Je hais l’humilité, la sagesse, l’amour et tous ces synonymes de mort.
Je veux vivre.
Alors je serai censeur, cupide, vaniteux, prétentieux, calculateur, pervers, aigri
et tout ce qui peut définitivement me rendre plus humain.
parce que quand les poches du cerveau elles sont pleines, y faut bien mettre son fouillis quêque part…
in « deux heures de lucidité » de noam chomsky, les arènes éditeur.
(héé non, ça n’est pas une réplique du captain Kirk
en même temps, 2 heures de lucidité, c’est, mmm…
comment dire…euhhh…hein…?)
Méthodes du héros.
#8
Il doit avoir le courage d’imaginer sa vie toute entière comme
la recherche méthodique des problèmes, avec ce curieux alibi :
celui d’etre lavé, comme si plus tard, vieux et lâche, il préparait
déjà sa vie dans l’au-delà. Ou bien mourir sainement
sans rien avoir négligé ; sans évitement, sans remords,
en ayant tordu le cou aux bestioles nuisibles, ayant honoré le ciel s’il fut
à un moment honorable, en ayant célébré la terre
quand elle fit pousser de belles fleurs ; vivre à tout prix, pense-t-il ; vaste
commentaire interminable, poser la question sur la bonne partie du monde, se battre
contre tous, et se poser néanmoins comme une personne sage et sereine
dont on ne mesure ni la tourmente ni le bonheur à la fleur de ses yeux.
(Le programme fait de l’homme un héros, entendons-y des vieux attributs :
hardiesse, témérité, persévérance, solitude, etc.
Peut-être du ridicule, mais il fait partie de ceux qui sont en train de fonctionner,
il marche presque tout seul. Quant aux malentendus, on ne peut pas les éviter.)
Est-ce que je peux être lui ?
Gris…
…Comme un après midi ensoleillé rue Watt
Gris…
…Comme un cancéreux découvrant sa rate
Gris…
…Comme le vieux torchon écrasant la blatte
Happy Days ?
Certes !
Etais-ce une quille ou un glaçon, va savoir…
Dans le noir, dans le ton,
Quel que soit l’abandon
Pourvu qu’il soit le bon
Sur d’experts toboggans
Vous m’avez vu glisser
Mais y glisser avec délices
– allo, mon amour ?
– qu’est ce que tu veux ?
– heu… je sors tout juste. on se retrouve ?
– ha ?
– bah oui. on se donne rendez-vous ?
– ça dépend, tu proposes quoi ?
– qu’importe, on se retrouve et puis on verra ensemble.
– non, tu fais chier. je veux que tu me proposes un truc précis.
– pourquoi tu me parles comme ça ?
– t’as fini de te plaindre ? bon bah salut, rappelle moi quand tu seras moins chiant.
– …
Parole vaine du héros.
#52
Tentation de dépassement que l’impatience encourage à
se réaliser ; un grand coup de pied au maigre édifice,
une insouciance scandaleuse dans l’entrée aux portes du nouveau ;
c’est la clef d’une phrase différente ; mais je suis encore au même niveau ;
l’illusion d’avoir traversé des épreuves tombe, le pétrin
s’ouvre aux éternelles souffrances, je radote, je recommence.
ô on y arrive, on y arrive !! c’est très bien « cariboo’s road » ! vraiment bien !! ça va se retrouver au top 3 for sure ! mille mercis de m’aider gü ! le seul truc est que mon film est plutôt axé sur l’errance intérieure qu’extérieure, physique. ils errent dans leur tête, leur coeur. mais « cariboo’s road » c’est tout de même très bien…
Keven & teresa, bises à Jagganath
Jerome & Irisha, kisses to Hanuman
Sophie & Kevin, a wish for me to Ganesh
si vous vous vous croisez des bises entre vous aussi
pour moi / de ma part
je meurs de vous rejoindre
tous
Viens ici que je te spamme un peu ma biche… (sourire à grandes dents de vampire qui luit dans l’obscurité é é é…).
