le récitant : ça sent le taureau. |
On ne parle pas du…
Hé, vous l’avez trop vu votre film,
trop de branlettes chemises brunes devant
idoles icones iconoclastes merchandizées,
revenez sur terre.
Starbucks Coffee (3min57sec)
Krispy Kreme (4min17sec)
Mountain Dew (4min18sec)
White Castle (4min19sec)
IKEA (4min50sec)
IKEA (5min22sec)
Pepsi (6min16sec)
Budweiser (29min18sec)
Pepsi (33min29sec)
Pepsi (41min47sec)
Budweiser (42min01sec)
Croton (44min50sec)
Gucci (45min05sec)
Cadillac (1h14min57sec)
Good Year (1h15min03sec)
AT&T (1h18min25sec)
Environmental Protection Agency (1h20min05sec)
Gucci (1h20min39sec)
Volks Wagen (1h20min40sec)
Apple (1h21min20sec)
Molson Dry, Moutain Dew et Pepsi (1h21min50sec)
Westinghouse (1h31min01sec)
Busch (1h31min28sec)
Pepsi (1h31min44sec)
Pressman Hotel (1h35min10sec)
Budweiser (1h48min38sec)
Pepsi (1h55min12sec)
Hotel Lindy (1h56min59sec)
Hotel Bristol (1h57min06sec)
Clifton’s Cafeteria (1h59min32sec)
MCI (1h59min47sec)
Sony (2h09min17sec)
Busch (2h14min01sec)
Space Monkeys…
Longtemps j’ai voyagé dans le temps.
Dans mon abri j’entends les souris.
Hahahaha haha hahahaha haha hohoho hihi hahahaha hehe hohoho hahahahaha haaaaaa ha ha… #hell
Igor, célibataire, se demande, si, tout cela, est vraiment cohérent. Nouveau départ ou fausse fin ? Les miliciens ne rigolent pas. Du tout.
le récitant : le tourguenisme avance, indubitablement…
Sérieusement, c’était vraiment le temps idéal pour aller à la piscine, trainer dans le canal avec ses amis décédés ou son cheval nain. #fela
Samedi : Mon papa est un ogre et je m’appelle Jeannot… t.co/Md4YQwk
Junebug, junebug…
Pamela n’est pas là pour panser les players Pamela pense play Pamela pense plaisir Pamela pense et ment intensément tout l’temps Pamela pense amant Pamela pense queue Les plaisirs avant tout Pamela pense que Jouir panse ses plaies Pamela veut jouer Play play play mon player Play play play tu me plais Play play play du plaisir Pamela n’est pas là pour panser les players Pamela pense amant Pamela pense aimants Pamela pense player Collé contre sa peau Fort comme un pansement Pamela veut qu’à elle tu penses Et ne mens pas à Pamela Qui t’aime pour les plaisirs |
Où est l’été ?
Petit déjeuner dans les ruines d’Angkor. Igor se délecte de céréales complètes. Mina respecte le bacon. Carver, grasse matinée.
˙˙˙ʎɐqǝ ɯoɹɟ pɹɐoqʎǝʞ ƃuıʞɔnɟ
Mi-nuit contre l’homme pieuvre
donc : le festival se prolonge…
ce soir ici
demain 3ème étage de la tour eiffel,
dimanche ici et
lundi là pour l’apothéose finale.
Le corps éparpillé, l’esprit comme les larmes d’Atlas, je retrouve les limites de nos idéaux. Enfin tout ça. Histoire de dire un truc. Nuit.
Radio Gaga.
Le visage de Carver, le visage de l’homme à la tête de chat, mon visage en ombres portées sur l’écran, la violente lumière de nos mains nues
Mina aime les vieux boucau.
Dehors, les anciens dieux foulent la terre. Par la fenêtre, les hurlements des premiers sacrifiés. Et, Carver, Mina, ivres, nus, attendent.
