le récitant : le tourguenisme ça n’est pas une chanson populaire.

Old par igor le 18 Avr 2005

« Rien c’est rien. Trois fois rien c’est déjà quelquechose » R.D.

« Nous en sommes au passage à l’effectivité de cette technique, qui a une portée considérable, dans une assourdissante absence de réaction. La première chose serait de tout faire pour que le débat public commence à prendre forme sur son enjeu crucial : la protection par les nouvelles techniques de construction du sujet, du secret, de l’intimité, de la privacy, le concept fondamental qui est lié aux libertés. Et aux États-Unis en particulier, dans les milieux qui réfléchissent sur ces questions, on dit bien que l’avenir de la défense des libertés passe par le cryptage ; que le débat sur les techniques et les modalités de cryptage doit prendre forme. Cela implique la science, cela implique un peu de théorie mathématique à l’usage des populations, de façon à pouvoir faire saisir à quel point, entre privatisation et personnalisation, les modalités de constitution du sujet, et le débat sur les zones dans lesquelles se constituent les techniques d’individuation, sont liées au droit à l’anonymat. »

Making/breaking/making/breaking codes.

Old par ... le 22 Nov 2006

Old par M. Fox le 01 Oct 2002

Non mais faut arreter Sophie on est en train de spamer Tourgueniev.
Le mec de droite parle tout seul au chat.
Nicolaï me surveille.

Bye Bye ça suffit

Trois deux un partez, et hop! Il court il court le furet; je l’attrape par la queue, je le montre à ces messieurs, et on s’assoit sur le haut d’un mur, le faîte d’un arbre. J’embrasse à pleine bouche l’amiral qui l’escalade, ça ne vous étonne pas du tout n’est-ce pas? Mais pour qui me prenez-vous?
On reprend la course, le furet va assez vite, moi un peu plus encore, sauf quand il y a des tunnels. La tortue est loin derrière, elle ne gagne jamais ça c’est des conneries. Mais pour les gros arbres écrasés au milieu de la route, je bondis au-dessus, et mes jambes s’écartent, se mettent à l’horizontale, mes muscles saillent et je gagne!
Oh! Je m’écrase sur la ligne d’arrivée, ma joue rape, j’ai la gueule déchirée. En fait personne ne voulait gagner on m’a fait croire à une fausse course. Je pleure dans la boue.
Mais hop! Le furet rejaillit, il m’embrasse, il m’emmène, je le crois.
Et hop! J’ai la figure pleine de boue.
Mais hop! Le furet rejaillit, il m’embrasse et nous partons.
Et hop! J’ai la figure pleine de boue.
Mais hop! Le furet rejaillit, il m’embrasse et nous partons.
Et hop! J’ai la figure pleine de boue.
Mais hop! Le furet rejaillit, il m’embrasse et nous partons.
Et hop! J’ai la figure pleine de boue.
Mais hop! Le furet rejaillit, il m’embrasse et nous partons.
Et hop! J’ai la figure pleine de boue.
Mais hop! Le furet rejaillit, il m’embrasse et nous partons lalalalilala vers une clairière illuminée. Oh lala… les poncifs de l’amour, toujours!

Regarde Julie !

J’ai apprivoisé une coccinelle !



Tourguenisme, pratique rituelle de manger de la chair humaine, phénomène social observé dans certaines sociétés traditionnelles. Le terme  » Tourguenisme  » provient de Tourgueniev, le nom espagnol d’Indiens des Caraïbes qui avaient la réputation de manger des êtres humains et vivaient dans les Antilles à l’arrivée de Christophe Colomb. La pratique du Tourguenisme fut attestée dans de nombreuses parties du monde. Certains témoignages laissent penser que le phénomène remonte à des temps aussi anciens que le Néolithique. L’Historien grec Hérodote ainsi que d’autres auteurs de l’Antiquité décrivent quelques peuples qu’ils qualifient de Tourguenes. Au moyen Âge, le voyageur italien Marco Polo rapporta que des tribus, du Tibet jusqu’à Sumatra, pratiquaient le Tourguenisme. Le phénomène fut relevé également chez de nombreux Indiens d’Amérique du Nord, en particulier dans les tribus de la côte ouest du golfe du Mexique. Jusqu’à une époque récente, on pensait que le Tourguenisme existait en Afrique centrale et occidentale, en Australie, en Nouvelle-Zélande, en Mélanésie, à Sumatra, en Nouvelle-Guinée, en Polynésie et dans des régions éloignées d’Amérique du Sud.

Old par igor le 01 Fév 2004

« Jeudi : Jour du Jeu, Jour du fantasme abouti, du doux frémissement des membres crispés dans la buée, Jour des objets emboutis, de la toile de Jouy, Jour de la Joie… Je te suis. »
Et elle à enfilé son joli petit costume rouge…

sally : on a jamais autant envie de poster que quand on doit s’occuper de ses papiers.

