Carver, Mina, à la pêche au bébé dauphin, depuis la passerelle du dirigeable surarmé, discutent philosophie alien.
Et le lapin, de planquer ses œufs, et Mina d’y relier ses détonateurs, et les enfants d’accourir, riants. Explosions. t.co/xVqRayoLtk
Un moyen incroyable !
Et dans le ciel, les dirigeables noirs, la neige.
Avec Carver c’est souvent : des gars, des os.
Carver utilisait les phéromones marqueurs d’attaque de petits insectes tueurs pour se débarrasser des miliciens trop curieux. Affolement.
Et jaillir à la lumière, vivants, pupilles dilatées, prêts à affronter les démons du midi. Main dans la main.
Carver, Igor récupèrent les idéaux, les utopies abandonnés sous les bancs de la grande salle. Recycler, c’est capital.
Mina, Igor et Carver, en traître, décident de s’embarquer pour la Sicile. On y signale une invasion. Des ours. Fariboles.
Mobilis in mobile.
Dans les prisons de Nantes (air connu).
Sur le kiki.
Igor yeux soucoupes absinthe à la rescousse de tracer cercle protecteur shaman psalmodier hermétique spasmodique épilepsie tralala.
Et Mina de briser le miroir.
Padam padam padam.
Devant les miliciens épuisés, Mina contrebande de son mieux, mais le coeur n’y est pas. Plus de dirigeables en hiver.
Radio Gaga.
Ses seins de Bakélite. Tu délires. C’est du quartz.
Karl Glogauer, Igor Tourgueniev se retrouvent pour petit déjeuner. Le lieu, les ruines d’Angkor. Dans le ciel, les longs dirigeables noirs, cigares menaçants, yeux dystopiques.
Explosions variées. Nocturnes.
Carver, il y a quelque chose dans votre dos. A Pompéi, tournez à gauche.
Et nus, bien sûr, la nuit, forcément. Et la transe, côtoyer les petits dieux, ceux planqués, souriants, derrière les brumes. Et bredouiller.
Et Mina, de mettre le feu aux poudres. Igor ramasse le penny, en retard. Jetlag.
Et le matin.
Alors je porte Deux masques. Zéro ambition. Une amie et Trois comparses. Et la nuit du passage. t.co/HoC02C1t
Mina à Igor : « FAMILIER –Qui est belle, en parlant d’une femme.
FAMILIER –Qui a des rondeurs. »
Et, en pleine Exposition Universelle londonienne, le gang tourgueniste arrose son fish & chips à la meth, pas fier. On ne dort pas beaucoup.
Et derrière la porte, un mur.
5 à 10g pour un voyage de débutant.
Non encore exempt, même régnant sur eux comme sur des esclaves, du hasard, de la mort et de la mutabilité.
We are the champ…
En arrière plan, le coucher de soleil est magnifique. Au premier plan, la mort est proche. Tirer la langue. Nus.
Allons au bois Dame Lombarde, allons au bois, nous trouverons le serpent vert, nous le tuerons.
Carver et l’homme à la tête de chat se retrouvent, en situation inconfortable. Plus de vodka dans le mini bar. Ni de croquettes. Aïe.
Igor, au volant de sa Dodge Veg-O-Matic neuve, ne se souciait vraiment pas du code de la route. A l’arrière, Poison, Cordelette, ivres, nus.
Mina, les deux zozos, établissent les modifications géographiques nécessaires. t.co/iJKXNBUDyB
Après la première offensive, la Corée, Igor rencontre un vieux type bizarre qui lui raconte qu’il ne mourra jamais. Vieux comme la colline.
Et Igor de s’interroger. t.co/jdel5DAAsA
Et les roulés coppa-fromage n’ont plus le même gout, quand tu n’es pas là.
Taxi. Paris. La nuit. Les bombardements. Les dirigeables noirs dans le ciel. Avec Mina on refait le monde. Nus. Carver décide de ne pas. Nu.
Et Mina de tendre à Igor le miroir. Et Igor d’y apercevoir l’homme à la tête de chat, dans un coin, à l’ombre d’un dirigeable en flamme. Nu.
Oh. Une murène.
Ce soir les indiens gagnent.
Mina, Igor et Carver se livrent à l’ennemi. Une énigme pour tous.
Et cette nuit, le cheval pâle.
Pendant tout le début du conflit, les enfants sont restés dans les ruines de l’hôtel. Le plus souvent dans la piscine. À jouer aux cadavres. Nus.
Causer des animaux qui te regardent dormir. Lui : « Ne t’inquiète pas, ça ne fait que commencer. » Elle : « Weirdo, va me chercher une glace. »
Mina, Igor et Carver limitent la casse.
Difficile début. Fracassé par l’épilepsie. Acheter les médicaments en catastrophe. Attendre que ça fasse effet le cerveau en marmelade.
Mina, Igor, sur les hauteurs, contemplent la ville, les flammes colorées. L’émotion est palpable. Leurs mains, serrées. Au Nord, ça explose.
Oran, filles et garçonnes, locales, mènent la danse. Marché noir, poésie numérique, tendresse, musique et hospitalité sont au programme.