Nous réservons tout le 3ème étage. Certaines cloisons sont abattues. On fait de la place autour des chaudrons et des planches à découper.
comme sur un blog : jeudi matin
ce matin reveil glisser sous la douche déambuler nu devant la vieille les chats et toi qui dort apaisée enfin puis le métro rester debout penser à toi courir dans le froid sourire aux passants apaisé enfin retard bien sûr mais toujours jouer avec ton image sourire indécrochable même si tout à l’heure le chef indien dans les souterrains ça m’a plutôt secoué. euh. hugh. hugue. moi c’est igor. hum. désolé je suis pressé monsieur hugue. tant pis. il avait l’air si triste, tenait sa tête posée sur ses genous, éclaboussant le wagon mais moi ce matin je ne pensais qu’à toi, petits yeux en forme de petits coeurs.
Mina projetait d’offrir à Carver les cordes vocales, la fille riait toujours, de la milicienne ivre, les soldats sur elle, pour son noël.
Puis, la crémation.
Glaires sanglantes et grumeleuses, tremblements, suées nocturnes. La #pandémie la plus fin du monde disait la #pub. Dans la rue on empile.
Dosto : Essayez de ne pas penser à un ours polaire, et vous verrez que cette maudite bête vous reviendra à l’esprit chaque minute…
Violon d’Ingres authentique. Cette saveur aromatique donc ta mère je… Carver, son hobby, l’effeuillage. tweetphoto.com/35229907
Et soudain, les sirènes.
Troudair ce héros (via Fluctuat)
Merci, merci, merci (ou pas) !
Le mystérieux manager androgyne de Mina et ses Minettes, Carver, hantait le backstage, ses pupilles, énormes, ses amulettes, mortelles. Si.
QOTD : « Girls wont reject you »
Raclure : Petite parcelle que l’on enlève d’un corps en le raclant. Fig : déchet.
Je vais te poser trois questions. Et la maison va brûler. Et les garçons vont crier. Et on tuera tous les affreux. Et tu me répondras. Fin.
Pullule comme le criquet, pullule comme la sauterelle. tourgueniev.com/2005/08/11/3865
Ma vie à moi, sans fard ni planquette c’est un truc vraiment classe.
Enfin, des fois, on voudrait se foutre à l’eau et attendre un long moment que ça pase, la vie. Mais bon, y’a pas toujours facilité, rapport à l’absence de fleuve. Donc on tient le choc jusqu’à la prochaine fois.
Laver ses mains pleine de foutre…
Ou les lécher ?
Brulez en enfer ! #FF
…
juste avant minuit
je te regarde marcher dans la pièce en désordre
soupeser chaque objet
observer la fine couche de poussière qui recouvre tout
ma chambre
tu es nue
tu n’es pas là
je suis seul
et fou
…
Mina proclame son indépendance. Carver tourne de l’oeil. Igor, dans sa cellule, fait du vélo. Sur les murs : un œil, une date, c’est tout.
Poils, sueur, germes, bactéries, fluides, pépitos, virus, infectio, larmes, japon, sel et #poivre.
Bon @fbon il faut dormir !
Carver est une personne complexe.
Carver cultivait ses rondeurs avec affection. Une robe de soirée ou son costume de geek sous les bombardements et les faire exploser. Joie.
Donc si on raconte n’importe quoi avec le bon hashtag tout le monde le lit ? C’est bien fait quand même Twitter, je dois dire. #fela
Un type masqué à Igor : « chelou, pas beaucoup de live tweet de la soirée. Ils doivent être à table ou trop bourré, déjà ». Oui, chelou.
Et le coq, au vin.
Et la nuit comme médecine. t.co/GL3eb0np
On va ouvrir une enquête, le ventre de la victime.
juste une bonne année à tous par ici
et merci à O&J, A et A pour l’accueil
le 31 et à vous d’être plus ou moins
comme vous êtes ne changez pas trop
sauf vos trucs pas drôles et encore
faut pas trop en demander sinon il
faudrait que je change les miens et
les bonnes résolutions c’est pas trop
mon truc surtout avec le froid qui
règne en maître dehors et comme ni
dieu ni maître enfin voilà je crois
que l’essentiel c’est genre vous
souhaiter de l’amour parce que le
bonheur c’est surfait et que je ne
fais plus confiance à ce qu’on peut
acheter sauf le tourguenisme mais
c’est de toute façon trop cher pour
ce que c’est. et voilà. bises. Igor.
