Ne pas boire avant le festival.

 

On vient de me livrer un tatoueur ivre de taille inhabituelle. Un T.I.T.I. Je vais l’installer dans le bureau. Il a juste un sac à main.

 

L’Homme à la tête de chat dans le panier n’attendait qu’un signe de sa maitresse pour éventrer le petit monstre hurleur du train vers Paris.

 

Un mec de la ville, de passage : « Tuer avec des gants, ce serait comme baiser avec une capote ! ».

 

Déjà vu.

 

J’ai compté, ça fait un nombre à un chiffre.

 

Encore une minute et 3 ans.

 

Notons par ailleurs que Sartre particularise l’analyse idéationnelle du tourguenisme.

 

Igor : « Quitter la ville, enfin. » Mina : « Ne rêve pas : c’est terminé. » Carver : « LOL !  » Igor : « Mais..!  » Mina rigole et ouvre le feu.

 

Ça vous semble fou, mais c’est arrivé.

 

Je veux recevoir des morceaux de ton corps. t.co/3toWtXf

 

Et on va dans la forêt la nuit, on a juste la pleine lune comme lampe de poche et on peut imaginer facilement des choses effrayantes. Peurrr

 

La foudre frappe dans le jardin. Les plombs sautent. Punition de nos vilaines pensées. Et le chat reste cool. Fourmillement sur le clavier.

 

« Le cyberespace. Une hallucination consensuelle vécue quotidiennement en toute légalité par des dizaines de millions d’opérateurs… » W. G.

 

Mina fait son premier Twitpic de seins ? t.co/yfrzFYm

 

Quelqu’un a mangé la soupe. Quelqu’un a dormi dans mon lit. Boucle d’Or ?!

 

Rêves d’examens non révisés, de compagnonnage sexuel et finalement de catastrophe aérienne.

 

Rough nuit à toutes.

 

Le loup qui gratte à la porte m’empêche de dormir.

 

Dans les rues qui se donnent ?

 

*tousse*

 

Le mardi c’est pour la vie.

 

Trois garçons imaginaires m’entrainent au fond du bassin, leurs mains comme les mâchoires d’un grand requin blanc, seul. Trop de sang, salé.

 

Plus tard. A voir.

 

Ok, je craque.

 

Question de thon au cœur de la nuit.

 

Touche mes saints.

 

Je pense que je m’embrouille.

 

Pondichery : séance photo avec les tigres.

 

Carver et Mina venaient de retrouver un artefact d’avant l’Irréparable Incident. Recueillement. t.co/Qo5oo1a

 

*insérer ici une terrible gueule de bois à base de Jägermeister*

 

Et merci à la visiteuse onirique « de l’enfer » d’avoir rapidement interrompu ses incursions à base d’avatars dessinés.

 

Igor constatait que, au bord de la piscine, les jeunes filles de province, donc qui se nourrissent, ont un petit ventre, sain et joli.

 

Wesh gros.

 

Sommeil où es tu ?

 

Tout bèl followers mw yo ki poko domi yo mw ta renmen nou ekrim yon bel ti sms pou n bonne nuit ?

 

Inforrrme et terrrible.

 

ᶘ ᵒᴥᵒᶅ <—- it’s not an ordinary bear.

 

They’d hurt to make you cry but you’d never cry to them just to your soul
No you’d never cry to them just to your soul.

 

Je me sens comme James Bond sans son permis de tuer.

 

Si vous voyez (encore) ce que je veux dire. Pour vous désinscrire du monde. t.co/4AGoIR4

 

Les miliciens étaient les amis de l’ensemble de la population. Personne ne se cachait, les messages dissidents. t.co/EdLkFwM

 

Je suis à 38 années Google de la plénitude. De la terre. De la mort. De toi. De tes yeux. Du spin de cette carte à jouer. De la fin et nu.

 

Suivre le chat dans la forêt. Rencontrer son amante secrète. Tous les trois on écoute les chiens hurler. Un peu inquiets on plisse les yeux.

 

Ça tremble de partout.

 

Le mardi c’est tellement… Vendredi.

 

C’est carrément pas autorisé l’intrusion onirique sans permis. Surtout à répétition. Oui c’est à TOI que je parle. Passagère clandestine.

 

« Année Google » : proposez une définition.

 

Carver en entamant la descente finale : « Dans le Lac les Annéciens ! ».

 

Bonne Saint-Barthélemy à tous !

