La vie est finalement dans l’ensemble plutôt intéressante. Et en particulier. La vie.
Si je ferme les yeux, Internet n’existe plus ?
Ça vous semble fou, mais c’est arrivé.
Igor constatait que, au bord de la piscine, les jeunes filles de province, donc qui se nourrissent, ont un petit ventre, sain et joli.
Troubler, tripoter, tâter, substituer, sonder, révolutionner, retoucher, remuer, relâcher, rectifier, recevoir, porter, pétrir, percevoir…
Un type sur l’autre quai porte un costume, c’est un costume de chef indien, un sosie de Sitting Bull, le métro arrive enfin.
Mes yeux se voilent. Enfance. Glisser sur une rampe d’escalier bien longue, bien cirée. La rampe est soudainement changée en lame de rasoir.
Pelez et émincer les oignons, les faire blondir à feu doux dans 30 g de margarine. Mélanger les oeufs, la margarine fondue, sel, poivre.
Et dans la corne de l’Afrique. Les ventres gonflés. Par la faim.
Suivre le chat dans la forêt. Rencontrer son amante secrète. Tous les trois on écoute les chiens hurler. Un peu inquiets on plisse les yeux.
Une illusion peut-elle exister ?
Quelqu’un a mangé la soupe. Quelqu’un a dormi dans mon lit. Boucle d’Or ?!
On levait le camp. Mina montait la garde. Carver et Igor pliaient la tente, lavaient la vaisselle, les chevaux.
Et quitter Bombay.
Oui, on se le demande. t.co/gPqPCqR
Fuck Jimmy.
Dans les rues qui se donnent ?
Autant être à l’aise.
Je suis à 38 années Google de la plénitude. De la terre. De la mort. De toi. De tes yeux. Du spin de cette carte à jouer. De la fin et nu.
Et merci à la visiteuse onirique « de l’enfer » d’avoir rapidement interrompu ses incursions à base d’avatars dessinés.
Le coton c’est doux. Naturel. Et biodégradable. Et un peu rugueux aussi. Juste comme il faut. Le chat valide de la tête.
ᶘ ᵒᴥᵒᶅ <—- it’s not an ordinary bear.
je prédis un grand retour de « je connaissais la même avec un rabbin »
Dans mon abri j’entends les souris.
Bon ok, je danse dans le train.
Ne pas boire avant le festival.
Rough nuit à toutes.
Devant, derrière.
Touche mes saints.
*insérer ici une terrible gueule de bois à base de Jägermeister*
Pondichery : séance photo avec les tigres.
Sur les flancs du dirigeable des terroristes, une maxime : « Jubilation matriarcale contre castration patriarcale ! »
Et on arrive à Toulouse.
Souvvvent à la mer on se baigne ivres et nus au milieu des requins fous et mangeurs d’homme. Parfois on ne meurt pas. Parrrfois.
This is not a suicide note.
Sommeil où es tu ?
Et une pensée pour les personnes isolées loin de l’administration système, des surgelés en bon état et de la lumière artificielle. Linge !
Ça tremble de partout.
Je te vois…
*tousse*
Question de thon au cœur de la nuit.
Encore une séance photo : le vaisseau fait d’ongles d’hommes morts. Mon assistante veut une augmentation. Une prime, au moins.
Carver était un peu dans ce genre, avant de virer philosophe coupe-tête : t.co/O1Kpgnc
Ne pas passer sa vie à la gagner.
J’ai compté, ça fait un nombre à un chiffre.
Cette fille ressemble tellement à Kaneda que ça me donne l’envie irrépressible de lui offrir ma moto rouge trop bien. Hotel new rose.
Avec un cutter à deux lames on retire facilement un ongle. Ou un œil. Le deuxième est forcément plus problématique vu qu’on perd le relief.
« Seules les personnes vraiment célèbres passent en privé sur Twitter » théorise Carver en finissant sa 1664 grenadine. Le décor explose.
C’est carrément pas autorisé l’intrusion onirique sans permis. Surtout à répétition. Oui c’est à TOI que je parle. Passagère clandestine.
Wesh gros.
Plus tard. A voir.
Evidemment nous étions à table.
They’d hurt to make you cry but you’d never cry to them just to your soul
No you’d never cry to them just to your soul.
