Les pompiers en ont marre c’est la grève aujourd’hui Il y a le feu partout c’est la fête des fous Il y a le feu partout et vive le feu…
Et on laisse des messages sur Internet parce que le téléphone fait un peu de lumière. Artificielle. Et un peu de réseau ça rrrassure. Poc.
Ce soir, je change d’île pour dormir.
Fuck Jimmy.
et la fin du monde
Les chats peuvent aider à passer les frontières. Les pieds dans l’eau. 38. Donc. Je passe le seuil. Aveugle et hilare.
Igor constatait que, au bord de la piscine, les jeunes filles de province, donc qui se nourrissent, ont un petit ventre, sain et joli.
je prédis un grand retour de « c’est ce qu’elles me disent toutes »
Si vous voyez (encore) ce que je veux dire. Pour vous désinscrire du monde. t.co/4AGoIR4
C’est carrément pas autorisé l’intrusion onirique sans permis. Surtout à répétition. Oui c’est à TOI que je parle. Passagère clandestine.
Pondichery : séance photo avec les tigres.
Salive, bave, crachats et autres sécrétions. C’est plutôt stimulant.
Mes yeux se voilent. Enfance. Glisser sur une rampe d’escalier bien longue, bien cirée. La rampe est soudainement changée en lame de rasoir.
Touche mes saints.
Pelez et émincer les oignons, les faire blondir à feu doux dans 30 g de margarine. Mélanger les oeufs, la margarine fondue, sel, poivre.
Tu me vois…
Bon ok, je danse dans le train.
« Allo Bain De Minuit » j’écoute !
La Reine Mère des Terres Maudites communiquait. Son messager, muet et sourd, nous apportait un message, difficile à saisir, mais lisible.
je prédis un grand retour de « je connaissais la même avec un rabbin »
« on ne peut se protéger de la tristesse sans se protéger du bonheur » me rappelait souvent Mina.
Encore une séance photo : le vaisseau fait d’ongles d’hommes morts. Mon assistante veut une augmentation. Une prime, au moins.
Et dans la corne de l’Afrique. Les ventres gonflés. Par la faim.
Forcément je vais me renseigner. #haunting #sysadmin
Mina fait son premier Twitpic de seins ? t.co/yfrzFYm
Une illusion peut-elle exister ?
Hem.
Et dehors. La chaleur lourde, à nouveau.
Pendant quelques minutes, semelles de plomb terribles, la pluie sans doute ou le souvenir d’une chanson. Un duo boiteux, pour elle, au loin.
Je te vois…
J’ai compté, ça fait un nombre à un chiffre.
Et on va dans la forêt la nuit, on a juste la pleine lune comme lampe de poche et on peut imaginer facilement des choses effrayantes. Peurrr
Nous réservons tout le 3ème étage. Certaines cloisons sont abattues. On fait de la place autour des chaudrons et des planches à découper.
BALAFRE… elles ne peuvent l’oublier ! C’était un homme qui portait BALAFRE. Tout simplement. Un homme à l’élégance d’homme.
On vient de me livrer un tatoueur ivre de taille inhabituelle. Un T.I.T.I. Je vais l’installer dans le bureau. Il a juste un sac à main.
Carver en entamant la descente finale : « Dans le Lac les Annéciens ! ».
Ça tremble de partout.
Ça vous semble fou, mais c’est arrivé.
Je veux recevoir des morceaux de ton corps. t.co/3toWtXf
Inforrrme et terrrible.
Sommeil où es tu ?
Je pense que je m’embrouille.
Oui c’est TOI l’inconnue qui vient hanter mes nuits. T’occupant des serveurs d’une boutique de manga et bossant ensuite pour l’armée.
Carver et Mina venaient de retrouver un artefact d’avant l’Irréparable Incident. Recueillement. t.co/Qo5oo1a
Pour la nouvelle année, ses amis offrent, à Igor, tendres baisers, caresses interdites et affection spontanée. Ça le chavire. Merci.
Si le tourguenisme génératif est pensable, c’est tant il en identifie l’expression universelle en tant qu’objet sémiotique de connaissance.
Hey ! Vous dormez ? Moi oui.
Dans les rues qui se donnent ?
Quelques photos et ça sera le temps du rasoir.
Autant être à l’aise.
Mère nature semble mécontente des suites de l’affaire #DSK.
Et on arrive à Toulouse.
