Leurs voix s’entremelent et s’élevent dans l’infini
Elles tissent comme un réseau de fils d’or
qui s’étend et qui vibre
en harmonie avec le monde et les rêves
Elles nimbent les espaces
de lumières changeantes et douces
fugaces témoignages d’un amour qui sourit dans l’éther
Les motifs qu’elles inventent,
ces pétales délicats,
rayonnent et exhalent des parfums inconnus
Pour qui sait les voir
les ondes dorées forment un tout,
immateriel autel dédié à l’autre pour toujours
Sur le fronton des temples, cette inscription : « je t’aime, je t’aimais et je t’aimerai »
J’avais tOujOurS cru que leS cOmpteS à rebOurS décOmptaient decreScendO (…)
La façade appartient à celui qui la regarde (…)
Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées
à trop vouloir forcer l’amour
on arrive à rien
laissons monter l’adrénaline
laissons monter le mercure
laissons monter l’aventure
au-dessus de la ceinture
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps
le récitant : je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps (le Bonheur est l’an vert de l’Inspiration ?).
Le Bonheur est l’envers de l’Inspiration
no brain : il f–>audrait–>song–>er à ne plu–>s faire de pos–>ts en or–>ange.


In driving my car
under the blinding sky (…)