Quelqu’un a mangé la soupe. Quelqu’un a dormi dans mon lit. Boucle d’Or ?!

 

Le loup qui gratte à la porte m’empêche de dormir.

 

Carver et Mina venaient de retrouver un artefact d’avant l’Irréparable Incident. Recueillement. t.co/Qo5oo1a

 

L’homme regarde l’Internet, l’Internet regarde l’homme.

 

« on ne peut se protéger de la tristesse sans se protéger du bonheur » me rappelait souvent Mina.

 

Au moins avec les singes on n’a pas de surprises.

 

Rêver toutes les nuits d’une personne virtuelle jamais croisée ni vue, sysadmin. Chelou.

 

Devant, derrière.

 

Je pense que je m’embrouille.

 

Igor aimerait vous conseiller sur les gens à suivre le vendredi mais Mina lui signale qu’ils sont en mode privé ou super célèbres, donc.

 

Mes yeux se voilent. Enfance. Glisser sur une rampe d’escalier bien longue, bien cirée. La rampe est soudainement changée en lame de rasoir.

 

Je me sens comme James Bond sans son permis de tuer.

 

« Année Google » : proposez une définition.

 

Mère nature semble mécontente des suites de l’affaire #DSK.

 

Dans mon abri j’entends les souris.

 

Notons par ailleurs que Sartre particularise l’analyse idéationnelle du tourguenisme.

 

Question de thon au cœur de la nuit.

 

Pelez et émincer les oignons, les faire blondir à feu doux dans 30 g de margarine. Mélanger les oeufs, la margarine fondue, sel, poivre.

 

« Allo Bain De Minuit » j’écoute !

 

Fracture. t.co/N7eAU7k

 

Encore une séance photo : le vaisseau fait d’ongles d’hommes morts. Mon assistante veut une augmentation. Une prime, au moins.

 

ᶘ ᵒᴥᵒᶅ <—- it’s not an ordinary bear.

 

Ce soir, je change d’île pour dormir.

 

Et dehors. La chaleur lourde, à nouveau.

 

Et merci à la visiteuse onirique « de l’enfer » d’avoir rapidement interrompu ses incursions à base d’avatars dessinés.

 

Igor : « on va tellement crever Sexy Sushi vendredi soir que vous aurez plus rien samedi ». Mina : « oué oué, on verra ». Carver : « policière ? »

 

Oui, on se le demande. t.co/gPqPCqR

 

Forcément je vais me renseigner. #haunting #sysadmin

 

Quand Mina & Igor jouaient aux Snipers, ils coordonnaient leurs gestes en écoutant « Miami » par Will Smith. Ils étaient vraiment bons.

 

Et je pose nu pour un magazine de jardinage.

 

Mina mangeait abondamment et souvent mais les arts martiaux pratiqués depuis l’enfance ne laissaient rien dépasser sous ses abdos d’ado.

 

Mina fait son premier Twitpic de seins ? t.co/yfrzFYm

 

Evidemment nous étions à table.

 

La foudre frappe dans le jardin. Les plombs sautent. Punition de nos vilaines pensées. Et le chat reste cool. Fourmillement sur le clavier.

 

« on rase gratis ce soir »

 

Les miliciens étaient les amis de l’ensemble de la population. Personne ne se cachait, les messages dissidents. t.co/EdLkFwM

 

Je te vois…

 

Tu me vois…

 

Saké !? t.co/ouNIeVN

 

Je veux ta sieste.

 

Ok, je craque.

 

Avec un cutter à deux lames on retire facilement un ongle. Ou un œil. Le deuxième est forcément plus problématique vu qu’on perd le relief.

 

I am now in love with french girls.. well you.. you get the picture.

 

Igor : « Quitter la ville, enfin. » Mina : « Ne rêve pas : c’est terminé. » Carver : « LOL !  » Igor : « Mais..!  » Mina rigole et ouvre le feu.

 

This is not a suicide note.

 

je prédis un grand retour de « c’est ce qu’elles me disent toutes »

 

Pondichery : séance photo avec les tigres.

 

Igor constatait que, au bord de la piscine, les jeunes filles de province, donc qui se nourrissent, ont un petit ventre, sain et joli.

 

Parfois on va à la campagne et personne ne meurt. Parrrfois.

 

Hey ! Vous dormez ? Moi oui.

 

Je veux que tu m’obéisses bien gentiment. t.co/DGZDTOg

 

Et dans la corne de l’Afrique. Les ventres gonflés. Par la faim.

