Mais nus, quoi !?
Lèvres bleues, mensonges.
Et nos frissons partagés. Igor, sous la pluie, ouvre ses cadeaux. Mina, au soleil, manœuvre le lourd dirigeable. Nue. t.co/0Zgom1FU
Il pleut tellement de trucs noirs, gluants, radioactifs que même les miliciens siciliens abandonnent les boulodromes aux alsaciens ivres.
Igor et Carver installent de nouvelles défenses terrestres, protéger ainsi les pourparlers de paix, ivres. t.co/bzfz7JPX
Les ambassadeurs se rencontrent régulièrement pour tenter de défricher la situation internationale confuse, ivres. t.co/9ThVSkxw
#hop
Et Igor, tellement peu loquace, béatitude des guérillas réussies. Se blottir, sous les bombes, se sourire. t.co/BYZBhycW
Carver, et le marché noir. Igor, ses béquilles. Mina, sa gatling. L’homme à la tête de chat, son scooter. Impavides. t.co/ijakTK8L
Message très important pour Samuel : L’octogénaire ne se déride pas. Attendez deux voitures et des amis sur le bonbon.
Traboule moi toute.
Et l’homme à la tête de chat, nu, énumère mentalement les possibles arrangements de son intérieur anthropo-félin. t.co/fPHD1KhB
Mina, Igor, Carver gisaient sottement sur la moquette incarnate, exsangues mais pas si laids. Les miliciens ramassaient les organes épars.
Et l’homme à tête de chat, chelou. t.co/1cAgAOlc
Rebondir follement. Nos doigts entrelacés. Nos regards absents, ahuris.
Égarement. t.co/LqeYd2r9
Du bouledogue au sanglier : vous recevrez encore des amis ce soir. Le vent souffle les flambeaux.
Et dans les décombres. Nos restes. Épars, nus. t.co/JhIrnG39
Et Mina, de mimer l’ecclésiastique gaulois. Nos troupes roupées, en déroute, rigolarde. t.co/nh2AUxAt
Carver, lessivé, n’ignore rien des techniques de camouflage belges. Ses petites cellules grises, itou. Pinkie pou ! t.co/At4i4CYp
Nus, la nuit.
Et le bunker de Mina, si rouge, de ne plus retenir en son sein aucun débordement poétique. Igor, invalide, bourré. t.co/A6DP43BY
Et Igor, tellement tête au carré, expire une pensée émue pour le créateur du générique d’Albator 78, le gars Charden. R.I.P.
Non, tu n’as pas besoin de courir le monde après ton destin comme un cheval sauvage !
C’est pas ma faute à moi !
Les milices bengali me paient des frites et du pastis. t.co/HfXI0lLh