Explosions variées. C’est l’emballement. Igor numérote ses abattis. Mina pousse ses forces à la limite. Carver bouquine, à poil. Affections.
La nuit. Hum.
Mina, Igor arrivaient en gare de Charlottesville. Max, aux haut-parleurs : « Le voyageur tomba mort, frappé par le pittoresque. »
Messagerie « 666 » Free: le 17/02 à 18:06, ce correspondant a appelé 1 fois sur votre mobile sans laisser de message
Jamais de flageolets en avril. Carver possédait plusieurs dictons utiles en cas de conflits armés. Sagesse des ancêtres. En Corée on rigole.
Oracle, pourquoi as-tu écrit « Le Poids de la sauterelle » ? Que sommes-nous censés apprendre ?
Et les substances de ronger mes sens.
Et Igor de demander l’asile politique à l’homme à la tête de chat. Mina, malade, dessoude du milicien savoyard. Ce soir on rase gratis. Si.
Stig à Igor : « Ni le saut du cabri ni le lever du soleil ne sont des performances. »
Au milieu des débris du cockpit, une unique pépite. Ses bras crochetés autour de la jeune galaxie encore inerte. Mina dort encore.
Mina, notre relation, sa passion pour les armes, les explosions, les dirigeables, les lémuriens.
Mina à Igor : « ça commence. »
Carver, en pleine phase j’aime la nature, je dors avec mon totem, etc, se demandait bien pourquoi il devrait faire bénir son vélo avant noël. Simple bon sens.
Mina, Carver, Igor et l’homme à la tête de chat, classiques nomades temporels, avaient un sens aigu de l’étiquette. Même nus.
Cythère, à Mina, un peu tristement : « Papa est sur une île en forme de lettre, dans l’océan Atlantique ».
Pluie acide et radioactive sur Paris. Parapluie en plomb conseillé. Mina, Igor, observent la Seine, luminescente, déborder, noyer les rues.
Et, pour un rien, les larmes aux yeux, souriant, pourtant.
Mina à Igor, ivre : « la situation internationale est trashic. »
Dimanche matin, les gardes républicain ont emmené les chefs de clan, nus, derrière les dortoirs. N’en restent que trois. Carver sanglote.
Et nos amis, ignorants, se perdent dans le marécage corrézien. On ne retrouvera personne. Un verre à leur santé. La nuit.
Au secours, au secours, voilà Monsieur le marquis de Carabas qui se noie !
Et une image après l’autre, Ray tire sa révérence.
Saudade.
Oh, Jack !
Et nous étions, dès le matin, sur le pied de guerre. Nos petites mains serrées sur les cerceaux, nos cheveux, rasés, et l’œil cruel et vif.
La terrasse de l’hôtel abandonné, surplombant la piscine vide, nos amis contemplent les champignons atomiques. Lointains.
Mina sursaute. Igor végète. Tout est bien. Les tambours.
50 minutes avant sa mort, on aperçut Igor en train de trafiquer les munitions du peloton d’exécution. Quelques années plus tard, la Sicile.
Pierrot Tactile ?
Et l’homme à la tête de chat de se remémorer sa jeunesse folle : « Bal trash-chic à Colombey… » Presque.
La Police de la Pensée, la Police Temporelle, logeaient sous la Piscine Rouvet. Mina envisage une action de sabotage, il y a trois semaines.
Mina, Igor, Carver à la recherche de la dinde sacrée. L’homme à la tête de chat prépare la farce.
Carver répondait toujours « autre ».
Mina, Igor et Carver ouvrent les hostilités. On rase gratis. L’homme à la tête de chat énerve les miliciens eunuques. Explosions variées.
Joyeux Norouz. Dixit Mina. Ivre.
Cheval.
Igor demande aux partisans du moindre effort l’autorisation de parler à la foule. Période de fêtes. On rase gratis. La foule démembre l’orateur empoté. Illico.
Attributs du 4e grade (Lion), foudre de Jupiter.
Et Heidegger, Chef de la sécurité de Shinra, sera finalement la prochaine cible de Mina, Igor, Carver. Émoi au Secteur 7, tendance taudis.
Michael : « j’aime bien l’idée que les drogues devraient être réservées aux gens de plus de quarante ans, ce serait plus simple. »
L’aporie nous guette ! L’aporie nous guette ! Ohé ohé ! L’aporie nous guette ! L’aporie nous guette ! Ohé ohé ! (air connu)
Il y a une velue araignée sur le mur du réfectoire. C’est la nuit.
Pluie de cendres. Bunker palace hôtel. Igor, souterrain, imagine le pire. Dimanche de fête sous la couette.
Igor, en larmes, à Mina : « je te jure, des putains d’araignées géantes, en oxyde de cuivre ou un truc comme ça, et mes mains comme de petits paquebots ».
Qu’on lui coupe la tête.
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Mina, Igor, Carver, foutent le feu. Cocktail Molotov sur les manifestants chanteurs. Les cantiques, ça brûle au poil. On rase gratis. Aussi.
Et dans la chambre, un squelette. t.co/uoT0lCX5k5
Année de l’ascèse.