On levait le camp. Mina montait la garde. Carver et Igor pliaient la tente, lavaient la vaisselle, les chevaux.
Et nous restons sous les mortels rayons du soleil. Au bord de la piscine. Nos corps cancéreux et maladifs tremblants et nus. Rumba.
Ok, je craque.
Les miliciens étaient les amis de l’ensemble de la population. Personne ne se cachait, les messages dissidents. t.co/EdLkFwM
« Ca y est, Harisson «au revoir» Ford à enfin largué ce petit cul serré de Calista «Hard Core» Flockhart. » dit le Sage.
Je suis à 38 années Google de la plénitude. De la terre. De la mort. De toi. De tes yeux. Du spin de cette carte à jouer. De la fin et nu.
Au moins avec les singes on n’a pas de surprises.
I am now in love with french girls.. well you.. you get the picture.
Sans ma barbe. t.co/hTJ0Ts7
Et quitter Bombay.
Oui, on se le demande. t.co/gPqPCqR
Et je pose nu pour un magazine de jardinage.
Le mardi c’est tellement… Vendredi.
They’d hurt to make you cry but you’d never cry to them just to your soul
No you’d never cry to them just to your soul.
Rêver toutes les nuits d’une personne virtuelle jamais croisée ni vue, sysadmin. Chelou.
Le loup qui gratte à la porte m’empêche de dormir.
« Année Google » : proposez une définition.
Un univers, un docteur, un hamster.
En fait si on veut aider la nation faut boire des litres de whisky-coke à Disneyland en fumant 4 paquets par jour.
Notons par ailleurs que Sartre particularise l’analyse idéationnelle du tourguenisme.
Je me sens comme James Bond sans son permis de tuer.
Et il pleut. A verse. Et l’eau recouvre Paris. Noyant les hipsters, les chiptsters et les autres, qui ne le méritaient sans doute pas tous.
Une jeune fille se frotte le visage avec un poulpe vivant. Personne ne semble surpris. Ça protège vraiment du soleil ?
Et une pensée pour les personnes isolées loin de l’administration système, des surgelés en bon état et de la lumière artificielle. Linge !
« Le cyberespace. Une hallucination consensuelle vécue quotidiennement en toute légalité par des dizaines de millions d’opérateurs… » W. G.
Fracture. t.co/N7eAU7k
Reboot.
Sur les flancs du dirigeable des terroristes, une maxime : « Jubilation matriarcale contre castration patriarcale ! »
Igor : « Quitter la ville, enfin. » Mina : « Ne rêve pas : c’est terminé. » Carver : « LOL ! » Igor : « Mais..! » Mina rigole et ouvre le feu.
Trois garçons imaginaires m’entrainent au fond du bassin, leurs mains comme les mâchoires d’un grand requin blanc, seul. Trop de sang, salé.
Suivre le chat dans la forêt. Rencontrer son amante secrète. Tous les trois on écoute les chiens hurler. Un peu inquiets on plisse les yeux.
Troubler, tripoter, tâter, substituer, sonder, révolutionner, retoucher, remuer, relâcher, rectifier, recevoir, porter, pétrir, percevoir…
Wesh gros.
Quand Mina & Igor jouaient aux Snipers, ils coordonnaient leurs gestes en écoutant « Miami » par Will Smith. Ils étaient vraiment bons.
L’Internet existe au-dessus et en dessous de son nœud ?
L’homme regarde l’Internet, l’Internet regarde l’homme.
Mina : « J’aime mon bo loulou pour ses hanches gracieuses, pour son doctorat en neuroscience appliquée aux armes de guerre innovantes ».
La vie est finalement dans l’ensemble plutôt intéressante. Et en particulier. La vie.
Rough nuit à toutes.
Igor : « on va tellement crever Sexy Sushi vendredi soir que vous aurez plus rien samedi ». Mina : « oué oué, on verra ». Carver : « policière ? »
Plus tard. A voir.
*insérer ici une terrible gueule de bois à base de Jägermeister*
Ne pas boire avant le festival.
Je croque dans une pomme un peu trop verte et c’est le drame.
Carnivores, les plantes.
Le mardi c’est pour la vie.
Ne pas passer sa vie à la gagner.
« Seules les personnes vraiment célèbres passent en privé sur Twitter » théorise Carver en finissant sa 1664 grenadine. Le décor explose.