Je faiS de l’autOfictiOn,
Ben vi !
C’est grâce à une collaboration financière aussi régulière que fructueuse
que les familles Mobutu et Tourgueniev ont tissé ces liens affectifs si précieux
qui les unissent auourd’hui…
My wedding man
My wedding, my wedding man, where are you my wedding man ?
Why did you disapear?
Are you hidden in a tree ?
Are you hidden in a church ?
Come back to me please my wedding man, tell me it was a joke…
It was a beautifull beautifull day, more than us,
How could you waste such a beautifull day ?
My wedding, my wedding man.
My wedding, my wedding man, where are you my wedding man ?
Why did you disapear ?
My wedding, my wedding man, where are you my wedding man ?
Come back to me please my wedding man, tell me it was a joke…
by FrançoiZ Breut
Regardez bien !
Il y a des requins dans le transat de JLB* !
* JLB vit près de Répu.
Varsovie – Novembre 1945 – 10 minutes après
Igor observe les petits orphelins
Igor traverse le bordel pédophile
Igor cherche une porte bleue
Igor se moque de la mort
Igor saigne encore un peu du nez
Igor ne…
Igor Tourgueniev ne se rappelle pas de son vrai nom
dehors les spectres agonisent
ben tiens
Théodora m’adora
Mais c’est Cunégonde
Qui sauva le monde
— — — — — — — — — — — — — la vie est étrange que voulez vous — — — — — — — — — — — — —
Chère Gü.
Si tu veux voir la statue de Gu, va dans la salle des arts premiers au Louvre.
Celle-ci est dédiée au roi Béhanzin.
L’autre est dans les réserves du musée Dapper.
Elle illustrait l’oracle du roi Glélé, dédié à Gu, Dieu de la guerre et du métal.
Gu c’est aussi un superbe album des Sonic Youth ?
@+++
[Post par procuration]
ou
Miss Jones
[/Post par procuration]
Mais non, je ne profite pas de mes privilèges de Tourgueniste pour faire le malin avec nos jeunes lectrices. Non, non.
Cher ami, tu m’as sauvé du silence, et maintenant, mes gestes ne sont plus étriqués ; j’ai confiance dans la violence qui me dirige ; elle est juste. C’est le cri de soi dans une pièce où personne ne m’entend. Le violence est juste ; elle dit un monde de joies, et enferme les doutes dans des pierres. Les mots et les choses roulent dans ma tête, et j’expulse ce vacarme en trouvant le ton juste — pour arriver tranquillement sur une plage, et me baigner en changeant de peau.(Excès d’images…)
THE CONFESSION
BY _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
SHE WAS YOUNG AND BEAUTIFUL BUT NOW SHE IS BATTERED AND DEAD. SHE IS NOT THE FIRST AND SHE WILL NOT BE THE LAST I LAY AWAKE NIGHTS THINKING ABOUT MY NEXT VICTIM. MAYBE SHE WILL BE THE BEAUTIFUL BLOND THAT BABYSITS NEAR THE LITTLE STORE AND WALKS DOWN THE DARK ALLEY EACH EVENING ABOUT SEVEN. OR MAYBE SHE WILL BE THE SHAPELY BRUNETT THAT SAID XXX NO WHEN I ASKED HER FOR A DATE IN HIGH SCHOOL. BUT MAYBE IT WILL NOT BE EITHER. BUT I SHALL CUT OFF HER FEMALE PARTS AND DEPOSIT THEM FOR THE WHOLE CITY TO SEE. SO DON’T MAKE IT TO EASY FOR ME. KEEP YOUR SISTERS, DAUGHTERS, AND WIVES OFF THE STREETS AND ALLEYS. MISS BATES WAS STUPID. SHE WENT TO THE SLAUGHTER LIKE A LAMB. SHE DID NOT PUT UP A STRUGGLE. BUT I DID. IT WAS A BALL. I FIRST CUT THE MIDDLE WIRE FROM THE DISTRIBUTOR. THEN I WAITED FOR HER IN THE LIBRARY AND FOLLOWED HER OUT AFTER ABOUT TWO MINUTES. THE BATTERY MUST HAVE BEEN ABOUT DEAD BY THEN. I THEN OFFERED TO HELP. SHE WAS THEN VERY WILLING TO TALK TO ME. I TOLD HER THAT MY CAR WAS DOWN THE STREET AND THAT I WOULD GIVE HER A LIFT HOME. WHEN WE WERE AWAY FROM THE LIBRARY