On vient de me livrer un tatoueur ivre de taille inhabituelle. Un T.I.T.I. Je vais l’installer dans le bureau. Il a juste un sac à main.

 

Les pompiers en ont marre c’est la grève aujourd’hui Il y a le feu partout c’est la fête des fous Il y a le feu partout et vive le feu…

 

 et la fin du monde 

 

« on rase gratis ce soir »

 

Carver cultivait ses rondeurs avec affection. Une robe de soirée ou son costume de geek sous les bombardements et les faire exploser. Joie.

 

« Allo Bain De Minuit » j’écoute !

 

Un mec de la ville, de passage : « Tuer avec des gants, ce serait comme baiser avec une capote ! ».

 

Le loup qui gratte à la porte m’empêche de dormir.

 

Bon ok, je danse dans le train.

 

Forcément je vais me renseigner. #haunting #sysadmin

 

Le mardi c’est pour la vie.

 

Carnivores, les plantes.

 

Et je pose nu pour un magazine de jardinage.

 

Rêver toutes les nuits d’une personne virtuelle jamais croisée ni vue, sysadmin. Chelou.

 

Igor constatait que, au bord de la piscine, les jeunes filles de province, donc qui se nourrissent, ont un petit ventre, sain et joli.

 

Tu me vois…

 

Et on va dans la forêt la nuit, on a juste la pleine lune comme lampe de poche et on peut imaginer facilement des choses effrayantes. Peurrr

 

Je te vois…

 

Devant, derrière.

 

Dans les rues qui se donnent ?

 

« Seules les personnes vraiment célèbres passent en privé sur Twitter » théorise Carver en finissant sa 1664 grenadine. Le décor explose.

 

Rêves d’examens non révisés, de compagnonnage sexuel et finalement de catastrophe aérienne.

 

« Ca y est, Harisson «au revoir» Ford à enfin largué ce petit cul serré de Calista «Hard Core» Flockhart. » dit le Sage.

 

Autant être à l’aise.

 

« on ne peut se protéger de la tristesse sans se protéger du bonheur » me rappelait souvent Mina.

 

They’d hurt to make you cry but you’d never cry to them just to your soul
No you’d never cry to them just to your soul.

 

Igor : « on va tellement crever Sexy Sushi vendredi soir que vous aurez plus rien samedi ». Mina : « oué oué, on verra ». Carver : « policière ? »

 

Lieu ou construction sommaire servant de protection contre les intempéries, de refuge contre un danger. Contre pluie, bombes, rats, dindes.

 

Un univers, un docteur, un hamster.

 

Dans mon abri j’entends les souris.

 

La vie est finalement dans l’ensemble plutôt intéressante. Et en particulier. La vie.

 

L’Homme à la tête de chat dans le panier n’attendait qu’un signe de sa maitresse pour éventrer le petit monstre hurleur du train vers Paris.

 

Mina : « J’aime mon bo loulou pour ses hanches gracieuses, pour son doctorat en neuroscience appliquée aux armes de guerre innovantes ».

 

Je croque dans une pomme un peu trop verte et c’est le drame.

 

Au moins avec les singes on n’a pas de surprises.

 

Nous réservons tout le 3ème étage. Certaines cloisons sont abattues. On fait de la place autour des chaudrons et des planches à découper.

 

J’ai compté, ça fait un nombre à un chiffre.

 

Mina mangeait abondamment et souvent mais les arts martiaux pratiqués depuis l’enfance ne laissaient rien dépasser sous ses abdos d’ado.

 

L’Internet existe au-dessus et en dessous de son nœud ?

 

Je veux recevoir des morceaux de ton corps. t.co/3toWtXf

 

Cette fille ressemble tellement à Kaneda que ça me donne l’envie irrépressible de lui offrir ma moto rouge trop bien. Hotel new rose.

 

Ne pas boire avant le festival.

 

Pour la nouvelle année, ses amis offrent, à Igor, tendres baisers, caresses interdites et affection spontanée. Ça le chavire. Merci.

 

C’est carrément pas autorisé l’intrusion onirique sans permis. Surtout à répétition. Oui c’est à TOI que je parle. Passagère clandestine.

 

Quand Mina & Igor jouaient aux Snipers, ils coordonnaient leurs gestes en écoutant « Miami » par Will Smith. Ils étaient vraiment bons.

 

Si vous jouez avec les animaux non apprivoisés, petits lapins, vous risquez de vous faire pincer très fort. Portez un fez, un nœud papillon.

 

Et nous restons sous les mortels rayons du soleil. Au bord de la piscine. Nos corps cancéreux et maladifs tremblants et nus. Rumba.

 

Pelez et émincer les oignons, les faire blondir à feu doux dans 30 g de margarine. Mélanger les oeufs, la margarine fondue, sel, poivre.

 

Et on arrive à Toulouse.

 

Parfois on va à la campagne et personne ne meurt. Parrrfois.

