Mina : « Les mangas c’est plus des discussions bergsonniennes ».
Et l’homme à tête de chat, chelou. t.co/1cAgAOlc
On me signale « Dalatrace » et pas « Galatrace ». Ça m’étonne moins qu’elle s’énerve quand j’écorche son titre. Donc.
Igor, la tête dans la gueule, du lion.
Et Igor, sur ce rocher humide lancé à 30000 km/s dans l’espace, rentre chez lui. En bus.
Igor est animiste. Mina athée. Carver, mixte, forcément. L’homme à la tête de chat loue la Grande Arrête de Poisson Sacrée Invisible Rose.
Mina : « n’importe quoi… »
Et la nuit de fondre sur nous, affamée.
Et, la nuit.
Et dans le salon déserté, une petite voix, sortant d’un casque, posé au sol. Par la fenêtre, les dirigeables noirs. t.co/d7Nz5d7r
Hey, I just met you,
And this is crazy,
But here’s my number,
So call me, maybe ?
Et pendant ce temps là, dans l’espace. t.co/PyBquYhF
Je vois cette relation d’un très mauvais œil. La nuit.
J’ai froid.
Et, sur la cheville gauche de Mina, un grand dragon aquatique. Igor se penche pour mieux l’examiner : « Année du Dragon, ça va secouer ». Oui.
Igor se fait asperger par Mina. Humidité et syndrome pour tous.
Le chat a mangé les clefs du garage à bateaux. La fin des temps. Apocalypse.
Carver, lessivé, n’ignore rien des techniques de camouflage belges. Ses petites cellules grises, itou. Pinkie pou ! t.co/At4i4CYp
Je laisse les ados se droguer sous le canapé du salon et je retourne dormir un moment. Ils sont souriants et silencieux. Optimistes. Aussi.
Le saucisson de poney ça n’a pas du tout le goût de magret d’âne. t.co/L5DGeX3u
L’homme à la tête de chat récupère l’urne. Les cendres sont parfaites. Litière.
Sept d’un coup !
South Beach, Igor, la tête dans le sable. Carver, Mina en tirent les leçons. Bottines en peau de serpent pour tous. t.co/wok64aFx
La Transylvanie n’est pas l’Angleterre.
Mina proclame son indépendance. Carver tourne de l’oeil. Igor, dans sa cellule, fait du vélo. Sur les murs : un œil, une date, c’est tout.
Il me reste seulement 2 cachets d’Ubik. La fin de semaine sera dure. Je commence à revoir le monde. Et l’Empire. Mes mains tremblent.
Pluie acide sur le nord du 19ème arrondissement de Paris, France, Europe, Monde, Terre, Système Solaire, Voie Lactée, Univers, Litière.
Tes amis sont réels.
Et Mina, de mimer l’ecclésiastique gaulois. Nos troupes roupées, en déroute, rigolarde. t.co/nh2AUxAt
Nous nous trouvions dans une situation difficile. Pas de fumée sans feu. t.co/6RBvjcdR
Dehors. Tous. Dehors.
Tout le monde rentre au bercail en octobre.
Et soudain, le train.
Ils sont pas tous fondus à la même taille. C’est assez peu pratique, pour faire du deltaplane, du jokari ou compter sur ses doigts.
Je pense que c’est encore la nuit. Si vous pouviez tous arrêter de jacasser ainsi au fond de mon crâne et retourner vous coucher. Merci.
Sérieusement, cette soirée estivale a un sérieux parfum d’apocalypse. On rase gratis, pour fêter ça.
Chernogorsk. Passage à l’église, puis je trouve une petite Winchester au supermarché, tranquille, et là, fatalement, une balle dans la tète.
Chère maman, ici tout se passe bien. Les chats sont plutôt fiers de leurs nouvelles amitiés. T’embrasse. t.co/CvFaPK3c
Pour un nouveau massacre.
Oh Don Piano.
Mina est, on peut le dire à présent, une ancienne du Katanga. Igor n’aime pas trop aborder le sujet. Non, ça ne rigole pas chez les loulous.
Et la neige. Et la nuit.
Traboule moi toute.
C’est pas ma faute à moi !
Doucement. L’aube.
On a construit une piscine à bulles sur le toit de l’hôtel. En déplaçant le cimetière. Mauvais karma à la baignade, mais belle vue sur Rome.