 

Si vous voyez (encore) ce que je veux dire. Pour vous désinscrire du monde. t.co/4AGoIR4

 

They’d hurt to make you cry but you’d never cry to them just to your soul
No you’d never cry to them just to your soul.

 

*insérer ici une terrible gueule de bois à base de Jägermeister*

 

« Ca y est, Harisson «au revoir» Ford à enfin largué ce petit cul serré de Calista «Hard Core» Flockhart. » dit le Sage.

 

L’Internet existe au-dessus et en dessous de son nœud ?

 

Et bienvenue tout le monde dans ce merveilleux mardi. Le mardi c’est comme le vélo. Quand on sait faire, on n’oublie pas. Le mardi c’est…

 

Je veux recevoir des morceaux de ton corps. t.co/3toWtXf

 

Fuck Jimmy.

 

Si le tourguenisme génératif est pensable, c’est tant il en identifie l’expression universelle en tant qu’objet sémiotique de connaissance.

 

Salive, bave, crachats et autres sécrétions. C’est plutôt stimulant.

 

Hem.

 

Et il pleut. A verse. Et l’eau recouvre Paris. Noyant les hipsters, les chiptsters et les autres, qui ne le méritaient sans doute pas tous.

 

Pour la nouvelle année, ses amis offrent, à Igor, tendres baisers, caresses interdites et affection spontanée. Ça le chavire. Merci.

 

Mina : « J’aime mon bo loulou pour ses hanches gracieuses, pour son doctorat en neuroscience appliquée aux armes de guerre innovantes ».

 

Je croque dans une pomme un peu trop verte et c’est le drame.

 

Rough nuit à toutes.

 

On vient de me livrer un tatoueur ivre de taille inhabituelle. Un T.I.T.I. Je vais l’installer dans le bureau. Il a juste un sac à main.

 

Igor aimerait vous conseiller sur les gens à suivre le vendredi mais Mina lui signale qu’ils sont en mode privés ou super célèbres, donc.

 

Encore une minute et 3 ans.

 

Pendant quelques minutes, semelles de plomb terribles, la pluie sans doute ou le souvenir d’une chanson. Un duo boiteux, pour elle, au loin.

 

Et nous restons sous les mortels rayons du soleil. Au bord de la piscine. Nos corps cancéreux et maladifs tremblants et nus. Rumba.

 

Carnivores, les plantes.

 

Sur les flancs du dirigeable des terroristes, une maxime : « Jubilation matriarcale contre castration patriarcale ! »

 

Et quitter Bombay.

 

Et on arrive à Toulouse.

 

Bon ok, je pleure dans le train.

 

La Reine Mère des Terres Maudites communiquait. Son messager, muet et sourd, nous apportait un message, difficile à saisir, mais lisible.

 

BALAFRE… elles ne peuvent l’oublier ! C’était un homme qui portait BALAFRE. Tout simplement. Un homme à l’élégance d’homme.

 

« Le cyberespace. Une hallucination consensuelle vécue quotidiennement en toute légalité par des dizaines de millions d’opérateurs… » W. G.

 

Si je ferme les yeux, Internet n’existe plus ?

 

Tout bèl followers mw yo ki poko domi yo mw ta renmen nou ekrim yon bel ti sms pou n bonne nuit ?

 

Igor, une côte cassée, trouvait le matin bien long, les gestes du quotidien relativement pénibles à effectuer, le soleil bien trop rond.

 

Le mardi c’est tellement… Vendredi.

 

Un mec de la ville, de passage : « Tuer avec des gants, ce serait comme baiser avec une capote ! ».

 

 et la fin du monde 

 

Ne pas boire avant le festival.

 

Un univers, un docteur, un hamster.

 

*tousse*

 

Oui c’est TOI l’inconnue qui vient hanter mes nuits. T’occupant des serveurs d’une boutique de manga et bossant ensuite pour l’armée.

 

Un type sur l’autre quai porte un costume, c’est un costume de chef indien, un sosie de Sitting Bull, le métro arrive enfin.

 

Bon ok, je danse dans le train.

 

Si vous jouez avec les animaux non apprivoisés, petits lapins, vous risquez de vous faire pincer très fort. Portez un fez, un nœud papillon.

 

Wesh gros.

 

Ça vous semble fou, mais c’est arrivé.

 

Plus tard. A voir.

 

Rêves d’examens non révisés, de compagnonnage sexuel et finalement de catastrophe aérienne.

 

L’Homme à la tête de chat dans le panier n’attendait qu’un signe de sa maitresse pour éventrer le petit monstre hurleur du train vers Paris.

 

Bonne Saint-Barthélemy à tous !

« là