthodox Catholic artist Don Diego Robles
Returning Europe. Even may have smoked inhaled. travels poorly.
Robert Anton
Wilson once called
close orgasmic bang pathetic whimper dying
selfish perhaps single taking
Cuzco outlawed pain
Church.
Church.
Comptine (de cheval)
Encore une fois
et tous en Choeur:
Merde à l’Amour!
qu’il Vente qu’il Pleuve qu’il Gêle
Que sur mon crAne tombe la Grêle
ou qu’en Enfer on me Flagelle
Que plus jamais je ne m’en Mêle!
par trois fois je vous le répête:
merde à l’aMOUR-MOUR-MOUR!
Ligne dure du tourguenisme
Nicolaï : c’est bon coco
Igor : oué
Igor : c’est bon coco
Nicolaï : c’est bon coco
Igor : oué
Igor : c’est bon coco
Igor : oué
Igor : c’est bon
Igor : coco
Nicolaï : oué
Igor : oué
Nicolaï : coco
Nicolaï : c’est bon
Igor : c’est bon
Nicolaï : coco
Nicolaï : je vais aller faire des courses
Nicolaï : coco
Igor : coco
Igor : oué c’est ça coco
Igor : les courses
Nicolaï : les courses coco
Igor : c’est bon
Igor : c’est bon les courses
Igor : coco
Nicolaï : les courses, c’est bon
Nicolaï : coco
Nicolaï : ça fait trois nuits que je dors 10h
Nicolaï : coco
Nicolaï : et ça
Nicolaï : c’est bon
Igor : oué
Igor : c’est bon ça coco
Igor : oué
Nicolaï : dormir coco
Nicolaï : c’est bon ça
Nicolaï : oué
Igor : oué
Igor : c’est bon
Igor : il parait coco
Igor : oué
Londres – 1986
on marche dans la rue, il fait chaud, on est en sueur, dans le ciel les dirigeables du parti, on croise de petits groupes de chinois qui nous dévisagent, nos fringues sales et souvent trouées font taches. on écoute dans nos vieux walkman à bandes les standards de chez trojan, rythm’n’blues jamaicain, la police nous tolère et nous on tolère la police. tom est rentré de venise hier soir, il ne reste rien, ses photos sont toutes voilées. idem de l’australie. on marche dans la rue et il fait froid, hiver nucléaire, les dirigeables dans le ciel toujours, les chinois sont morts depuis longtemps et on est très classe dans nos burberry mités. plus de police après 22h00 il ne sont pas fous, on s’oriente à la boussole dans le brouillard, le mdma chauffe nos tempes et grincent nos dents. on marche dans la rue, tom, miss c. et moi, il ne fait plus ni chaud ni froid, nos os sont de plexiglas, notre sang du mercure, on se souvient des chinois et des dirigeables, on se sourit, on s’aime bien, miss c. et moi on pense mariage, si seulement nicolaï revenait, si l’on se souvenait seulement d’où il est parti. on marche dans les rues ensoleillés de la vieille capitale, jerry et moi on est tellement pôtes que des fois ça me fait peur de seulement le regarder dans les yeux, on a acheté deux pistolets jumeaux au marché aux puces, à un indonésien; ce soir on va chasser les tamanoirs carnivores de hyde park, enfin du sport. on marche dans la rue…
…
Tu es l’émetteur, je suis le transmetteur. L’art c’est pas moi, c’est toi, et ta vie qui me saute aux yeux, et ta façon de te percher dans mon crâne à cracher tes déroutes. Tu es l’art, je suis l’outil, tu es « ce qu’il y a de plus beau au monde ». En buvant du schnaps, je passerais des heures à basculer dans ton éternité. Rajoute-moi de la vodka. On reparlera de ta perennité, de l’onde minuscule que produisent tes pieds et les remous qui nous frappent chaque soir quand on ne se retrouve plus et qu’on s’achète nos visages.
Colonialisme vaginal et image d’oppression
Toutes nos salutations bactériennes au Maugréant pour lequel nous éprouvons une admiration typiquement humaine.
Et maintenant, l’oracle procaryote :
Vous faites du très bon travail. Passez moins de temps en introspection et découvrez les joies d’un bonheur partagé, vous en avez le pouvoir (force 6 à 7 mollissant 5 à 6 en fin de soirée).
22 minutes avant.
je suis devant la porte ouverte. J’ai mal au ventre, sans doute la diarée. Je suis devant la porte, encore 22 minutes, en gros… Je suis devant la porte et j’attends. Encore 21 minutes, j’ai mal au ventre et je crois que je commence à saigner du nez, oui je saigne du nez. Je suis devant la porte, dix minutes plus tard mais allongé par terre, je saigne moins et la douleur dans mon ventre est moins forte, la petite vitre de ma montre s’est brisée. N’indiquera pas l’heure du choc comme dans les films, marche encore, peut être elle indiquera l’heure de ma mort. Environ 10 minutes encore, je tousse et crache une glaire sombre de mauvaise augure. La lumière a baissé et je peux constater la légère phosphorescence des murs, du sol et de ma peau. Sans doute vais-je perdre mes dents dans les minutes qui viennent, PERDRE MES DENTS NON MAIS QUELLE CONNERIE JE SUIS DEJA CHAUVE FAIT CHIER !
konsstrukt en live : les photos de la soirée du 23
quelques photos prises sur le vif par clostridium
cliquer ici pour voir les photos :
burgun.free.fr/perso/photos/konsstrukt%20utopya/index.html
prochaine soirée : 20 avril, même heure, même lieu : utopya, montpellier, vers la place candole. ça commence vers dix neuf heures, et ça termine vers cinq-six heures. prix libre, programmation encore à définir, ce qui est certain c’est qu’il y aura encore fragile pigeon.
prochainement : une vidéo de la lecture.
Dead Finks Don’t Talk
oh no
oh no
oh no
What came first, the music or the misery ?
Did I listen to pop music because I was miserable ?
Or was I miserable because I listened to pop music ?
Asphyxie
Les volutes empoisonnées
de Babylone
auront raison de ses adorateurs
Ultime sacrifice
librement consenti
Ils brulent
et toussent dignement
alors que la cité les tue lentement
Au revoir





































