10.37 – Comptoir en (faux) marbre, proximité Colonel Fabien

– Se renseigner sur les horaires d’ouverture administratifs avant d’y aller

Ne pas jeter de pain aux joggers des Buttes Chaumont pour les amadouer

Déposer une obole au St Patron des (biens sympathiques) nettoyeurs de canal

– Acheter un sens de l’orientation en bon état

Idée du jour : Tomber Amoureux (effet conjugué canal + verdure sur les hormones, les pouêts auraient eu raison ?)

Old par Rodia le 15 Avr 2003

Forniquer ?

Old par Rodia le 20 Avr 2003

Orad je t’aimes
Comme un serum de cerumen
Adore moi et partons ensemble
Sur les voies de la haine

Ni rime, ni joie, ni peine.. inutilité du phrasé, zéro monsieur !

Old par Rodia le 22 Nov 2002

Je déteste les parapluies – petits univers d’égoisme – et leurs baleines assassines.

Old par Rodia le 23 Oct 2003

Old par Rodia le 28 Avr 2003

De Mille

Eructé

Dévoilé

Indiqué

Signalé

Emargé

Zyklon B

Old par Rodia le 27 Août 2003

Je suis là.

Old par Rodia le 27 Fév 2003

Le vendredi soir il lui arrivait de passer à l’Est, sous les lampadaires grisonnants, en direction de l’Echangeur

Old par Rodia le 12 Juin 2003

A force de faire du vélo, j’ai de la corne sur les mains.

Old par Rodia le 01 Mai 2003

Les Motards

Old par Rodia le 31 Août 2002

Amour…

Maladie textuellement transmissible ?

Bientôt la corde !

Old par Rodia le 04 Jan 2003

– Que fais-tu ?
– Il s’emmerde.

Old par Rodia le 23 Avr 2003

Old par Rodia le 06 Avr 2003

Jeudi 27 mars – Ouf. Pendant un an j’ai eu peur.

Old par Rodia le 27 Mar 2003

Old par Rodia le 13 Mai 2003

Je ne m’appelle pas Alex.

Old par Rodia le 02 Avr 2003

Il m’arrive de rater un bus.

Old par Rodia le 04 Avr 2003

Le reflet des autres m’intéresse également.

Old par Rodia le 16 Avr 2003

Je suis encore à poil.
Pas douché.
Je pue.
Et j’arrive pas à décrocher de cette putain de machine.

Old par Rodia le 09 Avr 2003

17h33 – Je lis Tourgueniev.com

Old par Rodia le 25 Mar 2003

16h00 – Igor Tourgueniev refait sa salle de bain.

Old par Rodia le 08 Avr 2003

Peinture acrobatique

Old par Rodia le 15 Avr 2003

– allo, mon amour ?
– qu’est ce que tu veux ?
– heu… je sors tout juste. on se retrouve ?
– ha ?
– bah oui. on se donne rendez-vous ?
– ça dépend, tu proposes quoi ?
– qu’importe, on se retrouve et puis on verra ensemble.
– non, tu fais chier. je veux que tu me proposes un truc précis.
– pourquoi tu me parles comme ça ?
– t’as fini de te plaindre ? bon bah salut, rappelle moi quand tu seras moins chiant.
– …

Old par Rodia le 02 Avr 2003

– A quoi penses-tu ?
– A un pied regardant le ciel.

Old par Rodia le 25 Avr 2003

Sproutlore

Old par Rodia le 30 Mai 2003

Old par Rodia le 10 Mai 2003

« Ridicule. Je suis ridicule. »O.P.

Old par Rodia le 28 Mar 2003


– Allo mimi ?
– Ouuuais.
– Je suis super désolé. Mais je vais pas pouvoir vous assassiner sauvagement à coups de hache demain soir.
– Ha bon ????
– Ouais, j’ai une grosse surchage de boulot, je vais devoir bosser comme un malade tout le week-end.
– Zut, c’est dommage.
– Donc on fera ça la semaine prochaine, mais je sais pas encore quel jour. Je vous appellerai pour vous dire. Ok ?
– Ok.
– Alors à plus et encore désolé, vraiment.
– C’est pas grave. Bon courage, travaille bien. Salut.
Old par Rodia le 10 Mai 2003

C’est l’histoire d’une barge, pas belle, coincée, un peu autiste.
Elle veut bien qu’on se foute un peu de sa gueule.
Mais arrive un moment où il faut arrêter de déconner.
Et alors tout le monde crève dans d’atroces souffrances.
Et puis sa maman qu’est pas contente parce qu’elle est l’incarnation du mal veut la poignarder.
Mais elle la tue grâce à ses pouvoirs magiques.
Et puis elle se suicide pour que plus personne l’embête.
Et la copine du beau blond (qui est mort dans d’atroces souffrances) est traumatisée à vie.
Moralité : j’aime bien le vert pâle.

