Igor, de bonne humeur, trouve la journée « fantastique ! ». i.imgur.com/7BOKEHq.gif
Et nous étions, dès le matin, sur le pied de guerre. Nos petites mains serrées sur les cerceaux, nos cheveux, rasés, et l’œil cruel et vif.
Et l’homme à la tête de chat de se remémorer sa jeunesse folle : « Bal trash-chic à Colombey… » Presque.
Igor demande aux partisans du moindre effort l’autorisation de parler à la foule. Période de fêtes. On rase gratis. La foule démembre l’orateur empoté. Illico.
Oh. Une murène.
Alors, allons-y pour le guignolet.
Et Heidegger, Chef de la sécurité de Shinra, sera finalement la prochaine cible de Mina, Igor, Carver. Émoi au Secteur 7, tendance taudis.
Carver, il y a quelque chose dans votre dos. A Pompéi, tournez à gauche.
Qu’on lui coupe la tête.
Et, pour un rien, les larmes aux yeux, souriant, pourtant.
Pluie acide et radioactive sur Paris. Parapluie en plomb conseillé. Mina, Igor, observent la Seine, luminescente, déborder, noyer les rues.
Et le lapin, de planquer ses œufs, et Mina d’y relier ses détonateurs, et les enfants d’accourir, riants. Explosions. t.co/xVqRayoLtk
Mina, Igor et Carver ouvrent les hostilités. On rase gratis. L’homme à la tête de chat énerve les miliciens eunuques. Explosions variées.
Mina, Igor et Carver se livrent à l’ennemi. Une énigme pour tous.
Et les substances de ronger mes sens.
Dimanche matin, les gardes républicain ont emmené les chefs de clan, nus, derrière les dortoirs. N’en restent que trois. Carver sanglote.
Mina : « Boum ! »
Et les roulés coppa-fromage n’ont plus le même gout, quand tu n’es pas là.
Et nos amis, ignorants, se perdent dans le marécage corrézien. On ne retrouvera personne. Un verre à leur santé. La nuit.
Année de l’ascèse.
Once again, a masked figure drops an iron token through your letterbox late at night.
Nos corps meurent, pourrissent, comme les vôtres. Mais nos âmes vivent pour l’éternité. Mina, légitimement, doute.
La caisse des BMX, des centaines de grosses araignées, mortelles. Dans le ventre du voyageur, la peur, et un nid. Mina s’éclate.
Jamais de flageolets en avril. Carver possédait plusieurs dictons utiles en cas de conflits armés. Sagesse des ancêtres. En Corée on rigole.
Taxi. Paris. La nuit. Les bombardements. Les dirigeables noirs dans le ciel. Avec Mina on refait le monde. Nus. Carver décide de ne pas. Nu.
Explosions variées. C’est l’emballement. Igor numérote ses abattis. Mina pousse ses forces à la limite. Carver bouquine, à poil. Affections.
Je suis le roi du pétrole.
Mina, Igor, Carver, foutent le feu. Cocktail Molotov sur les manifestants chanteurs. Les cantiques, ça brûle au poil. On rase gratis. Aussi.
Explosions variées. Nocturnes.
40 !
Mina, hilare, à Igor, ivre, sous les bombes A : « À cœur brisé rien d’impossible ! »
Sortir dans la nuit. Marcher dans l’herbe humide. Cette nuit là. Parler aux animaux. Un couteau glissé contre la hanche.
Oran, filles et garçonnes, locales, mènent la danse. Marché noir, poésie numérique, tendresse, musique et hospitalité sont au programme.
Igor, ce Stade de France.
Sur la plage, Mina enterre Carver. Le moment est plutôt solennel. Igor, nu, fredonne l’Internationale. Avant la Grande Vague, douze minutes.
Et nos héros, fatigués, depuis le hall de l’hôtel, préparent leur prochaine sortie en ville. Accumuler les bouquins de philo et les magrets.
Parfois on a besoin d’un peu d’aide. www.youtube.com/watch?v=YHGfSBr2FrY&list=SPaR-PbNOgKigIenqcjje31iHJudY3Thu_
Et, derrière Igor et Mina, ligotés face au peloton d’exécution, on pouvait apercevoir Bill Murray jouant à lance gerbilles avec Carver. Nus.
Et nos trois amis de souhaiter, en cœur, au Docteur, un bon anniversaire.
Oui, 50 minutes, avant. Et pourtant, son corps en morceaux. Et Mina, en larmes. Carver, hilare, creuse une fosse. Alors, qui, en Sicile, plus tard ?
Salutation au soleil. Igor, Mina, Carver, bord du canal, regards complices. Rentrer enfin. Affamés. Dans les collines, le grand incendie.
Allons au bois Dame Lombarde, allons au bois, nous trouverons le serpent vert, nous le tuerons.
Mina, Igor et Carver surveillent l’horloge nucléaire coréenne. L’Homme à la Tête de Chat ouvre son abri plombé au public. Années 80.
