where’s my love ?

Old par M. Fox le 02 Déc 2002

“…v’là qu’elle nous fait « coucou les gens ! » …”

Mercredi 18 décembre 2002 : ce soir, concert de Tétard puis diner avec Maman et M.Fox.

Old par igor le 18 Déc 2002

Est-ce qu’on est encore libre quand ça se voit ?
Pour vivre libre, faut-il cacher sa liberté ?

je vais aller sur la plage

écouter le bruit de l’eau
sur le sable,
me fondre
dans les bourrasques
et laisser mon esprit
s’élever dans les nuées
et disparaitre

peut être
qu’on trouvera mon corps
transis de froid
et inanimmé
face à l’Océan,
peut-être
qu’on ne le trouvera pas
et que personne
n’aura l’occasion
de contempler
mon dernier sourire
et de dire
son esprit est parti avec le vent

ne pleurez pas ma mort
car je vis en tout
ne pleurez pas ma disparition
car je suis avec vous

mon âme chante pour toujours,
l’entends tu
lorsque se forme l’écume
et que roulent les vagues ?

Old par M. Fox le 08 Déc 2002

L’autre jour je me suis éveillé après un rêve de toi.
Qu’ils sont doux ces matins où tu m’accompagnes. Trop rares ils se font. Tu vieillis, moi aussi. Déjà nos corps s’épuisent, nos chairs s’affaissent. J’aimais tant ton cul rebondi et tes petits seins. Je ne les ai caressés qu’en rêve et déjà ils disparaissent.
Reste près de moi.

j’ai envie de clafouti aux cerises
mais ceuh n’eest pas l’épooooooqueeeeeeeeuuuh!
mais ceuh n’eest pas l’épooooooqueeeeeeeeuuuh!
une petite place de province sous la pluie.
C’est une petite place de province sous la pluie.
Elle lui écrit:
C’est surtout son corps à côté du mien.
C’est surtout mon corps à côté du sien.
Elle lui écrit:
Je voudrais tant que tu sautes dans un trou au milieu du désert australien.
Je voudrais tant que tu me sautes dans l’air.
C’est trop facile?
Elle lui répond:
Comment oublier ces mains qui n’osaient pas bien?
Soyons précis, regardons par la fenêtre ce qui nous tend dans l’espace. Tu vois, mon amour, il ya une petite place de province, et un jardin très riche autour de la maison d’en face.
Je pleure de ne pas vouloir d’enfant.
Soyons précis, mon amour, regardons au fond du jardin ce qui limite notre réel. Tu vois je sais qu’il y a quelque chose derrière, et je crève, mon amour, d’aller y faire un tour. Reste sur la chaise longue et attends-moi pour toujours. A moins qu’un jardinier ne vienne te planter sa tige.
Je fume…

À base de Pau Pau Pau Pau.

Toc toc toc

– Qui est ce ?
– Nadine, la fille de l’ancienne locataire, puis je reprendre ma chambre ?
– Ma fille, entre voyons, cela faisait si longtemps que je ne t’avais pas vue !

Devant la jeune femme ébahie la porte s’ouvrit, dévoilant un homme dans la force de l’âge à l’embonpoint proéminant, outrageusement fardé et portant une robe à fleurs de sa vieille mère depuis si longtemps décedée. Il lui sourit de toutes ses dents nicotinées et la prit avec force dans ses bras, déplacant avec lui des senteurs fortes, musquées.

– Tu devrais avoir honte de m’avoir ainsi oubliée ! Mais tu es belle, et tu es là… montre moi comment t’as maigri ! Rahlala c’est pas possible, voilà ce que c’est que d’aller à la ville ! Et ton mari, toujours aussi bête ! Oh, excuse moi, c’est vrai, j’ai promis de pas en parler comme ça ! Allez, viens dans le salon !
– Mais mons…
– Monsieur Druand ? Parti, envolé, parait que c’était un voleur…
– Mais qui êtes…
– Plus tard les questions, prend un biscuit, je sais que tu les a toujours aimés, ceux dans la boite en fer, avec les chérubins dessinés dessus.
– Euh oui, c’est vrai, mais comment savez vous cela ?
– Ma fille ! Comment j’aurais pu oublier ce que tu aimes, toi la chair de ma chair, toi que j’ai élevée dans les larmes et la joie !

Perplexe, Nadine attendit la suite des événements, préferant ne pas vexer cet être potentiellement dangereux

A suivre

Old par Rodia le 11 Déc 2002

« Se prélasser sans se presser est la pire des malédictions pour le jeune chien fou« 
Karl Marx

« A présent, la fanfare fait rage, de la plus déraisonnable manière. Je n’ai jamais rien entendu de semblable : ce n’est ni une marche, ni une danse, mais plutôt des ritournelles passées de mode et vraiment abjectes, venant du siècle passé« 
Friedrich Nietzsche

Old par igor le 10 Déc 2002

LA SUFFISANCE

Old par -- Zan le 26 Déc 2002

LA PUDEUR.
Ca vous a deja servi à quelque chose?

