Nocturbulle

« ceci est un message de libération d’espace »

Old par ... le 17 Mar 2005

Bienvenue sur le site des Amoureux Anonymes

Les Amoureux Anonymes sont une association d’hommes et de femmes qui partagent entre eux leur expérience, leur force et leur espoir dans le but de résoudre leur problème commun et d’aider d’autres Amoureux Anonymes à se rétablir.
Le désir d’arrêter d’Aimer l’Anonymat est la seule condition pour devenir membre des Amoureux Anonymes. Les Amoureux Anonymes ne demandent ni cotisation ni droit d’entrée; nous nous finançons par nos propres contributions. Les Amoureux Anonymes ne sont associés à aucune secte, confession religieuse ou politique, à aucun organisme ou établissement ; ils ne désirent s’engager dans aucune controverse ; ils n’endossent et ne contestent aucune cause.
Notre but premier est de demeurer abstinents et d’aider d’autres Amoureux Anonymes à le devenir.

©A.A. Eros, Inc.

Vu sur un blog

ha oui Nils, Barry ct le prophéte de l’amour, normal que personne voulait lui donner un organe quand tu vois les dégats que ca fait au coeur …

Ouais, super, était-ce vraiment nécessaire de lire ça (et je ne parle pas de la mort de Barry) ce soir ? Je veux dire, après avoir réentendu et revu tous les évenements qui m’ont fait mal ces deux dernières années ? C’était un complot, oui, certainement. Un commando qui s’est dit que tiens, pourquoi je n’irais pas mal, il y avait si longtemps…

Remarque, ça veut dire que demain, ça va être une très bonne journée.

D’ailleurs mon horoscope est formel, et ma boulangère aussi.

Old par motown le 06 Juil 2003

Bon néné

Old par JLB le 02 Jan 2006

Aquarium ce héros

« Popeye » is not caused by the size air bubbles that typical airstones produce. Gü bubble disease, the disease that has been suggested to you as a cause, is usually produced by air being taken up on the intake side of a pump, then churned up by the pump (which creates extremely tiny bubbles, and then spit out into the tank. Bubbles taken up on the out-take side or airstones do not usually produce bubbles small enough to cause the disease. In fact, in all my years, I have yet to see a case of Gü bubble disease not cause by air being pulled in on the intake side.

Also, with Gü bubble disease, you can usually see symptoms in other areas of the body as well, like under some scales or in the skin of the fins.

Your problem is more likely associated with a bacterial infection. This is often caused by an injury. The fish scrapes the eye (which is usually not seen by the aquarist) and later, sometimes weeks, the eye becomes infected. Sometimes the injury comes from being chased around the tank.

The bacterial infection can also be passed from fish to fish but this is less likely than the last scenario.

I have, ONCE, seen a case where a very large fish was caught up in a net to be moved and as he struggled in the net violently, an air bubble did get up into the eye. You could actually see the bubble in there. However, the eye never became infected and the air bubble cleared out on it’s own.

I just thought I would help out with this problem as we do an extreme amount of fish medicine here (like most public aquariums). And unlike most hobbyist, we have the ability to get necropsy feedback from a lab. (By the way, our on-exhibit mortality is virtually nil, but we do experience some mortality on new shipments in the first couple of weeks.)

Soudain tu n’étais déjà presque plus là

Old par -- Zan le 15 Nov 2002

ho non jean-robert!

t’endors pas dans les spaguettis!

Ce soir je dine avec Samantha


Et je sauve le monde.

Je lui ai dit que j’étais gravement malade
Elle a souri
J’en avais plus pour très longtemps
Elle a approchée ses lèvres
Je suis mort
Juste avant son baiser

Old par M. Fox le 05 Mar 2003


il ne s’est passé une journée dans ma vie sans que je ne pense à retourner à……..