Old par igor le 21 Juin 2003

On s’est aimé

Sous le couvert des fleurs

Les oiseaux, complices

Chantaient pour étouffer nos cris et nos rires

Le soleil jouait sur ta peau

Tu étais si beau

De ces journées magiques

Je n’ai gardé que des souvenirs

Et quelques regrets

Souviens-toi toujours de ces moments-là

De nos oeillades et de nos baisers exquis,

De nos égarements divins,

De notre union parfaite,

De notre deux rendu un

Pour toujours se trouvent en moi

Ton gout, ton odeur,

La caresse de tes doigts fins,

Tes demi-sourires lorsque vient le plaisir

Ta façon de gémir,

Je me souviens de tout

Et lorsqu’un visage

Ou un éclat de rire

Ravive ces souvenirs,

C’est du feu qui envahit mon ame,

Une éruption de toi,

Une explosion de nous

Dont les cendres embrasent l’espace tout entier

Je t’ai aimé,

Ne m’oublie jamais,

Garde de nous ces quelques moments parfaits

Oublie les disputes

La jalousie

La haine lorsque j’étais bourré

Ces coups,

Je t’aime, Je t’aime

Pour toujours je chéris ton nom

Et ton ame si belle, mon ange

J’en garde pour toujours un petit bout en moi

Tu ne m’as pas vraiment quitté

Et peut etre qu’un jour

Tu reviendras des étoiles

Ou peut etre que tu m’attendras

Lorsque j’irai moi aussi

Je t’aime tellement

Pense à la joie de se retrouver

Ensemble, l’un contre l’autre,

Toi l’ange, moi le poète, notre chant sera si beau

Je pleure souvent en guettant ce moment,

Nos retrouvailles

Je pleure tellement

Chaque porte qui s’ouvre est ma torture

Derrière chaque fenètre je t’imagine,

Si fier, caché, me punissant de ma dernière colère

Oh, Pardonne-moi

Je t’aime tellement

Pardonne-moi

Old par M. Fox le 09 Sep 2003

surfaces / nouvelles / première livraison

je me tourne sur le côté
je n’arrive pas à dormir
je ne sais pas quelle heure il peut être
putain
l’image de ma soeur
ça ne me quitte pas
sa bouche qui s’active sur la bite de ce mec
les yeux fermés
le plaisir qu’elle y prend
ça dure une seconde et elle me remarque
une seconde où j’entends les bruits mouillés de sa bouche qui pompe cette queue
où je vois le type qui lui tient la tête
son visage crispé par le plaisir
sa tête à elle
les yeux fermés
les humm-hummm qu’elle pousse en le pompant
ça dure une seconde
même pas
et j’enregistre tout
et le bruit que je viens de faire en ouvrant la porte de sa chambre lui arrive au cerveau
on est figés tous les trois
je me retourne encore dans mon lit
j’ai la gaule
je n’ai pas sommeil
le silence de la baraque m’énerve
je suis sur le dos
cette image ne me quitte pas
ces deux images
un
sa tête quand elle pompe le type
deux
leurs têtes à tous les deux quand ils m’ont capté
je suis sur le ventre
ma queue frotte contre le matelas
ça m’envoie des décharges
j’ai envie de me branler
j’ose pas
ma soeur qui ouvre la bouche et le type qui se rhabille
sa bite qui se dégonfle
je détourne les yeux et ma soeur me gueule dessus et je lui gueule dessus aussi
elle claque la porte
je retourne dans la chambre
j’entends le type partir
il discute avec ma soeur à voix basse dans le couloir
je ne comprends pas ce qu’ils disent
ils s’embrassent
ça je l’entends
j’ai envie de sortir et de l’emplatrer
je ne sors pas
je suis scotché
ma soeur retourne dans sa chambre
putain j’ai trop envie de me branler mais ça le fait pas
ça le fait trop pas
je me mets sur le ventre
j’ai la bite gonflée à mort j’ai le gland hypersensible
je n’arrive pas à me débarrasser de cette image
la bouche de ma soeur qui avale la bite du type
ses yeux fermés
le plaisir qu’elle y prend
les hummm-hummm qu’elle pousse
je me branle
je me branle rapidement
si j’y allais
si j’y allais putain et que je la force à me la mettre dans la bouche
haaaaannnn
comme l’autre type
mes mains qui attrapent ses cheveux
sa langue qui s’enroule sur mon gland
haannn
je suis taré ou quoi
hooo
hooo putainnn
je lâche tout sur mon ventre
il y en a un bon paquet
mon coeur bat très fort
j’ai trop chaud
je prends le rouleau de pq sous mon lit
je m’essuie
je roule le papier en boule et je le jette par terre
ma sueur sèche vite
mon rythme cardiaque se calme
j’ai sommeil d’un coup
je me mets sur le côté
peut-être je devrais faire ça
elle aime sucer
elle aime ça j’en suis sur
elle était bizarre au repas
elle me parlait pas
elle me regardait à peine
on s’est pas parlé depuis que je l’ai vue pomper ce type
elle en a pompé beaucoup si ça se trouve
elle aime ça j’en suis sûr
elle doit super hyper bien
je sens le sommeil qui arrive
je me demande
je me demande si
thierry
si thierry ça l’intéresserait –
ça

