Il y a quelque chose qui s’ouvre parfois, une amitié s’amorce, un retour d’énergie comme des milliards de points qui convergeraient sur cet impératif : vivre ; l’échange doit se produire, car la chance tourne vite : la loi de l’alternance comme dit R. Laporte est une machine qui peut n’importe quand lui retirer ce pouvoir, alors urgence de tendre la main avant qu’elle soit brulée, pour construire son regard dans l’amour.
Autologue A. Les prénoms des femmes qui ont compté dans sa vie, sont truffés de A Il est temps de changer. coit Avez-vous récemment fait l’amour dans la mer ? rêve. Frôler l’insignifiance comme Keith Jarett. Programme. De la vie comme fourniture. Titre de livre à écrire. (Pas pour moi.) « Pas de pathos pour Boris. Thomas Bernhard. « Mozart c’est aussi le kitsch de la petite culotte ! » Questions. Comment vous en sortez-vous ? Comment allez-vous ? Que comptez-vous faire ? Thomas Bernhard « Nous sommes une tête chercheuse de défauts ! » Hier soir. — Pourquoi tu n’es pas naturel ? — Cela me demande un travail de dingue… alors j’ai arrêté. Entendu, ou lu « Je suis beaucoup plus heureux depuis que j’ai renoncé à l’être. » Questions Nos expériences se rejoignent-elles quelque part ? Projet. Une journée d’images de la vie. Matin. Marina me fit écouter le bruit de la mer, le son de l’eau. Titre de livre. Le bruit de la mer, le son de l’eau. Nouvelle. Les citronniers de Calabre sont arrivés ! Nouvelle Récemment, nos contemporains ne sont pas très audacieux. Erreur Elle a dit « partenaire », j’ai entendu « adversaire. » Question Pourquoi ce retour de l’eau ? Ce désir d’eau ? Post-it Reprendre « le cerf-volant » pour la revue Vacarme. Préparer cours d’histoire de la photographie. Évaluer à nouveau les soi disant amis. Participer au monde. Réfléchir sur le « mystique sans dieu » (Roger Laporte.) Revoir le monde. Qu’est-ce qui m’a précédé ? (Preuves, vite !) Envoyer à F.Y. Jeannet la nouvelle version du texte Epreuve. Ajouter deux pompes de plus par jour. Etre direct et aimable à la fois. Nouvelles expériences contre L’éternel retour du même. (Pourquoi pas quatres pompes de plus ?)
Je t’aime. Ton extrême maigreur fait ressortir tes hanches et leur donne presque une courbe féminine. J’aime y passer la main ou la langue. Ta pilosité d’un blond lumineux me donne encore envie de jouer avec les boucles de ta poitrine. Le soleil déclinant s’y niche d’une manière étonamment attendrissante. Je verse quelques larmes pour toi. Mes mains sur tes fesses, je te caresse doucement. J’évite de trop regarder ton visage écrasé par la hache. Seule ta bouche est miraculeusement épargnée et me laisse voir cet étrange sourire que tu m’offrais si souvent quand le plaisir venait. Bizarrement, j’envisage de m’y glisser plus tard quand elle sera ramollie. Je masse tes cuisses et tes seins. Je passe la main sous tes bourses écrabouillées et je recueille sang et sperme qui en dégouttent encore. Je porte la main à la bouche savourant les fortes saveurs que tu me laisses. Je t’aime.
