Touche mes saints.

 

ᶘ ᵒᴥᵒᶅ <—- it’s not an ordinary bear.

 

Et dehors. La chaleur lourde, à nouveau.

 

Les pompiers en ont marre c’est la grève aujourd’hui Il y a le feu partout c’est la fête des fous Il y a le feu partout et vive le feu…

 

Evidemment nous étions à table.

 

Bon ok, je danse dans le train.

 

Mina : « J’aime mon bo loulou pour ses hanches gracieuses, pour son doctorat en neuroscience appliquée aux armes de guerre innovantes ».

 

Oui, on se le demande. t.co/gPqPCqR

 

Je pense que je m’embrouille.

 

Carver en entamant la descente finale : « Dans le Lac les Annéciens ! ».

 

Mina fait son premier Twitpic de seins ? t.co/yfrzFYm

 

Inforrrme et terrrible.

 

Un mec de la ville, de passage : « Tuer avec des gants, ce serait comme baiser avec une capote ! ».

 

Si je ferme les yeux, Internet n’existe plus ?

 

They’d hurt to make you cry but you’d never cry to them just to your soul
No you’d never cry to them just to your soul.

 

Autant être à l’aise.

 

Je te vois…

 

Et il pleut. A verse. Et l’eau recouvre Paris. Noyant les hipsters, les chiptsters et les autres, qui ne le méritaient sans doute pas tous.

 

L’homme regarde l’Internet, l’Internet regarde l’homme.

 

Et dans la corne de l’Afrique. Les ventres gonflés. Par la faim.

 

Souvvvent à la mer on se baigne ivres et nus au milieu des requins fous et mangeurs d’homme. Parfois on ne meurt pas. Parrrfois.

 

Quelques photos et ça sera le temps du rasoir.

 

Le tigre, allongé sur le sol, léchait ses grosses pattes du bout de sa longue langue rose.

 

This is not a suicide note.

 

Mère nature semble mécontente des suites de l’affaire #DSK.

 

*insérer ici une terrible gueule de bois à base de Jägermeister*

 

*tousse*

 

La Reine Mère des Terres Maudites communiquait. Son messager, muet et sourd, nous apportait un message, difficile à saisir, mais lisible.

 

Quand Mina & Igor jouaient aux Snipers, ils coordonnaient leurs gestes en écoutant « Miami » par Will Smith. Ils étaient vraiment bons.

 

Tout bèl followers mw yo ki poko domi yo mw ta renmen nou ekrim yon bel ti sms pou n bonne nuit ?

 

Vertiges de l’acide.

 

 et la fin du monde 

 

« on rase gratis ce soir »

 

Pelez et émincer les oignons, les faire blondir à feu doux dans 30 g de margarine. Mélanger les oeufs, la margarine fondue, sel, poivre.

 

Et on arrive à Toulouse.

 

Tu me vois…

 

Carver cultivait ses rondeurs avec affection. Une robe de soirée ou son costume de geek sous les bombardements et les faire exploser. Joie.

 

Et l’eau. t.co/xoF4W2u

 

Reboot.

 

« Année Google » : proposez une définition.

 

« on ne peut se protéger de la tristesse sans se protéger du bonheur » me rappelait souvent Mina.

 

Ok, je craque.

 

Pour la nouvelle année, ses amis offrent, à Igor, tendres baisers, caresses interdites et affection spontanée. Ça le chavire. Merci.

 

Ça tremble de partout.

 

Rêver toutes les nuits d’une personne virtuelle jamais croisée ni vue, sysadmin. Chelou.

 

Et on laisse des messages sur Internet parce que le téléphone fait un peu de lumière. Artificielle. Et un peu de réseau ça rrrassure. Poc.

 

Les miliciens étaient les amis de l’ensemble de la population. Personne ne se cachait, les messages dissidents. t.co/EdLkFwM

 

Et quitter Bombay.

 

Trois garçons imaginaires m’entrainent au fond du bassin, leurs mains comme les mâchoires d’un grand requin blanc, seul. Trop de sang, salé.

 

Devant, derrière.

 

Dans mon abri j’entends les souris.

 

Question de thon au cœur de la nuit.

 

Et une pensée pour les personnes isolées loin de l’administration système, des surgelés en bon état et de la lumière artificielle. Linge !

 

Une illusion peut-elle exister ?

 

Je veux ta sieste.