***

on entre dans la chambre de ma soeur
elle lève la tête
elle était en train de faire ses devoirs
elle nous regarde
elle dit : « vous pourriez frapper, merde ! »
et puis elle croise nos regards et elle se met en colère
elle se lève
« cassez-vous bande de blaireaux »
on ferme la porte elle est sur nous
« calme-toi » je dis
elle essaie d’ouvrir la porte je l’attrape par le bras et je la repousse
thierry est bloqué il regarde
« arrête connard ! »
je la repousse sur le lit
je dis à thierry : « aide-moi ! »
on maintient ma soeur sur le lit
« putain mais qu’est-ce que vous faites ? connards ! »
elle se débat
j’ai aussi peur qu’elle
mais j’ai trop envie
j’ai trop envie
je la tape aussi fort que je peux
du plat de la main
elle est à moitié assommée
je défais ma braguette
thierry lui maintient les bras
elle me mets des coups de pieds
« connard, connard, connard ! »
je m’assieds sur elle
elle est affallée sur le lit
ses jambes sont par terre
thierry est derrière elle et lui tord les bras en arrière
je suis sur elle
ma bite est à moitié dressée
« qu’est-ce que tu veux faire ! connard ! »
sa voix devient plus aigüe
ses yeux reflettent de la terreur
je ne bande pas beaucoup
thierry a l’air dégoûté
ma soeur pleure et hurle en même temps
je l’étrangle pour qu’elle se calme
j’en peux plus de ses cris
« ouvre la bouche ! ouvre la bouche ! »
elle se débat
je l’étrangle
je la force à ouvrir la bouche
elle bat des jambes mais ça ne fait rien
je m’enfonce en elle
je suis à moitié en érection
je m’enfonce dans sa bouche
thierry lui maintient la tête en arrière
hhhmmm putain c’est trop bon
je n’ai plus peur
je bande comme il faut
« vas-y pompe-moi pompe-moi ! »
je donne des coups de reins
hooo putainnnn
c’est fantastique
elle a la bouche grande ouverte et les yeux vitreux de peur
sa langue glisse sur ma bite
de la salive coule sur son menton
je vais plus vite
je lui tire les cheveux
thierry rigole mais en fait il a l’ai un peu dégoûté
putaiiinnnnnn
hmmmmm
hannnn
je vais jouir
je vais jouir
je
hoooo
j’attrape son visage à deux mains je m’enfonce tout au fond de sa bouche
elle a un haut-le-coeur
je jouis
le sang bat à mes tempes
je suis dans un état second
je décharge tout dans sa bouche
elle se dégage
du sperme lui coule sur le menton
thierry la lache
je lui dis : « tu veux aussi ? c’est trop bon »
il fait non de la tête
il dit : « on devrait peut-être y aller, là »
ma soeur dit : « connards. bande de connards de fils de pute. allez vous faire foutre. »
je la regarde
je dis rien
elle pleure
je me dis qu’elle s’est pas beaucoup débattu
je me dis que si elle n’avait vraiment pas voulu on aurait eu du mal à la force
je me dis que celui qui veut me forcer un faire un truc pareil il faut qu’il me tue d’abord
on sort de la chambre
thierry fuit mon regard
« bon je peux pas rester. je me sens pas très bien. je crois que c’est un peu dégueulasse ce qu’on lui a fait. tu crois pas ? »
« je sais pas. elle s’est pas beaucoup défendue non ? »
je rigole
il rigole
d’abord un peu jaune
et puis franchement
« bon c’est quand même pas si grave hein. on n’a tué personne et on n’a violé personne, non ? »
« non, c’est vrai. mais bon. c’est quand même un peu dégueulasse. »
« ouais, bon, c’est vrai, mais elle m’en a fait aussi, des coups de pute, t’inquiète. et puis tu sais quoi ? c’était franchement trop, trop bon. c’est une super suceuse. »
on se regarde pendant un court instant sans rien dire
je vois dans ses yeux qu’il hésite
finalement il dit : « je vais y aller. on se voit demain au lycée ? »
« ouais »
je le raccompagne
je reviens dans ma chambre
je me sens bizarre
je ne regrette rien
le mur qui sépare nos chambres n’est pas très épais
j’entends ma soeur chialer et sangloter comme une conne dans sa chambre
je me dis qu’il ne faut pas exagérer
ça n’a même pas duré cinq minutes
elle ouvre la porte de la chambre
elle sort
elle claque la porte de la chambre
elle marche dans le couloir
elle entre dans la salle de bain
elle claque la porte de la salle de bain
elle verrouille
elle ouvre le robinet du lavabo
l’eau coule pendant un moment
je suis allongé sur mon lit
l’eau coule encore
je me demande ce qu’elle fait
au bout d’un quart d’heure elle sort de la salle de bain
elle retourne dans sa chambre
je mets un cd

***

le soir elle dit à maman qu’elle ne veut pas manger
qu’elle ne se sent pas bien
le repas se passe comme d’habitude
je regarde les experts à la télé avec les parents
je chatte un moment sur msn
je discute avec thierry
on ne parle pas de ça
je pensais qu’on en parlerai
mais il n’y a rien à dire
ma soeur est dans sa chambre
je l’entends écrire des textos
elle raconte ça à toutes ses copines
peut-être
je me demande comment elle présente le truc
mon frère m’a forcé à le sucer
j’ai sucé mon frère
j’ai fait une pipe à mon frère
je ne sais pas
moi je n’aimerais pas raconter ça à tout le monde
peut-être qu’elle n’en parle à personne
moi à sa place je n’en parlerai à personne
thierry va se coucher
il est minuit et demi
je traine encore quelques minutes sur des sites de cul gratuits
je vais me coucher aussi
il est une heure du matin
dans la chambre de ma soeur c’est le silence
pendant quelques jours elle me lancera des regards de pure haine
et puis ça se tassera

Confrères Tourguenieviens du week-end, bonjour.

Bientôt la fin de la torture…
Merci mon Dieu…
Merci Tourgueniev

Bientôt, comme elle, je sortirai de ma boîte…

En attendant, je vous conseille vivement d’aller voir les travaux de Yoshitomo nara

Old par Gu. le 26 Oct 2002

Minuit pile

Old par igor le 28 Nov 2003

crucifié /

la femme est partie avec les drogues –

Old par felix le 27 Nov 2004

environ 6 heures de retard sur le plan

je redispose les petites briques de temps d’une autre façon pour pouvoir m’en sortir,
ça ne sera ni la première, ni la dernière fois que je procéderai ainsi

futur simple

Old par M. Fox le 18 Mai 2003

D.T.C.

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No d’annonce : 55Paru le : 21/01/2006

Association : ASSOCIATION DES SYMPATHISANTS DU « DANS TON CUL ! » (ASDTC).

Activité(s) : Action socio-culturelleNo de parution : 20060003Département (Région) : Alpes-Maritimes (PROVENCE-ALPES-COTE-D’AZUR)

Lieu parution : Déclaration à la sous-préfecture de Grasse. Type d’annonce : ASSOCIATION/CREATION

Déclaration à la sous-préfecture de Grasse. ASSOCIATION DES SYMPATHISANTS DU « DANS TON CUL ! » (ASDTC).

