Et Igor de s’apercevoir, subitement, de.
Et l’enchaînement des nuits, entrecoupées de virgules ensoleillées. Et nos sourires, nos mains, soudées. Et toujours la transe.
Igor yeux soucoupes absinthe à la rescousse de tracer cercle protecteur shaman psalmodier hermétique spasmodique épilepsie tralala.
Et nus, bien sûr, la nuit, forcément. Et la transe, côtoyer les petits dieux, ceux planqués, souriants, derrière les brumes. Et bredouiller.
Si c’est trop cher dis moi et je sors.
On s’attable, on étale les cartes, on range les munitions dans le cellier. Un peu tout ça dans le désordre. Mina aiguise son poignard.
Et, pour un rien, les larmes aux yeux, souriant, pourtant.
Dimanche matin, les gardes républicain ont emmené les chefs de clan, nus, derrière les dortoirs. N’en restent que trois. Carver sanglote.
Et l’homme à la tête de chat, coincé dans un arbre, attend les pompiers. Carver affute sa tronçonneuse. Mina bastonne Igor, nu et hilare.
Mobilis in mobile.
Oui, 50 minutes, avant. Et pourtant, son corps en morceaux. Et Mina, en larmes. Carver, hilare, creuse une fosse. Alors, qui, en Sicile, plus tard ?
50 minutes avant sa mort, on aperçut Igor en train de trafiquer les munitions du peloton d’exécution. Quelques années plus tard, la Sicile.
Saudade.
Et les substances de ronger mes sens.
Et Heidegger, Chef de la sécurité de Shinra, sera finalement la prochaine cible de Mina, Igor, Carver. Émoi au Secteur 7, tendance taudis.