The truth is that none of our thousands of nuclear weapons can protect us from these terrorist threats. President Clinton said that we are a target because we stand for democracy, freedom, and human rights in the world. Nonsense! We are the target of terrorists because our government stands for dictatorship, bondage, and human exploitation. We are hated because our government has done hateful things. We did it in Iran. We did it in Chile. We did it in Vietnam. In country after country, our government has thwarted democracy, stifled freedom, and trampled human rights. In short, we should do good instead of evil. Who would want to bomb us? Did you know that in 1986 the World Court convicted America of being a war criminal for its crimes committed in Nicaragua in ’83 and ’84? More about understanding Geoge W Bush and his cabinet, NATO, the oil, US inner Politics after 11 September. . .
… Dehors il pleut. Et je me range à l’idée d’une conspiration mondiale visant à nous rendre heureux a tout prix. Sans nous laisser le choix du malheur, ni aucune autre alternative moins cruelle. Alors j’écoute tomber la pluie en aiguisant un scalpel. …
Intermittent, retournes dans ton pays Intermittents fainéants à plein temps intermittents, rendez nous notre argent échassier trouves-toi un vrai métier faites des enfants, pas des intermittents la grossesse a 6 mois les femmes derrière, les hommes devant A bas, a bas, le second degré USA sors nous de ce mauvais pas Bush, Bush, montre nous la voie Monsieur Bush, priez pour nous la parité c’est pour les dégénérés Chirac président Monsieur Jean-Jacques Aillagon, tenez bon, s’il vous plaît Monsieur Raffarin vous nous faites du bien Raffarin nous voila Monsieur Pasqua vous m’avez donné la foi Charles Pasqua reviens les mettre au pas Mr Nicolas Sarkozy à la culture s’il vous plait Subvention égal dépense d’argent PSG fais-nous rêver Travail, famille, télévision Remettez le José au frais ! C’est pas les agriculteurs qui nous empêcheront de manger des hamburgers On aime, on aime les OGM La culture est une marchandise comme les autres Alain Delon, rejoins-nous à Chalon , Monsieur Chirac à Aurillac, Michel Sardou un peu partout TF1 c’est rudement bien ARTE c’est trop compliqué c’est toujours sous titré avec des films étrangers ARTE, c’est pas bien, on n’y comprend rien chacun pour soi, et pas les autres on est plus, plus de droite que vous non, non aux manifestations La droite est adroite, la gauche est gauche Afrique paye ta dette aux pays occidentaux Le Bigdil c’est pas si facile Star Academy c’est pas si mal que ça restons divisés les grévistes sont des gens qui ne travaillent pas les chômeurs sont des gens qui ne travaillent pas moins de festivals, plus de quinzaines commerciales Plus de corsos fleuris, moins de festivals de hippies le Puy du Fou dans toutes les villes on veut, on veut des sons et lumières les reconstitutions historiques nous apprennent des choses Monsieur De Villiers, vous avez de bonnes idées un vrai statut pour les majorettes la culture est une marchandise comme les autres manifestants, vous gênez les commerçants le FMI ne fait plus crédit Tf1 sur toutes les chaînes Mac Donald, dans les cantines Mickey nous fait rire, et Donald aussi 1 euro, c’est 1 euro Selliere président les retraités au boulot la police protégez nous la police pas trop loin de nous Nous sommes tous des américains les vrais artistes avec nous on veut des sous, pas des crassous Les vraies valeurs sont dans nos portefeuilles Les bonnes actions sont dans nos portefeuilles CAC 40 CAC 40 OUI OUI Jean Pierre Gaillard rends-nous l’espoir Joueur de djembé remontes dans ton cocotier les cheveux longs c’est pas pour les garçons les boucles d’oreille ça fait efféminé les boucles dans le nez c’est pour les bovidés les rastaquouères au frigidaire les manouches à la douche Pas d’allocs pour les dreadlocks Ma maison mon horizon A bas les colonnes de Buren La batucada ne passera pas par moi La culture ça fait mal à la tête
Il était une fois dans un pays très lointain un village cerné de bois obscurs où se terrait une bande de garous mangeurs d’hommes. A chaque pleine lune, la communauté des garous aménageait des tables avec des tréteaux de bois au milieu de la clairière et se préparait à un grand festin, non sans avoir préalablement baillonné le barde qui… enfin… Malheureusement avec le temps les villageois, pourtant bien peu vifs et la plupart du temps abrutis par la gnole locale, avaient fini par faire le lien entre la présence la nuit de la lune dans le ciel et la présence de morceaux de camarades villageois par terre au petit matin. Forts de cette conclusion, ils avaient décidé de se barricader à double tour, à chaque pleine lune, et de ne sortir sous aucun prétexte. A partir de ce moment là, les garous connurent la famine et les crampes d’estomac. Jusqu’au jour où un jeune garou, Loulou Garou, grimpa sur les tables désespérément vides et s’adressa à la foule des garous dépités : » _ J’ai une idée pour la prochaine pleine lune afin de tromper les villageois et ainsi pouvoir à nouveau nous repaître de leurs délicieuses entrailles. Il nous faut trouver un moyen de grimper jusqu’à la lune, et, armés de peinture noire, nous la barbouillerons jusqu’à ce qu’elle disparaisse dans la nuit. La lune ainsi camouflée, ces gros lourdauds de villageois ne se méfieront pas et sortiront se promener en toute confiance. Nous pourrons alors leur tomber dessus et les dévorer comme avant ! » Cette idée reçut l’approbation générale, et le jour dit les garous commencèrent à s’escalader mutuellement, chacun grimpant sur les épaules de son voisin….
