« Ca y est, Harisson «au revoir» Ford à enfin largué ce petit cul serré de Calista «Hard Core» Flockhart. » dit le Sage.
Mes yeux se voilent. Enfance. Glisser sur une rampe d’escalier bien longue, bien cirée. La rampe est soudainement changée en lame de rasoir.
Carver était un peu dans ce genre, avant de virer philosophe coupe-tête : t.co/O1Kpgnc
Igor : « on va tellement crever Sexy Sushi vendredi soir que vous aurez plus rien samedi ». Mina : « oué oué, on verra ». Carver : « policière ? »
Une illusion peut-elle exister ?
Les pompiers en ont marre c’est la grève aujourd’hui Il y a le feu partout c’est la fête des fous Il y a le feu partout et vive le feu…
Bon ok, je pleure dans le train.
je prédis un grand retour de « c’est ce qu’elles me disent toutes »
Suivre le chat dans la forêt. Rencontrer son amante secrète. Tous les trois on écoute les chiens hurler. Un peu inquiets on plisse les yeux.
L’Internet existe au-dessus et en dessous de son nœud ?
Et merci à la visiteuse onirique « de l’enfer » d’avoir rapidement interrompu ses incursions à base d’avatars dessinés.
Ça tremble de partout.
Sommeil où es tu ?
Si vous jouez avec les animaux non apprivoisés, petits lapins, vous risquez de vous faire pincer très fort. Portez un fez, un nœud papillon.
Le loup qui gratte à la porte m’empêche de dormir.
Lieu ou construction sommaire servant de protection contre les intempéries, de refuge contre un danger. Contre pluie, bombes, rats, dindes.
Et dehors. La chaleur lourde, à nouveau.
Sur les flancs du dirigeable des terroristes, une maxime : « Jubilation matriarcale contre castration patriarcale ! »
Bon ok, je danse dans le train.
Rough nuit à toutes.
« on rase gratis ce soir »
Notons par ailleurs que Sartre particularise l’analyse idéationnelle du tourguenisme.
Et on laisse des messages sur Internet parce que le téléphone fait un peu de lumière. Artificielle. Et un peu de réseau ça rrrassure. Poc.
Mina mangeait abondamment et souvent mais les arts martiaux pratiqués depuis l’enfance ne laissaient rien dépasser sous ses abdos d’ado.
Igor, une côte cassée, trouvait le matin bien long, les gestes du quotidien relativement pénibles à effectuer, le soleil bien trop rond.
On levait le camp. Mina montait la garde. Carver et Igor pliaient la tente, lavaient la vaisselle, les chevaux.
Souvvvent à la mer on se baigne ivres et nus au milieu des requins fous et mangeurs d’homme. Parfois on ne meurt pas. Parrrfois.
Quand Mina & Igor jouaient aux Snipers, ils coordonnaient leurs gestes en écoutant « Miami » par Will Smith. Ils étaient vraiment bons.
Rêver toutes les nuits d’une personne virtuelle jamais croisée ni vue, sysadmin. Chelou.
Un mec de la ville, de passage : « Tuer avec des gants, ce serait comme baiser avec une capote ! ».
Carver cultivait ses rondeurs avec affection. Une robe de soirée ou son costume de geek sous les bombardements et les faire exploser. Joie.
« Allo Bain De Minuit » j’écoute !
Sans ma barbe. t.co/hTJ0Ts7
*tousse*
Et il pleut. A verse. Et l’eau recouvre Paris. Noyant les hipsters, les chiptsters et les autres, qui ne le méritaient sans doute pas tous.
Je pense que je m’embrouille.
Question de thon au cœur de la nuit.
Ce soir, je change d’île pour dormir.
Non mais sérieux, là, tous, on ne devrait pas être plutôt en train de sauver le monde ? (please RT) *tousse*
Je suis à 38 années Google de la plénitude. De la terre. De la mort. De toi. De tes yeux. Du spin de cette carte à jouer. De la fin et nu.
*insérer ici une terrible gueule de bois à base de Jägermeister*
Je me sens comme James Bond sans son permis de tuer.
Carnivores, les plantes.
Pendant quelques minutes, semelles de plomb terribles, la pluie sans doute ou le souvenir d’une chanson. Un duo boiteux, pour elle, au loin.
Je veux recevoir des morceaux de ton corps. t.co/3toWtXf
Et nous restons sous les mortels rayons du soleil. Au bord de la piscine. Nos corps cancéreux et maladifs tremblants et nus. Rumba.
Je te vois…
Plus tard. A voir.
Ça vous semble fou, mais c’est arrivé.
