– Salut les gars, service d’expulsion de la Redtschap, nous avons un avis contre vous… 15 mois de loyer de retard, vous allez pas y couper. – Qu’est ce qui nous prouve votre appartenance au consortium R d’abord ? – C’est vrai ça, aboule les papiers ! – Hé bien j’ai la casquette officielle, le badge et même les caleçons aux armes de la compagnie. Vous voulez voir ? – On va s’en passer, merci… enfin surtout pour les sous vêtements… ça pourrait faire jaser le voisinage. – Euh le premier voisin est à 5 kilomètres, frangin… – Ouais mais il vit seul, s’ennuie et a un téléscope. – Juste, j’avais oublié. – Déjà 3 mâles célibataires tout le temps fourrés ensemble les gens ont du mal à comprendre… – Ah bon, ou t’as entendu ça, toi ? – Au marché, la dernière fois – … le marché ou tu n’as pas mis les pieds depuis 4 ans ? – Ben imagine l’amplification des cancans depuis – Pas bête frèrot – Euh et pour le loyer ? – Oups, excusez nous, nous vous avions oublié… mais que faites vous le cul à l’air ? – Ben vous vouliez une preuve, voilà les dessous officiels des collecteurs de la Redtschap, avec le petit macaron en forme de cochon rigolard. – Raaaaaaaaaaah notre réputation dans le quartier est fichue, on vous avait dit de ne pas le faire ! – Complètement foutue, des années de dur labeur anéanties en quelques minutes par un malotru exhibitionniste. – Comment voulez vous que nous trouvions un emploi pour vous rembourser dans ces circonstances ? – Mais c’est que je, euuuuuuhhhhh……. – Allez, laissez nous, et n’y revenez plus, vil importun !
Claquage de porte énergique, notre héros se retrouve le pantalon à la main, sous la pluie, hébeté
– J’ai comme l’impression de m’être fait avoir, moi
Et il repartit voir sa patronne, les queues entre les jambes.
tam tam tam la terre n’a pas tremblé, rien n’a changé aujourd’hui je me trompe de supports, mais ce n’est pas grave, c’est du travail fait pour plus tard. réajustements: attendre de comprendre le mot qu’on lit, tirer dessus et là, pouvoir parler. pour l’instant je tâtonne sur la côte avec mes pieds, et je creuse des petits trous où l’eau entre en tourbillons. c’est beau et c’est hypnotique. la migraine occulaire me sauve, après deux trois jours de ça, j’aurai envie ce me semble, d’action. le moteur tourne… action! « Qui veut venir passer quelques jours avec moi à Madrid en janvier? » tu étais parfaite poulette
Le respect de soi passe par le respect de son corps. Zen il ne lésine pas sur les moyens. 6 heures du mat c’est taï chi, respiration, karaté katas c’est 4×4 positions, cours de yoga, hygiène parfaite il va même au hammam une fois par semaine. Mange macrobio, évite les plats trop gras ou trop salés, n’achète que les fruits frais du marché.
Il adore les senteurs exotiques. Son appart est un sanctuaire d’encens. Il n’aime pas le bruit, n’a pas de vis à vis et les soirs de fête c’est boules quiès pour les tympans. Il ne supporte plus les excitants. L’alcool c’est trop dangereux, addictif. Lui, il n’a pas besoin de ça pour s’amuser. Naturellement deshinibé c’est sûr il n’y a qu’ à le voir danser, aïe!!! Il boit quand même du déca mais de temps en temps. La clope il a arrêté pour ses 30 ans. Du coup, il ne tient pas 20 minutes dans une salle enfumée. Au comptoir coude à coude avec les poivrots, lui c’est jus d’oranges pressées. Dispos et frais il assure le ramassage des potes en fin de soirée.
