La sérendipité est le fait de réaliser une découverte inattendue grâce au hasard et à l’intelligence, au …
Mi fille ni raisin ?
Et Mina, de mimer l’ecclésiastique gaulois. Nos troupes roupées, en déroute, rigolarde. t.co/nh2AUxAt
Igor à Mina : « This is really bad. » t.co/d6glD6a2 #ledebat
Où es tu ? #lanuitnoireetdangereuse
Kaboul disco.
Un type de plus de deux mètres. Un soldat borgne. Il installe un néon au plafond. Il a posé son arme dans le cendrier en inox.
Vous vous réveillerez frais et dispos, prêt à affronter tous vos problèmes. Ne pas dépasser la dose prescrite.
On me signale « Dalatrace » et pas « Galatrace ». Ça m’étonne moins qu’elle s’énerve quand j’écorche son titre. Donc.
Mina n’aimait pas, mais pas du tout, les animaux qui parlent. Et les ongles, et les souris.
Mais sourire aux lèvres.
Igor est animiste. Mina athée. Carver, mixte, forcément. L’homme à la tête de chat loue la Grande Arrête de Poisson Sacrée Invisible Rose.
Enfin, tu vois, quoi.
Pluie acide sur le nord du 19ème arrondissement de Paris, France, Europe, Monde, Terre, Système Solaire, Voie Lactée, Univers, Litière.
Si notre danse est satisfaisante. Si et seulement si.
Convenez que c’est étrange : t.co/xIO5FBBd
Grise.
Et en route pour la joie.
Carver, héros d’une dramatique télévisuelle, de fascicules brochés, se sentait, à l’aise, à l’@udobar. t.co/XANG8owt
Les ambassadeurs se rencontrent régulièrement pour tenter de défricher la situation internationale confuse, ivres. t.co/9ThVSkxw
Igor, lucide, à Mina, morte, mais souriante : « je pense que les choses ne peuvent que s’arranger ». t.co/ldTMCUlw
Les yeux dans les paumes. N’y voir goutte. Je ne reste pas. Bonsoir.
Nous sommes les dandys de l’an 2000, grands chevelus glacés, pâles et frileux, voûtés peut-être, lèvres exsangues et serrées… (air connu)
Eliot ne cherche ni ne trouve.
J vs tien o courènt dè ke j finie merci.
Je cherche cette amie du regard. Les passants sont trop rapides. Je les distingue à peine en contrebas. Cette amie. t.co/0klN8dIq
Carver va à la salle de sport au petit matin. Il fait froid. Ses seins sont bandés. Les gars sont, particuliers. t.co/iLZcUQJA
Et on danse.
Et mes amis. De joyeux lurons. Et les jeunes filles, invincibles. Alors on collabore. On va prendre cher, sans doute. Nus. Vive le feu.
Et Igor, hurlant, de balancer la bouteille enflammée au travers de la fenêtre entrouverte : « tamanoir ! »
Mina et Igor, enlacés, convoquent les forces du mal et les utilisent pour récurer les toilettes du parlement, en flamme. C’est un peu gâché.
Et dans le salon déserté, une petite voix, sortant d’un casque, posé au sol. Par la fenêtre, les dirigeables noirs. t.co/d7Nz5d7r
Triple looping avec final en cœur.
Mina marche fièrement. Igor rampe difficilement.
Mina aime les vieux boucau.
Mina, Igor, Carver, l’homme à la tête de chat, sur un forum d’études bogomiles, se rencontrent, enfin. La vie réelle, bien plus tard, Paris.
Et Igor de se déguiser souvent en homme à la tête de chat. Sans succès.
Present Day… Present Time… Mouhahahahaha !
Et soudain, le train.
Une sorcière étant plus légère que l’eau, si elle flotte, elle est repêchée et brûlée vive. Si elle se noie, elle est innocente. Ouf.
Chernogorsk. Passage à l’église, puis je trouve une petite Winchester au supermarché, tranquille, et là, fatalement, une balle dans la tète.
Toi même tu sais.
Je dors mal à cause de ma gangrène qui me bouffe le pied.
Le chef des araignées martiennes se nomme Justin. Bizarrement, personne n’est étonné. Ses lunettes sont, particulières, et ses cheveux, hum.
Il me reste seulement 2 cachets d’Ubik. La fin de semaine sera dure. Je commence à revoir le monde. Et l’Empire. Mes mains tremblent.
