J’ai froid.
Hipsters everywhere.
Enfin, tu vois, quoi.
Et, sur la cheville gauche de Mina, un grand dragon aquatique. Igor se penche pour mieux l’examiner : « Année du Dragon, ça va secouer ». Oui.
Igor : « ronpich »
et donc, le matin.
Un jeu du type pelote basque qui se pratique avec un équipement composé d’une balle en caoutchouc attachée à un socle par un élastique.
Hey, I just met you,
And this is crazy,
But here’s my number,
So call me, maybe ?
Et, là, malgré les explosions, les fumées et la poussière, tu arrives.
Du bouledogue au sanglier : vous recevrez encore des amis ce soir. Le vent souffle les flambeaux.
Du coup je.
Et soudain, le train.
Okan est seul. Au musée. Il me cherche des yeux. Nous devons sortir. Dans sa main un de nos tracts séditieux. t.co/DG9MDjyM
Igor est l’ami des animaux et du saucisson. Sec. Mina est organique, voire bio. Carver la traite de hippie consensuelle. Elle tire. Bien.
Et je pose ta tête sur la table du salon. Tout est bien. Mina sort en hurlant. Carver roupille, encore, à l’étage. Au nord, les bombes A.
L’homme à la tête de chat utilisait ses facilités psychopompes pour le bien de la communauté. Igor n’aimait pas ça. Point d’Enfer, alors.
Et la nuit comme médecine. t.co/GL3eb0np
Et le bunker de Mina, si rouge, de ne plus retenir en son sein aucun débordement poétique. Igor, invalide, bourré. t.co/A6DP43BY
À compter les vagues de la mer.
Bonbons à la peau d’orange pourrie. Mina aime les délices japonais.
Et un sinistre sir. Et une cérémonie d’apocalypse. Et nous au milieu des bombes enlacés. En flammes. t.co/BBhcmwrH
Mina et Igor, enlacés, convoquent les forces du mal et les utilisent pour récurer les toilettes du parlement, en flamme. C’est un peu gâché.
Un type de plus de deux mètres. Un soldat borgne. Il installe un néon au plafond. Il a posé son arme dans le cendrier en inox.
Kaboul de pétanque ?
Mina proclame son indépendance. Carver tourne de l’oeil. Igor, dans sa cellule, fait du vélo. Sur les murs : un œil, une date, c’est tout.
Et la nuit de fondre sur nous, affamée.
#hop
Je vois cette relation d’un très mauvais œil. La nuit.
Je vois.
Dehors. Tous. Dehors.
Entropie bitch !
Jens !
Et les Moissonneurs de pulvériser Paris. Igor s’en lave les mains avec ses potes krogans. Tali et Mina sont trop potes. Enfin tu comprends.
Max, les maximonstres, orphelins.
Ton aura est violette.
Et le arroser la terrasse au lance-flamme, sourire à la vie, le cœur explosant. Sens propre. Je ne manque de rien. Ah si, de roquettes.
Je croque la tête du pigeon. C’est dégueu et chaud. Je crache les plumes et les petits os. Protéine quand tu nous tiens.
AFK
Je cherche cette amie du regard. Les passants sont trop rapides. Je les distingue à peine en contrebas. Cette amie. t.co/0klN8dIq
Je ne pense pas que les livraisons du mercredi matin soient une bonne idée. t.co/tIduSxM8
Carver termine son discours. Le bombardement commence. On rase gratis.
Les araignées martiennes fouillent les meubles de la salle de bain des invités. Je propose à tout le monde vins fins, cornichons, et romans.
Flickr est dans les choux. Nous corrigeons ce problème immédiatement.
Une sorcière étant plus légère que l’eau, si elle flotte, elle est repêchée et brûlée vive. Si elle se noie, elle est innocente. Ouf.
Et Igor, sur ce rocher humide lancé à 30000 km/s dans l’espace, rentre chez lui. En bus.
Mina, Igor, ne se lassaient pas de compromettre la sécurité du pays en promulguant lois et décrets stupides. t.co/zFvOUVEN
Et Mina, souriait à la lune, rousse. Ses copines, barjotes, tendres mais sobres, n’en menaient pas large. t.co/CGIwvEWk
Kaboul disco.
Et le p’tit gars Tony de nous quitter. Et Mina, pas fière, fredonne une petite mélodie plaintive. Foutu pont. t.co/rLvD23TA
C’est bon sa mère. #canard #saucisson
Si Jessica Fletcher dit qu’il y avait un cadavre, alors il y’en avait un.