WALKING, I SAID IT WAS ABOUT TIME. SHE ASKED ME, « ABOUT TIME FOR WHAT? » I SAID IT WAS ABOUT TIME FOR HER TO DIE. I GRABBED HER AROUND THE NECK WITH MY HAND OVER HER MOUTH AND MY OTHER HAND WITH A SMALL KNIFE AT HER THROAT. SHE WENT VERY WILLINGLY. HER BREAST FELT WARM AND VERY FIRM UNDER MY HANDS, BUT ONLY ONE THING WAS ON MY MIND. MAKING HER PAY FOR ALL THE BRUSH OFFS THAT SHE HAD GIVEN ME DURING THE YEARS PRIOR. SHE DIED HARD. SHE SQUIRMED AND SHOOK AS I CHOCKED HER, AND HER LIPS TWICHED. SHE LET OUT A SCREAM ONCE AND I KICKED HER IN THE HEAD TO SHUT HER UP. I PLUNGED THE KNIFE INTO HER AND IT BROKE. I THEN FINISHED THE JOB BY CUTTING HER THROAT. I AM NOT SICK. I AM INSANE. BUT THAT WILL NOT STOP THE GAME. THIS LETTER SHOULD BE PUBLISHED FOR ALL TO READ IT. IT JUST MIGHT SAVE THAT GIRL IN THE ALLEY. BUT THAT’S UP TO YOU. IT WILL BE ON YOUR CONSCIENCE. NOT MINE. YES, I DID MAKE THAT CALL TO YOU ALSO. IT WAS JUST A WARNING. BEWARE…I AM STALKING YOUR GIRLS NOW. CC. CHIEF OF POLICE |
Chacun semble utiliser le langage comme s’il allait de soi ; personne pour faire son procès ; on a l’impression qu’il est facile d’avancer, de noircir des pages, et que votre cheminement est évident à suivre. Quelle est seulement votre exigence ? Les critères de cette exigence surtout. ANSWER SVP.
« Remarque : Si vous ne trouvez pas l’option « À propos d’Internet Explorer », cela signifie sans doute que vous n’utilisez pas Internet Explorer… »
ben oui faut croire…
Je ne trouve plus le sommeil. Rien n’y fait.
J’ai tout essayé, même des doses massives de ketamine, le genre qui assommerait un cheval.
Ce foutu bouquin compte désormais 2834 pages.
A l’origine il en comptait 700.
Plus de 2000 pages supplémentaires en quelques jours.
Et pourtant l’épaisseur de l’ouvrage n’a pas varié d’un millimètre.
Comment vous expliquez ça, vous ?
Hier je me suis tout simplement perdu dans un labyrinthe de notes.
C’est absurde.
Quelque chose m’a échappé, je ne sais pas comment… mais bon, voilà, je me suis perdu.
Pourtant j’avais balisé mon itinéraire de marque-pages.
Ça paraît dingue mais ces marque-pages ont commencé à disparaître les uns après les autres.
Bref, il m’a fallu 7 heures pour retrouver le fil de la narration.
(Et dire que l’auteur m’avait prévenu : « vous devriez vraiment vous débarrassez de ce livre… »)
Tourgueniev c’est mieux à deux
série d’animations destinées à encourager
le surf sur tourgueniev à deux
et ainsi faire plaisir à tonton Ivan
en faisant doubler les stats
Aujourd’hui n’oublies pas de préciser « sans retouche »
en pinçant ton(ta) camarade !!!
Le don d’ubiquité
Je trouve souvent que c’est dommage d’être là sans être à côté,
De ne pouvoir pas se vanter d’avoir le don d’ubiquité.
Devoir se contanter d’ici,
n’avoir qu’une place à garder,
quelques mètres cubes occupés,
par un seul corps jour et nuit.
Ne faire qu’un voyage à la fois,
ne pas pouvoir passer partout,
n’avoir qu’un seul amour en cour,
ou pas d’amour du tout.
Avoir l’air absent,
sans se l’expliquer,
sans pouvoir se dire:
« c’est normal, puisqu’en fait j’étais à côté »
Une fois cependant, il me semble, j’ai eu le don d’ubiquité,
Quand sur le point de te quitter,
je me suis vue partir ailleurs,
je voyais ma vie,
loin d’ici elle avait pris d’autres couleurs,
Mais le décor me faisait peur,
finalement je ne suis pas partie.
On peut trouver des alibis,
nier quelque chose qu’on a fait.
Mais pour l’instant on ne peut pas nier que l’on est là où l’on est.
