— elle me fait de la peine

cette fille

qui vit recluse

derrière sa paroi de verre



ascète moderne

de nos emplettes



alors tous les jours je vais la voir et je lui fait la conversation…


Old par -- Zan le 06 Juil 2003

Old par Gu. le 02 Avr 2003

« L’unique moyen de sauvegarder sa solitude est de blesser tout le monde, en commençant par ceux qu’on aime. »

Old par Rodia le 28 Avr 2003

Loin des feux familiers, je m’en vais.
Je quitte ce territoire auquel j’appartiens.
Sans me retourner, j’abandonne mon destin.
Un jour, qui sait, je reviendrais.

Déçu par le Passé, angoissé par le Futur.

« … L’affaire du Pterodactyle :PTERO.GIF confirme ce que nous disions au sujet des crapauds enchâssés dans la pierre retrouvés VIVANTS par dizaines. »

Old par -- Zan le 18 Fév 2003

toi aussi, bouffe la bande passante de l’UMP !

l e r o i a r r i v e

Old par M. Fox le 03 Fév 2003

Mes cernes me plaisent

J’aime tes cernes

Old par Gu. le 25 Mai 2003


Et Marie aiguise son regard
Elle a vu ce qui vient de nulle part
Elle a crispé la main sur la lame
Attention à la blessure madame

Old par igor le 28 Juil 2003

J’ai changé l’annonce d’accueil.

Old par Rodia le 13 Avr 2003

Alice dit que la souffrance des hommes lui est indiffèrente,

qu’ils n’avaient qu’à faire attention en portant le regard vers elle,

elle se penche ensuite vers moi avec la sollicitude d’une mère

et me dit :

toi ce n’est pas pareil, nous sommes amis…

ah… Alice…

Old par M. Fox le 06 Jan 2003

je suis ton ami

viens donc me voir

petite

Old par igor le 29 Mai 2003

PRAXIS ETC FETE DE L’INTELLECT BABIOLES FOIRADES

A prendre ou à laisser ; à consommer

sur place, ne surtout pas ramener à la maison ; genre

nouveau = easy-writing, ou action-writing.

Voir quelques lignes plus bas pour informations, ou s’adresser

à la caisse pour contact.

couleur

lotus, ctgr - waiting for the snow

hier soir, famille nombreuse. me retrouver sur le dirigeable officiel de la confrérie, fiançailles et anniversaire.
« hé capitan, on va bientôt voir la Finlande ? »
il sourit, et ne dit mot. je cherche mes cousines sur la coursive avant, mais ne croise que les amis de Ben en monocycles et un surfeur. jongleurs et petits animaux se pressent autour des convives ivres.
En contrebas, la Finlande enfin !
je pense m’y faire déposer pour pouvoir essayer mes nouveaux skis, les chiens piaffent (edith) d’impatience.
tout le monde est dans un pitoyable état de retournement d’estomac, je file un bout de viande à la chatte enceinte sous le table.
Fox tente de faire la conversation… enfin, je m’écroule.
Old par igor le 03 Août 2003

Le chant des oiseaux avant le sommeil…

Rester soi…

Old par Gu. le 23 Mai 2003

Dans le canard local de Montargis aujourd’hui, section « faîtes paraître vos annonces légales et officielles »:

S.C.P.A. MARTY-SAULINIER-NARDEUX
Avocats
182, rue grande – 77304 Fontainebleau
Tel.01.64.22.29.61 – 01.64.22.20.23 – 01.60.72.72.85

VENTE AUX ENCHERES PUBLIQUES

mercredi 21 mai 2003 à 14h30
au Palais de Justice de Fontainebleau (77)
159, rue Grande

D’UN ANCIEN CORPS DE FEMME

(…)

Old par Gu. le 29 Avr 2003

Old par Gu. le 24 Mai 2003

Je ne t’ai encore jamais croisé.

Old par Rodia le 05 Avr 2003

Il est 7h du matin et je pars travailler.

… quelque chose a dû m’échapper ces derniers jours.

Old par motown le 12 Mar 2003

Bad trip n°1 : découvrir le côté oppressant de l’amitié
A noter dans mon petit carnet dans la rubrique mises en garde et avertissements en tous genres :
Ne jamais oublier que tout se paye
A part ça ?
Des fleurs et du soleil

Un lecteur m’interpelle ainsi: Au fait, qu’est ce que le Tourguenisme?

