« La place de la Bastille à Paris est le symbole de la révolution. Au centre se trouve une colonne et sur un côté l’opéra Bastille. Le quartier est souvent fréquenté par les jeunes en roller, surtout du côté de l’avenue Daumesnil. Non loin, des bars et des discothèques (notamment le Balajo), se trouvent dans la rue de Lappe. »

Old par Rodia le 22 Avr 2003

Le roi Midas a des oreilles d’ane

Old par M. Fox le 22 Avr 2003

comment ça, mon « code PIN » ?
tu vois bien que c’est moi, voyons !

Old par igor le 25 Avr 2003

Au début, rien d’autre que l’arrachement au temps présent, et ses chevalets. On recommence. Le sujet ne meurt pas, ne délire pas. Il souffre. On continue.

« Alors … heureuse ? »

Brave New World

Au désir de renouer avec la toile, vacance : forme ?
petits jets de petites choses. Pour préserver comme
dirait l’autre, pas pour construire.

Impératif fatras, mélange,
c’est tout ce que je peux faire, et vaille que vaille.

Oui, parfois qualité douteuse. Gommage interdit.

« Une maison bleue… ? »
« Le Dauphiné Libéré » du 12/06/97
 
Fuyant la banlieue parisienne à la recherche d’un autre mode de vie, installée depuis 15 ans dans les Baronnies, aux fins fonds de la vallée de l’Ouvèze, Frank et Nanou Berthou ont fait la démonstration qu’on pouvait réussir dans une agriculture de montagne alternative.
    « C’est une maison bleue, adossée à la colline, on ne frappe pas, ceux qui vivent là on jeté la clef… » . Sans doute sommes nous loin de San Francisco et les vieilles pierres de la bergerie sont nullement bleues, mais ceux qui vivent là ont effectivement jeté les clefs des portes qui verrouillent la plupart de nos existences citadines. Les paroles de la chanson de Maxime Leforestier viennent immanquablement à l’esprit de ceux qui rendent visite à Frank et Nanou Berthou dans leur repaire de « La Closonne », au cœur du pays Baronniard.

Old par Gu. le 15 Avr 2003

Accoudé au bastingage, on regarde s’éloigner le quai du petit port, puis défiler de belles rives sauvages. Bientôt l’odeur des embruns se fait plus forte.

Old par -- Zan le 03 Avr 2003

Old par Gu. le 02 Avr 2003

Oui mais comme la terre a tournée
depuis des heures où je suis restée collée,
et ben la lune elle est plus là quand je mire dans la baie-vitrée

Old par Gu. le 09 Avr 2003

N’insiste pas.

Old par Rodia le 13 Avr 2003

La Vierge Megamagasin, ce héros

Old par M. Fox le 09 Avr 2003

malade …
mal_a_deux …

eT_te_Vy …
Ka_bAaL_aN
pHOn_eTHiQue_mENt …

Il m’arrive de rater ma vie.

Old par Rodia le 04 Avr 2003

Où cela avait-il commencé ? Que pouvais-je envisager ?
Revenir ? Chercher les causes premières ? Oublier ? Me briser le cou ?
Une peuplade d’images, faussées par les medias, les contes et les livres,
m’insupportaient, et contre le récit que je pouvais faire de mon enfance,
je préférais encore mettre à jour une nouvelle porte,
définitivement close, oubliée.

– Je te plais ?
– Arrêtes, tu n’es rien, oublies moi.
– Tes fantasmes, rien ? Tu comptes franchement l’oublier si facilement ?
– Ca va déjà être assez dur sans toi…
– … et presque impossible grâçe à mon concours.
– Polisson philantropique, fous moi la paix !
– Jamais mon laid, jamais..
– Putain que je te hais, masochisme de ma personnalité…

Old par Rodia le 04 Avr 2003

quelques morceaux de toi, je les mange au fur et à mesure,
à ce train là
je t’aurais fini au début du mois de juin
tu me manqueras

Old par M. Fox le 17 Avr 2003

WEMBLEY, CE HEROS

Old par Gu. le 09 Avr 2003

les blogs sont tous pareils avec leurs images de lapines

Je suis obéissant.