Ceci n’est pas un texte à lire Ceci est un texte à imaginer Fferme les yeux et compte jusqu’à dix En pensant à une chose trés douce. Au top tu fermes les yeux et tu comptes sur tes doigts Pour ne pas troubler ta douce pensée A dix, tu ouvres les yeux et tu continues à ne pas lire. Top ! Bon, c’est bien, tu commences à devenir Tourgueniste. De nouveau, ferme les yeux et compte jusqu’à dix En pensant à une personne que tu aimes. A dix, tu ouvres les yeux et tu continues à ne pas lire. Top ! Bien, tu progresses. Tu peux refaire cela autant de fois que nécessaire Mais n’oublie pas d’ouvrir les yeux à la fin Et de ne pas lire ce texte. Top !
je te voyais tourner au coin de la rue dans la lumière de la pluie pour te retrouver je tournais le dos à mes yeux mouillés comment survivre à ton rire qui dans un concert d’argent me transportait tu rêvais d’être l’orfèvre de mes formes, de mes cheveux tu es mienne aujourd’hui pour toujours je dis je t’aime cet instant fort comme l’éternité et si bref de l’amour à l’unisson tu nourris mes espérances, tu me donnes l’envie de l’hiver tu donnes une raison à mon existence, j’ai maintenant une icône vers laquelle lever les yeux belle beau enfermons-nous lalalala dans notre amour! laaaaa laaaaa laaaaa je cherche un prince ou une princesse la voici le voilà tiens c’est drôle c’est exactement ainsi que je le rêvais depuis que je l’ai rencontré tiens c’est drôle c’est exactement ainsi que je la rêvais avant de la rencontrer tu me cherchais, me voici conforme à tes désirs tu me cherchais voici tes rêves conformes à moi
Il était une fois dans un pays très lointain un village cerné de bois obscurs où se terrait une bande de garous mangeurs d’hommes. A chaque pleine lune, la communauté des garous aménageait des tables avec des tréteaux de bois au milieu de la clairière et se préparait à un grand festin, non sans avoir préalablement baillonné le barde qui… enfin… Malheureusement avec le temps les villageois, pourtant bien peu vifs et la plupart du temps abrutis par la gnole locale, avaient fini par faire le lien entre la présence la nuit de la lune dans le ciel et la présence de morceaux de camarades villageois par terre au petit matin. Forts de cette conclusion, ils avaient décidé de se barricader à double tour, à chaque pleine lune, et de ne sortir sous aucun prétexte. A partir de ce moment là, les garous connurent la famine et les crampes d’estomac. Jusqu’au jour où un jeune garou, Loulou Garou, grimpa sur les tables désespérément vides et s’adressa à la foule des garous dépités : » _ J’ai une idée pour la prochaine pleine lune afin de tromper les villageois et ainsi pouvoir à nouveau nous repaître de leurs délicieuses entrailles. Il nous faut trouver un moyen de grimper jusqu’à la lune, et, armés de peinture noire, nous la barbouillerons jusqu’à ce qu’elle disparaisse dans la nuit. La lune ainsi camouflée, ces gros lourdauds de villageois ne se méfieront pas et sortiront se promener en toute confiance. Nous pourrons alors leur tomber dessus et les dévorer comme avant ! » Cette idée reçut l’approbation générale, et le jour dit les garous commencèrent à s’escalader mutuellement, chacun grimpant sur les épaules de son voisin….
je me déchire toute seule entre que tu me laisses que tu me suives que tu m’abandonnes que tu me suives que tu me laisses crever que tu me suives et j’ai perdu les bons doux mots de l’amour, que tu me suives…
when will this race thus cease? this madness with several heads which makes that I do so many things, that I do not do anything, that I can nothing make…? which knows… one day the life rocks and panic begins… the first exits? first burstings in the families? to express, go to see dad, to go to see mom, to go to see her ex, to go to see his/her friends of group A, to go to see his/her friends of childhood, to go to see the small one been engaged of the Alps, to contact the baronne…? panic is a drug and I am tear, I run, I sleep 5h per night, I drink much to hold. I know that there are people who are bored, I am much also bored, I do not know too much when, nor too why… Ca must be when panic goes down again, ouais, the lack, for sure.
Hé vous avez vu, on est nominés. Va falloir commencer à devenir sérieux, les petits gars. Fini la rigolade. Fini le mot « bite » partout, soyons po-li-ti-que-ment-co-rrects.
