Une aube nouvelle

J’ai survécu

une fois encore

De mes petites dents

j’ai surement tué

je ne sais plus qui

ni combien de proies

mais le goût du sang

est toujours sur ma langue

Les instincts du tueur

sont plus forts en cette saison

je ne peux m’en défaire

A la lueur de la Lune

je chasse

et mon coeur sourit

Old par M. Fox le 27 Juin 2003

pau 1884

la ville est recouverte de brouillard,

les horpailleurs traînent sous les voutes.

je n’ose sortir, la pluie est de plomb,

la formule est sur le point de fonctionner.

Old par igor le 02 Juin 2003

boringirl (…)

Old par Gu. le 05 Juin 2003

Le

jour viendra où le tableau ne suffira plus. Les couleurs en se

multipliant n’auront absolument pas besoin de formes pour être

perçues et comprises. Nous nous passerons de toiles et de pinceaux

; nous offrirons au monde – au lieu de tableaux – de géantes

peintures éphémères formées par des falots

brasillant, des réflecteurs électriques et des gaz polychromes,

qui, en harmonisant leurs gerbes, leurs spirales et leurs réseaux,

rempliront d’enthousiasme l’âme complexe des foules

futures.

Tu n’es encore pour moi qu’un petit garçon tout semblable à cent mille petits garçons.

Et je n’ai pas besoin de toi.

Et tu n’as pas besoin de moi non plus.

Je ne suis pour toi qu’un renard semblable à cent mille renards.

Mais, si tu m’apprivoises, nous aurons besoin l’un de l’autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde.

Old par M. Fox le 04 Juin 2003

You are Morpheus, from « The Matrix. » You have strong faith in yourself and those around you. A true leader, you are relentless in your persuit.

Quel test étrange !

Old par M. Fox le 30 Juin 2003

Camille et mon propre désir

Bonjour,

Je vais vous décrire ce qu’il me faut :

Je souhaite une jeune femme, charmante (mignonne), intelligente ayant une sociabilité derrière la quelle je puisse m’abriter.

Je souhaite aussi qu’elle soit gentille et qu’elle ait connu quelques vicissitudes qui nous mettent sur un pied d’égalité dans notre relation amoureuse.

Il est indispensable qu’elle aime la musique.

Les cheveux courts et une forte inclinaison d’avoir des enfants seraient des avantages indéniables.

Passons Camille au crible de ces critères pointus :

Jeune femme : OK

Charmante, (mignonne) : OK

Intelligente : ?, le silence est-il une preuve d’intelligence ?

Sociable : OK (elle rencontre beaucoup de monde tous les jours)

Gentille : OK, avec moi elle me sourit toujours …

Vicissitudes : ?, je ne sais pas

Mélomane : ?, j’ai essayé de lui faire écouter de la musique, peu d’effet.

Cheveux courts : OK

Envie maternelle : très certainement.

Bon score, somme toute !

Il faut à tout prix que je récupère une affiche de Camille pour la présenter à mes parents (pour les rassurer, ils sont très inquiets pour moi en ce moment) puis l’emmener devant Monsieur le Maire.

Pour les enfants, une grande photocopieuse devrait faire l’affaire !

Celui qui cherche

PS : je crois qu’elle est partie.

Hey, if you see the most beautiful girl in the world…

Le visage dans les nuages

Old par Gu. le 05 Juin 2003

courage !


Old par -- Zan le 15 Juin 2003

sally : on a jamais autant envie de poster que quand on doit s’occuper de ses papiers.

Old par igor le 21 Juin 2003

A compter de ce jour, je ne veux plus être en attente.

Quémander les mains jointes comme le mendiant, être en demande.

Un désir, désir partagé.

Deux regards qui convergent ou rien.

A prendre ou à laisser.

Old par Gu. le 20 Juin 2003

Old par Gu. le 10 Juin 2003

J’ai rencontré un type, c’est un rêve ambulant.

Il va falloir que je m’y fasse, et que lui se fasse à l’idée qu’il est plutôt en face d’une drôle de farce.