Old par Rodia le 15 Avr 2003

Old par Rodia le 30 Avr 2003

De près elle avait la peau plus granuleuse mais c’était joli aussi


Old par -- Zan le 07 Avr 2003

«…/
J’entre dans cette nef et j’appelle : ho, ho. L’écho me gratifie aussitôt en stéréophonie de la seule réponse distincte mais décevante dont me juge digne l’Inconnu : ma propre voix, tournant dans ce fatras condamné de palans et de poutrelles. Et je songe à tant d’hommes qui n’ont même pas fini là-dessous de purger quelle peine, puisqu’il faut recommencer ailleurs. Et que peut-être on devrait sauvegarder certains de ces sanctuaires, pour faire comprendre ou pour faire peur, quand on va se croyant seul, à l’abri de la menace, un dimanche, sous le libre ciel. /…»


Jacques Réda,
Les Ruines de Paris

Le Tao est perturbé. Le monde est déréglé.
Mais tant qu’il y aura des choses comme ça, je serai heureux de vivre.

Old par DrT le 08 Avr 2003

Page improbable du journal du héros
(Hiver 2003)
Ce soir, désir de retrouver les points sensibles
d’une journée réussie .
Matinée triste, j’écris à J.P.R. lui fait part de mon ambition
d’enseignant en art, structure plus solide que celle ou j’officie maintenant.
J’évoque aussi l’écriture, prise entre « acte et reverie. »
(Il me semble qu’elle conservera toujours cette double instance.) Déjeuner.
Rendez-vous avec M. qui souhaite me montrer son travail photographique.
En avance de deux heures, j’en profite, pour la troisième fois, pour aller
à l’exposition Roland Barthes, à Beaubourg.
Trop de fétiches, de jolis bibelots.
A une table d’écoute, des textes favoris du critique sont audibles
via un casque, autour de cette table ronde, où en face, une jeune
femme se plaint et trouve que la voix du lecteur qui lit un passage
du Temps Perdu est affreuse. Je la trouve — elle — adorable.
Conversations autour des images de M. Images trop factuelles,
factices à mon gout. Je l’encourage cependant.
Deux heures de paroles, et de corps séparés.
M. avoue sa crainte de la normalité.
Je ne l’aime pas, elle ne m’invite pas à la désirer, je suis à l’aise.
Fatigues, interruption, entre « acte et reverie. »
Lectures : livre 5 des confessions, ainsi que les affinités électives.
Je suis à l’aise.

Vite une solution, donnez-moi un destin !

tu n’en trouveras jamais une aussi douce et maladroite que moi

Old par M. Fox le 17 Avr 2003

Insère toi bien mon petit sinon gare à toi. Je t’enverrai crever loin des tiens, dans un trou boueux dont tu ne pourras t’extirper, avec pour seul bagage quelques souvenirs affolés.
Sois bien sage.

Et là Igor s’apprète à aller danser [lire « boire »]à l’Ile enchantée…

Old par Gu. le 09 Avr 2003


...malade...

Old par Nicolai le 12 Avr 2003

Le Pakistanais ou l’Indien qui vend dans le métro de petits talismans hypnotiques est-il un extra-terrestre (intra-terrestre) cloné 10000 fois. Ces petites choses violettes de formes cristallines qui clignotent de manière régulière peuvent-elles être vraiment achetées ou servent-elles uniquement à nous téléguider au travers des couloirs du métropolitain ou même à permettre notre total contrôle depuis Alpha du Centaure (le centre-terre) ? Si vous croisez l’un de ces personnages dirigeant ostensiblement vers vous une poignée de ces engins maléfiques : détournez le regard. Le port de lunette teintée ne semble pas efficace.
Old par igor le 15 Avr 2003

Viagra, ce héros…

Old par Gu. le 09 Avr 2003

les tourguenistes anglais solidaires

Tourgueniste ! Performance pique-nique sous la pluie ?

