Les milices kurdo-siciliennes déchirent la dernière forteresse du dictateur aux abois. Dans le bunker, Igor prépare son ultime discours. Nu.
On marche, sur la jetée, époques variées, nos mains se frôlent, nos doigts se touchent pratiquement, rire de concert. Presque se connaître.
Espoir fou des révolutionnaires, le dirigeable blindé canonne l’antique cité. Les hommes sans âme s’égorgent dans les décombres hantés. Oui.