Saudade.
Joyeux Norouz. Dixit Mina. Ivre.
Dans les hauts-parleurs, le vol de nuit est annoncé.
Carver, Mina, à la pêche au bébé dauphin, depuis la passerelle du dirigeable surarmé, discutent philosophie alien.
Salutation au soleil. Igor, Mina, Carver, bord du canal, regards complices. Rentrer enfin. Affamés. Dans les collines, le grand incendie.
Au milieu des débris du cockpit, une unique pépite. Ses bras crochetés autour de la jeune galaxie encore inerte. Mina dort encore.
Mina, fatiguée, reste au lit. instagram.com/p/elFkYuvhtt/
Ses seins de Bakélite. Tu délires. C’est du quartz.
Dimanche matin, les gardes républicain ont emmené les chefs de clan, nus, derrière les dortoirs. N’en restent que trois. Carver sanglote.
Et Mina de tendre à Igor le miroir. Et Igor d’y apercevoir l’homme à la tête de chat, dans un coin, à l’ombre d’un dirigeable en flamme. Nu.
50 minutes avant sa mort, on aperçut Igor en train de trafiquer les munitions du peloton d’exécution. Quelques années plus tard, la Sicile.
Tranquillou le ronron !?
Et nos trois amis de souhaiter, en cœur, au Docteur, un bon anniversaire.
Alors je porte Deux masques. Zéro ambition. Une amie et Trois comparses. Et la nuit du passage. t.co/HoC02C1t
Mina plonge.
Igor, passion nomadisme temporel.
« Middle night crisis » : l’homme à la tête de chat donne son avis, enfin. Igor, Mina, Carver, rechargent. On va manger froid.
Oran, filles et garçonnes, locales, mènent la danse. Marché noir, poésie numérique, tendresse, musique et hospitalité sont au programme.
Les champignons s’élèvent dans le ciel. Nos lunettes nous protègent efficacement des rayonnements aveuglants. Par contre on va vite bronzer. Cool.
Cherche Midi Suédois.
Carver, Igor récupèrent les idéaux, les utopies abandonnés sous les bancs de la grande salle. Recycler, c’est capital.
Et, pour un rien, les larmes aux yeux, souriant, pourtant.
Igor, sous la pluie.
Mina : « Fermez bien les yeux, ça brûle. »
Mina, hilare, à Igor, ivre, sous les bombes A : « À cœur brisé rien d’impossible ! »
Si c’est trop cher dis moi et je sors.
Et nus, bien sûr, la nuit, forcément. Et la transe, côtoyer les petits dieux, ceux planqués, souriants, derrière les brumes. Et bredouiller.
Carver, à bicyclette.
Mina à Igor : « FAMILIER –Qui est belle, en parlant d’une femme.
FAMILIER –Qui a des rondeurs. »
Et Mina de LUI coller une balle dans la tête. Mercy killin’. Carver, salopette, préfère les attentes, le vélo, 40 ans d’amour. Ruines. Nus.
Oh, Jack !
Petit déjeuner dans les ruines d’Angkor. Igor se délecte de céréales complètes. Mina respecte le bacon. Carver, grasse matinée.
La nuit. Hum.
Mina, Igor, Carver, foutent le feu. Cocktail Molotov sur les manifestants chanteurs. Les cantiques, ça brûle au poil. On rase gratis. Aussi.
Carver et l’homme à la tête de chat se retrouvent, en situation inconfortable. Plus de vodka dans le mini bar. Ni de croquettes. Aïe.
Igor, en larmes, à Mina : « je te jure, des putains d’araignées géantes, en oxyde de cuivre ou un truc comme ça, et mes mains comme de petits paquebots ».
Mina et Igor, victimes de la momie maudite, évitent de trop fréquenter les usines de peinture. Bon moral, pourtant. instagram.com/p/gWdgU_vhp3/
Oracle, pourquoi as-tu écrit « Le Poids de la sauterelle » ? Que sommes-nous censés apprendre ?
Igor demande aux partisans du moindre effort l’autorisation de parler à la foule. Période de fêtes. On rase gratis. La foule démembre l’orateur empoté. Illico.
Igor yeux soucoupes absinthe à la rescousse de tracer cercle protecteur shaman psalmodier hermétique spasmodique épilepsie tralala.
Mina, les deux zozos, établissent les modifications géographiques nécessaires. t.co/iJKXNBUDyB
Stig à Igor : « Ni le saut du cabri ni le lever du soleil ne sont des performances. »
Emmène moi danser ce soir. www.dailymotion.com/video/x190ywt_bourreia_music
Mina : « Boum ! »
Carver découvre la vérité sur ses origines. On brûle un village breton pour protéger un élevage de galettes sauvages. Mina pleure.
Et, en pleine Exposition Universelle londonienne, le gang tourgueniste arrose son fish & chips à la meth, pas fier. On ne dort pas beaucoup.
Et les roulés coppa-fromage n’ont plus le même gout, quand tu n’es pas là.
Carver, Igor, deux bons amis. Mina, l’arlequin. Danser, bondir et repenser à nos années passées, heureuses. Hum.