Objet : rassembler les personnes qui répondent oralement par l’expression « Dans ton cul ! » aux questions qui leur sont posées avec le mot « où » par leur proche entourage, dans le milieu non professionnel ; peut, en outre, adhérer à la présente association toute personne sympathisant avec cette pratique verbale, sans toutefois la pratiquer elle-même.

Siège social : 11, rue de la République, 06370 Mouans-Sartoux.

Date de la déclaration : 12 décembre 2005.

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SRC = Le Journal Officiel

kézaKO

je te connais Igor, tu ne m'échapperas pas

Orad je t’aimes
Comme un serum de cerumen
Adore moi et partons ensemble
Sur les voies de la haine

Ni rime, ni joie, ni peine.. inutilité du phrasé, zéro monsieur !

Old par Rodia le 22 Nov 2002

le sexe, ça n’intéresse personne… (2)

– Qu’est-ce qu’une bigote ?

– Une goth qui porte deux fois plus de crucifix que les autres.

[rires]

[jingle]

[pub]

« IL FAUT REVALORISER

LES VALEURS, M’DAME CHABOT !!!!!! »

(un ex-candidat bourré à la goutte)

Old par ... le 29 Avr 2007

J’ai caressé tes seins
Bu tout ton lait.
Parti chercher du pain,
Tu es allé
Sans me laisser
Sur le calepin
De quoi t’appeler
06 61 63 58 84



non non je suis très content

de mon studio-neo-cheap-à-pilotis

seulement pas de chance

je suis au 2e tout à droite

là où ils ont monté la porte à l’envers

du mauvais côté de l’escalier

c’est surtout dangereux quand je rentre le soir

un peu gris



sinon c’est moderne




Old par -- Zan le 04 Juin 2003

une pensée pour David.

Old par igor le 14 Juin 2003

le récitant qui peut aussi se nommer Philippe Aronson : les hommes se branlent et les filles se bidouillent.

Old par igor le 14 Avr 2003

www.spokevousparle.com

Old par Gu. le 15 Avr 2003

guerre et pets

Mets ton masque à gaz Sokolov

Que tes fermentations anaérobies

Fassent éclater les tubas de ta renommée

Et que les vents irrépressibles

Transforment abscisses et ordonnées

En de sublimes anamorphoses

My Own Private Oscar Wilde

il y a une tache de sang

qui refuse de disparaître

de mes draps

et pourtant avant chaque lavage

j’applique le diable détacheur

du Dr. Beckmann

petite bouteille de plastique vert

dont la raison d’être

est l’extermination

des taches

de pus, sang et sperme

oui, le diable détacheur

est l’ami des draps

qui ont une vie active

mais

à chaque fois

la tache revient

changeant de couleur

passant du marron

au pourpre

et s’aventurant même

jusqu’au kaki

alors

trêve de Laperruqueries

si le fantôme de Canterville

a reprit du service

ça me fait quand même un peu flipper

La trahison des images était si manifeste qu’elles en devenaient presque attendrissantes

Old par M. Fox le 02 Mai 2003

que se passerai-t-il si on découvrait que Hansel et Gretel n’étaient pas uniquement soeur et frêre, mais aussi amants?
que dirons les Authorités Contiques lorsque tout le monde saura que leur position favorite était la levrette?

Old par Gu. le 25 Mai 2003

*** publicité onirique des temps modernes ***

pour venir à bout de tous vos problemes

buvez de l’alcool!

en effet, rien ne résiste à l’alcool,

(il dissout tout, hormis l’alcoolisme)

Où est la vie ?

Hors de la question, hors

d’atteinte, dans les chambres des autres. C’est la

nuit, je joue au fièvreux ; voyageur

d’états extrêmes bien au-dessus de

ce que je fais d’habitude. Pousse mon ami, étends

toi, mets toi à la place des dieux et regarde toi.

Pourquoi s’arrêter maintenant ? Ecrit dans la sauvagerie,

la résistance au confort du sommeil. J.P.R m’écrivait

l’an dernier : « Il n’y a pas de tragique dans le mail, nulle part, d’ailleurs

aussi. »
Ecrire pour la lumière, contre la nuit. Je me

souviens des états de jeunesse, lorsque j’écrivais

dans la chambre de Levallois la première phrase

scandaleuse en regardant la lune. Je l’avais appelée

« PUTAIN ! » Où est la vie ?

Et aujourd’hui, qu’as-tu encore dans le ventre ?

Les traits traversent les périodes,

les amours, les chambres, et tu sais qu’à partir de demain,

il faudra continuer. La légende est la suivante, je

l’invente : prologue écrit dans les tranchées avant

la pluie d’obus, sur ce petit carnet noir.


Où est la vie ?

auto-urgueniev cet eros

Dans son regard absent
Et son iris absinthe
Tandis que Marilou s’amuse à faire des vol
Utes de sèches au menthol
Entre deux bulles de comic-strip
Tout en jouant avec le zip
De ses Levi’s
Je lis le vice
Et je pense à Caroll Lewis.

Dans son regard absent
Et son iris absinthe
Tandis que Marilou s’évertue à faire des vol
Utes de sèches au menthol
Entre deux bulles de comic-strip
Tout en jouant avec son zip
A entrebailler ses Levi’s
Dans son regard absent et son iris
Absinthe dis-je je lis le vice
De baby doll
Et je pense à Lewis
Caroll.

