Hodor !
20: bd51: cellar elvenkings : ‘ the cellar where the king keeps his barrels of wine.’
Tiens pour toi mon frère, le vieux boucau, un ermite que très peu de gens ont exploité.
Et Igor de se déguiser souvent en homme à la tête de chat. Sans succès.
Igor, nappe de vomi potentiel couvert de paillettes.
Eliot ne cherche ni ne trouve.
« Il suffit d’une femme de sens pour que la folie du monde sur elle se casse les dents ! »
Franprix. Bad romance.
Hipsters everywhere.
Un feufeu pour ceux qui ont froifroid.
We lied. We are not at war. There is no enemy. This is a rescue operation.
Comme d’habitude. t.co/u5Np88BG
Et soudain, le train.
Vous vous réveillerez frais et dispos, prêt à affronter tous vos problèmes. Ne pas dépasser la dose prescrite.
Ce sont des gens qui s’aiment.
Grise.
Du bouledogue au sanglier : vous recevrez encore des amis ce soir. Le vent souffle les flambeaux.
Les milices bengali me paient des frites et du pastis. t.co/HfXI0lLh
Bon sang !!
Et les yeux si ouverts. La nuit si lumineuse.
Les gamins, au narrateur, forcément, omniscient : « mais alors il est mort Igor ? ». Silence de.
Etc…
Le saucisson de poney ça n’a pas du tout le goût de magret d’âne. t.co/L5DGeX3u
Il neige à Kaboul.
Je vois cette relation d’un très mauvais œil. La nuit.
La sérendipité est le fait de réaliser une découverte inattendue grâce au hasard et à l’intelligence, au …
Mina, et Igor, fatigué. t.co/HGSaZjOq
Et Igor, Mina, de danser.
Je me sens légèrement zoomé et panoramique ce matin.
Enfin tu vois, quoi.
Je dors mal à cause de ma gangrène qui me bouffe le pied.
Message très important pour Samuel : L’octogénaire ne se déride pas. Attendez deux voitures et des amis sur le bonbon.
Et Mina, triomphante, petit déjeune sur les ruines. Avec l’Antéchrist, avec une tête de chat. On rase gratis à la fin du monde. Vrai.
Oh Don Piano.
Et on danse. Nostalgie.
Ce dimanche matin, Mina, habillée en magicien d’opérette, se sentait vraiment à l’étroit dans son rôle de chef de la révolution mondiale.
Igor à Mina : « je vais t’embrasser, ne me frappe pas. » – t.co/XwA4qUgV
Mina, au cœur de l’assaut, tourne sept fois sa langue sa bouche avant de parler, et ne dit rien. La mitraille, comme un rideau de douche nu.
Six belettes et du pain d’épice.
Les forces anarcho-siciliennes pilonnent la capitale occitane depuis quatre jours. Mina, Igor savourent leur hibiscus bien frais. Surprise !
Igor, la tête dans la gueule, du lion.
Quand c’est l’amour faut pas trainer les pieds.
Je projette ton visage, immense, sur le mur de la chambre. Merveille de la nostalgie, de la technologie moderne, de la miniaturisation. Paf.
Et Carver, se soustraire à la foule. Soudain.
Verdi le grand incendie de Chicago les Klaxons les Breeders Cannonball les pains au chocolat Harrison Ford.
De l’eau de l’eau.
Je croque la tête du pigeon. C’est dégueu et chaud. Je crache les plumes et les petits os. Protéine quand tu nous tiens.
Si Jessica Fletcher dit qu’il y avait un cadavre, alors il y’en avait un.
Traboule moi toute.
Je laisse les ados se droguer sous le canapé du salon et je retourne dormir un moment. Ils sont souriants et silencieux. Optimistes. Aussi.
Carver vient de mourir, en Suède.
Je sais à présent que je suis prisonnier.
L’homme à la tête de chat récupère l’urne. Les cendres sont parfaites. Litière.