Old par Rodia le 14 Avr 2003

Je me manque déja.

Old par Rodia le 08 Avr 2003

J’ai rechuté.

Old par Rodia le 12 Mai 2003

Gong

Old par Rodia le 10 Nov 2003

Sécuritaire

Il ne couchait qu’avec celles qu’il n’aimait pas, pour ne jamais être déçu

Old par Rodia le 13 Jan 2003

Qu’est ce que je fous là ?

Qu’est ce que je fous là ?

Qu’est ce que je fous là ?

Qu’est ce que je fous là ?

Pourquoi ne suis-je pas avec toi ?

Old par Rodia le 05 Mar 2003

Ennui de Noël

Plouf dans l’apéro.

Old par Rodia le 25 Déc 2006

« Personne ne fait de la psychologie par amour : mais plutôt par une envie sadique d’exhiber la nullité de l’autre, en prenant connaissance de son fond intime, en le dépouillant de son auréole de mystère. »

Old par Rodia le 19 Avr 2003

Tiens bon la rampe…

Y a des moments, on peut pas s’empêcher

Old par Rodia le 19 Déc 2002

16h53 : Je lis La chambre des demoiselles. On y parle de viol et de coulées d’urine.

Old par Rodia le 16 Avr 2003

Je ne suis pas un moustique.

Old par Rodia le 03 Avr 2003

Arrêtez la paranoia, c’est banal. Il y a tellement d’autres névroses plus intéressantes…

Old par Rodia le 11 Avr 2003

Je ne t’ai encore jamais croisé.

Old par Rodia le 05 Avr 2003

Il était une fois deux charmantes demoiselles

Old par Rodia le 10 Avr 2003

Merci pour tout, petite anglaise.

Old par Rodia le 23 Mar 2003

Le météorologue : va y avoir de l’orage.

Old par Rodia le 25 Avr 2003

T1 + S1.
T2 + C1.
T2 != C1.
S2 != O.
S1 != T1.
S1 + O.
S1 != S2.
T2 + C2.
S1 != T2 + C2.
T1 + C1.
S1 != C1.
S1 != T2.
T1 != C1.
T2 != T1.
T1 -> S2.

Old par Rodia le 13 Mai 2003

Superlativité superficielle.. amour aimant.. un aimant, attiré, horreur, pas le choix ?
Arracher, quitte à se faire vomir, je me mutile, j’arrache, je déchire, le sang coule, la chair entre dans la poele..
Bacon simplifié… Anglicisme… douleur…

Old par Rodia le 03 Déc 2002



Old par Rodia le 10 Mai 2003

Oui, mais quels mots choisir ?

Old par Rodia le 03 Mar 2003

« Rien de ce qui arrive réellement n’a la moindre importance. »

Old par Rodia le 28 Avr 2003

Je ne suis pas fier de moi.

Old par Rodia le 10 Avr 2003

Je n’arrive pas à dormir.

Old par Rodia le 03 Avr 2003

Inceste ?

Old par Rodia le 03 Mar 2003

Un dimanche au soleil.

Old par Rodia le 06 Avr 2003

Ouverture

Igor Branlouillicotte
Nikolai Oublie…

Que dire de plus… si ce n’est qu’ici tout n’est qu’un moyen d’expression, sans volonté de reconnaissance.. et que tous devraient se le rappeler.

Rideau !!

Old par Rodia le 15 Nov 2002

Old par Rodia le 23 Avr 2003

25 mars 2003 – 21h00 – Igor « super porte-clés » tourgueniev entre en scène.

Old par Rodia le 26 Mar 2003

On va se calmer.

Old par Rodia le 14 Avr 2003

Triste journée…

Old par Rodia le 20 Avr 2003

Je ne vous aime pas.

Old par Rodia le 19 Avr 2003

Vue de dessus.

Old par Rodia le 03 Avr 2003

Un dragon point trop écailleux lissait ses moustaches gominées en méditant sur les restes de son repas, déjà envahis par de grasses mouches pourtant affamées.
Pourquoi encore et toujours vouloir posséder, se rendaient elles seulement compte de la vacuité de leurs existences ?
Philantrope et d’un souffle, il abrégea ses pensées par une crémation générale.

Old par Rodia le 15 Avr 2003

Elle n’est pas Caroline Hazard.

