Enfin tu vois. quoi. La nuit. Nos sourires, nos tactiles échanges. Et la danse.
Igor, nappe de vomi potentiel couvert de paillettes.
La guerre est finie. On a perdu. Mina pleure.
Mina et Igor préparaient un mauvais coup. À 20h on en saurait plus. Opération « Petit Poucet ».
J’ai si faim 2.0. t.co/YJ1Z1q8q
Et Mina, c’est une rouquine, évidemment. Une sorcière, pilote de dirigeables, et bien plus encore. Et nos espoirs, dansants, vacillants.
Rebondir follement. Nos doigts entrelacés. Nos regards absents, ahuris.
Carver, à vélo, traverse Westeros, sous l’averse.
Et la nuit de nous engloutir.
Carver, en homme, aimait la pêche à la ligne. En femme, le dessin. À présent, la danse, le vélo et ses nouveaux seins. t.co/fARMrFkZ
Carver termine son discours. Le bombardement commence. On rase gratis.
Carver, lessivé, n’ignore rien des techniques de camouflage belges. Ses petites cellules grises, itou. Pinkie pou ! t.co/At4i4CYp
Les personnes réelles sont faciles à reconnaître. Elles clignotent.
Et le bunker de Mina, si rouge, de ne plus retenir en son sein aucun débordement poétique. Igor, invalide, bourré. t.co/A6DP43BY
Doctor. t.co/Uet0nwtp
Ouais. Miel. Aussi. Et nus.
Et la brigade de répression des anges, uniformes oranges, de se précipiter par la fenêtre, on n’en mène pas large, innocents rêveurs nus.
Le ciel comme un grand cirque avarié. On marche sur le feu. Cap au sud.
Étranges pérégrinations humides.
La pythie vient en mangeant. t.co/zcYQihrP
Igor, lucide, à Mina, morte, mais souriante : « je pense que les choses ne peuvent que s’arranger ». t.co/ldTMCUlw
Et on danse. Nostalgie.
Qui est là ?
Je vois.
Vous vous réveillerez frais et dispos, prêt à affronter tous vos problèmes. Ne pas dépasser la dose prescrite.
Tes amis sont réels.
Un jeu du type pelote basque qui se pratique avec un équipement composé d’une balle en caoutchouc attachée à un socle par un élastique.
Franprix. Bad romance.
Et soudain, le train.
Nager seapunks avec les dos fins.
Mina, Igor, Carver, l’homme à la tête de chat, sur un forum d’études bogomiles, se rencontrent, enfin. La vie réelle, bien plus tard, Paris.
Un bon site web ça ne remplace pas la bonne vieille campagne de pub à base de néons géants sur un terrible dirigeable atomique supersonique.
Mina proclame son indépendance. Carver tourne de l’oeil. Igor, dans sa cellule, fait du vélo. Sur les murs : un œil, une date, c’est tout.
Où es tu ? #lanuitnoireetdangereuse
Mais triste pour les biches.
Convenez que c’est étrange : t.co/xIO5FBBd
Entropie bitch !
Jimmy boit du gin dans sa Chrysler.
Mina, Igor, roucoulent. Carver dort mal. L’homme à la tête de chat inspecte la ligne de front, monté sur son buggy, chromé, hilare. Il peut.
Il me reste seulement 2 cachets d’Ubik. La fin de semaine sera dure. Je commence à revoir le monde. Et l’Empire. Mes mains tremblent.
Kaboul disco.
« Il suffit d’une femme de sens pour que la folie du monde sur elle se casse les dents ! »
Carver, et le marché noir. Igor, ses béquilles. Mina, sa gatling. L’homme à la tête de chat, son scooter. Impavides. t.co/ijakTK8L
On propose un nouveau job au héros. Il hésite quant à la manière de refuser. Il y a une roquette dans le salon. Ça sent mauvais. Ouais.
Œil bleu, œil gris, œil blanc, œil noir.
Sacrifions le poulet.
La galatrace galarienne est plutôt vénère.
Et le sourire de Rose, au Docteur.
Ce soir, Igor carbure à la garbure.
Je sais à présent que je suis prisonnier.
Je vois cette relation d’un très mauvais œil. La nuit.
Igor, indisposé, à Mina, integratrice web : « les onglets ont débarqué. »
Mina, Igor et l’autre type chelou qu’on connaît pas trop bien se chauffaient au soleil sur le gros rocher au milieu de la rivière, dévêtus.
Godiche que moi.
We lied. We are not at war. There is no enemy. This is a rescue operation.
Et puis voilà. t.co/8FWZ7vug
Gewalt.
