Le mardi c’est tellement… Vendredi.

 

Tout bèl followers mw yo ki poko domi yo mw ta renmen nou ekrim yon bel ti sms pou n bonne nuit ?

 

Hey ! Vous dormez ? Moi oui.

 

Quelques photos et ça sera le temps du rasoir.

 

Au moins avec les singes on n’a pas de surprises.

 

Et une pensée pour les personnes isolées loin de l’administration système, des surgelés en bon état et de la lumière artificielle. Linge !

 

Igor, une côte cassée, trouvait le matin bien long, les gestes du quotidien relativement pénibles à effectuer, le soleil bien trop rond.

 

Parfois on va à la campagne et personne ne meurt. Parrrfois.

 

Et dans la corne de l’Afrique. Les ventres gonflés. Par la faim.

 

BALAFRE… elles ne peuvent l’oublier ! C’était un homme qui portait BALAFRE. Tout simplement. Un homme à l’élégance d’homme.

 

Le mardi c’est pour la vie.

 

Notons par ailleurs que Sartre particularise l’analyse idéationnelle du tourguenisme.

 

Ne pas passer sa vie à la gagner.

 

Et on laisse des messages sur Internet parce que le téléphone fait un peu de lumière. Artificielle. Et un peu de réseau ça rrrassure. Poc.

 

Ce soir, je change d’île pour dormir.

 

Les miliciens étaient les amis de l’ensemble de la population. Personne ne se cachait, les messages dissidents. t.co/EdLkFwM

 

Saké !? t.co/ouNIeVN

 

Rough nuit à toutes.

 

Et je pose nu pour un magazine de jardinage.

 

Tu me vois…

 

Ok, je craque.

 

Pondichery : séance photo avec les tigres.

 

Forcément je vais me renseigner. #haunting #sysadmin

 

Igor aimerait vous conseiller sur les gens à suivre le vendredi mais Mina lui signale qu’ils sont en mode privé ou super célèbres, donc.

 

Troubler, tripoter, tâter, substituer, sonder, révolutionner, retoucher, remuer, relâcher, rectifier, recevoir, porter, pétrir, percevoir…

 

Si vous jouez avec les animaux non apprivoisés, petits lapins, vous risquez de vous faire pincer très fort. Portez un fez, un nœud papillon.

 

Non mais sérieux, là, tous, on ne devrait pas être plutôt en train de sauver le monde ? (please RT) *tousse*

 

Déjà vu.

 

Le loup qui gratte à la porte m’empêche de dormir.

 

Je me sens comme James Bond sans son permis de tuer.

 

je prédis un grand retour de « je connaissais la même avec un rabbin »

 

Dans mon abri j’entends les souris.

 

They’d hurt to make you cry but you’d never cry to them just to your soul
No you’d never cry to them just to your soul.

 

Touche mes saints.

 

Rêver toutes les nuits d’une personne virtuelle jamais croisée ni vue, sysadmin. Chelou.

 

Pelez et émincer les oignons, les faire blondir à feu doux dans 30 g de margarine. Mélanger les oeufs, la margarine fondue, sel, poivre.

 

La foudre frappe dans le jardin. Les plombs sautent. Punition de nos vilaines pensées. Et le chat reste cool. Fourmillement sur le clavier.

 

I am now in love with french girls.. well you.. you get the picture.

 

Hem.

 

Et on arrive à Toulouse.

 

Et merci à la visiteuse onirique « de l’enfer » d’avoir rapidement interrompu ses incursions à base d’avatars dessinés.

 

Trois garçons imaginaires m’entrainent au fond du bassin, leurs mains comme les mâchoires d’un grand requin blanc, seul. Trop de sang, salé.

 

Carnivores, les plantes.

 

Ça vous semble fou, mais c’est arrivé.

 

Evidemment nous étions à table.

 

 et la fin du monde 

 

Un type sur l’autre quai porte un costume, c’est un costume de chef indien, un sosie de Sitting Bull, le métro arrive enfin.

 

La vie est finalement dans l’ensemble plutôt intéressante. Et en particulier. La vie.

 

Mina mangeait abondamment et souvent mais les arts martiaux pratiqués depuis l’enfance ne laissaient rien dépasser sous ses abdos d’ado.

 

Encore une séance photo : le vaisseau fait d’ongles d’hommes morts. Mon assistante veut une augmentation. Une prime, au moins.

 

Mère nature semble mécontente des suites de l’affaire #DSK.

 

Rêves d’examens non révisés, de compagnonnage sexuel et finalement de catastrophe aérienne.

 

On levait le camp. Mina montait la garde. Carver et Igor pliaient la tente, lavaient la vaisselle, les chevaux.

 

Ne pas boire avant le festival.

