sous les arcades
il regardait la bouteille
avec une compassion infinie
comme si elle eût été
un enfant fievreux
Je ne suis qu’un animal
passe ton chemin,
retourne dans le monde des hommes,
oublie-moi
et pars sans te retourner
ne me regarde pas pleurer
é » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » »erdhny <--- chat sur le clavier
mon pied, le droit, en rouge, rappel, maladroit, de tes rouges, si parfaits, petits pieds, bandés, adorés.
You know, the sun is in your eyes
And hurricanes and rains Blacken cloudy skies You’re running up and down that hill The fates are vicious and they’re cruel
You learn too late you’ve used Two wishes Like a fool And then you’re someone you are not |
Oh Lady Luck has led you here
And they’re so twisted up They’ll twist you up, I fear They’re pious, hateful, and devout |
L’impression d’avoir dormi dans un buisson d’épine
avec 7 nains en train de chanter à tue-tête
est persistante,
c’est grave Docteur ?
Vu sur un blog
ha oui Nils, Barry ct le prophéte de l’amour, normal que personne voulait lui donner un organe quand tu vois les dégats que ca fait au coeur …
Ouais, super, était-ce vraiment nécessaire de lire ça (et je ne parle pas de la mort de Barry) ce soir ? Je veux dire, après avoir réentendu et revu tous les évenements qui m’ont fait mal ces deux dernières années ? C’était un complot, oui, certainement. Un commando qui s’est dit que tiens, pourquoi je n’irais pas mal, il y avait si longtemps…
Remarque, ça veut dire que demain, ça va être une très bonne journée.
D’ailleurs mon horoscope est formel, et ma boulangère aussi.
Monsieur K. :
Les infâmes Tourguenistes . On en est quand même à 118 plaintes pour
diffamation, attentat à la pudeur, provocation aux violences
raciales, apologie des drogues, dénigrement de marque, appel au
regroupement armé, chants séditieux, outrage au drapeau, occupation
indûe du domaine public, dégradation de mobilier urbain,
séquestration et voies de fait sur contractuelle, insultes à agent
dans l’exercice de ses fonction, coups et blessures sur huissier de
justice, bris de glace, tags sur les portes des toilettes de divers
bars et clubs, claque sur personne âgée, viol de chihuahua, etc…
Chère Gü.
Si tu veux voir la statue de Gu, va dans la salle des arts premiers au Louvre.
Celle-ci est dédiée au roi Béhanzin.
L’autre est dans les réserves du musée Dapper.
Elle illustrait l’oracle du roi Glélé, dédié à Gu, Dieu de la guerre et du métal.
Gu c’est aussi un superbe album des Sonic Youth ?
@+++
insomnie, c’est assez nouveau pour moi.
lire en somnolant, clips en boucle sur la tévé
insomnie, même pas la force d’essayer de dormir
rallumer l’ordinateur, câliner le chat
insomnie, enfin, pour me lever tôt demain
crevé mais heureux de te retrouver
se faire un petit voyage tout les deux
enfin, en amoureux.
Wampas, arènes de Nîmes…
Faire sa crête à Didier avant qu’il ne mOnte sur scène…
Finalement être une très bOnne cOiffeuse…
Parler de la crainte de l’altérité dans l’hOmOsexualité…
La fête du village, les autOtampOns, le bal…
Le sOleil, le cubis de vin rOsé, la plage électrOnique…
Mordre Délicatement Mon AmOur-prOpre…
Théâtre-théâtre, festival, une aspirine pour deux……
Arles, MOntpellier, Nîmes, AvignOn…
les amis d’Ivan Tourgueniev :
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Joseph Mobutu Sese-Seko
Basher Mobutu
Prosper Isioma
Henry White
Mariam Abacha
Ken Odion
Tayo El Bakare
Peter Martins
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du pognon pour tout l’été !
Maintenant c’est certain, nous sommes un site PORNO !!
le récitant : sortez de vos conapts, sales NERDs !