CAMP ALAMAR


prochainement…

LA MALEDICTION DE VENUS

Acte I

Scène 1

entrent la reine Astrée et sa nourrice Judith, durant toute la scène Judith aide la jeune reine à enlever ses bijoux et les multiples élèments de sa robe.

Astrée : je suis lasse Judith, je dois avoir commis trop de crimes au nom de Venus pour que la deesse ne cesse de me tourmenter

Judith : comment cela, ma reine ? n’etes vous point une dévote, fervente adoratrice de la deesse ?

Astrée : Hélas, je le pense moi aussi mais elle semble ne pas l’entendre ainsi. Un de mes actes a dû susciter sa colère et depuis elle me poursuit de son implacable vengeance

Judith : je suis sûre que vous vous méprenez, ces processions que vous avez menées, vos offrandes régulières… la deesse ne peut être que satisfaite de vous. De plus je vous vois là avec moi parée des atours royaux, est-ce là le sort de ceux que les dieux ont maudits ?

Astrée : Judith, ma pauvre Judith ! Venus, la splendide, n’agit pas à visage découvert et je vais te conter comment elle se venge de moi de façon bien cruelle : il existe un chevalier, nommé Clystrion, qui vit fort loin de la capitale et qui possède quelques menues terres dans les marches de l’Ouest. Il a paru une fois à ma cour, une seule fois, pour mander quelque argent pour l’enterrement de son père.

Judith souriante : est-ce là une malédiction ?

Astrée : hélas ! Au premier regard pour cet homme, mon coeur s’est enflammé, j’ai bien essayé de le garder à la cour mais rien n’y fit, j’envoyais dans le même temps mes meilleurs espions en son manoir, pour savoir qui était mon bourreau et comment il vivait. Les nouvelles qu’ils me rapportèrent furent comme un éclair foudroyant ma courronne : le jeune homme maigre et à la paleur proverbiale du nom de Clystrion est fiancé à la jeune Hélona, fille du baron Karkandi. Leur mariage est prévu sous peu et je suis désemparée. Conseille moi, ma Judith !

Judith : oubliez le, ma dame, c’est la seule solution, ces deux là s’aiment et nul n’y peut rien !

Astrée : Judith, c’est mon coeur qui brule à ces parôles ! je n’en suis pas capable, cet agent de Venus déguisé en chevalier m’a percé le coeur. Je ne pense qu’à lui, je ne vis que pour lui, je gèle, je grille au grè de ses regards, comment l’abandonner ?

Judith tout bas : bien, ma reine, écoutez moi attentivement : nous allons dompter Venus et ses envoyés. Faites mander le chevalier près de vous pour un pretexte quelconque; quant à la jeune fille, écrivez à son baron de père qu’il envoie son enfant au couvent le temps qu’il faudra. On verra bien si la reine que j’ai nourrie de mon sein ne sait pas séduire un chevalier de province !

Old par M. Fox le 20 Juil 2002

relax…

c’est là que les aigles vomissent.

Old par M. Fox le 17 Déc 2002

Tu es un épice dans mon quotidien,

pas mon sel,

plutot un qui pique beaucoup

et qui fait pleurer

Ca va, je suis pas la Sainte Vierge,
je suis pas héroïque,
je suis pas un exemple…

je fais ce que je peux,

c’est déjà ça

Old par M. Fox le 05 Oct 2005

Bien mariner dans l’alcool toute la nuit
Et au petit matin se piquer au dard du soleil
Parce qu’il est plus pointu à cette heure-là
Et nous plus moelleux aussi
En espérant se retrouver
A côté d’un oignon sympa
D’une courgette gentille
D’un poivron rieur
————