Old par motown le 21 Juin 2003

Résonnance recherchée

Que nos regards

En récépissé

Un problème ?


Old par M. Fox le 06 Juin 2003





Old par Gu. le 13 Juin 2003

Badly…

Old par Gu. le 04 Juin 2003

Y’a vraiment un truc qui faut que tu comprennes

Même quand je te bats, que je te donne un malheureux coup de poing (et c’est pas si souvent)

Au fond de moi je t’aime.

Et ça au fond de toi

Tu le sais

– Bon, tu vas quand même pas faire du gonzo-journalisme sur Tourgueniev ?

– Il a raison. C’est d’un commun.

– Oui mais c’est pas du gonzo. Je ne donne aucun nom. Juste des initiales. Les personnages réels se désincarnent et deviennent anonymes, presque imaginaires ; ça pourrait être de la fiction.

– En même temps, l’anonymat c’est très tendance en ce moment. C’est même déjà un peu surfait.

– Il a raison. C’est d’un commun.

– Oui mais de toutes façons, anonymat ou pas, je parle toujours de moi quand j’écris. C’est comme les pseudos, c’est toujours un faux anonymat.

– Ah bravo, bonjour le nombrilisme…

– Il a raison. C’est d’un commun.

– Oui mais non. Historiquement, le nombrilisme est d’essence tourguéniste.

– Exact. De nombreuses études l’ont prouvé.

cOucOu (…)

Old par Gu. le 28 Juin 2003

le récitant : papy Ivan en danger !

Old par igor le 18 Juin 2003

Le café : banqueroute de l’eau.

Old par Gu. le 06 Juin 2003

Search LOVE (…)

Old par Gu. le 13 Juin 2003

Je repense à toi.

Avec le souffle du vent, la volûte s’échappe rapidement de cette cigarette FORTUNA.

Fortune, bonheur à un moment chancellent.

Voilà ce qui nous a manqué.

Aucun regret. A chaque fois que l’été passe par ma fenêtre, je repense à toi.

Avec le sourire, point final, cri d’amour pour ce souvenir TENDRE.

il est remarquable que l’image dogmatique ne reconnaisse que l’erreur comme mésaventure de la pensée, et réduise tout à la figure de l’erreur.

j’aime arriver

à l’improviste

chez toi

un peu bourré

me faire peur

te faire peur

rires nocturnes

et finalement

m’endormir

heureux

à tes cotés

insouciant

Old par igor le 25 Juin 2003

Je suis Dany Dan.

Regarde-moi bien dans les yeux.

Je vais compter jusqu’à trois et tu vas t’endormir.

UN.

Tu respires profondément …

Regarde-moi bien dans les yeux ...

Old par Gu. le 13 Juin 2003

Dans les boites d’interim

il n’y a que 4% d’interim !

le reste c’est : « jobs et autres sous-produits d’emploi » !

Old par -- Zan le 16 Juin 2003

Inspiration mOlle / Passez un agréable WeEk-eNd

Old par Gu. le 06 Juin 2003

Un avertissement

Comme écrire est une souffrance, j’utilise maintenant

un petit dictaphone : je parle, j’enregistre, puis je transcris

plus tard ce que j’ai dit. Le travail me semble être

une besogne physique, moins mentale, moins angoissante, et

les voisins me prennent pour un fou.

Zan, attention à ne pas tomber dedans quand tu vomis dans les toilettes

Old par -- Zan le 09 Juin 2003

PERDU CHAT GRIS, YEUX BLEUS, RAPPEL DE VACCINS URGENT

jimpunk, ce héros…

Old par Gu. le 03 Juin 2003

éGü.-triP (…)

Old par Gu. le 12 Juin 2003

— — — — —

— — — — —

Perdu dans le jus du monde

— — — — —

saumâtre

amer

comme un baiser d’adieu

d’une mère à son fils

mais la feuille de route précise : impossible de reculer

— — — — —

Un gros tigre

me barre le passage

il est étrange

de près

ses yeux sont bleus

et ces rayures sont faites de lignes

dans lesquelles on distingue des phrases

comme

— ton champ des possibles est en flammes —

ou bien

— la route se rétrécit —

je n’aime pas du tout la façon

dont il me regarde

avec ses yeux en spirales



j’attends un éclair


Old par -- Zan le 13 Juin 2003

L’intertextualité est le fait pour un texte de s’approprier un autre texte en le citant, le plagiant, le parodiant, ou plus simplement en y faisant allusion. Tout texte est un palimpseste.