L’homme à la tête de chat lave sa gamelle dans la salle de bain du 3ème étage. Du coin de l’oeil, son Kobo, le Trône de Fer : hécatombe.
Mina, Igor et l’autre type chelou qu’on connaît pas trop bien se chauffaient au soleil sur le gros rocher au milieu de la rivière, dévêtus.
Pluie acide sur le nord du 19ème arrondissement de Paris, France, Europe, Monde, Terre, Système Solaire, Voie Lactée, Univers, Litière.
Il me reste seulement 2 cachets d’Ubik. La fin de semaine sera dure. Je commence à revoir le monde. Et l’Empire. Mes mains tremblent.
Mina à Igor : « un diamant est éternel ». Igor : « l’inspecteur Derrick est super doux ». Carver : « je veux du canard ». Bavardage. Chevals.
Tes amis sont réels.
Les réseaux sociaux sont la télé-réalité de l’Internet.
Un mur.
Deux petites douches alternées ? #dpda
Et Igor, de visiter le rayon charcuterie, hipster de base. t.co/xKkVkI7R
Mina défonce la porte ! Soudain.
Tu peux lutter contre l’effet du témoin en désignant une personne précise, l’appeler à l’aide plutôt que les gens alentours en général.
Déjà quatre hivers à ne savoir que faire.
Triple looping avec final en cœur.
Mina, sous sa ghillie toute neuve, se préparait un thé au ginseng en attendant le passage du convoi néo conservateur. Elle se sentait forte.
Rien n’a changé. Non non.
Et un double saut carpé.
Saisir le code invisible, algorithmique de la réalité.
Ce truc avec le lièvre supérieur m’aime.
Quels beaux projets nocturnes. t.co/5TTHNaZr
La galatrace galarienne est plutôt vénère.
Roux.
Et l’homme à la tête de chat de déclarer la chasse ouverte. Penser à applaudir. Mina qui baille. t.co/JMLqxdWO
Rien n’est de la salade.
Comment expliquer. Je porte le badge blanc. Et je danse jusqu’à vieillir la nuit.
Carver, en homme, aimait la pêche à la ligne. En femme, le dessin. À présent, la danse, le vélo et ses nouveaux seins. t.co/fARMrFkZ
Le chat a mangé les clefs du garage à bateaux. La fin des temps. Apocalypse.
Ouais. Miel. Aussi. Et nus.
Marchons.
Et soudain un terrible spam, mes excuses à tous, je ne le… Argh.
Carver vient de mourir, en Suède.
En contrebas. Un homme porte un fez. Le canal. Dans le ciel. Un dirigeable écarlate. Dans l’allée : une troupe de miliciens. Ivres, hilares.
Igor et Mina, sont des. Cylons. Carver. Non. Frak. U. Et l’homme à la tête de chat…
Tout le monde rentre au bercail en octobre.
Et pendant ce temps là, dans l’espace. t.co/PyBquYhF
Brochette d’œil de renard.
Igor, indisposé, à Mina, integratrice web : « les onglets ont débarqué. »
Mina est une merveilleuse cavalière. Igor un piètre alpiniste. Carver reste au chalet.
Et ici, les bombardiers, les sirènes. Tu vois, les filles à queues de poisson. On rase les murs, gratis.
Et Mina, triomphante, petit déjeune sur les ruines. Avec l’Antéchrist, avec une tête de chat. On rase gratis à la fin du monde. Vrai.
Le train, noir, des anarchistes traverse la Sibérie emportant les utopistes, debout.
Mina marche fièrement. Igor rampe difficilement.
Salut, je suis un russe amazone !
Mina, Carver, Igor (et un autre type bizarrement constitué) sauvent le monde. Encore.
Chernogorsk. Passage à l’église, puis je trouve une petite Winchester au supermarché, tranquille, et là, fatalement, une balle dans la tète.
Je pense que c’est encore la nuit. Si vous pouviez tous arrêter de jacasser ainsi au fond de mon crâne et retourner vous coucher. Merci.
Un bon site web ça ne remplace pas la bonne vieille campagne de pub à base de néons géants sur un terrible dirigeable atomique supersonique.
Carver, à vélo, traverse Westeros, sous l’averse.
Mi fille ni raisin ?