Mina à Igor, ivre : « la situation internationale est trashic. »
C’est un jour, dissection de grenouilles. Et sous la pluie. Les sciences naturelles en folie. Plus ou moins.
Carver, l’été, préfère porter la jupe. Mina, affectionne les balles dum-dum. Et Igor, Mina.
Au milieu des débris du cockpit, une unique pépite. Ses bras crochetés autour de la jeune galaxie encore inerte. Mina dort encore.
Explosions variées. C’est l’emballement. Igor numérote ses abattis. Mina pousse ses forces à la limite. Carver bouquine, à poil. Affections.
Ses seins de Bakélite. Tu délires. C’est du quartz.
Et jaillir à la lumière, vivants, pupilles dilatées, prêts à affronter les démons du midi. Main dans la main.
Dans l’Ahunavaiti Gatha, Zarathoustra accuse en effet certains de ses coreligionnaires d’abuser de la vache. Le Dieu Ahura Mazda demande à Zarathoustra de protéger les bovins.
Je dors dans le jardin avec les chats. instagram.com/p/d10YadPhh0/
Carver découvre la vérité sur ses origines. On brûle un village breton pour protéger un élevage de galettes sauvages. Mina pleure.
Carver, il y a quelque chose dans votre dos. A Pompéi, tournez à gauche.
Année de l’ascèse.
Et dans le ciel, les dirigeables noirs, la neige.
Oh, Jack !
Padam padam padam.
Messagerie « 666 » Free: le 17/02 à 18:06, ce correspondant a appelé 1 fois sur votre mobile sans laisser de message
Slip. No. More.
Un moyen incroyable !
Mina, Igor observent depuis la Suisse les prémices de la Troisième Guerre Mondiale. Carver s’engage dans l’aéronavale. Pilote de dirigeable.
Cherche Midi Suédois.
Parfois on a besoin d’un peu d’aide. www.youtube.com/watch?v=YHGfSBr2FrY&list=SPaR-PbNOgKigIenqcjje31iHJudY3Thu_
Tranquillou le ronron !?
Alors je porte Deux masques. Zéro ambition. Une amie et Trois comparses. Et la nuit du passage. t.co/HoC02C1t
Igor, nu, s’allonge sur le sol. La terre, juste retournée, exhale une douce chaleur contre sa joue, son ventre. Il écoute le murmure, chthonien.
Pluie acide et radioactive sur Paris. Parapluie en plomb conseillé. Mina, Igor, observent la Seine, luminescente, déborder, noyer les rues.
Mina se fait tatouer un abraxas sur la clavicule de Salomon. Igor, le crash du Hindenburg sur la cuisse de Jupiter.
Carver et l’homme à la tête de chat se retrouvent, en situation inconfortable. Plus de vodka dans le mini bar. Ni de croquettes. Aïe.
Mina, notre relation, sa passion pour les armes, les explosions, les dirigeables, les lémuriens.
Et nous étions, dès le matin, sur le pied de guerre. Nos petites mains serrées sur les cerceaux, nos cheveux, rasés, et l’œil cruel et vif.
Renard ?
Les rites mystérieux que les enfants observent les nuits d’été me paraissent à présent d’une effarante simplicité.
Devant les miliciens épuisés, Mina contrebande de son mieux, mais le coeur n’y est pas. Plus de dirigeables en hiver.
Il t’en faut combien des mecs chelous dans ta vie ?
Dimanche matin, les gardes républicain ont emmené les chefs de clan, nus, derrière les dortoirs. N’en restent que trois. Carver sanglote.
Carver, Igor récupèrent les idéaux, les utopies abandonnés sous les bancs de la grande salle. Recycler, c’est capital.
Se réveiller avec une sensation de blessure par balle. À la joue. Une coulée, chaude, de sang. Épaisse et noire. Et la mort qui vient.
Cheval.
Carver, à bicyclette.
Mina, Igor arrivaient en gare de Charlottesville. Max, aux haut-parleurs : « Le voyageur tomba mort, frappé par le pittoresque. »
On fête quelque chose. Vous les entendez, les tambours ?
Autour de nous, les décombres de la cathédrale, les enfants aveugles de nos frères, les rats. Nulle trace de Dieu. S’embrasser, enfin.
Jamais de flageolets en avril. Carver possédait plusieurs dictons utiles en cas de conflits armés. Sagesse des ancêtres. En Corée on rigole.
La nuit. Hum.
Attributs du 4e grade (Lion), foudre de Jupiter.
Dans la cave, on trouve maquettes de dinosaures, modules lunaires et quatre vélos, rouges. Dehors, on brûle les sans-abris.
Stig à Igor : « Ni le saut du cabri ni le lever du soleil ne sont des performances. »
Igor demande aux partisans du moindre effort l’autorisation de parler à la foule. Période de fêtes. On rase gratis. La foule démembre l’orateur empoté. Illico.