Old par Rodia le 08 Avr 2003

La flemme de faire une sélection…

Old par Rodia le 18 Avr 2003

L’entrée de mon cerveau.

Old par Rodia le 31 Mar 2003

Je hais l’humilité, la sagesse, l’amour et tous ces synonymes de mort.
Je veux vivre.
Alors je serai censeur, cupide, vaniteux, prétentieux, calculateur, pervers, aigri
et tout ce qui peut définitivement me rendre plus humain.

Old par Rodia le 05 Mar 2003

Old par Rodia le 31 Mar 2003

Il est rare que je me souvienne de mes rêves. Je n’aime pas rêver.

Old par Rodia le 09 Avr 2003

Moi et moi.


Old par Rodia le 06 Mai 2003

Je n’aime pas les jeux de mots : « j’aime m’épier » (dit-elle)

Old par Rodia le 17 Avr 2003

« Je vous ai vu vous prosterner aux portes de la ville et dans vos foyers pour adorer votre propre liberté,
Comme des esclaves qui s’humilient devant un tyran et qu’ils le louent alors qu’il les anéantit.
Oui, dans le verger du temple et à l’ombre de la citadelle, j’ai vu les plus libres d’entre vous porter leur indépendance comme un joug et une paire de menottes. »

1 par jour pendant 3 semaines.

Old par Rodia le 01 Mar 2003

Sophilosophisme extatique !

Je me retourne, cette exclamation en pleine rue fauchant toutes les pensées qui s’agglutinaient lamentablement dans la partie la plus endormie de ma cervelle somnolente

Derrière moi, à quelques métres, se tient un clodo -pardon un sans domicile fixe- de la plus pure espèce, souriant de sa bouche édentée

La suite, un café, une longue discussion à batons rompus et une journée qui commence bien.

Old par Rodia le 14 Nov 2002

Prendre un cou pour une serviette
Consciencieusement le tordre, le serrer, le tirebouchonner
Et subitement le lâcher : il se remet droit, comme par magie !
Le propriétaire est un peu mort, certes
Mais après tout lui aussi aura bien rigolé

Old par Rodia le 20 Jan 2003

Cette photo n’a aucun intérêt.

Old par Rodia le 12 Mai 2003

Obsessionnel.

Old par Rodia le 03 Mar 2003

Je n’aime pas l’esthétisme.

Old par Rodia le 24 Mar 2003

Cikori (mon clavier aime pas les accents tchéques… il me fait une guerre culturelle ce saloupiaud)

Old par Rodia le 24 Jan 2003

J’ai la banane.

Old par Rodia le 07 Avr 2003

Vous retrouverez votre photo sur le trottoir à l’angle de la rue de Patay et de la rue du Dessous des Berges (paris 13e).

Old par Rodia le 07 Mai 2003

Bon alors il faudrait que tu penses à faire cela, et puis aussi contacter Mr K, oui, le client, pas le prestataire, et enfin organiser le cocktail.

Mais je n’aurais pas assez de temps pour le faire !

Hé bien étend le…

Old par Rodia le 26 Jan 2003

Est ce quelqu’un a un vidéo-projecteur, une grande cave et des voisins sympas ?

Old par Rodia le 26 Mar 2003

1885 : Masha Tourgueniev à la lippe boudeuse, 9 ans, dans son premier happening pour mandoline et panier double couvercle.


Old par Rodia le 28 Nov 2002

Solitude

Quart de piècette Arcosienne à jouer de nuit, dans une pénombre calfeutrée, suite à l’ingestion de substances illicites et prohibées, avec des ampoules.

Acte 1

Une vieille femme, seule, sur une chaise. Une lanterne à ses pieds.

Agnès : Mon fils, je vais te rejoindre, toi qui a été emporté par la guerre.
Tu es dans la lointaine prison du Nord, je le sais.
Je t’ai fait ces petits pains aux fruits, que tu aimais tant.
Je viens te rejoindre dans ta peine.
Mon enfant…

La lanterne s’éteint et une autre s’allume, sur la droite.

Etre 1 : Que la guerre d’hommes et de femmes a tué
Que de familles ont pu être ainsi décimées
La vieille Agnès, femme de marin
A vécu tout ces malheurs, et les a endurés.

La lumière s’éteint à son tour et une autre s’allume sur la gauche.

Etre 2 : Un mari simple et honnête
Une découverte l’un de l’autre il y a de ça bien longtemps.
Des amours et des joies simples, des peines aussi.
Trois enfants, trois fils, fierté de la famille
Robustes, vaillants et honnêtes.

