On prépare le petit soir, doucement, masqués, modestes. Nos émissaires sont tels les carpes. t.co/BfRM1NUm
Mina : « n’importe quoi… »
Carver, lessivé, n’ignore rien des techniques de camouflage belges. Ses petites cellules grises, itou. Pinkie pou ! t.co/At4i4CYp
Rebondir follement. Nos doigts entrelacés. Nos regards absents, ahuris.
Après la croisière, on se calme et on boit frais à Zagreb. Mina sanglote sur l’épaule de Carver. Igor n’est plus là. Vélo d’appartement.
Mina, Carver et l’homme à la tête de chat célèbrent, sobrement, l’anniversaire du renégat, Igor. Le jeune funèbre sera rompu à l’aube.
Bang bang.
Enfin tu vois quoi.
Enfin tu vois. quoi. La nuit. Nos sourires, nos tactiles échanges. Et la danse.
Enfin, tu vois, quoi.
Mes doigts dans l’acide. J’ai comme une sensation de grande douleur. Je vais acheter un poney pour Mina. Ou un dragon. Fondus les doigts.
Où es tu ? #lanuitnoireetdangereuse
Trouvez moi des amphétamines. Purple hearts.
Et Mina, c’est une rouquine, évidemment. Une sorcière, pilote de dirigeables, et bien plus encore. Et nos espoirs, dansants, vacillants.
Nous sommes les dandys de l’an 2000, grands chevelus glacés, pâles et frileux, voûtés peut-être, lèvres exsangues et serrées… (air connu)
Max, les maximonstres, orphelins.
Et dans le salon déserté, une petite voix, sortant d’un casque, posé au sol. Par la fenêtre, les dirigeables noirs. t.co/d7Nz5d7r
Deux petites douches alternées ? #dpda
Carver, en homme, aimait la pêche à la ligne. En femme, le dessin. À présent, la danse, le vélo et ses nouveaux seins. t.co/fARMrFkZ
Poser des bombes.
Je projette ton visage, immense, sur le mur de la chambre. Merveille de la nostalgie, de la technologie moderne, de la miniaturisation. Paf.
Puis, la crémation.
Traboule moi toute.
Chernogorsk. Passage à l’église, puis je trouve une petite Winchester au supermarché, tranquille, et là, fatalement, une balle dans la tète.
Doucement. L’aube.
Mina, Carver et moi aimions particulièrement les après midi « Biches Volées » au Club des Aventuriers Dénudés du Capitaine Cisco Bayashi Maru.
Oh Don Piano.
Tu peux lutter contre l’effet du témoin en désignant une personne précise, l’appeler à l’aide plutôt que les gens alentours en général.
Et le sourire de Rose, au Docteur.
Toi même tu sais.
Et la nuit de nous engloutir.
Et Carver, d’enfoncer son borescope encore plus avant dans les profondeurs dangereusement verticales, nues, de son abdomen rutilant, soyeux.
Prendre des ptits bouts de trucs et puis les associer ensemble.
Mina, et Igor, fatigué. t.co/HGSaZjOq
20: bd51: cellar elvenkings : ‘ the cellar where the king keeps his barrels of wine.’
C’est pas ma faute à moi !
Le premier amant de la lune, sélénite amateur en mode manuel, casse sa pipe. Igor, Mina et Carver de trinquer à sa santé.
Tadaaa !
On propose un nouveau job au héros. Il hésite quant à la manière de refuser. Il y a une roquette dans le salon. Ça sent mauvais. Ouais.
Igor demande à Mina une nouvelle ceinture de munitions. Être l’homme de paille de Carver, c’est plutôt épique. Ne pas flancher. Non.
Dans la petite sacoche grise, Igor transportait une petite dose d’entropie. Et une mini chaussure. Bleue. t.co/FLJCMxo2
La pythie vient en mangeant. t.co/zcYQihrP
Nous nous trouvions dans une situation difficile. Pas de fumée sans feu. t.co/6RBvjcdR
Couverts de peinture blanche, épuisés, aimants. La pièce à vivre retrouve sa jeunesse. Pas de magot mais de l’eau fraîche. Et le reste, si ?
Et, sur la cheville gauche de Mina, un grand dragon aquatique. Igor se penche pour mieux l’examiner : « Année du Dragon, ça va secouer ». Oui.
« Un lac dans la salle de bain, huit serviettes à la nage, et des raclures de rasoir dans la cuvette. »
Eliot ne cherche ni ne trouve.
Carver vient de mourir, en Suède.
