En ouvrant ses cadeaux de Noël, c’est un abonnement @publienet qu’Igor découvre au pied du sapin, il commence par Sleepy Hollow, au minimum.
Et un simple piquet de bois, marqué de l’infamant Y, indiquait, sans gloire, la sépulture du dernier des mâles humain. t.co/OtsTCqzA
Totem. t.co/ES4QbbqK
On me signale à l’oreille que c’est la journée mondiale de l’orgasme, l’anniversaire de ma mère et le début de l’hiver.
Mina et Igor jouent aux cartes. Igor triche. Mina gagne. Comme d’habitude. Rien n’est facile à gravité zéro. Soudain l’alarme anti feu. Na !
Je suis le nouveau bouddha.
Un choix difficile : insomnie ou rêver de me faire dévorer lentement par de petites souris très mignonnes. t.co/BPAjxa4H
Mina, Carver, Igor dérivaient sur l’océan indien depuis déjà 23 jours, survivant d’amour et d’eau salée. t.co/1Fq0py5M
U N F O L L O W
Et pour les livres numériques, réévaluer l’autodafé. t.co/PKCZjlZr
Petit déjeuner dans les ruines. t.co/MSu75e6W
Et Mina d’embrasser Igor. Et Carver d’en rougir. t.co/jrZHGLpI
Chloé, Igor, la Clef, une femme un homme une femme, quelques possibilités.
Allons nous allonger.
Mithra !
Moitié homme, moitié robot.
Sur l’île de Rowe on tire les feux d’artifice. Les filles sont à la piscine. Les gars picolent sec dans le hall désert. Année du dragon.
Tous solidaires ! #B2O4Judy
Et Carver de répéter en boucle dorée : » Kill jonquille ».
Carver est une personne complexe.
Igor adopte un chat en nylon. Mina pense que ça n’existe pas. Carver opine du chef.
Dehors on achève le sacrifice rituel des premiers fils. Ordre du Pingouin. La bande son est de Prince. Il pleut. t.co/mflGAuHN
Une vie de crimes.
Plutôt que de bivouaquer en la Cathédrale du Prolétariat, nous avions chevauché jusque dans les ruines de Versailles. t.co/FLGRbZ41
Vil rascal, pas au Paradis.
Dans leur prison du Caucase, Igor, Mina et les autres, portaient de jolis pyjamas, de lourdes pierres, coupantes. t.co/ZYeLp7V3
Et pour cette nuit, pour nous garder bien au chaud et faire trembler les puissants : « Vive le Feu ! ».
ABRACADABRA
ABRACADABR
ABRACADAB
ABRACADA
ABRACAD
ABRAC
ABRA
ABR
AB
A
Il n’y a de dieux que dansants.
Les radiations envahissent le salon marocain. On se recroqueville dans nos combinaisons en papier aluminium purement placebo. Yeux brûlants.
On me signale des statues menhirs transsexuelles au musée de Rodez. #Rouergue
Et Carver, ivre, punaise, sur le linteau de la cheminée. Un court message. t.co/MgQ974qA
Demain, TOUT, sera différent.
À cela sert le train.
Dans les flammes de l’enfer.
Moi j’ai une théorie, des lapins malins…
On organise un shooting photo dans les décombres des Galeries Lafayette. Les miliciens Nord Coréens veillent au grain. t.co/HSXLGFS0
Terrorisme à base d’explosion de ventre.
Fil à retordre.
Et le lama de me dire en souriant : je t’offre ce poignard-à-tuer-le-Moi. Quand ton Moi sera mort, tu l’offriras à ton tour. À cette amie.
Ce matin, l’ascète est totalement fermé.
N’allez pas sur la lande tout seul, Lord Baskerville. t.co/eLJsN3uW
Mina : « La seule doctrine valable est la folie calculée. »
Mina et Igor roulent vers Toulouse. Dans le ciel, les dirigeables veillent. t.co/nYeYPnP3
Bonne nuit. t.co/uIWjH8Y5
L’homme à la tête de chat est rentré au matin. Ses grands yeux jaunes pleins de nostalgie. Une balafre nouvelle. t.co/BeU1kNFt
Igor sentait bien que la brume avait avalé son inspiration matinale. Mina pensait donc à l’achever, à la hache. t.co/y3zi0QdM
On marche alors, jusqu’à l’Usine. La nuit. Les étoiles, propices. Nos bottes résonnent, ferrées. Au train, rapidement. t.co/Q8aUStz9
Je vais ouvrir un portail vers un univers parallèle où les décisions importantes sont faites en fonction des clignements des yeux du chat.
Poésie blanche : t.co/FkkTQd7O – @HmijocEatene
Porter un masque de canard pour aller se coucher.
On roule. Dehors les premiers signes de la Fin. On ajuste nos casquettes en aluminium, s’embrasse, pleure, aussi. t.co/7sjb8GsB
Et regarder le palais bruler en relançant de 2000 à la river. Mina ne croit pas à mon bluff. Carver se couche. Je perds tout. Le feu encore.