Old par -- Zan le 22 Nov 2002

[konsstruktVOUSaime] / punKpoésie

il y a des gens qui ont peur

sans raison

il y en a de plus en plus

et les raisons sont de moins en moins concrêtes

de plus en plus les gens commencent à admettre que la peur ne dépend d’aucune cause

que c’est un monstre autonome

qu’il se nourrit de ce qu’il trouve et ne revendique rien

de plus en plus on croise ces gens hagards

ils marchent lentement dans les rues et ne regardent pas leurs semblables

quand on leur adresse la parôle leur corps tressaille et leur visage se fige

leurs yeux se vitrent

la peur s’empare d’eux à toute embardée

cette embardée est la plus petite que se permet l’étroit radeau de leur vie quotidienne

ils sont tristes

baisent peu et mal

leurs vêtements sont étriqués et de couleurs ternes

quand ils croient s’amuser ils ne font que perpétuer des codes

des conventions dont ils ont perdus le sens

ils rient mais leurs rires sont sans joie

ils crient mais leur voix est morte

ils dansent mais leur corps est lourd

en lire d’autres ? [konsstruktVOUSaime]

douce beauté

chinese tree

couleur

lotus, ctgr - comme la peau

on se refait pas


via Menstruel

Old par igor le 30 Août 2007

Je te retrouve enfin, mon amour !


Old par M. Fox le 17 Jan 2005

comme un dimanche eternel…

Old par M. Fox le 01 Juil 2002

Les corps fatigués ne nous déplaisent pas.

Old par Gu. le 01 Juil 2003

pliiiiize ?

dites donc Igor, on pourrais pas avoir un système de commentaires, nous aussi, comme nos camarades de OI ou comme maia majorette et thierry theolier ? non, pasque bon, je sais que votre blog est exeptionnel et tout ça tout ça, mais…bon, enfin, c’était juste une idée, hein…

Tourguenerie

On parle souvent de la dérive des continents.

On ne parle jamais de la dérive des incontinents.

REPARONS CETTE INJUSTICE !!!

Old par To le 03 Août 2004

hum


Old par -- Zan le 30 Déc 2004

and you know that.

« – Holy mother of God !! No one can compete motherfucking kushikatsu !!!!

Old par ... le 18 Juil 2005

Certains oiseaux, ils sont drôles, ils sont capables de renaître de leurs cendres.

(et peu importe la longueur du cou.)

On les appelle des « Phœnix. »

You can ask the dust, because she knows about it…



Par contre avec les humains, ça ne marche pas.

fallait pas rêver, hé



Oui mais , alors dans ce cas, à quoi bon se donner la mort ?


Unit 1 – Lesson 1 : WAR WITH A BLUE TIE


Old par To le 13 Sep 2005


samedi matin, pas encore 10h,
cherchant un peu d’amitié, de chaleur,
devant l’invasion de mon espace vital,
barricadé dans ma chambre,
je ressent le grand froid du stress d’autrui,
par le réseau, le téléphone et au travers de ma porte.
à la télé, une pluie de grenouilles, ça c’est bien cool, je me dis.
et en effet : c’est cool.
je suis fatigué de tout ça, je crois, pas de la pluie de grenouilles…
ça va passer.
j’avais juste envie de parler à quelqu’un de gentil et pas trop speed.
raté.

Old par igor le 18 Mai 2002

Je voudrais être un ours blanc, dans le froid polaire.

Les ours blancs ne doivent jamais pleurer.

PLUSIEURS

Principe

Se livrer à l’automatisme — lâché verbal, sans cibler l’intention — uniquement pour retrouver une logique, affranchie de la vigilance critique. Je veux parler de cette réflexivité sans pitié ; avant la fin d’une phrase en cours, l’œil noir du jugement sévit : Il n’aime pas. Trouve cela pauvre. Oublions cette tentation d’auto-destruction pour laisser venir ce qui doit venir : Le plus court est souhaitable.

