AUTOEXEC.BAT
Et Igor, tellement peu loquace, béatitude des guérillas réussies. Se blottir, sous les bombes, se sourire. t.co/BYZBhycW
Igor à Mina : « This is really bad. » t.co/d6glD6a2 #ledebat
Un bon site web ça ne remplace pas la bonne vieille campagne de pub à base de néons géants sur un terrible dirigeable atomique supersonique.
Mina, Igor, Carver, l’homme à la tête de chat, sur un forum d’études bogomiles, se rencontrent, enfin. La vie réelle, bien plus tard, Paris.
50% nuit et 50% nos doigts se touchent. Tu souris.
South Beach, Igor, la tête dans le sable. Carver, Mina en tirent les leçons. Bottines en peau de serpent pour tous. t.co/wok64aFx
Igor est animiste. Mina athée. Carver, mixte, forcément. L’homme à la tête de chat loue la Grande Arrête de Poisson Sacrée Invisible Rose.
Poser des bombes.
Le chef des araignées martiennes se nomme Justin. Bizarrement, personne n’est étonné. Ses lunettes sont, particulières, et ses cheveux, hum.
Et cette nuit tellement longue, et savoir que je vais te retrouver, à l’aube. Insomnie. Forcément.
Ce truc avec le lièvre supérieur m’aime.
Dans la petite sacoche grise, Igor transportait une petite dose d’entropie. Et une mini chaussure. Bleue. t.co/FLJCMxo2
Bonbons à la peau d’orange pourrie. Mina aime les délices japonais.
Mina passe les nuits avec sa tendre amie, skateuse, insulaire. Elles causent philosophie, féminisme, révolution et post colonialisme. Nues.
Igor demande à Mina une nouvelle ceinture de munitions. Être l’homme de paille de Carver, c’est plutôt épique. Ne pas flancher. Non.
Et soudain (encore), la nuit.
Et le arroser la terrasse au lance-flamme, sourire à la vie, le cœur explosant. Sens propre. Je ne manque de rien. Ah si, de roquettes.
C’est bon sa mère. #canard #saucisson
Igor, la tête dans la gueule, du lion.
Et on danse, et c’est la Nuit. Encore.
Tadaaa !
Mina ne pouvait se passer de ses publications humoristiques décalées et ironiques. Pourtant. t.co/USQy4WWR
Kaboul disco.
Mina et le dauphin discutaient âprement de la suite des opérations. Igor faisait mine de s’intéresser. En vain. On dort, donc.
Si notre danse est satisfaisante. Si et seulement si.
Et pour mes noces, du fromage de lait de chat et un manteau en poil de souris.
Enfin tu vois. quoi. La nuit. Nos sourires, nos tactiles échanges. Et la danse.
Et les milices turquo-chinoises apportaient aux réfugiés lyonnais, vivres, médicaments, passeports. Dirigeable en flamme. Radium sec. #dpda
Du coup je.
Enfin, tu vois, quoi.
Igor est l’ami des animaux et du saucisson. Sec. Mina est organique, voire bio. Carver la traite de hippie consensuelle. Elle tire. Bien.
Bang bang.
Les araignées martiennes fouillent les meubles de la salle de bain des invités. Je propose à tout le monde vins fins, cornichons, et romans.
Mina, en larmes, sur la jetée.
Mina proclame son indépendance. Carver tourne de l’oeil. Igor, dans sa cellule, fait du vélo. Sur les murs : un œil, une date, c’est tout.
Clap !
Pluie acide sur le nord du 19ème arrondissement de Paris, France, Europe, Monde, Terre, Système Solaire, Voie Lactée, Univers, Litière.
« Un lac dans la salle de bain, huit serviettes à la nage, et des raclures de rasoir dans la cuvette. »
La pythie vient en mangeant. t.co/zcYQihrP
Et Igor, sur ce rocher humide lancé à 30000 km/s dans l’espace, rentre chez lui. En bus.
Vous vous réveillerez frais et dispos, prêt à affronter tous vos problèmes. Ne pas dépasser la dose prescrite.
Les yeux dans les paumes. N’y voir goutte. Je ne reste pas. Bonsoir.
Et nos amis. t.co/0FtQwZ4T
Il neige à Kaboul.
Et un double saut carpé.