le cube vole le soleil et les âmes des pélerins qui chantent ses louanges,
plus féroce que le lion et plus doux qu’une femme, il sait cajoler, séduire et punir il règne, fort et serein partout où peut s’étendre son regard bleu et implacable
Bad trip n°1 : découvrir le côté oppressant de l’amitié A noter dans mon petit carnet dans la rubrique mises en garde et avertissements en tous genres : Ne jamais oublier que tout se paye A part ça ? Des fleurs et du soleil
– Allo ? – Bonjour, c’est ta grand mère – Ca va ? – BONJOUR. – Oui, bonjour… – Tu donnes pas beaucoup de nouvelles, hein. – Ouais, tu sais, moi, la famille. – Bon. Je reste pas longtemps parce que, hein, ton portable, ça coute cher. – Tu fais comme tu veux… – A part ça quelles sont les nouvelles ? – Bah… comme d’ab, je taffe. – C’est bien, ça, si tu as du travail. Bon, si tu veux de mes nouvelles tu appelles, hein ! – Oui, oui, bien sur. – Bon, je te laisse, hein, parce que ton portable, ça coute cher, hein ! – Ok. Salut. – Salut.
A sucer des poires belle-hélène Les mains pleines de confitures Et les lèvres peintes de haine Lorgnant là-haut le ciel azur Où les japs se démènent A détourner des Boeing A descendre ceux qui rechignent Oh mon Dieu qu’ils ont mauvaise mine
Je suis fier de ne rien faire ) Fier de ne savoir rien faire ) (x2)
Je n’ai même pas le courage D’aller pointer au chômage Oui bien sûr j’ai le bon âge De pouvoir placer dans ma vie Tous mes talents inusables Et mes charmes infinis C’est dur d’être si feignant Quand on aime tant l’argent
Les soirs où il fait chaud on aime bien descendre se promener en ville. On a qu’à mettre notre brassard : »animaux civilisés » et tout se passe bien, personne nous dit rien. On boit une mousse à la terrasse du Zorba ne regardant passer les filles, ou bien on va faire un billard.
#23 Parole vaine du héros. La voix souveraine, elle revient, c’est ça : tressautements de sensations et je parcours le temps, je revis en une minute les dernières journées, et je vois un esprit insatisfait, une tête bien faite. E. m’a dit que j’aimais la douceur de mon visage. Est-ce ainsi qu’il faut lire les traits du héros ? Douceurs sourdes. Je ne vois pas pourquoi je m’interdirais de relier mon bonheur à l’écoute d’une cantate. Et si la quête du héros c’était de se rapprocher de dieu ? Ha non. Pas sérieux. Pas aujourd’hui. Pas dans l’époque. Et je me tairais enfin ? A la droite ? Le ciel ? Oui j’aime regarder le ciel. Mais cela ne prouve rien. Le héros veut anticiper, brûler des étapes, se brûler la vie pour un chemin somptueux. Est-ce que je mérite cette éternité ? Cette facilité ? J’écoute donc la voix souveraine de Barbara Hendriks au nom du père inconnu. Et j’attends. Posture essentielle du héros, chasseur grotesque ; mouche aux ailes d’anges.
#34 On n’a jamais fini de remettre le sujet sur le feu. Pour le saisir à point il faudrait inventer un langage nouveau, aussi fulgurant que lui. L’accompagner, ne pas l’arreter. Découper soigneusement chacune des tranches du temps où il s’est exposé.