Le langage du héros vaste problème.
Comment puis-je en meme temps exprimer une émotion,
communiquer une pensée ; qu’on me reconnaisse sans
me caricaturer, parler d’autre chose que de ce que je suis en
train de dire, laisser le sens plurivalent mais précis quand meme ;
moins allusif que Mozart, aussi pointu que Webern, drole, sincère,
grave, catastrophique, touchant, aimable ?
Tout à la fois ? Plutot se perdre.
Le héros fonctionnera pas à pas.
« Quelle immensité et quelle misère dans le langage ! »
Le héros ne devra pas comparer le langage à un monde
car il n’est pas poète.
Il bravera les tentations lyriques, et revera comme il se doit, à de grands récits.
(Langage monstrueux, imaginé, volé, inventé, combiné, mélangé.)
Tu me baises bien, là, oui, comme je t’aime
Il n’y a que toi pour me baiser comme ça
Il n’y a qu’un toi, il n’y a qu’un moi
Il n’y a que toi pour me baiser comme ça
Il n’y a que moi pour être baisée comme ça par toi (…)

récit objectif du jour :
ce matin je me suis levé dans les jardins de l’Elysée,
pas de garden party, alors je bouge.
retour maison, attraper un fil de fer, ex-cintre,
le foutre au trou bien profond,
récupérer Ganesh et Mach 3, merci O.
te parler enfin…
retour à l’Elysée, toujours pas de bouffe.
je file à Belleville de mon placard pour souper.
framboise à suivre et ce soir…
ce soir, te revoir.
que se passerai-t-il si on découvrait que Hansel et Gretel n’étaient pas uniquement soeur et frêre, mais aussi amants?
que dirons les Authorités Contiques lorsque tout le monde saura que leur position favorite était la levrette?
L’Avant P.A.R.I.S d’Igor…
« Assis à la table du fond depuis 18h avec quelques amis, Igor picole, morose et achève les dernières réserves de bière amassées pendant les happy hours.
A ses côtés ses compagnons se laissent aller mollement sur la table et rient distraitement aux blagues de chacun. Igor laisse son regard errer parmi les clients agglutinés autour de la table…
L’habituelle faune: suédois, américains, anglais des deux sexes, se pressant les uns contres les autres, quelques parisiens comme égarés.
Assis par terre, presque piétiné par la foule, un petit homme à manteau vert, en train de se faire une ligne de poudre rose avec une paille dorée. Un peu de temps passe…
Igor est de plus en plus embrouillé, ses amis sont partis, des gens assis autour de lui, les cafards de plus en plus près, de plus en plus gros.
Un ange passe, un homme immense à l’accent slave s’assoit à la droite de Igor, il sort une flûte de champagne de sa cape et la propose à la jeune fille rousse (Charlie ?) à sa droite.
Elle retrousse un peu sa jupe (on aperçoit le haut de ses bas), sourit à l’homme et accepte la flûte.
L’homme extrait à présent de sa cape une bouteille de champagne, un singe et d’autres coupes qu’il distribue alentours.
Igor en reçoit une et le petit gars en vert aussi, il est maintenant assis sur le genou gauche de Igor qui s’en aperçoit à peine.
Un ange passe, un coup de feu au bout du pub, une bousculade, le mort est vite déchiré par le public affamé.
Le petit homme vert continue à sniffer, une poudre jaune…
La table est pleine maintenant d’objets surgis de la cape du comte.
Sous la table un couple de nanas s’agite, la plus grande essayant de ligoter la plus petite (une finlandaise aux cheveux aile de corbeau… Charlie ?) avec la bretelle de son soutien-gorge à fleur…
L’absinthe coule à flot dans le pub, tout le monde a les pieds mouillés…
La fumée devient de plus en plus épaisse et bleue.
De sombres oiseaux et quelques cafards (plus de deux mètres d’envergure) volettent çà et là en heurtant le public aveuglé.
