Samain. Je recolle mon nez à la super glue. t.co/vfx47ECV
Une idée de mon activité professionnelle d’aout 2002 à février 2006 ?
En vadrouille avec Bonnie. Au Charbon, sans Clyde ni barreaux.
Et je peux apercevoir, sortant de la fumée, d’énormes gars avec leurs énormes trompettes. La section cuivre pulvérise Calais.
Hop.
Carver, au réveil, couvert de paillettes et de sang neuf : « mais qui voudrait être banquier quand on peut être poète ? ».
C’est une belle journée, je vais me coucher.
Enfin on fait ce qu’on peut, au mieux, avec des millénaires de patriarcat dans le dos.
Igor, au réveil, coincé entre Mina et Carver, souriant : « mais qui voudrait être ailleurs quand on peut être ici ? »
Biches biches !
Ontologie granulaire : t.co/IrKWlFu7
Le saucisson, la vie.
Joie douce et calme. Physionomie pleine d’hilarité. Gaieté subite. Mouvement d’hilarité. Ces paroles excitèrent l’hilarité de l’assemblée.
Nos rencontres restent maladroites et cruelles.
When in doubt, bear.
Tu es amoureux ou tu as juste besoin d’amour ?
Longtemps j’ai voyagé dans le temps.
Mina gagnait toujours à Singstar. t.co/LJnnMGQw
Et le coq, au vin.
Parfois, une aura précède la crise. L’aura est une sensation qui varie d’une personne à l’autre.
Europe fille d’Agénor est une amante de Zeus ; Europe l’Océanide est une nymphe des eaux; Europe fille de Tityos est une amante de Poséidon.
Il y a une autoroute subspatiale passant par ma tête où tu skates allègrement, l’envie me prend de commander un bon bouquin, numérique.
Et nous prolongerons les festivités au delà du seuil autorisé, avec gentillesse et attention, amicalement et de nuit.
Comment tirer cela au clair ?
Je vais vérifier de suite. Merci.
Igor & Mina conte tout chacal ?
Quand j’étais petite fille, fraîche, futile, je n’aimais que toi, le fracas de tes explosives colères, bourrues. Et, tes mains si chaudes.
Igor sentait son cœur à nouveau prêt à être volé, brisé et piétiné. A vos marques mesdames (et autres) ! t.co/bsTS4m06
Relire Balzac. t.co/T3ZFC3S1
Oui ! @_omr !!
Tu ris parce que ça te semble ridicule.
Et les dirigeables survolent Paris, célébrant la victoire des troupes irlandaises libres sur les mormons tziganes iraniens. #AvantTwitter
Quand j’étais petite, je me souviens, trainer dans la forêt, habillée en rouge, visiter mamie, et ne pas craindre les rencontres, bath !
Le ninja du biriani a encore frappé.
Poignant. ✔
Ça n’aide pas beaucoup la barbe contre les insomnies. t.co/CGcieZId
Où Igor, après diverses zones de guerre, tente de survivre à un mauvais Ceylan (ex Sri Lanka), et du Rn’B médiocre, en attendant yoga.
Je parle japonais avec une pomme de douche illettrée. Nos idéaux se rejoignent.
Je pense que si je laisse tomber ce joli bouquet de roses bleues par la fenêtre, je vais enfin savoir à quoi sert Twitter. Révélation.
Mina, au réveil, couverte d’uranium et de cartouches de napalm : « mais qui voudrait être trader quand on peut être astrophysicien ? »
Non, rien ici. Hum.
J’ai envie de relire la Marque de Raspoutine.
Mina pratiquait l’espionnage industriel, sexy, comme d’autres le twist, à Saint Tropez. t.co/egSanLFD
Proposition de perf : deux personnes font l’amour chacun porte un masque de la mère / du père de l’autre au même âge. Enfin tu vois quoi.
Mina & Igor contre tous chacals.
Je voudrais goûter le petit bout de mystique que tu as collé sur la gauche de ta lèvre supérieure. Bi-goût pêche-païen, sans aucun doute.
Mina et Igor se jouaient aisément des manigances des impériaux. Carver content(e) comptait ses deniers dans la cale du petit chalutier. Fin.
Un bon (et gentil) neurologue sur Paris amis de twitter ?
Il y a une petite fille fantôme dans le miroir du salon. Celui en forme de cercueil. Elle regrette son enfance, sa poupée, perdus.
