Si le tourguenisme génératif est pensable, c’est tant il en identifie l’expression universelle en tant qu’objet sémiotique de connaissance.

 

Mère nature semble mécontente des suites de l’affaire #DSK.

 

Je suis à 38 années Google de la plénitude. De la terre. De la mort. De toi. De tes yeux. Du spin de cette carte à jouer. De la fin et nu.

 

Devant, derrière.

 

Et dans la corne de l’Afrique. Les ventres gonflés. Par la faim.

 

Oui c’est TOI l’inconnue qui vient hanter mes nuits. T’occupant des serveurs d’une boutique de manga et bossant ensuite pour l’armée.

 

Si vous voyez (encore) ce que je veux dire. Pour vous désinscrire du monde. t.co/4AGoIR4

 

Pondichery : séance photo avec les tigres.

 

L’homme regarde l’Internet, l’Internet regarde l’homme.

 

Le mardi c’est pour la vie.

 

Igor aimerait vous conseiller sur les gens à suivre le vendredi mais Mina lui signale qu’ils sont en mode privé ou super célèbres, donc.

 

Lieu ou construction sommaire servant de protection contre les intempéries, de refuge contre un danger. Contre pluie, bombes, rats, dindes.

 

Non mais sérieux, là, tous, on ne devrait pas être plutôt en train de sauver le monde ? (please RT) *tousse*

 

Quand Mina & Igor jouaient aux Snipers, ils coordonnaient leurs gestes en écoutant « Miami » par Will Smith. Ils étaient vraiment bons.

 

« Allo Bain De Minuit » j’écoute !

 

Igor : « on va tellement crever Sexy Sushi vendredi soir que vous aurez plus rien samedi ». Mina : « oué oué, on verra ». Carver : « policière ? »

 

Encore une séance photo : le vaisseau fait d’ongles d’hommes morts. Mon assistante veut une augmentation. Une prime, au moins.

 

Et on laisse des messages sur Internet parce que le téléphone fait un peu de lumière. Artificielle. Et un peu de réseau ça rrrassure. Poc.

 

Une illusion peut-elle exister ?

 

La vie est finalement dans l’ensemble plutôt intéressante. Et en particulier. La vie.

 

Au moins avec les singes on n’a pas de surprises.

 

« Année Google » : proposez une définition.

 

Vertiges de l’acide.

 

Parfois on va à la campagne et personne ne meurt. Parrrfois.

 

Je me sens comme James Bond sans son permis de tuer.

 

Et l’eau. t.co/xoF4W2u

 

Fuck Jimmy.

 

Pour la nouvelle année, ses amis offrent, à Igor, tendres baisers, caresses interdites et affection spontanée. Ça le chavire. Merci.

 

Cette fille ressemble tellement à Kaneda que ça me donne l’envie irrépressible de lui offrir ma moto rouge trop bien. Hotel new rose.

 

Le mardi c’est tellement… Vendredi.

 

Bonne Saint-Barthélemy à tous !

 

Une jeune fille se frotte le visage avec un poulpe vivant. Personne ne semble surpris. Ça protège vraiment du soleil ?

 

Carver et Mina venaient de retrouver un artefact d’avant l’Irréparable Incident. Recueillement. t.co/Qo5oo1a

 

Je veux ta sieste.

 

Troubler, tripoter, tâter, substituer, sonder, révolutionner, retoucher, remuer, relâcher, rectifier, recevoir, porter, pétrir, percevoir…

 

La Reine Mère des Terres Maudites communiquait. Son messager, muet et sourd, nous apportait un message, difficile à saisir, mais lisible.

 

Et dehors. La chaleur lourde, à nouveau.

 

Ce soir, je change d’île pour dormir.

 

Touche mes saints.

 

Mes yeux se voilent. Enfance. Glisser sur une rampe d’escalier bien longue, bien cirée. La rampe est soudainement changée en lame de rasoir.

 

Je croque dans une pomme un peu trop verte et c’est le drame.

 

Et quitter Bombay.

 

Tout bèl followers mw yo ki poko domi yo mw ta renmen nou ekrim yon bel ti sms pou n bonne nuit ?

 

This is not a suicide note.

 

Carver cultivait ses rondeurs avec affection. Une robe de soirée ou son costume de geek sous les bombardements et les faire exploser. Joie.

 

Avec un cutter à deux lames on retire facilement un ongle. Ou un œil. Le deuxième est forcément plus problématique vu qu’on perd le relief.

 

Ne pas passer sa vie à la gagner.

 

*tousse*

 

En fait si on veut aider la nation faut boire des litres de whisky-coke à Disneyland en fumant 4 paquets par jour.

 

Je te vois…

 

Mina fait son premier Twitpic de seins ? t.co/yfrzFYm

 

Inforrrme et terrrible.