 

Les chats peuvent aider à passer les frontières. Les pieds dans l’eau. 38. Donc. Je passe le seuil. Aveugle et hilare.

 

Dans mon abri j’entends les souris.

 

« Ca y est, Harisson «au revoir» Ford à enfin largué ce petit cul serré de Calista «Hard Core» Flockhart. » dit le Sage.

 

Non mais sérieux, là, tous, on ne devrait pas être plutôt en train de sauver le monde ? (please RT) *tousse*

 

Au moins avec les singes on n’a pas de surprises.

 

Ne pas passer sa vie à la gagner.

 

Je te vois…

 

« Allo Bain De Minuit » j’écoute !

 

je prédis un grand retour de « c’est ce qu’elles me disent toutes »

 

Mère nature semble mécontente des suites de l’affaire #DSK.

 

Une illusion peut-elle exister ?

 

Si le tourguenisme génératif est pensable, c’est tant il en identifie l’expression universelle en tant qu’objet sémiotique de connaissance.

 

En fait si on veut aider la nation faut boire des litres de whisky-coke à Disneyland en fumant 4 paquets par jour.

 

Mina : « J’aime mon bo loulou pour ses hanches gracieuses, pour son doctorat en neuroscience appliquée aux armes de guerre innovantes ».

 

Je veux que tu m’obéisses bien gentiment. t.co/DGZDTOg

 

Parfois on va à la campagne et personne ne meurt. Parrrfois.

 

Hem.

 

Et on arrive à Toulouse.

 

Pour la nouvelle année, ses amis offrent, à Igor, tendres baisers, caresses interdites et affection spontanée. Ça le chavire. Merci.

 

Et l’eau. t.co/xoF4W2u

 

Et dehors. La chaleur lourde, à nouveau.

 

Encore une séance photo : le vaisseau fait d’ongles d’hommes morts. Mon assistante veut une augmentation. Une prime, au moins.

 

Hey ! Vous dormez ? Moi oui.

 

Et il pleut. A verse. Et l’eau recouvre Paris. Noyant les hipsters, les chiptsters et les autres, qui ne le méritaient sans doute pas tous.

 

This is not a suicide note.

 

Et bienvenue tout le monde dans ce merveilleux mardi. Le mardi c’est comme le vélo. Quand on sait faire, on n’oublie pas. Le mardi c’est…

 

Et dans la corne de l’Afrique. Les ventres gonflés. Par la faim.

 

Et une pensée pour les personnes isolées loin de l’administration système, des surgelés en bon état et de la lumière artificielle. Linge !

 

Un univers, un docteur, un hamster.

 

I am now in love with french girls.. well you.. you get the picture.

 

La vie est finalement dans l’ensemble plutôt intéressante. Et en particulier. La vie.

 

Fuck Jimmy.

 

Je croque dans une pomme un peu trop verte et c’est le drame.

 

Oui c’est TOI l’inconnue qui vient hanter mes nuits. T’occupant des serveurs d’une boutique de manga et bossant ensuite pour l’armée.

 

Quelques photos et ça sera le temps du rasoir.

 

Mes yeux se voilent. Enfance. Glisser sur une rampe d’escalier bien longue, bien cirée. La rampe est soudainement changée en lame de rasoir.

 

Sur les flancs du dirigeable des terroristes, une maxime : « Jubilation matriarcale contre castration patriarcale ! »

 

Cette fille ressemble tellement à Kaneda que ça me donne l’envie irrépressible de lui offrir ma moto rouge trop bien. Hotel new rose.

 

L’homme regarde l’Internet, l’Internet regarde l’homme.

 

Autant être à l’aise.

 

Nous réservons tout le 3ème étage. Certaines cloisons sont abattues. On fait de la place autour des chaudrons et des planches à découper.

 

Carnivores, les plantes.

 

Les pompiers en ont marre c’est la grève aujourd’hui Il y a le feu partout c’est la fête des fous Il y a le feu partout et vive le feu…

 

Bon ok, je danse dans le train.

 

Le train des rebelles en route vers la Sibérie. Mina ajuste ses cartouchières. Igor, rêveur, observe les champignons, les bombes, lumière.

 

« Seules les personnes vraiment célèbres passent en privé sur Twitter » théorise Carver en finissant sa 1664 grenadine. Le décor explose.

 

Devant, derrière.

 

Ce soir, je change d’île pour dormir.

 

Si je ferme les yeux, Internet n’existe plus ?

 

Evidemment nous étions à table.

« là