Varsovie – Novembre 1945 – 10 minutes après
Igor observe les petits orphelins
Igor traverse le bordel pédophile
Igor cherche une porte bleue
Igor se moque de la mort
Igor saigne encore un peu du nez
Igor ne…
Igor Tourgueniev ne se rappelle pas de son vrai nom
dehors les spectres agonisent
Si tu ne cours pas
C’est le froid qui t’endormira
Et si tu ne t’arrête pas,
C’est le souffle qui te manquera
Et la mort te prendra
Sans savoir que tu n’y croyais pas
La neige, lentement,
Couvrira ton corps raide de froid
Ne pleure pas
Il ne faut pas
Car l’eau de tes yeux gèlera
Il faut croire
Jusqu’à la mort
Que l’inespéré viendra encore
Cours, cours, traîne-toi
Dans la steppe immense et gelée
Tu vivras, oh tu vivras
Jusqu’à ce que le soleil soit couché
[…] Un jour, donc, peu après notre premier anniversaire, j’ai été envahi d’un sentiment indicible, un malaise complètement inexplicable ; une sensation insupportable parce qu’indescriptible. Ce matin là nous prenions notre petit déjeuner, en toute simplicité, d’une façon que je qualifierai même de « banale ». A priori, aucune contingence extérieure visible n’était susceptible de perturber notre routine matinale. Juliette et moi échangions quelques propos tout à fait anodins en sirotant nos tasses de café, comme nous avions l’habitude de le faire à cette heure creuse de la journée. Et puis… je ne sais pas… cette impression bizarre est apparue ; d’abord latente, rampante, insidieuse, puis flagrante, presque tangible. En apparence Juliette était radieuse – elle me dit d’un ton enjoué et légèrement espiègle qu’elle avait décidé « d’être de bonne humeur aujourd’hui ». Elle n’en faisait pas trop non plus ; elle se contentait de me sourire discrètement, et prenait soin de me parler doucement, respectueuse de cette torpeur matinale qui m’afflige quotidiennement. Mais quelque chose en elle avait changé. […]
Trop de choses à régler avant de partir.
Tu vas me manquer.
Finalement je resterai.
Pas le courage de tout liquider.
Adieu.
Le mépris
Je ne sais pas pourquoi j’essaie toujours de voir l’envers du décor.
Je fais absolument tout pour être déçu, je saborde dans l’urgence.
Je suis infoutu de tout oublier, de respecter le cahier des charges.
Je te dis que tu me plais alors que je suis à peu près certain de te haïr.
Il faudrait être honnête et t’avouer que si tu as de la place à mes côtés,
c’est uniquement parce que je suis seul et malheureux.
Et que le mieux que je puisse faire, c’est d’essayer de ne pas te le faire payer.
Prâtar namâmi gananâtham ashesha haetam brahmâdi deva varadam sakala âgamâdyam; dharma artha kâma phaladam bhava-moksha haetam; vâchâma agocharan anâdim ananta-rûpam Prâtar namâni kamalâpatim ugra vîryam; Prâtar namâmi girijâpatam indumaulim; Prâtar Namâmi dîna nâtham aghâpahâram; Prâtar namâmi girijâm bhavabhuti haetam; |
merci Papy Ivan d’avoir enfin rétabli la moitié de dialogue manquante
entre monsieur gras et monsieur maigre.
Vous êtes définitivement mon héros et mon Dieu,
et merci à Igor, le saint esprit, d’avoir intercédé en ma faveur…
(Je ne révèlerai jamais qu’il fabrique d’obscures mises en scènes
avec la complicité de son frère Nicolaï
pour se faire une fausse auréole
à l’aide d’une casserole….)
En attendant Monsieur gras a subi une sévère cure d’amaigrissement, je ne sais pas si ça lui va bien…
post it :
lors de la libération, penser à décapiter toutes ces pauvres merdes, si possible après torture et éviscération pré-mortem.
Selon les chaînes de télévision américaines, citant des sources militaires, les deux fils de Saddam Hussein, Oudaï et Qoussaï, ont « très probablement » été tués lors de combats à Mossoul (nord de l’Irak).
(…)
Les spéculateurs avaient en effet affiché une présence record sur le marché pétrolier la semaine dernière, attirés par des facteurs haussiers tels que l’ouragan Claudette dans le Golfe du Mexique, la faiblesse des stocks et l’absence prolongée du pétrole irakien.
Dans le cadre de l’émission » La Zone » diffusée sur la télé nous préparons actuellement un reportage sur le thème de l’amour intertextuel en vacances.
Pour préparer ce reportage nous sommes à la recherche de témoignages de jeunes célibataires et de couples qui vont profiter des vacances pour faire des rencontres ou se retrouver.
