Je t!45((€.
Disque. t.co/7Quule5R
Tout le monde rentre au bercail en octobre.
Hum.
Marchons.
Si notre danse est satisfaisante. Si et seulement si.
Igor et Carver décident ensemble. Ils vont en Italie. Médicalement parlant, c’est jouable. Les routes sont infestées de loyalistes furieux.
Le saucisson de poney ça n’a pas du tout le goût de magret d’âne. t.co/L5DGeX3u
Sept d’un coup !? Gravide un jour, gravide un moment.
#hop
Le cœur sur la main. t.co/OTP5XoXx
Carver va à la salle de sport au petit matin. Il fait froid. Ses seins sont bandés. Les gars sont, particuliers. t.co/iLZcUQJA
Il pleut sur Barcelone. Nos amis nous déposent en banlieue. On mange de vieux tapas. Les bombardiers nous harcèlent. On danse, pourtant.
Sept d’un coup !
Et les yeux si ouverts. La nuit si lumineuse.
Mina : « n’importe quoi… »
Et Mina, triomphante, petit déjeune sur les ruines. Avec l’Antéchrist, avec une tête de chat. On rase gratis à la fin du monde. Vrai.
Clap !
Ploutocratie : forme de gouvernement dans lequel le pouvoir est entre les mains des plus riches.
Mina, Carver et moi aimions particulièrement les après midi « Biches Volées » au Club des Aventuriers Dénudés du Capitaine Cisco Bayashi Maru.
Et le arroser la terrasse au lance-flamme, sourire à la vie, le cœur explosant. Sens propre. Je ne manque de rien. Ah si, de roquettes.
Trampoline.
Une pensée pour Jo Chattemite, rebelle, vivant, et debout. Et pour sa mère.
Et je te coupe l’index gauche. Court.
Danser dans la forêt, pieds nus couverts de boue glissante, sourires qui se répondent, yeux émerveillés ne clignant pas. Hiver nucléaire.
Ouais. Miel. Aussi. Et nus.
C’est pas ma faute à moi !
Igor et Mina voyagent dans le temps. t.co/114uPkhK
Mina et le dauphin discutaient âprement de la suite des opérations. Igor faisait mine de s’intéresser. En vain. On dort, donc.
Igor, nappe de vomi potentiel couvert de paillettes.
Et en route pour la joie.
Et vous la voulez comment la pastèque ? Tartare ? t.co/sRVRAjjz
Et cette nuit tellement longue, et savoir que je vais te retrouver, à l’aube. Insomnie. Forcément.
Et la lumière.
Les bombardements, la sirène, une fois de plus. Tous aux abris. Blitz. t.co/UtHua1yt
Et Mina, c’est une rouquine, évidemment. Une sorcière, pilote de dirigeables, et bien plus encore. Et nos espoirs, dansants, vacillants.
Kaboul de pétanque ?
Rien n’est de la salade.
Et Igor, tellement tête au carré, expire une pensée émue pour le créateur du générique d’Albator 78, le gars Charden. R.I.P.
Hodor !
Et on danse, et c’est la Nuit. Encore.
Le premier amant de la lune, sélénite amateur en mode manuel, casse sa pipe. Igor, Mina et Carver de trinquer à sa santé.
Je vois cette relation d’un très mauvais œil. La nuit.
Un type de plus de deux mètres. Un soldat borgne. Il installe un néon au plafond. Il a posé son arme dans le cendrier en inox.
Mina, et Igor, fatigué. t.co/HGSaZjOq
Mina, lisant, s’éclate.
Et soudain un terrible spam, mes excuses à tous, je ne le… Argh.
Et tu viens avec moi, faire l’avion. t.co/m0vq87wz
Cet instant là, de bonheur, la nuit, Mina endormie, juste là, à mes côtés. Dans le placard, de petits bruits, bleus et discrets. Un animal.
Et Mina de déclarer : « c’est un meurtre, un coup d’estoc à l’abdomen de bas en haut, perforant la vessie et le foie. Un coup de maître ».
Déjà quatre hivers à ne savoir que faire.
Et les milices turquo-chinoises apportaient aux réfugiés lyonnais, vivres, médicaments, passeports. Dirigeable en flamme. Radium sec. #dpda
Et pendant ce temps là, dans l’espace. t.co/PyBquYhF
Poser quelques mines anti dauphins et licornes autour du lit. Et reposer, enfin. Dehors, les choses se passent, mal. La Nuit.