Cher Lecteur, puisque tu poses la question, il faut que je t’avoues que je n’en sait rien. Mais comme tu m’interpelles quand même quelque part, je peux te confier ceci:
(c’est un texte trés ancien que Ivan vassilievtch Tourgueniev lui même a écrit l’autre jour par l’intermédiaire d’un médium qui se trouve être également un ami proche, en l’occurence ma soeur jumelle)

« J’ai des impulsions atroces comme ça; pendant cinq minutes tu me manques tellement que j’ai envie que tu me fasses un bébé pour faire exister un morceau de toi et moi réunis et puis après c’est tellement épouvantable comme idée (plus de futur pour moi / toute ma vie est abolie / un être en plus au monde qui ne fut désiré réellement par personne) que je veux me jeter par la fenêtre et puis j’en peux plus, pasque cinq minutes après je suis en train de faire un autre truc et je réalise que je t’ai totalement oubliée, comme si tu n’avais jamais éxisté. alors je tire à pile ou face pour savoir laquelle de ces trois options de toi est la bonne et alors c’est encore plus terrible de penser qu’après tout pour moi rien n’a vraiment d’importance, que je suis totalement hystérique et malade, tragicomiquement, définitivement malade et que je suis simplement térrifié à l’idée que jamais je ne saurais me sortir de ce bourbier.« 

qui l’eu cru ?

Minuit pile

je suis ivre mort

Old par igor le 01 Nov 2003

Pourquoi avoir honte de sa vie intérieure ?

Old par DrT le 20 Mar 2003

le récitant : Igor quel con.

Old par igor le 15 Déc 2003

je crois que je suis allergique à l’héroïne : à chaque fois que j’en prends, je me sens tout bizarre.

Prâtar namâmi gananâtham ashesha haetam brahmâdi
deva varadam sakala âgamâdyam;
dharma artha kâma phaladam bhava-moksha haetam;
vâchâma agocharan anâdim ananta-rûpam

Prâtar namâni kamalâpatim ugra vîryam;
nânâvatâra niratam nijarakshanâya;
kshîrâbdivâsam amarâdhipa bandham aesham;
pâpâpaham ripuharam bhava-mukti haetam

Prâtar namâmi girijâpatam indumaulim;
vyâghrâjinâvritamuda tadayam nandjae;
narayanaendra varadam surasiddha justam;
sarpâm trishula damarûn dadhatam purârim

Prâtar Namâmi dîna nâtham aghâpahâram;
gâdândhakâra haram uttama loka vandyam;
vedatrayâtmaka mudastasurâri nâyam;
jnanaika haetam urushaktim udârabhâram

Prâtar namâmi girijâm bhavabhuti haetam;
samsâra sindhu parapâratarim trinaetrâm;
tâttvâdi karana mudstâsurâri nâyâm;
mâyenayîm suramunîndra nutâm suraeshîm

Old par igor le 20 Juil 2003

tu peux toujours rêver, ma belle...hinhinhin

maintenant je veux une robe couleur de nuit

(j’en ai vue une jolie dans la vitrine

des sorcières de la rue faidherbe)

— Peut être que la terre aime le beurre, tout simplement ? —

Old par -- Zan le 10 Jan 2003

SCAPIN

Cachez-vous, voici un spadassin qui vous cherche.
(En contrefaisant sa voix.) « Quoi ! jé n’aurai pas l’abantage dé tuer cé Géronte et quelqu’un par charité ne m’enseignera pas où il est ? »
(A Géronte, avec sa voix ordinaire.) Ne branlez pas.
(Reprenant son ton contrefait.) « Cadedis ! jé lé trouberai, se cachât-il au centre de la terre. »
(A Géronte, avec son ton naturel.) Ne vous montrez pas.
(Tout le langage gascon est supposé de celui qu’il contrefait, et le reste de lui.) Oh ! l’homme au sac
— Monsieur.
— Jé té vaille un louis, et m’enseigne où peut être Géronte.

« Personne ne fait de la psychologie par amour : mais plutôt par une envie sadique d’exhiber la nullité de l’autre, en prenant connaissance de son fond intime, en le dépouillant de son auréole de mystère. »

Old par Rodia le 19 Avr 2003

Etrangement agréable…
Je tremble
Je n’ai pas froid
Le sommeil me manque
Pas la quiétude
Enfin si parfois
S’activer…
Grande journée numérique…
Aucune certitude…

Old par Gu. le 17 Mai 2003

Je veux que les belges n’aient plus rien d’autre à avaler que leurs Léonidas pourris.