Et je me penche au balcon pour regarder les lueurs. La comète illumine la baie. Dans le ciel, les parachutistes tournoient, décimés, nus.
Mina, Igor et l’autre type chelou qu’on connaît pas trop bien se chauffaient au soleil sur le gros rocher au milieu de la rivière, dévêtus.
Mina ouvre la boite. En tombent 100 euros, verts.
Ouvre les yeux.
Network Connection Refused by the Server
Mina profite de la distraction temporelle des gardes pour ajouter deux atouts à sa main déjà impressionnante. Tout se passe bien. Deux fois.
Ce dimanche matin, Mina, habillée en magicien d’opérette, se sentait vraiment à l’étroit dans son rôle de chef de la révolution mondiale.
Un rayon de soleil en terrasse, un thé à la menthe, un vétérinaire amical, un Kobo récitant Hyperion, que demander de plus ? (toi !)
Poupée Pat ou K-Priss, mon cœur balance.
Mina, Igor, ne se lassaient pas de compromettre la sécurité du pays en promulguant lois et décrets stupides. t.co/zFvOUVEN
Mina, Carver, Igor (et un autre type bizarrement constitué) sauvent le monde. Encore.
Le ciel comme un grand cirque avarié. On marche sur le feu. Cap au sud.
Sans pouces, c’est relou.
Oh mon dieu, le gamin avait raison, l’assassin est un pneu !
Je vais trouver. Le sommeil. Sans doute. La nuit. Badaboum.
Qui est là ?
Et nos frissons partagés. Igor, sous la pluie, ouvre ses cadeaux. Mina, au soleil, manœuvre le lourd dirigeable. Nue. t.co/0Zgom1FU
« Il suffit d’une femme de sens pour que la folie du monde sur elle se casse les dents ! »
Et la neige. Et la nuit.
Fête païenne.
Et on danse, et c’est la Nuit. Encore.
La grande Mina à Igor, impavide : « Monte avec moi dans le ferry boat et regarde devant c’est la côte Anglaise. »
Le saucisson de poney ça n’a pas du tout le goût de magret d’âne. t.co/L5DGeX3u
Carver termine son discours. Le bombardement commence. On rase gratis.
Les araignées martiennes fouillent les meubles de la salle de bain des invités. Je propose à tout le monde vins fins, cornichons, et romans.
Mina, Igor, Carver, l’homme à la tête de chat, sur un forum d’études bogomiles, se rencontrent, enfin. La vie réelle, bien plus tard, Paris.
Mina est la reine du bal. Dum-dum au nickel strié. Igor au bord du canal. Pluie. Carver, humide, ne veut plus sortir. t.co/VcZUauGP
Mina passe les nuits avec sa tendre amie, skateuse, insulaire. Elles causent philosophie, féminisme, révolution et post colonialisme. Nues.
Rien n’a changé. Non non.
Et Igor, sur ce rocher humide lancé à 30000 km/s dans l’espace, rentre chez lui. En bus.
Doctor. t.co/Uet0nwtp
Tu m’entends ?
Chère maman, ici tout se passe bien. Les chats sont plutôt fiers de leurs nouvelles amitiés. T’embrasse. t.co/CvFaPK3c
Igor, Mina, les autres, fêtent son anniversaire, un peu en retard, en posant une bombe dans le coffre d’une banque. t.co/sb2MIcvA
Et Igor, tellement peu loquace, béatitude des guérillas réussies. Se blottir, sous les bombes, se sourire. t.co/BYZBhycW
Et Igor, tellement tête au carré, expire une pensée émue pour le créateur du générique d’Albator 78, le gars Charden. R.I.P.
Ce soir, Igor carbure à la garbure.
Un feufeu pour ceux qui ont froifroid.
Ok, on danse. Dubstep.
Jens !
Igor’s blowin’ in the wind.
Et dans le sac on trouve…
Mais triste pour les biches.
Pluie acide sur le nord du 19ème arrondissement de Paris, France, Europe, Monde, Terre, Système Solaire, Voie Lactée, Univers, Litière.
Ouais. Miel. Aussi. Et nus.
J’ai si faim 2.0. t.co/YJ1Z1q8q
Le chat a mangé les clefs du garage à bateaux. La fin des temps. Apocalypse.
Et tu viens avec moi, faire l’avion. t.co/m0vq87wz
In De kantwerkster is de persoonlijkheid en het gelaat van het model ondergeschikt aan het afbeelden van het kantklossen als activiteit.
Mallony Guerrila et Eléonore Mc Muffin contre tout chacal !
Tout le monde rentre au bercail en octobre.
Comme d’habitude. t.co/u5Np88BG