Igor : « ce soir je morfle ». Mina : « ben mouche ton nez ». Carver : « dadouronneronne ». Igor : « non mais sérieux, à l’aide… ». Mina : « crève ».
Nous chassions autour du cratère verdoyant. Nous utilisions les arcs plutôt que les fusils, trop bruyants. Le gibier ne se montrait pas.
le récitant : ce matin je me suis demandé s’il fallait que je lui pose la question avant de me décider à lui pardonner d’être un chat.
Ca parle de « genre » sur France 3.
Bon, ok, il faut que je dorme. un jour.
Mina nettoie sa carabine, astique sa lunette. Relire Solanas. Prendre de la hauteur. Tenir compte du vent, retenir sa respiration. Sourire.
Extrait :
« Que faites-vous si haut ? me demanda-t-elle avec un étrange sourire… Eh bien, qu’attendez-vous ? Au lieu de passer votre temps à me persuader que vous m’aimez, sautez donc par ici, si cela est vrai. »
A peine avait-elle fini de parler que je me précipitais en bas. Le mur devait être haut de près de cinq mètres. J’atterris sur mes pieds, mais le choc fut si vigoureux que je tombai et restai évanoui quelques instants. En revenant à moi et sans ouvrir les yeux, je sentis que Zinaïda était toujours là, près de moi…
I. Tourgueniev – Premier amour
Bon ok, je pleure dans le train.
La comtesse : Allez porter ma lettre. – Lisette à part : Hum ! il y a ici quelque chose. — (Marivaux, Le legs, scène 6)
Maybe she is car( )oline – Communiqué
par la présente, je renonce à la gloire et au sexe inhérents à la publication en ligne d’un journal intimiste et beau
la chambre des demoiselles fermera définitivement ses portes le samedi 31 janvier,
d’ici là, c’est initiation à la retraite anticipée, classe
Le bœuf c’est la maladie mangeuse de chair. Le poulet ça va. Enfin surtout à Montréal. Des études j’en fais pas trop aujourd’hui. Lire, non.
Recueillie par les prêtresses du Grand Matriarcat Sibérien Erratique, Mina se laissait bercer, son sang renouvelé, enfin. Et Igor, au bagne.
Mina et Igor observent les premières explosions à l’est. Un vent brûlant balaie la terrasse, courbant les cyprès. Derrière leurs lunettes protectrices, quelques larmes. Leurs doigts s’agrippent. Carver et l’homme à la tête de chat, au cabanon, se saoulent à la vodka, ukrainienne.
Mina et Carver se reposent dans la chambre du haut. La nuit a été longue. Dehors il neige. Igor bricole et saigne dans la cave.
Ma très chère Ar*
C’est la larme à l’œil que je découvre le paysage malsain qui vous entoure. Cette ville moribonde et crasseuse que vous dépeignez dans votre lettre, est-ce que ce peut être Paris ? Peut-on concevoir pareil tableau de la capitale où je croyait réfugiées les plus hautes valeurs de l’humanité ? Si la liberté existe bien quelque part en ce monde, n’est-ce pas en ces murs ?
Cependant, les relents d’humidité que vous respirez, la grisaille qui vous surplombe sont autant de désagréments que je souffrirais volontiers, tant la situation de notre pays s’est dégradée. Nos cieux d’été, embrasés de couleurs vives, grandioses ; la douceur de l’air salin, l’indicible beauté sauvage de nos terres généreuses, et ces gens, plein d’entrain et de malice. Tout s’est affadi, Ar*. Jusqu’à cette table où nous avons si souvent diné, et qui ne manquait jamais de nous ravir le palais. Jusqu’à ces cœurs jadis gonflés d’orgueil et d’insolence. Rien ! Il ne reste plus rien à déglutir où à penser qui ne soit corrompu par la fadeur. Celle là que nous a légué la poigne de fer des nouveaux maîtres de notre avenir. Souvenez-vous, ma chère Ar*, de cette dernière année. L’hiver est arrivé avec une rare rigueur. Vous me faisiez remarquer un matin, sur ce ton ironique qui était alors le vôtre, assise à cette table d’où je vous écris, que la saison préfigurait peut-être un sombre avenir pour ce pays. Ce « mauvais présage » dont l’improbabilité nous a fait rire un instant s’est depuis révélé plus véridique que nous le l’imaginions. C’est à peine s’ils ne viennent pas désormais ramper dans nos rêves. Par les plus odieux stratagèmes, ils sapent l’identité de cette culture qui nous a vu grandir, influencent nos choix en nous bombardant sans répit des rhétoriques les plus spécieuses qui se puissent concevoir. Notre histoire est devenue un champs de bataille où sévissent les censeurs obsédés par l’avenir. Ces usurpateurs arrivés dans un vent de fortune ont décidé de voler notre mémoire en remodelant l’ histoire.