Où est passée ma fricative uvulaire sonore?

I'm a misandurstood bird

Si les baleines franches
Quand elles remontent à la surface
N’avaient à supporter
Des hordes de goélands
Picorant, lacérant, piétinant
La moindre parcelle qui émerge
de leur corps meurtris
Les placides cétacés
N’ayant d’autre alternative
Que de retourner vers les grands fonds,

Hé bien, elles s’envoleraient.

Old par -- Zan le 19 Déc 2002

Ah ben oui patatra !
Fallait s’y attendre mademoiselle,
quand on allume les mecs à s’en prendre plein la gueule.
Moi je vous l’avais bien dit.
Bah…

Ernesto « Che » Guevara

Old par igor le 06 Déc 2002

– Raaaaaaaah arrête de hurler !
– Mais chérie, je parle, n’étouffe pas ma créativité !
– Tu n’as jamais eu aucune idée constructive, tu n’es qu’un raté, je retourne chez ma mère !
– Mais elle est morte !
– Hé bien j’irais quand même chez elle, les nouveaux locataires acceperons bien de m’accueillir.
– Tu es complètement folle ma vieille, jamais ils ne voudront de toi, ils ne te connaissent même pas !
– Nous le verrons bien, adieu !

Et elle partit en claquant la porte…

A suivre

Old par Rodia le 09 Déc 2002

Y’a-t-il une fin à ce processus ?
Nicolaï Tourgueniev

ce soir la nuit est triste et il regarde par les fenêtres des voisins en pensant à lui.
il y a encore son odeur dans les draps mais il ne viendra plus. il n’attend rien, il n’a pas envie de pleurer,
mais il sait que c’est à cause de lui qui est parti. il ne le reconnaît même plus dans le miroir.

A Pau, il y a aussi des artistes
Les nouvelles divinités protectrices de la ville de Pau

Je vais avoir froid ET je vais être seule sur un canapé-lit.

c’est là que les aigles vomissent.

Old par M. Fox le 17 Déc 2002

Quoi Quoi Quoi ???

Mais qui est Charleston Parva ?
Old par igor le 30 Déc 2002

Toujours à Vera Cruz. Un bruit assourdissant, des miettes de porte, un mastodonte la bave aux lèvres.
Les deux femmes en choeur :

– DRUANT !!!
– Ah ah ah oui, c’est moi, et je viens te tuer – tuer, Nadine mon amour, puisque tu es ressucitée !
– Objection, je ne suis pas morte, enfin je dis ça en passant, hein…
– Hum, euh, ma fille… en fait… comment dire… mon retour, j’ai du le monnayer…
– Quoi ? Tu as vendu mon acte de décès avant même le passage chez le légiste ?
Et en plus mon bourreau est un voleur de fausse argenterie !
– N’importe quoi… même pas vrai, c’était pas de l’imitation d’abord.
– Si si, nous avions vendu la vraie pour payer l’onchocercose du chihuahua, tu te rappelles maman ?
– *tousse* Oui ma fille, oui…
– Ah mais ça change tout alors… Madame la Reine Mère, nous avons à parler

Derrière la porte le mari écoutait

– Ainsi donc elles ne possédaient aucun bien vaisselier, quelle arnaque…

A suivre

Old par Rodia le 18 Déc 2002

J’ai Lénine en numérique,

il a mis des souris dans l’eau froide,
dans une casserole,
il a mis un couvercle,

c’est une casserole en verre,
les souris se débattent,
mais le couvercle est lourd

il allume la plaque chauffante,
je crois que l’eau chauffe très vite,
impossible de tourner la tete

et les souris se tordent
et crient
oui, j’entends leurs cris

puis plus rien,
des mouvements reflexes
et la peau qui commence à partir,…

Old par M. Fox le 02 Déc 2002

les lumières baissent lentement
et la ville berce ses amants,

une douce chaleur émane des tunnels souterrains,
les fauves sont partis se coucher
et désormais se lèvent
les oiseaux de nuit
dont les parades survoltées
brouillent le jeu des trottoirs
et dont les cris perçent les solitudes
sur les boulevards.

la louve chante pour ses enfants,

mes amis des autres mondes me sourient,

les ordinateurs sont en panne,
pour le bonheur de tous

je caresse les platanes,
leurs courbes
et leurs cicatrices
sont autant de poèmes
dédiés au temps qui passe,

j’aime la ville en hiver,
je crois,
j’aime ce moment
où scintillent les miroirs
et les êtres d’argent.

Old par M. Fox le 17 Déc 2002

je nourris les pigeons, parfois aussi les moineaux

ça me donne l’impression d’etre carrement riche.