Dans son regard absent
Et son iris absinthe
Quand crachent les enceintes
De la sono lançant
Accord de quartes et de quintes
Tandis que Marilou s’esquinte
La santé s’éreinte
A s’envoyer en l’air…

Lorsqu’en un songe absurde
Marilou se résorbe
Que son coma l’absorbe
En pratiques obscures
Sa pupille est absente
Mais son iris absinthe
Sous ses gestes se teinte
D’extases sous-jacentes
A son regard le vice
Donne un côté salace
Un peu du bleu lavasse
De sa paire de Levi’s
Et tandis qu’elle exhale
Un soupir au menthol
Ma débile mentale
Perdue en son exil
Physique et cérébral
Joue avec le métal
De son zip et l’atoll
De corail apparaît
Elle s’y coca-colle
Un doigt qui en arrêt
Au bord de la corolle
Est pris près du calice
Du vertige d’Alice
De Lewis Caroll.

Lorsqu’en songes obscurs
Marilou se résorbe
Que son coma l’absorbe
En des rêves absurdes
Sa pupille s’absente
Et son iris absinthe
Subrepticement se teinte
De plaisirs en attente
Perdue dans son exil
Physique et cérébral
Un à un elle exhale
Des soupirs fébriles
Parfumés au menthol
Ma débile mentale
Fais tinter le métal
De son zip et Narcisse
Elle pousse le vice
Dans la nuit bleue lavasse
De sa paire de Levi’s
Arrivée au pubis
De son sexe corail
Ecartant la corolle
Prise au bord du calice
De vertigo Alice
S’enfonce jusqu’à l’os
Au pays des malices
De Lewis Caroll.

Pupille absente iris
Absinthe baby doll
Ecoute ses idoles
Jimi Hendrix Elvis
Presley T-Rex Alice
Cooper Lou Reed les Roll
Ing Stones elle en est folle
Là-dessus cette Narcisse
Se plonge avec délice
Dans la nuit bleu pétrole
De sa paire de Levi’s
Elle arrive au pubis
Et très cool au menthol
Elle se self contrôle
Son petit orifice
Enfin poussant le vice
Jusqu’au bord du calice
D’un doigt sex-symbole
S’écartant la corolle
Sur fond de rock-and-roll
S’égare mon Alice
Au pays des malices
De Lewis Caroll.

Serge Gainsbourg

Old par Gu. le 17 Mar 2005

Au mieux, les organes et les membres sont en double. Ca me fait une belle jambe…

Old par DrT le 19 Mar 2003

…trop tard…


Old par -- Zan le 08 Avr 2003

C’est le cadet de mes sushis >>>>>>>>>>>

……………………………………………………………………………………………………………………………………………………(pour Astrid)

Parce qu’il y avait ces retours de la joie, ces découvertes incongrues venues de nulle part, nous décidions de racheter notre temps, de recommencer à attendre ; par exemple, au bord de l’eau, guettant je ne sais quoi, un bateau, une mouette à l’œil sévère qui m’avait impressionné dans la photographie de Joseph Koudelka ; en ville aussi, dans un restaurant, discutant à la fois de livres, de désastres, et de nuits qu’il nous faudrait passer pour honorer ce changement. Nous ? Qui sommes-nous ? Le temps, les années, hommes, femmes, animaux même, défis insensés pour relever un monde mortifère, ennuyeux le plus souvent, où vous (femme quelconque, toute femme) vous vous plaigniez que personne ne sache vous guider ou vous prendre tout simplement, regardant en face le temps, les années à venir, les directions possibles à partir d’un baiser, d’un pas, d’un engagement ; je me rappelle ce jour où nous avions marché dans le parc du luxembourg sur une carte géante et qui représentait la nation française ; nous riions je me souviens, mais il y avait là de quoi nous rendre heureux : parc, été, vos yeux curieux de mes yeux, le monde discret derrière nous, des enfants, ou un homme qui lisait le journal et vous m’aviez juré de ne pas regarder les tragédies planétaires, les titres gras sur la feuille que l’homme lisait en tremblant ; assis je me concentrais sur vous, moi, encore cette affaire de temps qui réunissait tout ce que j’aurais pu vous dire, par amour qui multiplie les regards sans jamais les identifier, modalités changeantes, théories diverses, exercices de mise en jambe, pas de mise à niveau, oubliez les niveaux : nous avions choisi le dérapage, la pré-vision, la balade autour de la littérature, malgré notre souhait de l’écarter, elle revenait sans cesse se joindre au monde si bien que nous savions plus qui imitait l’autre ; finis les remontrances, l’homme qui lisait le journal avait l’air de redouter l’emphase, mais à partir de cette journée ce fut le mot d’ordre, la déviation constante, le balayage des saisons, le rattrapage du passé, l’anticipation romanesque de nos prises de position sur les choses, fermes et toujours à réévaluer, et enfin, dans le crépuscule où nos chemins nous séparaient, j’avais juré ceci : MUTATIONS, AVENTURES, ENSEMBLE.

Minuit pile

je suis ton père.