 

Quelques photos et ça sera le temps du rasoir.

 

Hem.

 

Pelez et émincer les oignons, les faire blondir à feu doux dans 30 g de margarine. Mélanger les oeufs, la margarine fondue, sel, poivre.

 

Et on va dans la forêt la nuit, on a juste la pleine lune comme lampe de poche et on peut imaginer facilement des choses effrayantes. Peurrr

 

Bon ok, je pleure dans le train.

 

« Ca y est, Harisson «au revoir» Ford à enfin largué ce petit cul serré de Calista «Hard Core» Flockhart. » dit le Sage.

 

L’Internet existe au-dessus et en dessous de son nœud ?

 

Rêver toutes les nuits d’une personne virtuelle jamais croisée ni vue, sysadmin. Chelou.

 

Trois garçons imaginaires m’entrainent au fond du bassin, leurs mains comme les mâchoires d’un grand requin blanc, seul. Trop de sang, salé.

 

Le tigre, allongé sur le sol, léchait ses grosses pattes du bout de sa longue langue rose.

 

Tu me vois…

 

They’d hurt to make you cry but you’d never cry to them just to your soul
No you’d never cry to them just to your soul.

 

Le loup qui gratte à la porte m’empêche de dormir.

 

« on rase gratis ce soir »

 

On vient de me livrer un tatoueur ivre de taille inhabituelle. Un T.I.T.I. Je vais l’installer dans le bureau. Il a juste un sac à main.

 

Igor aimerait vous conseiller sur les gens à suivre le vendredi mais Mina lui signale qu’ils sont en mode privés ou super célèbres, donc.

 

« Le cyberespace. Une hallucination consensuelle vécue quotidiennement en toute légalité par des dizaines de millions d’opérateurs… » W. G.

 

I am now in love with french girls.. well you.. you get the picture.

 

Les miliciens étaient les amis de l’ensemble de la population. Personne ne se cachait, les messages dissidents. t.co/EdLkFwM

 

Nous réservons tout le 3ème étage. Certaines cloisons sont abattues. On fait de la place autour des chaudrons et des planches à découper.

 

Un mec de la ville, de passage : « Tuer avec des gants, ce serait comme baiser avec une capote ! ».

 

Reboot.

 

Suivre le chat dans la forêt. Rencontrer son amante secrète. Tous les trois on écoute les chiens hurler. Un peu inquiets on plisse les yeux.

 

je prédis un grand retour de « c’est ce qu’elles me disent toutes »

 

Et on arrive à Toulouse.

 

 et la fin du monde 

 

Sur les flancs du dirigeable des terroristes, une maxime : « Jubilation matriarcale contre castration patriarcale ! »

 

Pendant quelques minutes, semelles de plomb terribles, la pluie sans doute ou le souvenir d’une chanson. Un duo boiteux, pour elle, au loin.

 

Evidemment nous étions à table.

 

Je pense que je m’embrouille.

 

Dans les rues qui se donnent ?

 

Question de thon au cœur de la nuit.

 

Igor constatait que, au bord de la piscine, les jeunes filles de province, donc qui se nourrissent, ont un petit ventre, sain et joli.

 

Sommeil où es tu ?

 

ᶘ ᵒᴥᵒᶅ <—- it’s not an ordinary bear.

 

Carnivores, les plantes.

 

L’Homme à la tête de chat dans le panier n’attendait qu’un signe de sa maitresse pour éventrer le petit monstre hurleur du train vers Paris.

 

On levait le camp. Mina montait la garde. Carver et Igor pliaient la tente, lavaient la vaisselle, les chevaux.

 

Si vous jouez avec les animaux non apprivoisés, petits lapins, vous risquez de vous faire pincer très fort. Portez un fez, un nœud papillon.

 

Carver en entamant la descente finale : « Dans le Lac les Annéciens ! ».

 

Un univers, un docteur, un hamster.

 

Salive, bave, crachats et autres sécrétions. C’est plutôt stimulant.

 

Et une pensée pour les personnes isolées loin de l’administration système, des surgelés en bon état et de la lumière artificielle. Linge !

 

Carver était un peu dans ce genre, avant de virer philosophe coupe-tête : t.co/O1Kpgnc

 

Et bienvenue tout le monde dans ce merveilleux mardi. Le mardi c’est comme le vélo. Quand on sait faire, on n’oublie pas. Le mardi c’est…

 

Et nous restons sous les mortels rayons du soleil. Au bord de la piscine. Nos corps cancéreux et maladifs tremblants et nus. Rumba.

 

Saké !? t.co/ouNIeVN

 

Et il pleut. A verse. Et l’eau recouvre Paris. Noyant les hipsters, les chiptsters et les autres, qui ne le méritaient sans doute pas tous.

« là