Le coton c’est doux. Naturel. Et biodégradable. Et un peu rugueux aussi. Juste comme il faut. Le chat valide de la tête.
Carver était un peu dans ce genre, avant de virer philosophe coupe-tête : t.co/O1Kpgnc
Une jeune fille se frotte le visage avec un poulpe vivant. Personne ne semble surpris. Ça protège vraiment du soleil ?
Saké !? t.co/ouNIeVN
Tu me vois…
C’est carrément pas autorisé l’intrusion onirique sans permis. Surtout à répétition. Oui c’est à TOI que je parle. Passagère clandestine.
Lieu ou construction sommaire servant de protection contre les intempéries, de refuge contre un danger. Contre pluie, bombes, rats, dindes.
Pour la nouvelle année, ses amis offrent, à Igor, tendres baisers, caresses interdites et affection spontanée. Ça le chavire. Merci.
Rêves d’examens non révisés, de compagnonnage sexuel et finalement de catastrophe aérienne.
Bonne Saint-Barthélemy à tous !
Et l’eau. t.co/xoF4W2u
Mes yeux se voilent. Enfance. Glisser sur une rampe d’escalier bien longue, bien cirée. La rampe est soudainement changée en lame de rasoir.
Igor aimerait vous conseiller sur les gens à suivre le vendredi mais Mina lui signale qu’ils sont en mode privé ou super célèbres, donc.
Cette fille ressemble tellement à Kaneda que ça me donne l’envie irrépressible de lui offrir ma moto rouge trop bien. Hotel new rose.
Rough nuit à toutes.
Autant être à l’aise.
Dans les rues qui se donnent ?
Touche mes saints.
et la fin du monde
Et on laisse des messages sur Internet parce que le téléphone fait un peu de lumière. Artificielle. Et un peu de réseau ça rrrassure. Poc.
Fracture. t.co/N7eAU7k
Trois garçons imaginaires m’entrainent au fond du bassin, leurs mains comme les mâchoires d’un grand requin blanc, seul. Trop de sang, salé.
Je me sens comme James Bond sans son permis de tuer.
Pelez et émincer les oignons, les faire blondir à feu doux dans 30 g de margarine. Mélanger les oeufs, la margarine fondue, sel, poivre.
je prédis un grand retour de « c’est ce qu’elles me disent toutes »
Notons par ailleurs que Sartre particularise l’analyse idéationnelle du tourguenisme.
Parfois on va à la campagne et personne ne meurt. Parrrfois.
Reboot.
Les miliciens étaient les amis de l’ensemble de la population. Personne ne se cachait, les messages dissidents. t.co/EdLkFwM
En vieillissant, le cœur grossit ? Si on se marie, le compteur se bloque pour toujours ? Ceci > Cela.
Un univers, un docteur, un hamster.
Et il pleut. A verse. Et l’eau recouvre Paris. Noyant les hipsters, les chiptsters et les autres, qui ne le méritaient sans doute pas tous.
Igor aimerait vous conseiller sur les gens à suivre le vendredi mais Mina lui signale qu’ils sont en mode privés ou super célèbres, donc.
Encore une séance photo : le vaisseau fait d’ongles d’hommes morts. Mon assistante veut une augmentation. Une prime, au moins.
Quelqu’un a mangé la soupe. Quelqu’un a dormi dans mon lit. Boucle d’Or ?!
Je te vois…
Vertiges de l’acide.
Je veux que tu m’obéisses bien gentiment. t.co/DGZDTOg
Le mardi c’est tellement… Vendredi.
Igor : « on va tellement crever Sexy Sushi vendredi soir que vous aurez plus rien samedi ». Mina : « oué oué, on verra ». Carver : « policière ? »
Et dans la corne de l’Afrique. Les ventres gonflés. Par la faim.
Devant, derrière.
« Le cyberespace. Une hallucination consensuelle vécue quotidiennement en toute légalité par des dizaines de millions d’opérateurs… » W. G.
Déjà vu.
Bon ok, je danse dans le train.
*tousse*
Et nous restons sous les mortels rayons du soleil. Au bord de la piscine. Nos corps cancéreux et maladifs tremblants et nus. Rumba.
Pondichery : séance photo avec les tigres.
Un mec de la ville, de passage : « Tuer avec des gants, ce serait comme baiser avec une capote ! ».