Old par igor le 20 Avr 2003

J’ai découvert récemment que la simplicité est une sagesse,
un ralentissement des pas, un refus des nerfs lyriques.
Le début d’une vision élargie.

Ils avaient fait de lui une machine de guerre,

à son insu
il avait appris à tuer
à blesser
et torturer,

d’un oeil il surveille tout,
d’une main il tient l’épée
de l’autre le luth,
il parle de la bourse
en peignant ses ongles;
ne ressent rien
que quelques ondes
finement décortiquées
et dégustées,
son rugissement ébranle la terre,
ses caresses sont légères
douces
et fécondes

nez au vent,
rayures flamboyantes
il sonne l’hallali
et prépare le banquet
de sa victoire
de Nord Iroise et Ouest Ecosse,

Avide coup de vent

Old par M. Fox le 04 Avr 2003

Règle n°5 : Ne parlez pas d

Old par DrT le 07 Avr 2003

seul dans un tourbillon
de pétales soyeux,
roulé en boule
et les yeux fermés,

il rêve

Old par M. Fox le 14 Avr 2003

J’ai changé l’annonce d’accueil.

Old par Rodia le 13 Avr 2003

Le météorologue : va y avoir de l’orage.

Old par Rodia le 25 Avr 2003

Règle n°1 : Ne parlez pas de reservoir blogs.

Old par igor le 06 Avr 2003

Faire stopper la voiture à chaque miroir qui se présente.

Old par Rodia le 13 Avr 2003

Moi non plus, je suis collée
et j’ai un train à prendre…
Je l’ai déjà raté six fois!
Prends donc une douche!!!

Old par Gu. le 09 Avr 2003

se
faire
livrer
des
sushis
à
domicile

les
manger
au
lit
!!!

Old par Gu. le 10 Avr 2003

Oh malheureux renard
Les milichiens t’ont eu !
Oh malheureux renard
Ta rage n’est pas perdue !

Old par igor le 24 Avr 2003

j’ai repensé à cette histoire de FdM.
et c’est toujours la même question qui revient…

out of the third level…the descent keeps going.
thanx sister.

Symptômes réels ou simple hystérie féminine?

Soif la nuit…
Gros seins…
Pipi tout le temps…
Maux d’estomac…
Bouffées de chaleur…

Mini-Gu.?…

Old par Gu. le 08 Avr 2003

#23
Parole vaine du héros.
La voix souveraine, elle revient, c’est ça : tressautements de sensations
et je parcours le temps, je revis en une minute les dernières journées,
et je vois un esprit insatisfait, une tête bien faite. E. m’a dit que j’aimais la douceur
de mon visage. Est-ce ainsi qu’il faut lire les traits du héros ?
Douceurs sourdes.
Je ne vois pas pourquoi je m’interdirais de relier mon bonheur à l’écoute
d’une cantate. Et si la quête du héros c’était de se rapprocher de dieu ?
Ha non. Pas sérieux. Pas aujourd’hui. Pas dans l’époque.
Et je me tairais enfin ? A la droite ? Le ciel ? Oui j’aime regarder le ciel.
Mais cela ne prouve rien.
Le héros veut anticiper, brûler des étapes, se brûler la vie
pour un chemin somptueux.
Est-ce que je mérite cette éternité ? Cette facilité ?
J’écoute donc la voix souveraine de Barbara Hendriks
au nom du père inconnu. Et j’attends.
Posture essentielle du héros, chasseur grotesque ; mouche aux ailes d’anges.

le récitant : je ferai tout pour le tourguenisme même (et surtout) n’importe quoi.

Old par igor le 10 Avr 2003

C’est mauvais, alors pourquoi continuer?
(d’en manger, d’en boire, d’en prendre, de le voir…)

Old par Gu. le 14 Avr 2003

Qu’on ne me dérange pas.

Old par Rodia le 09 Avr 2003

Foi de coléreuse, rien ne vaut l’hilarité du verre qui s’éclate.

Si je pouvais parler d’un autre point de vue que le mien,
croyez le bien, je le ferais.

Glacée.