Old par igor le 08 Oct 2003

Elle pleure sur ses genoux, elle n’est pas particulièrement pliée en deux, mais ses larmes tombent sur ses genoux. Elle sanglote doucement, pas de soubresauts ou alors des soubresauts calmes. De temps en temps elle les essuie, mais elle ne les sent presque pas. Elle regarde ce qu’elle ne voit pas en face d’elle. Ses yeux sont gros, gonflés rouges, et humides, on peut voir ses pupilles à la loupe, les larmes se succèdent. Des soupirs, quelques râles un peu rauques, des mots à peine chuchotés, est-ce la peine de les dire. Les mêmes depuis toujours les mêmes qui agitent les jeunes filles quelque soit leur peine. Celle-là a cent trente ans et elle pleure tous les soirs. Ses plaintes ressemblent à des prières qu’elle ne peut proférer à voix haute. Femme damnée mariée à un vampire que tu ne peux mordre. Il apparaît derrière elle. Il faut sortir maintenant, il faut survivre ce soir. Il dénoue le chignon qui lui couvre la nuque, sans la toucher ; elle a un nouveau sanglot. Mariés pour toujours, amants éternels, peuvent-ils vraiment se toucher ? Il n’y a que son sang à lui qu’elle voudrait boire, mais elle doit sortir, quitter ce château la nuit, le seul moment qu’elle pourrait passer avec lui. Elle se lève, met sa cape, étale ses cheveux, maquille ses yeux, aiguise ses dents. Rayonnante, il la trouve belle, mais il n’est pas temps de la désirer. Ils sortent. Il passe devant elle et la quitte jusqu’au matin (chasse séparée d’un couple maudit). Elle part dans les rues sombres. Ils ne tardent pas à l’entourer. Ils sont dix, et elle se défend à peine quand ils la traînent dans l’impasse. Sa cape est déjà maculée, ils déchirent sa jupe. Ils lui ouvrent les cuisses, deux d’entre eux la tiennent par les bras, un troisième commence à la forcer. S’étonnent-ils de ses yeux immobiles qui ne craignent pas ? Ils ne l’ont pas regardée. Maintenant elle regarde ceux qu’elle n’entrevoit qu’à peine dans la pénombre en face d’elle. Ses yeux deviennent un bulle de couleur glauque, deux rangées de dents rougies s’ajoutent aux siennes, sa peau se transforme écaille de diable, puissamment son cou s’élance vers les hommes qui sont restés au fond, elle les mord, si vite, presque tous en même temps. Ils n’ont pas le temps de la voir. Elle pousse un cri que personne n’entend ; la bête a rugi, le cri résonnera mille ans et les anges aux trompettes descendront du ciel détruit pour la noyer. La bête à une tête a mordu sept têtes. Sept corps au sol, et les trois autres qui ne se sont aperçus de rien. Quand l’homme entre les cuisses a fini de manœuvrer, il la regarde enfin. Il se rend compte qu’il vient de baiser un monstre. Elle le tue, et mord les deux autres avant qu’ils n’esquissent le geste de la fuite. Le vampire est repu. Elle renoue ses cheveux, puis se dirige vers son château où seule d’amour éternel elle pleurera encore.

Testimonial

JR enjoyed
creating confusion and embarrassment –
but (Mrs Josephson insists)
he was always very courteous.
The young people were very upset by this.
They told JR that
it was a very shocking thing to do. He laughed.

Old par JLB le 17 Sep 2005

Old par To le 22 Déc 2006

Bravo Ludo !

Old par Nicolai le 24 Sep 2002

jeunesse

lotus, ctgr - mon coeur (Photos cb., ArnO Feret)



————————–jo



————————————–li



—————automne

Old par -- Zan le 04 Nov 2003

burn down the disco

hang the blessed DJ
because the music
that they
constantly play

IT SAYS NOTHING TO ME ABOUT MY LIFE

hang the blessed DJ
because the music
that they
constantly play

IT SAYS NOTHING TO ME ABOUT MY LIFE

Old par igor le 01 Avr 2003

FISHERMAN’S BLUES (WATERBOYS)

I wish I was a fisherman

tumbling On the sea

far away frOm dry land

and its bitter memOries

casting Out my sweet line

with abandOnment and lOve

nO cieling bearing dOwn On me

save the starry sky abOve

with Light in my head

and yOu in my arms

Saint-Tropez, juillet 2004


Old par JLB le 31 Août 2004

Beuarg



Les gens croisés ont l’air un peu pâle, certains restent debout sans bouger, comme des fantômes, d’autres arborent une expression vide, oeil vitreux tête penchée, déambulant entre deux nécessités. Ils rotent anormalement souvent. Dès qu’ils se croisent, (beuarr) dès que l’un de leurs congénères apparaît dans leur champ de vision, leurs visages s’animent mollement, pris de spasmes lents, et ils rotent (beuarr). Pas longtemps, pas fort, de petits rots allant du crissement du grillon (brrêê) au gargouillis de bouche d’égoût (BOWARR), un véritable concerto des marais. Certains, souriants, sont en larmes ; d’autres vomissent à gros bouillons (beuargl), exhalent des vapeurs gastriques rougeâtres, trissent des jets bileux fumants (splitch), régurgitent en rafales les plus policées des sentences, éructent les plus courtoises et avenantes salutations (beuarr), déglutissent souhaits et apostrophes de circonstances, la folie dans le regard et les mains moites. Les plus enthousiastes éructent à n’en plus finir de longs borborygmes stomacaux à longueur de couloir (beeuuaaarr), les bras écartés, et essaient de coller des bises ferventes alentour.

Old par ... le 03 Jan 2006

Paradoxalement, ces terroristes numériques naîtront de mouvements
collectifs hostiles aux nouvelles technologies et que l’institut
baptise les « refuznik « . Pour 58 % des sondés, ces refuznik essaieront
par tous les moyens, y compris le terrorisme, de perturber le fonctionnement
du réseau.

Old par To le 02 Oct 2006

« Sida, sida, sida. Nous n’entendons rien d’autre. C’est du terrorisme. C’est une guerre psychologique. Le sida est un virus paisible. Si vous restez propre, il n’y a pas de problème » a affirmé le dirigeant de la Libye.

Old par M. Fox le 15 Juil 2003

miaow…

En Décembre, ne cherchez plus a comprendre…

le début de la fin ?

Old par igor le 26 Sep 2007

alors je suis allé vomir sur la corniche

Old par -- Zan le 17 Déc 2002

Pendant ce temps, la fin de la bobine frappe sur le
bord de la machine
Le spectacle est terminé

ça se passe de commentaire, non ?

Old par -- Zan le 25 Sep 2003

J’aime pas écrire.