(janvier 2002)

Des chambres, des appartements charmants, des promenades avec d’autres femmes, toujours d’autres femmes. Des discussions, un érotisme divertissant, puis ce retour en chambre où nos expériences fécondes me permettent de passer l’hiver tout seul. Depuis un certain temps, je séduis, mais je n’embrasse leurs bouches qu’à moitié, je m’érige en séducteur moyen, il faut bien se donner une contenance, le temps est si long et les divertissements parfois plus difficiles à aligner que les phrases.

Révolte

Le livre maltraité sauta au cou de son lecteur. Il parla. Le lecteur interloqué, écouta. Ainsi le livre commença à geindre. “Je déteste tes doigts. Et tu lis sans conviction. Tu n’es jamais concentré. Tu sautes une ligne sur deux. Lles verbes t’échappent et les adjectifs que j’ai eus un mal fou à trouver t’indiffèrent. Tu n’es qu’un gros con. Malheureusement, je n’ai pas beaucoup de pouvoir sur toi. ô gros con. Si tu penses que c’est avec ton argent que je peux t’appartenir, tu rêves naîvement. Sache que je ne suis pas une pute.. ” Et le livre aboya.. Le lecteur choqué alluma la télévision.

L’origine

Je suis né le 13 avril d’un père écrivain et d’une mère inconnue. Les journaux ne manquèrent pas de relever ce phénomène : “ Dans la nuit de jeudi à vendredi, le même nourrisson est sorti de l’utérus de 76 femmes différentes. Le père, furieux, décida qu’il ne resterait qu’un enfant et il congédia les mères. ” Comprenez alors l’ampleur de ma tourmente.

(août 2001)

À un moment, je sentis qu’une brêche s’ouvrait où s’entassaient mots et images, terreurs et jouissances ; je pouvais bien sûr tourner le regard et continuer ma vie d’homme ordinaire, mais — inépuisable mais, rigoureuse objection au confort — je plongeai de suite ma peau et mes yeux dans la brêche et je compris que pour avoir plus de lumière, il fallait que j’y demeure longtemps.

Elle

Pas un jour où il ne pensait pas à elle. Elle se laissait parfois saisir, puis lui faisant volte-face. Il la coursait, sans qu’elle fût devenue une ennemie. Il savait bien qu’un tel jugement sur elle l’aurait rendue à tout jamais hors d’atteinte. Depuis qu’il la convoitait, il avait fallu ruser : elle pouvait à tout moment l’intimider au point de le laisser choir. Pas question de créer un conflit, à coup sur il le perdrait. Elle s’offrirait à lui uniquement s’il était clair avec lui-même. Pourquoi une telle détermination à désirer posséder quelque chose qui n’a pas encore de visage? Il persévérait en dépit de son inconsistance. Malgré les railleries de son entourage, il avait une foi superbe et c’est pourquoi rien de l’arrêterait.

Du neuf et du vieux

Arturo vivait deux habitudes. Il me disait : “ Tous les jours je m’astreins à cette règle : Je reconnais. Je découvre. Du neuf et du vieux. Sinon le soir je ne dors pas. Mais je ne sais pas pourquoi. ”

Alors

Les motifs : esquisses, exercices. Les figures : répétées. Il doit y avoir quelque chose. En déchaînant, ces motifs et ces figures, en les reliant peut-être, j’apercevrai le tableau.
Fantasme : écrire un conte pour enfants.
Réunir des textes parmi des images. ( Plus de textes : effets d’élargissements : ouverture à la Biographie.)

Constructivisme politique captain america ?

Old par igor le 07 Avr 2005

JUSTE UN DOIGT ALORS…

Old par To le 22 Juin 2006

Comme en apnée

Sous-groupe bullaire n° 32-000303.
Nocturbulle détectée dans la nuit
Volume plus notable qu’à l’accoutumée
Prétentions idéologiques : 15 points
Marge de manoeuvre factuelle : 5 points (majoré réseau : 12 points)
Energie : réitérative/intersticielle
Productions : mode collectif multitâches.
Modes individuels variables mais nombreux. (cf. annexe 8)
Situation géographique : dématérialisée.
Réseau : lucidique/fibres optiques connexions multiplexées
Bouffons Morbides identifiés
Moines Oculaires identifiés
Gardes Persistants identifiés
Sorciers Protocolaires identifiés

Old par ... le 12 Mar 2005

Amour…

Maladie textuellement transmissible ?