Old par M. Fox le 19 Déc 2002

ce matin : réveil + sourire + en retard + métro + boulot + mails + MSN
(utiliser le medium comme support pour un journal intim’impartial)

Old par igor le 30 Déc 2002

elle avait perdu
tout gout pour l’étude
tant
l’épanouissement de ses sens
la comblait entièrement,

son visage portait une lueur
douce et chaude,

elle se moquait
de la gloire et de l’héroïsme
et répétait à qui voulait l’entendre
qu’elle n’avait rien à prouver
ni rien à accomplir.

j’ai aimé cette femme,

j’ai aimé cette vie,

volupté

Old par M. Fox le 16 Déc 2002

Des guestapistes ont dormi ici et Nicolaï a eu chaud.

Dans son regard absent
Et son iris absinthe
Tandis que Marilou s’amuse à faire des vol
Utes de sèches au menthol
Entre deux bulles de comic-strip
Tout en jouant avec le zip
De ses Levi’s
Je lis le vice
Et je pense à Caroll Lewis.

Dans son regard absent
Et son iris absinthe
Tandis que Marilou s’évertue à faire des vol
Utes de sèches au menthol
Entre deux bulles de comic-strip
Tout en jouant avec son zip
A entrebailler ses Levi’s
Dans son regard absent et son iris
Absinthe dis-je je lis le vice
De baby doll
Et je pense à Lewis
Caroll.

Dans son regard absent
Et son iris absinthe
Quand crachent les enceintes
De la sono lançant
Accord de quartes et de quintes
Tandis que Marilou s’esquinte
La santé s’éreinte
A s’envoyer en l’air…

Lorsqu’en un songe absurde
Marilou se résorbe
Que son coma l’absorbe
En pratiques obscures
Sa pupille est absente
Mais son iris absinthe
Sous ses gestes se teinte
D’extases sous-jacentes
A son regard le vice
Donne un côté salace
Un peu du bleu lavasse
De sa paire de Levi’s
Et tandis qu’elle exhale
Un soupir au menthol
Ma débile mentale
Perdue en son exil
Physique et cérébral
Joue avec le métal
De son zip et l’atoll
De corail apparaît
Elle s’y coca-colle
Un doigt qui en arrêt
Au bord de la corolle
Est pris près du calice
Du vertige d’Alice
De Lewis Caroll.

Lorsqu’en songes obscurs
Marilou se résorbe
Que son coma l’absorbe
En des rêves absurdes
Sa pupille s’absente
Et son iris absinthe
Subrepticement se teinte
De plaisirs en attente
Perdue dans son exil
Physique et cérébral
Un à un elle exhale
Des soupirs fébriles
Parfumés au menthol
Ma débile mentale
Fais tinter le métal
De son zip et Narcisse
Elle pousse le vice
Dans la nuit bleue lavasse
De sa paire de Levi’s
Arrivée au pubis
De son sexe corail
Ecartant la corolle
Prise au bord du calice
De vertigo Alice
S’enfonce jusqu’à l’os
Au pays des malices
De Lewis Caroll.

Pupille absente iris
Absinthe baby doll
Ecoute ses idoles
Jimi Hendrix Elvis
Presley T-Rex Alice
Cooper Lou Reed les Roll
Ing Stones elle en est folle
Là-dessus cette Narcisse
Se plonge avec délice
Dans la nuit bleu pétrole
De sa paire de Levi’s
Elle arrive au pubis
Et très cool au menthol
Elle se self contrôle
Son petit orifice
Enfin poussant le vice
Jusqu’au bord du calice
D’un doigt sex-symbole
S’écartant la corolle
Sur fond de rock-and-roll
S’égare mon Alice
Au pays des malices
De Lewis Caroll.

Pamela n’est pas là pour panser les players
Pamela pense play
Pamela pense plaisir
Pamela pense et ment intensément tout l’temps
Pamela pense amant
Pamela pense queue
Les plaisirs avant tout
Pamela pense que
Jouir panse ses plaies
Pamela veut jouer
Play play play mon player
Play play play tu me plais
Play play play du plaisir
Pamela n’est pas là pour panser les players
Pamela pense amant
Pamela pense aimants
Pamela pense player
Collé contre sa peau
Fort comme un pansement
Pamela veut qu’à elle tu penses
Et ne mens pas à Pamela
Qui t’aime pour les plaisirs
Old par igor le 30 Déc 2002

« Pourquoi y’a des chips sur ma couette? »
N.T.

Comprenons nous bien !

je ne sais plus qui je suis

tu ne sais plus qui tuer

Old par M. Fox le 23 Déc 2002

poudre hare curé

garantie 100% syncrétique !

Old par M. Fox le 11 Déc 2002

Qu’est-ce qu’on s’emmerde ici!

Le magicien ou le gigolo ? Une nouvelle problématique tourgueniste…

quelque chose cloche en france :

tu n’es pas là.