Les milices bengali me paient des frites et du pastis. t.co/HfXI0lLh
Une sorcière étant plus légère que l’eau, si elle flotte, elle est repêchée et brûlée vive. Si elle se noie, elle est innocente. Ouf.
Nous nous trouvions dans une situation difficile. Pas de fumée sans feu. t.co/6RBvjcdR
Ce truc avec le lièvre supérieur m’aime.
Mina est la reine du bal. Dum-dum au nickel strié. Igor au bord du canal. Pluie. Carver, humide, ne veut plus sortir. t.co/VcZUauGP
Si Jessica Fletcher dit qu’il y avait un cadavre, alors il y’en avait un.
Les araignées martiennes fouillent les meubles de la salle de bain des invités. Je propose à tout le monde vins fins, cornichons, et romans.
Je t’€{45* !
Carver s’occupait de l’intendance, de la gestion des petits objets explosifs, des débardeurs blancs de la bande, des repas. Des chats aussi.
Et Ganesh.
Et Igor de décider de mettre l’accent sur ces moments forts, ratés. Genre Woodstock, j’y étais pas. La naissance de ma mère, non plus. Etc.
Vibre au dessus de ses moyens. Écheveau et curry pour tous. Mina, Igor se cultivent, préparent d’importantes expériences polysexuelles. Nus.
Grise.
Bien rentrée ? Juste un petit mail pour te sourire, te tenir la main, effleurer tes pieds avec les miens.
Mina, Carver, Igor (et un autre type bizarrement constitué) sauvent le monde. Encore.
Dehors. Tous. Dehors.
Carver, et le marché noir. Igor, ses béquilles. Mina, sa gatling. L’homme à la tête de chat, son scooter. Impavides. t.co/ijakTK8L
Une fête réussie, ce sont des trucs qui explosent.
Bon anniversaire @damepipi !
Franprix. Bad romance.
Retire ton pantalon, raclure !
Chère maman, ici tout se passe bien. Les chats sont plutôt fiers de leurs nouvelles amitiés. T’embrasse. t.co/CvFaPK3c
Un pas de côté.
Verdi le grand incendie de Chicago les Klaxons les Breeders Cannonball les pains au chocolat Harrison Ford.
À compter les vagues de la mer.
Igor est animiste. Mina athée. Carver, mixte, forcément. L’homme à la tête de chat loue la Grande Arrête de Poisson Sacrée Invisible Rose.
Mes doigts dans l’acide. J’ai comme une sensation de grande douleur. Je vais acheter un poney pour Mina. Ou un dragon. Fondus les doigts.
Eliot ne cherche ni ne trouve.
Et si ?
Et je me penche au balcon pour regarder les lueurs. La comète illumine la baie. Dans le ciel, les parachutistes tournoient, décimés, nus.
L’homme-félin s’est donné la mort à 54 ans t.co/PkbuuImd
Je laisse les ados se droguer sous le canapé du salon et je retourne dormir un moment. Ils sont souriants et silencieux. Optimistes. Aussi.
Après la croisière, on se calme et on boit frais à Zagreb. Mina sanglote sur l’épaule de Carver. Igor n’est plus là. Vélo d’appartement.
Et Mina de s’éveiller tardivement. t.co/tiBZTvOn
Et ici, les bombardiers, les sirènes. Tu vois, les filles à queues de poisson. On rase les murs, gratis.
Les forces anarcho-siciliennes pilonnent la capitale occitane depuis quatre jours. Mina, Igor savourent leur hibiscus bien frais. Surprise !
Égarement. t.co/LqeYd2r9
Igor, esseulé, décide de prendre un chat, noir et blanc, chapeauté, nihiliste. t.co/itv86vQl
Les ambassadeurs se rencontrent régulièrement pour tenter de défricher la situation internationale confuse, ivres. t.co/9ThVSkxw
Nager seapunks avec les dos fins.
Quels beaux projets nocturnes. t.co/5TTHNaZr
Et un sinistre sir. Et une cérémonie d’apocalypse. Et nous au milieu des bombes enlacés. En flammes. t.co/BBhcmwrH
Carver, lessivé, n’ignore rien des techniques de camouflage belges. Ses petites cellules grises, itou. Pinkie pou ! t.co/At4i4CYp
Et Carver, se soustraire à la foule. Soudain.
La nuit, se frôler, dans le ciel, les dirigeables. Dans la rue, les miliciens malais. On rase gratis.
Igor est à Mina ce que la momie est au pharaon.