Je dors mal à cause de ma gangrène qui me bouffe le pied.
Igor, seul, fouille les cadavres, trouver une solution à la faim, la soif. Du whisky et de la semelle taille 43. Ça suffira pour ce soir.
Et soudain (encore), la nuit.
Kaboul de neige.
Mina, Igor, roucoulent. Carver dort mal. L’homme à la tête de chat inspecte la ligne de front, monté sur son buggy, chromé, hilare. Il peut.
Et l’homme à la tête de chat se demandait comment ne pas succomber à la tentation nocturne. t.co/4Bvw7hEa
Je ne pense pas que les livraisons du mercredi matin soient une bonne idée. t.co/tIduSxM8
Chère maman, ici tout se passe bien. Les chats sont plutôt fiers de leurs nouvelles amitiés. T’embrasse. t.co/CvFaPK3c
Il neige à Kaboul.
Tu peux lutter contre l’effet du témoin en désignant une personne précise, l’appeler à l’aide plutôt que les gens alentours en général.
Godiche que moi.
Mina, Igor, Carver, se laissent séduire par les paradis artificiels. On imagine sans peine que cela va ralentir l’avance des troupes alliés.
J’ai si faim 2.0. t.co/YJ1Z1q8q
et donc, le matin.
Et, la nuit.
Et les Moissonneurs de pulvériser Paris. Igor s’en lave les mains avec ses potes krogans. Tali et Mina sont trop potes. Enfin tu comprends.
Kaboul disco.
Et pendant ce temps là, dans l’espace. t.co/PyBquYhF
Il pleut sur Barcelone. Nos amis nous déposent en banlieue. On mange de vieux tapas. Les bombardiers nous harcèlent. On danse, pourtant.
Deux petites douches alternées ? #dpda
Et les milices turquo-chinoises apportaient aux réfugiés lyonnais, vivres, médicaments, passeports. Dirigeable en flamme. Radium sec. #dpda
Et Mina, souriait à la lune, rousse. Ses copines, barjotes, tendres mais sobres, n’en menaient pas large. t.co/CGIwvEWk
Mina, Igor et l’autre type chelou qu’on connaît pas trop bien se chauffaient au soleil sur le gros rocher au milieu de la rivière, dévêtus.
Kaboul de pétanque ?
Igor et Carver décident ensemble. Ils vont en Italie. Médicalement parlant, c’est jouable. Les routes sont infestées de loyalistes furieux.
Tu m’entends ?
Igor et Mina voyagent dans le temps. t.co/114uPkhK
Et je me penche au balcon pour regarder les lueurs. La comète illumine la baie. Dans le ciel, les parachutistes tournoient, décimés, nus.
Tout le monde rentre au bercail en octobre.
La galatrace galarienne est plutôt vénère.
Bien rentrée ? Juste un petit mail pour te sourire, te tenir la main, effleurer tes pieds avec les miens.
Ouvre les yeux.
Et les yeux si ouverts. La nuit si lumineuse.
On me signale « Dalatrace » et pas « Galatrace ». Ça m’étonne moins qu’elle s’énerve quand j’écorche son titre. Donc.
Mina et Igor, enlacés, convoquent les forces du mal et les utilisent pour récurer les toilettes du parlement, en flamme. C’est un peu gâché.
On prépare le petit soir, doucement, masqués, modestes. Nos émissaires sont tels les carpes. t.co/BfRM1NUm
Un pas de côté.