La lumière de droite se rallume.

Etre 1 : Une guerre, de celles dont les seigneurs se repaissent

Etre 2 : Complots, politique, appât du gain, haine !

Etre 1 : Un grondement naissant emplissant les corps et les âmes.

Etre 2 : Les simples convoqués, leurs fourches remplacées par des épées.

Etre 1 : Le départ vers l’ennemi, sombre inconnu

Etre 2 : Femmes pleurant le manque de leurs maris, de leurs fils.

Etre 1 : Premier engagement, teinte d’écarlate, corps tombant lourdement.

Etre 2 : La mort….

Etre 1 : Un courrier arrivant haletant, et gêné

Etre 2 : Madame votre mari et deux de vos fils sont morts !

Etre 1 : Effondrement, pleurs, la vieille ne comprend pas.

Etre 2 : Son corps rachitique se replie sur lui même

Etre 1 : Ses vieux os se recroquevillent, tant d’amour…pour ça…

Etre 2 : Quand soudain !

Etre 1 : Une lueur d’espoir…

Etre 2 : Et le petit ?

Etre 1 : Emprisonné, loin au Nord.

Les deux lumières s’éteignent, silence.

Acte 2

Agnes : Et ainsi je partis au loin
Sur les chemins, toujours vers le Nord
Suivant la grand route, celle du lointain.
Nombreuses nuits de solitude
Froid de la neige contre mon corps frêle
Moi qui n’avait connu que la douce caresse du soleil.
Maladie, souffrance…
Mais mon petit, l’être sorti vagissant de mon ventre
Mon petit était au bout de la piste.

La vieille dame se lève de sa chaise, s’avance et tombe. Un homme en haillons s’approche d’elle, et tente de la réveiller.

Robin : Hé, m’dame !
Oh, ça va ?
Tu vas pas nous claquer dans les doigts maint’nant ?

Il l’asperge d’eau et lui donne deux trois claques pour la réveiller Les deux lumières des côtés se rallument en même temps juste pour une phrase et les deux êtres, à l’unisson :

Etre 1 : A croire qu’il a envie de connaître la suite…
Etre 2 : A croire qu’il a envie de connaître la suite…

Agnès, sous les frictions, se réveille lentement.

Agnès : Mon…mon Antoine, mon bébé ?

Robin : Ah non ma bonne Dame, je ne crois pas !
Robin, déserteur des armées stupides de notre seigneur
Et vagabond à ses heures perdues, pour vous servir.

Agnès : Oh, j’avais cru…où sommes nous ?
Que ..pourquoi suis je ainsi dans la neige,
Toute indécente empêtrée dans mes jupons.

Robin : A mon avis t’as pas mangé depuis pas mal de temps
Et puis t’es plus toute jeune
Qu’est ce que tu fais comme ça sur les routes,
A tenir ce bout de pain moisi comme un talisman ?

Agnès : Rire aigrelet, pris par la démence
C’est un pain de fête
Et je l’amène à mon petit Toinot
Celui que la guerre n’a pas tué…

Robin : Et où il est ton fillot ?

Agnès : Dans la grande prison du Nord
Et aussi vrai que j’ai élevé mes trois gamins
Je ne laisserais pas le seul qu’il me reste
Sans son pain de fête cette année.
Robin : Ton entreprise est folle,
La prison est à des milles et des milles d’ici
Mais j’aime la folie aussi…
Dorénavant je t’accompagnes !

Les lumières s’éteignent toutes (durant toute cette scène toute la rambarde avant était illuminée)

Acte 3

Seul l’Etre 2 est éclairé.

Etre 2 : Ainsi donc nos deux pauvres héros repartirent vers le nord
Subissant les intempéries, les moqueries des ruraux
Mais marchant, toujours un pas devant l’autre
Devenant plus proches que n’ont jamais pu l’être
Deux personnes en ce monde.

La lanterne de l’Etre 1 s’allume.

Etre 1 : Mais la prison jamais ne semblait vouloir s’approcher.
La vieille, toujours contre son ventre,
Tenait ce pain, petit tas de croûte noirâtre,
Qui n’avait plus d’aliment que de nom.
Mais elle s’y accrochait comme à une relique de sa vie.

Etre 2 : Et puis ce qui devait un jour arriver arriva.

Etre 1 : La fatigue, la vieillesse…

Etre 2 : Tout cela eut raison de l’énergie, de la foi

Etre 1 : De la vieille Dame.

Les lumières s’éteignent, deux lanternes au centre se rallument, illuminant Robin et Agnès. Elle est de nouveau évanouie.