La nuit le ciel, au dessus de la Cathédrale du Prolétariat, prenait d’intéressantes teintes niveaux de gris. t.co/TgcQNADf
Penser au bacon, se motiver, penser aux œufs, se motiver, sortir du lit.
Et on se demandait vraiment si, après moult trahisons, on pouvait encore lui confier la garde de documents vitaux. t.co/H5vaBhwU
Programme d’étude pour la nouvelle année : réflexion autour de la notion de Mana.
Nous nous tenions la main, un sourire aux lèvres, lunettes sur le nez. Depuis le toit du supermarché les explosions lointaines, si belles.
Le plus valeureux des héros.
Et soudain, plus personne. t.co/SfJ7d96Z
E N F E R
Et nos artistes, avatars (que jamais), comédiens et autres héros masqués (ou pas) vous souhaitent vagues d’amour et tendresses variées.
Je sors dans la brume, des bruits de tambourins, la nuit est impénétrable mais j’entends comme une mélodie. Chelou. t.co/yeVGlLU9
Sur Rowe Island, Mina, Carver, Igor et l’homme à la tête de chat achèvent les préparatifs. On décore les palmiers. t.co/yA2xfh75
50% des amis de l’Amiral vivent dans un sous-marin. t.co/ADmDHzNA
Je vais te donner du fil à retordre vil rascal, tu ne l’emporteras pas au Paradis. Etc.
Les siciliens satanistes du mouvement rebelle occidental n’aimaient pas trop le jambon des fascistes roux. t.co/ONsjNKHo
Mina ne supportait pas de perdre un duel d’haïku. Heureusement, ça n’arrivait jamais. Avec Igor, aucun risque. t.co/Hg1OkrOL
Une brouette, un géant et une cape antifeu. t.co/vini6NXG
SNIKT !
Fuckin’ canard 30 minutes.
Vertiges. t.co/hjBjmuhX
Les choses changent.
Un type masqué à Igor : « chelou, pas beaucoup de live tweet de la soirée. Ils doivent être à table ou trop bourré, déjà ». Oui, chelou.
Encore et toujours des questions.
Vecteur diffus de pouvoir spirituel ou d’efficacité symbolique supposé habiter certains objets et personnes…
L’homme à la tête de chat partageait ses nuits entre Carver et une solide ambition de mathématicien neo-platonicien. Mina, Igor sublimaient.
Et Carver décida, d’un coup, de tenter le coup des douze grains de raisin blanc synchronisés avec les douze coups de minuit. On va rigoler.
Une bonne rotation de la terre autour du soleil de plus à tous. Du Mana dans vos actes, vos projets et vos affections. On se voit vite.
Mina, Igor, Carver, arrivent en vue du hangar abritant le léviathan des airs. Nulle trace des miliciens siciliens. t.co/XFKYwOXD
Spaghettis du samedi, tomate et bacon.
DEVORER : comme de toutes petites dents blanches bien pointues qui déchirent la chair et ne laissent que les os, la douleur. Beaucoup.
Et le vieux boxeur de décider de jeter les gants avant la troisième reprise afin d’épargner ses enfants des patriotes satanistes péruviens.
Si ton message de service commence par « D E V O R E R » il ne passe pas.
D’amour et de vodka huileuse.
Je me répète mais 2011 est un zombie depuis novembre, au minimum. t.co/swphEOCO
Igor et Mina adoptent un arbre. t.co/irSxcAyO
Su·per–du·per
Pronunciation: ˈsü-pər-ˈdü-pər
: of the greatest excellence, size, effectiveness, impressiveness – exactement miss @Flaurre
Nel mezzo del cammin di nostra vita.
On va tenter le super.
Et depuis 50 minutes et pour encore 10 minutes (heure de la fuckin’ métropole) les animaux peuvent parler. Profitez-en.
L’homme à la tête de chat habitait un ancien château d’eau que l’on disait hanté. t.co/h76J0dxH
Enter the Dragon. Mina, Igor, Carver, l’homme à la tête de chat, vous souhaitent une année 2012 bien chargée en Mana. t.co/K4G6DqRX
Les champignons, au loin, dans toutes les directions. Mina frissonne, se blottit, réajuste ses lunettes polarisantes. t.co/2LJVaPZQ
Et Igor de fêter aujourd’hui ses 14000 jours.
Mina à Igor : « Tu as la sef-estime contondante. »
Dehors il y a une ambiance du tonnerre. t.co/Yod6RMuc
Enfin c’est dimanche matin. Dehors c’est la fin du monde et tous les chats sont gris. Mina décroche son fusil à illusions perdues. Méfiance.
L’homme à la tête de chat n’est pas rentré depuis deux jours. Ses amis s’inquiètent. Ses ennemis aussi. t.co/eu8BHIUW
Dehors les bombes et le feu. Dedans le froid et la désolation. Et le vieux chef indien sur le canapé en velour noir me fixe, larmes de sang.