Old par Rodia le 16 Avr 2003

« […] Nous arpentâmes tout au long, couloirs, corridors, grandes et petites salles… Nous nous arrêtions au surplus ici et là… pour regarder une vérole, une névrite, un petit quelque chose… Bien sûr, ils avaient des draps ces malades, des châlits de troupe, de la paillasse, mais quelle crasse ! … bon Dieu ! quels débris ! quel grandgousien chiot moisi… quelle gamme d’horreurs… quel sale entassement poisseux !… de cachectiques sournois… d’espions grabataires, d’asiates rances, tordus de haines peureuses… toutes les têtes du cauchemar, je veux dire les expressions de ces malades… les grimaces de tous ces visages, ce qui émanait de ces âmes, non de la pourriture bien sûr, viscérale ou visible, pour laquelle je n’éprouve, on le pense, aucune répulsion, et tout au contraire un réel intérêt. Cependant le mélange de tant de hideurs… c’est trop ! … Quelle fiente désespérée, quel prodigieux ramassis de puants guignols !… Quel cadre ! Quel égout ! … Quel accablement ! … Pas un coup de peinture sur les murs depuis Alexandre !… Des murs ?… du torchis en étoupe de fange ! Une sorte d’immense insistance dans le navrant, la désolation… J’ai vu pourtant bien des naufrages… des êtres… des choses… innombrables qui tombaient dans le grand limon… qui ne se débattaient même plus… que la misère et la crasse emportaient au noir sans férir… Mais je n’ai jamais ressenti d’étouffoir plus dégradant, plus écrasant, que cette abominable misère russe… Peut-être le bagne du Maroni offre-t-il de pareilles accablantes déchéances ?… Ce n’est pas sûr… Il faut le don… Souvent l’on s’est demandé après lecture des auteurs russes, je veux dire des auteurs de la grande période ( pas des larbins soviétiques), par exemple Dostoïewsky, Tchekov, même Poutchkine, d’où ils provenaient ces hommes avec leurs transes, comment ils tenaient à longueur d’oeuvre le ton de cette rumination délirante, funèbre ?… cet épileptisme policier, cette hantise du bouton de porte, cette détresse, cette rage, ce gémissement de chaussure qui prend l’eau, qui prendra l’eau éternellement, amplifié cosmique…

Ce prodige devient compréhensible, le sortilège s’explique sans peine après quelques jours de Russie… On conçoit parfaitement ce déchirement. ce suintement, cette dégoulinade douloureuse de toutes ces âmes, comme autant de niches pourries sur les os d’un chien famélique, battu, perclus, condamné.

Banale question d’ambiance au fond… nul besoin de rien forcer, de fabriquer le trémolo. Tout est là !… devant les yeux, sous la main… Il rôde certainement tout autour de ces gens, malades ou valides, de ces maisons, de ces choses, de ce chaos d’atrocités, une fatalité encore mille fois plus écrasante, implacable et louche, plus démoniaque invraisemblablement, que tous les Dostoïevsky de la période libre et heureuse (en comparaison) n’auraient pu l’imaginer.

Raskolnikoff ? mais pour les Russes c’est du Bouboule ! … ce damné doit leur paraître somme toute assez courant, assez vulgaire, aussi spontané, aussi fréquent, ordinaire, que Bouboule ! … Ils naissent ainsi. […] »

Louis-Ferdinand Céline – « Bagatelles pour un massacre »

Old par Rodia le 14 Avr 2003

Old par Rodia le 28 Avr 2003

———————————————-
ce matin, une rencontre inatendue
avec un vieil ami. j’ouvre les yeux
doucement et il est là, au pied de
mon lit. il me regarde de ses yeux
verts. « Papa ! » je dis mais pas trop
fort car je ne dors pas seul. Il me
sourit mais ne dit rien, il se contente
de regarder la forme sous la couette
à ma gauche. puis il jette un coup
d’oeil alentour au désordre qui règne
dans la chambre. sur le sol,
quelqu’un dort sur un matelas et par
terre la bouteille de gel est renversée.
le chat dort au bout du lit et on peut
entendre dans le bureau les
ronflements sonores de qui
vous savez. « Papa ? » je dis.
Il sourit de plus belle et commençant
par son sourire, il disparait.
———————————————-

Old par igor le 01 Avr 2003

J’attends un enfant de toi, tu ne le savais pas ?