En passant, en écrivant. Pourquoi, depuis longtemps, écouter Bach me remet dans le droit chemin ? Et oui. Aux dernières nouvelles, le moi serait élastico -hystérique. Arquez-le, placez-y n’importe quoi (un souvenir, une souffrance, un amour) et lancez. Soit il expulsera la chose loin de lui (moi allégé) soit elle lui retombera dessus (moi patatraco -névrotique.) Mauvaise pensée. J’ai trouvé la phrase la plus nulle de l’ignorance de K. « Tout le monde admire sa mère pour sa vitalité » Mais j’ai aussi trouvé la plus belle : « …émue de sa beauté que son corps pleure. » Bonheur. La voix de Glenn Gould qui chante derrière la toccatta. F.B. m’a dit un jour à ce propos : « Il grommelle. » Vanitas. Je me moque de A.C. qui publie son journal de travail (de photographe) en lui rappelant une phrase d’un ami qui le concerne : « A.C. prépare le terrain pour ses futurs biographes. » A.C. rit, un peu vexé, s’en sort victorieux : « Derrida dit justement qu’écrire est indécent ! » SO WHAT ? Bizarre. Nostalgique de la période où je découvrais Proust : Batignolles, automne 1995, souvenirs d’enfance, douce mélancolie. Le vieux Folio élimé sentait la cave où il avait séjourné 20 ans. Téléphone. — D. te trouve suffisant & gueulard. — Je vais l’appeler pour me faire pardonner. Video. C. est une ancienne amoureuse de Turin, venue quelques jours à Paris pour conquérir les galeries. Son énergie l’a transformée en une machine. Plutôt qu’artiste, elle se définit comme stratège et produit davantage qu’elle ne crée. Je me sens alors poussiéreux, pré-moderne. Bach. Le Praeludium en ut mineur BWV 934 me fait penser au cheminement prudent vers un orgasme, lui-même associé à l’éclatement d’une très bonne bouteille de vin blanc. Barthes. » Savoir qu’on n’écrit pas pour l’autre, savoir que ces choses que je vais écrire ne me feront jamais aimé de qui j’aime, savoir que l’écriture ne compense rien (…) c’est commencement de l’écriture. » Une telle désespérance ne t’a conduit sous les roues d’une voiture que pour rejoindre les morts. Bach. Agacé parfois par cette méticulosité moqueuse du profane sans méthode que je me surprends à être parfois. Autologie. Invention de soi.
– tu prends de la poudre, toi ? – bah oui, ça va de soi. mais je la paie pas, on me la file – wahooo – c’est parce que je connais tous les bons plans de paris, je suis invité partout. Je tutoie Ardisson et sa femme. – wahooo – et puis je te parle pas des meufs que je me tape, que des bombes, et puis 2 ou 3 en même temps, c’est la moindre des choses. – t’es fort dis donc. – ouais, je suis heureux, quoi. Je suis au sommet. – t’as de la chance – c’est pas de la chance, c’est du boulot. Faut travailler son réseau, s’incruster là ou il faut, coller aux basques de qui il faut etc. – heu… faire le gentil toutou quoi ? – c’est plus compliqué que ça, petit. Bon, laisse moi bosser maintenant, j’ai un article à terminer pour Génération Séries.
Je suis schizophrène et moi aussi – Jung Una solus victus nullam sperare solutem – Virgile Si seulement je connaissais plus de mathématiques ! – Schrödinger Les schtroumpfs détruisent la datcha des chinois – Igor
« Moi aussi, j’ai eu de ces professeurs avec leurs airs de flûte pervers et avec leur pincement de guitare pervers (…) ces sentimentalo pathétiques suppôts de l’état à l’index dressé. » T. Bernhard.
#28 Ne faire son portrait qu’à partir de ce que les autres ont dit (récemment) de lui : faussement humble, minet, play-boy, impatient, petit, tourmenté, ambitieux, cynique, coureur, superficiel, satisfait, à l’aise etc. Et s’ils avaient raison ? Bigre ! Ce sont les yeux et les mots des autres qui me font ? Salauds ! Cela ne se passera pas comme ainsi ! ».
Il en vient à penser que lorsque la peur s’atténue, qu’il a bravé la folie, et avec elle cette proximité de mort – il n’a plus rien à perdre ; il se laisse donc conduire dans la confiance vers un espace blanc qu’il imagine etre le lieu du repos, celui du bonheur. Quel serait l’avantage de ce lieu ? Quel serait ce lieu ? Transparence. Rien au-delà.
Les éléphants passaient dans les phalanges comme des sangliers dans des touffes d’herbes; ils arrachèrent les pieux du camp avec leurs trompes, le traversèrent d’un bout à l’autre en retournant les tentes sous leurs poitrails; tous les Barbares avaient fui. Ils se cachaient dans les collines qui bordent la vallée par où les Carthaginois étaient venus.