j’ai fumé beaucoup trop de cigarettes, ma gorge me lance atrocement mais il faut tenir et pouvoir rendre un avis pour 13:00
le bois de mon bureau est jonché de reves baclés trop vite revés,
je ne vois qu’un scenario valable dans le lot, l’histoire de cette famille qui vit près de la mer, ils s’aiment, cheveux au vent, unis dans la tempete, les éléments
impossible de choisir celui-ci, 75 minutes à ce train là feraient passer un ministre pour quelqu’un d’interessant, sur l’autre chaine évidemment
alors j’épluche, j’évalue les corrections à apporter aux grosses ficelles qu’on m’a livrées,
Il y a quelque chose qui s’ouvre parfois, une amitié s’amorce, un retour d’énergie comme des milliards de points qui convergeraient sur cet impératif : vivre ; l’échange doit se produire, car la chance tourne vite : la loi de l’alternance comme dit R. Laporte est une machine qui peut n’importe quand lui retirer ce pouvoir, alors urgence de tendre la main avant qu’elle soit brulée, pour construire son regard dans l’amour.
elle semblait comme happée par l’ombre et l’inconnu, et me laissait seul avec mes regrets et ma tristesse,
je me souviens qu’elle a beaucoup pleuré à cette période, peut etre plus que moi,
je ne pouvais pas lui en vouloir, je l’aimais et je crois qu’à sa manière, meme si elle prétendait le contraire, elle m’aimait encore
ses petites marques d’affection, ses coups de fil fréquents pour s’enquérir de mon moral, nos diners et nos sorties au théatre… notre complicité, tout me montrait qu’elle m’aimait encore
je revois ton sourire et tes cheveux que j’aime tant caresser, ils me plaisent autant qu’au premier jour et cette image me contente et me contentera encore longtemps
« Je vous ai vu vous prosterner aux portes de la ville et dans vos foyers pour adorer votre propre liberté, Comme des esclaves qui s’humilient devant un tyran et qu’ils le louent alors qu’il les anéantit. Oui, dans le verger du temple et à l’ombre de la citadelle, j’ai vu les plus libres d’entre vous porter leur indépendance comme un joug et une paire de menottes. »
je pense que l’administration Bush ne sait pas ce que je sais à propos des photos de petites filles que Mr G. cache dans le deuxième tiroir (en partant du bas) de droite de son grand bureau (sous le dossier ONU).
The best way to seduce someone is by making yourself unavailable. You just have to be busy all the time and they’ll be craving to see you. Then you don’t fuck them for the first five dates. Let them get closer and closer but definitely don’t fuck them. Be disinterested Not too disinterested, they’ll think they’re barking up the wrong tree. But it’s always good to play hard to get. Good perfume is really important too. Everyone is a sucker for garter belts. You wear a dress and stockings and garter belts. You don’t let him have you, but at some point you have to make him see that you have a garter belt on. No underpants is also a big turn-on. Sucking on your finger every once in a while doesn’t hurt, like in the middle of dinner. Telling jokes is good. And on every date you have to say one really disarming thing.
Les soirs où il fait chaud on aime bien descendre se promener en ville. On a qu’à mettre notre brassard : »animaux civilisés » et tout se passe bien, personne nous dit rien. On boit une mousse à la terrasse du Zorba ne regardant passer les filles, ou bien on va faire un billard.