 

Cette fille ressemble tellement à Kaneda que ça me donne l’envie irrépressible de lui offrir ma moto rouge trop bien. Hotel new rose.

 

Sur les flancs du dirigeable des terroristes, une maxime : « Jubilation matriarcale contre castration patriarcale ! »

 

*tousse*

 

Salive, bave, crachats et autres sécrétions. C’est plutôt stimulant.

 

Vertiges de l’acide.

 

« Le cyberespace. Une hallucination consensuelle vécue quotidiennement en toute légalité par des dizaines de millions d’opérateurs… » W. G.

 

Et l’eau. t.co/xoF4W2u

 

Encore une minute et 3 ans.

 

« on rase gratis ce soir »

 

Plus tard. A voir.

 

Devant, derrière.

 

Avec un cutter à deux lames on retire facilement un ongle. Ou un œil. Le deuxième est forcément plus problématique vu qu’on perd le relief.

 

« Année Google » : proposez une définition.

 

Et nous restons sous les mortels rayons du soleil. Au bord de la piscine. Nos corps cancéreux et maladifs tremblants et nus. Rumba.

 

Pendant quelques minutes, semelles de plomb terribles, la pluie sans doute ou le souvenir d’une chanson. Un duo boiteux, pour elle, au loin.

 

Inforrrme et terrrible.

 

Je veux que tu m’obéisses bien gentiment. t.co/DGZDTOg

 

Nous réservons tout le 3ème étage. Certaines cloisons sont abattues. On fait de la place autour des chaudrons et des planches à découper.

 

Si vous voyez (encore) ce que je veux dire. Pour vous désinscrire du monde. t.co/4AGoIR4

 

ᶘ ᵒᴥᵒᶅ <—- it’s not an ordinary bear.

 

Lieu ou construction sommaire servant de protection contre les intempéries, de refuge contre un danger. Contre pluie, bombes, rats, dindes.

 

Les pompiers en ont marre c’est la grève aujourd’hui Il y a le feu partout c’est la fête des fous Il y a le feu partout et vive le feu…

 

La Reine Mère des Terres Maudites communiquait. Son messager, muet et sourd, nous apportait un message, difficile à saisir, mais lisible.

 

« on ne peut se protéger de la tristesse sans se protéger du bonheur » me rappelait souvent Mina.

 

C’est carrément pas autorisé l’intrusion onirique sans permis. Surtout à répétition. Oui c’est à TOI que je parle. Passagère clandestine.

 

L’Internet existe au-dessus et en dessous de son nœud ?

 

Bon ok, je danse dans le train.

 

Suivre le chat dans la forêt. Rencontrer son amante secrète. Tous les trois on écoute les chiens hurler. Un peu inquiets on plisse les yeux.

 

Carver était un peu dans ce genre, avant de virer philosophe coupe-tête : t.co/O1Kpgnc

 

Pour la nouvelle année, ses amis offrent, à Igor, tendres baisers, caresses interdites et affection spontanée. Ça le chavire. Merci.

 

je prédis un grand retour de « c’est ce qu’elles me disent toutes »

 

Mes yeux se voilent. Enfance. Glisser sur une rampe d’escalier bien longue, bien cirée. La rampe est soudainement changée en lame de rasoir.

 

Si le tourguenisme génératif est pensable, c’est tant il en identifie l’expression universelle en tant qu’objet sémiotique de connaissance.

 

Wesh gros.

 

Je te vois…

 

Carver et Mina venaient de retrouver un artefact d’avant l’Irréparable Incident. Recueillement. t.co/Qo5oo1a

 

En fait si on veut aider la nation faut boire des litres de whisky-coke à Disneyland en fumant 4 paquets par jour.

 

J’ai compté, ça fait un nombre à un chiffre.

 

Carver en entamant la descente finale : « Dans le Lac les Annéciens ! ».

 

Un mec de la ville, de passage : « Tuer avec des gants, ce serait comme baiser avec une capote ! ».

 

Le train des rebelles en route vers la Sibérie. Mina ajuste ses cartouchières. Igor, rêveur, observe les champignons, les bombes, lumière.

 

Et bienvenue tout le monde dans ce merveilleux mardi. Le mardi c’est comme le vélo. Quand on sait faire, on n’oublie pas. Le mardi c’est…

 

Une illusion peut-elle exister ?

 

Le tigre, allongé sur le sol, léchait ses grosses pattes du bout de sa longue langue rose.

 

L’Homme à la tête de chat dans le panier n’attendait qu’un signe de sa maitresse pour éventrer le petit monstre hurleur du train vers Paris.

 

Igor constatait que, au bord de la piscine, les jeunes filles de province, donc qui se nourrissent, ont un petit ventre, sain et joli.

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