Poison.
Alternant cocaïne et spray nasal « anti-suicide », Carver espérait augmenter ses chances. Et une punaise dans la testicule pour le « boosting ».
Il a 30 ans !
Je dors mal à cause de ma gangrène qui me bouffe le pied.
Couverts de peinture blanche, épuisés, aimants. La pièce à vivre retrouve sa jeunesse. Pas de magot mais de l’eau fraîche. Et le reste, si ?
Et Igor, tellement peu loquace, béatitude des guérillas réussies. Se blottir, sous les bombes, se sourire. t.co/BYZBhycW
Étranges pérégrinations humides.
Les personnes réelles sont faciles à reconnaître. Elles clignotent.
Par la fenêtre, une dystopie, uchronique, cyclopéenne, de toute beauté. Dirigeables, Grand Amour désespéré, guérilla urbaine pour nos héros.
Danser dans la forêt, pieds nus couverts de boue glissante, sourires qui se répondent, yeux émerveillés ne clignant pas. Hiver nucléaire.
Je sais à présent que je suis prisonnier.
Mais sourire aux lèvres.
Mina marche fièrement. Igor rampe difficilement.
Disque. t.co/7Quule5R
Convenez que c’est étrange : t.co/xIO5FBBd
Un rayon de soleil en terrasse, un thé à la menthe, un vétérinaire amical, un Kobo récitant Hyperion, que demander de plus ? (toi !)
La nuit. Carver hurle à la lune. Les grenouilles.
Et un double saut carpé.
Et tu viens avec moi, faire l’avion. t.co/m0vq87wz
Mina, en larmes, sur la jetée.
De l’eau de l’eau.
Bang bang.
Old Long Johnson.
Vous entendrez parler de guerre, de rumeurs de guerre. Mais ne soyez pas troublés, il faut que cela arrive, et ce n’est pas encore la fin.
Mina, sous sa ghillie toute neuve, se préparait un thé au ginseng en attendant le passage du convoi néo conservateur. Elle se sentait forte.
Max, les maximonstres, orphelins.
Une pensée pour Jo Chattemite, rebelle, vivant, et debout. Et pour sa mère.
Igor, lucide, à Mina, morte, mais souriante : « je pense que les choses ne peuvent que s’arranger ». t.co/ldTMCUlw
Mina et le dauphin discutaient âprement de la suite des opérations. Igor faisait mine de s’intéresser. En vain. On dort, donc.
Hum.
Quels beaux projets nocturnes. t.co/5TTHNaZr
Et la basse. Et nos yeux empathiques. Entropie et tango.
Je croque la tête du pigeon. C’est dégueu et chaud. Je crache les plumes et les petits os. Protéine quand tu nous tiens.
D’accord. Je t’aime. Aussi.
J vs tien o courènt dè ke j finie merci.
Present Day… Present Time… Mouhahahahaha !
Un cocktail Molotov est une arme incendiaire artisanale composée d’une bouteille en verre en partie remplie de liquide inflammable et d’u…
Cheval.
Aussi belle qu’une balle.
Lèvres bleues, mensonges.
Jimmy boit du gin dans sa Chrysler.
Hodor !
Igor, Mina, les autres, fêtent son anniversaire, un peu en retard, en posant une bombe dans le coffre d’une banque. t.co/sb2MIcvA
Il me reste douze cartouches et, autour de l’hôtel de ville, les miliciens festoient, en bons voisins. Personne dans le no man’s land.
La fille, avec les fleurs.
Raclure : Petite parcelle que l’on enlève d’un corps en le raclant. Fig : déchet.
Igor, plus bas dans la pente, numérote ses abattis, ajuste son gilet, replace son bonnet félin, se prépare à la courte lutte, à suivre, ici.
Et la brigade de répression des anges, uniformes oranges, de se précipiter par la fenêtre, on n’en mène pas large, innocents rêveurs nus.
Boum. La Nuit.
Ok, on danse. Dubstep.
Cut the cake.
Ouais. Miel. Aussi. Et nus.
Et Carver, d’enfoncer son borescope encore plus avant dans les profondeurs dangereusement verticales, nues, de son abdomen rutilant, soyeux.
Mina, Carver, Igor (et un autre type bizarrement constitué) sauvent le monde. Encore.