#34 On n’a jamais fini de remettre le sujet sur le feu. Pour le saisir à point il faudrait inventer un langage nouveau, aussi fulgurant que lui. L’accompagner, ne pas l’arreter. Découper soigneusement chacune des tranches du temps où il s’est exposé.
elle tuera toute vie dans un rayon de 5 km elle souillera les 150 km alentours qui ne pourront plus être cultivés et dont les habitants mourront à petit feu les vapeurs contaminées formeront un nuage nocif qui pourra voyager sur des milliers de kilomètres elle aura produit avant d’exploser des déchets dangereux pour au moins 100 000 ans
#23 Parole vaine du héros. La voix souveraine, elle revient, c’est ça : tressautements de sensations et je parcours le temps, je revis en une minute les dernières journées, et je vois un esprit insatisfait, une tête bien faite. E. m’a dit que j’aimais la douceur de mon visage. Est-ce ainsi qu’il faut lire les traits du héros ? Douceurs sourdes. Je ne vois pas pourquoi je m’interdirais de relier mon bonheur à l’écoute d’une cantate. Et si la quête du héros c’était de se rapprocher de dieu ? Ha non. Pas sérieux. Pas aujourd’hui. Pas dans l’époque. Et je me tairais enfin ? A la droite ? Le ciel ? Oui j’aime regarder le ciel. Mais cela ne prouve rien. Le héros veut anticiper, brûler des étapes, se brûler la vie pour un chemin somptueux. Est-ce que je mérite cette éternité ? Cette facilité ? J’écoute donc la voix souveraine de Barbara Hendriks au nom du père inconnu. Et j’attends. Posture essentielle du héros, chasseur grotesque ; mouche aux ailes d’anges.
le récitant : Theoretically, Chaos Magick is a meta-belief – beyond belief, a system without a philosophy, or a system that can contain all philosophies. Yet, there is very definitely a Chaos Magick ‘vibe’. It is not only a magickal practice, but also a magickal (anti-)philosophy. Just focus on the word ‘Chaos’. What does it mean to you? Flux, constant change, anarchism? A fractal understanding of a mathematical universe? A discordian object of (mis-)worship? The word is important, regardless of its ‘true’ meaning. Its cultural baggage imparts a nihilistic, post-modern, anarchistic flavour to much Chaos Magick speculation. Insures very Nietzschean stuff be goin’ down: God is dead. Laugh, for we have killed him. Since life is meaningless, be the artist of your own destiny. Create your own meaning, rather than be enslaved or conditioned by anyone else’s. If nothing is true, then everything is permitted.
LA CRASSE ———————— aujourd’hui je voudrais écrire de belles choses à ton sujet alors je sors le marteau et je frappe sur mon genou jusqu’à entendre que ça craque et je retire à la main les petits bouts pour m’en servir de stylet. ———————— CAR CA FAIT CLASSE
Car les ânes, quoi qu’on en pense, sont plutôt difficiles.
La première contrainte, et la plus pénible de mon point de vue, est qu’il faut nourrir les ânes à heure fixe.
En l’occurence, il s’agit du matin, avant 10 heures de préférence.
Si jamais on déroge à cette règle, l’âne peut le faire remarquer de manière assez désagréable et parfois spectaculaire.
Cela s’est produit une fois, d’après ce qu’on m’a raconté.
Pris par je ne sais quelle obligation, le propriétaire des bêtes n’avait pu, en effet, leur donner leur botte de foin quotidienne.
Quand il est arrivé, sur le coup des 14 heures, il les a pourtant trouvé, tous les deux au rapport, calmes et l’air dégagé.
Il faut aussi savoir que dans le champ d’à côté, il y a deux chevaux. De belles juments de race, autrement dit dont la progéniture peut valoir très cher, pour peu qu’on les fasse monter par des étalons assez dignes.
Au moment de cette histoire, le propriétaire des juments prévoyait justement d’aller les faire engrosser je ne sais où dans l’ouest de la France.
Le pauvre homme emmène donc sa bête un jour de grande chaleur, la fait monter comme il se doit par un pur sang bien membré, et revient sur la colline des moulins. Il fait constater la grossesse, paie la saillie, et attend l’arrivée du poulain.
Bien entendu, au moment de mettre bas, ce sont deux grandes oreilles qui apparaissent au lieu du pur sang attendu.
Les ânes (on ne saura jamais lequel exactement), avaient sauté la jument ce jour où ils avaient attendu trop longtemps leur repas.
Voila pourquoi il me faut respecter avec rigueur cette première contrainte.