« Et la bête féline en massepain chevauchant le drapeau des invertis dévorera les espoirs des justes par sa chanson éternelle » – Jean XIII 1
R.I.P. : Paul Gillon – bit.ly/iOgoba
Ou un liminal domestique…
Porter un masque de canard pour aller se coucher.
L’homme à la tête de chat partageait ses nuits entre Carver et une solide ambition de mathématicien neo-platonicien. Mina, Igor sublimaient.
Sur ses bottines rouges en peau de serpent on pouvait lire : « GRAF ZEPPELIN » en lettres d’or.
DESTOROYAH !
On me souffle que dimanche c’est comme un jour férié hebdomadaire.
C’est une plaque tournante avec des ramifications internationales, particulièrement avec le Centre de Recherche Post-Dostoïevskien.
Endormi devant Transformers 3, au réveil, les grincheux t’infligent la double peine.
Bizarre.
Trop chaud pour dormir. Bestioles espionnes télécommandées sur les murs. La nuit. Le chat inquiet et les miliciens en sueur.
Je veux recevoir des morceaux de ton corps. t.co/3toWtXf
Mina, Carver, Igor dérivaient sur l’océan indien depuis déjà 23 jours, survivant d’amour et d’eau salée. t.co/1Fq0py5M
Bon… Hum. Euh. Ouais. Enfin. Ben. Merci c’était cool. *ici la retranscription phonétique d’un grand cri inhumain de terreur primordiale*
En vadrouille avec Bonnie. Au Charbon, sans Clyde ni barreaux.
Et Carver, ivre, punaise, sur le linteau de la cheminée. Un court message. t.co/MgQ974qA
Fesses. No. More.
Dans les escaliers, je peux entendre chuintements, frottements et malfaisances de races antédiluviennes, raclements, à la porte, soupirs.
Carver restait flou, ne pas renoncer à retrouver ses amis dans les ruines de Londres, Rome ou Paris. Et rien encore. On peut rêver. Si.
Ca parle de « genre » sur France 3.
Ce qui est, est réel.
Et Mina, d’expliquer à Carver le suicide « à la kashinawa » : t.co/nKv1ghN
Trois garçons imaginaires m’entrainent au fond du bassin, leurs mains comme les mâchoires d’un grand requin blanc, seul. Trop de sang, salé.
Ne pas passer sa vie à la gagner.
Mina fait son premier Twitpic de seins ? t.co/yfrzFYm
Et le soleil. Enfin.
Le soleil vert, c’est de la chair humaine ! #xfactor
Igor constatait que, au bord de la piscine, les jeunes filles de province, donc qui se nourrissent, ont un petit ventre, sain et joli.
Demain, TOUT, sera différent.
Et sous la Cité, les mutants libertaires, organisés en cellules autonomes, proposent de nouvelles utopies aux enfants. t.co/telQpDNl
Les célibataires qui habitent mon immeuble s’unissent physiquement avec d’anciennes créatures aquatiques venues de la mer à la nuit tombée.
La seule grande ambition de Carter, c’était de travailler au zoo avec les lions. Toutes les nuits. Sa seule grande ambition. Les lions. Zoo.
Fil à retordre.
Si vous jouez avec les animaux non apprivoisés, petits lapins, vous risquez de vous faire pincer très fort. Portez un fez, un nœud papillon.
Tout bèl followers mw yo ki poko domi yo mw ta renmen nou ekrim yon bel ti sms pou n bonne nuit ?
Non, plutôt tomate cerise sur Apple IIc.
Terrorisme à base d’explosion de ventre.
De Ricco la fripouille à Zeppo le clown blanc, combien y-a-t’il de clowns qui sont devenus déments ?
« I kill the bad guys like they’ve never been killed before. »
Ouch ma tête.
Devenons légendaires bande de petits macaques. Qu’on chante nos noms autour des feux de camps, après l’apocalypse. Vrais, superbes, héros.
Voir le Grand Dieu Pan, c’est déchirer le voile qui nous protège de l’absolu. En général c’est mort et folie. plixi.com/p/74590626
Igor déplace les meubles, bloquer la porte. Mina bouquine. Carver, prince et princesse, à la recherche du genre. Igor et l’armoire, amis.
Oliver Tate a un grand nez.
Il pleut. t.co/TE4HkuZe
Impossible de quitter la couette.
R.I.P. papy.
Encore quelques minutes. Je vais sauter. Le portable le plus FIN DU MONDE. Quelques secondes. Odeurs corporelles. Très étroit. Seize. Enfin.
Bon ok, je danse dans le train.
« Seules les personnes vraiment célèbres passent en privé sur Twitter » théorise Carver en finissant sa 1664 grenadine. Le décor explose.