Les douleurs ont repris, un scan rapide a suffi à confirmer l’intuition : l’extension de la chitine, l’armature surnuméraire aux vélléités totalisantes, la reconstitution d’un rostre acrimonique, ça lance et relance. la course reprend contre à la fois l’hormone sombre et la rigidité cadavérique. Les pinces coupantes n’ont pas repoussé, pas encore, pas encore tournées vers l’Autre ; les seuls outils alentour tordent pour l’instant les articulations de l’arthromorphe, poussent les stimuli internes et les alarmes psychiques à leur paroxysme. Faire confiance à son propre cuir est une erreur stratégique à éviter, même si on replonge sans cesse dans les mêmes eaux noires avec une constance qu’on dirait emprunte de délectation.
Si l’exoconversion reprend, malgré les trous fumants qui percent encore la cuticule, les conséquences à en tirer dépasseront de loin la simple reconstitution du statu quo ante. Mais le changement peut advenir sur place, pas besoin d’oscillations mentales, ni de voyages long courrier. Il reste l’hormone : la minerve qui la distille a pris du poids, ses fondations se sont renforcées, le complexe céphalothoracique est transpercé d’une miriade d’attaches métalliques et de sangles de limaille cruellement enfoncées dans la chair, parcouru d’une forêt de piques luisantes et froides comme des seringues. Et la thérapeutique préconisée par les Prêtres Pulsatifs s’avère totalement bidon. La minerve en fonte s’est alourdie, parce que l’arthropode éventré et à moitié carbonisé n’a pas su l’extirper à temps, et surtout parce qu’il a perdu ce à quoi il aspirait. La principale racine tubulaire de ce joug déséspérant plonge désormais au coeur de la neuromère endommagée. Le centre névralgique est délabré et désert, mais des diodes bioluminescentes continuent de briller dans le noir. Une unique source de chaleur dans l’interzone, qui servait de veilleuse et de baromètre à surpression. Des diodes. Elles auraient pu devenir des géantes rouges, briller sans fin, et pourront certainement encore irradier ainsi, mais rien ne peut s’enflammer sans comburant – et l’air s’est méchamment raréfié. En attendant, il s’agit d’adopter des positions antalgiques, de joindre les canines, et de respirer par à-coups : l’atmosphère est un poison, mais le drame est qu’on aime cette intoxication, au-delà de toute raison.
– tu refuses de me voir un jour sur deux, tu réponds pas au téléphone la nuit, tu fait des manip’ pour pas que je voies les sites sur lesquels tu surfes, tu trouves les prétextes les plus absurdes pour me faire des procès d’intention… Franchement, tu sais de quoi tu as l’air ? – d’un type normal ? – t’as surtout l’air d’un mec qui sort avec plusieurs filles en même temps.
Je hais l’humilité, la sagesse, l’amour et tous ces synonymes de mort. Je veux vivre. Alors je serai censeur, cupide, vaniteux, prétentieux, calculateur, pervers, aigri et tout ce qui peut définitivement me rendre plus humain.
Son électro-acid-house-hip-hop, ambiance assurée par la tribu tourgueniste et pleins d’autres crevards bioniques, consos pas chères + surprise éthylique sponsorisée par Havana Club… Le Zoco Bar, 223 rue Saint-Maur, 10ème, Paris, France – Métro Colonel Fabien ou Belleville. Si vous voulez me voir enfin nue…
Une nuit, le pacifique. Deux jeunes filles sont installées au bord de la piscine vide, transats dépliés, pulls enfilés, surplombant la baie. Une brise venue de la mer fait claquer les volets du vieil hôtel. Attente. L’île toute entière retient son souffle. Catherine indique une direction à Una. – la première explosion… je crois. – si tôt..? Cathy prend la main de son amie, l’embrasse. Elles observent la lumière qui grandit. – oui… c’est la fin. – enfin. Une autre lueur vers le sud, puis une autre, et… Un vent chaud, terriblement chaud frappe l’île. – je t’aime…
I worship a god with an elephant head ! Gideon Stargrave
Minuit et des poussières, je suis un peu crevé. Mais je crois que si je dors, ça devrait s’arranger. Donc, il faut que je le fasse. Aller me coucher ? Oui sûrement. ——————— Bon,ok… Je l’ai revue hier…
Pourquoi écrivez-vous ? Beckett : « Bon qu’à cela. » Blanchot « Ecrire, c’est se livrer à la fascination de l’absence de temps. » Bernhard : « J’écris car beaucoup de choses me sont désagréables. »
Nous nous voyons. « BONJOUR COMMENT çA VA ? » Le culot de la question m’irrite au plus au point : « çA VA TRÈS BIEN MERCI. »
Il y a du silence après l’entretien : nous sommes engagés désormais l’un vis-à-vis de l’autre. Nous nous serrons la main. Après les questions. Nous évoquons des prouesses de la littérature.
