Igor à Mina : « This is really bad. » t.co/d6glD6a2 #ledebat
Mina ne pouvait se passer de ses publications humoristiques décalées et ironiques. Pourtant. t.co/USQy4WWR
Il neige à Kaboul.
Salut, je suis un russe amazone !
Les gamins, au narrateur, forcément, omniscient : « mais alors il est mort Igor ? ». Silence de.
Un moyen de savoir si une femme est une sorcière consiste à la jeter nue à l’eau, mains et pieds attachés ensemble pour l’empêcher de nager.
Enfin, tu vois, quoi.
Ce dimanche matin, Mina, habillée en magicien d’opérette, se sentait vraiment à l’étroit dans son rôle de chef de la révolution mondiale.
Je peux encaisser. Mina peut encaisser. Carver itou. L’homme à la tête de chat compte les devises étrangères. C’est la nuit. Les murs, fins.
Mina ouvre la boite. En tombent 100 euros, verts.
Mina est, on peut le dire à présent, une ancienne du Katanga. Igor n’aime pas trop aborder le sujet. Non, ça ne rigole pas chez les loulous.
Sacrifions le poulet.
Luther et Igor partageaient le même goût pour le spectacle vivant. t.co/rcPeWLlA
Etc…
Et je me penche au balcon pour regarder les lueurs. La comète illumine la baie. Dans le ciel, les parachutistes tournoient, décimés, nus.
Sérieusement, cette soirée estivale a un sérieux parfum d’apocalypse. On rase gratis, pour fêter ça.
Hipsters everywhere.
Nos lésions ont du talent ?
Les bombardements, la sirène, une fois de plus. Tous aux abris. Blitz. t.co/UtHua1yt
Et Mina, triomphante, petit déjeune sur les ruines. Avec l’Antéchrist, avec une tête de chat. On rase gratis à la fin du monde. Vrai.
Nicolaï, Líder Máximo de la banlieue nord de Niort, se portait garant d’Igor, son « bro ». t.co/DDOMiDau
Mina, Igor, Carver, l’homme à la tête de chat, sur un forum d’études bogomiles, se rencontrent, enfin. La vie réelle, bien plus tard, Paris.
Toi même tu sais.
Jimmy boit du gin dans sa Chrysler.
Carver s’occupait de l’intendance, de la gestion des petits objets explosifs, des débardeurs blancs de la bande, des repas. Des chats aussi.
Igor, lucide, à Mina, morte, mais souriante : « je pense que les choses ne peuvent que s’arranger ». t.co/ldTMCUlw
Hey, I just met you,
And this is crazy,
But here’s my number,
So call me, maybe ?
Et mes amis. De joyeux lurons. Et les jeunes filles, invincibles. Alors on collabore. On va prendre cher, sans doute. Nus. Vive le feu.
Bien rentrée ? Juste un petit mail pour te sourire, te tenir la main, effleurer tes pieds avec les miens.
La guerre est finie. On a perdu. Mina pleure.
Je vois cette relation d’un très mauvais œil. La nuit.
Une fête réussie, ce sont des trucs qui explosent.
Je ne pense pas que les livraisons du mercredi matin soient une bonne idée. t.co/tIduSxM8
Je sais à présent que je suis prisonnier.
Igor, la tête dans la gueule, du lion.
Alternant cocaïne et spray nasal « anti-suicide », Carver espérait augmenter ses chances. Et une punaise dans la testicule pour le « boosting ».
Mi fille ni raisin ?
#hop
Brochette d’œil de renard.
Je projette ton visage, immense, sur le mur de la chambre. Merveille de la nostalgie, de la technologie moderne, de la miniaturisation. Paf.
Aujourd’hui nous est venu un enfant, et son nom est bacon.
Partez pour l’Ouest, jeune fille, partez pour l’Ouest.
Et Mina de poignarder un Igor hilare. Et Carver de proposer au Parlement bulgaro-normand un programme d’ouverture. Sacré tribun. Assez.
Saisir le code invisible, algorithmique de la réalité.
Absorbé conformément au mode d’emploi, Ubik procure un sommeil ininterrompu garanti sans torpeur matinale.
Mina, Carver, Igor (et un autre type bizarrement constitué) sauvent le monde. Encore.
Je croque la tête du pigeon. C’est dégueu et chaud. Je crache les plumes et les petits os. Protéine quand tu nous tiens.
Mina défonce la porte ! Soudain.
Mina profite de la distraction temporelle des gardes pour ajouter deux atouts à sa main déjà impressionnante. Tout se passe bien. Deux fois.
Mina, lisant, s’éclate.
Trampoline.
