La vie est finalement dans l’ensemble plutôt intéressante. Et en particulier. La vie.
Salive, bave, crachats et autres sécrétions. C’est plutôt stimulant.
Igor aimerait vous conseiller sur les gens à suivre le vendredi mais Mina lui signale qu’ils sont en mode privé ou super célèbres, donc.
Dans les rues qui se donnent ?
Je pense que je m’embrouille.
Encore une minute et 3 ans.
Mère nature semble mécontente des suites de l’affaire #DSK.
Et l’eau. t.co/xoF4W2u
Ne pas passer sa vie à la gagner.
Et une pensée pour les personnes isolées loin de l’administration système, des surgelés en bon état et de la lumière artificielle. Linge !
Saké !? t.co/ouNIeVN
L’homme regarde l’Internet, l’Internet regarde l’homme.
Igor : « Quitter la ville, enfin. » Mina : « Ne rêve pas : c’est terminé. » Carver : « LOL ! » Igor : « Mais..! » Mina rigole et ouvre le feu.
On levait le camp. Mina montait la garde. Carver et Igor pliaient la tente, lavaient la vaisselle, les chevaux.
Et dehors. La chaleur lourde, à nouveau.
Et quitter Bombay.
Ne pas boire avant le festival.
Pelez et émincer les oignons, les faire blondir à feu doux dans 30 g de margarine. Mélanger les oeufs, la margarine fondue, sel, poivre.
Le loup qui gratte à la porte m’empêche de dormir.
C’est carrément pas autorisé l’intrusion onirique sans permis. Surtout à répétition. Oui c’est à TOI que je parle. Passagère clandestine.
Et je pose nu pour un magazine de jardinage.
Ça tremble de partout.
Ça vous semble fou, mais c’est arrivé.
« Ca y est, Harisson «au revoir» Ford à enfin largué ce petit cul serré de Calista «Hard Core» Flockhart. » dit le Sage.
Autant être à l’aise.
Quelqu’un a mangé la soupe. Quelqu’un a dormi dans mon lit. Boucle d’Or ?!
Si je ferme les yeux, Internet n’existe plus ?
Le mardi c’est tellement… Vendredi.
Pendant quelques minutes, semelles de plomb terribles, la pluie sans doute ou le souvenir d’une chanson. Un duo boiteux, pour elle, au loin.
Hey ! Vous dormez ? Moi oui.
L’Homme à la tête de chat dans le panier n’attendait qu’un signe de sa maitresse pour éventrer le petit monstre hurleur du train vers Paris.
Encore une séance photo : le vaisseau fait d’ongles d’hommes morts. Mon assistante veut une augmentation. Une prime, au moins.
Bon ok, je pleure dans le train.
Dans mon abri j’entends les souris.
Déjà vu.
Quand Mina & Igor jouaient aux Snipers, ils coordonnaient leurs gestes en écoutant « Miami » par Will Smith. Ils étaient vraiment bons.
Pondichery : séance photo avec les tigres.
Igor : « on va tellement crever Sexy Sushi vendredi soir que vous aurez plus rien samedi ». Mina : « oué oué, on verra ». Carver : « policière ? »
Rough nuit à toutes.
Les pompiers en ont marre c’est la grève aujourd’hui Il y a le feu partout c’est la fête des fous Il y a le feu partout et vive le feu…
Fuck Jimmy.
Hem.
Un univers, un docteur, un hamster.
Une illusion peut-elle exister ?
Vertiges de l’acide.
Le coton c’est doux. Naturel. Et biodégradable. Et un peu rugueux aussi. Juste comme il faut. Le chat valide de la tête.
*insérer ici une terrible gueule de bois à base de Jägermeister*
Oui c’est TOI l’inconnue qui vient hanter mes nuits. T’occupant des serveurs d’une boutique de manga et bossant ensuite pour l’armée.
Et il pleut. A verse. Et l’eau recouvre Paris. Noyant les hipsters, les chiptsters et les autres, qui ne le méritaient sans doute pas tous.
« Allo Bain De Minuit » j’écoute !
Un mec de la ville, de passage : « Tuer avec des gants, ce serait comme baiser avec une capote ! ».
Tout bèl followers mw yo ki poko domi yo mw ta renmen nou ekrim yon bel ti sms pou n bonne nuit ?
Tu me vois…
Pour la nouvelle année, ses amis offrent, à Igor, tendres baisers, caresses interdites et affection spontanée. Ça le chavire. Merci.
