Je laisse les ados se droguer sous le canapé du salon et je retourne dormir un moment. Ils sont souriants et silencieux. Optimistes. Aussi.
Deux petites douches alternées ? #dpda
Bon sang !!
Les yeux dans les paumes. N’y voir goutte. Je ne reste pas. Bonsoir.
Prendre des ptits bouts de trucs et puis les associer ensemble.
Igor, plus bas dans la pente, numérote ses abattis, ajuste son gilet, replace son bonnet félin, se prépare à la courte lutte, à suivre, ici.
Ouais. Miel. Aussi. Et nus.
et c’est le matin, et alors on aime ses voisins et la fille avec les fleurs.
Quand c’est l’amour faut pas trainer les pieds.
Danser dans la forêt, pieds nus couverts de boue glissante, sourires qui se répondent, yeux émerveillés ne clignant pas. Hiver nucléaire.
Et je te coupe l’index gauche. Court.
Et un double saut carpé.
Chère maman, ici tout se passe bien. Les chats sont plutôt fiers de leurs nouvelles amitiés. T’embrasse. t.co/CvFaPK3c
Cheval.
Hey, I just met you,
And this is crazy,
But here’s my number,
So call me, maybe ?
Old Long Johnson.
Un bon site web ça ne remplace pas la bonne vieille campagne de pub à base de néons géants sur un terrible dirigeable atomique supersonique.
C’est pas ma faute à moi !
Mina a un message. t.co/0HKNJHUi
Tadaaa !
« Il suffit d’une femme de sens pour que la folie du monde sur elle se casse les dents ! »
Mina, en larmes, sur la jetée.
Sacrifions le poulet.
Un pas de côté.
Œil bleu, œil gris, œil blanc, œil noir.
AUTOEXEC.BAT
Igor : « ronpich »
À minuit, tous les agents…
Ok, on danse. Dubstep.
Carver s’occupait de l’intendance, de la gestion des petits objets explosifs, des débardeurs blancs de la bande, des repas. Des chats aussi.
Carver, héros d’une dramatique télévisuelle, de fascicules brochés, se sentait, à l’aise, à l’@udobar. t.co/XANG8owt
Jens !
Et Mina de s’éveiller tardivement. t.co/tiBZTvOn
et donc, le matin.
La galatrace galarienne est plutôt vénère.
Il a 30 ans !
Et Mina, souriait à la lune, rousse. Ses copines, barjotes, tendres mais sobres, n’en menaient pas large. t.co/CGIwvEWk
La nuit. Carver hurle à la lune. Les grenouilles.
20: bd51: cellar elvenkings : ‘ the cellar where the king keeps his barrels of wine.’
Igor et Mina voyagent dans le temps. t.co/114uPkhK
Si notre danse est satisfaisante. Si et seulement si.
Et le p’tit gars Tony de nous quitter. Et Mina, pas fière, fredonne une petite mélodie plaintive. Foutu pont. t.co/rLvD23TA
On propose un nouveau job au héros. Il hésite quant à la manière de refuser. Il y a une roquette dans le salon. Ça sent mauvais. Ouais.
Et Igor de décider de mettre l’accent sur ces moments forts, ratés. Genre Woodstock, j’y étais pas. La naissance de ma mère, non plus. Etc.
Mina, Igor et l’autre type chelou qu’on connaît pas trop bien se chauffaient au soleil sur le gros rocher au milieu de la rivière, dévêtus.
Carver termine son discours. Le bombardement commence. On rase gratis.
Les personnes réelles sont faciles à reconnaître. Elles clignotent.
Mina et Igor préparaient un mauvais coup. À 20h on en saurait plus. Opération « Petit Poucet ».
Égarement. t.co/LqeYd2r9
Saisir le code invisible, algorithmique de la réalité.
Les gamins, au narrateur, forcément, omniscient : « mais alors il est mort Igor ? ». Silence de.