Oh ! Bien.
Nous ne nous parlons pas. Nous ne nous écoutons pas. Nous ne nous comprenons pas. Nous ne nous aimons pas. Galipette surréaliste.
Madness, I call it gladness.
Quand j’étais petite, je n’avais peur de rien, de personne. Mâcher de petits morceaux de verre, jouer avec le feu. Boxer un plus grand.
Coupez !
En direct du textile je rentre chez Udo désolé chez Bonnie pour son anniversaire. #keur
Mes aubes embarrassantes, mes nuits impossibles et mes journées ensablées me rappellent à quoi sert Twitter.
Steak haché bio, haricots verts, œuf, pommes de terre et bacon. Malgré les bombardements, Mina et Igor ne se laissaient pas glisser.
L’aura est une sensation qui varie d’une personne à l’autre. Elle peut se manifester par de l’irritabilité ou de l’agitation.
Douces pensées. Aux losers. Aux amis.
Et les grands magasins, d’odeurs et de lumières, flammes et brulé, corps de mannequins carbonisés, peluches en larme, crépitantes.
Où se trouve le vrai Igor Tourgueniev ?
Traverser la Seine, chelou. t.co/jKd7Veu8
De nuit.
Aboulie.
Une maman raton-laveur vient d’accoucher sur la moquette de mon salon. Les petits sont attendrissants. Leurs yeux sont collés et gluants.
Comme le rappelle si bien Médoc, dans les années 80 on s’habillait exclusivement avec les vêtements des ennemis vaincus au combat.
Etc.
Avis aux raconteurs d’histoires, à deux : t.co/KrMMGV7M
Enfin, tu vois quoi.
Opération Raclette Garden.
Je te vois. t.co/VNusqvwF
Qui ?
Personne n’accouchera dans le boudoir aujourd’hui, merci.
Non. Pas lui.
Il y a une personne masquée debout dans le salon, dans le noir. Un masque de bouc, cuir et plastique. Il ne dit rien, ne bouge pas. L’oeil.
Carver couvert(e) de cendre termine sa première pellicule 24 poses. Fujichrome Sensia 200 avec son vieux Nikon N8008s et Nikkor 50mm f/1.8.
En regardant par la fenêtre d’@iwdrm, Igor pouvait apercevoir les images bouger, un petit peu, mais pas trop. Beau boulot !
Donnons du merci en ce jeudi déjà nocturne.
Et le Prince, juste, je le déteste.
Dans certains cas, la personne atteinte peut reconnaître ces sensations et si elle en a le temps, s’allonger pour prévenir une chute.
Expérience traumatique dans le métropolitain. Sous les fenêtres de l’ambassade, heureusement tout va bien. Couleurs. t.co/dMLNIVaL
Qui n’a d’existence que dans l’idée, dans l’esprit, réunit toutes les perfections que l’esprit peut concevoir, indépendamment de la réalité.
Le bébé raton-laveur semble un peu mort-né. Je fais de mon mieux pour le ranimer. Sa mère m’ignore salement. t.co/ykjy5EFH
Maintenant je suis vieux, et j’attends juste le sommeil en nettoyant le vieux fusil de papa. Tu me manques. Les bouts de verre, aussi.
Hommage. t.co/QorhoUhX
Le chat veut clairement me dire quelque chose, mais quoi ? Il veut de la poésie, du thon, des séances de yoga, une teinture ?
Mina, Igor, goguenards, partageaient une petite Kro’, heureux dans leurs grands pantalons. Ça sentait la valse, le ska. t.co/PsB0G90n
Ici sous Paris. On danse. Étrangement heureux. Caves illuminées. Yeux dans les yeux.
Impossible de quitter la couette.
Hey !
Passage de relais de la Nuit à ceux qui sont de Journée.
*tousse*
Et la Samain, encore. Résidus. t.co/UmhuTnCw
Mais avant, brunch avec Mina, Carver dans le cratère d’un volcan en éruption. L’homme à la tête de chat mangera des sardines, du thon.
Je commence à ramasser les morceaux.
Et le sommeil comme une vague alternative à cette interminable veille.
Nature morte.
Carver tremblait de froid, de faim et d’excitation. Mina pelletait la neige sous les arbres. Igor : insomnie.
HA-HA, HO-HO & HEE-HEE
Et si je dormais un peu…