Il y a un papillon chez moi que je n’arrive pas à déloger Il vole partout, il papillonne quoi… Ce qui m’embête c’est que s’il pouvait parler Il trahirait tous mes secrets les plus honteux Je suis un peu mal à l’aise maintenant Un peu intimidée Est-ce que c’est ça l’oppression?
C. m’a raconté que son homme l’insulte quand il lui fait l’amour. Une phrase revient régulièrement : “ Montre moi comment elles aiment jouir les petites putes. ”
Si les baleines franches Quand elles remontent à la surface N’avaient à supporter Des hordes de goélands Picorant, lacérant, piétinant La moindre parcelle qui émerge de leur corps meurtris Les placides cétacés N’ayant d’autre alternative Que de retourner vers les grands fonds,
L’histoire commence, tout à coup. Quelqu’un prend la parole, et s’inscruste littéralement dans l’oreille d’autrui. Choquer ? Agir plutôt, faire tourner la mécanique du dialogue ; au nom de l’amour, du sacrifice peut-être ; Il y a-t-il des actions remarquables ? Des positions enviables ? Je ne pense pas ; celui qui va saisir la voix risque d’incommoder, de gêner, d’ennuyer. Il y a l’espoir d’être entendu ; monde des écrans, écrans des mondes, enthousiasme groupées, réalité masquée ou transmise dans la fatigue. Quel est l’objet ? Le sujet ? Déplacés. On sait vite comment neutraliser le projet en l’escamotant, c’est à dire en le montrant du doigt. Laissons de côté le style grandiloquent contre les petites doses de paroles prévues. En général, vous lisant, j’éprouve ce sentiment lassant d’avoir déjà vu, digéré, cela est bien. Mais facile, d’étonner, systématiquement. La question (encore) demeure vive, acérée, comme s’il dépendait de nous pour échapper à l’anxiété de la réponse. Où sommes-nous ? Au seuil des possibles. J’avoue que la phrase est presque ridicule. Mais encore. Dans aucune tonalité, aucun territoire ; aucun pays. Dans une langue, soit. Mais nous n’avons pas le choix. Jaloux des images, certes. Avec les mots, il y a l’exigence du sens, de la direction, du fruit à trouver. Se dépeupler, accepter le vide en soi, prendre sur soi et comprendre cette vérité au milieu de l’encombrement des interfaces. Dans l’éphémère, je devine l’importance d’une posture du doute ; momentanée, oui. Mais après, la vie reprend ses droits ; le téléphone sonne etc. Dans l’exception d’aujourd’hui, j’assume n’être personne, être nulle part, ne rien à voir. L’aveu d’une nudité ? C’est ça. Attitude ascétique ? Religieuse : que cette purification m’achemine bientôt jusqu’à vous, dans le désordre, le trop plein d’idées, de matières etc. Des liens entre les esprits, corps, lignes… Mais un mot bourdonne à mon oreille et je ne l’aime pas. L’histoire l’a grossi, signalé comme le pire de tous : fusion. Restons à l’abri du MO®T.
hier soir, famille nombreuse. me retrouver sur le dirigeable officiel de la confrérie, fiançailles et anniversaire. « hé capitan, on va bientôt voir la Finlande ? » il sourit, et ne dit mot. je cherche mes cousines sur la coursive avant, mais ne croise que les amis de Ben en monocycles et un surfeur. jongleurs et petits animaux se pressent autour des convives ivres. En contrebas, la Finlande enfin ! je pense m’y faire déposer pour pouvoir essayer mes nouveaux skis, les chiens piaffent (edith) d’impatience. tout le monde est dans un pitoyable état de retournement d’estomac, je file un bout de viande à la chatte enceinte sous le table. Fox tente de faire la conversation… enfin, je m’écroule.