Old par M. Fox le 16 Déc 2002

je me demande…

analogique : une toile moche dans une pizzeria à 60 euros
numérique : une jpg trouvée par google du même genre « gratuite »

analogique : tu peux retourner la toile, voir le dos, le cadre, et la tenir entre tes mains
numérique : quoi que tu fasses, l’image reste sur ton écran

la vraie vie est analogique ou numérique ?

Old par igor le 12 Déc 2002

J’ai couru dans ma chambre pour terminer les réjouissances, tant pis, moi seule, mais à l’abri des regards. Cela je ne peux vous le raconter. Il faudrait pour cela que vous voyiez mes accessoires, qui sont exemplaires, et qui m’ont été ramenés par des mains amies de pays lointains. Ce que je peux vous dire c’est que ma couche en porte encore les traces, et que, paraît-il, certains couples cachés sous ma fenêtre pour se conter fleurettes m’ont entendue crier de contentement. Espérons que ce cri les aura aidés à être moins timides…

à l’avenir, laisse venir…

après de longues discussions,

il a été décidé qu’on ne ferait rien et que stratègiquement, c’était une position défendable.

Old par M. Fox le 19 Déc 2002

hermétique, vous avez dit hermétique…?
mais non, ça n’est pas une boite de conserve, puisque c’est un tournevis, on vous dit.
allez, arrétez avec vos questions, ça sert à rien de toute façon …

« … Si, de tes lèvres avancées
Tu prépares pour l’apaiser,
À l’habitant de mes pensées
La nourriture d’un baiser,
Ne hâte pas cet acte tendre … »
Paul Valéry

ignore moi simplement

Old par M. Fox le 23 Déc 2002

Recette de la Gueule de Bois à ma façon (pour 2 personnes)

– Six cafés calvas (environ 12cl d’alcool) dont une tournée offerte par le patron
– Quelques pincées de conseils journalistiques fumeux
– 2 titres de Madonna parfumés à la bière
– Un espace bien serré et bien chaud
– Un Vénézuélien de passage accompagné de son lourd de Français
– 4 litres de bière (ne pas lésiner sur la quantité)
– Une paire de chaussure neuves sur ses pied ampoulés.
– Un sublime gigolo Yéménite et son coulis de vieux Suisse hypocondriaque
– 250 grammes de Desperado (par personne) gracieusement offerts
– Un mec de droite
– Un bar de jazz
– Une population de poivrots (un d’entre eux peut dormir sur une chaise pour plus de saveur)
– Pierre-Marie
– Un magicien alcoolique
– 45 minutes d’accès tardif à Internet

Donnez rendez-vous à un ami devant un restaurant fermé. Laissez mijoter 20 minutes. Une fois que l’ami est bien refroidi, plongez-le dans un restaurant assez chaud, et faites le boire discrètement jusqu’aux 3 cafés calvas (les 3 autres sont pour vous). Laissez reposer. Une fois les conseils journalistiques évaporés, videz le restaurant et cuisinez-le à l’étouffée, dans une petite cave bien chaude et bien remplie de monde. Ajoutez les titres de Madonna et les litres de bière, jusqu’à la rencontre avec le Vénézuélien et son lourd de Français. Rajoutez la bière à ce moment, en quantité généreuse. Puis videz la cave et faites quelques centaines de mètres avec les chaussures douloureuses, jusqu’à ne plus pouvoir marcher. Puis faites demi-tour et réchauffez le mélange à l’aide du sublime Yéménite. N’insistez pas trop sur le coulis de vieux Suisse hypocondriaque. Puis, à l’aide d’une spatule, déglacez à la Desperado en ajoutant doucement le mec de droite. Laissez mijoter. Une fois la conversation politique bien montée, vous pouvez sortir le plat, le mettre une petite heure dans le bar de jazz, avec la population de poivrots et Pierre-Marie. Saupoudrez le tout de quelques tours de magie éculés. Rajoutez à volonté un nappage de bière, et pour conclure, les 45 minutes d’accès à Internet.

Dormez moins de 4 heures. C’est prêt !

wooooooooooooooooooooooooooooo! BOUYAKAAAAAAAAAAAAAAA!

Il ne me reste qu’à devenir lesbienne zoophile.
Solune viens là.

Mes inséparables sont si déprimés
Je sens le pot-pourri
De leur solitude
Je veux qu’ils me parlent car je serai à leurs côtés
Ils le savent, ils le savent

Mon ex copine m’a appelé
Seule et désepérée
Du téléphone de la prison
Ils veulent… lui donner 7 ans
Pour avoir été triste

Mes amis sont tellement en détresse
Et debout
Au bord du précipice
Pas de rose sans épines… je ne sais comment exprimer
Ce vide insondable…

Old par M. Fox le 06 Déc 2002

The End Is Nigh

Old par igor le 04 Déc 2002

je t’offrirai tous mes dons,

oui,
petit frère,
je t’apprendrai la magie,

les quelques tours que je connais
ils sont à toi,

mon masque d’or,
je te l’offrirai

et lorsqu’on parlera des frères sorciers
on pourra dire
le plus brave est le dernier,

je t’aime tellement,
tu me manques.

