Taxi. Paris. La nuit. Les bombardements. Les dirigeables noirs dans le ciel. Avec Mina on refait le monde. Nus. Carver décide de ne pas. Nu.
Igor, en larmes, à Mina : « je te jure, des putains d’araignées géantes, en oxyde de cuivre ou un truc comme ça, et mes mains comme de petits paquebots ».
Et les substances de ronger mes sens.
Mina, les deux zozos, établissent les modifications géographiques nécessaires. t.co/iJKXNBUDyB
Et nos amours, préraphaélites. t.co/HO0Mv6QldB
Et, pour un rien, les larmes aux yeux, souriant, pourtant.
Mina, Igor et Carver, en traître, décident de s’embarquer pour la Sicile. On y signale une invasion. Des ours. Fariboles.
Et Igor de s’interroger. t.co/jdel5DAAsA
Avec Carver c’est souvent : des gars, des os.
Carver et l’homme à la tête de chat se retrouvent, en situation inconfortable. Plus de vodka dans le mini bar. Ni de croquettes. Aïe.
Dans le train, jouer à « Léa, passion forêt domaniale ».
Mina, Igor, Carver, un peu orphelins. t.co/0lIJ0sKq
Et, en pleine Exposition Universelle londonienne, le gang tourgueniste arrose son fish & chips à la meth, pas fier. On ne dort pas beaucoup.
La nuit. Hum.
Igor, Carver, en slips, trop petits, attendent la fin du monde. Dans l’ascenseur, Mina, de faction, commence ses mémoires. En chinois.
Mina à Igor : « FAMILIER –Qui est belle, en parlant d’une femme.
FAMILIER –Qui a des rondeurs. »
Et nos trois amis de souhaiter, en cœur, au Docteur, un bon anniversaire.
Mobilis in mobile.
5 à 10g pour un voyage de débutant.
Et Igor de demander l’asile politique à l’homme à la tête de chat. Mina, malade, dessoude du milicien savoyard. Ce soir on rase gratis. Si.
Oracle, pourquoi as-tu écrit « Le Poids de la sauterelle » ? Que sommes-nous censés apprendre ?
Igor : « … conclusions et affirma que les accusés avaient le plein contrôle de leurs facultés mentales… »
Ses seins de Bakélite. Tu délires. C’est du quartz.
Se réveiller avec une sensation de blessure par balle. À la joue. Une coulée, chaude, de sang. Épaisse et noire. Et la mort qui vient.
Et l’homme à la tête de chat de se remémorer sa jeunesse folle : « Bal trash-chic à Colombey… » Presque.
Carver, l’été, préfère porter la jupe. Mina, affectionne les balles dum-dum. Et Igor, Mina.
Pendant tout le début du conflit, les enfants sont restés dans les ruines de l’hôtel. Le plus souvent dans la piscine. À jouer aux cadavres. Nus.
Jamais de flageolets en avril. Carver possédait plusieurs dictons utiles en cas de conflits armés. Sagesse des ancêtres. En Corée on rigole.
Igor, peintre compliqué. Période zoologique, 1977-78. N’a pas percé. instagram.com/p/ctzt7RPhgd/
Et viennent les jours sombres.
Attributs du 4e grade (Lion), foudre de Jupiter.
Once again, a masked figure drops an iron token through your letterbox late at night.
Mina et Igor, victimes de la momie maudite, évitent de trop fréquenter les usines de peinture. Bon moral, pourtant. instagram.com/p/gWdgU_vhp3/
Carver découvre la vérité sur ses origines. On brûle un village breton pour protéger un élevage de galettes sauvages. Mina pleure.
Un moyen incroyable !
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Mina, fatiguée, reste au lit. instagram.com/p/elFkYuvhtt/
Oran, filles et garçonnes, locales, mènent la danse. Marché noir, poésie numérique, tendresse, musique et hospitalité sont au programme.
Karl Glogauer, Igor Tourgueniev se retrouvent pour petit déjeuner. Le lieu, les ruines d’Angkor. Dans le ciel, les longs dirigeables noirs, cigares menaçants, yeux dystopiques.
Carver, Igor, deux bons amis. Mina, l’arlequin. Danser, bondir et repenser à nos années passées, heureuses. Hum.
Tranquillou le ronron !?
Mina, Igor, Carver, foutent le feu. Cocktail Molotov sur les manifestants chanteurs. Les cantiques, ça brûle au poil. On rase gratis. Aussi.
Si c’est trop cher dis moi et je sors.
Igor, au volant de sa Dodge Veg-O-Matic neuve, ne se souciait vraiment pas du code de la route. A l’arrière, Poison, Cordelette, ivres, nus.
Au milieu des débris du cockpit, une unique pépite. Ses bras crochetés autour de la jeune galaxie encore inerte. Mina dort encore.
Et Mina de tendre à Igor le miroir. Et Igor d’y apercevoir l’homme à la tête de chat, dans un coin, à l’ombre d’un dirigeable en flamme. Nu.