Je suis le roi du pétrole.
Et nous étions, dès le matin, sur le pied de guerre. Nos petites mains serrées sur les cerceaux, nos cheveux, rasés, et l’œil cruel et vif.
Igor, ce lapin. t.co/2qel044O
Mina, Igor et Carver, en traître, décident de s’embarquer pour la Sicile. On y signale une invasion. Des ours. Fariboles.
Si vous avez une itinérance préférée, indiquez-la au chauffeur.
Pluie acide et radioactive sur Paris. Parapluie en plomb conseillé. Mina, Igor, observent la Seine, luminescente, déborder, noyer les rues.
Dans la remise, Carver et l’homme à la tête de chat réparent le vélo, atomique.
Après la première offensive, la Corée, Igor rencontre un vieux type bizarre qui lui raconte qu’il ne mourra jamais. Vieux comme la colline.
Et, derrière Igor et Mina, ligotés face au peloton d’exécution, on pouvait apercevoir Bill Murray jouant à lance gerbilles avec Carver. Nus.
Nos corps meurent, pourrissent, comme les vôtres. Mais nos âmes vivent pour l’éternité. Mina, légitimement, doute.
Difficile début. Fracassé par l’épilepsie. Acheter les médicaments en catastrophe. Attendre que ça fasse effet le cerveau en marmelade.
Mina, notre relation, sa passion pour les armes, les explosions, les dirigeables, les lémuriens.
Et nous boirons, à l’Amour, aux amis, aux mathématiques et à la Nuit. Nos âmes à l’unisson.
Messagerie « 666 » Free: le 17/02 à 18:06, ce correspondant a appelé 1 fois sur votre mobile sans laisser de message
Année de l’ascèse.
Mobilis in mobile.
Le dernier mot dièse de Carver : #keur.
Explosions variées. Nocturnes.
Igor, ce Stade de France.
Carver dit : « c’est une radio de quelqu’un qui a gobé une bute… » t.co/OATyMxX61g
Et jaillir à la lumière, vivants, pupilles dilatées, prêts à affronter les démons du midi. Main dans la main.
Et l’homme à la tête de chat, coincé dans un arbre, attend les pompiers. Carver affute sa tronçonneuse. Mina bastonne Igor, nu et hilare.
Alors, danser.
Et l’homme à la tête de chat de se remémorer sa jeunesse folle : « Bal trash-chic à Colombey… » Presque.
Je dors dans le jardin avec les chats. instagram.com/p/d10YadPhh0/
Sortir dans la nuit. Marcher dans l’herbe humide. Cette nuit là. Parler aux animaux. Un couteau glissé contre la hanche.
C’est un jour, dissection de grenouilles. Et sous la pluie. Les sciences naturelles en folie. Plus ou moins.
L’aporie nous guette ! L’aporie nous guette ! Ohé ohé ! L’aporie nous guette ! L’aporie nous guette ! Ohé ohé ! (air connu)
Mina, Igor et Carver limitent la casse.
Karl Glogauer, Igor Tourgueniev se retrouvent pour petit déjeuner. Le lieu, les ruines d’Angkor. Dans le ciel, les longs dirigeables noirs, cigares menaçants, yeux dystopiques.
Et derrière la porte, un mur.
Mina (s’)emballe. Le chauve sourit. Carver passe des disques et, ivre, l’homme à la tête de chat ronronne sous les caresses.
Igor, nu, s’allonge sur le sol. La terre, juste retournée, exhale une douce chaleur contre sa joue, son ventre. Il écoute le murmure, chthonien.
Et Mina, de mettre le feu aux poudres. Igor ramasse le penny, en retard. Jetlag.
Jamais de flageolets en avril. Carver possédait plusieurs dictons utiles en cas de conflits armés. Sagesse des ancêtres. En Corée on rigole.
Et une image après l’autre, Ray tire sa révérence.
Et dans le ciel, les dirigeables noirs, la neige.
Sur le kiki.
Igor : « … conclusions et affirma que les accusés avaient le plein contrôle de leurs facultés mentales… »
Mina, Igor, sur les hauteurs, contemplent la ville, les flammes colorées. L’émotion est palpable. Leurs mains, serrées. Au Nord, ça explose.
Mina à Igor : « ça commence. »
Il y a 10 ans, déjà, la Maison. Réminiscences. tourgueniev.com/2003/08/03
Dans le train, jouer à « Léa, passion forêt domaniale ».
Et nos amours, préraphaélites. t.co/HO0Mv6QldB
Marie Paule Belle Mondo ?
Et dans la chambre, un squelette. t.co/uoT0lCX5k5
Slip. No. More.
Causer des animaux qui te regardent dormir. Lui : « Ne t’inquiète pas, ça ne fait que commencer. » Elle : « Weirdo, va me chercher une glace. »
Et nos héros, fatigués, depuis le hall de l’hôtel, préparent leur prochaine sortie en ville. Accumuler les bouquins de philo et les magrets.
Et Igor de s’interroger. t.co/jdel5DAAsA
Et il aurait caressé son singe.
Thomas éthylique.