Je vais trouver. Le sommeil. Sans doute. La nuit. Badaboum.
Et le sourire de Rose, au Docteur.
20: bd51: cellar elvenkings : ‘ the cellar where the king keeps his barrels of wine.’
Nus, la nuit.
« You are troubled, my Lord, » said Morkin. The boy looked up at Luxor, his face a mirror of the man’s sadness.
Igor à Mina : « je vais t’embrasser, ne me frappe pas. » – t.co/XwA4qUgV
Si notre danse est satisfaisante. Si et seulement si.
Igor est à Mina ce que la momie est au pharaon.
Et la neige. Et la nuit.
Igor, plus bas dans la pente, numérote ses abattis, ajuste son gilet, replace son bonnet félin, se prépare à la courte lutte, à suivre, ici.
Et Igor, tellement peu loquace, béatitude des guérillas réussies. Se blottir, sous les bombes, se sourire. t.co/BYZBhycW
Du coup je.
Je dors mal à cause de ma gangrène qui me bouffe le pied.
Prendre des ptits bouts de trucs et puis les associer ensemble.
Pendant les combats, la vie continue. Teatime pour Mina. t.co/McsbM8Fe
Et dans les décombres. Nos restes. Épars, nus. t.co/JhIrnG39
Les araignées martiennes fouillent les meubles de la salle de bain des invités. Je propose à tout le monde vins fins, cornichons, et romans.
Mina, Igor, Carver gisaient sottement sur la moquette incarnate, exsangues mais pas si laids. Les miliciens ramassaient les organes épars.
Et le p’tit gars Tony de nous quitter. Et Mina, pas fière, fredonne une petite mélodie plaintive. Foutu pont. t.co/rLvD23TA
Mina, en larmes, sur la jetée.
Lèvres bleues, mensonges.
Mais sourire aux lèvres.
Bonbons à la peau d’orange pourrie. Mina aime les délices japonais.
Déjà quatre hivers à ne savoir que faire.
Cut the cake.
L’homme à la tête de chat lave sa gamelle dans la salle de bain du 3ème étage. Du coin de l’oeil, son Kobo, le Trône de Fer : hécatombe.
À compter les vagues de la mer.
Igor, esseulé, décide de prendre un chat, noir et blanc, chapeauté, nihiliste. t.co/itv86vQl
Et comme toujours, tout ou presque sera invisible.
et donc, le matin.
Et Carver, se soustraire à la foule. Soudain.
Et, la nuit.
Mina et Igor préparaient un mauvais coup. À 20h on en saurait plus. Opération « Petit Poucet ».
Et dans le salon déserté, une petite voix, sortant d’un casque, posé au sol. Par la fenêtre, les dirigeables noirs. t.co/d7Nz5d7r
Et vous la voulez comment la pastèque ? Tartare ? t.co/sRVRAjjz
Étranges pérégrinations humides.
Je projette ton visage, immense, sur le mur de la chambre. Merveille de la nostalgie, de la technologie moderne, de la miniaturisation. Paf.
Et les milices turquo-chinoises apportaient aux réfugiés lyonnais, vivres, médicaments, passeports. Dirigeable en flamme. Radium sec. #dpda
Entropie bitch !
Mina : « Les mangas c’est plus des discussions bergsonniennes ».
Poser des bombes.
Œil bleu, œil gris, œil blanc, œil noir.
Clap !
Ce truc avec le lièvre supérieur m’aime.
Doucement. L’aube.
Mina à Igor : « un diamant est éternel ». Igor : « l’inspecteur Derrick est super doux ». Carver : « je veux du canard ». Bavardage. Chevals.
Six belettes et du pain d’épice.
Égarement. t.co/LqeYd2r9
Igor, seul, fouille les cadavres, trouver une solution à la faim, la soif. Du whisky et de la semelle taille 43. Ça suffira pour ce soir.
Et mes amis. De joyeux lurons. Et les jeunes filles, invincibles. Alors on collabore. On va prendre cher, sans doute. Nus. Vive le feu.
Et pour mes noces, du fromage de lait de chat et un manteau en poil de souris.
Et un double saut carpé.
« Un lac dans la salle de bain, huit serviettes à la nage, et des raclures de rasoir dans la cuvette. »
Un pas de côté.
