Je dors mal à cause de ma gangrène qui me bouffe le pied.
Carver, lessivé, n’ignore rien des techniques de camouflage belges. Ses petites cellules grises, itou. Pinkie pou ! t.co/At4i4CYp
Œil bleu, œil gris, œil blanc, œil noir.
Et les yeux si ouverts. La nuit si lumineuse.
Nous sommes les dandys de l’an 2000, grands chevelus glacés, pâles et frileux, voûtés peut-être, lèvres exsangues et serrées… (air connu)
Poison.
Un jeu du type pelote basque qui se pratique avec un équipement composé d’une balle en caoutchouc attachée à un socle par un élastique.
Et en route pour la joie.
Kaboul de pétanque ?
Mina à Igor, l’œil torve : « Krakoukass ! »
Disque. t.co/7Quule5R
Une pensée pour Jo Chattemite, rebelle, vivant, et debout. Et pour sa mère.
Et mes amis. De joyeux lurons. Et les jeunes filles, invincibles. Alors on collabore. On va prendre cher, sans doute. Nus. Vive le feu.
Mina à Igor : « un diamant est éternel ». Igor : « l’inspecteur Derrick est super doux ». Carver : « je veux du canard ». Bavardage. Chevals.
Île de Ré, Igor rencontre un boxeur avec un léger défaut d’élocution, comme souvent, au surprenant surnom de Malakoff. Il y a 23 ans. L’été.
La fille, avec les fleurs.
Igor à Mina : « je vais t’embrasser, ne me frappe pas. » – t.co/XwA4qUgV
Et l’homme à la tête de chat se demandait comment ne pas succomber à la tentation nocturne. t.co/4Bvw7hEa
Je ne pense pas. Non.
Kaboul de neige.
Et je pose ta tête sur la table du salon. Tout est bien. Mina sort en hurlant. Carver roupille, encore, à l’étage. Au nord, les bombes A.
Et dans les décombres. Nos restes. Épars, nus. t.co/JhIrnG39
Il a 30 ans !
Mes doigts dans l’acide. J’ai comme une sensation de grande douleur. Je vais acheter un poney pour Mina. Ou un dragon. Fondus les doigts.
Danger – cybernétique ! t.co/4wd04Am4
J’ai si faim 2.0. t.co/YJ1Z1q8q
Et vous la voulez comment la pastèque ? Tartare ? t.co/sRVRAjjz
Mina et Igor, enlacés, convoquent les forces du mal et les utilisent pour récurer les toilettes du parlement, en flamme. C’est un peu gâché.
Igor se fait asperger par Mina. Humidité et syndrome pour tous.
Et Mina de déclarer : « c’est un meurtre, un coup d’estoc à l’abdomen de bas en haut, perforant la vessie et le foie. Un coup de maître ».
Ton aura est violette.
Un mur.
Mina profite de la distraction temporelle des gardes pour ajouter deux atouts à sa main déjà impressionnante. Tout se passe bien. Deux fois.
Et sur le cadavre, encore un poil bouillonnant, Mina de déclarer : « et pour déterminer la cause de la mort rien ne vaut une bonne autopsie ».
Oh Don Piano.
Le train, noir, des anarchistes traverse la Sibérie emportant les utopistes, debout.
Du bouledogue au sanglier : vous recevrez encore des amis ce soir. Le vent souffle les flambeaux.
Et si ?
Doctor. t.co/Uet0nwtp
La nuit. Carver hurle à la lune. Les grenouilles.
Bien rentrée ? Juste un petit mail pour te sourire, te tenir la main, effleurer tes pieds avec les miens.
J vs tien o courènt dè ke j finie merci.
Ouais. Miel. Aussi. Et nus.
Entropie, sérendipité et chaos.
Et l’homme à la tête de chat, nu, énumère mentalement les possibles arrangements de son intérieur anthropo-félin. t.co/fPHD1KhB
Igor se sentait d’un autre temps, parfois, en s’éveillant toujours vivant. Et le soleil. t.co/cusMD8Oh
Une fête réussie, ce sont des trucs qui explosent.
Hey Jim ! Ici c’est très bon ce soir.
Nous nous trouvions dans une situation difficile. Pas de fumée sans feu. t.co/6RBvjcdR
Je pense que c’est encore la nuit. Si vous pouviez tous arrêter de jacasser ainsi au fond de mon crâne et retourner vous coucher. Merci.
Cet instant là, de bonheur, la nuit, Mina endormie, juste là, à mes côtés. Dans le placard, de petits bruits, bleus et discrets. Un animal.
Sept d’un coup !? Gravide un jour, gravide un moment.