Mina, Carver et l’homme à la tête de chat célèbrent, sobrement, l’anniversaire du renégat, Igor. Le jeune funèbre sera rompu à l’aube.
Igor demande à Mina une nouvelle ceinture de munitions. Être l’homme de paille de Carver, c’est plutôt épique. Ne pas flancher. Non.
Bang bang.
Une pensée pour Jo Chattemite, rebelle, vivant, et debout. Et pour sa mère.
Bien rentrée ? Juste un petit mail pour te sourire, te tenir la main, effleurer tes pieds avec les miens.
L’homme-félin s’est donné la mort à 54 ans t.co/PkbuuImd
Les ambassadeurs se rencontrent régulièrement pour tenter de défricher la situation internationale confuse, ivres. t.co/9ThVSkxw
Un cocktail Molotov est une arme incendiaire artisanale composée d’une bouteille en verre en partie remplie de liquide inflammable et d’u…
Hodor !
Il me reste douze cartouches et, autour de l’hôtel de ville, les miliciens festoient, en bons voisins. Personne dans le no man’s land.
Poupée Pat ou K-Priss, mon cœur balance.
Couverts de peinture blanche, épuisés, aimants. La pièce à vivre retrouve sa jeunesse. Pas de magot mais de l’eau fraîche. Et le reste, si ?
Carver va à la salle de sport au petit matin. Il fait froid. Ses seins sont bandés. Les gars sont, particuliers. t.co/iLZcUQJA
Et Igor de décider de mettre l’accent sur ces moments forts, ratés. Genre Woodstock, j’y étais pas. La naissance de ma mère, non plus. Etc.
De l’eau de l’eau.
Igor et Carver décident ensemble. Ils vont en Italie. Médicalement parlant, c’est jouable. Les routes sont infestées de loyalistes furieux.
Et l’homme à la tête de chat de déclarer la chasse ouverte. Penser à applaudir. Mina qui baille. t.co/JMLqxdWO
Je dors mal à cause de ma gangrène qui me bouffe le pied.
Bonbons à la peau d’orange pourrie. Mina aime les délices japonais.
Et on raconte que dans Ulthar, de l’autre côté de la rivière Skaï, aucun homme n’a le droit de tuer un chat.
Et Igor, tellement peu loquace, béatitude des guérillas réussies. Se blottir, sous les bombes, se sourire. t.co/BYZBhycW
Tu m’entends ?
Prendre des ptits bouts de trucs et puis les associer ensemble.
Et soudain (encore), la nuit.
Igor et Mina voyagent dans le temps. t.co/114uPkhK
Le train, noir, des anarchistes traverse la Sibérie emportant les utopistes, debout.
Traboule moi toute.
L’homme à la tête de chat lave sa gamelle dans la salle de bain du 3ème étage. Du coin de l’oeil, son Kobo, le Trône de Fer : hécatombe.
Mina aime les vieux boucau.
Et Mina, souriait à la lune, rousse. Ses copines, barjotes, tendres mais sobres, n’en menaient pas large. t.co/CGIwvEWk
Mina : « Les mangas c’est plus des discussions bergsonniennes ».
Par la fenêtre, une dystopie, uchronique, cyclopéenne, de toute beauté. Dirigeables, Grand Amour désespéré, guérilla urbaine pour nos héros.
Et dans les décombres. Nos restes. Épars, nus. t.co/JhIrnG39
« Un lac dans la salle de bain, huit serviettes à la nage, et des raclures de rasoir dans la cuvette. »
Carver, héros d’une dramatique télévisuelle, de fascicules brochés, se sentait, à l’aise, à l’@udobar. t.co/XANG8owt
La sérendipité est le fait de réaliser une découverte inattendue grâce au hasard et à l’intelligence, au …
Et le arroser la terrasse au lance-flamme, sourire à la vie, le cœur explosant. Sens propre. Je ne manque de rien. Ah si, de roquettes.
Pluie acide sur le nord du 19ème arrondissement de Paris, France, Europe, Monde, Terre, Système Solaire, Voie Lactée, Univers, Litière.
Les gamins, au narrateur, forcément, omniscient : « mais alors il est mort Igor ? ». Silence de.
Non mais, sérieusement.
Mina, Carver et moi aimions particulièrement les après midi « Biches Volées » au Club des Aventuriers Dénudés du Capitaine Cisco Bayashi Maru.
Mina passe les nuits avec sa tendre amie, skateuse, insulaire. Elles causent philosophie, féminisme, révolution et post colonialisme. Nues.
Igor et Mina, sont des. Cylons. Carver. Non. Frak. U. Et l’homme à la tête de chat…