Bientôt la corde !

Old par Rodia le 04 Jan 2003

Ghost in the Strange…

Old par Gu. le 06 Mai 2003

Do the evolution

Old par ... le 17 Juil 2007

L’attente pour poursuivre jusqu’au bout le dreamlight de votre voie n’
Est pas si facile pour moi maintenant.
La moitié du temps a décédé des
Choses nous avons pensé à hier
Revenu maintenant, revenez maintenant.

1885 : Masha Tourgueniev à la lippe boudeuse, 9 ans, dans son premier happening pour mandoline et panier double couvercle.


Old par Rodia le 28 Nov 2002

serge, ce héros —

« Pour éteindre le feu au cul de Marilou
Un soir n’en pouvant plus de jalousie
J’ai couru au couloir de l’hôtel décrocher de son clou
L’extincteur d’incendie »


tout est entre tes mains, désormais

Old par M. Fox le 28 Jan 2003

un vendredi qui restera dans les mémoires – tout le monde me hait – je perds mon téléphone – tout …

Old par M. Fox le 26 Mai 2002

la petite fille s’interrogeait en regardant sa poupée : était elle parmi les joueurs ou parmi les jouets ?

Old par M. Fox le 26 Avr 2002

In driving my car

under the blinding sky (…)

Old par Gu. le 24 Juil 2003

Indice bête

le jaloux de lui justement mord

mais ment-il seulement ou

est-ce lui-même qu’il dévore ?

ciao ciao coccinella

tu m’auras tout fait

et pourtant

je te baille bye

a moi les neiges de l’Alaska

et tout l’or du klondike

qui n’y changera rien

car désormais…

tu m’appartiens.

autOmne 2000

l’autObus café

première

pellicule

pOlarOid 500

distribuée

9 dOnnés

1 gardé

here

it

is

(…)
Old par Gu. le 22 Août 2003

This is hardcore

il y a un code dans mon coeur c’est le zéro absolu

Dieu est avec vous ?

on ne peut pas savoir ce qui va advenir oui on peut changer on peut évoluer on ne

Old par igor le 24 Oct 2003

Mais, alors, le tourguenisme ?

Aujourd’hui, l’idée m’a traversé que je pouvais être nul. Heureusement, raconter n’importe quoi me faire sentir moins ringard. Peut-être, finalement, ne vais-je pas me transformer en l’un de ces horribles bibelots qui changent de couleur en fonction de la température.

Old par DrT le 18 Mar 2003

arso_stream ne fonctionne pas ?

c’est par là => 81.53.150.66:8000/listen.pls

LE LIVE EST TERMINE

programme provisoire

00H00 Shio-Ran lit « la société du spectacle »

(écoute limitée à 10 auditeurs)

je suis karyotypic !

Old par igor le 20 Jan 2004

c’est toi chéri ?


va savoir …

j’ai tué la vieille du bout de la rue

elle était méchante avec ses enfants
il parait,
c’est des potes anglais
qui m’ont dit
(en fait elle avait plein d’fric)

Old par M. Fox le 08 Mar 2003

la compréhension de ses fantasmes philosophiques, ne percevant dans les yeux de ses interlocuteurs que des pupilles aussi rondes que la compréhension de ses fantasmes philosophiques, ne percevant dans les yeux de ses interlocuteurs que des pupilles aussi rondes que la compréhension de ses fantasmes philosophiques, ne percevant dans les yeux de ses interlocuteurs que des pupilles aussi rondes que la compréhension de ses fantasmes philosophiques, ne percevant dans les yeux de ses interlocuteurs que des pupilles aussi rondes que la compréhension de ses fantasmes philosophiques, ne percevant dans les yeux de ses interlocuteurs que des pupilles aussi rondes que la compréhension de ses fantasmes philosophiques, ne percevant dans les yeux de ses interlocuteurs que des pupilles aussi rondes que des billes de mercure brulant.