Je vais trouver. Le sommeil. Sans doute. La nuit. Badaboum.
Prendre des ptits bouts de trucs et puis les associer ensemble.
Et vous la voulez comment la pastèque ? Tartare ? t.co/sRVRAjjz
Suis vivant, dans une ferme près de la centrale électrique, avec winchester, pistolet, hachette, carte, montre, munitions et de la bouffe.
Et dans le sac on trouve…
Sérieusement, cette soirée estivale a un sérieux parfum d’apocalypse. On rase gratis, pour fêter ça.
Non, tu n’as pas besoin de courir le monde après ton destin comme un cheval sauvage !
Et on danse.
Le cœur sur la main. t.co/OTP5XoXx
Et la nuit de nous engloutir.
Poser quelques mines anti dauphins et licornes autour du lit. Et reposer, enfin. Dehors, les choses se passent, mal. La Nuit.
Et les Moissonneurs de pulvériser Paris. Igor s’en lave les mains avec ses potes krogans. Tali et Mina sont trop potes. Enfin tu comprends.
Igor, esseulé, décide de prendre un chat, noir et blanc, chapeauté, nihiliste. t.co/itv86vQl
Cheval.
Igor demande à Mina une nouvelle ceinture de munitions. Être l’homme de paille de Carver, c’est plutôt épique. Ne pas flancher. Non.
J’ai froid.
Saisir le code invisible, algorithmique de la réalité.
Et soudain (encore), la nuit.
Mes doigts dans l’acide. J’ai comme une sensation de grande douleur. Je vais acheter un poney pour Mina. Ou un dragon. Fondus les doigts.
Igor est l’ami des animaux et du saucisson. Sec. Mina est organique, voire bio. Carver la traite de hippie consensuelle. Elle tire. Bien.
Puis, la crémation.
Étranges pérégrinations humides.
Igor, Mina, les autres, fêtent son anniversaire, un peu en retard, en posant une bombe dans le coffre d’une banque. t.co/sb2MIcvA
Hey Jim ! Ici c’est très bon ce soir.
Aussi belle qu’une balle.
Et Mina, d’aimer toujours Nicola et son pigeon aux yeux laser. t.co/qFdGEdzk
Danser dans la forêt, pieds nus couverts de boue glissante, sourires qui se répondent, yeux émerveillés ne clignant pas. Hiver nucléaire.
Mina passe les nuits avec sa tendre amie, skateuse, insulaire. Elles causent philosophie, féminisme, révolution et post colonialisme. Nues.
Hum.
Dehors. Tous. Dehors.
Les réseaux sociaux sont la télé-réalité de l’Internet.
Raclure : Petite parcelle que l’on enlève d’un corps en le raclant. Fig : déchet.
Mina, Igor, Carver, se laissent séduire par les paradis artificiels. On imagine sans peine que cela va ralentir l’avance des troupes alliés.
Nous nous trouvions dans une situation difficile. Pas de fumée sans feu. t.co/6RBvjcdR
Mina a un message. t.co/0HKNJHUi
Mina, Carver et l’homme à la tête de chat célèbrent, sobrement, l’anniversaire du renégat, Igor. Le jeune funèbre sera rompu à l’aube.
Ce soir, Igor carbure à la garbure.
Jens !
Et dans les décombres. Nos restes. Épars, nus. t.co/JhIrnG39
Tes amis sont réels.
La nuit. Carver hurle à la lune. Les grenouilles.
Cut the cake.
Couverts de peinture blanche, épuisés, aimants. La pièce à vivre retrouve sa jeunesse. Pas de magot mais de l’eau fraîche. Et le reste, si ?
À compter les vagues de la mer.
Et on raconte que dans Ulthar, de l’autre côté de la rivière Skaï, aucun homme n’a le droit de tuer un chat.
Marchons.
Et la nuit de fondre sur nous, affamée.