Old par M. Fox le 14 Avr 2003

« Avide de renouer avec le dehors, sa folie est d’attendre des réponses à
des messages qu’il n’envoie plus. » L.R. des Forêts.

Avoir le don de converser dans les airs…
Lorsque l’esprit s’envole
Comme une bestiole
Il peut le faire

Merci, Trondheim, ce héros

Old par Gu. le 09 Avr 2003

Ce petit caillou que j’ai ramassé
Je te le donne
En gage d’amitié

Finalement non, un gage c’est trop laid
Gageons que nous serons toujours amis
Et ce petit caillou
Je te le donne comme ça
Sans contrepartie
Sans garantie
Sans le mettre au mont de piété de l’amitié

IGOR JE VAIS TE CREVER

encore quelques considérations météorologiques:
le grand beau temps, soleil ou croix?

Ma femme couche avec un autre
moi

J’en ai marre d’aller bien.

J’en ai marre d’aller bien.

J’en ai marre d’aller bien.

Je veux du vert pâle.

Old par Rodia le 14 Avr 2003

Ils nous ressemblent mais vivent dans un monde au dela du miroir,

ils se comportent comme nous, mais à l’envers

Alice est leur reine
et tous lui sont fidèles

Alice a le don
de la métamorphose,
elle peut se transformer
et rien ne s’y oppose…

Old par M. Fox le 08 Avr 2003

je succombe aux succubes

Old par -- Zan le 02 Avr 2003

– Quelle coïncidence!
– Ce n’est pas une coïncidence.
– Si, c’en est une. Autrement ça ne serait pas si troublant…

C’est quelque chose de minuscule pour toi,
mais pour moi c’est énorme,
ce caillou dans ma poche
sera ta perte

j’vais t’faire voir !

Old par M. Fox le 23 Avr 2003

Bruitisme

Old par Rodia le 08 Avr 2003

un tourment au printemps, le parfum du marquis corse, les rires des malades

suave ellipse falsifiée en plein soleil
sage eclipse d’un monde douillet
qui ne parle que de toi

Old par M. Fox le 24 Avr 2003

Règle n°2 : “Il est interdit de parler de Reservoir blogs.”

Quel bruit fait une main en train de faire bravo toute seule ?

Old par M. Fox le 09 Avr 2003

A plat ventre sur le sol.

Old par Rodia le 25 Avr 2003

Il était une fois dans l’ouest parisien.

Old par Rodia le 13 Avr 2003

Samedi soir, ce Héros

deux clarinettes
et trois minutes à Bougival
tout près de la ville
des rues implicites
et des jardins obscurs

Old par M. Fox le 28 Avr 2003

Le juste retour de soi aux choses, plutôt.

jaune + destruction + maison + bois = 1 résultat(s) parmi 49583 image(s).

Old par Rodia le 15 Avr 2003

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etc.etc.etc.etc.etc.etc.etc.etc.etc.etc.etc.etc.
etc.etc.etc.etc.etc.etc.etc.etc.etc.etc.etc.etc.
etc.etc.etc.etc.etc.etc.etc.etc.etc.etc.etc.etc.

 » Faut-il écrire tout ce qui est pensé à propos d’un sujet ? »
(Phrase lue quelque part, mais où ?)

#38
(En témoin de la vie sordide, intérieur-jour.)
Comment soulager l’énervement ? Ecrire multiplie la haine.
Partir serait mieux mais il a rendez-vous avec une femme,
alors il faut subir ces vieux cons alignés comme
des bocks le long du zinc.
La jeune fille : « Vous m’en voulez ? »
— Absolument !
— Qu’avez-vous fait en m’attendant ?
— Des projets de meurtres !
— Sortons s’il vous plait.
— Bien entendu.
Il faut imaginer le héros s’en allant,
la femme à son bras vers une nouvelle aventure.