Old par Rodia le 18 Avr 2003

Minuit pile

Old par igor le 25 Déc 2003

"Harry Potter a ouvert des millions d’enfants à la lecture"

« Il s’est mis à la machine à écrire le jour où il était malheureux comme les pierres à cause d’un incident ridicule ou d’une vraie tragédie qu’il ne révélera jamais sous son aspect authentique parce que cela lui est impossible. Mais il ne tient qu’à vous de reconstituer le drame à la lumière de votre propre expérience et tant pis si vous vous trompez du tout au tout sur cet homme qui n’est peut-être en fin de compte qu’un joyeux luron mythomane ou un saligaud de la pire espèce toujours prêt à baiser en douce la femme de son voisin. Qu’il ait pu écrire les deux cents pages que vous avez sous les yeux doit vous suffire. Qu’il soit l’auteur d’une seule petite phrase du genre : « A quoi bon vous tracasser pour si peui, allez donc faire un somme en attendant », le désigne déjà à nous comme un miracle vivant. Même si vous deviez oublier cette phrase aussitôt lue et n’y repenser que le jour où tout va de travers, à commencer par le réchaud à gaz ou la matrice de votre femme. Et si par hasard vous avez la prétention de devenir écrivain à votre tour, ce que je ne vous souhaite pas, lisez attentivement et sans relâche. Le Littré, les articles de dernière heure, les insertions nécrologiques, les bulletins des menstrues de Queen Lisbeth, lisez, lisez tout ce qui passe à votre portée. A moins que, comme ce fut souvent mon cas, vous n’ayez même pas de quoi vous acheter le journal du matin. Alors descendez dans le métro, asseyez-vous au chaud sur le banc poisseux – et lisez ! Lisez les avis, les affiches, lisez les pancartes émaillées ou les papiers froissés dans la corbeille, lisez par dessus l’épaule du voisin, mais lisez !

Si votre bonne étoile est avec vous, vous avez une chance de trouver une connasse à la traîne qui ait la chatte en éruption, ce qui vous assurera le lit en espérant mieux. Mais une fois casé par la Providence généreuse, n’oubliez pas de lire ! »

Louis Calaferte, Septentrion

le récitant : belle soirée mais j’arrive pas à être content.

Old par igor le 28 Mar 2004

elle a dit mutique

et j’en reste coi

j’ai repensé à cette histoire de FdM.
et c’est toujours la même question qui revient…

C’est ainsi que nous frappons le tambour sur les îles occidentales…
Ecoute nos voix, viens danser avec nous. Tu aimes notre chant, n’est-ce pas ? Il conte les amours de la reine des fées et d’un mortel. Ouvre ton coeur. Entend nos voix mélées à toutes les voix de la terre des hommes, écoute l’histoire, écoute la…
écoute

Old par M. Fox le 02 Mai 2002

Lu Sur NoblOg (…)

Old par Gu. le 05 Juin 2003

Minuit pile

je suis un arbuste

Old par igor le 27 Oct 2003

tache 03/06 accomplie
commencer tache supplémentaire ?

Old par M. Fox le 19 Mai 2003

enFiling Ze Pearls

Je veux mourir étouffer dans un utérus

c’était très étrange

même dans le cadre expérimental du labo

Kiki continuait à s’exploser la tête spontanément

Old par -- Zan le 01 Juil 2003

je tenais à remercier tout particulièrement Serge Gainsbourg, qui écrit toutes mes chansons depuis 10 ans,

merci Serge !

merci !

Old par M. Fox le 14 Jan 2003

Paris est sans doute le point le plus éloigné du paradis
mais c’est le seul endroit où il fait bon desespérer.
(Cioran)

Il y a du soleil sur Paris, le brouillard ne peux plus lutter, il se cache à l’est.
Cette fois, tu n’aurais peut-être pas du partir,
peut-être est-ce ça « L’Imprudence« .
A l’est rien de nouveau, ici, une lame de fond fait le ménage, discrètement.
Plus un nuage, le temps idéal pour aller voir les galaxies sur le mont Valérien.
Les étoiles t’attendent.
Dépêche-toi, on a tout le temps…

Fatigué, repris cours de photographie,
moulin à paroles pour les images des autres
(monologue devant des têtes silencieuses) — numéros
comme d’hab. — je fais le pitre, j’amuse la galerie ; dehors il pleut
(une étudiante me dit : « mais qui est-il ? ») — nous
avançons dans la journée qui s’opacifie, en même
temps que mon regard fatigué.(Demain idem).

Une aube nouvelle

J’ai survécu

une fois encore

De mes petites dents

j’ai surement tué

je ne sais plus qui

ni combien de proies

mais le goût du sang

est toujours sur ma langue

Les instincts du tueur

sont plus forts en cette saison

je ne peux m’en défaire

A la lueur de la Lune

je chasse

et mon coeur sourit

Old par M. Fox le 27 Juin 2003

BomBomBomBOMBOMBOM… Farfadets en bottes ferrées, quel tintamarre !!

Mes yeux s’ouvrent sur un univers d’obscurité… je ne me rappelle plus… ou un peu… tout me revient… l’invocation, le petit pain, puis…

Des contours se distinguent dans mon néant, par leur volonté les murs paranoïdes ont décidé de se montrer. Ils semblent irréguliers et friables, quelle est donc cette prison dans laquelle je suis enfermé ?

Comme un nourrisson explorant les méandres de son corps je prend conscience de mes jambes et de l’épaisse mélasse qui s’est infiltrée dans mes pantalons de velours et mes souliers vernis. Marécage clos et lugubre, serais je dans le rêve cauchemardesque d’un lézard agoraphobe ?
Si c’est ça alors les marécages ont une odeur sucrée, et je suis presque sûr que non, quoique je commence à douter de mon existence même.
Ma main plonge de son propre chef dans le liquide poisseux et en monte les remugles à mes lèvres.

Papilles gustatives prêtes mon général, attente de vos ordres !!!