Ok, on danse. Dubstep.
On propose un nouveau job au héros. Il hésite quant à la manière de refuser. Il y a une roquette dans le salon. Ça sent mauvais. Ouais.
Il pleut tellement de trucs noirs, gluants, radioactifs que même les miliciens siciliens abandonnent les boulodromes aux alsaciens ivres.
Mina, Igor et l’autre type chelou qu’on connaît pas trop bien se chauffaient au soleil sur le gros rocher au milieu de la rivière, dévêtus.
Carver, héros d’une dramatique télévisuelle, de fascicules brochés, se sentait, à l’aise, à l’@udobar. t.co/XANG8owt
Le saucisson de poney ça n’a pas du tout le goût de magret d’âne. t.co/L5DGeX3u
Ouais. Miel. Aussi. Et nus.
Sans pouces, c’est relou.
Mais nus, quoi !?
Un mur.
Aussi belle qu’une balle.
Danser dans la forêt, pieds nus couverts de boue glissante, sourires qui se répondent, yeux émerveillés ne clignant pas. Hiver nucléaire.
Vous entendrez parler de guerre, de rumeurs de guerre. Mais ne soyez pas troublés, il faut que cela arrive, et ce n’est pas encore la fin.
La guerre est finie. On a perdu. Mina pleure.
#hop
Après la croisière, on se calme et on boit frais à Zagreb. Mina sanglote sur l’épaule de Carver. Igor n’est plus là. Vélo d’appartement.
Tes amis sont réels.
Mina, sous sa ghillie toute neuve, se préparait un thé au ginseng en attendant le passage du convoi néo conservateur. Elle se sentait forte.
Mina a un message. t.co/0HKNJHUi
Mina, Igor, Carver, l’homme à la tête de chat, sur un forum d’études bogomiles, se rencontrent, enfin. La vie réelle, bien plus tard, Paris.
Igor se fait asperger par Mina. Humidité et syndrome pour tous.
Mi fille ni raisin ?
Comme d’habitude. t.co/u5Np88BG
Toi même tu sais.
Dans la petite sacoche grise, Igor transportait une petite dose d’entropie. Et une mini chaussure. Bleue. t.co/FLJCMxo2
Et les Moissonneurs de pulvériser Paris. Igor s’en lave les mains avec ses potes krogans. Tali et Mina sont trop potes. Enfin tu comprends.
Ils sont pas tous fondus à la même taille. C’est assez peu pratique, pour faire du deltaplane, du jokari ou compter sur ses doigts.
Igor, la tête dans la gueule, du lion.
Hum.
Carver vient de mourir, en Suède.
Mina, Carver et l’homme à la tête de chat célèbrent, sobrement, l’anniversaire du renégat, Igor. Le jeune funèbre sera rompu à l’aube.
Et ne se tenir que d’une phalange. Brisée. Ici on mange correctement. Nos dents sont fidèles, sensibles, matinales. Salutations.
Sérieusement, cette soirée estivale a un sérieux parfum d’apocalypse. On rase gratis, pour fêter ça.
La galatrace galarienne est plutôt vénère.
Eliot ne cherche ni ne trouve.
Et le arroser la terrasse au lance-flamme, sourire à la vie, le cœur explosant. Sens propre. Je ne manque de rien. Ah si, de roquettes.
Non, tu n’as pas besoin de courir le monde après ton destin comme un cheval sauvage !
Et Igor, sur ce rocher humide lancé à 30000 km/s dans l’espace, rentre chez lui. En bus.
Igor se sentait d’un autre temps, parfois, en s’éveillant toujours vivant. Et le soleil. t.co/cusMD8Oh
Non mais, sérieusement.
Igor à Mina : « This is really bad. » t.co/d6glD6a2 #ledebat
Jimmy boit du gin dans sa Chrysler.
Par la fenêtre, une dystopie, uchronique, cyclopéenne, de toute beauté. Dirigeables, Grand Amour désespéré, guérilla urbaine pour nos héros.
Le cœur sur la main. t.co/OTP5XoXx
Il pleut sur Barcelone. Nos amis nous déposent en banlieue. On mange de vieux tapas. Les bombardiers nous harcèlent. On danse, pourtant.
Carver termine son discours. Le bombardement commence. On rase gratis.