Cachée derrière le a ?

Je ne suis pas un moustique.

Old par Rodia le 03 Avr 2003

Parfois, on a des idées qui n’aboutissent pas.

Old par DrT le 23 Avr 2003

La bonne blague du film d’hier :
« – Tant pis, je vais me faire à l’idée
– Ah, tu le connais ? »

Old par -- Zan le 15 Avr 2003

Lobotomie papa
Lobotomie maman
J’ai un trou dans la tête
Lobotomie soldat
Lobotomie para
Je ne crains plus la loi
Amputé, Amputé, Amputé
J’ai un trou dans la tête
Je ne sens plus mes bras
Et même si je meurs
Je n’ai plus de douleur
Amputé, Amputé, Amputé
On me demande souvent
Pourquoi cette cicatrice
La juste derrière mon crâne
Dans ma tête il fait noir
Dans ma tête un trou noir
J’ai du sang plein ma tête
Amputé, Amputé, Amputé

Béruriers NoirsAmputé ( Lobotomie Hôpital )
Quand ils sont arrivés
Pour venir me chercher
La camisole passée
Et après dans le noir
Traîné dans le couloir
Amputé, Amputé, Amputé
La tête dans la baignoire
Ils ont pris un rasoir
M’ont dégagé le crâne
J’me souviens plus de rien
Lobotomie merci
J’ai du vide pleins ma tête
Amputé, Amputé, Amputé
Lobotomie amputée
Lobotomie amputée
Lobotomie amputée
Amputé, Amputé, Amputé
Old par igor le 30 Avr 2003

Je pense entretien avec ma conscience
A haute voix je dis avec ma confiance
Ca commence fort…

Avoir des ouïes de violon tatouées dans le bas du dos…

Mais elle se prend pour une oeuvre d’art celle-là?
N’a-t-elle pas pensé avant de faire une chose pareille à l’aspect instrumental qu’elle inscrivait à tout jamais sur son corps?

Bien sûr que si espèce d’imbécile!!! Ce n’est pas la femme-objet mais l’objet de la femme dont il était question…
Elle s’est aussi figurée que ce corps n’était que l’instrument de son esprit…
Telle la contrebasse, elle pouvait le faire sonner, vibrer, adaggio, jouer de mieux en mieux…

(à suivre…)

Old par Gu. le 30 Avr 2003

week end gothique flamboyant
force 6 à 7

Old par M. Fox le 06 Avr 2003

push the tempo

Quarta-feira, Abril 9

Turgueniev, esse Herói

É o Tourgueniev ce Héros, um blog coletivo engraçadinho, em francês.
Muitas fotos e imagens legais, pra quem não lê na língua do Chirac.

Enviado por Láudano, In Opio Veritas et Circenses às 15:12

Old par igor le 10 Avr 2003

le printemps rend tout le monde beau,

c’est énervant

Old par M. Fox le 14 Avr 2003

des vapeurs de métal
à l’intérieur de moi

le temps est un disque
que j’écoute sans plaisir

le cube vole le soleil
et les âmes des pélerins
qui chantent ses louanges,

plus féroce que le lion
et plus doux qu’une femme,
il sait cajoler, séduire
et punir
il règne, fort et serein
partout où peut s’étendre son regard
bleu et implacable

Old par M. Fox le 17 Avr 2003

Old par M. Fox le 28 Avr 2003

Un pique nique Renoiro – Tourgueniste sans gromellements ni hurlements oui, mais où et quand ?

Le gars qui râle

Old par Rodia le 11 Avr 2003

J’aurais eu envie
d’être un loup
pour le style
un lion
pour la force
un toucan
pour les couleurs

mais je suis une grenouille
l’avantage c’est qu’on peut passer dans les conduits
pour aller visiter
les jeunes filles la nuit
et (avec un peu de tchatche pendant qu’elles sont à moitié endormies, on peut tenter de) se faire passer pour le prince charmant

(et puis pour les couleurs on peut s’arranger)

Old par -- Zan le 07 Avr 2003

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