Mobilis in mobile.
Avec Carver c’est souvent : des gars, des os.
Et Igor de demander l’asile politique à l’homme à la tête de chat. Mina, malade, dessoude du milicien savoyard. Ce soir on rase gratis. Si.
Sur le kiki.
Pluie de cendres. Bunker palace hôtel. Igor, souterrain, imagine le pire. Dimanche de fête sous la couette.
On s’attable, on étale les cartes, on range les munitions dans le cellier. Un peu tout ça dans le désordre. Mina aiguise son poignard.
5 à 10g pour un voyage de débutant.
Et viennent les jours sombres.
Igor, passion nomadisme temporel.
Emmène moi danser ce soir. www.dailymotion.com/video/x190ywt_bourreia_music
Mina, Igor et Carver, en traître, décident de s’embarquer pour la Sicile. On y signale une invasion. Des ours. Fariboles.
Je dors dans le jardin avec les chats. instagram.com/p/d10YadPhh0/
Marie Paule Belle Mondo ?
Mina plonge.
Igor, ce lapin. t.co/2qel044O
La nuit. Hum.
Et jaillir à la lumière, vivants, pupilles dilatées, prêts à affronter les démons du midi. Main dans la main.
Padam padam padam.
Carver aux miliciens : « Nos troupes sont en déroute, ne restent que villageois populistes et histrions nihilistes ». Les témoins se marrent.
Slip. No. More.
Carver, Mina, à la pêche au bébé dauphin, depuis la passerelle du dirigeable surarmé, discutent philosophie alien.
On la surnomme la folle aux chats.
Igor, nu, s’allonge sur le sol. La terre, juste retournée, exhale une douce chaleur contre sa joue, son ventre. Il écoute le murmure, chthonien.
Alors je porte Deux masques. Zéro ambition. Une amie et Trois comparses. Et la nuit du passage. t.co/HoC02C1t
Le dernier mot dièse de Carver : #keur.
Dans le train, jouer à « Léa, passion forêt domaniale ».
Mina, Igor, Carver à la recherche de la dinde sacrée. L’homme à la tête de chat prépare la farce.
Stig à Igor : « Ni le saut du cabri ni le lever du soleil ne sont des performances. »
Carver répondait toujours « autre ».
Saudade.
Et dans le coffre de l’Aston Martin, le corps démembré de Giant Coocoo. Mina accélère.
Et une image après l’autre, Ray tire sa révérence.
Et l’homme à la tête de chat, coincé dans un arbre, attend les pompiers. Carver affute sa tronçonneuse. Mina bastonne Igor, nu et hilare.
Et, en pleine Exposition Universelle londonienne, le gang tourgueniste arrose son fish & chips à la meth, pas fier. On ne dort pas beaucoup.
Il y a 10 ans, déjà, la Maison. Réminiscences. tourgueniev.com/2003/08/03
Petit déjeuner dans les ruines d’Angkor. Igor se délecte de céréales complètes. Mina respecte le bacon. Carver, grasse matinée.
Autour de nous, les décombres de la cathédrale, les enfants aveugles de nos frères, les rats. Nulle trace de Dieu. S’embrasser, enfin.
Ses seins de Bakélite. Tu délires. C’est du quartz.
Et derrière la porte, un mur.
Mina sursaute. Igor végète. Tout est bien. Les tambours.
Il y a une velue araignée sur le mur du réfectoire. C’est la nuit.
La terrasse de l’hôtel abandonné, surplombant la piscine vide, nos amis contemplent les champignons atomiques. Lointains.
Mina à Igor : « ça commence. »
Dans les prisons de Nantes (air connu).
Mina, Igor et Carver limitent la casse.
Et le matin.
Mina, Igor observent depuis la Suisse les prémices de la Troisième Guerre Mondiale. Carver s’engage dans l’aéronavale. Pilote de dirigeable.
Il t’en faut combien des mecs chelous dans ta vie ?
Et dans le ciel, les dirigeables noirs, la neige.
Igor, peintre compliqué. Période zoologique, 1977-78. N’a pas percé. instagram.com/p/ctzt7RPhgd/
Mina, Igor, sur les hauteurs, contemplent la ville, les flammes colorées. L’émotion est palpable. Leurs mains, serrées. Au Nord, ça explose.
Et les renards nazis.
Mina et Igor, victimes de la momie maudite, évitent de trop fréquenter les usines de peinture. Bon moral, pourtant. instagram.com/p/gWdgU_vhp3/
Mina (s’)emballe. Le chauve sourit. Carver passe des disques et, ivre, l’homme à la tête de chat ronronne sous les caresses.
Dans la remise, Carver et l’homme à la tête de chat réparent le vélo, atomique.
Carver, Igor récupèrent les idéaux, les utopies abandonnés sous les bancs de la grande salle. Recycler, c’est capital.
Joyeux Norouz. Dixit Mina. Ivre.