Et l’homme à la tête de chat de se remémorer sa jeunesse folle : « Bal trash-chic à Colombey… » Presque.
La caisse des BMX, des centaines de grosses araignées, mortelles. Dans le ventre du voyageur, la peur, et un nid. Mina s’éclate.
Et Igor de s’interroger. t.co/jdel5DAAsA
Et nos amours, préraphaélites. t.co/HO0Mv6QldB
Et cette nuit, le cheval pâle.
Dans le train, jouer à « Léa, passion forêt domaniale ».
Igor, sous la pluie.
Igor, peintre compliqué. Période zoologique, 1977-78. N’a pas percé. instagram.com/p/ctzt7RPhgd/
Cythère, à Mina, un peu tristement : « Papa est sur une île en forme de lettre, dans l’océan Atlantique ».
Les champignons s’élèvent dans le ciel. Nos lunettes nous protègent efficacement des rayonnements aveuglants. Par contre on va vite bronzer. Cool.
Alors, danser.
Et, pour un rien, les larmes aux yeux, souriant, pourtant.
Mina, Igor et Carver surveillent l’horloge nucléaire coréenne. L’Homme à la Tête de Chat ouvre son abri plombé au public. Années 80.
… Comme de petits paquebots.
Oh. Une murène.
Mina (s’)emballe. Le chauve sourit. Carver passe des disques et, ivre, l’homme à la tête de chat ronronne sous les caresses.
Emmène moi danser ce soir. www.dailymotion.com/video/x190ywt_bourreia_music
Mina à Igor : « FAMILIER –Qui est belle, en parlant d’une femme.
FAMILIER –Qui a des rondeurs. »
Avec Carver c’est souvent : des gars, des os.
Dans les hauts-parleurs, le vol de nuit est annoncé.
Carver utilisait les phéromones marqueurs d’attaque de petits insectes tueurs pour se débarrasser des miliciens trop curieux. Affolement.
Dans les prisons de Nantes (air connu).
Je suis le roi du pétrole.
Mina : « Fermez bien les yeux, ça brûle. »
Oui, 50 minutes, avant. Et pourtant, son corps en morceaux. Et Mina, en larmes. Carver, hilare, creuse une fosse. Alors, qui, en Sicile, plus tard ?
Mobilis in mobile.
Et Mina et Igor de lancer du riz. Et Carver d’essayer de choper le bouquet. Félicitations.
Once again, a masked figure drops an iron token through your letterbox late at night.
Et l’homme à la tête de chat, coincé dans un arbre, attend les pompiers. Carver affute sa tronçonneuse. Mina bastonne Igor, nu et hilare.
Marie Paule Belle Mondo ?
Et les renards nazis.
Mina et Igor, victimes de la momie maudite, évitent de trop fréquenter les usines de peinture. Bon moral, pourtant. instagram.com/p/gWdgU_vhp3/
Oracle, pourquoi as-tu écrit « Le Poids de la sauterelle » ? Que sommes-nous censés apprendre ?
Et une image après l’autre, Ray tire sa révérence.
Au secours, au secours, voilà Monsieur le marquis de Carabas qui se noie !
Et dans la chambre, un squelette. t.co/uoT0lCX5k5
Igor : « … conclusions et affirma que les accusés avaient le plein contrôle de leurs facultés mentales… »
Et Mina de briser le miroir.
Et il aurait caressé son singe.
Il y a une velue araignée sur le mur du réfectoire. C’est la nuit.
Alors, allons-y pour le guignolet.
Mina, Carver, Igor et l’homme à la tête de chat, classiques nomades temporels, avaient un sens aigu de l’étiquette. Même nus.
Mina, Igor, sur les hauteurs, contemplent la ville, les flammes colorées. L’émotion est palpable. Leurs mains, serrées. Au Nord, ça explose.
Il y a 10 ans, déjà, la Maison. Réminiscences. tourgueniev.com/2003/08/03
Igor, ce lapin. t.co/2qel044O
Et Mina, de mettre le feu aux poudres. Igor ramasse le penny, en retard. Jetlag.
Difficile début. Fracassé par l’épilepsie. Acheter les médicaments en catastrophe. Attendre que ça fasse effet le cerveau en marmelade.
40 !
Et nus, bien sûr, la nuit, forcément. Et la transe, côtoyer les petits dieux, ceux planqués, souriants, derrière les brumes. Et bredouiller.
Non encore exempt, même régnant sur eux comme sur des esclaves, du hasard, de la mort et de la mutabilité.
Mina sursaute. Igor végète. Tout est bien. Les tambours.
Carver dit : « c’est une radio de quelqu’un qui a gobé une bute… » t.co/OATyMxX61g
Taxi. Paris. La nuit. Les bombardements. Les dirigeables noirs dans le ciel. Avec Mina on refait le monde. Nus. Carver décide de ne pas. Nu.