Old par M. Fox le 10 Déc 2002

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Subject: [nettime-fr] Il neigeait sur Paris cette nuit

NOUS AVONS TRAVAILLE PLUS TARD QUE L’HEURE DU DERNIER METRO, IL FAIT FROID,
ALORS J’AI ACCOMPAGNE LA PERSONNE SOLIDAIRE JUSQU’A CLICHY. LA NUIT A PARIS
LA ROUTE EST LISSE ET LES FEUX VERTS S’ENCHAINENT COMME PAR ENCHANTEMENT.
LES GUIRLANDES LUMINEUSES SONT TRISTES QUAND LA VILLE EST FROIDE ET LES
PASSANTS SI RARES QUE S’IL EN PARAÎT UN ON LE PLAINT. AU RETOUR J’AI VU UN
HOMME ALLONGE SUR UN TROTTOIR, FACE CONTRE LE BITUME, JE ME SUIS DEMANDE
S’IL NE RECOUVRAIT PAS DE TOUT SON CORPS UNE BOUCHE DE CHALEUR, IL AVAIT LES
DEUX MAINS POSÉES SUR SA TETE AU LIEU D’UN BONNET, IL NE BOUGEAIT PLUS.
C’ETAIT DERRIERE L’HOTEL DE VILLE, RUES VIDES, PAS DE SENTINELLE. J’AI FAIT
DEMI TOUR, PENSANT AU COMMISSARIAT DE LA MAIRIE DU IVè ARRONDISSEMENT, JUSTE
APRES L’ORME DES COMPAGNONS PASSANTS DU DEVOIR. L’EGLISE DES TAULARDS,
L’ULTIME OUVERTE JOUR ET NUIT AVANT QU’ELLE NE DISPARAÎSSE SOUS LES
PROTECTIONS DU CHANTIER, QUI LA RENDRA PLUS NEUVE QU’ELLE NE FUT JAMAIS A
ÊTRE CONSTRUITE. LES FLICS SONT BIEN UN PEU PLUS LOIN QUE LA PLACE EN
REMONTANT VERS LA SEULE EGLISE BAROQUE DE LA CAPITALE, ENCORE UNE ET QUI
PORTE LE NOM DE PAUL L’INTRANSIGEANT, LE RADICAL, LE TYPE DE LA KENOSE,
CELUI DU CHRIST QUI ETAIT DEJA MORT SOUS LA LAMPE URBAINE PERCHÉE AU BOUT
DE SA TIGE INCLINANT VERS L’ENTREE DU COMMISSARIAT… TROIS FLICS JOUAIENT
LES GOSSSES ENTRE LES VOITURES ARRÊTEES DEVANT. QUAND JE SUIS DESCENDUE POUR
LEUR PARLER ET LAISSANT TOURNER LE MOTEUR DE LA VOITURE J’AI VU DES FLOCONS
DE NEIGE. LA TÊTE LEVÉE VERS LA LUMIERE AINSI REGARDE-T-ON DANS LA NUIT LES
FLOCONS RARES EPOUSER LE VENT QUI PINCE ET AUTANT SE DIRE QU’IL NE FALLAIT
PAS RECULER DE CITER CELUI QUI ALLAIT MOURRIR DE FROID SI LE SAMU SOCIAL OU
LES BLEUS TANT HONNIS N’INTERVENAIENT PAS AVANT L’AUBE, BIENTÔT NOEL FETE
TRISTE D’OU L’ON DISPARAIT PARFOIS. DEMAIN MERCREDI, PUISQUE DEJA NOUS
SOMMES MARDI DANS L’OMBRE, ON OUVRE NON LOIN DE LA LE COLLOQUE QUI TITRE EN
CHOEUR D’IRONIE D’AUTRES PRECARITES QUE LA VIE, FLUX SOUFFLE ET SI PALE
QUAND IL VIENT DE S’ETEINDRE LAISSANT SON VOILE ENCORE VISIBLE, PAR EXEMPLE
LA PENSEE CROYANT FRAYER EN ETERNITE DE VERITE. A DIX HEURES ET SANS AVOIR
DORMI NOUS AURONS SAUTE DU LIT CHAUD CELUI QUE NOUS TENONS Où DORMIR LES
YEUX CLOS ET LE VISAGE A DECOUVERT SOUS LE CIEL FRIMAS. MAISON EUROPEENNE
DE LA PHOTOGRAPHIE, RUE DE FOURCY, PARIS, METRO SAINT PAUL, PRES DE L’ILE
SAINT LOUIS.

www.criticalsecret.com/seminaire/seminaire_index.html

Old par fbwn le 10 Déc 2002

Il dit qu’il ne connait pas la liberté,

qu’il aimerait bien la rencontrer
et la serrer fort,
là,
contre lui.