Si le tourguenisme génératif est pensable, c’est tant il en identifie l’expression universelle en tant qu’objet sémiotique de connaissance.
Je veux recevoir des morceaux de ton corps. t.co/3toWtXf
Nous réservons tout le 3ème étage. Certaines cloisons sont abattues. On fait de la place autour des chaudrons et des planches à découper.
Un univers, un docteur, un hamster.
et la fin du monde
Je pense que je m’embrouille.
Je veux ta sieste.
Vertiges de l’acide.
Hey ! Vous dormez ? Moi oui.
Le tigre, allongé sur le sol, léchait ses grosses pattes du bout de sa longue langue rose.
Bonne Saint-Barthélemy à tous !
« Ca y est, Harisson «au revoir» Ford à enfin largué ce petit cul serré de Calista «Hard Core» Flockhart. » dit le Sage.
Notons par ailleurs que Sartre particularise l’analyse idéationnelle du tourguenisme.
Igor, une côte cassée, trouvait le matin bien long, les gestes du quotidien relativement pénibles à effectuer, le soleil bien trop rond.
Tout bèl followers mw yo ki poko domi yo mw ta renmen nou ekrim yon bel ti sms pou n bonne nuit ?
Le mardi c’est tellement… Vendredi.
Et dehors. La chaleur lourde, à nouveau.
Trois garçons imaginaires m’entrainent au fond du bassin, leurs mains comme les mâchoires d’un grand requin blanc, seul. Trop de sang, salé.
On vient de me livrer un tatoueur ivre de taille inhabituelle. Un T.I.T.I. Je vais l’installer dans le bureau. Il a juste un sac à main.
Déjà vu.
Igor : « on va tellement crever Sexy Sushi vendredi soir que vous aurez plus rien samedi ». Mina : « oué oué, on verra ». Carver : « policière ? »
Carnivores, les plantes.
La Reine Mère des Terres Maudites communiquait. Son messager, muet et sourd, nous apportait un message, difficile à saisir, mais lisible.
Saké !? t.co/ouNIeVN
Et on va dans la forêt la nuit, on a juste la pleine lune comme lampe de poche et on peut imaginer facilement des choses effrayantes. Peurrr
Bon ok, je pleure dans le train.
Si vous voyez (encore) ce que je veux dire. Pour vous désinscrire du monde. t.co/4AGoIR4
L’Internet existe au-dessus et en dessous de son nœud ?
Rêves d’examens non révisés, de compagnonnage sexuel et finalement de catastrophe aérienne.
L’homme regarde l’Internet, l’Internet regarde l’homme.
Igor aimerait vous conseiller sur les gens à suivre le vendredi mais Mina lui signale qu’ils sont en mode privé ou super célèbres, donc.
Une jeune fille se frotte le visage avec un poulpe vivant. Personne ne semble surpris. Ça protège vraiment du soleil ?
Je croque dans une pomme un peu trop verte et c’est le drame.
Les pompiers en ont marre c’est la grève aujourd’hui Il y a le feu partout c’est la fête des fous Il y a le feu partout et vive le feu…
Je veux que tu m’obéisses bien gentiment. t.co/DGZDTOg
Non mais sérieux, là, tous, on ne devrait pas être plutôt en train de sauver le monde ? (please RT) *tousse*
Carver cultivait ses rondeurs avec affection. Une robe de soirée ou son costume de geek sous les bombardements et les faire exploser. Joie.
Salive, bave, crachats et autres sécrétions. C’est plutôt stimulant.
Oui c’est TOI l’inconnue qui vient hanter mes nuits. T’occupant des serveurs d’une boutique de manga et bossant ensuite pour l’armée.
Parfois on va à la campagne et personne ne meurt. Parrrfois.
« on rase gratis ce soir »
Ce soir, je change d’île pour dormir.
je prédis un grand retour de « c’est ce qu’elles me disent toutes »
« on ne peut se protéger de la tristesse sans se protéger du bonheur » me rappelait souvent Mina.
Sans ma barbe. t.co/hTJ0Ts7
Un mec de la ville, de passage : « Tuer avec des gants, ce serait comme baiser avec une capote ! ».
Et nous restons sous les mortels rayons du soleil. Au bord de la piscine. Nos corps cancéreux et maladifs tremblants et nus. Rumba.