Igor dodeline de la tète, sa flûte est vide, il se penche et la remplit d’absinthe…
Deux grands allemands blonds en short debout sur le pub se fracassent la tète à coup de hache; voluptueusement les spectateurs trempent les tranches de l’énorme gâteau flottant, qui s’avance doucement vers la table de Igor, dans le sang qui gicle partout…
Igor, qui, justement, fouillant ses poches pour trouver des thunes à claquer tombe sur le petit pistolet noir à silencieux.
Une patte de cafard le heurte à l’oeil, il sort le flingue…
Charlie vient d’apparaître dans la fumée, elle a l’air un peu perdue et lasse, elle porte son habituelle robe blanche immaculé qui la rend si belle.
…
Bang ! Dans l’oeil du nain vert…
Bang et rebang ! Dans le front du comte et dans sa cape…
Bang pour un cafard !
…
Igor se lève et marche vers Charlie… Il explose la tète du barman d’un tir courbe en croissant de lune le long du plafond, vise un des allemands et le manque: plus de tète déjà.
Elle semble le reconnaître et lui fait un demi-sourire.
Un allemand (Grishka ?) tente de fendre le crâne à Igor qui esquive péniblement la hache qui le frappe. Le cadavre du nain sniffeur, accroché à sa jambe droite tente de le retenir…
Igor dégaine sa Gattling et mitraille à gauche, à droite, faisant exploser tètes, bras et idées noires.
Plus de munitions, il se débarasse de son arme sur le pied du gros allemand qui part en hurlant les chants de Maldoror.
Charlie dans les bras de Igor… Un ange passe, Igor le vise et l’abat avec son petit pistolet.
Igor entraîne sa compagne vers l’extérieur, en évitant table qui volent, cafards et lévriers ainsi que le public surexcité et les larmes aux yeux.
…
Dehors Nicolaï attend patiemment au volant de la Tourguy-mobile le retour de son frêre.
Déjà il arrose la façade du bâtiment de torpilles au napalm.
…
A l’intérieur la foule est en transe, hurlements, chants, danses, viols et meurtres gratuits se succèdent à un rythme frénétique, un seuil sur l’enfer est ouvert et les démons envahissent le pub; Bizarrement ils paraissent bien tristes et moroses dans l’ambiance pyrotechnique qui règne dans le pub.
A l’aide d’un grand fouet, Igor finit de se dégager un passage et atteint la sortie, là résolvant rapidement l’épreuve du sphinx, il surgit à l’extérieur avec Charlie à son bras.
Nicolaï achève de détruire le bâtiment à coup de missiles sol-sol pendant que nous entrons précipitamment dans la grosse voiture.
…
Je serre Charlie, elle essuie une larme et se pelotonne contre moi. La voiture prend de la vitesse et s’envole vers la base lunaire.«
helene par MSN : c’est marrant que les hommes fantasment pas sur une chatte très profonde comme certaines femmes fantasment sur les grosses bites.
date + heure + inventaire intime
malakoff
bureau vide
fatigue
moral un peu ras
une main coupée
un gode
un téléphone
cd-roms
tasse à thé sale
cartes de visites
fourchette
papiers
assiette sale
miettes
pass pour la fête à l’Elysée
haut-parleurs
post-it
écran
clavier
murs blancs
pingouin
appareil photo
masque javanais
livres
meubles divers
ventilateur en boite
sac + manteau
cravate
porte truc + culotte 2be3
— Quel était l’origine de toute cela ?
— Qu’entendez-vous par cela ?
— La lutte, je ne sais pas, votre présence ici.
— Problématique.
—C’est pourquoi je vous demande de m’expliquer.
les braves morts au combat
se tranformaient
en oiseaux des mers,
ils s’élevaient progressivement
et s’envolaient vers le soleil
nombreux sont ceux qui ont pleuré
de n’etre pas morts ce jour là.