Troubler, tripoter, tâter, substituer, sonder, révolutionner, retoucher, remuer, relâcher, rectifier, recevoir, porter, pétrir, percevoir…
Autant être à l’aise.
Evidemment nous étions à table.
On vient de me livrer un tatoueur ivre de taille inhabituelle. Un T.I.T.I. Je vais l’installer dans le bureau. Il a juste un sac à main.
Dans les rues qui se donnent ?
ᶘ ᵒᴥᵒᶅ <—- it’s not an ordinary bear.
Wesh gros.
Devant, derrière.
Un type sur l’autre quai porte un costume, c’est un costume de chef indien, un sosie de Sitting Bull, le métro arrive enfin.
Ne pas passer sa vie à la gagner.
Fracture. t.co/N7eAU7k
« Seules les personnes vraiment célèbres passent en privé sur Twitter » théorise Carver en finissant sa 1664 grenadine. Le décor explose.
Nous réservons tout le 3ème étage. Certaines cloisons sont abattues. On fait de la place autour des chaudrons et des planches à découper.
L’homme regarde l’Internet, l’Internet regarde l’homme.
C’est carrément pas autorisé l’intrusion onirique sans permis. Surtout à répétition. Oui c’est à TOI que je parle. Passagère clandestine.
Et une pensée pour les personnes isolées loin de l’administration système, des surgelés en bon état et de la lumière artificielle. Linge !
Fuck Jimmy.
Pondichery : séance photo avec les tigres.
Quelqu’un a mangé la soupe. Quelqu’un a dormi dans mon lit. Boucle d’Or ?!
Et bienvenue tout le monde dans ce merveilleux mardi. Le mardi c’est comme le vélo. Quand on sait faire, on n’oublie pas. Le mardi c’est…
Igor aimerait vous conseiller sur les gens à suivre le vendredi mais Mina lui signale qu’ils sont en mode privés ou super célèbres, donc.
Oui c’est TOI l’inconnue qui vient hanter mes nuits. T’occupant des serveurs d’une boutique de manga et bossant ensuite pour l’armée.
Pour la nouvelle année, ses amis offrent, à Igor, tendres baisers, caresses interdites et affection spontanée. Ça le chavire. Merci.
Inforrrme et terrrible.
Une jeune fille se frotte le visage avec un poulpe vivant. Personne ne semble surpris. Ça protège vraiment du soleil ?
Je veux que tu m’obéisses bien gentiment. t.co/DGZDTOg
« on ne peut se protéger de la tristesse sans se protéger du bonheur » me rappelait souvent Mina.
Le tigre, allongé sur le sol, léchait ses grosses pattes du bout de sa longue langue rose.
Quelques photos et ça sera le temps du rasoir.
Encore une séance photo : le vaisseau fait d’ongles d’hommes morts. Mon assistante veut une augmentation. Une prime, au moins.
Ok, je craque.
Rêves d’examens non révisés, de compagnonnage sexuel et finalement de catastrophe aérienne.
Igor constatait que, au bord de la piscine, les jeunes filles de province, donc qui se nourrissent, ont un petit ventre, sain et joli.
I am now in love with french girls.. well you.. you get the picture.
Si vous voyez (encore) ce que je veux dire. Pour vous désinscrire du monde. t.co/4AGoIR4
This is not a suicide note.
Les chats peuvent aider à passer les frontières. Les pieds dans l’eau. 38. Donc. Je passe le seuil. Aveugle et hilare.
Le mardi c’est pour la vie.
Le mardi c’est tellement… Vendredi.
Carver en entamant la descente finale : « Dans le Lac les Annéciens ! ».
Si le tourguenisme génératif est pensable, c’est tant il en identifie l’expression universelle en tant qu’objet sémiotique de connaissance.
Un univers, un docteur, un hamster.
Trois garçons imaginaires m’entrainent au fond du bassin, leurs mains comme les mâchoires d’un grand requin blanc, seul. Trop de sang, salé.
je prédis un grand retour de « je connaissais la même avec un rabbin »
Je croque dans une pomme un peu trop verte et c’est le drame.
Les miliciens étaient les amis de l’ensemble de la population. Personne ne se cachait, les messages dissidents. t.co/EdLkFwM
Et dans la corne de l’Afrique. Les ventres gonflés. Par la faim.
BALAFRE… elles ne peuvent l’oublier ! C’était un homme qui portait BALAFRE. Tout simplement. Un homme à l’élégance d’homme.
J’ai compté, ça fait un nombre à un chiffre.
Tout bèl followers mw yo ki poko domi yo mw ta renmen nou ekrim yon bel ti sms pou n bonne nuit ?
Carver et Mina venaient de retrouver un artefact d’avant l’Irréparable Incident. Recueillement. t.co/Qo5oo1a