L’homme à la tête de chat récupère l’urne. Les cendres sont parfaites. Litière.
Mina à Igor, l’œil torve : « Krakoukass ! »
Mina, Carver, Igor (et un autre type bizarrement constitué) sauvent le monde. Encore.
Mina et Igor, sous la pluie, dessinent dans le sable un plan d’invasion parfait. Une armée de canards vibrants et 23 sous-marins nucléaires.
Ils sont pas tous fondus à la même taille. C’est assez peu pratique, pour faire du deltaplane, du jokari ou compter sur ses doigts.
Roux.
Avant de se rendre en Azeroth, il absorbait toujours une surdose léthale de D-Liss, histoire de laisser une trace, une odeur sous la porte.
Oh Don Piano.
Et on danse. Nostalgie.
Puis, la crémation.
Je sais à présent que je suis prisonnier.
J’ai froid.
Et soudain, le train.
Igor, esseulé, décide de prendre un chat, noir et blanc, chapeauté, nihiliste. t.co/itv86vQl
Et si ?
Les bombardements, la sirène, une fois de plus. Tous aux abris. Blitz. t.co/UtHua1yt
Toi même tu sais.
Et dans le salon déserté, une petite voix, sortant d’un casque, posé au sol. Par la fenêtre, les dirigeables noirs. t.co/d7Nz5d7r
Le saucisson de poney ça n’a pas du tout le goût de magret d’âne. t.co/L5DGeX3u
Sans pouces, c’est relou.
Mi fille ni raisin ?
Sept d’un coup !
Quels beaux projets nocturnes. t.co/5TTHNaZr
Igor est l’ami des animaux et du saucisson. Sec. Mina est organique, voire bio. Carver la traite de hippie consensuelle. Elle tire. Bien.
Et les Moissonneurs de pulvériser Paris. Igor s’en lave les mains avec ses potes krogans. Tali et Mina sont trop potes. Enfin tu comprends.
Enfin, tu vois, quoi.
Lèvres bleues, mensonges.
Qui est là ?
Oh mon dieu, le gamin avait raison, l’assassin est un pneu !
Je t’€{45* !
Nicolaï, Líder Máximo de la banlieue nord de Niort, se portait garant d’Igor, son « bro ». t.co/DDOMiDau
Pluie acide sur le nord du 19ème arrondissement de Paris, France, Europe, Monde, Terre, Système Solaire, Voie Lactée, Univers, Litière.
Et, la nuit.
Du bouledogue au sanglier : vous recevrez encore des amis ce soir. Le vent souffle les flambeaux.
Et Mina, d’aimer toujours Nicola et son pigeon aux yeux laser. t.co/qFdGEdzk
Igor à Mina : « je vais t’embrasser, ne me frappe pas. » – t.co/XwA4qUgV
Mina est la reine du bal. Dum-dum au nickel strié. Igor au bord du canal. Pluie. Carver, humide, ne veut plus sortir. t.co/VcZUauGP
Sérieusement, cette soirée estivale a un sérieux parfum d’apocalypse. On rase gratis, pour fêter ça.
Igor, la tête dans la gueule, du lion.
Déjà quatre hivers à ne savoir que faire.
Et nos amis. t.co/0FtQwZ4T
Godiche que moi.
Mina, Igor, Carver gisaient sottement sur la moquette incarnate, exsangues mais pas si laids. Les miliciens ramassaient les organes épars.
Luther et Igor partageaient le même goût pour le spectacle vivant. t.co/rcPeWLlA
Ce dimanche matin, Mina, habillée en magicien d’opérette, se sentait vraiment à l’étroit dans son rôle de chef de la révolution mondiale.
Et la neige. Et la nuit.
À compter les vagues de la mer.
Present Day… Present Time… Mouhahahahaha !
Les araignées martiennes fouillent les meubles de la salle de bain des invités. Je propose à tout le monde vins fins, cornichons, et romans.