Ploutocratie : forme de gouvernement dans lequel le pouvoir est entre les mains des plus riches.
Où suis je ?
Mina a un message. t.co/0HKNJHUi
Le chat a mangé les clefs du garage à bateaux. La fin des temps. Apocalypse.
Tes amis sont réels.
Ouais. Miel. Aussi. Et nus.
Et les Moissonneurs de pulvériser Paris. Igor s’en lave les mains avec ses potes krogans. Tali et Mina sont trop potes. Enfin tu comprends.
Bang bang.
J vs tien o courènt dè ke j finie merci.
Et, la nuit.
Et, là, malgré les explosions, les fumées et la poussière, tu arrives.
Hodor !
Mina et le dauphin discutaient âprement de la suite des opérations. Igor faisait mine de s’intéresser. En vain. On dort, donc.
La nuit, se frôler, dans le ciel, les dirigeables. Dans la rue, les miliciens malais. On rase gratis.
La galatrace galarienne est plutôt vénère.
Cheval.
Je me sens légèrement zoomé et panoramique ce matin.
Carver termine son discours. Le bombardement commence. On rase gratis.
Et Carver, d’enfoncer son borescope encore plus avant dans les profondeurs dangereusement verticales, nues, de son abdomen rutilant, soyeux.
Un feufeu pour ceux qui ont froifroid.
Je laisse les ados se droguer sous le canapé du salon et je retourne dormir un moment. Ils sont souriants et silencieux. Optimistes. Aussi.
Traboule moi toute.
Mina à Igor : « un diamant est éternel ». Igor : « l’inspecteur Derrick est super doux ». Carver : « je veux du canard ». Bavardage. Chevals.
Et, elle est morte.
Disque. t.co/7Quule5R
Par la fenêtre, une dystopie, uchronique, cyclopéenne, de toute beauté. Dirigeables, Grand Amour désespéré, guérilla urbaine pour nos héros.
Suis vivant, dans une ferme près de la centrale électrique, avec winchester, pistolet, hachette, carte, montre, munitions et de la bouffe.
Par la fenêtre, au nord, une grande fumée grise, le grand incendie ?
Igor : « ronpich »
Et Igor, sur ce rocher humide lancé à 30000 km/s dans l’espace, rentre chez lui. En bus.
Et Mina, c’est une rouquine, évidemment. Une sorcière, pilote de dirigeables, et bien plus encore. Et nos espoirs, dansants, vacillants.
Un rayon de soleil en terrasse, un thé à la menthe, un vétérinaire amical, un Kobo récitant Hyperion, que demander de plus ? (toi !)
Si notre danse est satisfaisante. Si et seulement si.
La pythie vient en mangeant. t.co/zcYQihrP
Igor, indisposé, à Mina, integratrice web : « les onglets ont débarqué. »
Mallony Guerrila et Eléonore Mc Muffin contre tout chacal !
Et le arroser la terrasse au lance-flamme, sourire à la vie, le cœur explosant. Sens propre. Je ne manque de rien. Ah si, de roquettes.
Carver, en homme, aimait la pêche à la ligne. En femme, le dessin. À présent, la danse, le vélo et ses nouveaux seins. t.co/fARMrFkZ
Je ne cherche pas à risquer ma vie pour. Mais je ne sais pas si je peux risquer. Ça n’est pas à moi. La fenêtre est ouverte. Béante. Saute.
Et le bunker de Mina, si rouge, de ne plus retenir en son sein aucun débordement poétique. Igor, invalide, bourré. t.co/A6DP43BY
Mes doigts dans l’acide. J’ai comme une sensation de grande douleur. Je vais acheter un poney pour Mina. Ou un dragon. Fondus les doigts.
Et dans les décombres. Nos restes. Épars, nus. t.co/JhIrnG39
Ouroboros et vieilles dentelles.
Ce truc avec le lièvre supérieur m’aime.
« Un lac dans la salle de bain, huit serviettes à la nage, et des raclures de rasoir dans la cuvette. »
Mina, Igor, ne se lassaient pas de compromettre la sécurité du pays en promulguant lois et décrets stupides. t.co/zFvOUVEN
Carver va à la salle de sport au petit matin. Il fait froid. Ses seins sont bandés. Les gars sont, particuliers. t.co/iLZcUQJA
Île de Ré, Igor rencontre un boxeur avec un léger défaut d’élocution, comme souvent, au surprenant surnom de Malakoff. Il y a 23 ans. L’été.
Et l’homme à la tête de chat de déclarer la chasse ouverte. Penser à applaudir. Mina qui baille. t.co/JMLqxdWO