Robin : Agnès, petite mère, tu ne vas pas me lâcher là, hein ?
La prison est juste à côté, allez ! Réveille toi !

Agnès : Se réveillant lentement
La prison ? Mon…mon Toinot, enfin, c’est toi ?

Robin : No…
Si maman, si c’est moi.
Oui c’est moi, ton petit enfant.

Agnès : Prenant Robin dans ses bras
Oh mon Toinot, mon fils vit, alors…
Je peux mourir en paix.

Dans un dernier souffle la vieille décède et Robin pleure. La lumière reste allumée sur eux mais celles des êtres se rallume aussi. Tout le long de cette fin Robin se lamente sur la perte de son amie.

Etre 1 : Bien sûr….le fils était mort depuis longtemps dans de putrides geôles

Etre 2 : Mais cela Agnès ne le sut jamais.

FIN

Old par Rodia le 04 Oct 2002

Suis un peu décalé ces jours-ci.

Old par Rodia le 07 Mai 2003

Je te pardonne.

Old par Rodia le 01 Mar 2003

Old par Rodia le 14 Avr 2003

Je suis obéissant.

Old par Rodia le 15 Avr 2003

Finalité de l’existence, élucubrations, masochisme ?

STOP.

Quelle idée de se poser ce genre de questions, j’vous jure.

Vivre le moment présent pour sa condition terminologique n’est pas un idéal en soi, enfin je n’espère pas.

Le comptoir est jaune et plutôt usé, quelques clients se détendent, boivent frais, les verres tintent et rient d’eux même, attendant leur inéluctable fin, leur dessèchement. La mousse crépite, attirante… « Patron un autre siouplait »… et la chaleur accable, le fil d’Ariane se perd et se pelotonne dans son auto complexité ; inextricabilité.

Que fais-je ici en fait ?

J’ai beau y réfléchir et retourner la question comme une chaussette, elle semble définitivement trouée… et en plusieurs endroits qui plus est… tapistriquement filée !!!

Innocence perdue dans les rayures du zinc, bouteilles s’entrechoquant sur les boiseries, le cafetier mourra avec son navire alcoolique.

RIDEAU.

Les néons crévent d’envie d’illuminer la scène, moi non… tant pis pour eux !

Old par Rodia le 23 Juil 2002

Old par Rodia le 01 Mai 2003

Sang, pleurs, départ, gris, larmes, tristesse, séparation, caresses.

Old par Rodia le 20 Avr 2003

J’ai trainé ton corp jusqu’au camp.
Le sang coule partout.
Le bruit des bombes et les pleurs des femmes me terrifient.
J’ai peur.

Old par Rodia le 09 Avr 2003

J’aimerais tant qu’il soit 14h00 et être avec toi.

Old par Rodia le 08 Avr 2003

J’aime pas écrire.

Old par Rodia le 18 Avr 2003

Tu t’es echappée ?

Old par Rodia le 05 Mar 2003

Autoroute en construction…

Old par Rodia le 03 Mai 2003

La revanche.

Old par Rodia le 16 Avr 2003

Le froid glaçait les eaux, la moelle et l’épinière.

Old par Rodia le 25 Nov 2005

C’est l’histoire d’un brave type, voir d’un pauvre type.
Il croit en de nobles sentiments : l’amour, l’art, la fidélité. (C’est vraiment un pauvre type)
Il les projette sur Phoenix, une jeune artiste au coeur pur.
Trahi par celui en qui il avait confiance, il tente de prévenir sa dulcinée du danger qui la menace.
Mais celle-ci, appatée par la gloire, l’argent et le sexe, n’entend rien et le repousse pour se jeter dans les bras du démon.
Le démon finit par périr, le pauvre type aussi et la pute se retrouve comme une conne.
Moralité : c’est bien fait pour ta gueule.

Old par Rodia le 31 Mar 2003

Et pendant ce temps là…

Old par Rodia le 05 Avr 2003

Ils grouillent, m’entourent, m’aspirent, m’attirent, me hantent…
Perché sur ma couche, le regard fiévreux et la main tremblante, je guette…
Le prochain qui pointe le bout de son nez, PAF, écrasé !
Une fois de plus ma joie exultera, une fois de plus l’instinct du chasseur en moi se réveillera !
Et de sa chair, avidement, je me goinfrerais…

Eté que je te hais, toi qui conviens tant aux blattes.

Old par Rodia le 22 Août 2002

L’odeur du café de la gare

Des milliers de voitures engloutissent mes poumons

Le chat fait des ronds dans l’eau…

Old par Rodia le 14 Oct 2003

« là ici »