Tu n’es encore pour moi qu’un petit garçon tout semblable à cent mille petits garçons.
Et je n’ai pas besoin de toi.
Et tu n’as pas besoin de moi non plus.
Je ne suis pour toi qu’un renard semblable à cent mille renards.
Mais, si tu m’apprivoises, nous aurons besoin l’un de l’autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde.
‘j’ai violé violaine’ ferait un bon titre mais son principal défaut serait qu’il n’a évidemment rien à voir avec l’histoire. ce serait un titre tautologique comme ‘le cri du cormoran le soir au-dessus des jonques’ ou ‘l’automne à pékin’. ‘le vent des steppes’ ferait aussi un bon titre mais il y a déjà un film au titre similaire au québec, ‘le vent du wyoming’ de marc-andré forcier. ‘la mer sait décliner les bleus’ serait pas mal si seulement le film ne se passait pas dans la pluie et la neige de novembre au québec…
aaaaaaaaaaaaaaah aidez-moi à titrer ce putain de film !!!
C’est en forgeant qu’on devient forgeron
Soit, mais…
A trop coller on devient coléoptère
A trop se battre on devient batracien
A trop s’enflammer on devient flamenkuche
…
Le ciel dans une chambre
Quand tu es près de moi,
Cette chambre n’a plus de parois,
Mais des arbres oui, des arbres infinis,
Et quand tu es tellement près de moi,
C’est comme si ce plafond-là,
Il n’existait plus,
je vois le ciel penché sur nous…
qui restons ainsi,
Abandonnés tout comme si,
Il n’y avait plus rien,
non plus rien d’autre au monde,
J’entends l’harmonica…
mais on dirait un orgue,
Qui chante pour toi et pour moi,
Là-haut dans le ciel infini,
Et pour toi, et pour moi
(…)
CBruni
ce matin, Igor a essayé de me faire croire que c’était la fin du monde.
la FdM, comme il disait.
moi, je venais de me réveiller, je buvais mon café alors je me suis dit « pourquoi pas, après tout ? »
ça ne m’a pas vraiment bouleversé.
et puis vous savez, j’y croyais presque à son histoire.
c’était plausible après tout.
la fin de tout, ça n’avait rien d’extravagant.
la FdM
Contradiction me direz-vous : voilà des gens dont le zèle devrait me ravir l’âme.
Voilà des gens qui ont remis la femme, la corruptrice, à sa juste place la deuxième.
Voilà des gens qui n’ont pas transformé leur planête en terre désolée, inhabitable.
Voilà des gens épargnés par l’argent, le pouvoir, la dépravation, par tous ces vices qui nous ont métamorphosés en démons lubriques et criminels.
Voilà des gens qui pourraient symboliser notre idéal tel que décrit dans le Livre des vertus et révélations.
Cependant, je suis amené à les croiser tous les jours dans un espace confiné, et il m’apparait que plus je les fréquente et moins je les souffre.
Elle n’en a pas envie.
C’est sûr.
Elle se force,
ça se voit.
Il suffisait de le dire.
C’est tout.
Pourquoi toujours mentir, mentir, mentir?
Mentir pour ne pas blesser comme si j’étais un carton avec une étiquette mention « fragile ».
C’est encore pire.
hello
Hi. I know I should be laying down but I had to get up to let Shady out.
He’s a pain in the ass sometimes.
I just wanted to say Hi. I am going to go lay down in my room. I dont have
the energy to clean up. I’ll just forget about it for one day, besides we
have no water yet. I told the kids we’re not turning it on til after my
breother-in-law comes & checks out the busted pipe. They’re ok with it. Bryanna is
still asleep. Giovanni just woke up but is going to watch tv.
I just wanted to tell you that I LOVE YOU with all my heart & soul baby. I’m
so happy were together again, for good this time!
XOXOXO
love,
your baby
Mensonge
L’autre soir, en voulant expliquer l’idée de la mort à ma fille inquiète,
je ne sais pas ce qui m’a pris, je lui ai parlé de Dieu…
la fac : bien des choses et ça qui m’avait fait bander à l’époque.