- Si vous êtes un homme parisien, célibataire, entre 25 et 35 ans, que vous avez un petit côté « dragueur » et que vous souhaitez profiter des vacances pour vous éclater et faire un maximum de rencontres.
- Si vous êtes une jeune célibataire ou une bande de copines célibataires, que vous habitez le sud de la France et que vous envisager de consacrer votre été à la séduction.
- Si vous êtes un couple et que vos goûts en matière de vacances sont très différents (club/baroude).
- Si vous avez fait le choix de ne partir qu’entre célibataires
- Si vous n’imaginez pas rencontrer un homme/une femme ailleurs que dans le milieu Jet Set et que vous allez y consacrer votre été.
- Si vous avez envie de consacrer votre été à l’amour de quelques façons que ce soit.
Contactez Julia ou Catherine au 01 55 38 94 32/01 55 38 94 33 ou par e-mail : docu@tetramedia.fr
C’est grâce à une collaboration financière aussi régulière que fructueuse
que les familles Mobutu et Tourgueniev ont tissé ces liens affectifs si précieux
qui les unissent auourd’hui…
Papy Ivan : quel que soit le but de la prière d’un homme, il demande un miracle.
chaque prière se résume en ceci : «Grand Dieu, faites que deux fois deux ne fassent pas quatre.»
Vous…des…nouvelles…oui…sûr…non…
…chaleur…on sait… tous…pas d’histoire…
je me promè…en short…vita nuova…
têtes mortes…disparues…where are you…
parle de loin… une bouche ?…oui…oui…
va mal…comme d’hab…une jeune fille…
de 18 ans…non…des heures…travail…que ça…
plus tard…voyages…qui lit… le petit…
salaud…cinema + hamburger… oui…
quel programme…non…pas vraiment…
heureusement…amis…old times…
vieja vita…j’ai chaud…déprime…
blanche…sans…douleur…ça dure longtemps…
depuis le début…oui…trop chaud…
pour… et vous…non… une jeune fille de 18…
centimètres…au cinema avec elle…
premier rang… voyages ?…oui…Italie…Espagne…
je vous…raconterai……oui…les …nouvelles…oui…
THE CONFESSION
BY _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
SHE WAS YOUNG AND BEAUTIFUL BUT NOW SHE IS BATTERED AND DEAD. SHE IS NOT THE FIRST AND SHE WILL NOT BE THE LAST I LAY AWAKE NIGHTS THINKING ABOUT MY NEXT VICTIM. MAYBE SHE WILL BE THE BEAUTIFUL BLOND THAT BABYSITS NEAR THE LITTLE STORE AND WALKS DOWN THE DARK ALLEY EACH EVENING ABOUT SEVEN. OR MAYBE SHE WILL BE THE SHAPELY BRUNETT THAT SAID XXX NO WHEN I ASKED HER FOR A DATE IN HIGH SCHOOL. BUT MAYBE IT WILL NOT BE EITHER. BUT I SHALL CUT OFF HER FEMALE PARTS AND DEPOSIT THEM FOR THE WHOLE CITY TO SEE. SO DON’T MAKE IT TO EASY FOR ME. KEEP YOUR SISTERS, DAUGHTERS, AND WIVES OFF THE STREETS AND ALLEYS. MISS BATES WAS STUPID. SHE WENT TO THE SLAUGHTER LIKE A LAMB. SHE DID NOT PUT UP A STRUGGLE. BUT I DID. IT WAS A BALL. I FIRST CUT THE MIDDLE WIRE FROM THE DISTRIBUTOR. THEN I WAITED FOR HER IN THE LIBRARY AND FOLLOWED HER OUT AFTER ABOUT TWO MINUTES. THE BATTERY MUST HAVE BEEN ABOUT DEAD BY THEN. I THEN OFFERED TO HELP. SHE WAS THEN VERY WILLING TO TALK TO ME. I TOLD HER THAT MY CAR WAS DOWN THE STREET AND THAT I WOULD GIVE HER A LIFT HOME. WHEN WE WERE AWAY FROM THE LIBRARY WALKING, I SAID IT WAS ABOUT TIME. SHE ASKED ME, « ABOUT TIME FOR WHAT? » I SAID IT WAS ABOUT TIME FOR HER TO DIE. I GRABBED HER AROUND THE NECK WITH MY HAND OVER HER MOUTH AND MY OTHER HAND WITH A SMALL KNIFE AT HER THROAT. SHE WENT VERY WILLINGLY. HER