C’est tout le drame,
et cependant, si je pouvais me disperser,
là où je multiplierais les chances de ne jamais m’en dépêtrer.
c’était très étrange
même dans le cadre expérimental du labo
Kiki continuait à s’exploser la tête spontanément
un jour, l’un de nous, contributeurs, va mourir.
dans les jours qui suivront,
chacun des autres contributeurs lui dédiera un post,
en hommage,
émouvant, tragique, rigolo pour les plus iconoclastes ou
pour ceux qui ne le connaissaient pas bien,
et puis ces hommages disparaitront,
au fur et à mesure qu’on trouvera
autre chose de mieux à dire,
et il restera une petite stèle numérique,
perdue dans la liste interminable des archives,
et un autre jour,
encore plus tard,
blogger sera acheté par lycos,
et lycos supprimera les archives,
parce que tourgueniev c’est un peu cochon des fois quand même,
et la petite stèle disparaîtra,
avec tous les hommages que de toute manière,
personne n’allait plus visiter,
ou alors par hasard,
en faisant une recherche sur bloooger,
le moteur de recherche dédié aux blogs,
inventé au moment de la fusion avec google,
pour ne pas que les mots contenus
dans toutes ces page insensées
parasitent le « vrai » web,
et du contributeur mort,
il ne restera rien,
parce que même si son corps avait bien du
être enterré quelque part,
personne ne se souvenait
où.
rappel en rouge parfait bandé adoré Moi
je dis : assemblés assortis emmêlés je dis en remettre une couche vite |
-Tu me demandes pas mon nom?
-Comment t’appelles-tu?
-Anaël
-T’es bretonne? Même pas?
-Non. C’est un prénom inventé par Tolkien.
je marche dans la ville depuis des jours
le virus me ronge, charogne en sursis
le mal ne fait rien que de me bouffer
personne dans les rues, juste les chiens
…
les bûchers, l’odeur des corps
mourir enfin, me reposer
oublier ton absence, ton odeur,
la fin des hommes, demain les chiens…
…
Et Marie aiguise son regard
Elle a vu ce qui vient de nulle part
Elle a crispé la main sur la lame
Attention à la blessure madame
…
Pour écrire, je m’appuie sur trois choses :
mes nombreuses lectures,
sur mes voyages,
et sur ma propre réflexion.
« Il était une fois une jeune femme qui marchait sur la rive d’un lac suisse et qui se faisait désintégrer par un rayon laser. »
je me demande : pourquoi on fait ça ?
je me demande : pourquoi on lance ces petits messages ?
je me demande : pourquoi on poste ?
je me demande : pourquoi on s’illustre ainsi ?
je ne comprends vraiment pas : pourquoi on s’obstine ?
je te demande : à quoi ça sert ?
les amis d’Ivan Tourgueniev :
————————-
Joseph Mobutu Sese-Seko
Basher Mobutu
Prosper Isioma
Henry White
Mariam Abacha
Ken Odion
Tayo El Bakare
Peter Martins
————————-
du pognon pour tout l’été !
?pourquoi rester assis sur la plage si l’on peut employer ses journées à construire des _________________________________________________________>>>_citadelles |
![]() |
Rappel : Une armada de petits canards en plastique jaunes devrait s’échouer dans quelques semaines sur les côtes britanniques, dernière étape d’un voyage épique entamé dans l’Océan pacifique. |
à trop vouloir forcer l’amour
on arrive à rien
laissons monter l’adrénaline
laissons monter le mercure
laissons monter l’aventure
au-dessus de la ceinture
je ne sais pas ce qu’ils faisaient au coin de la rue
ils avaient l’air d’attendre un taxi
mais ne faisaient aucun signe
…
Je ne suis qu’un animal
passe ton chemin,
retourne dans le monde des hommes,
oublie-moi
et pars sans te retourner
ne me regarde pas pleurer
Tu me connais tellement bien. Je sais que tu retrancheras les vapeurs d’alcool, la peur, les fautes et que tu verras ce qui compte – un code à déchiffrer, écrit par un type qui croyait s’exprimer clairement. (367)
___________________________
367. Du coup, cette phrase qui parle d’un « code à déchiffrer » me rappelle que les plus belles lettres d’amour sont toujours codées, et ce à l’intention d’une seule personne et non de plusieurs. (368)
368. Dans cet admirable commentaire de la lettre de Navidson, Errand oublie curieusement de préciser que les plus belles lettres de rupture sont elles aussi des « codes à déchiffrer ». – Lect. (369)
369. Comment en serait-il autrement ? Les plus belles lettres de rupture sont toujours des lettres d’amour. D’ailleurs la seule lettre d’amour que j’ai jamais écrite fut une lettre de rupture. – Lect. ($$)
$$. Sauf que ça n’était pas une lettre de rupture. Disons plutôt une lettre de rejet. Et bien sûr, c’était aussi une lettre d’amour. – Lect. (371)
371._____________________________________________________ (371-bis)
371-bis. Manquant. – Admin.