(ou comme on dit chez moi : « vous moi aiment à nouveau laissent des Everyway que je boîte le dos vous mes amours et alors Everyway entiers donne, moi boîte je le crie; Des oeufs et forment à nouveau des cubes vous puits »)

Old par M. Fox le 25 Mai 2003

Thanatos, ce Eros

(trop classe cette formule, j’arrive encore à m’étonner)

En effet, méfions-nous…

:-) (-mimi-) :-)))

Old par Gu. le 12 Juin 2003

Tu grimpes encore sur moi
pour avoir des caresses,

griffe moi un peu,
tu tressautes sous ma main,
comme une vierge
au bras d’un marin

l’ailleurs est en toi
et cet abime dans tes yeux
je m’y échappe souvent,
lorsque j’ai du tourment

Tu es mon réconfort,
ma retraite paisible,
mon amour
et mon coupé sport,

chacun de tes poils
est un de mes amis,
chaque pas que tu fais
m’émerveille et m’éblouit

Je ne veux plus jamais te quitter,
frottons nous pour toujours,
l’un contre l’autre
serrés

Old par M. Fox le 23 Avr 2003

parce que quand les poches du cerveau elles sont pleines, y faut bien mettre son fouillis quêque part…

Tant de bonheur parfois pour rien…
Comme la tristesse sans cause survient…

Qu’il est rare de s’éveiller ainsi le matin…

Old par Gu. le 13 Jan 2003

– Il fait beau aujourd’hui. C’est cool.

– Qu’est-ce qu’on en a à foutre qu’il fasse beau ? Y en a marre de la dictature du beau. Je ne suis pas vraiment beau, moi ; ça veut dire que je ne suis pas cool ?

– C’est pas pareil. Toi tu es beau parce que tu es cool. C’est dialectique, ou un truc dans ce genre.

– Mouais… peut-être.

cellule morte = prisonnier en agonie ?

Old par -- Zan le 05 Mar 2003

ses yeux brûlent

imagine le soleil levant

pourquoi moi qui suis minuscule

me devrais-je d’être son amant

qu’elle s’arrête ou je m’émascule

je n’en peux plus dans ses yeux…

… brûle

(…)

Dominique A.

Old par Gu. le 04 Sep 2003

une bougieune autre bougie

Le don d’ubiquité

Je trouve souvent que c’est dommage d’être là sans être à côté,

De ne pouvoir pas se vanter d’avoir le don d’ubiquité.

Devoir se contanter d’ici,

n’avoir qu’une place à garder,

quelques mètres cubes occupés,

par un seul corps jour et nuit.

Ne faire qu’un voyage à la fois,

ne pas pouvoir passer partout,

n’avoir qu’un seul amour en cour,

ou pas d’amour du tout.

Avoir l’air absent,

sans se l’expliquer,

sans pouvoir se dire:

« c’est normal, puisqu’en fait j’étais à côté »

Une fois cependant, il me semble, j’ai eu le don d’ubiquité,

Quand sur le point de te quitter,

je me suis vue partir ailleurs,

je voyais ma vie,

loin d’ici elle avait pris d’autres couleurs,

Mais le décor me faisait peur,

finalement je ne suis pas partie.

On peut trouver des alibis,

nier quelque chose qu’on a fait.

Mais pour l’instant on ne peut pas nier que l’on est là où l’on est.

C’est tout le drame,

et cependant, si je pouvais me disperser,

là où je multiplierais les chances de ne jamais m’en dépêtrer.

Old par Gu. le 22 Juil 2003

Faut-il baiser le budget de la Défense?

bah il vaut mieux faire rire les 12 qui postent que d’ennuyer les 200 qui lisent

et d’après toi tu fais quoi ?

Old par -- Zan le 28 Juil 2003

Est-ce que le désir renaît de ses cendres comme le phénix?
Il semblerait que oui

Old par -- Zan le 30 Juin 2003






Gras.

Old par Rodia le 12 Avr 2003

Je cite : « Les branleurs vont enfin pouvoir se la couler douce. »

Igor Tourgueniev l'ami des stars
Mes amis les Stars
Old par igor le 11 Avr 2003

Quand il ne se passe rien, le rien, précisément, arrive.