« Personne ne fait de la psychologie par amour : mais plutôt par une envie sadique d’exhiber la nullité de l’autre, en prenant connaissance de son fond intime, en le dépouillant de son auréole de mystère. »
J’aurais eu envie d’être un loup pour le style un lion pour la force un toucan pour les couleurs
mais je suis une grenouille l’avantage c’est qu’on peut passer dans les conduits pour aller visiter les jeunes filles la nuit et (avec un peu de tchatche pendant qu’elles sont à moitié endormies, on peut tenter de) se faire passer pour le prince charmant
– allo, mon amour ? – oui, où es tu ? – je sors tout juste, on se retrouve quelque part pour finir la soirée ensemble ? – oui, bien sur ! le parc en face de chez moi, ça te va ? – super. je suis là dans 10 minutes. – parfait. à tout de suite. je t’aime. – moi aussi je t’aime. à tout de suite.
la scène se passe dans une laverie. ———————— bob (homme), bobette (femme), oneko(1) (chat). ———————— le chat (dans une machine) : maaaaouw ! bob : et pourtant il tourne. le chat : maaaaaouw ! bob : ça donne le vertige. bobette (modes zé travaux) : hum… le chat : glouglou. bob : je crois qu’il est propre. bobette : hum… le chat : … bob : ah, non, il est juste mort… bobette : petit con. bob : soit sympa, il est mort. bobette : je parlais de toi. bob : c’est ce que je disais. le chat : …
le récitant : Souhaitant vivement vous rencontrer pour vous exposer plus amplement mon expérience et mes motivations, je me tiens à votre disposition et vous prie de recevoir, Madame, l’expression de mes salutations distinguées.
(N on)tropo lyrico. D’un réseau à l’autre, il manque toujours l’image, la voix, le corps ; je les invente, je déplace le foyer dans un autre lieu ; avez-vous déjà été brûlée ? Il y a des interdits, ces limites me fatiguent ; trop chaud, la toile est increvable. Il n’y a aucune image derrière, pas d’être ; des flammes m’ont promis que j’aurais le droit de conserver les restes de nos paroles.
Fondamentalement, j’aimerai retrouver mon animalité ; elle me fait défaut pour agir ; objet construit, je ne puis profiter de l’instant présent. Mon masque social agit comme une membrane imperméable, empêchant l’aération de mes blessures émotionnelles, et favorisant la culture d’un mal être anaérobique, une ulcération intérieure qui précède une inévitable nécrose. Je crois que c’est sans remède.
« Une forteresse et une prison dans Paris, la Bastille fut un symbole de l’absolutisme royal avant la Révolution Française. Sa construction démarre en 1369 et fut originellement dédiée à la défense de la ville. A partir du XVIIe siècle, la forteresse fut utilisée comme lieu d’emprisonnement. Voltaire et le Marquis de Sade furent permis ses hôtes les plus célèbres. En juillet 1789 un jeune juriste Camille Desmoulins appela à l’invasion de la Bastille dont les canons menaçaient le quartier populaire du Faubourg St-Antoine. L’histoire a retenu la date du 14 juillet 1789 comme date officielle de la prise de la Bastille. C’est pourquoi depuis la Place de la Bastille que partent les manifestations de protestation ainsi que le défilé syndical du 1er Mai. »
En exclusivité sur Tourgueniev : J’ai couché avec un bloggeur, c’est moi. Quand je vous dis que je sais pas écrire, que j’ai que de la gueule et qu’en plus j’ai aucune inspiration ni imagination : 1 post nul en une semaine… Je vais bientôt fermer, d’ailleurs, j’ai autre chose à foutre…
AUTOLOGIE (Le héros accumule des notes dont il ne sait que faire ; fourre-tout encombrant. Il a décidé maintenant de s’en délester. L’exercice — qu’il appelle pompeusement AUTOLOGIE ressemble donc à cela :)