Si le tourguenisme génératif est pensable, c’est tant il en identifie l’expression universelle en tant qu’objet sémiotique de connaissance.
Et je pose nu pour un magazine de jardinage.
Si je ferme les yeux, Internet n’existe plus ?
Et quitter Bombay.
La foudre frappe dans le jardin. Les plombs sautent. Punition de nos vilaines pensées. Et le chat reste cool. Fourmillement sur le clavier.
La Reine Mère des Terres Maudites communiquait. Son messager, muet et sourd, nous apportait un message, difficile à saisir, mais lisible.
Carver en entamant la descente finale : « Dans le Lac les Annéciens ! ».
Hem.
« on ne peut se protéger de la tristesse sans se protéger du bonheur » me rappelait souvent Mina.
Ne pas boire avant le festival.
This is not a suicide note.
Igor : « Quitter la ville, enfin. » Mina : « Ne rêve pas : c’est terminé. » Carver : « LOL ! » Igor : « Mais..! » Mina rigole et ouvre le feu.
Dans mon abri j’entends les souris.
Carnivores, les plantes.
Je veux ta sieste.
Rêver toutes les nuits d’une personne virtuelle jamais croisée ni vue, sysadmin. Chelou.
They’d hurt to make you cry but you’d never cry to them just to your soul
No you’d never cry to them just to your soul.
Sans ma barbe. t.co/hTJ0Ts7
Bon ok, je pleure dans le train.
Mina : « J’aime mon bo loulou pour ses hanches gracieuses, pour son doctorat en neuroscience appliquée aux armes de guerre innovantes ».
Salive, bave, crachats et autres sécrétions. C’est plutôt stimulant.
Mère nature semble mécontente des suites de l’affaire #DSK.
L’Internet existe au-dessus et en dessous de son nœud ?
Et on arrive à Toulouse.
Je veux recevoir des morceaux de ton corps. t.co/3toWtXf
Nous réservons tout le 3ème étage. Certaines cloisons sont abattues. On fait de la place autour des chaudrons et des planches à découper.
Un type sur l’autre quai porte un costume, c’est un costume de chef indien, un sosie de Sitting Bull, le métro arrive enfin.
Une illusion peut-elle exister ?
Sur les flancs du dirigeable des terroristes, une maxime : « Jubilation matriarcale contre castration patriarcale ! »
Question de thon au cœur de la nuit.
Je pense que je m’embrouille.
« Année Google » : proposez une définition.
Mina mangeait abondamment et souvent mais les arts martiaux pratiqués depuis l’enfance ne laissaient rien dépasser sous ses abdos d’ado.
Avec un cutter à deux lames on retire facilement un ongle. Ou un œil. Le deuxième est forcément plus problématique vu qu’on perd le relief.
Les pompiers en ont marre c’est la grève aujourd’hui Il y a le feu partout c’est la fête des fous Il y a le feu partout et vive le feu…
« on rase gratis ce soir »
Ça vous semble fou, mais c’est arrivé.
On vient de me livrer un tatoueur ivre de taille inhabituelle. Un T.I.T.I. Je vais l’installer dans le bureau. Il a juste un sac à main.
Non mais sérieux, là, tous, on ne devrait pas être plutôt en train de sauver le monde ? (please RT) *tousse*
« Seules les personnes vraiment célèbres passent en privé sur Twitter » théorise Carver en finissant sa 1664 grenadine. Le décor explose.
Quelques photos et ça sera le temps du rasoir.
Au moins avec les singes on n’a pas de surprises.
Le tigre, allongé sur le sol, léchait ses grosses pattes du bout de sa longue langue rose.
Et une pensée pour les personnes isolées loin de l’administration système, des surgelés en bon état et de la lumière artificielle. Linge !
I am now in love with french girls.. well you.. you get the picture.
Igor constatait que, au bord de la piscine, les jeunes filles de province, donc qui se nourrissent, ont un petit ventre, sain et joli.
Quand Mina & Igor jouaient aux Snipers, ils coordonnaient leurs gestes en écoutant « Miami » par Will Smith. Ils étaient vraiment bons.
Ce soir, je change d’île pour dormir.
Le mardi c’est pour la vie.
« Allo Bain De Minuit » j’écoute !
Plus tard. A voir.