Non.
LE @roidesediteurs est, il est. Et ses fortifications comme de lourdes renonciations, comme de multiples génuflexions vulgaires. Nous nus.
Allons donc à la messe.
Une noix de muscade posée en équilibre sur un rebord de fenêtre.
Le genre de lundi dont on cherche l’entrée.
Avec un cutter à deux lames on retire facilement un ongle. Ou un œil. Le deuxième est forcément plus problématique vu qu’on perd le relief.
C’est l’Calder l’dire…
Carver, au réveil, couvert de paillettes et de sang neuf : « mais qui voudrait être banquier quand on peut être poète ? ».
O kodwa u zo-nge li-sa namhlange, Si-bona kwenze ka kanjani, Amanto mbazane ayeza.
*tousse*
Mais la roupe quoi !
Les filles se relaxent. De l’eau partout. La musique est trop forte. Encore de la vodka. Etc… t.co/tWjy3g7
Merci à vous trois, vous êtes de terribles petites créatures de l’Amour. t.co/INL18u9w
Le soleil, la vie, l’amour, les petits enfants et Daniel. www.youtube.com/watch?v=dMYjCINcH9g
Mina consigne tout. Igor brûle ses cahiers. Et la Nuit.
Mina, l’hôpital, cherche, la Vérité, ne vous retournez pas. Don’t Blink. bit.ly/jc9P4o
Quelqu’un a mangé la soupe. Quelqu’un a dormi dans mon lit. Boucle d’Or ?!
Sans déconner. Twitter c’est pour dire juste la vérité. Les mythomanes c’est vraiment rugueux. Sans déconner. Oh, un tigre !
Et l’homme à la tête de chat, à bord de son train blindé traversant la Sibérie orientale, préparait un mauvais coup. t.co/DT3wzWfG
Le matin. Oui. Le sommeil. Non.
Grishka : « Je suis celui que vous avez laissé dans la neige, je suis celui construit sur la haine, je suis le double maudit. »
Les pompiers en ont marre c’est la grève aujourd’hui Il y a le feu partout c’est la fête des fous Il y a le feu partout et vive le feu…
Sweet home Alabama…
Bon, je ne suis pas menacé, mais on me dit de dire que, @AuDiableVauvert , n’est pas petit, pas du tout même. Ragots d’ivrognes séniles.
Mina et Carver se reposent dans la chambre du haut. La nuit a été longue. Dehors il neige. Igor bricole et saigne dans la cave.
Il est de gauche, et artiste dans l’âme. On voit bien qu’il fait tout pour s’excuser de la taille de sa bite. Sa féminité ne l’effraie pas.
On vient de me livrer un tatoueur ivre de taille inhabituelle. Un T.I.T.I. Je vais l’installer dans le bureau. Il a juste un sac à main.
Opération Raclette Garden.
Monde petit, etc…
Et ça bougeait les meubles chez @samuellaurent et @julieguilbault , de bon matin.
Ok, tu as gagné.
J’ai une trousse avec des couteaux couteux. J’ai aussi une collection de clients mails identiques et en finnois. 50 secondes et deux dents.
La nuit, avant. tourgueniev.com/2003/08/07/1090
Les nouvelles n’étaient pas vraiment bonnes pour Igor. www.tourgueniev.com/images/saga_tourgueniev_2.jpg
Sortir dans la rue avec un marteau dans la poche, sourire aux lèvres et ne pas demander son reste. bit.ly/kUrjfv
Il y a une petite fille fantôme dans le miroir du salon. Celui en forme de cercueil. Elle regrette son enfance, sa poupée, perdus.
SNIKT !
Man i was rollin so hard off those skittlez.
A la bombe, Igor Tourgueniev, comme son grand père avant lui, inscrivit sur le mur à la peinture dorée : Первая любовь
Poésie blanche : t.co/FkkTQd7O – @HmijocEatene
Igor passe la soirée tranquillement installé avec Stéphane Bourgoin et ses tueurs en série. Je sers du thé à tout le monde. Et des bretzels.
Pogo c’est lui : img695.imageshack.us/img695/8131/statepossumphoto.gif
Bon, là, en ce moment, il y a un ninja en colère debout sur le lit. Sans déconner. Et le pirate est mort. Sans déconner. Bizarre cette nuit.
Une bonne rotation de la terre autour du soleil de plus à tous. Du Mana dans vos actes, vos projets et vos affections. On se voit vite.
Et quitter Bombay.
La hutte est en papier et les chausses sont numériques.
Il y a le feu partout c’est la fête des fous Il y a le feu partout viv’ le feu viv’ les fous!