NO COMMENT

————OUVRIR AVANT EMPLOI————

Old par Gu. le 11 Mai 2003

cessez le feu
rallumez la flamme

je t’offre des fleurs aussi même si ce n’est pas l’endroit

Un doute, tout à coup: qu’est-ce que je fais, d’habitude, dans la vie?

sur les ailes du grand oiseau
nous volions
vers les terres vierges
de l’ouest

vers un nouvel horizon
et vers un avenir
paisible

Old par M. Fox le 10 Fév 2003

If space and imaginary time are indeed like the surface of the Earth, there wouldn’t be any singularities in the imaginary time direction, at which the laws of physics would break down. And there wouldn’t be any boundaries, to the imaginary time space-time, just as there aren’t any boundaries to the surface of the Earth. This absence of boundaries means that the laws of physics would determine the state of the universe uniquely, in imaginary time. But if one knows the state of the universe in imaginary time, one can calculate the state of the universe in real time. One would still expect some sort of Big Bang singularity in real time. So real time would still have a beginning. But one wouldn’t have to appeal to something outside the universe, to determine how the universe began. Instead, the way the universe started out at the Big Bang would be determined by the state of the universe in imaginary time. Thus, the universe would be a completely self-contained system. It would not be determined by anything outside the physical universe, that we observe.

Other scientists were much more ready than Einstein to modify the classical 19th century view of determinism. A new theory, called quantum mechanics, was put forward by Heisenberg, the Austrian, Erwin Schroedinger, and the British physicist, Paul Dirac. Dirac was my predecessor but one, as the Lucasian Professor in Cambridge. Although quantum mechanics has been around for nearly 70 years, it is still not generally understood or appreciated, even by those that use it to do calculations. Yet it should concern us all, because it is a completely different picture of the physical universe, and of reality itself. In quantum mechanics, particles don’t have well defined positions and speeds. Instead, they are represented by what is called a wave function.



This is a number at each point of space. The size of the wave function gives the probability that the particle will be found in that position. The rate, at which the wave function varies from point to point, gives the speed of the particle. One can have a wave function that is very strongly peaked in a small region. This will mean that the uncertainty in the position is small. But the wave function will vary very rapidly near the peak, up on one side, and down on the other. Thus the uncertainty in the speed will be large. Similarly, one can have wave functions where the uncertainty in the speed is small, but the uncertainty in the position is large.
So three dimensions, seems to be the minimum for life. But just as one can think of two dimensional beings living on the surface of the Earth, so one could imagine that the three dimensional space in which we live, was the surface of a sphere, in another dimension that we don’t see. If the sphere were very large, space would be nearly flat, and Euclidean geometry would be a very good approximation over small distances. But we would notice that Euclidean geometry broke down, over large distances. As an illustration of this, imagine a team of painters, adding paint to the surface of a large ball. As the thickness of the paint layer increased, the surface area would go up. If the ball were in a flat three-dimensional space, one could go on adding paint indefinitely, and the ball would get bigger and bigger. However, if the three-dimensional space, were really the surface of a sphere in another dimension, its volume would be large but finite. As one added more layers of paint, the ball would eventually fill half the space. After that, the painters would find that they were trapped in a region of ever decreasing size, and almost the whole of space, was occupied by the ball, and its layers of paint. So they would know that they were living in a curved space, and not a flat one. This example shows that one can not deduce the geometry of the world from first principles, as the ancient Greeks thought. Instead, one has to measure the space we live in, and find out its geometry by experiment. However, although a way to describe curved spaces, was developed by the German, George Friedrich Riemann, in 1854, it remained just a piece of mathematics for sixty years. It could describe curved spaces that existed in the abstract, but there seemed no reason why the physical space we lived in, should be curved. This came only in 1915, when Einstein put forward the General Theory of Relativity.
Old par igor le 13 Juin 2003

Minuit pile

je suis en Bretagne

Old par igor le 12 Oct 2003

Old par Gu. le 17 Juin 2003

Minuit pile

Old par igor le 06 Déc 2003

le récitant : ce matin je me suis demandé s’il fallait que je lui pose la question avant de me décider à lui pardonner d’être un chat.

Old par igor le 22 Avr 2003

D’où viennent ces nuées de gens solitaires ?

Old par M. Fox le 24 Déc 2003


Sombre est la voie qui te revient de droit

Le mort, sans relache, surveille la route qui te mène à la mer

Old par M. Fox le 13 Nov 2003

c’est toi chéri ?


va savoir …

craché par  » i don’t know who yu’re » edited by Gü.

Old par Gu. le 21 Oct 2003

le récitant : aujourd’hui j’ai le même âge que toi.

Old par igor le 02 Août 2003

dans la bourrasque, j'avais trouvé la joie

Old par M. Fox le 06 Jan 2003

Soulagé.

Retrouvé par la parole l’usage de l’écrit.

Samedi j’étais un pote à Villejuif.