L’homme à la tête de chat récupère l’urne. Les cendres sont parfaites. Litière.
Et on danse, et c’est la Nuit. Encore.
Cut the cake.
Et on raconte que dans Ulthar, de l’autre côté de la rivière Skaï, aucun homme n’a le droit de tuer un chat.
Ploutocratie : forme de gouvernement dans lequel le pouvoir est entre les mains des plus riches.
Couverts de peinture blanche, épuisés, aimants. La pièce à vivre retrouve sa jeunesse. Pas de magot mais de l’eau fraîche. Et le reste, si ?
Rien n’a changé. Non non.
La galatrace galarienne est plutôt vénère.
On propose un nouveau job au héros. Il hésite quant à la manière de refuser. Il y a une roquette dans le salon. Ça sent mauvais. Ouais.
En contrebas. Un homme porte un fez. Le canal. Dans le ciel. Un dirigeable écarlate. Dans l’allée : une troupe de miliciens. Ivres, hilares.
La guerre est finie. On a perdu. Mina pleure.
50% nuit et 50% nos doigts se touchent. Tu souris.
Sérieusement, cette soirée estivale a un sérieux parfum d’apocalypse. On rase gratis, pour fêter ça.
Je croque la tête du pigeon. C’est dégueu et chaud. Je crache les plumes et les petits os. Protéine quand tu nous tiens.
Et la neige. Et la nuit.
Kaboul disco.
Et la nuit de fondre sur nous, affamée.
Puis, la crémation.
Traboule moi toute.
Je peux encaisser. Mina peut encaisser. Carver itou. L’homme à la tête de chat compte les devises étrangères. C’est la nuit. Les murs, fins.
Six belettes et du pain d’épice.
Et en route pour la joie.
Mina, et Igor, fatigué. t.co/HGSaZjOq
Carver, en homme, aimait la pêche à la ligne. En femme, le dessin. À présent, la danse, le vélo et ses nouveaux seins. t.co/fARMrFkZ
Eliot ne cherche ni ne trouve.
« You are troubled, my Lord, » said Morkin. The boy looked up at Luxor, his face a mirror of the man’s sadness.
Si Jessica Fletcher dit qu’il y avait un cadavre, alors il y’en avait un.
Et Mina, souriait à la lune, rousse. Ses copines, barjotes, tendres mais sobres, n’en menaient pas large. t.co/CGIwvEWk
Message très important pour Samuel : L’octogénaire ne se déride pas. Attendez deux voitures et des amis sur le bonbon.
Et je me penche au balcon pour regarder les lueurs. La comète illumine la baie. Dans le ciel, les parachutistes tournoient, décimés, nus.
Et le bunker de Mina, si rouge, de ne plus retenir en son sein aucun débordement poétique. Igor, invalide, bourré. t.co/A6DP43BY
*tout* trouver, partoutundefined ».undefinedundefined undefined « undefinedVous appuyez sur la touche Super, et dites ce que vous voulez…
Poupée Pat ou K-Priss, mon cœur balance.
Entropie bitch !
Brochette d’œil de renard.
Les gamins, au narrateur, forcément, omniscient : « mais alors il est mort Igor ? ». Silence de.
Trouvez moi des amphétamines. Purple hearts.
Bonbons à la peau d’orange pourrie. Mina aime les délices japonais.
Carver, héros d’une dramatique télévisuelle, de fascicules brochés, se sentait, à l’aise, à l’@udobar. t.co/XANG8owt
Et Carver, d’enfoncer son borescope encore plus avant dans les profondeurs dangereusement verticales, nues, de son abdomen rutilant, soyeux.
Vibre au dessus de ses moyens. Écheveau et curry pour tous. Mina, Igor se cultivent, préparent d’importantes expériences polysexuelles. Nus.
Et dans le salon déserté, une petite voix, sortant d’un casque, posé au sol. Par la fenêtre, les dirigeables noirs. t.co/d7Nz5d7r
Je projette ton visage, immense, sur le mur de la chambre. Merveille de la nostalgie, de la technologie moderne, de la miniaturisation. Paf.
Tout le monde rentre au bercail en octobre.
Absorbé conformément au mode d’emploi, Ubik procure un sommeil ininterrompu garanti sans torpeur matinale.
South Beach, Igor, la tête dans le sable. Carver, Mina en tirent les leçons. Bottines en peau de serpent pour tous. t.co/wok64aFx
Une porte.
Mina, Igor, Carver, l’homme à la tête de chat, sur un forum d’études bogomiles, se rencontrent, enfin. La vie réelle, bien plus tard, Paris.