Old par M. Fox le 27 Juil 2004


Old par M. Fox le 26 Mai 2003

« Never trust a guy who after having been a punk is now playing electro…« 

Old par Gu. le 04 Mar 2003

cinq heures pile

5 heures du mat’ j’ai des frissons / Je claque des dents et je monte le son / Seul dans mon lit Dans mes draps bleus froissés / C’est l’insomnie / Sommeil cassé / Je perd la tête / Mes cigarettes sont toutes fumées / dans le cendrier / C’est plein de Kleenex et de bouteilles vides / J’suis tout seul, tout seul, tout seul / Pendant qu’Boulogne se désespère / J’ai d’quoi m’remplir un dernier verre.Clac !fait le verre en tombant sur le lino / J’m’coupe la main en ramassant les morceaux / Je stérilise, les murs qui dansent / L’alcool ça grise et ça commence.. …sur les moutons, sur le parquet…

Ba-ba-bamp-ba ba-ba-ba-bamp-ba I wanna be sedated

Ba-ba-bamp-ba ba-ba-ba-bamp-ba I wanna be sedated

Ba-ba-bamp-ba ba-ba-ba-bamp-ba I wanna be sedated

Ba-ba-bamp-ba ba-ba-ba-bamp-ba I wanna be sedated

Old par To le 07 Déc 2004

Ce soir je vais à la plage.

On jouera au ballon prisonnier
et aux chaises musicales.

Comme dans un show TV
de samuel beckett
ou de gertrude stein…

0001010100000111010011000010…ad lib.

Je suis en train de faire
Une bétise monu-(mentale)

Old par Gu. le 02 Mai 2003

BONHEUR BONHEUR BONHEUR BONHEUR

Old par A venir le 16 Oct 2002



[…] Certes,

monsieur Tourgueniev,

mais il y a plus intriguant encore

que les ambiguïtés de l’oeuvre du sieur Tolkien,

auteur culte pour les Beatles et les post-beatniks, mais aussi

écrivain adulé par plusieurs générations de trublions pagano-fascistes.

Enchaînement hypertextuel, accrochez-vous : si l’on clique sur ce fameux « Julius Evola »

(théoricien du fascisme et adepte du bouddhisme tantrique), celui donc que vous évoquiez dans

votre post, on tombe sur son vieux compagnon de route français « Jean Parvulesco ». Qui

c’est suilà, me demanderez-vous ? Et bien c’est un écrivain fasciste, tendance

mystico-psychotique, concepteur du « grand-gaullisme », un truc que

je serais bien incapable de vous expliquer (en gros, Parvulesco

est une sorte de Dantec qui aurait mal tourné – je veux

dire : vraiment mal tourné). Il faut décidément

être un lecteur monomaniaque de

Pierre-André Taguieff pour

savoir ce genre de truc,

me répondrez-vous,

mais bon je vous rassure

j’ai arrêté depuis longtemps.

Bref, à ce stade de la lecture vous

vous êtes probablement déjà allumé

une cigarette magique et vous êtes parti

contempler les hiéroglyphes envoûtants de

notre amie Gü, un peu plus bas, et vous avez

bien raison. Pourtant c’est là que ça se corse : Jean

Parvulesco est le personnage mythique qui est au centre

d’une séquence non moins mythique du film « A bout de souffle »,

que j’ai eu la bonne idée de revoir l’autre jour (actuellement disponible

à 2,99 euros chez cdiscount.com, une affaire à ne pas manquer – à noter aussi,

le film « Zombie » de A. Romero est disponible à 4,99 euros, d’ailleurs si quelqu’un peut

