La vie recèle pleins de miracles, mais certains jours,
l’avez-vous remarqué, les citrouilles restent des citrouilles
Jacques Salomé
in Je croyais qu’il suffisait de t’aimer
Une bombe!
Pas comme une machine avec laquelle on voyage, non.
Avoir le don de ne plus sentir la vie.
Pendant un mois un seul.
Comme si l’on m’avait endormie…
Avoir le don de me sortir de ma létargie.
Seule reste à ma conscience la connaissance.
De tous les évenements.
Sans une seule trace d’émotion.
Un être pensant, froid, distant et imperturbable.
Une machine à ne plus vivre…
Cet adorable minou
(non mais c’est vrai il est gentil…)
ne trouve pas de travail
pour délit de sale gueule…
Parlons-en à une certaine boîte d’interim
et surtout acceptons-le sur Tourgueniev SVP (…)
le hik du plébiscite est de s’étiqueter référendum (…)
m’en fOu, mOi je t’aime encOre, malgré mes effOrts!
En me balladant avec Gü.
A Marseille dans la rue
On a déjà habillé
Nos futurs bébés
Tu voulais pas un garçon ?
– Si mais tant pis ! –
tétard
tOnight
dracula 73
rires
fOOt (? ; ?)
1664
j’embrasse pas
bavarOis
pansements
pastèque
pOlux
cÔne
pluie
papOtte
(…)
Manque d’imagination, plagiat, emprunt, créativité pauvre, pillage, s’inspirer sans penser, contrefaçon, pastiche, immiter, usurpation…
Géutrémapoint
told me today
One persOn…
Others’ve seen
a little gu tout nu,
un manteau : Gu.
sun glasses : Gü.
& oOoilà !
(…)
A l’extrémitude de la solitaire, elle brassait des vagues en remuant le vide…
Troplein d’humains… frénésie de corps… douleur au bas-ventre…
AVIS à tous les tourguenistes, ouvrez grandes vos oreilles…
« Etre une femme du monde, penser vrai et sonner faux, prendre les gens avec des gants pour éviter un coup par derrière »
GARANCE DOR
« CHOISIS LA FILLE/politique/
QUE TU VEUX »
FELIX JOUSSERAND
« Il pleut sur elle. Un soir de mai dans les vapeurs de sodium de l’éclairage public. Elle. Elle voit son ombre orange. Elle. Elle marche sur son ombre. Sans voir. Sans rêves. Sans trèves. »
DIDIER FELDMANN
« L’asphalte a fondu, puis s’est figé
sur les feuilles
des arbres.
Morceau de branche sèche,
posé sur des marches
en marbre. »
RUDA
« Vanessas Paradis, elle est d’origine chinoise. On s’est déclaré toutes les deux mortes. C’est pour ça qu’on me fiche la paix. »
YOHAN GUYOT-BARON
« tes cheveux rouges
les New-York Dolls,
un gramme de blanche
beaucoup d’alcool,
une pipe taillée
dans une bagnole,
sur trois accords
de rock’n roll. »
NADA
Retrouvez bientôt aussi D’ qui viendra agrandir le comité Spoke hautement tourgueniste…
Sachez que si j’avais eu une mongolfière,
je serais partie dans les airs,
pour vous inonder d’amour…GÜ.
***ALL IMAGES © COPYRIGHT BEN FROST 2001***
4rthur Rimb4ud – fuck 4rt! gOld! ch4rity! keys! vOwel cOlOr mOtiOn blend! |
il est incencé de perdurer ainsi
(…)
je le dis
(…)
je veux le faire
(…)
j’en suis capable
(…)
alors action !!!
La fatigue m’envahie
Je ne sais plus bien…
Je t’aimerai toujours
Comme un ange qui pleure
Dans l’aquarium tactile
Les vieux allemands
J’aime bien manger des marrons chauds
Le vieux Général De Gaulle
C’est bien trop précieux
Personne ne peux le rattraper
I love you
Tout ça je le saurais toujours en lisant
Que ça sera comme ça la réalité
Je voudrais passer ma vie avec toi
Certaines chansons restent et le Wampas…
Le faire c’est l’entendre aussi c’est certain!
Ainsi, l’entendre n’est pas forcément le faire…
Mais pour se faire entendre,
encore faut-il entendre le faire…
happy to be happy #1
Craché par Aïna et par Gü.
Cet air qui m’obsède jour et nuit
Cet air n`est pas né d`aujourd`hui
Il vient d`aussi loin que je viens
Traîné par cent mille musiciens
Un jour cet air me rendra folle
Cent fois j`ai voulu dire pourquoi
Mais il m’a coupé la parole
Il parle toujours avant moi
Et sa voix couvre ma voix
Padam…padam…padam…
Il arrive en courant derrière moi
Padam…padam…padam…
Il me fait le coup du souviens-toi
Padam…padam…padam…
C`est un air qui me montre du doigt
Et je traîne après moi comme une drôle d’erreur
Cet air qui sait tout par coeur
Il dit: « Rappelle-toi tes amours
Rappelle-toi puisque c`est ton tour
y’a pas de raison pour que tu ne pleures pas
Avec tes souvenirs sur les bras… »
Et moi je revois ceux qui restent
Mes vingt ans font battre tambour
Je vois s’entrebattre des gestes
Toute la comédie des amours
Sur un air qui va toujours
Padam…padam…padam…
Des « je t’aime » de quatorze-juillet
Padam…padam…padam…
Des « toujours » qu’on achète au rabais
Padam…padam…padam…
Des « veux-tu » en voilà par paquets
Et tout ça pour tomber juste au coin d’la rue
Sur l’air qui m`a reconnue
…
Ecoutez le chahut qu`il me fait
…
Comme si tout mon passé défilait
…
Faut garder du chagrin pour après
J`en ai tout un solfège sur cet air qui bat…
Qui bat comme un coeur de bois…
H.CONTET
Saint-Ouen
Une boucherie en devanture
Un oeil à l’interieur
A première vue des tapis
Derrière des poulets à la broche
Puis un étalage de viande à côté du stand d’encens
Un mécanicien répare un moteur
Drôle de hangar!
Gü. recherche ses polaroïds (…)
Des portraits en tous genres des posés-des volés-des supliés des baisers-des osés-des branchés des coincés-des allumés-des ratés des objets-des bébés-des pépés… 3000 clichés semés Vous ne pouvez pas vous déplacer ? |
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AVEZ VOUS CHEZ VOUS UN POLAROÏD DE GÜ.?
RAMENEZ LE AU BOUQUIN AFFAME POUR L’EXPOSER…
DU 07 AU 31 JANVIER 2005
VERNISSAGE LE JEUDI 13 JANVIER A PARTIR DE 19 H
l:l:µn<
l:l:µn<
Le sommeil des heures durant
Ne plus voir le soleil levant
S’arrêter pour quelques instants
Faire la pluie et le beau temps…
Voir un lac, être un étang.