«c’est précisément parce que l’intertexte peut ne pas être perçu qu’il suscite, lorsqu’il est repéré et compris, un plaisir certain : celui qui naît du clin d’oeil saisi, de l’humour partagé; plaisir également d’une compréhension à demi-mot, d’un échange avec la mémoire, le savoir, la lecture d’un auteur ; plaisir enfin de retrouver, enfouie dans sa mémoire, la trace d’un texte dont la perception est changée par son inclusion dans un autre texte. » (PiégayGros, ibid).

La connaissance de l’existence de l’intertextualité permet de remettre en cause les représentations traditionnelles de l’écriture comme travail absolument «original», c’est-à-dire inventé de toute pièce, sans modèle antérieur. L’emprunt, le pillage, le remodelage font partie de la règle du jeu littéraire.

Old par M. Fox le 23 Juin 2003

Elle s’imagine des spirales

un peu partout,

dans chaque petit bout de son corps

ça lui donne le vertige

elle sourit

Old par M. Fox le 13 Juin 2003

Old par Gu. le 16 Juin 2003

l’esprit c’est comme un parachute, utile seulement quand il est ouvert.

Old par igor le 18 Juin 2003



non non je suis très content

de mon studio-neo-cheap-à-pilotis

seulement pas de chance

je suis au 2e tout à droite

là où ils ont monté la porte à l’envers

du mauvais côté de l’escalier

c’est surtout dangereux quand je rentre le soir

un peu gris



sinon c’est moderne




Old par -- Zan le 04 Juin 2003

Ecrire, ou à peine le faire, comme on carresse prudemment un fauve qui roupille.

Personne ne porte le même point d’interrogation.






Old par Gu. le 12 Juin 2003

Le vendredi soir il lui arrivait de passer à l’Est, sous les lampadaires grisonnants, en direction de l’Echangeur

Old par Rodia le 12 Juin 2003

Ambi-Gü.

Old par Gu. le 19 Juin 2003

You are Neo
You are Neo, from "The Matrix." You
display a perfect fusion of heroism and
compassion.

What Matrix Persona Are You?
brought to you by Quizilla

Quelque chose à ajouter ?
Quelque chose à ajouter ?

Nothing says « I can kick your ass » quite like a camo muscle tee does. Designed for chicks, our tight-fitting green camouflage sleeveless top features reverse stitch raglan shoulders, green binding at edges, and reverse stitching at hem.

Old par D.b le 30 Juin 2003

Old par Gu. le 05 Juin 2003



Prrrroblem

Prrrroblem

(got a ill communication…)



Old par -- Zan le 03 Juin 2003

I lOve jimpUnk

Old par Gu. le 29 Juin 2003

celui qui contrôle les médias contrôle le tEMps [ virtual void draw() = 0; ]

Old par Gu. le 04 Juin 2003

je n’ai pas cherché à t’éprouver

je me balance au bout de la liane

je n’ai pas cherché à t’éprouver

juste te sentir

tes épaules sont justes assez fines

pour y deposer un croc

j’y tisserai un fil d’emeraude

jusqu’à ta gorge lumineuse

et puis je frotterai tes doigts

d’une gomme noire

Old par -- Zan le 01 Juin 2003

millions of Peaches, Peaches for me

Old par M. Fox le 18 Juin 2003

Casimodo a trouvé une seconde famille (…)

A tous un grand merci d’avoir adopté son image sur le réseau (…)

