Le tigre, allongé sur le sol, léchait ses grosses pattes du bout de sa longue langue rose.
Carver était un peu dans ce genre, avant de virer philosophe coupe-tête : t.co/O1Kpgnc
Et nous restons sous les mortels rayons du soleil. Au bord de la piscine. Nos corps cancéreux et maladifs tremblants et nus. Rumba.
Et merci à la visiteuse onirique « de l’enfer » d’avoir rapidement interrompu ses incursions à base d’avatars dessinés.
Troubler, tripoter, tâter, substituer, sonder, révolutionner, retoucher, remuer, relâcher, rectifier, recevoir, porter, pétrir, percevoir…
Je veux recevoir des morceaux de ton corps. t.co/3toWtXf
J’ai compté, ça fait un nombre à un chiffre.
Les chats peuvent aider à passer les frontières. Les pieds dans l’eau. 38. Donc. Je passe le seuil. Aveugle et hilare.
« Le cyberespace. Une hallucination consensuelle vécue quotidiennement en toute légalité par des dizaines de millions d’opérateurs… » W. G.
Si le tourguenisme génératif est pensable, c’est tant il en identifie l’expression universelle en tant qu’objet sémiotique de connaissance.
Mère nature semble mécontente des suites de l’affaire #DSK.
Rêves d’examens non révisés, de compagnonnage sexuel et finalement de catastrophe aérienne.
et la fin du monde
Autant être à l’aise.
Igor, une côte cassée, trouvait le matin bien long, les gestes du quotidien relativement pénibles à effectuer, le soleil bien trop rond.
Carver cultivait ses rondeurs avec affection. Une robe de soirée ou son costume de geek sous les bombardements et les faire exploser. Joie.
Et dans la corne de l’Afrique. Les ventres gonflés. Par la faim.
Les pompiers en ont marre c’est la grève aujourd’hui Il y a le feu partout c’est la fête des fous Il y a le feu partout et vive le feu…
Et une pensée pour les personnes isolées loin de l’administration système, des surgelés en bon état et de la lumière artificielle. Linge !
Wesh gros.
Salive, bave, crachats et autres sécrétions. C’est plutôt stimulant.
Igor : « on va tellement crever Sexy Sushi vendredi soir que vous aurez plus rien samedi ». Mina : « oué oué, on verra ». Carver : « policière ? »
Nous réservons tout le 3ème étage. Certaines cloisons sont abattues. On fait de la place autour des chaudrons et des planches à découper.
Pelez et émincer les oignons, les faire blondir à feu doux dans 30 g de margarine. Mélanger les oeufs, la margarine fondue, sel, poivre.
Rêver toutes les nuits d’une personne virtuelle jamais croisée ni vue, sysadmin. Chelou.
Mina mangeait abondamment et souvent mais les arts martiaux pratiqués depuis l’enfance ne laissaient rien dépasser sous ses abdos d’ado.
Au moins avec les singes on n’a pas de surprises.
Dans mon abri j’entends les souris.
Saké !? t.co/ouNIeVN
La vie est finalement dans l’ensemble plutôt intéressante. Et en particulier. La vie.
Et on va dans la forêt la nuit, on a juste la pleine lune comme lampe de poche et on peut imaginer facilement des choses effrayantes. Peurrr
*tousse*
Ne pas boire avant le festival.
Igor constatait que, au bord de la piscine, les jeunes filles de province, donc qui se nourrissent, ont un petit ventre, sain et joli.
Et je pose nu pour un magazine de jardinage.
Je te vois…
Encore une séance photo : le vaisseau fait d’ongles d’hommes morts. Mon assistante veut une augmentation. Une prime, au moins.
Cette fille ressemble tellement à Kaneda que ça me donne l’envie irrépressible de lui offrir ma moto rouge trop bien. Hotel new rose.
Une jeune fille se frotte le visage avec un poulpe vivant. Personne ne semble surpris. Ça protège vraiment du soleil ?
« Allo Bain De Minuit » j’écoute !
je prédis un grand retour de « c’est ce qu’elles me disent toutes »
Avec un cutter à deux lames on retire facilement un ongle. Ou un œil. Le deuxième est forcément plus problématique vu qu’on perd le relief.
Question de thon au cœur de la nuit.
Pondichery : séance photo avec les tigres.
Bonne Saint-Barthélemy à tous !
Carver en entamant la descente finale : « Dans le Lac les Annéciens ! ».
They’d hurt to make you cry but you’d never cry to them just to your soul
No you’d never cry to them just to your soul.