l:l:µn<
Vous…des…nouvelles…oui…sûr…non…
…chaleur…on sait… tous…pas d’histoire…
je me promè…en short…vita nuova…
têtes mortes…disparues…where are you…
parle de loin… une bouche ?…oui…oui…
va mal…comme d’hab…une jeune fille…
de 18 ans…non…des heures…travail…que ça…
plus tard…voyages…qui lit… le petit…
salaud…cinema + hamburger… oui…
quel programme…non…pas vraiment…
heureusement…amis…old times…
vieja vita…j’ai chaud…déprime…
blanche…sans…douleur…ça dure longtemps…
depuis le début…oui…trop chaud…
pour… et vous…non… une jeune fille de 18…
centimètres…au cinema avec elle…
premier rang… voyages ?…oui…Italie…Espagne…
je vous…raconterai……oui…les …nouvelles…oui…
Hippocrate va chercher les origines naturelles des maladies.
Il espère qu’avec une seule théorie il pourra expliquer toutes les maladies. C’est la fameuse théorie des quatre humeurs. Le corps serait composé de quatre humeurs : le sang, la bile jaune, la bile noire et la lymphe.
Quand ces quatre liquides sont en proportion harmonieuse, c’est la santé.
Quand il y a déséquilibre, c’est la maladie.
Plus fort le clou dans mes mains! Je te dis d’enfoncer plus fort, là le sang coule à peine, allez, un peu de courage, merde! Si tu crois que ça me fais mal.
Est-ce bien raisonnable ???
Tu as besoin d’être refroidie, bébé, je ne suis pas idiot.
Je vais te renvoyer aux études.
Enfoncée bien profond, bébé tu en as besoin.
Je vais te donner mon amour… »
probabilité de viabilité : 0%
le tourguenisme c’est ça ?
L’impression d’avoir dormi dans un buisson d’épine
avec 7 nains en train de chanter à tue-tête
est persistante,
c’est grave Docteur ?
L’autre jour je discutais avec une brillante tourgueniste.
Nous parlions un peu de tout et de rien à la fois, mais avec ce talent indéfinissable qui caractérise notre esprit « irrationnel et molletonné ».
Bref : tout en feignant la désinvolture nous planions à une altitude intellectuelle proprement vertigineuse.
Et soudain je m’interrompis moi-même, comme frappé de stupeur.
La révélation se fit en une foudroyante connexion neuronale : dans « Internet » il y a « interné ».
Besoin d’un coup de pouce ?
[…] Un jour, donc, peu après notre premier anniversaire, j’ai été envahi d’un sentiment indicible, un malaise complètement inexplicable ; une sensation insupportable parce qu’indescriptible. Ce matin là nous prenions notre petit déjeuner, en toute simplicité, d’une façon que je qualifierai même de « banale ». A priori, aucune contingence extérieure visible n’était susceptible de perturber notre routine matinale. Juliette et moi échangions quelques propos tout à fait anodins en sirotant nos tasses de café, comme nous avions l’habitude de le faire à cette heure creuse de la journée. Et puis… je ne sais pas… cette impression bizarre est apparue ; d’abord latente, rampante, insidieuse, puis flagrante, presque tangible. En apparence Juliette était radieuse – elle me dit d’un ton enjoué et légèrement espiègle qu’elle avait décidé « d’être de bonne humeur aujourd’hui ». Elle n’en faisait pas trop non plus ; elle se contentait de me sourire discrètement, et prenait soin de me parler doucement, respectueuse de cette torpeur matinale qui m’afflige quotidiennement. Mais quelque chose en elle avait changé. […]
récit objectif du jour :
ce matin je me suis levé dans les jardins de l’Elysée,
pas de garden party, alors je bouge.
retour maison, attraper un fil de fer, ex-cintre,
le foutre au trou bien profond,
récupérer Ganesh et Mach 3, merci O.
te parler enfin…
retour à l’Elysée, toujours pas de bouffe.
je file à Belleville de mon placard pour souper.
framboise à suivre et ce soir…
ce soir, te revoir.