Old par Gu. le 17 Juin 2003

L'Armor toute l'année

Old par M. Fox le 22 Juin 2003

Old par Gu. le 10 Juin 2003

répétitions

à

l’infini

Old par -- Zan le 30 Juin 2003

La grosse araignée qui veille sur mes reves

s’est enfuie lors de mon ménage annuel

100$ à celui qui la retrouvera en bonne santé

Old par M. Fox le 05 Juin 2003


Old par M. Fox le 03 Juin 2003

MECHANT

Nous dinons et L.C. nous avoue que selon

sa psychanalyste, elle serait enfin entrain de braver l’interdit

de l’inceste.


« Tant que tu resteras humaine » lui dit son mari.

L’après-midi, je sors de la galerie 779. L’homme des lieux

me dit : « Vos images, sans être documentaireS, nous parlent

de l’opérateur disparu. Je vous rappelle mardi prochain »

Plus tard, café (etoile manquante), une conversation entre deux jeunes filles :

— Parfois j’ai envie de faire l’amour avec des nanas comme toi.

— T’aimer le plus profondément possible.

Derrière, deux hommes commentent les petits garçons

qui passent, je change de place, scandalisé.

INTERDIT DE L’INCESTE ? RETOUR D’ŒDIPE EN PUISSANCE MAMA !

Plus tard avant de diner nous guettons une table qui va se libérer.

Une voiture manque de m’écraser, je reconnais Sophie Calle

qui sort du bolide et qui fonce vers moi pour me dire

UNE PLACE RUE RAMBUTEAU J’Y LAISSE MA VOITURE 6 MOIS !

Je ris, elle sait que je sais qui elle est ; je ne lui rappellerai pas qu’il y a

deux ans j’ai accroché ses croutes aux rencontres d’Arles !

OPERATEUR DISPARU ?

MAMA !


Old par M. Fox le 18 Juin 2003

« Ok. Ca me gonfle, je laisse tomber. »

FIN DE CITATION (…)

Old par Gu. le 17 Juin 2003

LES GENS ECONOMISENT DU TEMPS AVEC LES 35H ET CA LEUR PERMET DE PARTIR PLUS TOT EN RETRAITE ?

Old par M. Fox le 04 Juin 2003

L'Amor en Juin

Old par M. Fox le 22 Juin 2003

CE SONT DES CHOSES QUI ARRIVENT

ce soir

un petit short

mes mains sur toi

ce soir

un doux sourire

tes mains sur moi

Old par igor le 10 Juin 2003

ParanOïd

ParanOïd

ParanOïd

ParanOïd

ParanOïd

ParanOïd

ParanOïd

ParanOïd

ParanOïd

ParanOïd

ParanOïd

ParanOïd

ParanOïd

ParanOïd

ParanOïd

(…)

Old par Gu. le 06 Juin 2003

Je ne déteste pas m’évanouir.

Old par igor le 05 Juin 2003

Encore une nuit passée

dans l’étreinte du manque

sueurs froides, panique et cauchemars

étaient au rendez-vous

Merci d’etre tous venus,

mes amis

(tu me manques,

j’aurais aimé pleurer et frissonner entre tes bras)

Old par M. Fox le 16 Juin 2003

Je crois qu’il n’envisageait pas la vie comme nous l’envisageons nous meme,

il n’y voyait qu’un jeu

où il ne serait qu’un joueur talentueux

qui danserait au centre du monde

ordonnant l’univers de ses gestes doux et subtils

Old par M. Fox le 05 Juin 2003

SCAPIN

Cachez-vous, voici un spadassin qui vous cherche.
(En contrefaisant sa voix.) « Quoi ! jé n’aurai pas l’abantage dé tuer cé Géronte et quelqu’un par charité ne m’enseignera pas où il est ? »
(A Géronte, avec sa voix ordinaire.) Ne branlez pas.
(Reprenant son ton contrefait.) « Cadedis ! jé lé trouberai, se cachât-il au centre de la terre. »
(A Géronte, avec son ton naturel.) Ne vous montrez pas.
(Tout le langage gascon est supposé de celui qu’il contrefait, et le reste de lui.) Oh ! l’homme au sac
— Monsieur.
— Jé té vaille un louis, et m’enseigne où peut être Géronte.