Désormais, beaucoup sont partis pour des destinations que l’on boudait autrefois. Nous étions si fiers de ce pays que l’on avait jeté comme un voile sur le reste du monde. Celui-ci s’est vite déchiré et vous voici à Paris. Je vous aurais volontiers suivi, vous le savez, si les rigueurs de l’âge m’avaient laissé un peu de répit. Mais voilà que cette lèpre nationale s’est fait précéder par l’addition d’une vie dont je n’ai pas lieu d’avoir le regret, toute au service de la table, de la chair et de cette douceur de vivre que l’on connaissait jadis en ces murs. J’avoue que le couronnement de cette existence aurait été cette dernière escapade à vos côtés. Mais je m’avoue parfois vaincu par ce désespoir qui suinte de vos murs gris et qui me cloue au lit.
Chère Ar*, rassurez-vous, j’ai beau accusé le coup de nos délicieux excès passés et de la folie de nos frères, j’ai beau me plaindre et forcer le trait de nos misères, je n’en demeure pas moins sec et opiniâtrement attaché à la vie comme un cep de vigne à la terre. Dorénavent, je mettrai mes caprices dans l’avenir de nos enfants. S’il est encore un peu d’espoir dans cette gérontocratie, c’est d’eux qu’il viendra ; et croyez-moi sur parole, Ar*, je ne cèderai pas, ni au trépas, ni au chantage, ni à la haine. Votre jolie petite fille sera élevée comme elle le mérite : comme un enfant. Elle connaitra les joies du jeu, de l’espoir et… quand le temps sera venu, des joies revigorantes de l’amour. Je me sens à nouveau le devoir de vous rassurer. La vie dissolue que nous avons mené ne sera pas le modèle de sa jeunesse. Le temps passé et votre exil ne m’ont laissé d’appétit que pour une certaine délicatesse. Elle n’aura pas à ribauder dans la fange où se vautrent désormais les petites femmes de son âge. L’exemple que je lui veux donner sera de nature à épargner sa vertu. D’ailleurs, ce fier gaillard qu’est mon neveu l’entourera de toutes les attentions les plus sincères et se substituera à ma vigilance dans ces moments que l’adolescence ne saurait partager avec les « vieux ». J’en fait un point d’honneur : cette enfant jouira d’un sort convenable et porteur d’avenir.
Il me faut enfin vous prévenir, ma chère Ar*, que cette hauteur de ton que je me permets encore dans ces lettres ne saurait garantir notre sécurité encore longtemps. Vous souvenez-vous de ce vieux râleur de Al* ? Ils ont fini par l’arrêter l’autre soir, après qu’il ait vertement sermonné quelques-uns de ces jeunes idiots qui croient détenir la vérité, claironnant les messages grossiers du parti. Sous je ne sais quel prétexte obscur, on l’a emmené à Er*. Inutile de préciser qu’il n’a pas été jugé en public ! J’ai appris qu’un projet de censure des informations subversives, destinées à saper l’intégrité et la crédibilité de l’état avait été récemment présenté au parlement. Vous savez, comme-moi, que les représentants de la nation ne sont plus que des pantins sans ressources qui ont tout le loisir d’approuver les projets du parti. D’ici à ce que l’état d’urgence soit décrété et les libertés civiles raccourcies au nom du salut public, nous aurons largement eu le temps de nous compromettre. Je crains que ma popularité et mon crédit n’aient bientôt plus la moindre signification. Qui empêchera alors les agents de l’état providence d’ouvrir nos courriers ? Cette lettre sera la dernière à jouir d’un ton authentique. Tâchons désormais de nous comprendre à demi-mots ; pour l’amour de nos enfants, qui ne doivent pas pâtir d’une amitié en passe de devenir une trahison de la patrie.