Foi de coléreuse, rien ne vaut l’hilarité du verre qui s’éclate.

« La réalité c’est comme un grand jet d’eau glacée,
tu veux toujours aller vers la source
mais tu peux pas, tu te la reçois en pleine face »
S.J.

Old par -- Zan le 17 Fév 2003

Tourgueniev.com
le blog qui englobe

j’avais besoin de me rassurer

d’une bouche sauvage
contre mes lèvres mortes

j’ai tellement froid !

Old par M. Fox le 05 Mar 2003

Tu seras en moi pour la vie
Tu en es devenu une partie…

Old par Gu. le 15 Mai 2003

H-4 à Yokohama dans Earth Simulator

mes vacances à st-ouen

Old par M. Fox le 07 Mai 2003

assomé, réduit en poussière, éparpillé, atomisé, écrabouillé, écharpé…

Old par M. Fox le 14 Jan 2003

(k)no(w) where?

Les plus mauvais aphorismes du monde (deuxième partie)
Le mauvais mari est comme le manchot de l’hémisphère sud : il trébuche quand tout va bien, et il lui pousse des ailes quand il a la tête dans l’eau.
Laurent Iglo

Old par DrT le 18 Avr 2003


retour à la campagne
il fait froid, tu es loin
ceci explique
sans doute cela
mais ta voix
m’a donné un peu
de braise et de
combustible tout à l’heure

Old par igor le 21 Déc 2003

O.G.M.

(Orgones Génétiquement Modifiées)

elles sont encore plus performantes
Old par Gu. le 20 Mai 2003

Rendre au réel ce qui appartient au réel…

Old par Gu. le 19 Mai 2003

-Allo?
-Oui c’est Gu.
-Bien dormi?
-Très bof…
-Tu fais quoi là?
-Je me lamente sur tout ce que j’ai à faire et ça me prend vachement de temps…
-Ah…
-Et toi?
-Pareil…
-Bon on raccroche alors…
-OK!

Old par Gu. le 09 Mai 2003

post it :

lors de la libération, penser à décapiter toutes ces pauvres merdes, si possible après torture et éviscération pré-mortem.

Selon les chaînes de télévision américaines, citant des sources militaires, les deux fils de Saddam Hussein, Oudaï et Qoussaï, ont « très probablement » été tués lors de combats à Mossoul (nord de l’Irak).

(…)

Les spéculateurs avaient en effet affiché une présence record sur le marché pétrolier la semaine dernière, attirés par des facteurs haussiers tels que l’ouragan Claudette dans le Golfe du Mexique, la faiblesse des stocks et l’absence prolongée du pétrole irakien.

Vous avez tué le chat
Mettez-le dans l’antigel
Déposé dans le tronc
Avec reste du cattlefeed

Leur histoire c’était pas du coton
c’était pas doux comme de la soie
pas chaud comme de l’alpaga
ni toujours lisse comme du lycra
de là à ne tenir qu’à un fil
il en fit une drôle de bobine


Old par -- Zan le 30 Avr 2003

Axiome

La tentation du n’importe quoi, du désordre,
de l’imprévu, de l’accident, d’une vie
d’aventures ; de chambres en chambres, villes
inconnues — je passe dans le temps comme
si quelqu’un ou quelque chose me coursait
pour me brûler les fesses.

Prendre un éléphant par la main

Pour l’emmener vers demain,

Pour lui donner la confiance en son pas,

Prendre un éléphant pour un roi.

Prendre un éléphant dans ses bras

Et pour la première fois,

Sécher ses larmes en étouffant de joie,

Prendre un éléphant dans ses bras.

Prendre un éléphant par le cœur

Pour soulager ses malheurs,

Tout doucement, sans parler, sans pudeur,

Prendre un éléphant sur son cœur.

Prendre un éléphant dans ses bras

Mais pour la première fois,

Verser des larmes en étouffant sa joie,

Prendre un éléphant contre soi.

Prendre un éléphant par la main

Et lui chanter des refrains

Pour qu’il s’endorme à la tombée du jour,

Prendre un éléphant par l’amour.

Prendre un éléphant comme il vient

Et consoler ses chagrins,

Vivre sa vie des années, puis soudain,

Prendre un éléphant par la main

En regardant tout au bout du chemin,

Prendre un éléphant pour le sien.

Old par -- Zan le 26 Déc 2003

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Old par Gu. le 24 Oct 2003

Inonder tout le monde d’amour… sauf TOI

Old par Gu. le 29 Avr 2003

« là ici »