Old par igor le 14 Juin 2003

BB & BG – 1

L’autre – 0

Old par Gu. le 03 Juin 2003

Où est la vie ?

Hors de la question, hors

d’atteinte, dans les chambres des autres. C’est la

nuit, je joue au fièvreux ; voyageur

d’états extrêmes bien au-dessus de

ce que je fais d’habitude. Pousse mon ami, étends

toi, mets toi à la place des dieux et regarde toi.

Pourquoi s’arrêter maintenant ? Ecrit dans la sauvagerie,

la résistance au confort du sommeil. J.P.R m’écrivait

l’an dernier : « Il n’y a pas de tragique dans le mail, nulle part, d’ailleurs

aussi. »
Ecrire pour la lumière, contre la nuit. Je me

souviens des états de jeunesse, lorsque j’écrivais

dans la chambre de Levallois la première phrase

scandaleuse en regardant la lune. Je l’avais appelée

« PUTAIN ! » Où est la vie ?

Et aujourd’hui, qu’as-tu encore dans le ventre ?

Les traits traversent les périodes,

les amours, les chambres, et tu sais qu’à partir de demain,

il faudra continuer. La légende est la suivante, je

l’invente : prologue écrit dans les tranchées avant

la pluie d’obus, sur ce petit carnet noir.


Où est la vie ?

J’vous préviens vous avez intérêt à bouger vos p’tites fesses et à vous procurer le live de Led Zeppelin.

Lu Sur NoblOg (…)

Old par Gu. le 05 Juin 2003

Old par Gu. le 18 Juin 2003

Old par Gu. le 03 Juin 2003

Il avait mis un temps incroyable pour constater la disparition du héros,

ce qui le plongeait dans un abime de regrets

et dans une perplexité infinie quant à la conduite à tenir

Old par M. Fox le 05 Juin 2003

ivre au coeur de la nuit

je suis ton ami

kiss ya

Old par igor le 03 Juin 2003


Old par M. Fox le 19 Juin 2003

Envie ce soir de t’écrire naisement « je t’aime ».

Je t’aime car tu es belle.

Je t’aime car tu sens bon.

Je t’aime quand tu es colère.

Je t’aime quand tu m’en veux.

Je t’aime quand tu allumes ta cigarette.

Je t’aime quand tu dis des bêtises.

Je t’aime quand tu fais la révolution.

Je t’aime quand tu dances.

Je t’aime quand tu as peur.

Je t’aime quand tu es triste.

Je t’aime quand tu souris.

Je t’aime dans la lumière du ponant.

Je t’aime surexposée.

Je t’aime.



Tu sais tout cela.

Depuis longtemps déjà.

Comment peux-tu encore me supporter ?


au départ

je n’étais pas vraiment contre

l’adoption de ce petit alien

tombé de son nid céleste

et puis c’est si mignon

quand il dort dans le creu de ton cou

mais j’ai bien peur

qu’il ne soit la cause

de mes étranges et nouvelles allergies…

Old par -- Zan le 23 Juin 2003

Tetard

Tetard

Tetard

Tetard

Tetard

Tetard

Tetard

Tetard

Tetard

Tetard

Tetard

(…)

Old par Gu. le 15 Juin 2003

au détour d’une botte de foin je croise Bill, ouvrier agricole.

tout ce qu’il porte sur lui : une salopette en jean élimée au genoux.

il me lance un regard politiquement incorrect. ça commence bien…

Oh oui, j’ai oublié : cette nuit, j’ai rêvé que plein de tétons avaient poussé sur l’arrière de mon bras.

C’était assez dégueu, j’ai pas osé vérifier si en plus, c’était érogène.

Old par motown le 21 Juin 2003

« là ici »