Sérieusement, cette soirée estivale a un sérieux parfum d’apocalypse. On rase gratis, pour fêter ça.
Mina est, on peut le dire à présent, une ancienne du Katanga. Igor n’aime pas trop aborder le sujet. Non, ça ne rigole pas chez les loulous.
Ce soir, Igor carbure à la garbure.
Kaboul disco.
Et puis voilà. t.co/8FWZ7vug
Et le bunker de Mina, si rouge, de ne plus retenir en son sein aucun débordement poétique. Igor, invalide, bourré. t.co/A6DP43BY
Tadaaa !
Chère maman, ici tout se passe bien. Les chats sont plutôt fiers de leurs nouvelles amitiés. T’embrasse. t.co/CvFaPK3c
Mina à Igor : « un diamant est éternel ». Igor : « l’inspecteur Derrick est super doux ». Carver : « je veux du canard ». Bavardage. Chevals.
Et la lumière.
Igor : « ronpich »
Ouvre les yeux.
Suis vivant, dans une ferme près de la centrale électrique, avec winchester, pistolet, hachette, carte, montre, munitions et de la bouffe.
La grande Mina à Igor, impavide : « Monte avec moi dans le ferry boat et regarde devant c’est la côte Anglaise. »
Et un double saut carpé.
Et en route pour la joie.
Et si ?
Il pleut sur Barcelone. Nos amis nous déposent en banlieue. On mange de vieux tapas. Les bombardiers nous harcèlent. On danse, pourtant.
Cheval.
On me signale « Dalatrace » et pas « Galatrace ». Ça m’étonne moins qu’elle s’énerve quand j’écorche son titre. Donc.
Le train, noir, des anarchistes traverse la Sibérie emportant les utopistes, debout.
Par la fenêtre, au nord, une grande fumée grise, le grand incendie ?
Convenez que c’est étrange : t.co/xIO5FBBd
Et dans les décombres. Nos restes. Épars, nus. t.co/JhIrnG39
Une sorcière étant plus légère que l’eau, si elle flotte, elle est repêchée et brûlée vive. Si elle se noie, elle est innocente. Ouf.
Je t!45((€.
Ton aura est violette.
Mais nus, quoi !?
Nus, la nuit.
Mina a un message. t.co/0HKNJHUi
Et l’homme à la tête de chat se demandait comment ne pas succomber à la tentation nocturne. t.co/4Bvw7hEa
Raclure : Petite parcelle que l’on enlève d’un corps en le raclant. Fig : déchet.
Les forces anarcho-siciliennes pilonnent la capitale occitane depuis quatre jours. Mina, Igor savourent leur hibiscus bien frais. Surprise !
Du coup je.
Si Jessica Fletcher dit qu’il y avait un cadavre, alors il y’en avait un.
Igor à Mina : « je vais t’embrasser, ne me frappe pas. » – t.co/XwA4qUgV
Tes amis sont réels.
Igor est à Mina ce que la momie est au pharaon.
Mina : « Les mangas c’est plus des discussions bergsonniennes ».
Et la basse. Et nos yeux empathiques. Entropie et tango.
Saisir le code invisible, algorithmique de la réalité.
À minuit, tous les agents…
Clap !
Tiens pour toi mon frère, le vieux boucau, un ermite que très peu de gens ont exploité.
Bien rentrée ? Juste un petit mail pour te sourire, te tenir la main, effleurer tes pieds avec les miens.
Flickr est dans les choux. Nous corrigeons ce problème immédiatement.
Couverts de peinture blanche, épuisés, aimants. La pièce à vivre retrouve sa jeunesse. Pas de magot mais de l’eau fraîche. Et le reste, si ?
Et les milices turquo-chinoises apportaient aux réfugiés lyonnais, vivres, médicaments, passeports. Dirigeable en flamme. Radium sec. #dpda
Igor, Mina, les autres, fêtent son anniversaire, un peu en retard, en posant une bombe dans le coffre d’une banque. t.co/sb2MIcvA
AUTOEXEC.BAT
Oh mon dieu, le gamin avait raison, l’assassin est un pneu !
Kaboul de pétanque ?
Après la croisière, on se calme et on boit frais à Zagreb. Mina sanglote sur l’épaule de Carver. Igor n’est plus là. Vélo d’appartement.