Puisiez-vous, très chère Ar*, me pardonner cette franchise. Nécessité fait loi désormais. En attendant impatiemment d’avoir de vos nouvelles, je vous embrasse du fond du cœur en vous renouvellant l’assurance de mon dévouement ; à votre égard et à celui de votre fille, notre espoir à tous deux.
Az*
To ℒℴѵℯ or not to ℒℴѵℯ ?
Ca veut dire le genderfuck et les secrets, ce qu’il y a sous la ceinture et au fond du cœur;
Antarctique 2003. Te revoir enfin. Nos vacances à la mer. Margarita, amicale émulation, ours polaire. Mina bouquine.
Nous vivions dans une cave : une sorte de bunker minimaliste, avec une boule disco. Dehors il pleuvait sans cesse, une pluie noire, gluante.
Renversé par une moto devant chez lui, #Igor_Tourgueniev, à force de #drogues apaisantes, plane complètement. Je suis plus solide que prévu.
Une femme fontaine. Zarma. À la maison, les chats. Ouf.
Mina : « Boum ! »
Les sensations courantes sont accompagnées par d’autres sensations provenant du monde des esprits.
L’espoir se dérobe sous tes pas… Le chagrin qui trouble ta voix déchire la brûlante tendresse de tes bras. tinyurl.com/bon-esprit
La nuit³, encore.
hier, début de soirée,
tentative d’OPA agressive
sur Tourgueniev ce héros
par le consortium Velleity of Velleities.
————————–
Caramba, encore raté !
RIEN est VRAI.
Cap’taine Zombi, c’est un homme ! Les jours de malheur, Cap’taine Zombi est un homme. Cap’taine Zombi est aussi un homme.
Bon, la preuve par le net : Fight ! et Fight again !
Dehors les bombes et le feu. Dedans le froid et la désolation. Et le vieux chef indien sur le canapé en velour noir me fixe, larmes de sang.
je vais te chanter une chanson :
la lala lalala la lala
et te la rechanter aussi souvent que possible.
puis on va se poser, là dans le coin de la pièce et écrire nos noms
dans la buée. je vais ouvrir les yeux à ces mômes.
leur montrer la vraie vie.
mettre leurs photos dans les journaux.
un môme de plus
ou de moins.
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tourgueniev ce héros
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je peux t’écrire une petite histoire :
c’est Igor qui danse seul sur la piste éteinte.
c’est Igor qui possède plus d’une voix.
c’est Igor qui t’ignore et toi qui le veux.
enfin :
si tu veux porter un T-Shirt
« Igor je t’aime »
tu dois le fabriquer.
et encore :
oui, et c’est une bonne idée.
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tourgueniev ce héros
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Je me suis fait tatouer un nénuphar sur la hanche, là ou repose la crosse de mon. Royal Air Force ou Red Army Faction, toujours vive le feu…
le récitant : je ne dors visiblement pas, encore un coup de la Camora Tong ?
On rigole on rigole.
Dans les rues qui se donnent ?
La grande Mina à Igor, impavide : « Monte avec moi dans le ferry boat et regarde devant c’est la côte Anglaise. »
Non ! Ne vous promenez pas sur la la lande Lord Baskerville ! plixi.com/p/64810510
Mardi, moi je ne fais jamais de pornographie sauf celle de France-Info le matin.
Je suis trop fatigué du lundi, je me repose, et puis les gens, ils viennent ici que pour le cul, alors crotte.
C’est pas gentil tout ça. Nous on est aussi des êtres humains. Pervers, mais humains. Enfin moi…
Je veux dire.
Enfin.
…
Les serbes rejouaient la victoire au foot dans le sable avec les miliciens chinois du dirigeable couleur anis survoltés ils ignoraient tout.
Le chat veut clairement me dire quelque chose, mais quoi ? Il veut de la poésie, du thon, des séances de yoga, une teinture ?