Thomas éthylique.
Parfois on a besoin d’un peu d’aide. www.youtube.com/watch?v=YHGfSBr2FrY&list=SPaR-PbNOgKigIenqcjje31iHJudY3Thu_
La Police de la Pensée, la Police Temporelle, logeaient sous la Piscine Rouvet. Mina envisage une action de sabotage, il y a trois semaines.
Igor demande aux partisans du moindre effort l’autorisation de parler à la foule. Période de fêtes. On rase gratis. La foule démembre l’orateur empoté. Illico.
Et nos héros, fatigués, depuis le hall de l’hôtel, préparent leur prochaine sortie en ville. Accumuler les bouquins de philo et les magrets.
Carver, à bicyclette.
Mina, Igor et Carver limitent la casse.
« Middle night crisis » : l’homme à la tête de chat donne son avis, enfin. Igor, Mina, Carver, rechargent. On va manger froid.
Slip. No. More.
Je dors dans le jardin avec les chats. instagram.com/p/d10YadPhh0/
Petit déjeuner dans les ruines d’Angkor. Igor se délecte de céréales complètes. Mina respecte le bacon. Carver, grasse matinée.
Et aux pieds de Ganesha, Igor, Mina, de s’agenouiller. Pluie de cendres. C’est la nuit.
Et dans la chambre, un squelette. t.co/uoT0lCX5k5
Alors je porte Deux masques. Zéro ambition. Une amie et Trois comparses. Et la nuit du passage. t.co/HoC02C1t
On la surnomme la folle aux chats.
Long silence glacé.
Igor, sous la pluie.
Il y a une velue araignée sur le mur du réfectoire. C’est la nuit.
Oui, 50 minutes, avant. Et pourtant, son corps en morceaux. Et Mina, en larmes. Carver, hilare, creuse une fosse. Alors, qui, en Sicile, plus tard ?
Dimanche matin, les gardes républicain ont emmené les chefs de clan, nus, derrière les dortoirs. N’en restent que trois. Carver sanglote.
Carver, il y a quelque chose dans votre dos. A Pompéi, tournez à gauche.
Sanglante matinée à Vierzon. Le Gros Roger ne visitera plus ses amis en fin de semaine. Mina s’irrite.
Pluie acide et radioactive sur Paris. Parapluie en plomb conseillé. Mina, Igor, observent la Seine, luminescente, déborder, noyer les rues.
Et le matin.
Oh, Jack !
Renard ?
Igor, nu, s’allonge sur le sol. La terre, juste retournée, exhale une douce chaleur contre sa joue, son ventre. Il écoute le murmure, chthonien.
Et derrière la porte, un mur.
Dans les prisons de Nantes (air connu).
Et cette nuit, le cheval pâle.
Mina, Igor, Carver à la recherche de la dinde sacrée. L’homme à la tête de chat prépare la farce.
Carver, Igor récupèrent les idéaux, les utopies abandonnés sous les bancs de la grande salle. Recycler, c’est capital.
Après la première offensive, la Corée, Igor rencontre un vieux type bizarre qui lui raconte qu’il ne mourra jamais. Vieux comme la colline.
Ce soir les indiens gagnent.
Igor, ce Stade de France.
Cherche Midi Suédois.
Autour de nous, les décombres de la cathédrale, les enfants aveugles de nos frères, les rats. Nulle trace de Dieu. S’embrasser, enfin.
Sur la plage, Mina enterre Carver. Le moment est plutôt solennel. Igor, nu, fredonne l’Internationale. Avant la Grande Vague, douze minutes.
Et dans le ciel, les dirigeables noirs, la neige.
We are the champ…
Mina sursaute. Igor végète. Tout est bien. Les tambours.
Avant l’aube, le chat est capturé. Retour à toi.
Mud on your face.
En arrière plan, le coucher de soleil est magnifique. Au premier plan, la mort est proche. Tirer la langue. Nus.
Mina, Igor et Carver se livrent à l’ennemi. Une énigme pour tous.
Allons au bois Dame Lombarde, allons au bois, nous trouverons le serpent vert, nous le tuerons.
40 !
Mina plonge.
Mina (s’)emballe. Le chauve sourit. Carver passe des disques et, ivre, l’homme à la tête de chat ronronne sous les caresses.
Il t’en faut combien des mecs chelous dans ta vie ?
Qu’on lui coupe la tête.
Et Mina de LUI coller une balle dans la tête. Mercy killin’. Carver, salopette, préfère les attentes, le vélo, 40 ans d’amour. Ruines. Nus.
Et Heidegger, Chef de la sécurité de Shinra, sera finalement la prochaine cible de Mina, Igor, Carver. Émoi au Secteur 7, tendance taudis.
Les champignons s’élèvent dans le ciel. Nos lunettes nous protègent efficacement des rayonnements aveuglants. Par contre on va vite bronzer. Cool.