Une illusion peut-elle exister ?
Lieu ou construction sommaire servant de protection contre les intempéries, de refuge contre un danger. Contre pluie, bombes, rats, dindes.
Et bienvenue tout le monde dans ce merveilleux mardi. Le mardi c’est comme le vélo. Quand on sait faire, on n’oublie pas. Le mardi c’est…
Et dehors. La chaleur lourde, à nouveau.
Dans les rues qui se donnent ?
Notons par ailleurs que Sartre particularise l’analyse idéationnelle du tourguenisme.
Troubler, tripoter, tâter, substituer, sonder, révolutionner, retoucher, remuer, relâcher, rectifier, recevoir, porter, pétrir, percevoir…
je prédis un grand retour de « je connaissais la même avec un rabbin »
Wesh gros.
Carver en entamant la descente finale : « Dans le Lac les Annéciens ! ».
I am now in love with french girls.. well you.. you get the picture.
« Seules les personnes vraiment célèbres passent en privé sur Twitter » théorise Carver en finissant sa 1664 grenadine. Le décor explose.
Rough nuit à toutes.
On levait le camp. Mina montait la garde. Carver et Igor pliaient la tente, lavaient la vaisselle, les chevaux.
Les chats peuvent aider à passer les frontières. Les pieds dans l’eau. 38. Donc. Je passe le seuil. Aveugle et hilare.
Cette fille ressemble tellement à Kaneda que ça me donne l’envie irrépressible de lui offrir ma moto rouge trop bien. Hotel new rose.
Forcément je vais me renseigner. #haunting #sysadmin
Si le tourguenisme génératif est pensable, c’est tant il en identifie l’expression universelle en tant qu’objet sémiotique de connaissance.
Vertiges de l’acide.
je prédis un grand retour de « c’est ce qu’elles me disent toutes »
Pendant quelques minutes, semelles de plomb terribles, la pluie sans doute ou le souvenir d’une chanson. Un duo boiteux, pour elle, au loin.
J’ai compté, ça fait un nombre à un chiffre.
« on ne peut se protéger de la tristesse sans se protéger du bonheur » me rappelait souvent Mina.
Carver et Mina venaient de retrouver un artefact d’avant l’Irréparable Incident. Recueillement. t.co/Qo5oo1a
Encore une minute et 3 ans.
Sans ma barbe. t.co/hTJ0Ts7
Fracture. t.co/N7eAU7k
Le train des rebelles en route vers la Sibérie. Mina ajuste ses cartouchières. Igor, rêveur, observe les champignons, les bombes, lumière.
Et on arrive à Toulouse.
Pour la nouvelle année, ses amis offrent, à Igor, tendres baisers, caresses interdites et affection spontanée. Ça le chavire. Merci.
Igor aimerait vous conseiller sur les gens à suivre le vendredi mais Mina lui signale qu’ils sont en mode privés ou super célèbres, donc.
Bon ok, je danse dans le train.
Je me sens comme James Bond sans son permis de tuer.
Trois garçons imaginaires m’entrainent au fond du bassin, leurs mains comme les mâchoires d’un grand requin blanc, seul. Trop de sang, salé.
Souvvvent à la mer on se baigne ivres et nus au milieu des requins fous et mangeurs d’homme. Parfois on ne meurt pas. Parrrfois.
Igor : « on va tellement crever Sexy Sushi vendredi soir que vous aurez plus rien samedi ». Mina : « oué oué, on verra ». Carver : « policière ? »
Mina mangeait abondamment et souvent mais les arts martiaux pratiqués depuis l’enfance ne laissaient rien dépasser sous ses abdos d’ado.
Et je pose nu pour un magazine de jardinage.
Et quitter Bombay.
La Reine Mère des Terres Maudites communiquait. Son messager, muet et sourd, nous apportait un message, difficile à saisir, mais lisible.
Un mec de la ville, de passage : « Tuer avec des gants, ce serait comme baiser avec une capote ! ».
Question de thon au cœur de la nuit.
Je croque dans une pomme un peu trop verte et c’est le drame.
Fuck Jimmy.
En fait si on veut aider la nation faut boire des litres de whisky-coke à Disneyland en fumant 4 paquets par jour.
Rêves d’examens non révisés, de compagnonnage sexuel et finalement de catastrophe aérienne.
« Le cyberespace. Une hallucination consensuelle vécue quotidiennement en toute légalité par des dizaines de millions d’opérateurs… » W. G.