Nos lésions ont du talent ?
Et la nuit de nous engloutir.
Mina et Igor, sous la pluie, dessinent dans le sable un plan d’invasion parfait. Une armée de canards vibrants et 23 sous-marins nucléaires.
On prépare le petit soir, doucement, masqués, modestes. Nos émissaires sont tels les carpes. t.co/BfRM1NUm
50% nuit et 50% nos doigts se touchent. Tu souris.
Mina, Igor, Carver, l’homme à la tête de chat, sur un forum d’études bogomiles, se rencontrent, enfin. La vie réelle, bien plus tard, Paris.
Mina et le dauphin discutaient âprement de la suite des opérations. Igor faisait mine de s’intéresser. En vain. On dort, donc.
Étranges pérégrinations humides.
Mina n’aimait pas, mais pas du tout, les animaux qui parlent. Et les ongles, et les souris.
Tu m’entends ?
Les milices bengali me paient des frites et du pastis. t.co/HfXI0lLh
Aujourd’hui nous est venu un enfant, et son nom est bacon.
Doucement. L’aube.
Et, elle est morte.
Mina est la reine du bal. Dum-dum au nickel strié. Igor au bord du canal. Pluie. Carver, humide, ne veut plus sortir. t.co/VcZUauGP
Mina, Igor, ne se lassaient pas de compromettre la sécurité du pays en promulguant lois et décrets stupides. t.co/zFvOUVEN
Jens !
Enfin tu vois. quoi. La nuit. Nos sourires, nos tactiles échanges. Et la danse.
Et la nuit comme médecine. t.co/GL3eb0np
Les réseaux sociaux sont la télé-réalité de l’Internet.
Deux petites douches alternées ? #dpda
Danser dans la forêt, pieds nus couverts de boue glissante, sourires qui se répondent, yeux émerveillés ne clignant pas. Hiver nucléaire.
On a construit une piscine à bulles sur le toit de l’hôtel. En déplaçant le cimetière. Mauvais karma à la baignade, mais belle vue sur Rome.
Et cette nuit tellement longue, et savoir que je vais te retrouver, à l’aube. Insomnie. Forcément.
Mina passe les nuits avec sa tendre amie, skateuse, insulaire. Elles causent philosophie, féminisme, révolution et post colonialisme. Nues.
Et Igor, sur ce rocher humide lancé à 30000 km/s dans l’espace, rentre chez lui. En bus.
Et le p’tit gars Tony de nous quitter. Et Mina, pas fière, fredonne une petite mélodie plaintive. Foutu pont. t.co/rLvD23TA
Et Mina, de mimer l’ecclésiastique gaulois. Nos troupes roupées, en déroute, rigolarde. t.co/nh2AUxAt
Disque. t.co/7Quule5R
Si notre danse est satisfaisante. Si et seulement si.
Igor et Carver installent de nouvelles défenses terrestres, protéger ainsi les pourparlers de paix, ivres. t.co/bzfz7JPX
Et une petite danse (de plus).
Mina et Igor préparaient un mauvais coup. À 20h on en saurait plus. Opération « Petit Poucet ».
Mais triste pour les biches.
Puis, la crémation.
Igor’s blowin’ in the wind.
Igor, plus bas dans la pente, numérote ses abattis, ajuste son gilet, replace son bonnet félin, se prépare à la courte lutte, à suivre, ici.
Poser quelques mines anti dauphins et licornes autour du lit. Et reposer, enfin. Dehors, les choses se passent, mal. La Nuit.
Triple looping avec final en cœur.
En contrebas. Un homme porte un fez. Le canal. Dans le ciel. Un dirigeable écarlate. Dans l’allée : une troupe de miliciens. Ivres, hilares.
Et Igor, tellement tête au carré, expire une pensée émue pour le créateur du générique d’Albator 78, le gars Charden. R.I.P.
Luther et Igor partageaient le même goût pour le spectacle vivant. t.co/rcPeWLlA
Fête païenne.
Et je te coupe l’index gauche. Court.
Tu peux lutter contre l’effet du témoin en désignant une personne précise, l’appeler à l’aide plutôt que les gens alentours en général.
Qui est là ?
L’homme à la tête de chat récupère l’urne. Les cendres sont parfaites. Litière.