Mina à Igor, l’œil torve : « Krakoukass ! »
Et la neige. Et la nuit.
Danser dans la forêt, pieds nus couverts de boue glissante, sourires qui se répondent, yeux émerveillés ne clignant pas. Hiver nucléaire.
Et Mina, souriait à la lune, rousse. Ses copines, barjotes, tendres mais sobres, n’en menaient pas large. t.co/CGIwvEWk
Vibre au dessus de ses moyens. Écheveau et curry pour tous. Mina, Igor se cultivent, préparent d’importantes expériences polysexuelles. Nus.
Et l’homme à la tête de chat, nu, énumère mentalement les possibles arrangements de son intérieur anthropo-félin. t.co/fPHD1KhB
Et Mina de poignarder un Igor hilare. Et Carver de proposer au Parlement bulgaro-normand un programme d’ouverture. Sacré tribun. Assez.
Saisir le code invisible, algorithmique de la réalité.
Mina est, on peut le dire à présent, une ancienne du Katanga. Igor n’aime pas trop aborder le sujet. Non, ça ne rigole pas chez les loulous.
Et le sourire de Rose, au Docteur.
Et le bunker de Mina, si rouge, de ne plus retenir en son sein aucun débordement poétique. Igor, invalide, bourré. t.co/A6DP43BY
Et Carver, se soustraire à la foule. Soudain.
Et on raconte que dans Ulthar, de l’autre côté de la rivière Skaï, aucun homme n’a le droit de tuer un chat.
Ce soir, Igor carbure à la garbure.
Ploutocratie : forme de gouvernement dans lequel le pouvoir est entre les mains des plus riches.
L’homme-félin s’est donné la mort à 54 ans t.co/PkbuuImd
Mina profite de la distraction temporelle des gardes pour ajouter deux atouts à sa main déjà impressionnante. Tout se passe bien. Deux fois.
Mina, Carver et moi aimions particulièrement les après midi « Biches Volées » au Club des Aventuriers Dénudés du Capitaine Cisco Bayashi Maru.
Crac !
Et nos frissons partagés. Igor, sous la pluie, ouvre ses cadeaux. Mina, au soleil, manœuvre le lourd dirigeable. Nue. t.co/0Zgom1FU
Carver, lessivé, n’ignore rien des techniques de camouflage belges. Ses petites cellules grises, itou. Pinkie pou ! t.co/At4i4CYp
Et la nuit de fondre sur nous, affamée.
Mina, Igor, Carver gisaient sottement sur la moquette incarnate, exsangues mais pas si laids. Les miliciens ramassaient les organes épars.
Mais triste pour les biches.
Un feufeu pour ceux qui ont froifroid.
Aussi belle qu’une balle.
Quels beaux projets nocturnes. t.co/5TTHNaZr
Carver vient de mourir, en Suède.
Les milices bengali me paient des frites et du pastis. t.co/HfXI0lLh
Et je te coupe l’index gauche. Court.
Fête païenne.
Ouvre les yeux.
Dans la petite sacoche grise, Igor transportait une petite dose d’entropie. Et une mini chaussure. Bleue. t.co/FLJCMxo2
et donc, le matin.
Trampoline.
et c’est le matin, et alors on aime ses voisins et la fille avec les fleurs.
Je vois.
Il a 30 ans !
Et, elle est morte.
Il neige à Kaboul.
Une fête réussie, ce sont des trucs qui explosent.
Boum. La Nuit.
It’s just the drugs, Mason.
Égarement. t.co/LqeYd2r9
Mina ouvre la boite. En tombent 100 euros, verts.
Cut the cake.
Et Igor, de visiter le rayon charcuterie, hipster de base. t.co/xKkVkI7R
Tout le monde rentre au bercail en octobre.
À compter les vagues de la mer.
Non mais, sérieusement.
Et je pose ta tête sur la table du salon. Tout est bien. Mina sort en hurlant. Carver roupille, encore, à l’étage. Au nord, les bombes A.
Igor, plus bas dans la pente, numérote ses abattis, ajuste son gilet, replace son bonnet félin, se prépare à la courte lutte, à suivre, ici.
Igor à Mina : « je vais t’embrasser, ne me frappe pas. » – t.co/XwA4qUgV
Et la nuit de nous engloutir.
Les araignées martiennes fouillent les meubles de la salle de bain des invités. Je propose à tout le monde vins fins, cornichons, et romans.