BREAST FELT WARM AND VERY FIRM UNDER MY HANDS, BUT ONLY ONE THING WAS ON MY MIND. MAKING HER PAY FOR ALL THE BRUSH OFFS THAT SHE HAD GIVEN ME DURING THE YEARS PRIOR. SHE DIED HARD. SHE SQUIRMED AND SHOOK AS I CHOCKED HER, AND HER LIPS TWICHED. SHE LET OUT A SCREAM ONCE AND I KICKED HER IN THE HEAD TO SHUT HER UP. I PLUNGED THE KNIFE INTO HER AND IT BROKE. I THEN FINISHED THE JOB BY CUTTING HER THROAT. I AM NOT SICK. I AM INSANE. BUT THAT WILL NOT STOP THE GAME. THIS LETTER SHOULD BE PUBLISHED FOR ALL TO READ IT. IT JUST MIGHT SAVE THAT GIRL IN THE ALLEY. BUT THAT’S UP TO YOU. IT WILL BE ON YOUR CONSCIENCE. NOT MINE. YES, I DID MAKE THAT CALL TO YOU ALSO. IT WAS JUST A WARNING. BEWARE…I AM STALKING YOUR GIRLS NOW. CC. CHIEF OF POLICE |
Mon amour est partie y a longtemps et je travaille comme fou.
Ca marche très bien pour moi, j’ai été promu.
Les nuages se profilent à l’horizon, brisé par les tours de verre de la Défense.
Je vais traverser tout Paris pour rentrer Porte de Bagnolet (c’est chez moi).
Dans la rame de métro, il y a un tas de personnes très ordinaires dans lequel je me confonds.
C’est tout propre – y a personne – quand je rentre.
Je mange tranquillement mes céréales.
Puis je me couche et un répliquant me susurre des mots tristes.
je marche dans la ville depuis des jours
le virus me ronge, charogne en sursis
le mal ne fait rien que de me bouffer
personne dans les rues, juste les chiens
…
les bûchers, l’odeur des corps
mourir enfin, me reposer
oublier ton absence, ton odeur,
la fin des hommes, demain les chiens…
Le coeur des lumières bat très fort
Si on s’en approche
elles s’éloignent
si on s’en éloigne,
elles pulsent plus fort
pour qu’on puisse les entendre,
même à distance
Les odeurs qu’elles répandent
splendides
ces petites gouttes de musique
par elles dispensées
m’emerveillent
Océan de bonheur
contemplation infinie
rêverie irisée
Harmonie
L’autre jour je discutais avec une brillante tourgueniste.
Nous parlions un peu de tout et de rien à la fois, mais avec ce talent indéfinissable qui caractérise notre esprit « irrationnel et molletonné ».
Bref : tout en feignant la désinvolture nous planions à une altitude intellectuelle proprement vertigineuse.
Et soudain je m’interrompis moi-même, comme frappé de stupeur.
La révélation se fit en une foudroyante connexion neuronale : dans « Internet » il y a « interné ».
anticipation numéro 3
ce sera mercredi.
il y aura la mort, toute paisible
dans le revers de nos yeux.
encore, nos adieux seront discrets,
murmurés dans l’après-midi.
dans tes mains fermées, tu tiendras
les pluies nouvelles, les chats et les clefs.
tu marcheras jusqu’à l’arrêt de bus
et dans les vitrines des maisons,
tu verras que l’été
est amoureux de tes pas.
on met des titres aux posts maintenant ????
ben oui faut croire…
Il n’est pas sans ignorer
que je ne sais pas
si son ignorance
ou l’incurie
dont il fait preuve
l’empêchent de savoir
s’il ne sait pas ou s’il sait
le récitant : le coréen sans papier contre-attaque !
Monsieur Maigre et Monsieur Gras taillent le bout de gras (!)
L’idée était de se passer complètement d’événement et de rassembler les
gens sans raison
genre : monsieur gras et monsieur maigre
ben tiens
La preuve par l’image
Regardez bien !
Il y a des requins dans le transat de JLB* !
* JLB vit près de Répu.