Ok, je craque.
Hey ! Vous dormez ? Moi oui.
Sans ma barbe. t.co/hTJ0Ts7
Nous réservons tout le 3ème étage. Certaines cloisons sont abattues. On fait de la place autour des chaudrons et des planches à découper.
Si vous jouez avec les animaux non apprivoisés, petits lapins, vous risquez de vous faire pincer très fort. Portez un fez, un nœud papillon.
They’d hurt to make you cry but you’d never cry to them just to your soul
No you’d never cry to them just to your soul.
Si je ferme les yeux, Internet n’existe plus ?
« on rase gratis ce soir »
Bon ok, je danse dans le train.
Hem.
Rêves d’examens non révisés, de compagnonnage sexuel et finalement de catastrophe aérienne.
Un mec de la ville, de passage : « Tuer avec des gants, ce serait comme baiser avec une capote ! ».
Au moins avec les singes on n’a pas de surprises.
Et on va dans la forêt la nuit, on a juste la pleine lune comme lampe de poche et on peut imaginer facilement des choses effrayantes. Peurrr
Et une pensée pour les personnes isolées loin de l’administration système, des surgelés en bon état et de la lumière artificielle. Linge !
Mes yeux se voilent. Enfance. Glisser sur une rampe d’escalier bien longue, bien cirée. La rampe est soudainement changée en lame de rasoir.
Et dans la corne de l’Afrique. Les ventres gonflés. Par la faim.
Si vous voyez (encore) ce que je veux dire. Pour vous désinscrire du monde. t.co/4AGoIR4
Ça tremble de partout.
Quelques photos et ça sera le temps du rasoir.
Rough nuit à toutes.
« Allo Bain De Minuit » j’écoute !
Troubler, tripoter, tâter, substituer, sonder, révolutionner, retoucher, remuer, relâcher, rectifier, recevoir, porter, pétrir, percevoir…
Dans les rues qui se donnent ?
L’homme regarde l’Internet, l’Internet regarde l’homme.
Carver était un peu dans ce genre, avant de virer philosophe coupe-tête : t.co/O1Kpgnc
Les miliciens étaient les amis de l’ensemble de la population. Personne ne se cachait, les messages dissidents. t.co/EdLkFwM
Inforrrme et terrrible.
Je croque dans une pomme un peu trop verte et c’est le drame.
Les pompiers en ont marre c’est la grève aujourd’hui Il y a le feu partout c’est la fête des fous Il y a le feu partout et vive le feu…
Tu me vois…
Igor, une côte cassée, trouvait le matin bien long, les gestes du quotidien relativement pénibles à effectuer, le soleil bien trop rond.
Igor aimerait vous conseiller sur les gens à suivre le vendredi mais Mina lui signale qu’ils sont en mode privés ou super célèbres, donc.
Mina mangeait abondamment et souvent mais les arts martiaux pratiqués depuis l’enfance ne laissaient rien dépasser sous ses abdos d’ado.
Avec un cutter à deux lames on retire facilement un ongle. Ou un œil. Le deuxième est forcément plus problématique vu qu’on perd le relief.
Le mardi c’est pour la vie.
C’est carrément pas autorisé l’intrusion onirique sans permis. Surtout à répétition. Oui c’est à TOI que je parle. Passagère clandestine.
Et dehors. La chaleur lourde, à nouveau.
Igor aimerait vous conseiller sur les gens à suivre le vendredi mais Mina lui signale qu’ils sont en mode privé ou super célèbres, donc.
Igor constatait que, au bord de la piscine, les jeunes filles de province, donc qui se nourrissent, ont un petit ventre, sain et joli.
On levait le camp. Mina montait la garde. Carver et Igor pliaient la tente, lavaient la vaisselle, les chevaux.
Quelqu’un a mangé la soupe. Quelqu’un a dormi dans mon lit. Boucle d’Or ?!
Mina : « J’aime mon bo loulou pour ses hanches gracieuses, pour son doctorat en neuroscience appliquée aux armes de guerre innovantes ».
Je pense que je m’embrouille.
Le loup qui gratte à la porte m’empêche de dormir.
Souvvvent à la mer on se baigne ivres et nus au milieu des requins fous et mangeurs d’homme. Parfois on ne meurt pas. Parrrfois.
« Le cyberespace. Une hallucination consensuelle vécue quotidiennement en toute légalité par des dizaines de millions d’opérateurs… » W. G.
Tout bèl followers mw yo ki poko domi yo mw ta renmen nou ekrim yon bel ti sms pou n bonne nuit ?