Je peux, sans rien sacrifier de ma vie ni de ma lucidité, décider de ne pas voir le réel [dont je reconnais par ailleurs l’existence]. Aveuglement volontaire [comme Oedipe je me crève les yeux] qui trouve des applications plus ordinaires dans l’usage immodéré de l’alcool et de la drogue.
Le cerveau de Lee n’obéissait pas à un shéma proprement déterminé, lisse, prévisible, et accusait le coup de directions contradictoires, qui l’étiraient en de grands élastiques filandreux – qui vous atteignaient directement au visage.
(Nous dégringolerons en même temps que toi Martin, nous irons jusqu’au fond du gouffre et là nous nous apercevrons que nous tomberons au bout du compte sur toi-même et ce truc que tu as laissé.)
Reprenant son souffle positif qui revient parfois animer ce qu’il croyait perdu, il pense à un œil franc et calque sa respiration sur la saccade heureuse du temps : prêt à entrer dans le vif de la vie. N’importe quel événement peut alors combler son désir de participation.
Aujourd’hui c’est dimanche et j’ai trouvé ma vocation. Je crois que je vais postuler pour être « Counter-terrorism Analyst » ou « Operations Officer » à la CIA. J’ai passé les premiers tests d’évaluation en ligne et vous me croirez ou pas, j’ai obtenu des « excellent matches ».
La CIA recherche des « independant thinkers, adventurous spirits and passionate professionals » : ça me plaît bien, c’est tout à fait mon genre. Ils offrent des « competitive salaries » et même des « holiday pay », et ça c’est plutôt cool. Un « Operations Officer » du Clandestine Service, par exemple, peut être payé jusqu’à 60 000 $ dès la première année : moi ça me suffit.
Je me vois bien m’installer dans un pavillon avec jardin, garage et chien, tout près de mon boulot, au George Bush Center for Intelligence. Ça se trouve pas loin de Washington, à McLean en Virginie, sur la rive ouest du Potomac – très belle région. Là-bas c’est beau comme un campus ; d’ailleurs ils le disent, c’est une « campus like atmosphere ». Un peu comme à Camden. Il y a tout plein d’options pratiques : deux « fully equipped fitness facilities » et un « jogging track », et même un « child care center », au cas où j’engrosserais une « college student » du « Internship Program ». En plus, c’est une «drug-free workplace» : ça veut dire ce que ça veut dire, non ? (en fait je suis pas sûr ; je suis pas très bon en anglais).
A la CIA, tout le monde a l’air super sympa, ouvert, souriant, dynamique, pluriethnique. En plus ils bossent sur un fond musical hyper rock’n roll, ambiance Tom Cruise dans Mission Impossible. Trop cool. Avec un peu de patience je finirai peut-être comme Anne, une « senior analyst » qui voyage beaucoup et qui accompagne souvent W. Bush à bord d’Air Force One. La classe. Je finirai en vieux beau, les tempes grisonnantes, genre Harrison Ford.
ce matin rien à ajouter, A+ en vol de griphon, les soldats qu’il avait commandés en Sicile se donnaient un grand festin pour célébrer le jour anniversaire de la bataille d’Eryx, et comme le maître était absent et qu’ils se trouvaient nombreux, ils mangeaient et ils buvaient en pleine liberté. En somme, rien de moins communicatif que ce gentleman. il parlait aussi peu que possible, et semblait d’autant plus mystérieux qu’il était silencieux. cependant sa vie était à jour, mais ce qu’il faisait était si mathématiquement toujours la même chose, que l’imagination, mécontente, cherchait au-delà. depuis une heure, il avançait ainsi, lorsque sur la gauche à deux kilomètres de Montsou, il aperçut des feux rouges, trois brasiers brûlant au plein air, et comme suspendus. Mieulx est de ris que de larmes escripre, Pour ce que rire est le propre de l’homme.
Je pense avoir retrouvé le clone de Zan. Mais bizarrement, il ne répond pas quand je l’appelle, gesticule de façon anormale et produit pleins de sons étranges que je n’arrive pas à interpréter.