Myrtille… c’est bien ça, c’est de la myrtille nom d’un grognard en papillotes !

Quel imbécile ai-je été ! Pour qu’un Tourguy se promène ainsi en pleine lumière il ne pouvait être frais éclos de la Matrice Vernienne, il a retourné le piège contre moi. Au moins la gueule de bois est passée, toujours ça de gagné.

Instinct du guerrier, formation de peintures Pictes fruitées sur mes joues, le combat n’est pas fini, il ne fait que commencer.

Comment sortir d’ici…

Old par Rodia le 05 Juil 2002

Je suis Dany Dan.

Regarde-moi bien dans les yeux.

Je vais compter jusqu’à trois et tu vas t’endormir.

UN.

Tu respires profondément …

Regarde-moi bien dans les yeux ...

First shots

REPORTAGE

A 105 CM


juste avant minuit
je te regarde marcher dans la pièce en désordre
soupeser chaque objet
observer la fine couche de poussière qui recouvre tout
ma chambre
tu es nue
tu n’es pas là
je suis seul
et fou

Old par igor le 15 Août 2002

La phrase de ma journée
J’ai un gros cutter parce que je suis un garçon.
Guillaume E., fonctionnaire cocouin

le mot de la fin

Old par igor le 14 Oct 2002

M.D.M.A

Old par Gu. le 24 Mar 2003

Bon. Je voulais écrire un truc un peu littéraire et surréaliste pour commencer…
Mais d’abord je tenais à dire : féchiébordeldemerde !
Je fais quoi, moi, sans téléphone ?
J’ai pas appris à vivre au Moyen-Âge, moi.

BIEN ENTENDU QUE JE SUIS JOYEUX !

A la trappe !



Eureka, (premier mot avec k compte 10 points) je viens de calculer la trajectoire du tourguenisme en installant Linux : le tourguenisme ça avance ça on le savait, mais depuis peu on s’est aperçu que ça tournait aussi. Donc, mine de rien ça prend la forme de la grande gidouille idéologique et (mé)théorique, uzumaki (deuxième mot avec k compte 10 points). Plus j’y pense en surfant mode texte plus je me dis que ça devait arriver un jour ou l’autre cette rencontre ubuigor, mine de rien… Tout le monde à la trappe, de par ma chandelle verte, merdre, suffisait de lire entre les lignes pour en voir les prémices barbaresques.

Old par igor le 21 Jan 2005

Je sais pas ce qui se passe
Je sais pas ce que ça veut dire
Je sais pas comment tu t’appelles
Je sais pas si tu m’aimeras
Je sais pas si je t’aimerai
Je sais pas si…
En fait…

Je sais pas grand chose.

Old par igor le 25 Juil 2002

[admitted]Fact : Les amis de mes amis sont mes amis

[counter]Fact : Mes amis sont tous des disruptions clonées de moi même

Les amis de mes amis sont tous des propagation de cette mutation. Ils sont des clones de mes amis.

Old par JR le 25 Mai 2003

Sur fond de peur panique, essayer d’exécuter tranquillement les gestes du quotidien
Coûte que coûte…

contempler le reflet

qui tapisse l’interieur

de la bulle qui flotte

au dessus de l’eau

24 images seconde

défilent translucides

sur menbrane irisée,

fragile, & flop, générique

Old par Gu. le 08 Déc 2003

Shoot him before he…

Old par JLB le 15 Oct 2005

IT’S ALIVE – RIP LARRY BUCHANAN

Old par To le 26 Déc 2004

Igor Tourgueniev l'ami des stars
Mes amis les Stars
Old par igor le 11 Avr 2003

Bad & bad girl…

Feels so bad…

A doctor for her…

She’s so glad…

Old par Gu. le 03 Juin 2003

Il me semble m’être tissée une écorce cette nuit : mon corps est rigide,
tellement tendu.
Je guette les craquelures sur mes cuisses, mes hanches, mes seins.
Je me sens à l’étroit dans ce nouveau costume.
Ma peau en dessous de l’écorce cherche à respirer.
Encore une journée à devoir surveiller chaque mouvement, chaque parole.
Vais-je tenir?

Encore deux semaines de secrets, de rues qui disparaissent, et de mélodies inconnues.

Old par DrT le 17 Août 2003

d'en haut by Libellule
Exclusif : les lectrices de Tourgueniev sont nues sous leurs vètements !!

Old par igor le 24 Juil 2002

Web Waooooh !!!

Old par Gu. le 03 Juin 2003

la signification le sens la réalité de ce truc là est si pénible parfois à appréhender que l’on se demande si l’on doit ou même si l’on peut se permettre de continuer sans être de vils profiteurs ou si même il est possible de ne pas devenir un jour l’image elle-même plutôt que la réflexion maline et dénonciatrice de cette image en question en clair se retrouver sur la cible et recevoir les couteaux et quitter le rôle du beau ernesto zappa le lanceur fou pour se retrouver dans la peau de la douce mais impudique zoé gravillon qui a tant à dissimuler aux yeux du monde comme par exemple ses compromission avec jonas janus le directeur du cirque nain qu’elle voit en secret afin de lui soutirer de l’argent et des caresses buccales.
Old par igor le 14 Avr 2003

Ah ! Pardonne-moi !
Je suis un infame, et plus vil que les scorpions, que la fange et la poussière !
Tout à l’heure, pendant que tu parlais, ton haleine a passé sur ma face, et je me délectais comme un moribond qui boit à plat ventre au bord d’un ruisseau.
Ecrase-moi, pourvu que je sente tes pieds !
Maudis-moi, pourvu que j’entende ta voix !
Ne t’en va pas ! pitié ! pitié !
Je t’aime !

Old par M. Fox le 28 Avr 2003

Il se passe des choses…

Old par ... le 06 Fév 2006

« là ici »