L’Internet existe au-dessus et en dessous de son nœud ?
Carver et Mina venaient de retrouver un artefact d’avant l’Irréparable Incident. Recueillement. t.co/Qo5oo1a
Carver cultivait ses rondeurs avec affection. Une robe de soirée ou son costume de geek sous les bombardements et les faire exploser. Joie.
Rêves d’examens non révisés, de compagnonnage sexuel et finalement de catastrophe aérienne.
Les chats peuvent aider à passer les frontières. Les pieds dans l’eau. 38. Donc. Je passe le seuil. Aveugle et hilare.
Et on arrive à Toulouse.
Et bienvenue tout le monde dans ce merveilleux mardi. Le mardi c’est comme le vélo. Quand on sait faire, on n’oublie pas. Le mardi c’est…
Et on laisse des messages sur Internet parce que le téléphone fait un peu de lumière. Artificielle. Et un peu de réseau ça rrrassure. Poc.
Inforrrme et terrrible.
Evidemment nous étions à table.
Je croque dans une pomme un peu trop verte et c’est le drame.
« Le cyberespace. Une hallucination consensuelle vécue quotidiennement en toute légalité par des dizaines de millions d’opérateurs… » W. G.
« Seules les personnes vraiment célèbres passent en privé sur Twitter » théorise Carver en finissant sa 1664 grenadine. Le décor explose.
Plus tard. A voir.
Nous réservons tout le 3ème étage. Certaines cloisons sont abattues. On fait de la place autour des chaudrons et des planches à découper.
je prédis un grand retour de « je connaissais la même avec un rabbin »
Bon ok, je danse dans le train.
Et merci à la visiteuse onirique « de l’enfer » d’avoir rapidement interrompu ses incursions à base d’avatars dessinés.
*tousse*
Fracture. t.co/N7eAU7k
Non mais sérieux, là, tous, on ne devrait pas être plutôt en train de sauver le monde ? (please RT) *tousse*
Carver en entamant la descente finale : « Dans le Lac les Annéciens ! ».
Les miliciens étaient les amis de l’ensemble de la population. Personne ne se cachait, les messages dissidents. t.co/EdLkFwM
Parfois on va à la campagne et personne ne meurt. Parrrfois.
La foudre frappe dans le jardin. Les plombs sautent. Punition de nos vilaines pensées. Et le chat reste cool. Fourmillement sur le clavier.
Le tigre, allongé sur le sol, léchait ses grosses pattes du bout de sa longue langue rose.
Et dans la corne de l’Afrique. Les ventres gonflés. Par la faim.
Carver était un peu dans ce genre, avant de virer philosophe coupe-tête : t.co/O1Kpgnc
Bonne Saint-Barthélemy à tous !
« Année Google » : proposez une définition.
J’ai compté, ça fait un nombre à un chiffre.
Je veux recevoir des morceaux de ton corps. t.co/3toWtXf
Et on va dans la forêt la nuit, on a juste la pleine lune comme lampe de poche et on peut imaginer facilement des choses effrayantes. Peurrr
je prédis un grand retour de « c’est ce qu’elles me disent toutes »
La Reine Mère des Terres Maudites communiquait. Son messager, muet et sourd, nous apportait un message, difficile à saisir, mais lisible.
Oui, on se le demande. t.co/gPqPCqR
Sans ma barbe. t.co/hTJ0Ts7
Au moins avec les singes on n’a pas de surprises.
Troubler, tripoter, tâter, substituer, sonder, révolutionner, retoucher, remuer, relâcher, rectifier, recevoir, porter, pétrir, percevoir…
They’d hurt to make you cry but you’d never cry to them just to your soul
No you’d never cry to them just to your soul.
Si le tourguenisme génératif est pensable, c’est tant il en identifie l’expression universelle en tant qu’objet sémiotique de connaissance.
Reboot.
Une jeune fille se frotte le visage avec un poulpe vivant. Personne ne semble surpris. Ça protège vraiment du soleil ?
Mina fait son premier Twitpic de seins ? t.co/yfrzFYm
Suivre le chat dans la forêt. Rencontrer son amante secrète. Tous les trois on écoute les chiens hurler. Un peu inquiets on plisse les yeux.
Si vous jouez avec les animaux non apprivoisés, petits lapins, vous risquez de vous faire pincer très fort. Portez un fez, un nœud papillon.