Igor aimerait vous conseiller sur les gens à suivre le vendredi mais Mina lui signale qu’ils sont en mode privé ou super célèbres, donc.
Je veux recevoir des morceaux de ton corps. t.co/3toWtXf
Dans mon abri j’entends les souris.
Mes yeux se voilent. Enfance. Glisser sur une rampe d’escalier bien longue, bien cirée. La rampe est soudainement changée en lame de rasoir.
Non mais sérieux, là, tous, on ne devrait pas être plutôt en train de sauver le monde ? (please RT) *tousse*
Déjà vu.
This is not a suicide note.
They’d hurt to make you cry but you’d never cry to them just to your soul
No you’d never cry to them just to your soul.
Le mardi c’est tellement… Vendredi.
L’Homme à la tête de chat dans le panier n’attendait qu’un signe de sa maitresse pour éventrer le petit monstre hurleur du train vers Paris.
Reboot.
Ne pas boire avant le festival.
Nous réservons tout le 3ème étage. Certaines cloisons sont abattues. On fait de la place autour des chaudrons et des planches à découper.
L’Internet existe au-dessus et en dessous de son nœud ?
Salive, bave, crachats et autres sécrétions. C’est plutôt stimulant.
Ce soir, je change d’île pour dormir.
Les miliciens étaient les amis de l’ensemble de la population. Personne ne se cachait, les messages dissidents. t.co/EdLkFwM
*insérer ici une terrible gueule de bois à base de Jägermeister*
L’homme regarde l’Internet, l’Internet regarde l’homme.
Je te vois…
Si vous voyez (encore) ce que je veux dire. Pour vous désinscrire du monde. t.co/4AGoIR4
Igor, une côte cassée, trouvait le matin bien long, les gestes du quotidien relativement pénibles à effectuer, le soleil bien trop rond.
Bonne Saint-Barthélemy à tous !
Sur les flancs du dirigeable des terroristes, une maxime : « Jubilation matriarcale contre castration patriarcale ! »
Un type sur l’autre quai porte un costume, c’est un costume de chef indien, un sosie de Sitting Bull, le métro arrive enfin.
Si vous jouez avec les animaux non apprivoisés, petits lapins, vous risquez de vous faire pincer très fort. Portez un fez, un nœud papillon.
Une jeune fille se frotte le visage avec un poulpe vivant. Personne ne semble surpris. Ça protège vraiment du soleil ?
Autant être à l’aise.
Oui c’est TOI l’inconnue qui vient hanter mes nuits. T’occupant des serveurs d’une boutique de manga et bossant ensuite pour l’armée.
Ok, je craque.
Quelques photos et ça sera le temps du rasoir.
Mina : « J’aime mon bo loulou pour ses hanches gracieuses, pour son doctorat en neuroscience appliquée aux armes de guerre innovantes ».
La vie est finalement dans l’ensemble plutôt intéressante. Et en particulier. La vie.
Inforrrme et terrrible.
Un univers, un docteur, un hamster.
Si je ferme les yeux, Internet n’existe plus ?
« Allo Bain De Minuit » j’écoute !
Sommeil où es tu ?
Et il pleut. A verse. Et l’eau recouvre Paris. Noyant les hipsters, les chiptsters et les autres, qui ne le méritaient sans doute pas tous.
Ça tremble de partout.
En vieillissant, le cœur grossit ? Si on se marie, le compteur se bloque pour toujours ? Ceci > Cela.
Le tigre, allongé sur le sol, léchait ses grosses pattes du bout de sa longue langue rose.
Plus tard. A voir.
Avec un cutter à deux lames on retire facilement un ongle. Ou un œil. Le deuxième est forcément plus problématique vu qu’on perd le relief.
Et on laisse des messages sur Internet parce que le téléphone fait un peu de lumière. Artificielle. Et un peu de réseau ça rrrassure. Poc.
La foudre frappe dans le jardin. Les plombs sautent. Punition de nos vilaines pensées. Et le chat reste cool. Fourmillement sur le clavier.
Je veux ta sieste.
Quelqu’un a mangé la soupe. Quelqu’un a dormi dans mon lit. Boucle d’Or ?!
Mina fait son premier Twitpic de seins ? t.co/yfrzFYm
*tousse*
ᶘ ᵒᴥᵒᶅ <—- it’s not an ordinary bear.
Mère nature semble mécontente des suites de l’affaire #DSK.
Hem.