 

Igor aimerait vous conseiller sur les gens à suivre le vendredi mais Mina lui signale qu’ils sont en mode privés ou super célèbres, donc.

 

Et dans la corne de l’Afrique. Les ventres gonflés. Par la faim.

 

Wesh gros.

 

En fait si on veut aider la nation faut boire des litres de whisky-coke à Disneyland en fumant 4 paquets par jour.

 

Plus tard. A voir.

 

Encore une minute et 3 ans.

 

Sommeil où es tu ?

 

Et il pleut. A verse. Et l’eau recouvre Paris. Noyant les hipsters, les chiptsters et les autres, qui ne le méritaient sans doute pas tous.

 

Et l’eau. t.co/xoF4W2u

 

Hey ! Vous dormez ? Moi oui.

 

La foudre frappe dans le jardin. Les plombs sautent. Punition de nos vilaines pensées. Et le chat reste cool. Fourmillement sur le clavier.

 

La Reine Mère des Terres Maudites communiquait. Son messager, muet et sourd, nous apportait un message, difficile à saisir, mais lisible.

 

Et bienvenue tout le monde dans ce merveilleux mardi. Le mardi c’est comme le vélo. Quand on sait faire, on n’oublie pas. Le mardi c’est…

 

ᶘ ᵒᴥᵒᶅ <—- it’s not an ordinary bear.

 

Avec un cutter à deux lames on retire facilement un ongle. Ou un œil. Le deuxième est forcément plus problématique vu qu’on perd le relief.

 

Je me sens comme James Bond sans son permis de tuer.

 

Saké !? t.co/ouNIeVN

 

Encore une séance photo : le vaisseau fait d’ongles d’hommes morts. Mon assistante veut une augmentation. Une prime, au moins.

 

Quelques photos et ça sera le temps du rasoir.

 

Sur les flancs du dirigeable des terroristes, une maxime : « Jubilation matriarcale contre castration patriarcale ! »

 

*insérer ici une terrible gueule de bois à base de Jägermeister*

 

Igor, une côte cassée, trouvait le matin bien long, les gestes du quotidien relativement pénibles à effectuer, le soleil bien trop rond.

 

Igor : « Quitter la ville, enfin. » Mina : « Ne rêve pas : c’est terminé. » Carver : « LOL !  » Igor : « Mais..!  » Mina rigole et ouvre le feu.

 

Le train des rebelles en route vers la Sibérie. Mina ajuste ses cartouchières. Igor, rêveur, observe les champignons, les bombes, lumière.

 

Pendant quelques minutes, semelles de plomb terribles, la pluie sans doute ou le souvenir d’une chanson. Un duo boiteux, pour elle, au loin.

 

« Année Google » : proposez une définition.

 

This is not a suicide note.

 

Une illusion peut-elle exister ?

 

Sans ma barbe. t.co/hTJ0Ts7

 

Inforrrme et terrrible.

 

BALAFRE… elles ne peuvent l’oublier ! C’était un homme qui portait BALAFRE. Tout simplement. Un homme à l’élégance d’homme.

 

Et on laisse des messages sur Internet parce que le téléphone fait un peu de lumière. Artificielle. Et un peu de réseau ça rrrassure. Poc.

 

Et dehors. La chaleur lourde, à nouveau.

 

Je pense que je m’embrouille.

 

Ça tremble de partout.

 

Les chats peuvent aider à passer les frontières. Les pieds dans l’eau. 38. Donc. Je passe le seuil. Aveugle et hilare.

 

Ok, je craque.

 

Souvvvent à la mer on se baigne ivres et nus au milieu des requins fous et mangeurs d’homme. Parfois on ne meurt pas. Parrrfois.

 

Je veux que tu m’obéisses bien gentiment. t.co/DGZDTOg

 

Un type sur l’autre quai porte un costume, c’est un costume de chef indien, un sosie de Sitting Bull, le métro arrive enfin.

 

Mina fait son premier Twitpic de seins ? t.co/yfrzFYm

 

je prédis un grand retour de « je connaissais la même avec un rabbin »

 

Oui c’est TOI l’inconnue qui vient hanter mes nuits. T’occupant des serveurs d’une boutique de manga et bossant ensuite pour l’armée.

 

Et une pensée pour les personnes isolées loin de l’administration système, des surgelés en bon état et de la lumière artificielle. Linge !

 

Evidemment nous étions à table.

 

Pondichery : séance photo avec les tigres.

 

L’homme regarde l’Internet, l’Internet regarde l’homme.

 

Trois garçons imaginaires m’entrainent au fond du bassin, leurs mains comme les mâchoires d’un grand requin blanc, seul. Trop de sang, salé.

 

Une jeune fille se frotte le visage avec un poulpe vivant. Personne ne semble surpris. Ça protège vraiment du soleil ?

 

Touche mes saints.

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