l’acheter et ensuite me le prêter ça serait super cool). Donc, vous aurez bien sûr identifié la fameuse

interview de Jean Parvulesco à Orly par Jean Seberg (Patricia dans le film), où l’écrivain chauve (tiens tiens)

est magnifiquement campé par Jean-Pierre Melville (qui pour l’occasion s’est inspiré de Nabokov himself, genre

dandy-mégalo-misogyne-désinvolte-etc…, le résultat étant une séquence incroyable où les dialogues

et les faux-raccords sont maniés avec une absolue perfection, une sensation assez proche

du vertige koozilien). Tout cela je l’ai déjà expliqué à des alcooliques sur une liste

de diffusion, mais ils n’ont bien sûr rien capté. Donc c’est là où je voulais

en venir, si quelqu’un pouvait enfin m’expliquer ce qu’un fasciste

notoire fout au beau milieu d’un film de Godard, j’achète

illico. D’autant que ce personnage bizarroïde joue

aussi (en vrai cette fois-ci) dans un film de

Rohmer dont j’oublie toujours le titre

et que je n’ai d’ailleurs jamais vu.

Et voilà comment on passe de

Tolkien à Rohmer en un clin

d’œil. La classe absolue.

Merci d’avoir tenu

jusqu’au bout,

bonjour

chez

v

o

u

s


« Se prélasser sans se presser est la pire des malédictions pour le jeune chien fou« 
Karl Marx

« A présent, la fanfare fait rage, de la plus déraisonnable manière. Je n’ai jamais rien entendu de semblable : ce n’est ni une marche, ni une danse, mais plutôt des ritournelles passées de mode et vraiment abjectes, venant du siècle passé« 
Friedrich Nietzsche

Old par igor le 10 Déc 2002

Old par igor le 20 Juil 2003

Arrête de faire l’andouille avec ta casquette !

L’amitié, c’est comme… (sur un air connu)


Old par M. Fox le 18 Jan 2004

survol de st-ouen

Old par M. Fox le 02 Mai 2003

Une nuit, le pacifique.
Deux jeunes filles sont installées au bord de la piscine vide, transats dépliés, pulls enfilés, surplombant la baie.
Une brise venue de la mer fait claquer les volets du vieil hôtel.
Attente. L’île toute entière retient son souffle.
Catherine indique une direction à Una.
– la première explosion… je crois.
– si tôt..?
Cathy prend la main de son amie, l’embrasse.
Elles observent la lumière qui grandit.
– oui… c’est la fin.
– enfin.
Une autre lueur vers le sud, puis une autre, et…
Un vent chaud, terriblement chaud frappe l’île.
– je t’aime…

I worship a god with an elephant head !
Gideon Stargrave

Old par igor le 25 Juin 2002

dravion

Old par Gu. le 10 Nov 2003

En fait, ce sont juste des gens de dans 6 000 ans qui croient qu’on joue un jeu de rôle, comme nous jouons sur des thèmes médiévaux.

Qu’on y est même très forts.

Alors pour eux, les sentiments, tout ça, ça n’existe pas : tout se fait par internet, et mettre la langue, ça apporte des bactéries.

C’est pour ça, ils ne comprennent pas : on ne joue pas avec les gens.

Même les cons.

Même par internet.

Old par motown le 24 Mai 2003

le récitant : Un connard harcèle une des personnes les plus gentilles et douces que je connaisse.

Old par igor le 03 Avr 2003

Terrorisme

dans ta face !

Old par M. Fox le 28 Jan 2004

Minuit pile

Old par igor le 08 Déc 2003

How to belong to Tour-gueule-nism…

Old par -- Zan le 12 Mar 2004

J’en suis déjà à mon troisième…

Meurtre ou café?

Old par Gu. le 07 Mai 2003

le récitant : calmer ce sentiment.

