Et soudain, les sirènes.
Et dans les rues, dans la fumée, les tigres rugissants. Les hurlements, les sirènes, nos chants et puis la lutte. Mes larmes et ton sourire.
Mina à la basse, Carver à la batterie, l’homme à la tête de chat à la guitare et Igor, ivre dans un coin, au chant, le public, est, en, feu.
Nos pupilles énormes, nos sourires terribles, nos doigts mêlés, les basses massives, nos poitrines humides et dehors, les bombes. Atomiques
Interlude, dansé.