Je cherche cette amie du regard. Les passants sont trop rapides. Je les distingue à peine en contrebas. Cette amie. t.co/0klN8dIq
Igor, lucide, à Mina, morte, mais souriante : « je pense que les choses ne peuvent que s’arranger ». t.co/ldTMCUlw
Et soudain un terrible spam, mes excuses à tous, je ne le… Argh.
Je sais à présent que je suis prisonnier.
Tiens pour toi mon frère, le vieux boucau, un ermite que très peu de gens ont exploité.
Le premier amant de la lune, sélénite amateur en mode manuel, casse sa pipe. Igor, Mina et Carver de trinquer à sa santé.
On me signale « Dalatrace » et pas « Galatrace ». Ça m’étonne moins qu’elle s’énerve quand j’écorche son titre. Donc.
Et je pose ta tête sur la table du salon. Tout est bien. Mina sort en hurlant. Carver roupille, encore, à l’étage. Au nord, les bombes A.
Et en route pour la joie.
Un pas de côté.
Flickr est dans les choux. Nous corrigeons ce problème immédiatement.
Et Igor, Mina, de danser.
#hop
Mina n’aimait pas, mais pas du tout, les animaux qui parlent. Et les ongles, et les souris.
Et une petite danse (de plus).
Mina, lisant, s’éclate.
Et vous la voulez comment la pastèque ? Tartare ? t.co/sRVRAjjz
Mina : « et tu mérites la mort, la mort par la Tounga ».
La fille, avec les fleurs.
Et les yeux si ouverts. La nuit si lumineuse.
Mi fille ni raisin ?
Tout le monde rentre au bercail en octobre.
Le chat a mangé les clefs du garage à bateaux. La fin des temps. Apocalypse.
Je croque la tête du pigeon. C’est dégueu et chaud. Je crache les plumes et les petits os. Protéine quand tu nous tiens.
La nuit. Carver hurle à la lune. Les grenouilles.
Igor, indisposé, à Mina, integratrice web : « les onglets ont débarqué. »
Carver, lessivé, n’ignore rien des techniques de camouflage belges. Ses petites cellules grises, itou. Pinkie pou ! t.co/At4i4CYp
Jens !
Je me sens légèrement zoomé et panoramique ce matin.
Et si ?
On a construit une piscine à bulles sur le toit de l’hôtel. En déplaçant le cimetière. Mauvais karma à la baignade, mais belle vue sur Rome.
Oh mon dieu, le gamin avait raison, l’assassin est un pneu !
Brochette d’œil de renard.
Oh Don Piano.
Et ici, les bombardiers, les sirènes. Tu vois, les filles à queues de poisson. On rase les murs, gratis.
Et la basse. Et nos yeux empathiques. Entropie et tango.
Et Mina, de mimer l’ecclésiastique gaulois. Nos troupes roupées, en déroute, rigolarde. t.co/nh2AUxAt
Par la fenêtre, une dystopie, uchronique, cyclopéenne, de toute beauté. Dirigeables, Grand Amour désespéré, guérilla urbaine pour nos héros.
Poison.
Carver, en homme, aimait la pêche à la ligne. En femme, le dessin. À présent, la danse, le vélo et ses nouveaux seins. t.co/fARMrFkZ
Mina, au cœur de l’assaut, tourne sept fois sa langue sa bouche avant de parler, et ne dit rien. La mitraille, comme un rideau de douche nu.
Égarement. t.co/LqeYd2r9
On prépare le petit soir, doucement, masqués, modestes. Nos émissaires sont tels les carpes. t.co/BfRM1NUm
Grise.
« Il suffit d’une femme de sens pour que la folie du monde sur elle se casse les dents ! »
Kaboul de pétanque ?
Ce sont des gens qui s’aiment.
Je dors mal à cause de ma gangrène qui me bouffe le pied.
Igor, seul, fouille les cadavres, trouver une solution à la faim, la soif. Du whisky et de la semelle taille 43. Ça suffira pour ce soir.
Je vais trouver. Le sommeil. Sans doute. La nuit. Badaboum.
Nicolaï, Líder Máximo de la banlieue nord de Niort, se portait garant d’Igor, son « bro ». t.co/DDOMiDau
Le train, noir, des anarchistes traverse la Sibérie emportant les utopistes, debout.
Il pleut sur Barcelone. Nos amis nous déposent en banlieue. On mange de vieux tapas. Les bombardiers nous harcèlent. On danse, pourtant.
Dans le sous-bois, ce matin, j’ai découvert un vestige préhistorique. Une calandre de Cadillac en crystal. Le chien était tout fou. Et mort.