Old par igor le 13 Juin 2003

demain les chiens...

Old par igor le 22 Juil 2003

Je cherche du travail …

Ainsi c’était donc ça. Pardonnez la simplicité de l’idée. Vous étiez donc une femme. Et ça changeait tout. Vous n’y pouvez rien, alors continuez.

="un
Une petite pensée émue pour Nicolaï qui arpente en ce moment la rue Saint Denis afin de recueillir les témoignages des tenanciers de Sex-Shop à propos de la crise irakienne et de la grogne des enseignants. Carlos Castaneda serait fier de toi mon frère. Que le dieu à tête d’éléphant te garde des dangers qui te menacent.

Old par igor le 18 Oct 2002

Si tu as faim, avale donc mes menstrues!

J’aime tant que tu te glisses dans mes rêves ! Tu y glisses une jambe autour de moi, tu y poses la main sur mon torse. Je sens ton parfum.
Alors je peux me lever le cœur léger.

« C’est toujours le cordonnier le plus mal chaussé. »

Blog avec Nerval

Vous entendez bien que c’était seulement la bonne et double piperie qui le ravissait, les subtilités et patelinages des vrais clercs de Saint-Nicolas, les vieux tours de maître Gonin, conservés depuis deux cents ans dans le sel et dans l’esprit, et que Villon, le villonneur, était son compère, et non point des routiers tels que les Guilleris ou le capitaine Carrefour. Certes, le scélérat qui, planté sur une grande route, dépouille brutalement un voyageur désarmé lui était aussi en horreur qu’à tous les bons esprits, de même que ceux qui, sans autre effort d’imagination, pénètrent avec effraction dans quelque maison isolée, la pillent, et souvent en égorgent les maîtres. Mais s’il eût connu ce trait d’un larron distingué qui, perçant une muraille pour s’introduire dans un logis, prit soin de figurer son ouverture en un trèfle gothique, pour que le lendemain, s’apercevant du vol, on vit bien qu’un homme de goût et d’art l’avait exécuté, certes, maître Godinot Chevassut eût estimé celui-là beaucoup plus haut que Bertrand de Clasquin ou l’empereur Caesar ; et c’est peu dire.

Old par igor le 10 Sep 2005

Trop de choses à régler avant de partir.
Tu vas me manquer.
Finalement je resterai.
Pas le courage de tout liquider.
Adieu.

L’image — (samedi, 18h10) — Maurice Blanchot et Marguerite Duras discutant sur une plage naturiste.

« Le temps fait violence ; c’est la seule violence. » S. Weil.

J’ai crevé la bulle,
tout flotte
à l’envers,
les opposums me saluent
et me sourient,
l’étranger se couche près de moi
pour me frotter,
la lune dégouline
dans le lac
pendant que sonne minuit,

passent les étoiles,
passent les reves,

sur mes lentilles coule la Seine

Old par M. Fox le 23 Avr 2003


un jeudi
ça pèse
pas lourd
un jeudi
juste un jour
dans ta vie
pas plus dur
pas plus long
qu’un aut’ jour
après ce n’est
qu’une question
de perception
de deformation
de l’espace et
du temps
en fonction
des evenements
si ça crasse
ça s’allonge
si ça passe
c’est trop court
un jeudi
et
tu n’es pas là

Old par igor le 05 Déc 2002

« En passant,n’oubliez jamais que la lingerie,qu’elle soit pour
homme ou femme donne un look très sexy.Si vous vous sentez
complexé face à votre corps et vous vous dites »la lingerie
est faite juste pour ceux qui sont minces,etc. »Et bien,c’est
complètement faux,car une belle lingerie rehausse l’image
que vous avez de vous-même et personne ne peut vraiment y
résister!« 

Old par M. Fox le 17 Mai 2002

Aargh !

Igor Tourgueniev, futur Bouddha ?

Old par igor le 03 Juil 2003

« là ici »