Non mais sérieux, là, tous, on ne devrait pas être plutôt en train de sauver le monde ? (please RT) *tousse*
Bon ok, je pleure dans le train.
Et bienvenue tout le monde dans ce merveilleux mardi. Le mardi c’est comme le vélo. Quand on sait faire, on n’oublie pas. Le mardi c’est…
*insérer ici une terrible gueule de bois à base de Jägermeister*
Forcément je vais me renseigner. #haunting #sysadmin
En fait si on veut aider la nation faut boire des litres de whisky-coke à Disneyland en fumant 4 paquets par jour.
Pendant quelques minutes, semelles de plomb terribles, la pluie sans doute ou le souvenir d’une chanson. Un duo boiteux, pour elle, au loin.
Igor : « Quitter la ville, enfin. » Mina : « Ne rêve pas : c’est terminé. » Carver : « LOL ! » Igor : « Mais..! » Mina rigole et ouvre le feu.
Hem.
ᶘ ᵒᴥᵒᶅ <—- it’s not an ordinary bear.
Sur les flancs du dirigeable des terroristes, une maxime : « Jubilation matriarcale contre castration patriarcale ! »
« Seules les personnes vraiment célèbres passent en privé sur Twitter » théorise Carver en finissant sa 1664 grenadine. Le décor explose.
« on rase gratis ce soir »
Lieu ou construction sommaire servant de protection contre les intempéries, de refuge contre un danger. Contre pluie, bombes, rats, dindes.
On levait le camp. Mina montait la garde. Carver et Igor pliaient la tente, lavaient la vaisselle, les chevaux.
Le mardi c’est pour la vie.
Un univers, un docteur, un hamster.
Fracture. t.co/N7eAU7k
Mina : « J’aime mon bo loulou pour ses hanches gracieuses, pour son doctorat en neuroscience appliquée aux armes de guerre innovantes ».
Hey ! Vous dormez ? Moi oui.
Si vous jouez avec les animaux non apprivoisés, petits lapins, vous risquez de vous faire pincer très fort. Portez un fez, un nœud papillon.
Dans les rues qui se donnent ?
La foudre frappe dans le jardin. Les plombs sautent. Punition de nos vilaines pensées. Et le chat reste cool. Fourmillement sur le clavier.
Déjà vu.
Rough nuit à toutes.
Sommeil où es tu ?
Et quitter Bombay.
Les miliciens étaient les amis de l’ensemble de la population. Personne ne se cachait, les messages dissidents. t.co/EdLkFwM
Je croque dans une pomme un peu trop verte et c’est le drame.
Si je ferme les yeux, Internet n’existe plus ?
Et on arrive à Toulouse.
Mes yeux se voilent. Enfance. Glisser sur une rampe d’escalier bien longue, bien cirée. La rampe est soudainement changée en lame de rasoir.
Ce soir, je change d’île pour dormir.
Un mec de la ville, de passage : « Tuer avec des gants, ce serait comme baiser avec une capote ! ».
L’Internet existe au-dessus et en dessous de son nœud ?
Reboot.
Notons par ailleurs que Sartre particularise l’analyse idéationnelle du tourguenisme.
Ne pas passer sa vie à la gagner.
I am now in love with french girls.. well you.. you get the picture.
L’Homme à la tête de chat dans le panier n’attendait qu’un signe de sa maitresse pour éventrer le petit monstre hurleur du train vers Paris.
Inforrrme et terrrible.
Ok, je craque.
Quelqu’un a mangé la soupe. Quelqu’un a dormi dans mon lit. Boucle d’Or ?!
Suivre le chat dans la forêt. Rencontrer son amante secrète. Tous les trois on écoute les chiens hurler. Un peu inquiets on plisse les yeux.
Et on laisse des messages sur Internet parce que le téléphone fait un peu de lumière. Artificielle. Et un peu de réseau ça rrrassure. Poc.
Je suis à 38 années Google de la plénitude. De la terre. De la mort. De toi. De tes yeux. Du spin de cette carte à jouer. De la fin et nu.
je prédis un grand retour de « je connaissais la même avec un rabbin »
Si vous voyez (encore) ce que je veux dire. Pour vous désinscrire du monde. t.co/4AGoIR4
Bon ok, je danse dans le train.
Sans ma barbe. t.co/hTJ0Ts7
Ça vous semble fou, mais c’est arrivé.
Plus tard. A voir.
Carnivores, les plantes.