Bravo. J’ai envoyé ce soir, par texto à des femmes nombreuses éparpillées au bord de la méditerranée : « nuit sans air à Paris ». Triste (C’est tout, trop court, pense-t-elle.) Weil « La grandeur, de nos jours, doit prendre d’autres voies. Elle ne peut d’ailleurs être que solitaire, obscure et sans écho… (or, pas d’art sans écho). » Titres Compléments d’objets.(Ne pas me voler merci.) Diatribes contre une femme ailée.(Me la retrouver, merci.) Mots de passe. L’identité pleure. Atroce. Quand je dis je, j’ai l’impression de recevoir une claque dans la gueule. 10 rue, de Rome. Belle serveuse, belle comme une gravure d’intérieur, sage et décorative. Vérifier plus tard Inanité de ceux qui écrivent, de tout ce qui s’écrit. Difficulté Comment écrire un cri ? Handke. « Il ne percevait rien, cela lui tombait sous les yeux. » Projets. Ecris comme tu penses comme tu vis comme tu veux. Téléphone Une femme parle : » Je ne comprends rien. » Le jeune homme dit : » Je ne t’entends pas. » Bis Si je pouvais parler d’un autre point de vue que le mien, croyez-le, je le ferais. Oui. Tu vois une chose et tu penses à une autre. ? Il n’y a que des défauts. Radio La misère ne te secoue pas assez. Souvenir. « Si tu continues à jouir en moi, tu seras père avant la fin du mois. » Roman Dans le cafouillis d’un carrefour, j’arrivai pour me faire plaquer, jeté du haut d’une histoire, devant une femme plus âgée que moi dont j’avais tout espéré, y compris la mort. Duo. Le suce-suce panique (expression trouvée en buvant un verre d’eau.) Naufrage du non-sens (expression trouvée en pissant.) Drame Toute pensée se produit sous l’autorité absente (ce qui est la pure preuve du pouvoir) de L. Scandale Le séduction et ses immondes banderolles. Drame II Plus j’écrirai, moins j’aurais l’impression d’avoir dit quelque chose. Trio Un homme, une femme, le monde. Après l’inventaire, il ne subsiste que ça Fable Tout est bien qui finit enfin Image. Le string de la maman baissée via Giosue Carducci. Triste. Besoins d’échanges réguliers avec des spirituels estimables. Baudelaire « Et le printemps adorable a perdu son odeur ! »
elle semblait comme happée par l’ombre et l’inconnu, et me laissait seul avec mes regrets et ma tristesse,
je me souviens qu’elle a beaucoup pleuré à cette période, peut etre plus que moi,
je ne pouvais pas lui en vouloir, je l’aimais et je crois qu’à sa manière, meme si elle prétendait le contraire, elle m’aimait encore
ses petites marques d’affection, ses coups de fil fréquents pour s’enquérir de mon moral, nos diners et nos sorties au théatre… notre complicité, tout me montrait qu’elle m’aimait encore
je revois ton sourire et tes cheveux que j’aime tant caresser, ils me plaisent autant qu’au premier jour et cette image me contente et me contentera encore longtemps
On avait depuis peu aperçu Ivan Tourgueniev dans près de 6 villes diffèrentes : Un témoin l’avait vu dans les jardins du sénat, à Paris, une femme enceinte jurait qu’elle avait croisé l’illustre grand-père sur le pont de Longdoz à Liège, un couple d’homosexuels certifiait que l’auteur russe était en extase devant le labyrinthe de la cathédrale d’Amiens le 14 Avril 2003 et que c’est son air mystique qui les avait fasciné, le premier conseiller du consulat de France à St-Petersbourg affirmait avoir identifié au musée de l’Ermitage un homme dont l’apparence semblait conforme à l’avis de recherche international lancé par le Vatican, Un couple de jeunes touristes français, Cécile et Antoine, déclarent avoir reconnu Tourgueniev à la station de Métro Bourse, à Bruxelles.
Il semble que la résurgence soit proche, il faut que nous soyons prets. Les planètes ne nous sont plus favorables et jouent désormais contre nous; mon dieu, donne-nous la force !