Old par M. Fox le 05 Déc 2002

Sick or drunk ?

Live and let die…

Léger tremblement de terre dans la région de Pau

PARIS (AP) – La terre a légèrement tremblé jeudi après-midi dans la région de Pau, a annoncé l’Observatoire des sciences de la terre de Strasbourg.
Dans un communiqué, l’observatoire précise que le séisme, qui avait une magnitude de 4,6, s’est produit à 17h59.

*sob*

dimanche : chat + diner + cinéma
(utiliser le medium comme support pour un journal intim’impartial)

Old par igor le 22 Déc 2002

(abstrait, absurde, allégorique, chimérique, fabriqué, fabuleux, fantaisiste, fantasmagorique,
fantastique, fantomatique, faux, feint, fictif, idéal, illusoire, imaginaire, impossible, inexistant,
inventé, irréel, légendaire, mensonger, mythique, onirique, prétendu, rêvé, romancé, romanesque,
supposé, théorique, utopique, visionnaire)

Old par -- Zan le 05 Déc 2002

todas la mañanas de mi amor se van contigo me olvidaras me olvidaras
bip bip
euh… yaourt pour remplacer les paroles de la première chanson du deuxième disque de Q and not U, groupe de euh… Los Angeles? un truc comme ça en plusieurs mots aux USA
rêve: elle parle à sa mère, elles pleurent
réveil: il fait noir dans la chambre, l’ambiance est moite, elle a encore les rêves devant les yeux
rêve: elle entend vomir à côté d’elle
réveil: il fait noir dans la chambre, l’ambiance est moite, elle a encore les rêves devant les yeux (elle a envie de vomir)
rêve: le gâteau au chocolat, qui semble se glisser juste derrière sa glotte
réveil: elle a très mal au ventre
bip bip (vous ne l’avez pas reconnue mais c’est la chanson de Bowie, in Scary monsters et celle là elle tourne bien dans la nuit, dans la tête)

Il m’a reprise puis rejettée…

Mon destin me croise à tous les coins de rues…
Il me harcèle…
Comment ça qui ça?

La musique m’accompagne, elle m’aime comme l’amoureux que je n’ai pas…

Old par Gu. le 02 Déc 2002

rien…ou presque.

Trois deux un partez, et hop! Il court il court le furet; je l’attrape par la queue, je le montre à ces messieurs, et on s’assoit sur le haut d’un mur, le faîte d’un arbre. J’embrasse à pleine bouche l’amiral qui l’escalade, ça ne vous étonne pas du tout n’est-ce pas? Mais pour qui me prenez-vous?
On reprend la course, le furet va assez vite, moi un peu plus encore, sauf quand il y a des tunnels. La tortue est loin derrière, elle ne gagne jamais ça c’est des conneries. Mais pour les gros arbres écrasés au milieu de la route, je bondis au-dessus, et mes jambes s’écartent, se mettent à l’horizontale, mes muscles saillent et je gagne!
Oh! Je m’écrase sur la ligne d’arrivée, ma joue rape, j’ai la gueule déchirée. En fait personne ne voulait gagner on m’a fait croire à une fausse course. Je pleure dans la boue.
Mais hop! Le furet rejaillit, il m’embrasse, il m’emmène, je le crois.
Et hop! J’ai la figure pleine de boue.
Mais hop! Le furet rejaillit, il m’embrasse et nous partons.
Et hop! J’ai la figure pleine de boue.
Mais hop! Le furet rejaillit, il m’embrasse et nous partons.
Et hop! J’ai la figure pleine de boue.
Mais hop! Le furet rejaillit, il m’embrasse et nous partons.
Et hop! J’ai la figure pleine de boue.
Mais hop! Le furet rejaillit, il m’embrasse et nous partons.
Et hop! J’ai la figure pleine de boue.
Mais hop! Le furet rejaillit, il m’embrasse et nous partons lalalalilala vers une clairière illuminée. Oh lala… les poncifs de l’amour, toujours!

Pendant ce temps là, à Faidherbe…

Toc toc toc

– Raaaah, impression de déjà vu
Voix off : Chuuuut, ferme là, c’était pas le même personnage
– Hum, oui, jamais vu cela… Mais qui est donc derrière la porte ?
– DRUAND !
– Monsieur le malpoli hurleur, j’ouvre par pure ouverture d’esprit…
– J’aime Nadine !!!!
Se contenant
– Veuillez partir.. elle est mon épouse…
– Etait vous voulez dire !!! Epouser une morte, sagouin, j’écorcherais votre engance !
– Et merde pour la gauche caviar !

La porte se referma sur le nez de l’importun

A Suivre

Old par Rodia le 13 Déc 2002

ca n’en finit jamais,

comme une particule
coincée dans l’accelerateur,

je sens monter l’angoisse,
le speed
et la terreur,

ca tourne,
encore et encore,

pas le temps de vomir,
tout va trop vite,

vivement la collision
que j’explose
pour
de
bon.