Pour la nouvelle année, ses amis offrent, à Igor, tendres baisers, caresses interdites et affection spontanée. Ça le chavire. Merci.
Je te vois…
La foudre frappe dans le jardin. Les plombs sautent. Punition de nos vilaines pensées. Et le chat reste cool. Fourmillement sur le clavier.
This is not a suicide note.
Une illusion peut-elle exister ?
Dans mon abri j’entends les souris.
Vertiges de l’acide.
*tousse*
« on ne peut se protéger de la tristesse sans se protéger du bonheur » me rappelait souvent Mina.
Une jeune fille se frotte le visage avec un poulpe vivant. Personne ne semble surpris. Ça protège vraiment du soleil ?
Fracture. t.co/N7eAU7k
Un univers, un docteur, un hamster.
Carver cultivait ses rondeurs avec affection. Une robe de soirée ou son costume de geek sous les bombardements et les faire exploser. Joie.
Le tigre, allongé sur le sol, léchait ses grosses pattes du bout de sa longue langue rose.
J’ai compté, ça fait un nombre à un chiffre.
Question de thon au cœur de la nuit.
Je veux ta sieste.
Wesh gros.
Encore une minute et 3 ans.
Salive, bave, crachats et autres sécrétions. C’est plutôt stimulant.
Si le tourguenisme génératif est pensable, c’est tant il en identifie l’expression universelle en tant qu’objet sémiotique de connaissance.
Cette fille ressemble tellement à Kaneda que ça me donne l’envie irrépressible de lui offrir ma moto rouge trop bien. Hotel new rose.
Et merci à la visiteuse onirique « de l’enfer » d’avoir rapidement interrompu ses incursions à base d’avatars dessinés.
Et il pleut. A verse. Et l’eau recouvre Paris. Noyant les hipsters, les chiptsters et les autres, qui ne le méritaient sans doute pas tous.
Déjà vu.
Notons par ailleurs que Sartre particularise l’analyse idéationnelle du tourguenisme.
On vient de me livrer un tatoueur ivre de taille inhabituelle. Un T.I.T.I. Je vais l’installer dans le bureau. Il a juste un sac à main.
La Reine Mère des Terres Maudites communiquait. Son messager, muet et sourd, nous apportait un message, difficile à saisir, mais lisible.
Pondichery : séance photo avec les tigres.
Parfois on va à la campagne et personne ne meurt. Parrrfois.
Sur les flancs du dirigeable des terroristes, une maxime : « Jubilation matriarcale contre castration patriarcale ! »
Et l’eau. t.co/xoF4W2u
Et on laisse des messages sur Internet parce que le téléphone fait un peu de lumière. Artificielle. Et un peu de réseau ça rrrassure. Poc.
je prédis un grand retour de « c’est ce qu’elles me disent toutes »
En fait si on veut aider la nation faut boire des litres de whisky-coke à Disneyland en fumant 4 paquets par jour.
Je suis à 38 années Google de la plénitude. De la terre. De la mort. De toi. De tes yeux. Du spin de cette carte à jouer. De la fin et nu.
Rêver toutes les nuits d’une personne virtuelle jamais croisée ni vue, sysadmin. Chelou.
Igor : « Quitter la ville, enfin. » Mina : « Ne rêve pas : c’est terminé. » Carver : « LOL ! » Igor : « Mais..! » Mina rigole et ouvre le feu.
L’Homme à la tête de chat dans le panier n’attendait qu’un signe de sa maitresse pour éventrer le petit monstre hurleur du train vers Paris.
Suivre le chat dans la forêt. Rencontrer son amante secrète. Tous les trois on écoute les chiens hurler. Un peu inquiets on plisse les yeux.
Plus tard. A voir.
et la fin du monde
Mina fait son premier Twitpic de seins ? t.co/yfrzFYm
Reboot.
ᶘ ᵒᴥᵒᶅ <—- it’s not an ordinary bear.
Evidemment nous étions à table.
« Ca y est, Harisson «au revoir» Ford à enfin largué ce petit cul serré de Calista «Hard Core» Flockhart. » dit le Sage.
Pelez et émincer les oignons, les faire blondir à feu doux dans 30 g de margarine. Mélanger les oeufs, la margarine fondue, sel, poivre.
Je me sens comme James Bond sans son permis de tuer.
je prédis un grand retour de « je connaissais la même avec un rabbin »
Touche mes saints.
Ça vous semble fou, mais c’est arrivé.