< Dans la Mallette d’Aurore >

« Il est certain que de nos jours on doit renseigner sérieusement ses enfants sur le mécanisme sexuel, au lieu d’abandonner cet enseignement au hasard ou à des domestiques vicieux. »
Henri Havelock Ellis, Etudes de psychologie sexuelle (1897-1910), t VII

Batracide, ouvre-moi tes chairs, que je dissèque ton âme

Des seins dans ta gueule —

Spéciale dédicace à Konstrukkt vous aime et à Vanessa —
Ouais — c’est vrai qu’ils sont gros —
et aussi — j’ai pas peur —
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< Le Mal d’Aurore >

Empourpre-moi la glotte
Que j’en sanglote
Que j’en larmoie

Lalangue

« Le langage n’est que ce qu’élabore le discours scientifique pour rendre compte de lalangue »
L’autre Jacques: Lacan (Séminaire XX, 126)

« La poésie se fait dans un lit comme l’amour. Ses draps défaits sont l’aurore des choses. »
André Breton

< Le Maldardeur >

Ardeur
convulse-moi fort
le corps
le coeur

Ardeur
Retourne-moi nue
profond
Le cul
Le con

Doux Jésus ils sont partout : la gâche le pêne

Les serrures en fer à double empénage ont un pêne mobile assez long. Pour obtenir un déclenchement très doux, ce pêne ne doit pas buter au fond du rouleau (pièce pivotante) de la gâche électrique. Pour cela il suffit de maintenir le pêne de la serrure légèrement rentré soit au moyen d’une goupille sur le cor de chasse soit au moyen d’une vis placée sur le pêne lui-même à l’intérieur.

www.serrurerie-on-line.com/conseils/gache.html

mystique-moi —

complique-moi l’amour mon dieu my god alambique -moi fais-moi vapeur mon dieu my god n’ai pas peur distille-moi du liquide au gazeux envoie-moi plus loin très haut dans les cieux alchimiste de mon désir mon dieu my god l’amour complexe c’est la formule qui me rend belle mon dieu my god plus tu m’enchevêtres plus je me substance essentielle

« Mus » à gauche, « Tang » à droite, et à gauche à droite…

< Les Maux d’Aurore >

Bout de Zan,

Tes virus
Me manquent!

Je m’appelle Ardeur, et ça ne me fait pas peur

allo? allo? ALLO? allo? allo? ALLO?

Le tourguenisme, c’est comme une bonne bière : ça rafraîchit.
Sauf quand tu n’aimes pas la bière.

CORRIDA, CE HEROS

le baiser —

Aube 2007

« L’aurore grelottante en robe rose et verte
S’avançait lentement sur la Seine déserte,
Et le sombre Paris, en se frottant les yeux,
Empoignait ses outils, vieillard laborieux. »
Crépuscule du matin, Charles Baudelaire

< Noir Désir >

« Si vous ne trouvez plus rien cherchez autre chose. »

Plus fort le clou dans mes mains! Je te dis d’enfoncer plus fort, là le sang coule à peine, allez, un peu de courage, merde! Si tu crois que ça me fais mal.

in god i trust —

< Le Mâle d’Aurore >

Mon Adonis écartelé
Mon équarrisseur
Laisse donc ta colère éclore
et puissent nos ébats se corser

Pratique !

mystique-moi #2 —

complique-moi l’amour mon dieu my god fais-moi vivre en péril l’émoi extrême au ventre le trac serais-je à la hauteur j’ai peur mon dieu my god je veux courir je ne peux plus faire un pas traque-moi mille tours et mille détours mon dieu my god encercle-moi rend-moi extrême braise ardente une femme flamme une femme feu mon dieu my god embrase-moi si dieu le veut

serge, ce héros —

« Pour éteindre le feu au cul de Marilou
Un soir n’en pouvant plus de jalousie
J’ai couru au couloir de l’hôtel décrocher de son clou
L’extincteur d’incendie »

on t’a recon-nu duckie

Duckie, le canard coquin < disponible sur www.chambre69.com

< Le Mal d’Aurore >

Gorge gonflée, paupière molle

< Le Maldoror >

Raide, dur, roide, crade
Dingue, digne, dément, délirant
S’aime, sème, stupre, sperme

< Les déboires d’Aurore >

AVANT LA COURSE

LES MECHANTS (AU FOND, SI SI EN ROUGE)

LA DEFAITE

Gloire à l’instinct!
Gloire à l’instinct!
Gloire à l’instinct!

TETON, UNE CHANSARD

Rien ne vaut les purs produits locaux

Je ne suis pas DU TOUT d’accord

« Qu’est-ce que c’est que ce Bordel?
Qui est Monsieur Meuble ?
Qui de la Poule ou de l’Oeuf?
Où va t’On? »

« Ouvrez-moi les veines, en sortiront des fictions. »

< Les Moules d’Aurore >

Envie de moules?

Sade, et pan…

Orbite?

Hé bien, Treize honorée !

You don’t think that sick dick is gonna talk?

< L’Emoi d’Aurore >

Magma bordélique, pénombre-moi encore!

madone du vice —

A la mollesse
De tes lèvres
Avec lenteur
Je m’adonne

A la douceur
De ta langue
Avec délice
Je m’abandonne

:: Election de miss et mister moquette vendredi soir ::


< Le Mâle d’Aurore >

Braguette, libidinosentimental-moi!

Herpesvirus d’Epstein Barr

Brrr, t’as pas l’air commode, toi!

Apportez-moi une créature à torturer… immédiatement

Mustang,

Il appelle son membre Mustang…

Obscur et froncé comme un oeillet violet

Il respire, humblement tapi parmi la mousse
Humide encor d’amour qui suit la fuite douce
Des Fesses blanches jusqu’au coeur de son ourlet.

< Histoires d’O >

« LA REINE
Au-dessus du ruisseau penche un saule, il reflète
Dans la vitre des eaux ses feuilles d’argent
Et Ophélie les tressait en d’étranges guirlandes
Avec l’ortie, avec le bouton d’or,
Avec la marguerite et la longue fleur pourpre
Que les hardis bergers nomment d’un nom obscène
Mais que la chaste vierge appelle doigt des morts.
Et elle et ses trophées agrestes sont tombés
Dans le ruisseau en pleurs. Sa robe s’étendit
Comme insensible à sa grande détresse
Ou, comme un être fait pour cette vie de l’eau.
Mais que pouvait durer ce moment ? Alourdis
Par ce qu’ils avaient bu, ses vêtements
Prirent au chant mélodieux l’infortunée,
Ils l’ont donnée à sa fangeuse mort.

LAERTE
Hélas, elle est donc noyée ?
Tu n’as eu que trop d’eau déjà pauvre Ophélie,
Et c’est pourquoi je retiens mes pleurs. »

Statue ce héros


Mais où avais-je la tête ?

< Histoire d’A >

Amitié à moitié moite

< Les Maux d’Aurore >

Tout ceci me Facétie, tout cela me reTourgue, et puis s’en va

C’est une blague, OU QUOI?