Old par M. Fox le 03 Déc 2002

un seul être prend le train et tout s’égare.
je m’égare… gare à moi.

Tourgueule de Bois…

Old par Gu. le 20 Déc 2002

excellents présages pour une journée qui commence mal

premier présage : oublie les humiliations qu’on t’a fait subir, tout cela n’a aucune importance

second présage : tes décisions sont les bonnes, celui qui sera prudent sera le perdant

des effluves étranges m’entourent et mes reves ont le gout de tes baisers

again

Old par M. Fox le 23 Déc 2002

Le vertige de la baignoire grise…

– ne plonge pas, y a pas assez d’eau!
– m’en fous j’y vais quand même.
– MEFIE-TOI!
– pourquoi faire?
– parce qu’ on ne sait jamais…
– toi tu ne sais jamais… moi non plus d’ailleurs;
mais c’est tant mieux; si tu savais, t’aurais plus d’envie.
– je n’aie plus d’envie.
– arrête de vouloir savoir
– quoi encore?

à l’avenir, laisse venir… l’imprudence.

petit chaperon rouge, go home:

acte 1 : wouééééééé vive la libertééééééééé !
acte 2 : oulala, oulala, ça chatouiiiiiiiiille !
acte 3 : ben alors, ben quoi ?

réponse : c’est pour mieux te … , mon enfant .

Au moins elle est de gauche Solune.

v a c a n c e

« Non mais attend Sophie. T’as pas des magazines porno pour Sophie? »
Le mec de droite
Non mais vous voulez pas qu’on se roule des pelles?
Nicolaï T.
Bruit de langues – Bruits de clic clac clavier
Devinez qui fait quoi?

« je n’ai jamais voulu être avec des gens comme moi
en fait si je l’ai voulu, j’ai essayé et ça n’a pas marché
c’est parce qu’on est pareil qu’on ne fait pas l’effort de s’écouter »

beaucoup de sang
attachée à une chaise
je prends la première balle de ping-pong
je m’approche
ta bouche est maintenue ouverte par une pince
métallique
tes dents sont
sciées
gencive limée
je glisse la première balle de ping-pong
et la pousse sur la gauche
une deuxième balle
tes yeux affolés
– du calme !
tes dents saignent encore pas mal
mais la morphine tient la douleur
à distance
j’insère la deuxième balle
sur la droite
je ris de bon cœur
un rire franc et chaud
qui contraste avec la cave
glaciale
je passe à la vitesse supérieure
et c’est deux balles que j’insère
une en haut et une
en bas
tu suffoques un peu
c’est de plus en plus grotesque
on dirait un écureuil
tout rouge
à mourir de rire

Old par igor le 30 Déc 2002

bloody mary to e-gore : lick-entropie, soon?

Si la vérité peut sortir d’une merde de chien, alors ouvrons grand les yeux…

Old par Gu. le 06 Déc 2002

push to open...
coeur de cible… et inversement … à « 3 » je plonge!

une eclipse soudaine
suivie d’un grand vent

j’ai perdu pied
et je tombe dans le néant

Old par M. Fox le 20 Déc 2002

J’étais à ma toilette – j’ai entendu bruisser les hautes fougères
J’ai ralenti mes gestes.
Et puis j’ai aperçu tes côtes saillantes courir à travers les taillis.
J’ai séché longtemps au soleil.

Old par -- Zan le 26 Déc 2002

je crois que tu n’existes pas vraiment.

Old par M. Fox le 27 Déc 2002

Vendredi 29 Novembre : pas mieux.

Plok, l’économie d’aujourd’hui, le monstre de toujours dit :
pouf pouf
Plok, l’économie d’aujourd’hui, le monstre de toujours dit :
je viens de rentrer
Misty Berkowitz dit :
t’as des relents de raymond barre
Plok, l’économie d’aujourd’hui, le monstre de toujours dit :
c’est normal, on sort d’un resto de Raymond Barre
Plok, l’économie d’aujourd’hui, le monstre de toujours dit :
J’en ai mangé d’ailleurs
Misty Berkowitz dit :
raymond barre au fenouil excellent
Plok, l’économie d’aujourd’hui, le monstre de toujours dit :

Misty Berkowitz dit :
pouf pouf
Plok, back in the sewer dit :
quelle ambiance de fête ici
Misty Berkowitz dit :
oui on a sorti les cotillons
Misty Berkowitz dit :
pouet
Misty Berkowitz dit :
pouet
Misty Berkowitz dit :
aieeeeee pascal arrête pas de m’embêter

Mélanie.G

« NON »
Le mec de droite.