 

Si le tourguenisme génératif est pensable, c’est tant il en identifie l’expression universelle en tant qu’objet sémiotique de connaissance.

 

Fuck Jimmy.

 

On levait le camp. Mina montait la garde. Carver et Igor pliaient la tente, lavaient la vaisselle, les chevaux.

 

Encore une séance photo : le vaisseau fait d’ongles d’hommes morts. Mon assistante veut une augmentation. Une prime, au moins.

 

Encore une minute et 3 ans.

 

Pondichery : séance photo avec les tigres.

 

Le mardi c’est tellement… Vendredi.

 

Notons par ailleurs que Sartre particularise l’analyse idéationnelle du tourguenisme.

 

I am now in love with french girls.. well you.. you get the picture.

 

Quelqu’un a mangé la soupe. Quelqu’un a dormi dans mon lit. Boucle d’Or ?!

 

Et merci à la visiteuse onirique « de l’enfer » d’avoir rapidement interrompu ses incursions à base d’avatars dessinés.

 

En vieillissant, le cœur grossit ? Si on se marie, le compteur se bloque pour toujours ? Ceci > Cela.

 

Et je pose nu pour un magazine de jardinage.

 

Salive, bave, crachats et autres sécrétions. C’est plutôt stimulant.

 

Le train des rebelles en route vers la Sibérie. Mina ajuste ses cartouchières. Igor, rêveur, observe les champignons, les bombes, lumière.

 

Ne pas passer sa vie à la gagner.

 

Bon ok, je pleure dans le train.

 

Dans les rues qui se donnent ?

 

Forcément je vais me renseigner. #haunting #sysadmin

 

Oui c’est TOI l’inconnue qui vient hanter mes nuits. T’occupant des serveurs d’une boutique de manga et bossant ensuite pour l’armée.

 

La vie est finalement dans l’ensemble plutôt intéressante. Et en particulier. La vie.

 

« Ca y est, Harisson «au revoir» Ford à enfin largué ce petit cul serré de Calista «Hard Core» Flockhart. » dit le Sage.

 

Si vous voyez (encore) ce que je veux dire. Pour vous désinscrire du monde. t.co/4AGoIR4

 

Hem.

 

Je me sens comme James Bond sans son permis de tuer.

 

Et on va dans la forêt la nuit, on a juste la pleine lune comme lampe de poche et on peut imaginer facilement des choses effrayantes. Peurrr

 

Je veux recevoir des morceaux de ton corps. t.co/3toWtXf

 

« Le cyberespace. Une hallucination consensuelle vécue quotidiennement en toute légalité par des dizaines de millions d’opérateurs… » W. G.

 

Ne pas boire avant le festival.

 

Bonne Saint-Barthélemy à tous !

 

La foudre frappe dans le jardin. Les plombs sautent. Punition de nos vilaines pensées. Et le chat reste cool. Fourmillement sur le clavier.

 

Igor : « Quitter la ville, enfin. » Mina : « Ne rêve pas : c’est terminé. » Carver : « LOL !  » Igor : « Mais..!  » Mina rigole et ouvre le feu.

 

Sans ma barbe. t.co/hTJ0Ts7

 

BALAFRE… elles ne peuvent l’oublier ! C’était un homme qui portait BALAFRE. Tout simplement. Un homme à l’élégance d’homme.

 

Saké !? t.co/ouNIeVN

 

Rêves d’examens non révisés, de compagnonnage sexuel et finalement de catastrophe aérienne.

 

L’Homme à la tête de chat dans le panier n’attendait qu’un signe de sa maitresse pour éventrer le petit monstre hurleur du train vers Paris.

 

Je croque dans une pomme un peu trop verte et c’est le drame.

 

Je suis à 38 années Google de la plénitude. De la terre. De la mort. De toi. De tes yeux. Du spin de cette carte à jouer. De la fin et nu.

 

Je veux que tu m’obéisses bien gentiment. t.co/DGZDTOg

 

« Seules les personnes vraiment célèbres passent en privé sur Twitter » théorise Carver en finissant sa 1664 grenadine. Le décor explose.

 

Sommeil où es tu ?

 

je prédis un grand retour de « c’est ce qu’elles me disent toutes »

 

J’ai compté, ça fait un nombre à un chiffre.

 

Cette fille ressemble tellement à Kaneda que ça me donne l’envie irrépressible de lui offrir ma moto rouge trop bien. Hotel new rose.

« là