(utiliser le medium comme support pour un journal intim’impartial)
Attendre le premier coup,
Tendre toute son attention
Vers le premier son
rond de la contrebasse,
Charles Mingus à l’archet.
Pour ce MOOD INDIGO.
C’est bleu, c’est mauve, c’est beau, c’est coloré.
Comme les nuages rendus roses par le soleil
quand il peine à aller se coucher.
|
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| gangster??? | ||||||||||
| fuckin’bastards, you’llsee where is my chérie, | ||||||||||
![]() |
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| ! | ||||||||||
| craché par » i don’t know who yu’re » edited by Gü. |
Elle parle! Oh! parle encore, ange resplendissant! Car tu rayonnes dans cette nuit, au-dessus de ma tête, comme le messager ailé du ciel, quand, aux yeux bouleversés des mortels qui se rejettent en arrière pour le contempler, il devance les nuées paresseuses et vogue sur le sein des airs!
G enfin trouvé un petit nom sympa pour mon chat.
Je vais l’appeler « Phillipe »…
C’est extra, comme nom, pour un chat, non?
Phillippe le chat, tout ça…pis ça change de félix, hein?
Je pourrais dire aux copines de ma mêre: « non, phillipe n’est pas tatoué, il aime bien pas faire comme tout le monde,…, oui, cet été, en vacances sur la côte avec phillipe…, oui, phillipe et moi on est inséparables…on dors tout le temps chez moi…et pas une dispute, c’est un ange…mais il est trés indépendant, hein… »
mmm
Bon, c’est peut être pas une si bonne idée finalement…
Le vendredi soir il lui arrivait de passer à l’Est, sous les lampadaires grisonnants, en direction de l’Echangeur
il dit que la femme qu’il aime
est partie au japon
et qu’il couche avec des hommes
pour ne pas la tromper
Ce soir je vais à la plage.
On jouera au ballon prisonnier
et aux chaises musicales.
Comme dans un show TV
de samuel beckett
ou de gertrude stein…
0001010100000111010011000010…ad lib.

au départ
je n’étais pas vraiment contre
l’adoption de ce petit alien
tombé de son nid céleste
et puis c’est si mignon
quand il dort dans le creu de ton cou
mais j’ai bien peur
qu’il ne soit la cause
de mes étranges et nouvelles allergies…
Sgt Rock Collection
Et les marines chantaient
(Et les marines chantaient)
Et les marines chantaient
(Et les marines chantaient)
Un truc qui m’ colle encore au coeur et au corps
From: « Paul »
Sent: Saturday, March 08, 2003 9:48 AM
Subject: boo!!
> Testing my swanky new iBook :) Now I am a proper Mac owning « art-f*g »
> :) hehe
From: « Paul »
Sent: Saturday, March 08, 2003 10:41 AM
Subject: test
> does this work :/
From: « Paul »
Sent: Saturday, March 08, 2003 10:47 AM
Subject: test again
> now that i have a mac none of you are safe!!!! :)
From: « alex »
Sent: Saturday, March 08, 2003 6:01 PM
Subject: Re: boo!!
> There are about 600 subscribers to this list. So emailing three
> times makes about 1800 emails.
>
> That might not be the best way to test your new computer.
Je fus en fusion, les émotions et les sentiments à fleur de peau : tout pour moi était douleur.
Cette lave intime se refroidi en une croûte sombre et rugueuse ; seules ne la traversent plus que les pulsions, les plus charnelles, primitives et archaïques, qui subsistent en mon noyau.
Quand finalement je m’éteindrai, je serai plus tranquille.
lu ce matin dans la presse spécialisée:
« connasses diplomées
cherchent bites d’amarage
pour ancrer divers bateaux… »




