Toi aussi donne à la grande chaine du bonheur et pour le téléthon
je t’aime
plus que tout
au monde
plus que
ma vie
plus que
ma carte bleue
plus que
mon ensemble
haute fidélité
plus que
mon bras gauche
plus encore…

une poule
sur un mur
qui picore
du pain dur
picoti picota
Old par igor le 06 Déc 2002

« Malgré son immense savoir et le mystère qui l’entourait, il supportait le poids de l’humaine et terrestre condition qui le faisait s’empêtrer dans les minuscules problèmes de la vie quotidienne.« 
Gabriel GARCIA MARQUEZ

Old par Gu. le 20 Déc 2002

Il y a ce qui se voit et ce qui ne se voit pas.
Ce qui ne se voit pas s’exprime plus librement
Mais uniquement s’il y a ce qui se voit.

Blaise Pascal

Le petit mécanisme dans ma tête a du mal à se mettre en route.
En lisant certaines phrases, quand même, il tremble (on se doute que derrière elles se cache quelque chose, une résonnance de savoir et, pour moi, une queue de réflexion):
La violence du corps n’arrive jusqu’à la page écrite qu’à travers l’absence, par l’intermédiaire des documents que l’historien a pu voir sur la plage d’où s’est retirée la présence qui les y a laissés, et par un murmure qui fait entendre, mais de loin, l’immensité inconnue qui séduit et menace le savoir.
M. de Certeau

La psychanalyse, truc de ouf.


Double coup de feu dans la rue morgue: on a tué le professeur et son épouse cette nuit alors qu’ils tentaient de s’enfuir de leur Palace, emportant avec eux toute leur fortune, c’est a dire un kilo de rutabaga du mexique en poudre. Lors de l’annonce de la nouvelle au casino d’Atlantic city, toute la communauté (dont ils étaient membres fondateurs et honoris causa) était en émoi, stupéfaite d’apprendre que les époux Rhys possédaient une telle fortune déshydratée en rutabaga. Après tout, n’avaient ils pas ouvert officiellement une souscription publique à la Banque du Sang de Puertorico, un mois seulement avant leur assassinat?… nos envoyés spéciaux menent l’enquête …

Réduis l’étude sans inquiétude,
seul ou accompagné de flatteurs.
Les uns se débarrassent de quelques
« quelle bonté est accompagnée de mal ? »
Les autres se débarrassent de
« quels hommes et quels endroits craindre ? »
On ne peut pas ne pas craindre
les endroits incultes, où il faut presque mendier, en effet !
De nombreux hommes sont brillants et florissants,
comme s’ils jouissaient de la plus grande écurie,
comme si l’amour montait sur scène.
Moi seul suis à l’ancre, comme en attente d’un signe,
comme le fils nouveau-né, pas encore enfant,
qui accumule et entasse, comme s’il n’avait pas d’endroit où retourner.
Tous les hommes ont des surplus,
moi seul suis comme un perdant.
Je suis un idiot, dont le cœur aussi est confus et chaotique !
L’homme commun brille et illumine,
moi seul suis un crépuscule sombre.
L’homme commun examine et observe,
moi seul m’ennuie et déprime,
calme comme la mer,
un vent fort qui ne s’arrête pas.
Tous les hommes ont un usage,
moi seul suis bête comme un village isolé.
Moi seul diffère entre les hommes,
mais ma mère est un précieux repas.
Laozi

Old par igor le 04 Déc 2002

Paris est sans doute le point le plus éloigné du paradis
mais c’est le seul endroit où il fait bon desespérer.
(Cioran)

Il y a du soleil sur Paris, le brouillard ne peux plus lutter, il se cache à l’est.
Cette fois, tu n’aurais peut-être pas du partir,
peut-être est-ce ça « L’Imprudence« .
A l’est rien de nouveau, ici, une lame de fond fait le ménage, discrètement.
Plus un nuage, le temps idéal pour aller voir les galaxies sur le mont Valérien.
Les étoiles t’attendent.
Dépêche-toi, on a tout le temps…

Old par M. Fox le 03 Déc 2002

Je n’ai plus de seins…
Ni non plus de derrière…
Mais par contre je serai
Toujours ton amie sincère…

Tu veux un calin?

Old par Gu. le 01 Déc 2002

Elle était frappée du complexe Pamela et ne cherchait pas l’esquive.
A quoi aurait ressemblé sa vie avec de plus gros seins ?
Sans doute elle aurait méprisé l’enjeu, elle aurait tout osé, sans crainte,
et elle aurait eu une voiture rouge.

Old par -- Zan le 16 Déc 2002

Boulens est une ville idéale pour tes vacances, tourgueniste
Le 14-15 Septembre 2002:
A eu lieu le Bal des pompiers.

Samedi:
Début de la cuite à 08h00
Dès 19h00 Grillades-frittes
Bal avec Manu et Véro à l’accordéon, Karaoké
Gâteaux cuits au four banal, saucisses, bar et tout ce qui s’en suit.

Dimanche:
Dès 12h00 Filets de perches
16h00 (environ) mise en bouteilles du Vin Cuit.

Prochain Week-end au jeûne 2003 !!!

Old par igor le 13 Déc 2002

« là